Chapitre 3 - La perception Flashcards

1
Q

Elle donne un exemple et elle demande quel est le biais cognitif qui est en cause dans cet exemple.

A

Le biais attentionnel (souvent sélection des infos les plus évidentes)
La première impression est souvent basé sur l’apparence
Ex : “La personne est belle donc elle est surement intelligente”
Informations non pertinentes
Ex : Voir seulement la chaise roulante d’une personne

L’effet de halo (impression générale +ive à partir d’une caractéristique +ive)
Un truc positif = impression positive immédiate
Impression négative : peut importe ce que la personne fait, on va toujours avoir une impression négative d’elle

Le biais d’ancrage (accrocher aux premières impressions et délaisser les informations contradictoires)
On ne veut pas voir certaines choses
Ex : Quand on veut qu’une relation fonctionne tellement qu’on ignore les “red flags”

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1
Q

Connaître les étapes du processus de la perception parce qu’elle donne un exemple et on a besoin d’identifier si c’est l’étape d’interprétation, d’organisation, de ponctuation (n’est pas incluse dans les étapes) ou de sélection.

A

La sélection permet de choisir parmi la multitude d’informations sensorielles celles qui seront analysées.
On porte souvent attention aux stimuli intenses ou répétitifs.
La motivation, les préférences ou les besoins d’une personne influencent également la sélection des informations.

Une fois les informations sélectionnées, celles-ci doivent être organisées de façon cohérente.
Le schéma perceptif est le mode d’organisation de la pensée qui détermine les attentes et les comportements d’une personne.
On classe les gens en fonction de leurs caractéristiques :
Leur genre, leur apparence
Leurs rôles sociaux
Leur style d’interaction
Par exemple, aidant, conflictuel.
Leur traits psychologiques (personnalité)

L’interprétation est la signification que nous attribuons aux informations, en fonction de nos expériences antérieures, de la nature de la relation avec une personne, de nos attentes ou de nos préjugés.

Donner/attribuer un sens aux données/stimuli

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2
Q

Qu’est-ce qui manque de la vérification de la perception de l’exemple qu’elle nous donne ?

A

Vérifier la validité des perceptions aide à mieux comprendre les autres en évitant de se fier uniquement à la première impression

Ce processus comporte trois étapes :

Décrire le comportement perçu (le comportement doit être observable, basé sur des faits)
“Lisa tu a claquer la porte en furie”
“Claquer la porte” : le fait
“En furie” : interprétation

Essayer de trouver au moins deux interprétations possibles du comportement
“Elle a peut être claquer la porte parce qu’elle était en furie ou parce qu’elle a fait accident”

Demander des éclaircissements
“Étais-tu en furie quand tu as claqué la porte?”

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3
Q

^^ même chose, donc savoir les étapes d’une bonne vérification de la perception.

A

Exemple :
Lorsque tu as quitté précipitamment la pièce et que tu as claqué la porte (comportement),
je ne savais pas si tu étais en colère contre moi (première interprétation)
ou si tu étais seulement pressé (seconde interprétation).
Quels étaient tes sentiments à ce moment-là? (demande d’éclaircissements) »

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4
Q

Qu’est-ce que la vérification des perceptions permet d’éviter ?

A

ÉVITER DE LIRE LES PENSÉES DES AUTRES!!
Pour éviter des malentendus
Le danger c’est de mal interpréter ce que pensent réellement les autres et ont va penser qu’on est le problème

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5
Q

Avoir une bonne compréhension de l’empathie et de la sympathie.

A

L’empathie est fondée sur des sentiments : nous ressentons également les émotions de la personne avec qui nous établissons un lien.
L’empathie est la capacité de se mettre à la place d’une autre personne, de saisir son point de vue, de percevoir ce qu’elle ressent.
L’empathie comporte trois dimensions :
Il signifie « voir les choses sous un angle différent », c’est-à-dire tenter de saisir le point de vue d’autrui. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre ses propres opinions en veilleuse et d’essayer de comprendre l’autre.
Il comporte une dimension de nature émotionnelle, qui consiste à reconnaître l’émotion chez l’autre pour ainsi comprendre ses peurs, ses joies, sa tristesse, etc.
Il comprend le souci sincère du bien-être de l’autre. Faire preuve d’empathie ne signifie pas uniquement vouloir penser comme si l’on était l’autre, c’est aussi se soucier réellement de son bien-être.

La sympathie est fondée sur le soutien et l’intérêt : nous éprouvons du chagrin ou de la pitié pour la personne.

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6
Q

Savoir quand on utilise la méthode de l’oreiller.

A

La méthode de l’oreiller est une technique qui facilite la résolution de problèmes en considérant la situation selon cinq scénarios différents. L’objectif de cette méthode n’est pas de régler un conflit mais de générer plus d’empathie.
Reconnaître le bon dans ce l’autre dit et dans ce que nous disons ou lorsque l’autre à tort ou lorsqu’on a tort.
Donner de la valeur à ce que l’autre dit
Améliore la compréhension de votre point de vue de l’autre et ça peut enrichir la relation
Chercher les positifs dans le point de vue de l’autre
On a d’autre chose de plus important à notre couple que juste ce conflit

*FAIRE SURE C’EST TOUTE L’INFO QUE J’AI BESOIN

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