Chapitre 13 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le Spoonerismes?

A

un type d’erreur de discours où les sons initiaux de deux mots sont échangés

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2
Q

Que fait-on en linguistique quand on parle de corpus?

A

Faire des observations et regroupement. On enregistre les gens au niveau du verbale auditif

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3
Q

Expliquer le point de vue de Freud au niveau des erreurs du discours

A

Lapsus freudiens: apparition de glissements de la langue, et Freud a proposé qu’ils révèle nos pensées réprimées. Pour Freud, l’erreur vient de conflit psychique

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4
Q

Explique les étapes du modèle de Garrett

A

Conceptualisation: représentation du message, l’intention, signification
- Message level

Formulation: achemine le message

  • functional level
  • positional level
  • Phonetic level

Exécution: artuculation du message

Point important: étape discrète et séquentielle (étape après l’autre)

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5
Q

Quel caractéristique ont les erreurs dans les étapes du modèle de Garrett

A

Les erreurs vont centrer sur différente catégorie de mot (fonction vs contenu) -> échange jamais un mot de contenu pour un mot de fonction -> donc unique)

ex: morphèmes s tenu en position
a weekend for maniacs
a maniac for weekends

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6
Q

Est-ce que les étapes du modèle de Garrett sont complètement indépendante?

A

non, pas entièrement indépendante parce que il y a une intrusion cognitive et émotionnelle qui peuvent s’ajouter à ses étapes de traitement

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7
Q

Qu’est ce qu’un morphème lié vs libre?

A

Morphèmes liés: peuvent être dérivationnels et non pas de sens seul(change signification) ou flexionnels accord)

Morphème libre: peuvent exister seul

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8
Q

La différence entre une dissociation double et simple

A

Dissosiation simple: Peut produire le language ou non

Dissociation double: 2 ensemble de tâches

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9
Q

La planification syntaxique sert à faire quoi?

A

des agencements de mots

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10
Q

En quoi l’étude de Bock et ses collègues nous informe sur la planification syntaxique?

A

Série d’expériences basées sur une technique de voir si les participants peuvent être biaisés pour produire des constructions particulières.

Expérimentation a 2 phases:
1. répète phrase 2. décrire l’image

  • > la phrase que tu répète biaise ta production
  • > l’ordre des mots dans la parole est déterminé par un certain nombre de facteurs qui interagissent
  • > le donné précède le nouveau (ce qui est conue avant)
  • > objet animé en début de phrase
  • > les noms concret en premier
  • > dépend plus de la sémantique
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11
Q

Qu’est-ce que les étutes de suivit oculaire nous disent sur la planification syntaxique?

A

Permet de savoir ce que le sujet fait quand organise sa production de tache face à une tache (décrire image exemple)

Permet de voir quand et quoi-> font référence à une partie de l’image et regarde l’image avant dans parler (anticipation)

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12
Q

L’amorcage syntaxique ne dépend de quoi?

A
  • mots
  • similitudes superficielles entre le nombre premier et l’énoncé
  • réutilisation des mots (amorçage lexical)
  • temps, du nombre ou de l’aspect du verbe (aspect physique de phrase)
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13
Q

Étude qui démontre amorcage syntaxique

A

répétition: amener les participants à répéter une phrase première qui contient la structure syntaxique d’intérêt, puis à décrire une image.
-> les locuteurs utilisent un ordre de mots particulier si la phrase principale utilisait cet ordre.

-> mène amorcage syntaxique (répète la structure syntaxique) qui va s’imposer comme modèle de phrase au production suivante

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14
Q

Qu’est-ce que l’amoracage syntaxique réflète?

A

Aligner le discours sur l’autre au courant de l’échange pour coordonnée discours donc on va avoir amorcage syntaxique

  • > personne enseigne sa (c’est un apprentissage implicite)
  • > se retrouve dans les modèles d’explication
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15
Q

Qu’est-ce que le boost lexical?

A

répéter le verbe (considérer moins de temps, d’aspect ou de nombre) améliore l’amorçage, un effet que Pickering et Branigan

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16
Q

Qu’est ce que la tache de complétion de phrases selon Bock & Eberhard?

A

Sujet doit compléter des phrases et veut comprendre comment la personne va faire pour faire l’accord en nombre

ex:
player on the court
player on the courts (plus d’erreur pour décider si singulier ou pluriel -> le sujet est éloigné du verbe)

2 étapes:

  1. Processing marking: Spécification qui tienne compte du nombre de choses dont nous parlons dans le message. (identifié le nombre de choses en jeux)-> est-ce que le message est singulier ou pluriel
    ex: si nous parlons d’un hélicoptère, alors le verbe est marqué comme singulier. Supposons maintenant que nous parlions d’une paire de ciseaux. En ce qui concerne le contenu du message, le verbe sera marqué comme singulier. Mais nous traitons « ciseaux » comme un nom pluriel, même si nous ne parlons que de l’un d’entre eux. Nous disons « les ciseaux sont », jamais « le ciseaux est ».
  2. Morphing: remplacer le processus syntaxique de marquage par un processus qui prend en compte la morphologie du sujet. Peut causer des erreurs d’attraction, où le verbe en vient à être à tort d’accord avec le nombre d’une phrase nominale voisine qui n’est pas en fait le contrôle de ce verbe ler, comme dans (27)
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17
Q

Quel sont les deux étapes pour passer de la pensée à l’articulation?

A
  1. Sens (conceptual representation)

lemme

  1. Phonologique (word-form)
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18
Q

Qu’est-ce que la théorie du lemme?

A

chaque mot est représenté par un lemme. Les lemmes sont spécifiés syntaxiquement et sémantiquement mais pas phonologiquement.

  1. Sélection du lemme: Spécification d’une manière pré-phonologique et abstraite le mot que nous sommes sur le point de dire
  2. Sélection de forme phonologique : spécification de la forme phonologique concrète réelle du mot
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19
Q

Quels sont les preuves à l’appui des 2 stades de lexicalisation?

A

Erreurs du discours: il y a 2 types d’erreurs
1. les substitutions sémantiques (sens)
fingers-> toes
husband-> wife

  1. les substititions basées sur la forme
    equivalent-> equivocal
    historical-> hysterical

Malaproprisme: erreurs de substitution de mots logiquement liées. Des erreurs où l’orateur sait parfaitement bien quelle devrait être la cible.

Neuroscience: Différentes régions du cerveau s’activent dans l’ordre au fur et à mesure que nous produisons des mots.

gyrus temporal moyen gauche: sélection conceptuelle d’un mot dans la dénomination des images

Zone de Broca: encodage phonologique, en termes de préparation des syllabes, des sons

Zone de Wernicke: accès au code phonologique d’un mot

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20
Q

Qu’est-ce que le phénomène du bout de la langue (TOT)?

A

difficulté temporaire notable dans l’accès lexical. C’est une forme extrême d’une pause, où le mot prend un temps notable pour sortir (parfois plusieurs semaines!).

Les TOTs sont accompagnés de forts « sentiments de savoir » ce qu’est le mot.

caractéristiques: Universel (même chez enfants dès l’âge de 2 ans, locuteurs sourds éprouvent des états du « bout du doigt », Augmente avec la vieillesse, Plus fréquents chez les locuteurs bilingues

intervention: ce qui facilite récupération c’est de donnée des indices phonologiques

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21
Q

Les stades de la lexicalisatio sont-ils interactifs ou en cascade?

A

Plus en cascade, pas besoin d’attendre la fin d’un étape pour passer à l’autre.

Preuve: on peut faire des substitutions de mots entiers et de l’apprentissage par méditation (soda-couch fait pensée à sofa -> soda)

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22
Q

La question de l’indépendance est la suivante: avant de commencer à choisir la forme phonologique du mot cible, combien de ces unités concurrentes sont laissées?

A

Selon la théorie de l’indépendance (modulaire), un seul élément reste actif avant que nous commencions à accéder aux formes phonologiques. C’est bien sûr le mot cible, « mouton ».

Selon la théorie interactive, n’importe quel nombre d’entre eux pourrait l’être.

Donc, selon la théorie interactive, lorsque vous avez l’intention de dire « moutons », vous pourriez aussi penser à la forme phonologique / goutte /, et cela aura à son tour un effet sur la sélection des « moutons ».

23
Q

L’étude de Levelt et coll. sur les stades de lexicalisation

A

Ils ont cherché ce qu’on appelle un effet d’amorçage par médiation: lorsque vous dites « mouton », cela facilite la reconnaissance du mot « chèvre » (qui est odieusement un parent sémantique de « mouton »); mais est-ce que « chèvre » continue alors à faciliter à son tour l’un de ses voisins phonologiques, comme « but »?
-> le modèle interactif suggère que cet effet d’amorçage par médiation devrait se produire, alors que le modèle d’indépendance stipule qu’il ne devrait pas se produire.

La tâche des participants était la suivante: on leur a montré des images simples d’objets (tels qu’un mouton) et ont dû nommer ces objets le plus rapidement possible. Cela prend généralement la plupart des gens environ 500 à 800 ms à faire. Quand ont voit un objet, on a tendance a passer le premier 150ms à faire un processus visuel pour ativé le concept approprié. Ensuite 125 ms pour choisir le lemme. L’encodage commence a 275 ms et comprend le mot après 600 ms

24
Q

Énumère les biais que l’on peut trouver en lexicalisation?

A

Biais de familiarité: tendance des erreurs à produire des séquences familières (fréquente) de phonèmes.

Biais lexical : tendance des erreurs de la parole au niveau sonore telles que les spoonerisms à aboutir à un mot plutôt qu’à un non-mot (crée pas de nouveau mot-> mot qui existe)

-> Ceci, alors, est la preuve d’une interaction entre les processus lexical et phonologiques. Ce biais a été démontré à la fois pour les erreurs de parole naturelles et dans les spoonerisms induits artificiellement

Effets de similarité: l’erreur est plus similaire à la cible selon un critère que ce à quoi on pourrait s’attendre par hasard.

Intrusion: sémantiquement et phonologiquement liée à la cible (ex: dire catalogue à place de calendrier

25
Q

Le modèle Connexioniste de Dell

A
  • > activation va se répendre dans le lexique mentale.
  • > se représente le fait que le petit train (attache différent élément dans une chaine)
  • > notion de cascade pour arriver à traiter information
external semantic input
Semantic units
lexical units
phonological units
phonological output
26
Q

Quel est la denière étape de la parole?

A

L’encodage phonologique

27
Q

Qu’est-ce que le modèle à charpente à caisson

A
  • structure à séparation, impose un ordre et fait que l’ordre est maintenu
  • modèle historique (premier élément de réflexion)

Arriver à assurer que tout les sons dans le mot se place dans le bon ordre et doit respecter prosodie (accentuation à la bonne place)

28
Q

Le deuxième modèle qui explique l’encodage phonologique: modèle connexionniste de compétition en « queue

A

ajoute a la notion de charpente, qu’il y a des unités de controle ( fin et début, où les erreurs se font le plus

inhibition: sélection de sons, un fois activé, il est désactivé temporairement. (real feally bad-> déplacement du s change de mot et real vient de really (substitution) -> peut pas produire real really bad

29
Q

le troisième modèle de l’encodage phonologique: modèle connexionniste récurrent

A

Dell et al. ont utilisé un type de réseau connexionniste appelé un réseau récurrent pour associer les mots à leurs représentations phonologiques dans l’ordre, sans aucune représentation explicite de la distinction structure-contenu. Le modèle de Dell et al. incorpore deux types de rétroaction.

  1. externe a copié la sortie du segment le plus récent, et a donc fourni au modèle la mémoire des états phonologiques passés du modèle.
  2. interne a copié l’état passé des unités cachées du réseau, et a donc fourni au modèle la mémoire de sa structure interne passée.
30
Q

Quels sont les 4 propriétés de la parole que le modèle connexionniste récurrent a reproduit?

A
  1. phonotactiques: peut avoir br mais aura jamais rb -> le modèle permet de ne pas faite se type d’erreur
  2. échanges (se fait juste à l’intérieur de ses groupe, jamais C-V)
    • C-C
    • V-V
  3. Effet de la composition syllabique
  4. Effet de primauté des C (consone en première position, tendance à donné plus d’erreur)
31
Q

le 4e modèle de l’encodage phonologique: WERVER++ (modèle à lemme)

A

6 niveaux

  1. conceptual preparation
  2. Lexical selection
  3. Morphological encoding
  4. Phonological encoding
  5. Phonetic encoding
  6. Articulation

**Pas d’interaction entre les niveaux

problème de planification: get me a beer if the beer is cold (pourquoi on conjugue pas les deux ensemble?-> d’un point de vue syntaxique ce n’est pas la même chose

32
Q

À quoi serve les pauses dans la parole?

A

Pauses servent de moyens de controle

33
Q

Plusieurs types de pauses:

A

remplie: trou dans la parole est remplit par euuhhhh, par une répétition, tu comprend ce que je veux dire…

non remplie: vide (moment de silence)

hésitations sont plus nombreuse et plus longue face à un mot imprévisibile (manque de planification donne lieu à des pauses)

34
Q

Quel est la double tâche de Ford & Holmes?

A

Demande au participant de lire des phrases pendant qu’il écoute des tonalité

quand les gens arrive a fin de phrase, le ton affecte pas

dans discours articulé: quand fini une phrase, la phrase suivante est deja planifié

35
Q

Décris une aphasie croisée

A

on a une préférence manuel (droitier), latéralisation-> main droite sous controle de l’hémisphère gauche. coaparation entre langue et préférence manuel-> se retrouve principalement dans l’hémisphère gauche

-> normalement, lésion de l’hémiphère droit d’un droitier à un affection au langage (alors qu’on s’attendrait que le langage ne serait pas affecté)

36
Q

Qu’est-ce qui caractérise les aphasies de Broca et de Wernicke

A
Broca: agrammatisme
difficultés du traitement syntaxique. 
- phrase 
- inflexion
- analyse grammaticale (« parsing »)
- pluriel, négation...

Wernicke: Jargonaphasie
syntaxique est intacte et difficulté du mot
- substitution (paraphasie)
- fabrication (néologisme)-> produit nouveau mot sans se rendre compte-> se rendre pas compte que se qu’ils dise ne fait pas de sens

Les deux: Anomie
erreur en essayant de nommé quelque chose

lexicale: inabilité a utilisé représentation sémantique du lemme (faire distinction)-> Wernicke
phonologique: difficulté a aller chercher le mot et la forme phonologique du mot. TOP (bout de langue)-> sait le mot mais pas capable de le dire-> Broca

37
Q

Explique les dissociation doube en terme de lésion cérébrale

A

Aphasie de Broca:

  • élocution difficile: erreurs de prononciation et agrammatisme
  • Anomie (ddificulté du mot)
  • Compréhension intacte

Aphasie de Wernicke

  • élocution aisée: incompréhensible et jargon
  • anomie (difficulté du mot)
  • compréhension difficile
38
Q

Explique la deuxième étude de Holmes qui explique qu’on prend des pauses lors d’anticipation de plusieurs phrases.

A

tache: donnée histoire au sujet et à la fin du 3 phrase demande au sujet de continuer l’histoire avec un phrase.

Les sujets vont faire plusieurs phrases-> le temps entre la fin de l’histoire que leur bout de phrase est plus long-> pause pour anticipation de plusieurs phrases

micro planning: plus phonologie et la sémantique et syntaxique

39
Q

Décris une aphasie transcorticale motrice

A

Ressemble à Aphasie de Broca

: Difficulté de parole dénomination d’objets

40
Q

Décris une aphasie de conduction

A

se produit dans les 2 zones. Nature de la difficulté qui distingue les 3 types

  • pure: répétition affecté
  • reproduction: répétiton faible, mais en raison du codage phonologique (se répercute sur d’autre tache)
  • de perturbation de la MTV: surtout en situation de répétition
41
Q

Décris aphasie Globale

A

Combine tout. Difficulté au niveau de la parole, répétition de phrases,compréhension et dénomination d’objet

42
Q

Décris une aphasie transcorticale sensorielle

A

Ressemble à Aphasie de Wernicke

: La compréhension est perturbée de même que dénomination d’objets

43
Q

Qu’est-ce qu’une aphasie de dégénérescence?

A

au niveau de l’amnésie (perdre mémoire-> affecte aussi d’autres sphères)

44
Q

Quel est la distinction entre écrire et épeller

A

écrire: rédiger

épellé: mettre bonne séquence de lettre pour faire un mot

45
Q

Quels modèles servent d’expliquer des aphasies?

A
  1. Modèle neuroanatomique de Geschwind-Wernicke-lichteim: certaines zones communiquent avec d’autres pour extraire des informations sur le sens des mots, avant que ces informations ne soient transmises à la production de la parole et aux zones motrices du cerveau
  2. Modèles cognitifs: Garrett
    - > conceptualisation (représentation du message), formulation (achemine le message), exécution (articulation du message)
  3. Dick et al. (2001): omission (broca) vs substituation (wernicke)
46
Q

Quel est le modèle cognitif de Hayes et Flower?

A

Pour arriver à produire écriture: doit planifier, il doit avoir le transfert d’un intention à une expression et un processus de révision
(une fois fait composition-> retourne sur ce qu’il ont fait/correspondance entre le but et le produit final)

47
Q

Quel sont les 2 types d’écrivasin selon Hayes et Flower?

A

Expert: font les trois étapes (planification, transfert, révision)

Novice: font seulement une planification (répétition de la connaissance et confusion entre planification et édition)

48
Q

Quel parrallèle peut- on faire entre dyslexie et dysgraphie

A

dysgraphie de surface: difficulté à écrire des mots irréguliers et capable d’écrire des mots réguliers et inventés

dysgraphie phonologique: difficulté à écrire des mots inventés et capable d’écrire des mots réguliers et irréguliers

dysgraphie profonde: même difficulté que phonologique avec paragraphies sémantiques

49
Q

Lors de l’étape de la formulation de la parole, il y a 2 sous-étapes qui sont:

A
  1. syntactique (sujet, object, …)

2. positionnelle (ordre)

50
Q

Sur quelle sorte d’erreur s’appuie Garrett pour postuler une distinction entre le niveau fontionnel de planification de la production de la parole et un niveau positionnel.

A

erreurs phonémiques (erreurs ce centre sur différentes catégories)

51
Q

Qu’est-ce que la persistance syntaxique?

A

le traitement d’une structure syntaxique influence le traitement des phrases présentés après

52
Q

Les erreurs en production de la parole montrent des biais de familiarité lexicale et de similarité. L’existence de tels biais suggère quoi par rapport à la lexicalisation?

A

qu’il y a une interaction entre le processus lexical et phonologique

53
Q

Quel étape est le plus difficile de l’écriture?

A

le transfer