Chapitre 12 Flashcards

1
Q

Quel est l’illustration empirique de Thorndyke (1977) quant à la grammaire des histoire?

A

si on retenait le mot a mot -> l’organisation du texte nous aiderais pas

quand désorganise un texte = désorganise notre mémoire (fonctionne mal)

déjou attente-> perturbe la mémoire

Les histoires ont une structure (début, milieu, fin)

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2
Q

Comment nomme t-on les principaux modèles de réseaux de propositions et comment fontionne t-il?

A

HAM et ACT

fonctionne par activation et plus qu’il y a d’activation, plus difficile que c’est de distinguer l’information

autre modèle:
dépendance conceptuelle: le sens générale dépend de petit sens (relié a des mots), crée le sens générale à l’aide de combinaison des sens

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3
Q

Qu’est-ce qu’un réseau de propositions?

A

découpe (analyse syntaxique) les phrases en affirmation et on les relie entre elles se qui crée un réseau de propositions

dans proposition, il y a des affirmations (valeur de vérité)

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4
Q

Quel sont les trois modèles qu’incorpore Kintsch dans son modèle de cognition?

A
  1. Réseaux de propositions: se qu’on se représente c’est pas le mot a mot mais un réseau de proposition interconnecté
  2. Grammaire des histoires (structure donné facilité le rappel)
  3. Schémas-scripts (modèles mentaux)
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5
Q

Qu’est-ce que la théorie de la concentration?

A

ce qui facilite la compréhension: regarde vers l’arrière (fait réfrence a ce qui précède) et reagard vers l’avant (anticipé ce qui s’envient)

stratégie de lecture: lit une page et demande a l’enfant c’est quoi la suite (fait apprendre inférence/anticiper les choses)

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6
Q

En termes d’accessibilité, quel sont les caractéristiques importante?

A

avant-plan: mettre en avant plan les informations importante pour le rappel

les premières infromation sont les mieux mémoriser

mise en familliarité (commence par vieille connaissance et amène les nouvelle connaissance après

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7
Q

Comment peut-on résoudre l’ambiguité anaphorique?

A

pronoms: supose que le pronom est dans la même position syntaxique à l’élément auquel il réfère

fonction parrallèle:

genre: déclinant les pronoms il elle différement (quand anlayse traitement de l’inormation -> genre fait partie du traitement automtique)

focus et avant-plan: sur quoi on s’intéresse (focus sur personne?, qu’est-ce qui est mit en arrière plan ) -> habituellement plus facile quand focus est mit sur le sujet qui fait l’action

charge informationnelle: plus d’information = plus difficile à se rappeller

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8
Q

Quels autres éléments peuvent être en jeu lors de la compréhension?

A

référence: comment les élémentd du texte marche ensemble

coréférent: quand 2 expressions linguistique font référence à la même chose

antécédent: on ne peut pas déterminer l’inférence d’une expression linguistique sans faire référence à une autre expression linguistique (ont tient compte d’une expression linguistique pour comprendre le reste)

anaphore: expression linguistique que nous ne pouvons pas identifié seul (nécessite un référent avant pour comprendre)

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9
Q

Quel est l’expérience de Loftus et Zanni (1975) qui démontre que les inférences peuvent faire fausse route?

A

-> les témoignages oculaires ne sont pas fiables et comment les inférences basées sur le libellé des questions pouvaient nuire aux réponses des gens.

montré aux participants un film d’un accident de voiture. On a demandé à certains participants (33), tandis que d’autres ont été demandé (34)

(33) avez-vous vu une lumière brisée? -> générale
(34) avez-vous vu la lumière brisée? -> spécifique (affirmation)

    • il n’y avait pas de phare cassé.
  • > Les participants étaient plus susceptibles de répondre « oui » faussement à la question (34) qu’à la question (33) parce que le texte présuppose qu’il y avait une lumière de brisé
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10
Q

Quel est l’impact d’un délait sur les inférences?

A

un délai rend les inférence plus intrusive «plus on attend, plus que rappel devient personnel et devient moins un rappel du texte

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11
Q

Est ce que les inférences liantes sont automatique ou planifié?

A

sont automatique (peu pas s’empecher de les faire)

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12
Q

À partir de quel genre d’éléments du texte se font les inférences?

A

à partir des éléments importants

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13
Q

Quels sont les 4 types d’inférences que les gens peuvent faire?

A
  1. logique: signification du mot (suivre le sens des mots et voir ce qui s’attache)
  2. liante (bridging): aide à faire le lien avec de l’information antérieur (et produire nouvelle info)
  3. élaboratrice: met en relation qu’est-ce qui a dans le texte avec nos connaissances générales (élabore et dépasse le texte)
  4. pragmatique: pas fondé sur la logique, s’appuit pas sur signification des mots dans le texte (relié à sutructure et connaissance du texte)
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14
Q

Comment l’expérience de Sulin and Dooling démontre que les gens font des inférences

A

La moitié des participants à leur expérience ont lu cette histoire telle que donnée ici, avec l’acteur principal de l’histoire appelé « Gerald Martin ». L’autre moitié l’a lu avec le nom « Adolf Hitler » à la place.

Les participants à la condition « Hitler » -> plus susceptibles de croire à tort qu’ils avaient lu une phrase « Il haïssait particulièrement les Juifs et les persécutait ainsi », qu’une phrase de contrôle neutre telle que « C’était un homme intelligent mais n’avait aucun sens de la bonté humaine ». C’est-à-dire qu’ils ont fait des inférences à partir de leur connaissance du monde de fond qui ont influencé leur mémoire de l’histoire. Ici, la connaissance préalable était une source d’erreurs.

Les participants à la condition de caractère fictif n’étaient bien sûr pas en mesure d’utiliser cette information de fond de terrain.

  • nos connaissances antérieur ajoute a l’info sur adolph hitler
    se sert du texte (faire inférence a partir de connaissance préalable) -> amène a faire des fausses mémoires
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15
Q

De quel genre d’information les gens se rappellent le plus?

A

d’informations importantes

importance: contexte interationnel
les regarde plus longtemps (MO)
les traitent plus longtemps (structure du texte)
les idées importante sont plus relié entre elle dans le texte (le ecteur détecte la cohérance)

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16
Q

Comment Bransford et Johnson (1973) a illustrer la nécessité de connaissance préalables?

A
  • présente des textes ambigu
  • mesuré les évaluations des participants de la compréhensibilité de l’histoire et aussi le nombre d’idées rappelées
  • Participants divisés en trois groupes (1. « pas de contexte » 2. « contexte avant » 3. « contexte après »
  • contexte fourni sous forme d’une image qui donne un sens à l’histoire (voir Figure 12.1)

Constaté que: contexte n’était utile que s’il était présenté avant l’histoire…

  • le groupe « sans contexte » : 3,6/14
  • le groupe « contexte après » : 3,6/14 (aide pas pcq le travail de compréhension se fait durant la lecture du texte et pas après)
  • le groupe « contexte avant » 8,0/14 (contexte avant = facilitation)
17
Q

Quels sont les connaissances préalables nécessaire pour la compréhension?

A
  1. familiarité: facilite reconnaissance de la pertinance et de la compréhension
  2. pertinance reconnue
  3. changement de perspective:
  4. Nouvelle perspective: plan de recherche en mémoire
  5. information culturelle: peu biaiser notre traitement d’information
    ex: quand récit correspond à une connaissance qu’on envers une culture, plus de chance de mémoriser que si culture qu’on connait pas
18
Q

Comment Sachs (1967) illustre la mémoire et compréhension?

A

Sachs: teste habileté à distinguer histoire des phrases de confusion potenciel

présenter une première phrase : He sent a letter about it to Galileo, the great italien scientist

ensuite présente autres formulations

résultat:

  • > reconnait après 0,25 ou 50 seconde
  • > ne pouvait pas faire la différence entre l’histoire original et celle avec les phrases modifiés
  • > cependant, sensible aux changements dans la signification
  • > on se rappelle le plus du sens
19
Q

Quel sont les difficultés dans la mémoire et la compréhension?

A
  • difficile de se rappeler du mot à mot (on se souvient de la signification de ce qu’on entend, mais pas les détails de syntaxe)
  • séquence syntaxique disparait vite
  • fausses mémoires (on se crée de fausses réalités)
  • mémorise le sens
20
Q

Pour bien comprendre, la structure de l’histoire doit être cohérante. Quel sont les sources de cohérance de Gernsbacher?

A

Cohérance référentielle: de qui ou de quoi on parle (parle toujours de la même chose)

Cohérance temporelle: dans le moment où les événements se produisent

Cohérance spatiale (lieu) : dans l’endroit où les événements se produisent

Cohérance causale: dans la raison pour laquelle les événements se produisent ( le pourquoi)

Cohérance de cohésion: les mêmes entités sont référé à dans les phrases successives (cohésion thématique)

21
Q

Quel sont les 2 types de traitement dans la compréhension?

A
  1. traitement sémantique: l’analyse de ce que les mots et les phrases signifient
    - > avant traitement référentiel (point de dépar c’est de capter les mots et des les comprendres)
  2. Traitement référentiel: l’exécution de leur rôle dans le modèle - à quoi doit ressembler le monde pour qu’une phrase soit vraie?
    - > C’est quoi le rôle des mots ou des phrases dans le texte lui même (modèle qui n’est pas image identique)
22
Q

Parmit les distinctions notable entre lire et écouter, quel sont les distinctions au niveau de la compréhension?

A

écouter fait appel au discours et la conversation tandis que lire fait appel à un texte et une histoire

23
Q

Quel sont les difficultés d’une personne atteint de la démence?

A

inhabileté a éliminer les informations hors propos (résolution des anaphores (antécédent/pertinant) plus difficile.
*tout devient stimulable dans mémoire sémantique (hyperamorcage)

24
Q

Quels sont les difficultés des personnes ayant un trouble de la mémoire a court terme?

A

difficulté de compréhension de texte ( par rapport au construction de phrase ou commande-> difficile pcq fait appel a cette mémoire à court terme

25
Q

Quel sont les difficultés des personnes avec un trouble sémantique pragmatique?

A

difficulté à faire et comprendre des inférences dans les textes (rend communication verbale plus difficile)

26
Q

Qu’est-ce qu’une lésion du coté droit du cerveau aura comme impact sur la compréhension?

A

impact sur le sens de l’humour (reconnaitre ce qui est innetendu dans une blague, qu’est-ce qui est drole)

27
Q

Comment peut-on appliquer ces connaissances en compréhension pour l’étude?

A

PQ4R ou SQL3R

survol: passer le texte en revue
question: poser question pour comprendre

réflexion: faire inférence

récitation: se rappeller

révision: réviser

  • et recommencer processus
  • > Pour la rédaction: inclure même étapes (fonctionne)
28
Q

Quels sont les différences individuelles qu’on peut voir en compréhension de texte

A

Les experts en compréhension sont:

  1. jeunes (niveau universitaire)
  2. Plus de connaissances
  3. capable de maintenir plus d’info en mémoire active et faire d’autre choses en même temps (grand empan de travail)
  4. plus de facilité a éliminer de l’information qui n’est pas pertinante

**moins bon en compréhension-> faiblesse d’inhibtion de l’info non pertinante (les sens sont tout activé)

29
Q

Décrit le déroulement du modèle de Kintsch

A
  1. La phase de construction
    - activation du sens des mots
    - formation des propositions
    - inférences
  2. Phase d’intégration
    - réseau d’items inter-reliés
    - ajoute une cohérence au texte (les contradictions sont réglé)
30
Q

Quels sont les composantes du modèle de Kintsch?

A
  1. objectif du lecteur: avoir objectif
  2. mémoire de court terme (recoit matériel a traite )
  3. mémoire a long terme (emmagasiné nouveau matériel)
  4. microstrucure (réseaux de propositions connectés)
  5. macrostructure (représentation)
  6. modèle situationnelle (représentation du texte mais avec ce qu’on enlève (individualité))
31
Q

Le modèle de la concstruction et de l’intégration de de Kintsch est traité cycliquement en 2 phases, quel sont ses 2 phases?

A
  1. input + connaissances antérieur -> réseau propositionnel

2. création d’un modèle situationnel et intégration des informations de tous les niveaux

32
Q

Quels sont les 4 niveaux du modèle de la construction et de l’intégration de Kintsch?

A
  1. microstructure: notre réseau de propostions connectés
  2. structure locale: utilise en mémoire de travail
  3. macrostructure: représentation (description des processus en règle)
  4. modèle situationnel: représentation du texte mais avec ce qu’on enleve (individualité) (personnalise notre mémoire)
33
Q

Explique les modèles mentaux

A

on ne photographie pas le texte,o n se fait un modèle anologique du texte
-> retient chose qu font du sens (quoi, quoi, quand, où, …)

modèle situationnel et propositionnel (comment les connexions se font)
-> représentation personnel, sémantique, connectict, …

information contenu dans le texte doit corresponde avec ce qu’on a en mémoire
-> résonance est automatique

34
Q

Quel est l’illustration empirique de Barlett (1932) quant au schémas-scripts?

A

Barlett (1932): mémoire est déterminé par ce qui le présente mais aussi par les connaissances antérieures

présente des histoires qui contredisent les connaissances antérieures du sujet et demande rappel après un délait-> plus de temps = plus le temps avance plus devient cohérentes avec ses connaissances

connaissance antérieurs servent a créer un schema de ce qui a à ce rappeler (ensemble de connaissance déjà rassembler dans notre mémoire à long terme)

script: sorte spéciale de schema qui on un organisatoin théamtique
ex: aller au restaurant (s’attend à entrer, donne menu, commande, mange, paye, … ) situation ambigu: est-ce qu’on paye a la table a la sortie, combien de pourboir, …