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H25 - Processus Cognitif > Chapitre 11 (Examen 3) > Flashcards

Chapitre 11 (Examen 3) Flashcards

Mémoire sémantique

1
Q

Quels sont les deux points qui différencient la mémoire épisode et la mémoire sémantique ?

A
  1. Fonctionnement différent
  2. Contenus différents
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2
Q

La mémoire épisodique et la mémoire sémantique sont interreliés. Comment ?

A

La mémoire sémantique se construit à partir d’expériences individuelles, contenues dans la mémoire épisodique. Le contenu de la mémoire sémantique permet d’interpréter la mémoire épisodique.

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3
Q

Que contient la mémoire épisodique ?

A

Informations spécifiques sur les expériences individuelles et l’ordre des évènements.

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4
Q

De quoi est constituée la mémoire propositionnelle/déclarative ? (2)

A

Mémoire épisodique et mémoire sémantique

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5
Q

Quel autre nom peut être donné à la mémoire autobiographique ?

A

Mémoire épisodique

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6
Q

Les oublis sont-ils plus fréquents dans la mémoire épisodique ou dans la mémoire sémantique ?

A

Les oublis sont plus fréquents dans la mémoire épisodique.

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7
Q

Vrai ou Faux ? Dans la mémoire sémantique, l’évolution est rapide et constante.

A

Faux.

C’est dans la mémoire épisodique que l’évolution est rapide et constante.

La mémoire sémantique a un contenu plutôt stable.

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8
Q

Que contient la mémoire sémantique ? Quel autre nom peut-on lui donner ?

A

Le contenu est général et abstrait. C’est un réservoir de concepts et de définitions. On l’appelle aussi mémoire encyclopédique.

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9
Q

Qui est le premier à avoir distingué les deux systèmes de mémoire épisodique et sémantique sur le plan du contenu et du fonctionnement ?

A

Tulving

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10
Q

Qu’est-ce qu’un prototype ?

A

C’est une représentation abstraite qui possède une valeur moyenne des caractéristiques qui définissent l’appartenance à une catégorie. Il s’agit du premier exemplaire sur lequel est basé le classement dans une catégorie.

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11
Q

Quel est le rôle du prototype dans l’organisation des catégories ?

A

Les objets de la vie courante sont classés dans une catégorie après avoir été comparés à des prototypes.

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12
Q

Qu’est-ce que le concept de représentativité ?

A

Un objet/concept possède un “score de ressemblance familiale” élevé s’il est représentatif de sa catégorie. Plus un élément est représentatif de sa catégorie, plus il est traité rapidement dans une tâche de classification.

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13
Q

Qui sont les fondateurs du modèle de réseau hiérarchisé en mémoire sémantique ?

A

Collins et Quillian

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14
Q

Pourquoi est-il important d’étudier l’organisation en mémoire sémantique chez l’humain ? (2)

A
  1. Connaître l’organisation de la mémoire sémantique permettra ensuite d’en évaluer la performance.
  2. L’organisation sémantique de l’humain, puissant système, peut servir de modèle à l’élaboration de systèmes informatisés.
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15
Q

Modèle hiérarchique

À quoi sert le programme de compréhension du langage développé par Quillian ?

A

programme ia qui compare de mots grâce à l’information contenue dans sa mémoire.

reproduit la mémoire sémantique

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16
Q

Modèle hiérarchique

Que peut faire le programme de compréhension du langage développé par Quillian ?

A

Il peut comparer deux mots en fonction de leur signification. Il peut ensuite :
- donner accès à de l’information sémantique dans sa mémoire
- établir des relations entre ces informations pour chacun des deux mots
- tirer des conclusions

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17
Q

Modèle hiérarchique

Comment est organisé la mémoire du programme Quillian ?

A

Elle est organisée en réseau hiérarchisé. Les concepts sont les nœuds du réseau. Les nœuds sont reliés ensemble par des liens. Les propriétés/caractéristiques des concepts sont sous des pointeurs.

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18
Q

Modèle hiérarchique

Vrai ou Faux ? Vérifier la véracité d’une caractéristique est plus long que vérifier l’appartenance à une catégorie.

A

Vrai

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19
Q

Modèle hiérarchique

Combien de temps prend la vérification d’une propriété d’un objet ?

A

250 ms, en plus du temps nécessaire pour atteindre le niveau nécessaire.

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20
Q

Modèle hiérarchique

Combien de temps prend la vérification de l’appartenance d’une objet à une catégorie ?

A

75ms par niveaux hiérarchiques à parcourir. Ce temps dépend de l’expertise et des connaissances de l’individu. La mémoire sémantique est toutefois la plus commune à tous.

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21
Q

Modèle hiérarchique

En résumé, qu’est-ce que l’expérience menée par Collins et Quillian ?

A

Présentation de phrases et d’affirmation sur des propriétés ou sur l’appartenance d’un objet à une catégorie.

Le participant devait ensuite signaler le plus rapidement possible si l’énoncé est vrai ou faux.

Le temps de réaction est mesuré.

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22
Q

Modèle hiérarchique

De quoi est fonction le temps de réaction lors du jugement d’énoncés ?

A

Du niveau de l’énoncé à juger. Le temps de vérification augmente en fonction du nombre de niveaux à franchir pour vérifier.

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23
Q

Modèle hiérarchique

Vrai ou Faux ? Avant de vérifier une propriété, il faut atteindre le niveau du concept.

A

Vrai. Ça correspond à environ 250 ms de plus.

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24
Q

Modèle hiérarchique

Que propose le modèle de Collins et Quillian quant à l’organisation de l’information en mémoire sémantique ?

A

Elle est emmagasinée dans une structure en réseau hiérarchisé.

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25
Modèle hiérarchique Avec quoi est emmagasiné chaque concept dans le modèle hiérarchique ?
Chaque concept est emmagasiné avec une configuration de liens et de pointeurs qui le relient aux autres éléments.
26
Modèle hiérarchique Vrai ou Faux ? L'arrangement des concepts et des propriétés est déterminé le plus économiquement possible.
Vrai. Les propriétés générales ne sont pas répétées à chaque niveau. Explique pourquoi il faut parfois atteindre un certain niveau pour vérifier une propriété.
27
Modèle hiérarchique Quel est le problème avec le modèle de Collins et Quillian ?
Il présente une grande logique, mais la hiérarchie pose parfois des problèmes. Il y a parfois un effet d'inversion de niveaux, observable notamment pour les mammifères. Cela signifie que le temps de réaction est plus court pour vérifier l'appartenance à une catégorie qui est pourtant plus large.
28
Modèle hiérarchique À quoi est dû l'effet d'inversion de niveaux ?
À l'effet de représentativité. Il est plus court de vérifier si un item appartient à une catégorie quand il est représentatif de cette catégorie.
29
Modèle hiérarchique Vrai ou faux ? Même si les items paraissent également représentatifs d'une catégorie, il peut y avoir des différences de temps de réaction pour vérifier l'appartenance à une catégorie.
Vrai
30
Qu'est-ce qu'un atténuant ? Quel est son rôle ? Qu'est-ce que ça dit sur le modèle hiérarchique de la mémoire ?
Un atténuant est un mot comme "presque" dans un énoncé à vérifier. ex : une chauve-souris est presque un oiseau L'utilisation d'atténuants aide lors de l'établissement des relations de catégories. ex : l'énoncé est donc vrai Toutefois, cela pose un problème avec le modèle hiérarchique. En effet, ça établie des liens où il n'est pas supposé en avoir. ex : chauve-souris et oiseau ne sont pas de la même catégorie Le modèle de comparaison des caractéristiques résout cette lacune.
31
Qui est à l'origine du modèle de comparaison de caractéristique ?
Smith , Shoben et Rips
32
En résumé, quel est le postulat de base du modèle de comparaison de caractéristiques ?
Un concept est représenté dans la mémoire comme un ensemble de caractéristiques. Au moment de la vérification des énoncés sémantiques, il y a donc comparaison des caractéristiques des termes.
33
Modèle de comparaison de caractéristiques Quels sont les deux stades du modèle de Smith, Shoben et Rips ? Dans quel cas l'analyse passe-t-elle au stade 2 ?
Stade 1 : Comparaison des caractéristiques des deux termes pour déterminer globalement leur similarité. Si la valeur de similarité est intermédiaire... Stade 2 : Comparaison des caractéristiques essentielles seulement.
34
Modèle de comparaison de caractéristiques Quelles sont les trois étapes du stade 1 du modèle de Smith, Shoben et Rips ?
1. Retrouver les listes de caractéristiques pour les deux termes. 2. Comparaison des 2 listes pour déterminer la similarité entre les termes. 3. L'indice de similarité est évaluée et située par rapport à des critères pour déterminer s'il y a appariement ou non-appariement. Le critère est très personnelle et varie entre les individus.
35
Modèle de comparaison de caractéristiques Au stade deux du modèle de Smith, Shoben et Rips, que se passe-t-il ?
Il y a analyse des caractéristiques essentielles des deux termes. Les caractéristiques essentielles sont les caractéristiques critiques pour définir un concept.
36
Vrai ou Faux ? Les étapes du modèle de comparaison de caractéristiques sont conscientes et délibérées.
Faux.
37
Modèle de comparaison de caractéristiques Vrai ou faux ? Si la réponse après le stade 2 demeure vague, il peut y avoir stade 3.
Vrai.
38
Modèle de comparaison de caractéristiques Combien de temps prend le processus de comparaison en deux stades ?
Environ 1 seconde
39
À quoi est associée la similarité sémantique ?
À la fréquence de production
40
Qu'est-ce que la fréquence de production ?
C'est la fréquence à laquelle des gens nommeront une catégorie pour un concept donné.
41
Vrai ou faux ? La similarité sémantique est associé à la fréquence de production.
Vrai.
42
Vrai ou Faux ? La vérification de l'appartenance d'un énoncé à une catégorie est fonction de la similarité sémantique entre les termes, qui est liée à la fréquence de production.
Vrai.
43
À quel modèle est associée l'hypothèse de fréquence de production ?
Au modèle de la comparaison des caractéristiques.
44
Quel est le lien entre l'effet des niveaux et la fréquence de production ?
L'effet des niveaux correspond à la fréquence de production. Lorsqu'il y a inversion de niveaux, la fréquence de production est plus élevée pour la catégorie la plus grande.
45
Qu'est-ce que la distance sémantique ?
C'est la distance qui sépare les concepts de la mémoire sémantique. Elle est variable.
46
Qui est à l'origine du modèle de réseau non hiérarchisé ?
Collins et Loftus
47
Comment le modèle de réseau non hiérarchisé voit la mémoire sémantique ?
Comme un réseau de concepts interreliés
48
Modèle de réseau non hiérarchisé Comment les concepts sont-ils représentés ?
Par des nœuds liés aux autres par des liens
49
Vrai ou faux ? Dans le modèle de réseau non hiérarchisé, le phénomène de distance sémantique est reconnu.
Vrai
50
Modèle de réseau non hiérarchisé Qu'est-ce que le principe de la distribution de l'activation ?
La récupération d'un item active des concepts proximaux. L'activation se distribue dans le réseau. C'est un processus de fonctionnement important de la mémoire sémantique.
51
Modèle de réseau non hiérarchisé Vrai ou faux ? La proximité des nœuds dépend de l'expérience qu'on a avec un lien.
Vrai
52
Modèle de réseau non hiérarchisé Quels sont les deux types de liens possibles ?
-Lien qui modifie un concept : attribution de qualificatif (lien qui unit un concept et sa propriété) -Lien d'inclusion : appartenance à une catégorie (lien qui unit un concept à sa catégorie)
53
Vrai ou faux ? La distribution de l'activation se fait sans intention et automatiquement. C'est même difficile de l'empêcher.
Vrai
54
Vrai ou Faux ? La distribution de l'activation est équivalente à l'activation automatique défini par Posner dans le modèle du processus de récupération.
Vrai
55
Qui est à l'origine de l'effet Stroop ?
Expérience a été développée par Cattell et reprise par Stroop.
56
Que dit l'effet Stroop ?
Il est plus long, pour un adulte sachant lire, de nommer une couleur perçue que d'en lire le nom. Nommer couleur représentée par des symboles qui identifient une couleur différente est laborieux.
57
Quelles sont les deux étapes menant au fait de nommer une couleur perçue ?
1. Percevoir la couleur 2. Traduire en mots pour répondre verbalement
58
Lors de l'effet Stroop, qu'est-ce qui explique la difficulté à nommer la couleur ?
Même s'il ne faut pas traiter l'information sémantique et considérer seulement la couleur de l'encre, il y a quand même activation automatique du concept représenté par les lettres. Il est plus long de dire le nom de la couleur de l'encre puisqu'il faut inhiber la réponse automatique de la lecture du mot.
59
Quelle capacité des lobes frontaux est nécessaire pour surmonter l'effet Stroop ?
Capacités inhibitrices, qui sont des fonctions exécutives.
60
Est-il plus long de lire une couleur ou de nommer la couleur d'un rectangle coloré ? Pourquoi ?
Il est plus long de nommer la couleur du rectangle coloré, car il faut verbaliser mentalement la couleur après l'avoir lue. C'est un processus cognitif plus long que de simplement lire, car un mot est déjà sous forme verbale.
61
Qu'est-ce que la préparation sémantique ?
Il est possible de préparer le traitement d'un concept en l'activant même avant qu'il ne soit effectivement traité. Il est moins long de produire une réponse sur un concept préalablement activé de la mémoire sémantique.
62
Quel est le phénomène rapporté par Meyer et Schvaneveldt ?
Phénomène de l'effet de préparation sémantique
63
En résumé, en quoi consiste l'expérience menée par Meyer et Schvaneveldt sur le phénomène de l'effet de préparation sémantique ?
Des mots et des non-mots sont présentés en paire à l'individu. Le temps de réaction nécessaire pour évaluer si les deux groupes de lettre représentent des mots est mesuré. Dès qu'un non-mot est rencontré, la paire est invalide.
64
Expérience sur le phénomène de l'effet de préparation sémantique Vrai ou faux ? Il est plus long de répondre si le non-mot est en bas que s'il est en haut.
Vrai. En d'autre terme, si le non-mot est en haut, la réponse sera plus rapide.
65
Expérience sur le phénomène de l'effet de préparation sémantique Vrai ou faux ? Dans le cas d'une paire valide (donc deux mots), le fait que les mots soient sémantiquement liés ou pas n'a aucun impact.
Faux. La réponse est plus rapide si les mots sont sémantiquement liés.
66
De quoi résulte l'effet de préparation sémantique ?
De la distribution de l'activation. La lecture d'un mot active les mots sémantiquement liés.
67
Vrai ou Faux ? L'effet de préparation sémantique n'est pas vraiment démontré.
Faux. C'est très robuste et ça a été observé dans plusieurs situations.
68
Expérience sur le phénomène de l'effet de préparation sémantique Une paire avec un non-mot en haut et un mot en bas nécessite un temps de réaction légèrement plus long qu'une paire composée de deux non-mot. Pourquoi ?
Peut-être le mot est-il vu et ralentit il légèrement le processus ?
69
Qu'est-ce qu'une proposition ?
C'est une unité psychologique et linguistique qui peut constituer une phrase ou y être incluse. C'est la plus petite unité sur laquelle il est possible de poser un jugement vrai ou faux.
70
Quels sont les trois types de propositions ?
- principales - subordonnées - indépendantes
71
Comment s'effectue la distribution de l'activation ?
L'activation d'un concept en MLT active aussi les concepts reliés. La distribution de l'activation se fait progressivement.
72
Vrai ou faux ? Lorsqu'il y a distribution de l'activation, la force d'activation qui atteint un concept relié dépend de la distance parcourue entre les concepts.
Vrai. Plus c'est éloigné, moins c'est activé.
73
Quelles sont les deux différentes façons de représenter la connaissance en mémoire sémantique ?
Le concept et la proposition
74
Vrai ou faux ? Il existe une représentation propositionnelle en réseau.
Vrai
75
Vrai ou faux ? Les propositions en mémoire sémantique sont indépendantes les unes des autres.
Faux. Elles sont reliées les unes aux autres et sont imbriquées les unes dans les autres, parfois hiérarchiquement
76
Qui sont les auteurs du modèle de la mémoire organisée en propositions ?
Anderson Bower, Norman et Rumelhart
77
Qu'exprime la proposition ?
Des faits à propos de concepts, d'objets, d'activités et de relations entre ceux-ci.
78
Vrai ou faux ? La proposition est devenue l'unité de base de la représentation.
Vrai
79
Comment l'information concernant les propositions est-elle retrouvée dans la mémoire sémantique ?
Par l'action de la distribution de l'activation, qui est le processus de recouvrement d'informations en mémoire sémantique.
80
Quelle est la relation entre proposition et concept ?
La proposition est formée de concepts et spécifie la relation qui existe entre eux ?

H25 - Processus Cognitif (6 decks)

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