Cancer broncho-pulmonaire Flashcards
Les types de cancer de poumon
Cancer bronchique à petites cellules et à non petites cellules
Forme Plus rare : tumeur carcinoïdes
Types histologiques des cancers non à petites cellules
Du plus fréquent au moins fréquent:
Adénocarcinome
Carcinome épidermoïde
Carcinome à grande cellule
histopathogenèse du carcinome épidermoïde et durée de l’évolution
Agent irrite la muqueuse bronchique Métaplasie : épaississement dysplasie : cellules anormales carcinome in situ : prolifération carcinome invasive Cancer métastase
durée de l’évol : 10 à 20 ans
Définition carcinome au épithélioma
Cancer qui se développe à partir de l’épithélium
Développement des adénocarcinome, des carcinome épidermoïde et des cancers bronchique À petites cellules
Adénocarcinome développement en périphérie
Carcinome épidermoïde développement central
Cancer bronchique petite cellule développement des ganglions proximus
Évolution des sous type histologique
Les adénocarcinome augmente
Des épithélioma épidermoïde et à petites cellules diminue
Signe et symptômes dus à la tumeur
Toux (modification de la toux si BPCO)
- Hémoptysies
- Dyspnée
- Infections broncho-pulmonaires à répétition ® accumulation de sécrétion derrière l’obstruction
- Pneumonie rétro-obstructive ® au-delà de l’obstruction bronchique - Douleurs thoraciques ® pleurésie
- Sibilances unilatérales ® turbulences aériennes suite à l’obstruction
Signe et symptômes l’envahissement locorégionale
Dysphonie/dystonie/raucité ® nerf récurrent gauche en passant sous la crosse de l’aorte
- Syndrome cave supérieur : œdème de Kaplin
- Douleurs pleurales ® envahissement de la plèvre
- Douleurs osseuses ® métastases au niveau des côtes
- Douleurs apicales de type syndrome de Pancoast : atteinte du plexus brachial
- Syndrome de Claude Bernard Horner ® envahissement du ganglion stellaire
- Dysphagie ® envahissement de l’œsophage
- Adénopathies
Signe et symptômes dus au métastase
Douleurs osseuses
- Syndromes neurologiques, hépatiques, cutanés, …
Syndrome Paranéoplasique
- Hippocratisme digital
- Ostéoarthropathie hypertrophique Bamberger-Marie : prolifération du périoste au niveau de
certains os avec des douleurs associées et des anomalies radiographiques. - SIADH ® hyponatrémie
- Syndrome de Cushing ® augmentation de la sécrétion d’ACTH
- Hypercalcémie ® convulsions (surtout chez patients avec métastases osseuses)
Différence entre masse et nodule
Masse est supérieur à 3 mm de diamètre
Nodule est inférieure à 3 mm de diamètre
Diagnostic du cancer broncho-pulmonaire
R X thorax ou CT scan thoracique,
Diagnostic nécessite une preuve histologique par endoscopie
Ce qu’on observe dans la radio de thorax ou le scan thoracique
Masse dense spiculée parfois nécrotique
Localisation hilaire / centrale ou intra parenchymateux / périphérique
atélectasie, adénopathie médiastinale, Lyse costal, paralysie phrénique
Explication de la biopsie de liquide
C’est une alternative de la biopsie tissulaire, Elle est peu invasive
Faire une prise de sang, rechercher l’ADN tumorales circulant, rechercher des anomalies génétiques circulant lié au cancer
Bilan d’extension définition
l’ensemble des examens permettant de déterminer le stade d’une tumeur maligne. Le but du bilan d’extension est de déterminer le traitement le plus approprié.
Les 2 meilleurs outils du bilan d’extension
PET CT scan ou RMN cérébraux
Biopsie tissulaire limitations
Pas toujours possible, hétérogénéité tumoral, lésion évolutive, accessibilité de la lésion
Biopsie liquide limitation
Test peu sensible
Risque de faut négatif donc faire une biopsie tissulaire
Toutes les tumeurs ne génère pas assez d’ADN pour être détecté dans le plasma
Bilan d opérabilité
Épreuves fonctionnelles respiratoire
ergo spirométrie
Bilan cardiaque
Statut TNM utilité
Donne le bilan de résecabilité
T : taille de la tumeur
N : envahissement ganglion lymphatique
M : présence ou absence de métastase
cTNM pTNM différence
cTNM : stade clinique avant tout traitements
pTNM : stade pathologique après un traitement chirurgical
Traitement des cancers non à petites cellules
Cancer peu chimio sensible , traité par résection chirurgicale
Traitement des cancers à petites cellules
Cancer étendu agressif À progression rapide, considéré comme métastatique avec envahissement médiastinal et/ou extra thoracique
Syndrome Paranéoplasique fréquent
Très chimio sensible et radio sensible
Association de référence : cisplatine-étoposide (pb : développement de chimio résistance)
Stade des cancers non à petites cellules
Stade 1 : chirurgie ou radiothérapie curative
Stade 2 : chirurgie ou radiothérapie curative
Stade 3A : chimio radiothérapie d’induction et si ça répond bien chirurgie
Stade 3B : inopérable, traité par chimio radiothérapie
Stade 4 : inopérable, chimiothérapie
E2 chimiothérapie
Traitement toxique donc on fait trois cure puis un bilan
Effets secondaires : vomissement, alopécie, toxicité hématologique, polynévrite, toxicité rénale
Cisplatine définition
complexe à base de platine utilisé dans le traitement de différents cancers tels les sarcomes, carcinomes, lymphomes.
Mutation Activatrice dans le développement de cancer
Mutation des récepteurs ALK et EGFR
Mutation la plus fréquente des cancers non à petites cellules
Mutation de EGFR
–> activation du domaine codant pour la tyrosine kinases conduisant à prolifération, métastase, angiogenèse, inhibition de l’apoptose
Traitement des mutations
EGFR tyrosine kinase inhibitors entre en compétition avec l’ATP pour la liaison avec le domaine tyrosine kinases de EGFR
Ceci empêche la phosphorylation de la tyrosine kinases, empêche la voie de signalisation et donc empêche la prolifération cancéreuse
Comment la cellule tumorale inhibe l’immunité cellulaire
Le lymphocyte T présente un récepteur PD1 qui reconnaît PDL1 développé par la cellule tumorale
Immunothérapie explication
Développement d’anticorps antiPD1/PDL1 pour empêcher la down regulation de l’activité cytotoxiques des lymphocytes T
Prolifération de lymphocyte T
Augmentation de la production des cytokine
Augmentation de l’activité cytolytique
Activité antitumorale
Effet secondaire des thérapies ciblées (EGFR tyrosine kinase inhibitors)
Toxicité cutanée rash acnéiforme
Troubles digestifs diarrhée, altération des tests hépatiques
Pneumopathie interstitielle (rare)
Effet secondaire de l’immunothérapie
Manifestation auto-immune
Cutanée, gastro intestinale, endocrinienne, pulmonaire
Choix du traitement des cancer bronchique non à petites cellules
Recherche de mutation via la biologie moléculaire
Si EGFR + ====> TKI (inhibiteur tyrosine kinase)
Si EGFR -
====> Si PDL1 < à 50 % : chimiothérapie
====> Si PDL1 > à 50 % : immunothérapie
Dépistage du cancer bronchique méthode
CT Scan À faible dose ( tomodensitométrie faiblement irradiante)
Diagnostic histologique des nodules
Approche non chirurgicale du nodule pulmonaire
Ponction transthoracique sous contrôle CT (pneumothorax fréquent)
Approche endoscopique du nodule pulmonaire
Photodétection (auto fluorescence Rouge et verte)
Radio , chimio et immunothérapie différences
CHIMIO Des agents chimiques sont injectés par voie intraveineuse pour éliminer ou freiner la croissance des cellules cancéreuses. Désormais, certains traitements sont pris par voie orale pour améliorer le confort du patient.
IMMUNO Renforcer et stimuler le système immunitaire du patient en utilisant ses propres défenses pour éliminer les cellules cancéreuses. Ce traitement par perfusion en intraveineuse se révèle surtout efficace sur certains cancers (mélanome, poumon, vessie, bouche, gorge, lymphome).
RADIO Des rayons ciblent une tumeur pour détruire ou endommager les cellules cancéreuses. Cette solution est souvent utilisée comme traitement adjuvant, en complément de la chirurgie, mais aussi parfois comme traitement principal.