C4 métho - Les critères de choix d’une méthodologie appropriée à une question de recherche Flashcards

1
Q
  1. Quel type de recherche vise à décrire des expériences individuelles en termes phénoménologiques ?
A

Recherche phénoménologique

« La recherche phénoménologique : Étude qui vise à décrire des expériences individuelles (un individu ou des groupes d’individus) en termes phénoménologiques, soit exactement de la façon dont les personnes en cause la vivent. »

(C4, p. 1)

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2
Q
  1. Quelle méthode de recherche est une étude descriptive et interprétative de la culture d’un groupe d’individus ?

A. Recherche phénoménologique

B. Étude de cas

C. Recherche ethnographique

D. Étude corrélationnelle

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

C. Recherche ethnographique

« La recherche ethnographique : est l’étude descriptive et interprétative de la culture d’un groupe d’individus. »

(C4, p. 1)

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3
Q
  1. Quelle méthode consiste en une description et une analyse exhaustive d’une simple unité d’étude ?

A. Recherche phénoménologique

B. Étude de cas

C. Recherche ethnographique

D. Étude corrélationnelle

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

B. Étude de cas

« L’étude de cas : consiste en une description et une analyse exhaustive d’une simple unité d’étude3. L’unité d’étude peut être un individu, un groupe ou un événement. »

(C4, p. 1)

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4
Q
  1. Quelle méthode de recherche collecte des données quantitatives pour décrire des variables d’intérêt ?

A. Recherche phénoménologique

B. Étude de cas

C. Recherche ethnographique

D. Recherches quantitatives non-expérimentales

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

D. Recherches quantitatives non-expérimentales

« Les recherches quantitatives non-expérimentales, que nous étudierons succinctement (types de recherches descriptives dans lesquelles on collecte des données quantitatives pour décrire des variables d’intérêt) »

(C4, p. 1)

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5
Q
  1. Quelle méthode de recherche est utilisée lorsque la variable indépendante est difficile à manipuler ?

A. Étude corrélationnelle

B. Étude ex post facto

C. Étude longitudinale

D. Étude transversale

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

B. Étude ex post facto

« On utilise ces études lorsque la variable indépendante est difficile à manipuler (par exemple, suite à une catastrophe naturelle ou un attentat terroriste ou suite à l’implantation d’un programme d’intervention). »

(C4, p. 5)

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6
Q
  1. Quelle méthode de recherche consiste à examiner une ou plusieurs cohortes en rapport avec des phénomènes présents à un moment donné ?

A. Étude longitudinale

B. Étude transversale

C. Étude de cas

D. Recherche ethnographique

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

B. Étude transversale

« L’étude transversale consiste à examiner une ou plusieurs cohortes en rapport avec des phénomènes présents à un moment donné. »

(C4, p. 6)

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7
Q
  1. Quelle méthode de recherche est préférable pour annuler l’effet de cohorte ?

A. Étude longitudinale

B. Étude transversale

C. Étude séquentielle de cohorte

D. Recherche ethnographique

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

A. Étude longitudinale

« L’étude longitudinale est préférable à l’étude transversale, car elle annule l’effet de cohorte. »

(C4, p. 6)

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8
Q

À réviser

  1. Quelle méthode de recherche est une étude descriptive qui décrit les caractéristiques d’un échantillon simple ?

A. Étude longitudinale

B. Étude transversale

C. Étude de cas

D. Recherche ethnographique

E. Observation naturelle

F. Aucune de ces réponses

A

E. Observation naturelle

« L’observation naturelle peut être nécessaire lorsque le sujet d’étude ne peut faire l’objet d’une étude expérimentale. Est une étude descriptive qui décrit les caractéristiques d’un échantillon simple. »

(C4, p. 7)

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9
Q
  1. Dans les études corrélationnelles, les variables sont-elles manipulées ?

A. Oui

B. Non

C. Parfois

D. Seulement dans certaines conditions

E. Cela dépend de l’étude

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Dans les études corrélationnelles, les variables ne sont pas manipulées, comme dans les études expérimentales ou quasi-expérimentales, mais seulement observées, ce qui fait que la corrélation n’implique pas nécessairement la causalité. »

(C4, p. 2)

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10
Q
  1. Pourquoi ne peut-on pas utiliser une étude expérimentale et doit-on recourir à une étude corrélationnelle ?

A. Parce que la variable indépendante ne peut être manipulée

B. Parce que c’est trop long

C. Parce que c’est contraire à l’éthique

D. Parce que la méthode expérimentale peut être trop artificielle

E. Parce que c’est trop risqué

F. Aucune de ces réponses

A

A, C, D

« On utilise cependant couramment [les] études [corrélationnelles] pour plusieurs raisons : par exemple, on ne peut utiliser une étude expérimentale pour des raisons déontologiques (comme dans les études sur le tabac), la variable indépendante ne peut être manipulée (par exemple, l’âge), la méthode expérimentale peut être trop artificielle et menace la validité externe. »

(C4, p. 2)

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11
Q
  1. Quel est le coefficient de corrélation le plus utilisé ?

A. Coefficient de Spearman

B. Coefficient de Kendall

C. Coefficient de Pearson

D. Coefficient de Gamma

E. Coefficient de Somers

F. Aucune de ces réponses

A

C

« On peut quantifier la force de la relation entre deux variables à l’aide d’un coefficient de corrélation (qui va de –1 à +1)3. Ce coefficient r représente la moyenne des produits des scores standards de chacune des deux mesures4. Le plus utilisé est certainement le coefficient de corrélation de Pearson. »

(C4, p. 2)

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12
Q
  1. Quelle est la principale limitation des études corrélationnelles ?

A. Elles sont coûteuses

B. Elles sont longues

C. Elles ne permettent pas de déterminer la causalité

D. Elles sont compliquées

E. Elles sont risquées

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Dans les études corrélationnelles, les variables ne sont pas manipulées, comme dans les études expérimentales ou quasi-expérimentales, mais seulement observées, ce qui fait que la corrélation n’implique pas nécessairement la causalité. »

(C4, p. 2)

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13
Q
  1. Pourquoi la méthode expérimentale peut-elle menacer la validité externe ?

A. Parce qu’elle est trop coûteuse

B. Parce qu’elle est trop longue

C. Parce qu’elle est trop artificielle

D. Parce qu’elle est trop compliquée

E. Parce qu’elle est trop risquée

F. Aucune de ces réponses

A

C

« On utilise cependant couramment ces études pour plusieurs raisons : par exemple, on ne peut utiliser une étude expérimentale pour des raisons déontologiques (comme dans les études sur le tabac), la variable indépendante ne peut être manipulée (par exemple, l’âge), la méthode expérimentale peut être trop artificielle et menace la validité externe. »

(C4, p. 2)

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14
Q
  1. Quelle est la plage de valeurs du coefficient de corrélation ?

A. 0 à 1

B. -1 à 0

C. -1 à +1

D. 0 à +1

E. -2 à +2

F. Aucune de ces réponses

A

C

« On peut quantifier la force de la relation entre deux variables à l’aide d’un coefficient de corrélation (qui va de –1 à +1). »

(C4, p. 2)

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15
Q
  1. Que représente le coefficient r dans une étude corrélationnelle ?

A. La moyenne des scores

B. La somme des scores

C. La moyenne des produits des scores standards

D. La somme des produits des scores standards

E. La différence des scores

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Ce coefficient r représente la moyenne des produits des scores standards de chacune des deux mesures. »

(C4, p. 2)

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16
Q
  1. Quelle est la forme la plus simple d’une étude corrélationnelle ?

A. Mesurer une variable par questionnaire

B. Mesurer deux variables par questionnaire ou entrevue

C. Mesurer deux variables par observation

D. Mesurer l’incidence d’une variable dans une situation précise

E. Mesurer deux variables par observation et évaluer le niveau de relation qui existe entre elles

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Dans sa forme la plus simple, l’étude corrélationnelle consiste à mesurer deux variables (par observation) et à évaluer le niveau de relation qui existe entre elles. »

(C4, p. 2)

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17
Q
  1. Quel est l’objectif premier de la corrélation ?

A. Déterminer la causalité

B. Quantifier la relation entre deux ou plusieurs mesures

C. Manipuler les variables

D. Contrôler les variables parasites

E. Décrire les expériences individuelles

F. Aucune de ces réponses

A

B

« L’objectif premier de la corrélation est de quantifier la relation entre deux ou plusieurs mesures, c’est-à-dire de mesurer à quel point des mesures varient simultanément (étude de type descriptif ou exploratoire). Est-ce que l’individu qui obtient un score élevé à la mesure X, obtient également un score élevé à la mesure Y (relation directe)? ou obtient un score faible à la mesure Y (relation inverse)? ou encore obtient n’importe quel score à la mesure Y (aucune relation)? » (C4, p. 3)

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18
Q
  1. Quelles sont les raisons pour lesquelles la corrélation n’implique pas nécessairement la causalité suspectée ?

A. La corrélation peut résulter d’une autre relation de cause à effet

B. La corrélation peut être due à une cause commune

C. La corrélation peut être attribuable à une relation fortuite

D. La corrélation manipule les variables

E. La corrélation est une méthode qualitative

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Il est important de noter que la corrélation n’implique pas nécessairement la causalité. En fait, la corrélation entre deux variables peut être attribuable:

1- À une relation de cause à effet (par exemple: un coup de marteau sur le pouce cause de la douleur);

2- À une cause commune (par exemple: la chaleur fait augmenter le nombre de noyades et la vente de crème glacée au Québec);

3- À une relation fortuite (fausse corrélation) (par exemple, votre réussite à un examen et votre âge). » (C4, p. 3)

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19
Q
  1. Quelle méthode est utilisée pour quantifier la force de la relation entre deux variables dans une étude corrélationnelle ?

A. Coefficient de corrélation

B. Analyse factorielle

C. Régression multiple

D. Étude longitudinale

E. Étude de cas

F. Aucune de ces réponses

A

A

« On peut quantifier la force de la relation entre deux variables à l’aide d’un coefficient de corrélation (qui va de –1 à +1). Ce coefficient r représente la moyenne des produits des scores standards de chacune des deux mesures. Le plus utilisé est certainement le coefficient de corrélation de Pearson. » (C4, p. 3)

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20
Q
  1. Quelle est une des conditions nécessaires pour établir la causalité ?

A. La cause doit précéder l’effet

B. La cause et l’effet doivent être simultanés

C. La cause doit suivre l’effet

D. La cause doit être manipulée

E. Les variables parasites doivent être contrôlées

F. Aucune de ces réponses

A

A

E

« Pour qu’il y ait causalité, il faut que la cause produise l’effet et qu’il n’y ait pas d’effet en son absence, que la cause précède l’effet et que n’interviennent pas de variables parasites. » (C4, p. 3)

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21
Q
  1. Quelle est une des méthodes pour contrôler les variables parasites dans une étude corrélationnelle ?

A. Corrélation partielle

B. Étude de cas

C. Observation naturelle

D. Étude ethnographique

E. Étude phénoménologique

F. Aucune de ces réponses

A

A

« On peut tenter de contrôler les effets des variables parasites, en les contrôlant de façon statistique par une technique de covariation telle la corrélation partielle. » (C4, p. 4)

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22
Q
  1. Quelle est une des limitations de la méthode corrélationnelle ?

A. Ne permet pas un contrôle parfait des variables parasites

B. Ne permet pas de quantifier les relations

C. Ne permet pas de décrire les variables

D. Ne permet pas de collecter des données

E. Ne permet pas d’observer les variables

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Il est important de noter que la méthode corrélationnelle, qui ne fait qu’observer les variables, ne permet pas un contrôle parfait des variables parasites, comme le font les méthodes expérimentale et quasi-expérimentale où l’on manipule les variables et qu’en conséquence, on ne peut jamais être certain de la causalité lorsqu’on utilise cette méthode. » (C4, p. 4)

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23
Q
  1. Dans quel type d’étude la variable indépendante est-elle difficile à manipuler ?

A. Étude ex post facto

B. Étude longitudinale

C. Étude transversale

D. Étude de cas

E. Étude ethnographique

F. Aucune de ces réponses

A

A

« L’étude ex post facto : On utilise ces études lorsque la variable indépendante est difficile à manipuler (par exemple, suite à une catastrophe naturelle ou un attentat terroriste ou suite à l’implantation d’un programme d’intervention). » (C4, p. 5)

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24
Q
  1. Quelle est une des caractéristiques des études longitudinales ?

A. Étude des mêmes sujets sur une période de temps

B. Étude de sujets différents à un moment donné

C. Étude de cas unique

D. Étude de la culture d’un groupe

E. Étude des expériences individuelles

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Une étude longitudinale consiste dans l’étude d’un ou de plusieurs groupes de sujets par des examens successifs. Lors d’une recherche longitudinale, les données sont obtenues en diverses occasions auprès des mêmes sujets d’une recherche qui s’étend sur une certaine période de temps assez long. » (C4, p. 6)

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25
Q
  1. Quelle est une méthode pour contrôler l’effet temporel dans une étude longitudinale ?

A. Utiliser une étude transversale.

B. Mesurer la cause probable en premier, puis l’effet probable.

C. Utiliser une étude de cas.

D. Mesurer l’effet probable en premier, puis la cause probable.

E. Utiliser une étude ethnographique.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« On peut parfois contrôler l’effet temporel en utilisant une étude longitudinale dite prospective où l’on mesure la cause probable dans un premier temps, puis l’effet probable dans un deuxième temps. Ce qui ne nous met cependant pas à l’abri des variables parasites. »

(C4, p. 4)

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26
Q
  1. Quel est l’objectif secondaire des études corrélationnelles ?

A. Décrire des expériences individuelles.

B. Confirmer des hypothèses ou des modèles théoriques.

C. Étudier la culture d’un groupe.

D. Analyser des données archivées.

E. Étudier des phénomènes naturels.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Les études corrélationnelles peuvent aussi viser un second objectif (étude de type confirmatif) qui consiste à confirmer des hypothèses ou des modèles théoriques ; ce qui augmente la certitude que les variables sont reliées de façon causale. »

(C4, p. 4)

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27
Q
  1. Quelle méthode permet de tester des modèles de relations entre plusieurs variables ?

A. Étude de cas.

B. Étude ethnographique.

C. Régressions multiples inférentielles.

D. Équations structurales.

E. analyses factorielles confirmatoires

F. Aucune de ces réponses.

A

C

D

E

« Ainsi, on peut tester des hypothèses en intégrant les variables parasites à notre plan de recherche puis en utilisant par exemple les régressions multiples inférentielles ou les analyses factorielles confirmatoires. Enfin, on peut tester des modèles de relations entre plusieurs variables en utilisant par exemple les équations structurales. »

(C4, p. 4)

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28
Q
  1. Quelle méthode ne permet pas un contrôle parfait des variables parasites ?

A. Méthode expérimentale.

B. Méthode quasi-expérimentale.

C. Méthode corrélationnelle.

D. Méthode longitudinale.

E. Méthode transversale.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Il est important de noter que la méthode corrélationnelle, qui ne fait qu’observer les variables, ne permet pas un contrôle parfait des variables parasites, comme le font les méthodes expérimentale et quasi-expérimentale où l’on manipule les variables et qu’en conséquence, on ne peut jamais être certain de la causalité lorsqu’on utilise cette méthode. »

(C4, p. 4)

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29
Q
  1. Quelle méthode permet de mesurer la cause probable dans un premier temps, puis l’effet probable dans un deuxième temps ?

A. Étude séquentielle

B. Étude longitudinale dite prospective.

C. Étude ethnographique.

D. Étude transversale.

E. Étude corrélationnelle.

F1. Aucune de ces réponses.

A

B. Étude longitudinale dite prospective.

« On peut parfois contrôler l’effet temporel en utilisant une étude longitudinale dite prospective où l’on mesure la cause probable dans un premier temps, puis l’effet probable dans un deuxième temps. Ce qui ne nous met cependant pas à l’abri des variables parasites. »

(C4, p. 4)

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30
Q
  1. Quelle méthode permet de tester des hypothèses en intégrant les variables parasites ?

A. Analyse des séries temporelles.

B. Régression statistique.

C. Analyses factorielles confirmatoires.

D. Régressions multiples inférentielles.

E. Étude transversale.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Ainsi, on peut tester des hypothèses en intégrant les variables parasites à notre plan de recherche puis en utilisant par exemple les régressions multiples inférentielles ou les analyses factorielles confirmatoires. »

(C4, p. 4)

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31
Q
  1. Quelle méthode est mentionnée comme n’étant jamais certaine de la causalité ?

A. Méthode expérimentale.

B. Méthode quasi-expérimentale.

C. Méthode corrélationnelle.

D. Méthode longitudinale.

E. Méthode transversale.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Il est important de noter que la méthode corrélationnelle, qui ne fait qu’observer les variables, ne permet pas un contrôle parfait des variables parasites, comme le font les méthodes expérimentale et quasi-expérimentale où l’on manipule les variables et qu’en conséquence, on ne peut jamais être certain de la causalité lorsqu’on utilise cette méthode. »

(C4, p. 4)

32
Q
  1. Quand utilise-t-on une étude ex post facto ?

A. Lorsque la variable indépendante est facile à manipuler.

B. Lorsqu’un phénomène s’est produit.

C. Lorsqu’il n’y a pas de variables explicatives.

D. Lorsqu’il n’y a pas de variables de différences individuelles.

E. Lorsque la variable indépendante est difficile à manipuler.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

E

« On utilise ces études lorsque la variable indépendante est difficile à manipuler (par exemple, suite à une catastrophe naturelle ou un attentat terroriste ou suite à l’implantation d’un programme d’intervention). Il s’agit d’une recherche qui s’effectue après qu’un phénomène se soit produit. Elle tente d’isoler et de déterminer l’effet d’une ou plusieurs variables explicatives (qui ne sont pas sous le contrôle de l’expérimentateur) sur une variable à expliquer. »

(C4, p. 5)

33
Q
  1. Quel est l’objectif principal d’une étude ex post facto ?

A. Manipuler la variable indépendante.

B. Contrôler les variables parasites.

C. Déterminer l’effet d’une ou plusieurs variables explicatives.

D. Déterminer l’effet d’une seule variable explicative.

E. Déterminer l’effet des variables de confusion.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Elle tente d’isoler et de déterminer l’effet d’une ou plusieurs variables explicatives (qui ne sont pas sous le contrôle de l’expérimentateur) sur une variable à expliquer. Le chercheur met à l’épreuve un modèle hypothétique afin d’expliquer un phénomène et son mécanisme d’action à partir d’un ensemble de variables définies (qui sont un type de variables). »

(C4, p. 5)

34
Q
  1. Quelles sont les variables définies dans une étude ex post facto ?

A. Variables de différences individuelles.

B. Variables de confusion.

C. Variables parasites.

D. Variables indépendantes.

E. Variables dépendantes.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Ces variables définies sont des variables de différences individuelles, sur lesquelles les individus diffèrent naturellement telles : des traits (intelligence, dépression, extraversion, soumission, anxiété) ; des caractéristiques (grandeur, poids, appartenance ethnique, affiliation politique, couleur des cheveux) ; des expériences vécues (décès d’un être proche, tremblement de terre, avoir gagné à la loterie, divorce, attentat terroriste). »

(C4, p. 5)

35
Q
  1. Comment sélectionne-t-on les groupes de sujets dans une étude ex post facto ?

A. En fonction de la variable indépendante.

B. En fonction de la variable dépendante.

C. En fonction des variables de confusion.

D. En fonction des variables de différences individuelles.

E. En fonction des variables parasites.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Il s’agit de sélectionner deux groupes de sujets ou plus qui diffèrent sur la variable de différence individuelle et de déterminer s’ils se comportent différemment dans une situation commune. »

(C4, p. 5)

36
Q
  1. Quel est un problème avec les études ex post facto ?

A. La répartition des sujets est sous le contrôle de l’expérimentateur.

B. Le groupe expérimental peut différer du groupe contrôle sous d’autres aspects.

C. Il n’y a pas de variables de confusion.

D. Il n’y a pas de variables parasites.

E. Il n’y a pas de variables indépendantes.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Le problème avec ce type d’étude est que la répartition des sujets dans les groupes n’est pas sous le contrôle de l’expérimentateur et que par conséquent, le groupe expérimental peut différer du groupe contrôle sous d’autres aspects que ceux à l’étude (variables de confusion ou parasites). »

(C4, p. 6)

37
Q
  1. Quelle est une caractéristique des variables de différences individuelles ?

A. Elles sont manipulées par l’expérimentateur.

B. Elles sont naturelles.

C. Elles sont des variables parasites.

D. Elles sont des variables de confusion.

E. Elles sont des variables indépendantes.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Ces variables définies sont des variables de différences individuelles, sur lesquelles les individus diffèrent naturellement telles : des traits (intelligence, dépression, extraversion, soumission, anxiété) ; des caractéristiques (grandeur, poids, appartenance ethnique, affiliation politique, couleur des cheveux) ; des expériences vécues (décès d’un être proche, tremblement de terre, avoir gagné à la loterie, divorce, attentat terroriste). »

(C4, p. 5)

38
Q
  1. Quelle est une méthode pour déterminer si les groupes se comportent différemment dans une situation commune ?

A. Sélectionner des groupes en fonction des variables indépendantes.

B. Sélectionner des groupes en fonction des variables dépendantes.

C. Sélectionner des groupes en fonction des variables de confusion.

D. Sélectionner des groupes en fonction des variables de différences individuelles.

E. Sélectionner des groupes en fonction des variables parasites.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Il s’agit de sélectionner deux groupes de sujets ou plus qui diffèrent sur la variable de différence individuelle et de déterminer s’ils se comportent différemment dans une situation commune. »

(C4, p. 5)

39
Q
  1. Quel est un exemple de caractéristique de variable de différence individuelle ?

A. Intelligence.

B. Dépression.

C. Extraversion.

D. Soumission.

E. Anxiété.

F. Aucune de ces réponses.

A

A, B, C, D, E

« Ces variables définies sont des variables de différences individuelles, sur lesquelles les individus diffèrent naturellement telles : des traits (intelligence, dépression, extraversion, soumission, anxiété) ; des caractéristiques (grandeur, poids, appartenance ethnique, affiliation politique, couleur des cheveux) ; des expériences vécues (décès d’un être proche, tremblement de terre, avoir gagné à la loterie, divorce, attentat terroriste). »

(C4, p. 5)

40
Q
  1. Quelle est une conséquence de la répartition des sujets dans les groupes dans une étude ex post facto ?

A. Le groupe expérimental peut différer du groupe contrôle sous d’autres aspects.

B. Le groupe expérimental ne diffère pas du groupe contrôle.

C. Il n’y a pas de variables de confusion.

D. Il n’y a pas de variables parasites.

E. Il n’y a pas de variables indépendantes.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Le problème avec ce type d’étude est que la répartition des sujets dans les groupes n’est pas sous le contrôle de l’expérimentateur et que par conséquent, le groupe expérimental peut différer du groupe contrôle sous d’autres aspects que ceux à l’étude (variables de confusion ou parasites). »

(C4, p. 6)

41
Q
  1. Quelle est la principale différence entre une étude longitudinale et une étude transversale ?

A. La durée de l’étude.

B. Le nombre de sujets.

C. La méthode de collecte des données.

D. Le type de données collectées.

E. La fréquence des examens.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Une étude longitudinale consiste dans l’étude d’un ou de plusieurs groupes de sujets par des examens successifs. Lors d’une recherche longitudinale, les données sont obtenues en diverses occasions auprès des mêmes sujets d’une recherche qui s’étend sur une certaine période de temps assez long. L’étude transversale consiste à examiner une ou plusieurs cohortes en rapport avec des phénomènes présents à un moment donné. » (C4, p. 6)

42
Q

À réviser

  1. Pourquoi l’étude longitudinale est-elle préférable à l’étude transversale ?
A

Elle annule l’effet de cohorte.

« L’étude longitudinale est préférable à l’étude transversale, car elle annule l’effet de cohorte. Par contre, elle exige plus de temps et elle est donc plus chère5. » (C4, p. 7)

43
Q

À réviser

  1. Quel est un inconvénient majeur des études longitudinales ?

A. Elles sont moins précises.

B. Elles sont moins fiables.

C. Elles sont plus coûteuses.

D. Elles sont moins représentatives.

E. Elles sont plus courtes.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« L’étude longitudinale est préférable à l’étude transversale, car elle annule l’effet de cohorte. Par contre, elle exige plus de temps et elle est donc plus chère. » (C4, p. 7)

44
Q

À réviser

  1. Qu’est-ce qu’une étude séquentielle de cohorte ?

A. Une combinaison d’étude longitudinale et transversale.

B. Une étude qui mesure un seul groupe d’âge.

C. Une étude qui ne mesure qu’une seule fois.

D. Une étude qui ne prend pas en compte l’effet de cohorte.

E. Une étude qui est moins coûteuse.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« En conséquence, l’étude séquentielle de cohorte (combinaison d’étude longitudinale et transversale), qui consiste à mesurer à plusieurs reprises un ensemble de groupes d’âge différents, est une alternative aux études longitudinales ou transversales. » (C4, p. 7)

45
Q
  1. Quelle est une caractéristique des études transversales ?

A. Elles examinent des cohortes à un moment donné.

B. Elles nécessitent des examens successifs.

C. Elles sont toujours expérimentales.

D. Elles sont moins coûteuses que les études longitudinales.

E. Elles prennent en compte l’effet de cohorte.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« L’étude transversale consiste à examiner une ou plusieurs cohortes en rapport avec des phénomènes présents à un moment donné. » (C4, p. 6)

46
Q
  1. Quel est un avantage des études longitudinales ?

A. Elles sont moins coûteuses.

B. Elles nécessitent moins de temps.

C. Elles permettent de suivre les mêmes sujets sur une longue période.

D. Elles sont plus faciles à réaliser.

E. Elles ont moins de risques de perte de sujets.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Lors d’une recherche longitudinale, les données sont obtenues en diverses occasions auprès des mêmes sujets d’une recherche qui s’étend sur une certaine période de temps assez long. » (C4, p. 6)

47
Q

À réviser

  1. Quelle est une limitation des études transversales ?

A. Elles nécessitent plus de temps.

B. Elles sont plus coûteuses.

C. Elles ne prennent pas en compte l’effet de cohorte.

D. Elles nécessitent des examens successifs.

E. Elles sont moins fiables.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« L’étude longitudinale est préférable à l’étude transversale, car elle annule l’effet de cohorte. » (C4, p. 7)

48
Q

À réviser

  1. Quel type d’étude est une alternative aux études longitudinales et transversales ?
A

La combinaison des deux

« En conséquence, l’étude séquentielle de cohorte (combinaison d’étude longitudinale et transversale), qui consiste à mesurer à plusieurs reprises un ensemble de groupes d’âge différents, est une alternative aux études longitudinales ou transversales. » (C4, p. 7)

49
Q
  1. Quelle est une caractéristique des études longitudinales ?

A. Elles examinent des cohortes à un moment donné.

B. Elles nécessitent des examens successifs.

C. Elles sont toujours expérimentales.

D. Elles sont moins coûteuses que les études transversales.

E. Elles prennent en compte l’effet de cohorte.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Une étude longitudinale consiste dans l’étude d’un ou de plusieurs groupes de sujets par des examens successifs. » (C4, p. 6)

50
Q

À réviser

  1. Pourquoi l’observation naturelle peut-elle être nécessaire ?

A. Parce qu’elle est plus rapide.

B. Parce qu’elle est moins coûteuse.

C. Parce qu’elle permet de manipuler les variables.

D. Parce que le sujet d’étude ne peut faire l’objet d’une étude expérimentale.

E. Parce qu’elle est plus précise.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« L’observation naturelle peut être nécessaire lorsque le sujet d’étude ne peut faire l’objet d’une étude expérimentale. Est une étude descriptive qui décrit les caractéristiques d’un échantillon simple. Elle comporte l’identification de la situation ou du phénomène, les définitions conceptuelles et opérationnelles ainsi que la description des variables. »

(C4, p. 7)

51
Q

À réviser

  1. Quel est un avantage de l’observation naturelle ?

A. Elle a une forte validité interne.

B. Elle permet de manipuler les variables.

C. Elle a une forte validité externe.

D. Elle est moins coûteuse.

E. Elle est plus rapide.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Ce type d’étude ressemble aux recherches d’archives (analyse de données naturelles déjà existantes dans des bases de données publiques telles MedÉcho, etc.) en ce sens qu’elles ont une forte validité externe, mais une faible validité interne. L’observation naturelle offre cependant l’avantage que c’est l’observateur qui décide ce qu’il observe et comment il l’observe. »

(C4, p. 7)

52
Q

À réviser

  1. Quel est un inconvénient de l’observation naturelle ?

A. Elle a une faible validité externe.

B. Elle a une faible validité interne.

C. Elle est coûteuse.

D. Elle est intrusive.

E. Elle est rapide.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Ce type d’étude ressemble aux recherches d’archives (analyse de données naturelles déjà existantes dans des bases de données publiques telles MedÉcho, etc.) en ce sens qu’elles ont une forte validité externe, mais une faible validité interne. L’observation naturelle offre cependant l’avantage que c’est l’observateur qui décide ce qu’il observe et comment il l’observe. »

(C4, p. 7)

53
Q

À réviser

  1. Comment les données sont-elles recueillies dans une observation naturelle ?

A. De manière intrusive.

B. Par manipulation des variables.

C. De manière non intrusive.

D. Par expérimentation.

E. Par simulation.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« De plus, les données sont ici recueillies de façon non intrusive en rapport avec des comportements qui se produisent naturellement. Ce type d’étude ressemble aux recherches d’archives (analyse de données naturelles déjà existantes dans des bases de données publiques telles MedÉcho, etc.) en ce sens qu’elles ont une forte validité externe, mais une faible validité interne. »

(C4, p. 7)

54
Q

À réviser

  1. Quel est le rôle de l’observateur dans une observation naturelle ?

A. Manipuler les variables.

B. Décider ce qu’il observe et comment il l’observe.

C. Intervenir dans les comportements.

D. Contrôler les variables.

E. Réduire les variables parasites.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« L’observation naturelle offre cependant l’avantage que c’est l’observateur qui décide ce qu’il observe et comment il l’observe. Ce faisant, il peut tenir compte d’un ensemble de variables parasites et ainsi augmenter la validité interne de son étude qui ne sera cependant jamais parfaite, car on ne peut jamais être certain de la causalité lorsqu’on utilise cette méthode. »

(C4, p. 7)

55
Q

À réviser

  1. Quelle méthode partage plusieurs caractéristique de l’observation naturelle ?

A. Étude de cas.

B. Recherche expérimentale.

C. Recherche d’archives.

D. Enquête.

E. Étude longitudinale.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Ce type d’étude ressemble aux recherches d’archives (analyse de données naturelles déjà existantes dans des bases de données publiques telles MedÉcho, etc.) en ce sens qu’elles ont une forte validité externe, mais une faible validité interne. L’observation naturelle offre cependant l’avantage que c’est l’observateur qui décide ce qu’il observe et comment il l’observe. »

(C4, p. 7)

56
Q

À réviser

  1. Pourquoi l’observation naturelle ne permet-elle pas de certifier la causalité ?

A. Parce qu’elle est intrusive.

B. Parce qu’elle est coûteuse.

C. Parce qu’elle ne manipule pas les variables.

D. Parce qu’elle a une forte validité interne.

E. Parce qu’elle est rapide.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« L’observation naturelle offre cependant l’avantage que c’est l’observateur qui décide ce qu’il observe et comment il l’observe5. Ce faisant, il peut tenir compte d’un ensemble de variables parasites et ainsi augmenter la validité interne de son étude qui ne sera cependant jamais parfaite, car on ne peut jamais être certain de la causalité lorsqu’on utilise cette méthode. »

(C4, p. 7)

57
Q

À réviser

  1. Quelle est l’avantage principal de l’entrevue en personne ?

A. Elle est moins coûteuse.

B. Elle permet de rejoindre un grand nombre de personnes.

C. Elle permet d’établir un bon contact initial.

D1. Elle ne nécessite pas de personnes entraînées.

E. Elle a un taux de réponse élevé.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Elle permet d’établir un bon contact initial.

« L’entrevue en personne permet d’établir un bon contact initial avec la personne ce qui facilite la cueillette de données1. Par contre, elle nécessite des personnes entraînées, ce qui augmente le coût de l’étude. » (C4, p. 9)

58
Q

À réviser

  1. Quel est le principal inconvénient du questionnaire expédié par la poste ?

A. Il est coûteux.

B. Il nécessite des personnes entraînées.

C. Il a un taux de réponse limité.

D. Il permet d’établir un bon contact initial.

E1. Il est difficile à administrer.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Il a un taux de réponse limité.

« Le questionnaire expédié par la poste permet de rejoindre un grand nombre de personnes, mais le nombre de personnes retournant les questionnaires complétés est très limité. » (C4, p. 9)

59
Q

À réviser

  1. Quelle est la première étape de la construction d’un questionnaire ?

A. Choisir le mode d’administration.

B. Définir les objectifs de la recherche.

C. Formuler les questions.

D. Déterminer l’ordre de présentation des questions.

E. Choisir le type de questions.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Définir les objectifs de la recherche.

« La première étape de la construction d’un questionnaire consiste d’abord dans la définition des objectifs de la recherche, puis dans la détermination des thèmes et des sous-thèmes qui seront abordés. » (C4, p. 9)

60
Q

À réviser

  1. Que doit-on éviter lors de la rédaction des questions ?

A. Questions pertinentes.

B. Vocabulaire simple.

C. Questions ambiguës.

D. Questions courtes.

E. Questions ouvertes.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Questions ambiguës.

« Les questions doivent être pertinentes, elles doivent être rédigées dans un vocabulaire simple et ne pas être trop longues5. Il faut éviter les questions ambiguës : Questions imprécises ; Adverbes indéfinis ; Mots extrêmes ; Mots ayant différents sens ; Termes trop généraux ; Exemples trop spécifiques ; Doubles questions6. » (C4, p. 9)

61
Q

À réviser

  1. Quel type de mots doit-on éviter dans les questions ?

A. Mots simples.

B. Mots chargés émotivement.

C. Mots techniques.

D. Mots courants.

E. Mots descriptifs.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Mots chargés émotivement.

« Il faut aussi éviter les questions tendancieuses : Mots chargés émotivement ; Mention de figures prestigieuses ; Absence d’une alternative explicite ; Absence d’un contre-argument ; Problème de la désirabilité sociale. » (C4, p. 9)

62
Q

À réviser

  1. Quel est un problème des enquêtes électroniques ?

A. Elles sont coûteuses.

B. Elles ont un biais d’échantillonnage.

C. Elles nécessitent des personnes entraînées.

D. Elles ont un taux de réponse élevé.

E. Elles sont difficiles à administrer.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Elles ont un biais d’échantillonnage.

« Les données de l’enquête peuvent être recueillies classiquement de trois façons (quatre si on inclut les enquêtes électroniques qui posent cependant beaucoup de problèmes de validité surtout en ce qui concerne le biais d’échantillonnage). » (C4, p. 9)

63
Q

À réviser

  1. Quel est un avantage de l’entrevue par téléphone ?

A. Elle permet d’établir un bon contact initial.

B. Elle est la moins coûteuse.

C. Elle a un taux de réponse élevé.

D. Elle nécessite des personnes entraînées.

E. Elle permet de rejoindre un grand nombre de personnes.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Elle est la moins coûteuse.

« L’entrevue par téléphone est la moins coûteuse, mais elle ne permet pas d’établir de contact aussi personnel avec le sujet que lors de l’entrevue en personne. » (C4, p. 9)

64
Q

À réviser

  1. Quelle est une limite de l’entrevue par téléphone ?

A. Elle est coûteuse.

B. Elle permet d’établir un bon contact initial.

C. Elle a un taux de réponse limité.

D. Elle ne permet pas d’établir un contact personnel.

E. Elle nécessite des personnes entraînées.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Elle ne permet pas d’établir un contact personnel.

« L’entrevue par téléphone est la moins coûteuse, mais elle ne permet pas d’établir de contact aussi personnel avec le sujet que lors de l’entrevue en personne. » (C4, p. 9)

65
Q

À réviser

Quel est l’avantage principal de l’enquête ?

A. Elle est rapide à réaliser.

B. Elle permet la collecte de données auprès d’un grand nombre de sujets.

C. Elle est peu coûteuse.

D. Elle ne nécessite pas de préparation.

E. Aucune de ces réponses.

A

B. Elle permet la collecte de données auprès d’un grand nombre de sujets.

(C4, p. 8)

66
Q

À réviser

Qu’est-ce qu’un recensement ?

A. Une méthode de collecte de données par téléphone.

B. Une méthode de collecte de données auprès d’un échantillon représentatif.

C. Une méthode de collecte de données auprès d’une population totale.

D. Une méthode de collecte de données par questionnaire postal.

E. Aucune de ces réponses.

A

C. Une méthode de collecte de données auprès d’une population totale.

(C4, p. 8)

67
Q

À réviser

Quelle est la deuxième étape de la construction d’un questionnaire d’enquête ?

A. La collecte des données.

B. La définition des objectifs de la recherche.

C. Le choix du mode d’administration.

D. L’analyse des résultats.

E. Aucune de ces réponses.

A

C. Le choix du mode d’administration

(C4, p. 8)

68
Q

À réviser

Quel mode d’administration d’un questionnaire est le moins coûteux ?

A. L’entrevue face à face.

B. L’entrevue téléphonique.

C. Le questionnaire postal.

D. L’enquête électronique.

E. Aucune de ces réponses.

A

B. L’entrevue téléphonique.

(C4, p. 8)

69
Q

À réviser

Quel est un inconvénient majeur de l’entrevue téléphonique ?

A. Elle est coûteuse.

B. Elle ne permet pas d’établir un contact personnel.

C. Elle est difficile à organiser.

D. Elle prend beaucoup de temps.

E. Aucune de ces réponses.

A

B. Elle ne permet pas d’établir un contact personnel.

(C4, p. 8)

70
Q

À réviser

Combien de façons classiques y a-t-il pour recueillir les données d’une enquête ?

A. Une.

B. Deux.

C. Trois.

D. Quatre.

E. Aucune de ces réponses.

A

C. Trois.

« La deuxième étape de la construction du questionnaire consiste dans le choix du mode d’administration. Les données de l’enquête peuvent être recueillies classiquement de trois façons […] : par une entrevue face à face, par une entrevue téléphonique ou par un questionnaire expédié par la poste.

(C4, p. 8)

71
Q

À réviser

Quel problème majeur posent les enquêtes électroniques ?

A. Elles sont coûteuses.

B. Elles prennent beaucoup de temps.

C. Elles posent des problèmes de validité.

D. Elles nécessitent beaucoup de personnel.

E. Aucune de ces réponses.

A

C. Elles posent des problèmes de validité.

(C4, p. 8)

72
Q

À réviser

Quelle méthode de collecte de données permet d’assurer le caractère représentatif de la population donnée ?

A. Le recensement.

B. Le sondage.

C. L’enquête scientifique.

D. Toutes les réponses ci-dessus.

E. Aucune de ces réponses.

A

« L’enquête a l’avantage de permettre la collecte de données auprès d’un grand nombre de sujets (recensement et sondage) ou auprès de groupes plus restreints (enquête scientifique, par exemple en psychologie), tout en assurant du caractère représentatif de la population donnée. »

D. Toutes les réponses ci-dessus.

(C4, p. 8)

73
Q

Quelles sous-méthodes l’enquête englobe-t-elle ?

A

Le recensement
Le sondage
L’enquête scientifique

« L’enquête a l’avantage de permettre la collecte de données auprès d’un grand nombre de sujets (recensement et sondage) ou auprès de groupes plus restreints (enquête scientifique, par exemple en psychologie), tout en assurant du caractère représentatif de la population donnée. »

(C4, p. 8)

74
Q

Quelles sont les 3 étapes de la construction d’un questionnaire ?

A
  1. Détermination des objetifs de la recherches
  2. Choisir un mode d’administration
  3. Choisir le type de questions, leur nombre, les formuler et choisir leur ordre de présentation.

« La première étape de la construction d’un questionnaire consiste d’abord dans la définition des objectifs de la recherche, puis dans la détermination des thèmes et des sous-thèmes qui seront abordés.

La deuxième étape de la construction du questionnaire consiste dans le choix du mode d’administration. […]

La troisième étape de la construction du questionnaire consiste à choisir le type (ouvertes et/ou fermées) et le nombre de questions, à formuler les questions, puis à déterminer leur ordre de présentation. »

(C4, p. 8-9)

75
Q

Lister les méthodes de recherche non-expérimentales (5)

A

L’étude corrélationnelle
L’étude ex post facto
Les études longitudinales et transversales
L’observation naturelle
L’enquête