C2 métho - Les étapes d'une recherche scientifique Flashcards

1
Q
  1. Quelle est la première étape d’une recherche scientifique ?

A. Formulation des hypothèses

B. Détermination du problème de recherche

C. Recension de la littérature

D. Analyse des résultats

E. Collecte de données

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Détermination du problème de recherche

Question que l’on se pose et qui doit apporter quelque chose à quelqu’un et ce quelque chose doit être relativement nouveau. Cependant, on n’écrit pas le problème de recherche dans le rapport de recherche, en tant que question que l’on se pose, mais en tant que problématique pour quelqu’un (constitue le début de l’introduction). »

(C2, p. 1)

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2
Q
  1. Quelle méthode peut être utilisée en équipe pour générer des idées lors de la détermination du problème de recherche ?

A. Brainstorming

B. Lecture approfondie

C. Analyse statistique

D. Expérimentation

E. Observation

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Si on travaille en équipe, on peut employer par exemple le brainstorming. Si on travaille seul, on peut employer différents moyens. »

(C2, p. 2)

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3
Q
  1. Quelle est la fonction des hypothèses générales dans une recherche ?

A. Vérifier les résultats

B. Guider une réflexion plus approfondie

C. Collecter des données

D. Analyser les résultats

E. Publier les conclusions

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Les hypothèses générales sont des hypothèses de travail qui serviront entre autres à guider une réflexion plus approfondie, à orienter les lectures et à procéder à certains choix concernant les objectifs et les méthodes de recherche. »

(C2, p. )

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4
Q
  1. Quelle est une qualité essentielle des hypothèses de recherche ?

A. Subjectivité

B. Précision

C. Ambiguïté

D. Flexibilité

E. Simplicité

F. Aucune de ces réponses

A

B

« C’est à dire précises. Doivent inclure ce qu’il faut mettre en place concrètement pour effectuer la recherche. »

(C2, p. )

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5
Q
  1. Quelle est la méthode de contrôle des variables parasites ?

A. Élimination de la VP

B. Manipulation de la VI

C. Mesure de la VD

D. Utilisation de variables médiatrices

E. Utilisation de variables modératrices

F. Covariation statistique

A

A

F

« On tient compte des effets de la VP grâce à notre plan de recherche, ou on neutralise les effets de la VP par élimination de la VP ou par covariation statistiques. »

(C2, p. 5)

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6
Q

À réviser

  1. Quelle est la différence entre une variable indépendante et une variable dépendante ?

A. Aucune différence

B. La VD est manipulée, la VI est mesurée

C. Les deux sont manipulées

D. Les deux sont mesurées

E. La VI est manipulée, la VD est mesurée

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Variable indépendante : Condition qui est manipulée afin d’en observer les effets.

Variable dépendante : Mesure de l’effet d’une variable indépendante. »

(C2, p. 4)

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7
Q
  1. Quelle est la première étape de la méthodologie dans un rapport de recherche ?

A. Description des participants

B. Collecte de données

C. Analyse des résultats

D. Formulation des hypothèses

E1. Recension de la littérature

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Description de la taille de l’échantillon et sa composition. Il faut aussi justifier ces choix. »

(C2, p. 9)

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8
Q
  1. Quels moyens peut-on employer si on travaille seul pour jouer avec les idées ?

A1. Construisant des métaphores

B2. Travaillant de façon graphique

C3. Changeant les données du problème

D4. Considérer le problème de manière plus élargie

E. Clarifier et systématiser le cadre conceptuel

F. Aucune de ces réponses

A

A, B, C

« Si on travaille seul, on peut employer différents moyens :

1- On peut jouer avec les idées en :

- Construisant des métaphores

  • Travaillant de façon graphique
  • Changeant les données du problème

2- Considérer le problème de manière plus élargie »

(C2, p. 2)

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9
Q
  1. Comment peut-on considérer la problématique de recherche de manière plus élargie ?

A. En construisant des métaphores

B. En travaillant de façon graphique

C. En changeant les données du problème

D. En posant le problème dans différentes cultures et/ou époques

E. En clarifiant et systématisant le cadre conceptuel

F. Aucune de ces réponses

A

D

« 1- On peut jouer avec les idées en :

  • Construisant des métaphores
  • Travaillant de façon graphique
  • Changeant les données du problème

2- Considérer le problème de manière plus élargie (poser le problème dans différentes cultures et/ou époques)

3- Travailler sur les postulats du problème en faisant ressortir les postulats implicites ou en posant des postulats contraires »

(C2, p. 2)

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10
Q
  1. Que signifie travailler sur les postulats du problème ?

A. Construire des métaphores

B. Travailler de façon graphique

C. Changer les données du problème

D. Poser le problème dans différentes cultures et/ou époques

E. Faire ressortir les postulats implicites ou poser des postulats contraires

F. Aucune de ces réponses

A

E

« 2- Considérer le problème de manière plus élargie (poser le problème dans différentes cultures et/ou époques)

3- Travailler sur les postulats du problème en faisant ressortir les postulats implicites ou en posant des postulats contraires

4- Clarifier et systématiser le cadre conceptuel en faisant ressortir les idées clés et en faisant une synthèse »

(C2, p. 2)

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11
Q
  1. Quel est l’objectif de clarifier et systématiser le cadre conceptuel ?

A. Construire des métaphores

B. Travailler de façon graphique

C3. Changer les données du problème

D4. Poser le problème dans différentes cultures et/ou époques

E5. Faire ressortir les idées clés et faire une synthèse

F. Aucune de ces réponses

A

E

« 3- Travailler sur les postulats du problème en faisant ressortir les postulats implicites ou en posant des postulats contraires

4- Clarifier et systématiser le cadre conceptuel en faisant ressortir les idées clés et en faisant une synthèse

»

(C2, p. 2)

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12
Q
  1. Quels sont les moyens de jouer avec les idées ?

A. Construire des métaphores

B. Travailler de façon graphique

C3. Changer les données du problème

D4. Poser le problème dans différentes cultures et/ou époques

E5. Faire ressortir les postulats implicites

F. Aucune de ces réponses

A

A, B, C

« Si on travaille seul, on peut employer différents moyens :

1- On peut jouer avec les idées en :

  • Construisant des métaphores
  • Travaillant de façon graphique
  • Changeant les données du problème

2- Considérer le problème de manière plus élargie »

(C2, p. 2)

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13
Q

À réviser

Pourquoi est-il important de faire une revue de la littérature ?

A. Pour connaître les variables parasites

B. Pour poser des hypothèses de recherche

C. Pour savoir ce qui a été trouvé sur notre sujet

D. Pour rédiger le contexte théorique

E. Pour faire le tour de la question

F. Toutes ces réponses

A

F

« Faire vraiment le tour de la question en sachant tout ce qui a été trouvé sur notre sujet de recherche, par les autres chercheurs partout dans le monde et depuis tout temps. De plus, la recension de la littérature nous permet de connaître les variables parasites (de confusion) qui peuvent fausser nos résultats […] D’autre part, cela nous permet de pouvoir parfois poser des hypothèses de recherche (recherches expérimentales et quasi-expérimentales) ou des objectifs de recherche (recherches non expérimentales). »

(C2, p. 3)

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14
Q

À réviser

  1. Quelle méthode est utilisée pour rédiger la recension de la littérature ?
A

Méthode de l’entonnoir

« La recension de la littérature donne lieu à la rédaction du contexte théorique (pour les thèses) ou Introduction (pour les articles) dans le rapport de recherche. Pour ce faire, on rédige en partant à la fois de l’ancien au récent et du général au particulier. »

(C2, p. 3)

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15
Q

À réviser

  1. Quelle est la conséquence de la recension de la littérature pour les thèses ?

A. Rédaction du contexte théorique

B. Rédaction de l’introduction

C. Rédaction de la conclusion

D. Rédaction de la méthodologie

E. Rédaction des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

A

« La recension de la littérature donne lieu à la rédaction du contexte théorique (pour les thèses) ou Introduction (pour les articles) dans le rapport de recherche. »

(C2, p. 3)

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16
Q

À réviser

  1. Quelle est la conséquence de la recension de la littérature pour les articles ?

A. Rédaction du contexte théorique

B. Rédaction de l’introduction

C. Rédaction de la conclusion

D. Rédaction de la méthodologie

E. Rédaction des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

B

« La recension de la littérature donne lieu à la rédaction du contexte théorique (pour les thèses) ou Introduction (pour les articles) dans le rapport de recherche. »

(C2, p. 3)

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17
Q
  1. Quelle est la structure de rédaction recommandée pour la recension de la littérature ?

A. Du récent à l’ancien

B. Du particulier au général

C. De l’ancien au récent

D. Du général au particulier

E. A et D

F. Aucune de ces réponses

A

C.

D.

« La recension de la littérature donne lieu à la rédaction du contexte théorique (pour les thèses) ou Introduction (pour les articles) dans le rapport de recherche. Pour ce faire, on rédige en partant à la fois de l’ancien au récent et du général au particulier. »

(C2, p. 3)

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18
Q

À réviser

  1. Quelles recherches peuvent poser des hypothèses de recherche grâce à la recension de la littérature ?

A. Recherches expérimentales

B. Recherches quasi-expérimentales

C. Recherches non expérimentales

D. A et B

E. A et C

F. Aucune de ces réponses

A

D

« De plus, la recension de la littérature nous permet de connaître les variables parasites (de confusion) qui peuvent fausser nos résultats (ce qu’on verra plus loin). D’autre part, cela nous permet de pouvoir parfois poser des hypothèses de recherche (recherches expérimentales et quasi-expérimentales) ou des objectifs de recherche (recherches non expérimentales). »

(C2, p. 3)

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19
Q

À réviser

  1. Quelles recherches peuvent poser des objectifs de recherche grâce à la recension de la littérature ?

A. Recherches expérimentales

B. Recherches quasi-expérimentales

C. Recherches non expérimentales

D. A et B

E. B et C

F. Aucune de ces réponses

A

C

« De plus, la recension de la littérature nous permet de connaître les variables parasites (de confusion) qui peuvent fausser nos résultats (ce qu’on verra plus loin). D’autre part, cela nous permet de pouvoir parfois poser des hypothèses de recherche (recherches expérimentales et quasi-expérimentales) ou des objectifs de recherche (recherches non expérimentales). »

(C2, p. 3)

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20
Q
  1. Quelle est la définition des hypothèses de recherche ?

A. Suppositions déjà vérifiées par la recherche

B. Suppositions qui découlent logiquement du contexte théorique

C. Suppositions qui découlent de l’intoduction

D. Suppositions vérifiables par la recherche

E. Aucune de ces réponses

A

B

C

D

« Suppositions qui découlent logiquement du contexte théorique ou de l’introduction et qui sont par la suite vérifiées (confirmées ou infirmées) par la recherche. Dans les recherches expérimentales et quasi-expérimentales elles sont composées de variables indépendantes et dépendantes. »

(C2, p. 1)

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21
Q
  1. Où sont écrites les hypothèses de recherche dans le rapport ?

A. À la fin du contexte théorique

B. Dans la méthodologie

C. Dans les résultats

D. Dans la conclusion

E. Dans l’abstract

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Hypothèses de recherche (sont écrites dans le rapport à la fin du contexte théorique ou Introduction) »

(C2, p. 1)

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22
Q
  1. Quelles sont les qualités des hypothèses de recherche ?

A. Opérationnelles

B. Rigoureuses

C. Théoriquement fécondes

D. Vérifiables

E. Toutes les réponses ci-dessus

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Qualités :

1- Opérationnelles : C’est à dire précises. Doivent inclurent ce qu’il faut mettre en place concrètement pour effectuer la recherche

2- Rigoureuses : Doivent être cohérentes par rapport à l’ensemble des connaissances (contexte théorique ou introduction)

3- Théoriquement fécondes : Doivent potentiellement pouvoir prolonger le contexte théorique ou l’introduction

4- Vérifiables : Doivent pouvoir être confirmées ou infirmées »

(C2, p. 1)

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23
Q
  1. Que signifie qu’une hypothèse soit opérationnelle ?

A. Elle est cohérente

B. Elle est précise

C. Elle est théoriquement féconde

D. Elle est vérifiable

E. Elle est confirmée

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Qualités :

1- Opérationnelles : C’est à dire précises. Doivent inclurent ce qu’il faut mettre en place concrètement pour effectuer la recherche »

(C2, p. 1)

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24
Q
  1. Que signifie qu’une hypothèse soit rigoureuse ?

A. Elle est précise

B. Elle est cohérente

C. Elle est théoriquement féconde

D. Elle est vérifiable

E. Elle est confirmée

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Qualités :

2- Rigoureuses : Doivent être cohérentes par rapport à l’ensemble des connaissances (contexte théorique ou introduction) »

(C2, p. 1)

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25
Q
  1. Que signifie qu’une hypothèse soit théoriquement féconde ?

A. Elle est précise

B. Elle est cohérente

C. Elle peut prolonger le contexte théorique

D. Elle est vérifiable

E. Elle est confirmée

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Qualités :

3- Théoriquement fécondes : Doivent potentiellement pouvoir prolonger le contexte théorique ou l’introduction »

(C2, p. 1)

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26
Q
  1. Que signifie qu’une hypothèse soit vérifiable ?

A. Elle est précise

B. Elle est cohérente

C. Elle est théoriquement féconde

D. Elle peut être confirmée ou infirmée

E. Elle est confirmée

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Qualités :

4- Vérifiables : Doivent pouvoir être confirmées ou infirmées »

(C2, p. 1)

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27
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable indépendante (VI) ?

A. Condition manipulée pour observer les effets

B. Mesure de l’effet d’une variable

C. Variable qualitative

D. Variable quantitative

E. Variable explicative

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Condition qui est manipulée afin d’en observer les effets (dans les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales). Dans la méthode corrélationnelle ou non-expérimentale on parle plutôt de variable explicative. »

(C2, p.2)

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28
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable dépendante (VD) ?

A. Condition manipulée pour observer les effets

B. Mesure de l’effet d’une variable indépendante

C. Variable qualitative

D. Variable quantitative

E. Variable explicative

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Mesure de l’effet d’une variable indépendante (dans les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales). Dans la méthode corrélationnelle ou non-expérimentale on parle plutôt de variable à expliquer. »

(C2, p. 2)

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29
Q
  1. Quelle échelle de mesure est qualitative ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles égaux

D. De rapport

E. Quantitative

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Discontinue : Nominale ou qualitative, par exemple le sexe des sujets ; Ordinale, qui sont quantitatives, par exemple votre classement à un examen par rapport aux autres étudiants de la classe (1er, 2e, etc.). »

(C2, p. 2)

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30
Q
  1. Quelle échelle de mesure est quantitative et à intervalles égaux ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles

D. De rapport

E. À proportion

F. Aucune de ces réponses

A

C

D

E

« Continue : À intervalles égaux, qui sont quantitatives, par exemple le quotient intellectuel ou les réponses à un questionnaire utilisant une échelle de Likert ; De rapport ou à proportions, sont à intervalles égaux plus un zéro absolu, par exemple l’argent en banque. »

(C2, p. 2)

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31
Q
  1. Quelle méthode permet la réplication et la quantification exacte des variables ?

A. Définition

B. Niveaux

C. Échelles de mesure

D. Opérationnalisation

E. Variables parasites

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Méthode permettant la réplication et la quantification exacte des variables. Trucs pour opérationnaliser les VI (ou les variables explicatives) et les VD (ou les variables à expliquer) : Variable indépendante telle que définie par … Variable dépendante telle que mesurée par… »

(C2, p. 2)

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32
Q
  1. Quelle échelle de mesure inclut un zéro absolu ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles égaux

D. De rapport

E. Qualitative

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Continue : À intervalles égaux, qui sont quantitatives, par exemple le quotient intellectuel ou les réponses à un questionnaire utilisant une échelle de Likert ; De rapport ou à proportions, sont à intervalles égaux plus un zéro absolu, par exemple l’argent en banque. »

(C2, p. 2)

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33
Q
  1. Quelle échelle de mesure est utilisée pour le sexe des sujets ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles égaux

D. De rapport

E. Quantitative

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Discontinue : Nominale ou qualitative, par exemple le sexe des sujets ; Ordinale, qui sont quantitatives, par exemple votre classement à un examen par rapport aux autres étudiants de la classe (1er, 2e, etc.). »

(C2, p. 2)

34
Q
  1. Quelle échelle de mesure est utilisée pour le quotient intellectuel ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles égaux

D. De rapport

E. Qualitative

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Continue : À intervalles égaux, qui sont quantitatives, par exemple le quotient intellectuel ou les réponses à un questionnaire utilisant une échelle de Likert ; De rapport ou à proportions, sont à intervalles égaux plus un zéro absolu, par exemple l’argent en banque. »

(C2, p. 2)

35
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable parasite (VP) ?

A. Une variable qui est manipulée pour observer ses effets.

B. Une variable qui mesure l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI sur la VD.

D1. Une variable qui est utilisée pour neutraliser les effets de la VI.

E. Une variable qui influence la VD via une autre variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Variables parasites (VP) ou de confusion : Variables qui ont un effet concomitant avec la VI sur la VD, et dont il faut contrôler les effets1. Par exemple, au secondaire la consommation de cannabis varie selon le sexe (VE), mais aussi selon le niveau scolaire (VP). »

(C2, p. 5)

36
Q
  1. Quelle est la méthode de contrôle des variables parasites (VP) ?

A. Par manipulation de la VI.

B. Par mesure de la VD.

C. Par élimination de la VP ou par covariation statistiques.

D. Par modification de la VD.

E. Par création de nouvelles variables.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Modalités de contrôle : On tient compte des effets de la VP grâce à notre plan de recherche, ou on neutralise les effets de la VP par élimination de la VP ou par covariation statistiques. »

(C2, p. 5)

37
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable modératrice ?

A. Une variable qui est manipulée pour observer ses effets.

B. Une variable qui mesure l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI sur la VD.

D1. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes pour lesquels l’influence de la VI sur la VD est différente.

E. Une variable qui influence la VD via une autre variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

[Modératrice = Morcelle]

« Variables modératrices : Certaines variables de confusion peuvent parfois morceler la VI en sous-groupes pour lesquels l’influence de la VI sur la VD est différente. »

(C2, p. 6)

38
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable médiatrice ?

A. Une variable qui est manipulée pour observer ses effets.

B. Une variable qui mesure l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI sur la VD.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes pour lesquels l’influence de la VI sur la VD est différente.

E. Une variable qui influence la VD via une autre variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

E

« Variables médiatrices : processus par lequel la VI peut arriver à influencer la VD. Par exemple, les croyances quant aux conséquences de la consommation de cannabis (VI) agissent sur l’intention de consommer ou non du cannabis (VD) via l’attitude face au cannabis (Variable médiatrice). »

(C2, p. 6)

39
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable indépendante (VI) ?

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

« Condition qui est manipulée afin d’en observer les effets (dans les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales)1. Dans la méthode corrélationnelle ou non-expérimentale on parle plutôt de variable explicative. »

(C2, p. 7)

40
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable dépendante (VD) ?

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

« Mesure de l’effet d’une variable indépendante (dans les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales). Dans la méthode corrélationnelle ou non-expérimentale on parle plutôt de variable à expliquer. »

(C2, p. 7)

41
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable parasite (VP) ?

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

« Variables qui ont un effet concomitant avec la VI sur la VD, et dont il faut contrôler les effets. »

(C2, p. 7)

42
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable modératrice ?

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

« Certaines variables de confusion peuvent parfois morceler la VI en sous-groupes pour lesquels l’influence de la VI sur la VD est différente. »

(C2, p. 7)

43
Q
  1. Quelle est la définition d’une variable médiatrice ?

A. Une condition manipulée pour observer ses effets.

B. Une mesure de l’effet d’une variable indépendante.

C. Une variable qui a un effet concomitant avec la VI.

D. Une variable qui morcelle la VI en sous-groupes.

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

F. Aucune de ces réponses.

A

E. Une variable qui influence la VD via un processus.

« Processus par lequel la VI peut arriver à influencer la VD. »

(C2, p. 7)

44
Q
  1. Quelle est l’échelle de mesure mentionnée pour les variables ?

A. Nominale

B. Ordinale

C. À intervalles égaux

D. De rapport

E. De proportion

F. Aucune de ces réponses.

A

D. De rapport

« ÉCHELLE DE MESURE : DE RAPPORT »

(C2, p. 7)

45
Q

Pour qu’il y ait causalité, il faut que la cause produise l’effet et qu’il n’y ait pas d’effet en son absence. Quelle est la deuxième condition nécessaire pour établir la causalité ?

A. Que la cause soit manipulée

B. Que la cause précède l’effet

C. Que la variable dépendante soit mesurée

D. Que les variables parasites soient contrôlées

E. Que la relation soit linéaire

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Pour qu’il y ait causalité (ce que cherche à démontrer les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales), il faut : 1- que la cause produise l’effet et qu’il n’y ait pas d’effet en son absence ; 2- que la cause précède l’effet ; 3- que n’interviennent pas de variables de confusion. »

(C2, p. 8)

46
Q
  1. Les études non-expérimentales peuvent démontrer un lien entre la variable explicative et la variable à expliquer, mais ce lien n’est pas nécessairement causal. Pourquoi ?

A. Parce que la variable explicative n’est pas manipulée

B Parce que la variable dépendante n’est pas mesurée

C. Parce que les variables parasites sont contrôlées

D. Parce que la relation est toujours linéaire

E. Parce que la cause précède l’effet

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Les études non-expérimentales peuvent démontrer un lien entre la variable explicative et la variable à expliquer, mais ce lien n’est pas nécessairement causal, car la variable explicative n’est pas manipulée. En effet, le lien peut être causal, mais il peut aussi être dû au hasard (relation fortuite) parce qu’on ne contrôle jamais le point 1 et qu’on ne contrôle pas toujours le point 2 (sauf dans les études longitudinales prospectives) ou il peut être dû à une cause commune (variable de confusion) parce qu’on ne contrôle pas toujours le point 3 (sauf parfois par des techniques statistiques de covariation telles l’analyse de covariance ou la corrélation partielle). »

(C2, p. 8)

47
Q
  1. Quelle méthode permet de contrôler les variables de confusion dans les études non-expérimentales ?

A. Analyse de covariance

B. Régression linéaire

C. Analyse factorielle

D. Test T

E. ANOVA

F. Corrélation partielle

A

A

« En effet, le lien peut être causal, mais il peut aussi être dû au hasard (relation fortuite) parce qu’on ne contrôle jamais le point 1 et qu’on ne contrôle pas toujours le point 2 (sauf dans les études longitudinales prospectives) ou il peut être dû à une cause commune (variable de confusion) parce qu’on ne contrôle pas toujours le point 3 (sauf parfois par des techniques statistiques de covariation telles l’analyse de covariance ou la corrélation partielle). »

(C2, p. 8)

48
Q
  1. Quelle est une des conditions pour qu’il y ait causalité selon les méthodes expérimentales ?

A. Que la cause produise l’effet

B. Que la cause soit manipulée

C. Que la variable dépendante soit mesurée

D. Que les variables parasites soient contrôlées

E. Que la relation soit linéaire

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Pour qu’il y ait causalité (ce que cherche à démontrer les méthodes expérimentales et quasi-expérimentales), il faut : 1- que la cause produise l’effet et qu’il n’y ait pas d’effet en son absence ; 2- que la cause précède l’effet ; 3- que n’interviennent pas de variables de confusion. »

(C2, p. 8)

49
Q
  1. Pourquoi le lien démontré par les études non-expérimentales n’est-il pas nécessairement causal ?

A. Parce que la variable explicative n’est pas manipulée

B. Parce que la variable dépendante n’est pas mesurée

C. Parce que les variables parasites sont contrôlées

D. Parce que la relation est toujours linéaire

E. Parce que la cause précède l’effet

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Les études non-expérimentales peuvent démontrer un lien entre la variable explicative et la variable à expliquer, mais ce lien n’est pas nécessairement causal, car la variable explicative n’est pas manipulée. En effet, le lien peut être causal, mais il peut aussi être dû au hasard (relation fortuite) parce qu’on ne contrôle jamais le point 1 et qu’on ne contrôle pas toujours le point 2 (sauf dans les études longitudinales prospectives) ou il peut être dû à une cause commune (variable de confusion) parce qu’on ne contrôle pas toujours le point 3 (sauf parfois par des techniques statistiques de covariation telles l’analyse de covariance ou la corrélation partielle). »

(C2, p. 8)

50
Q

À réviser

  1. Quelle est la taille minimale recommandée pour un échantillon par groupe ?

A. 10 participants

B. 20 participants

C. 30 participants

D. 40 participants

E. 50 participants

F. Aucune de ces réponses

A

C. 30 participants

« Il faut tendre vers de grands échantillons (plus de 30 participants par groupe), ce qui permet l’utilisation de tests paramétriques qui sont plus puissants que les tests non-paramétriques. Dans tous les cas, il faut avoir assez de participants pour atteindre 80% de puissance (« 1-erreur bêta de 20%» que nous étudierons plus bas) pour un effet prévu (petit, moyen ou grand) avec le test statistique utilisé pour un plan de recherche donné3. »

(C2, p. 9)

51
Q

À réviser

  1. Quel type d’échantillon est décrit comme étant “au hasard” ?

A. Échantillon empirique

B. Échantillon non probabiliste

C. Échantillon aléatoire

D. Échantillon non aléatoire

E. Échantillon ciblé

F. Aucune de ces réponses

A

C. Échantillon aléatoire

« Échantillon probabiliste ou aléatoire (au hasard) versus non probabiliste ou empirique. » (C2, p. 9)

52
Q

À réviser

  1. Que doit inclure la description du plan de recherche ?

A. La taille de l’échantillon

B. La répartition des groupes de sujets

C. La description du matériel

D. La répartition des traitements

E. La collecte de données

F. Aucune de ces réponses

A

B. La répartition des groupes de sujets

D. La répartition des traitements

« Plan de recherche : Description claire du plan de recherche ainsi que concrétisation de ce plan par la répartition des groupes de sujets, des traitements, etc. » (C2, p. 9)

53
Q

Dans quelle section du rapport de recherche est faite la description du plan de recherche ?

A

Dans la section procédure

54
Q

À réviser

  1. Que doit-on dire au sujet lors de l’introduction au questionnaire ?
A

Les consignes

« Consignes : Ce qu’on dit au sujet, par exemple l’introduction au questionnaire. » (C2, p. 9)

55
Q

À réviser

  1. Quel est l’objectif de la collecte de données ?

A. Décrire le matériel utilisé

B. Décrire le plan de recherche

C. Réaliser la recherche

D. Donner les consignes

E. Décrire les participants

F. Aucune de ces réponses

A

C. Réaliser la recherche

« Collecte de données

C’est l’étape de la recherche en tant que telle. » (C2, p. 9)

56
Q

À réviser

  1. Quelle est la différence entre un échantillon et une population cible ?

A. Un échantillon est plus grand

B. Une population cible est une partie d’un échantillon

C. Un échantillon est une partie d’une population cible

D. Une population cible est aléatoire

E. Un échantillon est empirique

F. Aucune de ces réponses

A

C. Un échantillon est une partie d’une population cible

« Échantillon (partie d’une population cible) versus population cible (ensemble des individus qui nous intéresse). » (C2, p. 9)

57
Q

À réviser

  1. Quel type de tests sont plus puissants avec de grands échantillons ?

A. Tests non-paramétriques

B. Tests descriptifs

C. Tests paramétriques

D. Tests inférentiels

E. Tests qualitatifs

F. Aucune de ces réponses

A

C. Tests paramétriques

« Il faut tendre vers de grands échantillons (plus de 30 participants par groupe), ce qui permet l’utilisation de tests paramétriques qui sont plus puissants que les tests non-paramétriques. » (C2, p. 9)

58
Q

À réviser

  1. Quelle est l’étape de la recherche en tant que telle ?

A1. Analyse des résultats

B. Collecte de données

C. Formulation des hypothèses

D. Recension de la littérature

E. Détermination du problème

F. Aucune de ces réponses

A

B. Collecte de données

« Collecte de données

C’est l’étape de la recherche en tant que telle. »

(C2, p. 9)

59
Q

À réviser

  1. Que comprend l’analyse des résultats ?

A. Description de la taille de l’échantillon

B. Analyses statistiques employées

C. Déroulement de l’expérience

D. Consignes

E. Matériel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Analyses statistiques employées

« Analyse des résultats (Est écrite dans le rapport de recherche)

Analyses statistiques employées »

(C2, p. 9)

60
Q

À réviser

  1. Quelle hypothèse est conservée si p est plus grand que 5% ?

A. Hypothèse alternative H1

B. Hypothèse nulle H0

C. Hypothèse de recherche

D. Hypothèse descriptive

E. Hypothèse inférentielle

F. Aucune de ces réponses

A

B. Hypothèse nulle H0

« Les hypothèses statistiques comprennent l’hypothèse nulle H0 (sur laquelle porte le test statistique et qui est conservée si p est plus grand que 5% ou rejetée si p est plus petit ou égal à 5%) »

(C2, p. 9)

61
Q

À réviser

  1. Quelle hypothèse est confirmée si l’hypothèse nulle est rejetée ?

A. Hypothèse descriptive

B. Hypothèse inférentielle

C. Hypothèse alternative H1

D. Hypothèse de recherche

E. Hypothèse statistique

F. Aucune de ces réponses

A

C. Hypothèse alternative H1

« l’hypothèse alternative H1 (qui correspond à l’hypothèse de recherche qui est confirmée si l’hypothèse nulle est rejetée) »

(C2, p. 9)

62
Q

À réviser

  1. Quelle hypothèse est toujours bidirectionnelle pour les chi-carrés ?

A. Hypothèse nulle H0

B. Hypothèse alternative H1

C. Hypothèse descriptive

D. Hypothèse inférentielle

E. Hypothèse de recherche

F. Aucune de ces réponses

A

B. Hypothèse alternative H1

« l’hypothèse alternative H1 (qui est toujours bidirectionnelle pour chi-carrés « dépendance des variables ») »

(C2, p. 9)

63
Q
  1. Quels facteurs influencent la détermination des tests d’hypothèses statistiques à employer ?

A. Taille de l’échantillon

B. Type d’échelle de mesure de la variable dépendante

C. Normalité de la distribution

D. Plan de recherche

E. Tous les choix précédents

F. Aucune de ces réponses

A

E. Tous les choix précédents

« La détermination des tests d’hypothèses statistiques à employer dépend de plusieurs facteurs tels : la taille de l’échantillon, le type d’échelle de mesure de la variable dépendante, la normalité de la distribution et le plan de recherche »

(C2, p. 10)

64
Q
  1. Quelle méthode est utilisée pour les relations linéaires ?

A. Tests T

B. ANOVA

C. Corrélations

D. Chi-carrés

E. Tests paramétriques

F. Aucune de ces réponses

A

C. Corrélations

« la linéarité des relations pour les corrélations »

(C2, p. 10)

65
Q
  1. Quelle hypothèse est bidirectionnelle pour les tests T et ANOVA ?

A. Hypothèse nulle H0

B. Hypothèse alternative H1

C. Hypothèse descriptive

D. Hypothèse inférentielle

E. Hypothèse de recherche

F. Aucune de ces réponses

A

B. Hypothèse alternative H1

« l’hypothèse alternative H1 (qui est soit bidirectionnelle « différent de » pour tests T et ANOVA) »

(C2, p. 9)

66
Q
  1. Quels sont les deux types d’erreur possibles dans les tests d’hypothèses statistiques ?

A. Erreur de type I et II

B. Erreur de type alpha et bêta

C. Erreur de type I et alpha

D. Erreur de type II et bêta

E. Erreur de type I et bêta

F. Aucune de ces réponses

A

A. Erreur de type I et II

« Il peut toujours y avoir deux types d’erreur, soit l’erreur de type I ou alpha (rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie, maximum 5%) et l’erreur de type II ou bêta (conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse, maximum 20%). »

(C2, p.11)

67
Q

À réviser

  1. Quelle est la signification de l’erreur de type I ?

A. Rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie

B. Conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse

C. Rejeter l’hypothèse alternative lorsqu’elle est vraie

D. Conserver l’hypothèse alternative lorsqu’elle est fausse

E. Rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse

F. Aucune de ces réponses

A

A. Rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie

« Il peut toujours y avoir deux types d’erreur, soit l’erreur de type I ou alpha (rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie, maximum 5%) et l’erreur de type II ou bêta (conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse, maximum 20%). »

(C2, p. 11)

68
Q

À réviser

  1. Quelle est la signification de l’erreur de type II ?

A. Rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie

B. Conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse

C. Rejeter l’hypothèse alternative lorsqu’elle est vraie

D. Conserver l’hypothèse alternative lorsqu’elle est fausse

E. Rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse

F. Aucune de ces réponses

A

B. Conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse

« Il peut toujours y avoir deux types d’erreur, soit l’erreur de type I ou alpha (rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie, maximum 5%) et l’erreur de type II ou bêta (conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse, maximum 20%). »

(C2, p. 11)

69
Q

À réviser

  1. Quelle est la valeur maximale de l’erreur de type I ?

A. 1%

B. 5%

C. 10%

D. 15%

E. 20%

F. Aucune de ces réponses

A

B. 5%

« Il peut toujours y avoir deux types d’erreur, soit l’erreur de type I ou alpha (rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie, maximum 5%) et l’erreur de type II ou bêta (conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse, maximum 20%). »

(C2, p. 11)

70
Q

À réviser

  1. Quelle est la valeur maximale de l’erreur de type II ?

A. 1%

B. 5%

C. 10%

D. 15%

E. 20%

F. Aucune de ces réponses

A

E. 20%

« Il peut toujours y avoir deux types d’erreur, soit l’erreur de type I ou alpha (rejeter l’hypothèse nulle lorsqu’elle est vraie, maximum 5%) et l’erreur de type II ou bêta (conserver l’hypothèse nulle lorsqu’elle est fausse, maximum 20%). »

(C2, p. 11)

71
Q

À réviser

  1. Comment sont souvent représentés les résultats des tests d’hypothèses statistiques ?

A. Sous forme de tableaux

B. Sous forme de graphiques

C. Sous forme de tableaux et graphiques

D. Sous forme de texte

E. Sous forme de diagrammes

F. Aucune de ces réponses

A

C. Sous forme de tableaux et graphiques

« Représentation des résultats sous forme de tableaux (comprenant souvent les nombres, moyennes et écarts-types) ou de graphiques (souvent en bâtons, tartes « camemberts » ou en lignes), mais non les deux pour de mêmes résultats. »

(C2, p. 11)

72
Q

À réviser

  1. Quelle est la signification de p = ,030 ?

A. Probabilité de 3% que l’hypothèse nulle soit vraie

B. Probabilité de 3% que l’hypothèse nulle soit fausse

C. Probabilité de 30% que l’hypothèse nulle soit vraie

D. Probabilité de 30% que l’hypothèse nulle soit fausse

E. Probabilité de 0,3% que l’hypothèse nulle soit vraie

F. Aucune de ces réponses

A

A. Probabilité de 3% que l’hypothèse nulle soit vraie

« Par exemple, F (1,106) = 4,84, p = ,030. »

(C2, p. 11)

73
Q
  1. Que signifie l’interprétation des résultats dans les thèses ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Discussion des résultats

C. Recommandations pour les recherches futures

D. Analyse des données

E. Présentation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Interprétation des résultats (dans les thèses) ou Discussion (dans les articles) (Est écrite dans le rapport) :

On interprète les résultats à la lumière du contexte théorique :

1-Les résultats confirment l’hypothèse en accord avec les conclusions de tel ou tel auteur, ou; »

(C2, p. 12)

74
Q
  1. Quelle est la première étape de l’interprétation des résultats ?

A. Discussion des résultats

B. Confirmation des hypothèses

C. Recommandations pour les recherches futures

D. Analyse des données

E. Présentation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

B

« On interprète les résultats à la lumière du contexte théorique :

1-Les résultats confirment l’hypothèse en accord avec les conclusions de tel ou tel auteur, ou; »

(C2, p. 12)

75
Q
  1. Que fait-on après avoir interprété les résultats ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Discussion des résultats

C. Recommandations pour les recherches futures

D. Analyse des données

E. Présentation des résultats

F3. Aucune de ces réponses

A

B

« Les résultats infirment l’hypothèse en désaccord avec les conclusions de tel ou tel auteur.

On discute ensuite les résultats. »

(C2, p. 12)

76
Q
  1. Quelle est la dernière étape de l’interprétation des résultats ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Discussion des résultats

C. Recommandations pour les recherches futures

D. Analyse des données

E. Présentation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Tentative d’explication des hypothèses infirmées.

Dans tous les cas, on termine par des recommandations pour les recherches futures. »

(C2, p. 12)

77
Q
  1. Que signifie la discussion des résultats ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Recommandations pour les recherches futures

C. Analyse des données

D. Présentation des résultats

E. Discussion du niveau de généralisation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

E

« On discute ensuite les résultats.

1-Discussion du niveau de généralisation des résultats ou; »

(C2, p. 12)

78
Q
  1. Que fait-on si les hypothèses sont partiellement confirmées ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Recommandations pour les recherches futures

C. Analyse des données

D. Tentative d’explication des conclusions nouvelles

E. Présentation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Discussion du niveau de généralisation des résultats ou;

Tentative d’explication des conclusions nouvelles par rapport au contexte théorique (hypothèses partiellement confirmées) ou ; »

(C2, p. 12)

79
Q
  1. Que fait-on si les hypothèses sont infirmées ?

A. Confirmation des hypothèses

B. Recommandations pour les recherches futures

C. Analyse des données

D. Tentative d’explication des conclusions nouvelles

E. Présentation des résultats

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Tentative d’explication des conclusions nouvelles par rapport au contexte théorique (hypothèses partiellement confirmées) ou ;

Tentative d’explication des hypothèses infirmées. »

(C2, p. 12)

80
Q

Puisque les hypothèses générales ne sont pas directement vérifiables, comment pourraient être vérifiées ?

A

Par une diversité de stratégies.