C4- Hommes et suicide Flashcards
Les hommes se suicident ___ que les femmes
plus
Vrai ou faux.
Les hommes utilisent des moyens plus létaux, donc plus violents. Moyen qui a peu de retour possible.
Plus ou moins vrai, parce que oui ils en utilisent plus, mais malheureusement de plus en plus les femmes en utilisent.
ex : armes à feu.
Vrai ou faux.
Les hommes sont plus nombreux à souffrir de troubles mentaux.
Plus ou moins.
Les hommes souffrent aussi de troubles de santé mentale, comme les femmes, mais ils ne sont pas plus nombreux qu’elles.
Vrai ou faux.
Les hommes considèrent de manière plus favorable le suicide.
Vrai
Ça dépend des catégories d’âge.
ex: chez les ados c’est vu comme un signe de courage, chez les
hommes aussi.
Vrai ou faux.
Les hommes sont moins portés à demander de l’aide
Vrai. Souvent ça va être long avant de chercher de l’aide. Vu comme un signe de faiblesse.
Vrai ou faux.
Les hommes bénéficient d’un moins bon soutien social/moral.
Souvent, ils ne sont pas ports à parler de leurs émotions, donc le soutien moral est moins présent chez les hommes en général.
Vrai ou faux.
Les particularités du rôle masculin prédisposent les hommes au suicide.
Code de masculinité :
- particularité du rôle masculin qui prédispose les hommes au suicide. On leur dit qu’ils doivent être forts, supporter la famille, la conjointe, les enfants. Homme pourvoyeur de la famille, l’homme doit être fort, l’homme de pleure pas.
- Tend à s’atténuer, mais dans les anciennes générations non.
- Il y a de plus en plus de femmes qui ont un code de masculinité aussi élevé, donc moins grande recherche d’aide.
Qui sont les hommes les plus à risque?
- Dans la quarantaine.
- Vivant un échec. Surtout si c’est humiliant! (ex: rupture amoureuse, financier ou professionnel)
- Le code de masculinité le plus fort (dépression va à l’encontre du code de masculinité, vu comme une grande faiblesse. Si je suis fort, je n’en parlerai pas, j’irai ne pas consulter. Donc, beaucoup de sous-diagnostic : minimise tellement les sx que le médecin ne se rend pas compte qu’il est en dépression, ou bien ne va juste pas consulter !)
La souffrance des hommes peut s’exprimer autrement que chez les femmes. Comment?
• Agressivité, colère.
- Être plus impulsif, irritable, colérique dans le comportement.
• Surinvestissement dans le travail, le sport.
- Ce sont les mécanismes d’adaptation qu’ils connaissent.
• Augmentation d’activités à risque.
• Début ou augmentation de consommation.
- Alcool ou drogues, médicaments.
Souvent, la façon dont les hommes expriment leur souffrance va entrainer un manque d’______ de l’entourage. Les gens vont s’_______
plutôt que de leur tendre la main. Les gens sont en désaccord avec la __________ par exemple.
empathie
éloigner
consommation
La recherche d’aide chez les hommes:
- n’est pas toujours facile
- pas toujours bien accueillis (ex: ?)
- Dédales des services et des contraintes des services (ex: ?)
- Hommes plus besoin d’être accompagnés ou supportés dans les démarches.
ex: si un homme s’exprime par beaucoup de colère, ce n’est pas toujours bien accueilli. Le réseau
psychosocial est souvent fait d’intervenantes femmes, donc au début on a le goût de le retourner de
bord !
ex: Au Québec en ce moment, pas facile d’obtenir du soutien. Pour un homme, dès qu’il y a une petite contrainte ou un échec, c’est bien possible qu’il abandonne la recherche d’aide.
Les hommes vont soulager leur souffrance autrement pour l’oublier. Donner des exemples.
Alcool, moyen extérieur, travail, activité sexuelle fréquente et à risque
Réseau de soutien:
• Facteur important de ________, si on a des relations ___________ avec famille, amis, etc.
• Définition : «Ensemble des relations sociales ________ sur lesquelles on peut compter en cas de besoin et qui
offrent un lien _____/_________ à un groupe social».
- protection, satisfaisantes
* disponibles, stable/satisfaisant
Le réseau de soutien des hommes et des femmes est différent.
Nommer les différences.
Hommes;
• Presque que des hommes.
• Milieu de travail (amis, collègues)
• Intra générationnel (pas tendance à appeler leur mère)
• Relations de type «professionnelle». Moins tendance à parler de leur vécu.
• Importance de connaitre quelqu’un qui connait quelqu’un. Se faire référer quelqu’un.
• Hommes ont comme «amie» et «confidente» plus leur conjointe. Si on vit une rupture, on la perd.
Femmes;
• Composé de femmes. Amies, mère, etc.
• Intergénérationnel. Vont appeler leur mère et grand-mère pour avoir du soutien.
• Réseau offre services de garde, des conseils, support affectif ou matériel.
• Femmes consultent plus leur réseau. Parle de leur vécu. Beaucoup de confidentes.
• Femmes ont des amies comme confidentes.
• Femme qui entretient le plus les liens avec la famille élargie. Mais aussi des confidentes en dehors de
son conjoint et sa conjointe.
Les hommes ont recours au réseau de soutien «formel» généralement après une évaluation du réseau informel.
- une fois qu’il épuise toutes les ressources autour
- lorsque le problème est trop gros pour le réseau informel. Quand les gens commencent à dire «mes amis ne me comprennent pas…»