APP5 Flashcards
quels sont les symptomes de la cystite
dysurie (difficulté miction)
pollakiurie (besoin miction fréquent)
hématurie
sensation brulure ou douleur a la miction
douleur suspubienne
urgence mictionnelle
*parfois urine trouble ou malodorante
v ou f
est ce que lurine trouble/malodorante est un symptome spécifique de la cystite
NON
quel est le risque d’évolution de cystite en pyélonéphrite
1%
v ou f
la cystite est associée à une perturbation des signes vitaux et élevation de la température
FAUX
de plus, lexamen physique est souvent normal chez F présentant cystite aigue
par quel signes et sx est caractérisée la pyélonéphrite
- douleur dorso-lombaire au test de percussion (punch rénal positif)
- douleur et sensibilité de l’angle costovertébral (à cause d’inflm rénale); généralement unilatéral
- symptomes de cystite
- systémique : fièvre, frissons, nausées/vomissements, instabilité hémodynamique
quels sont les principaux agents étiologiques des cystites FRÉQUENTS
Escherichia coli
Klebsiella pneumoniae
Staphylococcus saprophyticus
Enterococcus
quels sont les principaux agents étiologiques des cystites RARES
Enterobacter spp
Proteus mirabillis
Pseudomonas aeruginosa
Staphylococcus aureus
v ou f
E coli est isolé dans 80-85% des épisodes de cystite aigue non compliquée
VRAI
v ou f
E coli est plus virulent dans les épisodes de cystite compliquée
NON, même que des fois moins virulent; c’est les facteurs de l’hôte qui changent
Staphylococcus saprophyticus est isolé dans combien des épisodes de cystite aigue
5-15%
v ou f
on doit TOUJOURS traiter une bactériurie asymptomatique
FAUX
seulement dans 2 cas :
- grossesse
- s’il va y avoir une intervention urologique
comment la colite à C difficile survient-elle généralement
suite à l’administration d’ATB (appauvrissent ou altèrent flore résidante concurrente) et cela permet prolifération de C difficile et élaboration de ses cytotoxines
v ou f
l’infection à C difficile est caractérisée par un envahissement tissulaire
Faux
caractérisée par inflammation et lésions des muqueuses
v ou f
les spores résistent à la chaleur, acide et ATB
VRAI (sont ingérés et résistent au passage par l’estomac et germent donc dans l’intestin grêle)
après avoir atteint l’intestin grêle, que font les spores de C difficile
ils colonisent tractus intestinal inférieur et fabriquent 2 toxines : A et B
laquelle des toxines (A et B) est une cytotoxine et entérotoxine
A : entérotoxine
B : cytotoxine
que font les toxines
elles initient un processus provoquant l’interruption de la fonction barrière de l’épithélium, causant diarrhée et formation de pseudomembranes chez vulnérables
quel est le role spécifique de la toxine A
chimiotactisme important des neutrophiles, provoque la production de liquide et endommage la muqueuse du colon
quel est le mécanisme daction des toxines A et B
les toxines agissent a/n du cytoplasme de la cellule hote (elles glycosylent des petites protéines (Rho, Rac) afin de les inactiver et cela engendre la perte de la structure cytosquelettique)
quelles sont les conséquences dune rupture du cytosquelette
perte de la forme cellulaire, adhérence cellulaire et des jonctions serrées (fuite de liquide)
pourquoi une perte de fonction des cellules de la muqueuse intestinale provoque la diarrhée
les cellules de l’intestin grêle ont pour role l’absorption de liquide (9-10L par jour) et si ces cellules sont dysfonctionnelles, cela entraine réduction dabsorption de liquide (même une petite réduction provoque entrée de grandes quantité de liquide dans le colon qui est incapable de réabsorber) = DIARRHÉE
quelles sont les conséquences de la diarrhée
déshydratation profonde, perte d’électrolytes et déplétion du volume intravasculaire (peut mener au choc hypovolémique)
comment se nomme la forme plus évoluée de l’infection à C difficile
colite pseudomembraneuse
v ou f
la colite pseudomembraneuse se situe partout dans le tractus GI
faux
uniquement a/n muqueuse colique
décrire les pseudomembranes
1.plaques jaunes blanchatres de 1-2 mm
2. quand maladie progresse, pseudomembranes convergent et forment plaques plus larges (confluentes sur ensemble de la paroi colique)
3. tout le colon est habituellement touché (10% patients ont pas datteinte rectale)
décrire les pseudomembranes du pdv microscopique
leucocytes nécrotiques, fibrine, mucus, débris cellulaires
*épithélium est érodé et présente des zones de nécrose avec infiltration neutrophilique de la muqueuse
quels événements mènent à l’infection à C difficile
- prise d’ATB (!!!)
- exposition à C difficile toxigénique
- exposition à souche de C difficile particulièrement virulente, exposition à des ATB particulièrement à risque de ICD, réponse immunitaire inadéquate (plus de réponse IgG = moins de symptomes)
si on a un patient qui a une diarrhée importante, que faire pour savoir si C diff
vérifier l’exposition à des ATB dans les 2 derniers mois (surtout clindamycine, céphalosporines 2e, 3e gén, fluoroquinolones et ampicilline)
quelles sont les manifestations cliniques d’une infection à C.difficile
- diarrhée (le plus fréquent)
- selles presque jamais sanglantes
- selles vont de molles et non formées à aqueuse ou mucoide avec odeur caractéristique (jusqua 20 selles par jour)
- dièvre, douleur abdominale, hyperleucocytose
v ou f
la diarrhée est un effet indésirable fréquent associé à prise d’ATB
vrai
ainsi majorité des cas de diarrhée post-antibiothérapie chez enfant pas causés par C difficile
quelles sont quelques complications de linfection à C difficile
- intolérance au lactose
- entéropathie environnementale et malnutrition sévère