APP 6 - MII Flashcards
Quels sont les principes de base d’une saine alimentation
- Les aliments de hâte valeur nutritive sont les fondements de la saine alimentation
- Les aliments et les boissons transformées ou préparés ne devraient pas être consommés sur une base régulière
Quel est l’apport énergétique moyen chez
a. Homme
b. Femme
Homme : 2600 Kcal/jour
Femme : 1900 Kcal/jour
Quelle proportion de l’apport énergétique quotidien représentent les
a. Protéines
b. Lipides
c. Glucides
a. 10-35%
b. 20-35%
c. 45-65%
Placer en ordre croissant du moins énergétique au plus énergétique les protéines, les lipides et les glucides
Lipides -> Glucides -> Protéines
Quelle quantité de fibre est-il recommandé de manger chaque jour
25-38g
Fonctions vitamine A (3)
- Peau
- Pigments visuels
- Reproduction
Fonction vitamine B1- thiamine (1)
Synthèse ATP
Fonction vitamine B9 - acide folique (1)
Synthèse ADN (thymidine)
Fonction B12 (1)
Coenzyme bêta oxydation des acides gras et synthèse méthionine
Fonctions vitamine C (3)
- Antioxydant
- Collagène
- Absorption fer
Fonctions vitamine D (3)
- Absorption intestinale
- Réabsorption rénale
- Immunologies-modulation
Fonction vitamine E (1)
Protection antioxydative des GR
Fonction vitamine K (1)
Coagulation
Fonctions calcium (4)
- Solidité os et dents
- Contraction musculaire
- Formation caillot
- Rythme cardiaque normal
Fonctions zinc (4)
- Synthèse protéines, ADN
- Fonction immunitaire
- Croissance
- Guérison de plaies
Site absorption fer et ses fonctions
Sites absorption : intestin grêle
Fonctions : composant de l’Hb et des cytochromes
Site absorption B9 (acide folique)
Duodénum et jéjunum
Site absorption calcium
Duodénum et jéjunum (transport actif)
Quelles sont 3 conséquences de la dénutrition
- Diminution de la masse musculaire
- Immunodépression -> cytopénie, car manque de protéines pour production GR
- Retard cicatrisation plaies
Quelles sont les trois formes de dénutrition
Marasme
Kwashiorkor
Kwashiorkor marasmique
Concernant la dénutrition Marasme
a. Déficience
b. Graisse sous-cutanée
c. Oedème
d. Stéatose hépatique
e. Anémie
a. Calories
b. aucune/absente
c. peu
d. absent
e. modérée
Concernant la dénutrition Kwashiorkor
a. Déficience
b. Graisse sous-cutanée
c. Oedème
d. Stéatose hépatique
e. Anémie
a. Protéines
b. diminuée
c. Important -> Ascite (albumine)
d. Oui
e. Parfois grave
Quelles sont les 3 grandes catégories de risque de dénutrition
Donner quelques exemples pour chaque catégorie
- Apport calorique insuffisant
- Anorexie
- Démence
- Paralysie
- Jeune
- Famine
- Dépenses énergétiques augmentées
- Brûlures
- Inflammation/infections
- Cancer
- IR ou IC
- Malassimilation des nutriments
- Maladie coeliaque
- Pancréatite chronique
- Crohn
- Chirurgie bariatrique
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Hyperkératose folliculaire
Difficulté à bien voir dans l’obscurité
Vitamine A
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Hémorragies
Hématomes
Vitamine K
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Béri-béri
- Humide : IC
- Sec : nystagmus, ophtalmologie et ataxie
Vitamine B1 (thiamine)
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Rachitisme (enfants)
Fractures, douleur osseuses
Faiblesse MI
Vitamine D
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Syndrome de Wernicke : nystagmus et confusion
Vitamine B1
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Anémie macrocytaire
Glossite
Démyélinisation
B12
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Anémie macrocytaire
Glossite
Diarrhée
B9
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Pellagre : dermatite, diarrhée et démence
B3
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Fragilité GR/anémie hémolytique
Neuropathies
Vitamine E
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Fatigue, dépression
Inflammation gingivale
Pétéchies périfolliculaires
Saignements internes
Vitamine C -> SCORBUT
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Dermatite péri-orifices
Diarrhée
Perte cheveux
Changements comportement
Zinc
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Anémie microcytaire
Glossite
Koïlonychie (ongles)
Fer
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Cheilite
B2
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Oedème périphérique
Lignes transverses sur ongles
Perte cheveux
Protéines
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Peau sèche, épaisse et eczémateuse
Lipides
Associer les signes et symptômes suivants à la bonne déficience nutritionnelle
Hypoglycémie
Glucides
Nommer et décrire les 4 phases du jeune
- PHASE D’URGENCE : premières 12-24 heures
- Glycogène stocké dans le foie est mobilisé pour produire du glucose
- PHASE DE JEUNE COURT : jours 2-4
- Augmentation de la glucogenèse
= hydrolysation protéines musculaires pour libérer a.a.
= Libération acides gras des tissus adipeux
- Augmentation de la glucogenèse
- PHASE DE JEUNE PROLONGÉ : 5e jour
- Corps cétoniques en provenance des acides gras du tissu adipeux seront synthétisés par foie et deviendront la principale source énergie
- Ce phénomène peut être maintenu jusqu’à ce qu’il ne reste plus que 20% des réserves adipeuses
- PHASE TERMINALE DU JEÛNE : état de sous-alimentation se prolonge
- Métabolisme basal diminue
- Organisme puise dans réserves protéines : hypoalbuminémie (oedème), immunodéficience et dysfonction musculaire (respiratoire et motrice)
Comment éviter le syndrome de réalimentation
Reprise nutritionnelle progressive après une restriction alimentaire
Quels sont les 5 déficits liés à un syndrome de réalimentation
Hypophosphorémie
Hypomagnésémie
Hypokaliémie
Hypocalcémie
Déficience en thiamine (B1)
Nommer 2 facteurs de risque du syndrome de réalimentation
IMC < 18
Apport nutritionnel compromis pendant > 5-10 jours
Physiopathologie du syndrome de réalimentation
Le syndrome de réalimentation survient suite à une charge en glucose entraînant une sécrétion d’insuline qui déclenche une activité cellulaire intense dans un organisme tenu à un métabolisme réduit et aux réserves en minéraux et vitamines compromises par la malnutrition.
L’éveil subit et brutal de l’activité cellulaire métabolique jusque-là endormie induit une dépense énergétique importante et un grand besoin de substrats énergétiques :
- ATP produite en grande quantité = augmentation utilisation phosphore
- K, Mg, Ca et B1 requis comme cofacteurs synthèse = rapidement mobilisés de l’extérieur vers l’intérieur des cellules = hypophosphorémie, hypoMg et hypoK
- Déficits ioniques
Quelles sont les conséquences des déficits ioniques associés au syndrome de réalimentation
- Muscle cardiaque : arythmies, IC, surcharge volerie, oedème
2, Muscle respiratoire : diaphragme, muscles intercostaux
- Muscles périphériques : spasmes, tétanie, rhabdomyolyse
- Manque de thiamine = Wernicke ou béribéri
Quelles sont les 2 maladies inflammatoires de l’intestin
Colite ulcéreuse
Maladie de Crohn
Définir colite ulcéreuse
Maladie inflammatoire surtout muqueuse débutant au rectum et pouvant s’étendre de façon continue à des distances variables du côlon
Définir maladie de Crohn
Inflammation granulomateuse pouvant atteindre toutes les couches de l’intestin et toucher de façon souvent discontinue le côlon et/ou l’intestin grêle ou toute autre région du tube digestif
Quels sont les symptômes de la colite ulcéreuse
Selles fréquentes avec rectorragies et possiblement du mucus
ATTENTE RECTALE
- Augmentation fréquence défécation (faible quantité de selle)
- Ténesme (baisses envies)
ATTEINTE INFLAMMATOIRE
- Diarrhée, selles molles
FRIABILITÉ MUQUEUSE
- Perte de sang et mucus
Quelles sont les 4 présentations cliniques initiales de la colite ulcéreuse et leur prévalence
- Proctite :1/3
- Colite gauche : 1/3
- Colite étendue ou pancolite : 1/3
- Colite sévère ou fulminante : < 10%
Décrire la colite fulminante
Atteinte extensive du côlon entrainant des symptômes sévères tels
- Diarrhées importantes (déshydratation)
- Crampes abdominales douloureuses
- Saignements coliques pouvant nécessiter transfusions
- Fièvre, perte de poids, dénutrition
Toutes les couches de la paroi colique sont touchées !!!
À quoi la colite fulminante met-elle le patient à risque (2)
Mégacôlon et perforations
Nommer 4 complications de la colite ulcéreuse
- Hémorragie colique (rare)
- Colite fulminante
- Mégacôlon toxique
- Néoplasie
Définir mégacôlon toxique
Dilatation aiguë du côlon, due à la présence de gaz ou de liquide en excès mettant très à risque de perforation
Qu’est ce qui justifie une colectomie chirurgicale d’urgence en présence d’une mégacôlon toxique
Absence de réponse au traitement médical en moins de 48 heures
Quel type de néoplasie les patients ayant une colite ulcéreuse sont -ils plus à risque de développer
Nommer 4 facteurs de risques s’ajoutant à la colite ulcéreuse
Nommer 1 facteur protecteur
Adénocarcinome
- Étendue de la maladie
- Durée de la maladie
- Association à d’autres maladies : cholangite sclérosante
- Importance de la réaction inflammatoire chronique
PROTECTEUR : Tx anti-inflammatoire par 5-ASA ou immunosuppresseurs
Décrire l’évolution de la colite ulcéreuse et l’espérance de vie
Peut progresser vers le côlon plus proximal (20-50%)
Crises aigues répétées nécessitant des traitements la plupart du temps efficace
Espérance de vie pas affectée de façon importante
Quelle est la région la plus atteinte dans la maladie de Crohn
Iléocolique (50%)
Quels sont les 2 types d’atteinte dans la maladie de Crohn
- Sténosante/inflammatoire
- Perforation
Décrire maladie de Crohn sténosante
Rétrécissement de lumière intestinale avec obstruction et blocage
Décrire maladie de Crohn avec perforation
Péritonite
Abcès abdominaux
Fistule
Quels sont les 2 principaux symptômes de la maladie de Crohn
- Douleur abdominale (obstruction et inflammation)
- Diarrhée (malabsorption)
Nommer 8 complications de la maladie de Crohn
- Saignements digestifs avec hémorragie aigue ou saignements chroniques sur ulcères intestinaux
- Obstruction
- Perforation ulcère avec péritonite ou formation abcès
- Fistules
- Atteinte péri-anale (incontinence par destruction sphinctérienne)
- Atteinte buccale par ulcères aphteux
- Atteinte digestive proximale (dysphagie, odynophagie)
- Néoplasie
Décrire l’évolution de la maladie de Crohn et l’espérance de vie
Variable et imprévisible
2/3 des patients auront une évolution bénigne et favorable faite de rémissions prolongées ou de récidives facilement traitables
1/3 des malades auront une évolution agressive nécessitant l’utilisation de stratégies thérapeutiques complexes
Espérance de vie pas significativement modifiée
Quand la chirurgie est-elle utilisée en maladie de Crohn
Le recours à la chirurgie est-il fréquent
Médico-résistance
Environ 50% des malades en auront besoin
Quelle est la prévalence des MII
50-250 cas par 100 000 habitants
Les MII sont-elles plus fréquentes chez les hommes ou les femmes
Quels sont les pics d’incidence
H=F
15-30 ans et 50-80 ans
Chez quelles populations les MII sont-elles plus et moins prévalentes
Plus : juifs, pays occidentaux hémisphère Nord
Moins : noirs, hispanophones et asiatiques
Quelle est l’étiologie des MII
L’étiologie des MII est inconnue, mais on suspecte la participation de plusieurs facteurs.
- Facteurs génétiques
- Parent du 1er degré atteint MII augmente le risque de 3 à 20 x
- Concordance familiale endroit atteint et type d’atteinte
- Gènes associés MII : NOD2 (chromosome 16)
- Facteurs auto-immuns
- Facteurs environnementaux : tabagisme augmenter le risque de maladie de Crohnde 2x et est associé à une évolution défavorable
Nommer quelques manifestations extra-intestinales des MII
MUSCULOSQUELETTIQUES
- Arthrites périphériques est centrales
CUTANÉES
- Érythème noueux
- Pyoderma gangrenosum
OCULAIRES
- uvéite
- épisclérite
HÉPATIQUES
- cholangite sclérosante
- hépatite chronique auto-immune
- lithiase vésiculaire (Crohn)
Définir obésité
Accumulation excessive du gras corporel
À quel IMC correspondent cet termes
a. Embonpoint
b. Obésité
c. Obésité morbide
a. 25-29,9 kg/m2
b. 30-39,9 kg/m2
c. 40 kg/m2
Chez l’enfant et l’adolescent, à quel valeur d’IMC correspondent
a. Embonpoint
b. Obésité
a. IMC > 85e percentile
b. IMC > 95e percentile
Nommer une autre manière de catégoriser le poids autre que IMC
Tour de taille
À quoi est associé l’accumulation de graisse abdominale (tour de taille élevé)
Risque élevé maladies métaboliques et mortalité
- DB2
- Maladies coronariennes
- DLP
- HTA
À quelles valeurs de tour de taille le risque de maladies est-il accru
H : 102 cm
F : 88 cm
Nommer 8 répercussions de l’obésité sur la santé
- Besoin de davantage de soins médicaux
- Espérance de vie diminuée
- Syndrome métabolique
- Stéathopatite non alcoolique
- Apnée du sommeil
- Ostéoarthrite des genoux, hanches et rachis
- Certains cancers
- Démence et Alzheimer
Qu’est ce que le syndrome métabolique
Obésité + DLP + HTA + hyperglycémie
Un individu souffrant du syndrome métabolique a un risque élevé de :
- Faire un infarctus ou AVC (3x)
- Mourir infarctus ou AVC (2x)
- Développer diabète (5x)
Cause du syndrome métabolique
Résistance à l’insuline, dont la sévérité est fortement corrélée au volume du tissu adipeux intra-abdominal
Définir NASH (stéatohépatite non alcoolique)
NASH est une complication de l’obésité
NASH -> fibrose -> cirrhose
L’obésité est envoie de devenir la principale cause de cirrhose dans les pays occidentaux industrialisés
Quels sont les 6 cancers fréquemment retrouvés dans la population obèse
Sein
Endomètre
Ovaire
Oesophage
Pancréas
Côlon
La régulation de l’appétit implique un ________1__________ entre _____________2_____________ et ________________3____________________
- équilibre
- facteurs orexinogènes (stimulant appétit)
- facteurs anorexigènes (inhibant appétit)
Décrire brièvement la voie orexigène
Ghreline -> peptides NPY et AgRP-> MCH et orexine -> sensation de faim
Décrire brièvement voie anorexigène
Leptine (tissu adipeux) + CCK + PYY -> peptide POMC et CART -> CRF -> activation du centre de la satiété
Leptine inhibe les voies orexinogènes
Des mutations de quels gènes empêche l’activation de la voie de la satiété et sont des causes connues d’obésité familiale
POMC et CART
Quel est le rôle du microbiome dans l’obésité
Les obèses posséderaient moins de bactéroïdes et plus de firmicutes
Quelle est l’importante de la génétique dans la physiopathologie de l’obésité
IMPORTANTE
Définir obésité polygénique et obésité pure
Spécifier leur évolution
Obésité polygénique : majorité des obésités, se développent plus tardivement
Obésité pure (attribuable à la mutation d’un gène unique) ; seulement 7% des obésités morbides, sévère et se développe dès l’enfance
Quels médicaments peuvent causer une obésité secondaire
Antidépresseurs
Antipsychotiques
Antiépileptiques
Corticoïdes
Quelles sont les 2 maladies pouvant causer une obésité secondaire
Hypothyroïdies
Cushing
Vrai ou faux
Une personne prédisposée génétiquement développera nécessairement un surpoids
Faux, s’il n’est pas exposé à un environnement obésogène, il ne développera pas un surpoids
On considère que la forte augmentation de l’incidence de l’obésité depuis les 30 dernières années résulte davantage d’un équilibre énergétique positif plutôt que de l’influence de la génétique
Quel est l’option non chirurgicale pour traiter l’obésité
Équilibre énergétique négatif soit en réduisant apport alimentaire ou en augmentant dépense énergétique (ou les 2)
Mais la perte de poids chez la grande majorité des individus ne pourra être obtenue sans réduction de l’infesta calorique
La restriction calorique plutôt que le contenu en macronutriments de la diète semble l’élément le plus important.
Quelles sont les indications pour chirurgie bariatrique
- IMC > 40
- IMC 35-40 avec comorbidité reliée à obésité
o DB2
o HTA
o DLP o RGO
o OA
o SAHS - IMC 30-35 avec DB2 mal contrôlé malgré traitement maximal ou syndrome métabolique
Quelles sont les 2 chirurgies bariatriques les plus importantes
- Gastrectomie longitudinale/verticale (sleeve) : chirurgie restrictive
- Dérivation gastrique (by-pass) : chirurgie de malabsorption
En quoi consiste une gastrectomie verticale (sleeve)
Procédure la plus utilisée au monde
Phénomène restrictif ET un effet sur la signalisation de la faim via la résection du fondus qui retire les cellules sécrétrices de ghréline
Perte de poids 40-50%
En quoi consiste la dérivation gastrique (bypass)
Création d’une petite poche gastrique créée immédiatement sous la jonction gastro-oesophagienne.
La vidange gastrique s’effectuera par une anse jéjunale (anse de Roux) montée et anastomosée au néoestomac.
L’estomac, le duodénum et les sécrétions bilié-pancréatiques sont ainsi court-circuitées et le bout distal libre de l’anse billion-pancréatique est ensuite anastomosé sur anse de Roux
Perte de poids 30%
Quel est l’effet secondaire de la gastrectomie verticale
B12 à vie
Nommer quelques effets secondaire du bypass gastrique
Dumping (N°, diaphorèse, vertige, dur abdo, diarrhée lors repas sucrés)
Occlusions, structure et ulcères