Anxiolytiques, sédatifs, hypnotiques et barbituriques Flashcards

1
Q

Bien comprendre ce qu’est le stress (entre autres les 4 caractéristiques qui induisent une réponse de stress, les types de stresseurs)

A

Réaction physique du cours tout à fait normal. Entraine une sécrétion d’hormones dans le corps. 4 caractéristiques qui induisent une réponse de stress chez la majorité des gens : Contrôle, Imprévisibilité, Nouveauté et Égo menacé (C.I.N.É). Il y a deux grandes catégories de stresseur : 1) Physique : causent une tension ou contrainte sur le corps. 2) Psychologiques : tout ce qui peut être interpréter comme négatif ou dangereux

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2
Q

Comprendre les recoupements entre le trouble dépressif majeur et les troubles anxieux

A

Les symptômes clés diffèrent (humeur dépressive ou perte d’intérêt versus peur et inquiétude), mais les autres sx considérés comme essentiels au dx se recoupent ++

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3
Q

Connaître les deux symptômes clefs au centre des troubles anxieux

A

Peur, Inquiétude

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4
Q

Comprendre et connaître ce qui se passe au niveau biologique lors de l’exposition au stress

A

L’état de peur ou d’anxiété comprend à la fois un « sentiment » interne de peur et une expression physiologique de cette peur. Deux circuits différents sous-tendent ces aspects de l’anxiété, mais une structure est au cœur des deux : l’amygdale. Stresseurs externes peuvent stimuler amygdale, mais souvenirs (stressants) générés par l’hippocampe peuvent aussi la stimuler. Amygdale a de nombreuses connexions anatomiques qui lui permettent d’intégrer les informations cognitives et sensorielles pour déterminer s’il faut une réponse de peur.

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5
Q

Connaître les impacts négatifs associés à l’hypersécrétion du cortisol

A

Effet toxique sur hippocampe = atrophie potentiellement réversible. Hippocampe perd alors sa capacité à freiner l’hypothalamus (axe HHS). L’activation prolongée de l’axe HHS est associée à un risque plus élevé de présenter un TA et à aug du risque de maladies coronariennes, de diabète de type II et d’AVC.

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6
Q

Connaître le circuit de l’amygdale qui sous-tend la réponse à la peur

A

Axe HHS : 1) Perception d’un stresseur par l’amygdale 2) Amygdale active alors l’axe HHS : a) Hypothalamus sécrète CRH b) Hypophyse sécrète ACTH c) Glandes corticosurrénales sécrètent le cortisol 3) Système de rétroaction s’enclenche pour freiner la sécrétion de cortisol (donc, dans les situations de stress normal, hippocampe freine hypothalamus (et indirectement, sécrétion de cortisol))

1) Agent stressant identité par l’amygdale – hypothalamus envoie messagers chimiques à glande pituitaire 2) Glande pituitaire envoie second messager chimique via sang aux glandes surrénales 3) qui sécrètent cortisol. Cortisol a des récepteurs pratiquement partout dans le corps dont dans le cerveau. 4) Via un feedback négatif, hormones de stress retournent au début de la chaîne et disent d’arrêter de s’activer.

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7
Q

Connaître les circuits sous-jacents aux différentes manifestations de la peur

A

1) Peur :Cortex cingalaise antérieur et cortex orbito frontal
2) Rép. endocrine : Axe HHS : hausse cortisol
3) Moteur : Substance grise péri-aqueducale
4) Cardiaque: Locus coeruleus (siège neurones Na)
5) Respiratoire: Nx parabrachial TPANIQUE
6) Hippocampe: souvenirs PTSD

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8
Q

Connaître le circuit qui sous-tend l’inquiétude dans les troubles anxieux (boucles cortico-striato-thalamto-corticales ou CSTC)

A

Inquiétude peut inclure la souffrance anxieuse, l’appréhension de l’avenir, le catastrophisme et les obsessions. Les boucles partent du cx préfrontal dorsolatéral, vont ensuite au striatum, puis au thalamus pour revenir au cx préfrontal

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9
Q

Connaître les neurotransmetteurs impliqués dans l’éveil

A

Dopamine, Noradrénaline, Sérotonine, Acétylcholine, Histamine (système réticulé activateur) Régulent système d’éveil cortical selon un continuum

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10
Q

Savoir quelle structure est considérée comme au cœur de notre horloge interne et l’impact de la lumière sur celle-ci

A

Noyau suprachiasmatique (NSC) de l’hypothalamus. Éveil : lumière projette dans la rétine. Information reçue par les récepteurs de la rétine transmettent le message au NSC de l’hypothalamus par le biais du tractus rétino-hypothalamique. NSC transmet information du noyau tubéro-mammilaire (NTM) de l’hypothalamus qui sécrète alors histamine (= éveil). NSC contient récepteurs sérotoninergiques (5-HT) qui interagissent avec récepteurs mélatonine. Pendant la journée, ces récepteurs inhibent libération mélatonine. Lorsque noirceur survient : NSC ne reçoit plus de signaux, cesse activité, et c’est la glande pinéale qui entre en action. NSC induit libération de mélatonine par la glande pinéale. Sécrète à son tour sérotonine qui elle est transformée en mélatonine libérée dans les NSC. Mélatonine régule cycle veille/sommeil. Induction du sommeil et du rythme circarien via récepteurs MT1 et MT2 situés dans les NSC. La mélatonine endogène = sécrétée par la glande pinéale. Agit principalement au niveau du NSC pour réguler le rythme circadien. 3 types de récepteurs : MT1, MT2 (impliqués dans sommeil et rythme circardien) et MT3 (impliqué dans physiologie du sommeil)

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11
Q

Connaître les structures et neurotransmetteurs secrétés dans le cycle veille/sommeil, les promoteurs de l’éveil et du sommeil

A

Promoteur de l’éveil (bouton ON) : Noyau tubéro-mammilaire de l’hypothalamus (NTM). Lorsque NTM = actif, histamine est libérée au niveau du cortex = éveil. Au fur et à mesure que jour avance, entrainement circadien de l’éveil diminue (baisse histamine) et entrainement homéostatique du sommeil augmente (hausse GABA). Promoteur du sommeil (bouton OFF) : Le noyau pré-optique ventrolatéral de l’hypothalamus (VLPO). Quand un point critique de l’entrainement homéostatique est atteint, le VLPO se met en marche et provoque libération du GABA qui va inhiber NTM. La libération du GABA inhibe activité dans les régions cérébrales promotrices de l’éveil *NTM, aire tegmentale ventrale, etc.

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12
Q

Comprendre le lien entre les troubles de santé mentale et les troubles de sommeil particulièrement l’insomnie

A

Symptômes de trouble du sommeil dans plusieurs troubles mentaux neurodégénératifs. Les troubles du sommeil = à la fois facteur de risque pour d’autres troubles de santé mentale ET des conséquences de ces troubles.

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13
Q

Connaître les impacts possibles du manque de sommeil sur la cognition

A

Perturbation sommeil : effets importants sur le fonctionnement cognitif. Déficits niveau attention, mnésique, apprentissage de nouvelles informations. Privation de sommeil 24h ou manque chronique de sommeil (i.e. 4-5h/nuit) peuvent entraîner des atteintes cognitives équivalentes à celles des taux d’intoxication à l’alcool atteignant 1% dans le sang. Impact sur la neurogénèse de l’hippocampe.

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14
Q

Savoir par quoi est sous-tendue l’insomnie primaire au niveau biologique

A

Hypervigilance chronique finit par affecter le fonctionnement (hyperfonctionnement) et la structure de l’hippocampe (atrophie). Hippocampe atrophié = difficulté à inhiber la sécrétion par l’hypothalamus du cortisol. Si les taux de cortisol sont trop élevés en soirée = incapacité à se détendre et le corps est en alerte. Si cortisol anormalement élevé toute la journée et soirée, 5HT ne pourra pas entrer en fonction et sa sécrétion diminue. Causé par axe HHS suractivé par amygdale de manière chronique : hypervigilance : baisse hippocampe : insomnie primaire et/ou anxiété et/ou dépression majeure.

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15
Q

Quelles questions faut-il se poser avant de traiter l’insomnie? : Investiguer de façon exhaustive l’histoire des troubles du sommeil

A

Déterminer le patron de sommeil ; Durée de la perturbation (selon le DSM-5, la difficulté de sommeil doit se produire au moins 3 nuits/semaine et depuis au moins 3 mois)

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16
Q

Connaître les recommandations de traitement (1, 2 et 3e intention) de l’insomnie

A

1) Prodiguer des conseils sur l’hygiène de sommeil 2) Administrer thérapie cognitive-comportementale 3) Considérer les hypnotiques. & pour l’insomnie secondaire : la meilleure approche est de traiter l’affection psychiatrique à l’origine de l’insomnie avec les médicaments appropriés plutôt que de prescrire des hypnotiques en premier et ensuite prendre en charge l’autre trouble.

17
Q

Connaître le rôle du GABA et sa localisation dans le SNC

A

Le GABA est un neurotransmetteur inhibiteur présent dans 30% des synapses du SNC. GABA présent dans : Système limbique, Ganglions de la base, Néocortex, Cervelet (l’un des plus présents dans cette structure). Récepteurs GABA : 1) Récepteurs GABAa, GABAb, GABAc

18
Q

Connaître le processus de transmission GABAergique, le complexe-récepteurs GABAA et les récepteurs BZD (sur le complexe GABAA)

A

Lorsque le GABAa est activé par le GABA : 1) Augmente l’influx de chlore dans le neurone avec pour conséquence ; 2) Diminution de l’excitabilité du neurone post-synaptique qui ; 3) Exerce ainsi un effet inhibiteur sur le neurone post-synaptique. Il existe plusieurs sous-types de récepteurs GABAa, dépendamment des sous-unités présentes dans le récepteur donné. Les différents types de récepteurs GABAa sont composés de sous-unités (alpha, bêta, gamma, delta). L’agencement différent des sous-unités fait donc varier le type d’inhibition : 1) Récepteurs GABAa sensibles aux benzodiazépines sont appelés les récepteurs BZD. Composés de 5 sous-types de type delta, gamma et bêta. En leur centre, canal chlore. Localisés post-synaptique et régulent inhibition de type phasique. Ne sont pas tous identiques, p. ex. alpha1 très importants pour régu du sommeil, alors que alpha2 et 3 pour la régulation de l’anxiété. 2) Récepteurs GABAa non sensibles aux benzodiazépines. Localisés en dehors de la synapse et capture le GABA, mais se lient aux neurostéroïdes naturels (progestérone, oestrogène), l’alcool et certains anesthésiques généraux : sous-unités alpha, gamma et delta.

19
Q

Connaître les localisations des récepteurs GABAA dans le SNC

A

Limbiques (hippocampe, amygdale), cervelet, striatum, néocortex

20
Q

Capacité de nommer au moins 4 benzodiazépines

A

Xanax, Valium, Serax, Ativan

21
Q

Connaître le mécanisme d’action des BZD impliquant entre autres le rôle central du GABA, du récepteur GABAA, du récepteur BZD et des canaux chlores

A
  1. Permettre et faciliter l’activité du GABA sur son propre récepteur. Ils sont donc des MAP du GABA car ils amplifient l’effet du GABA.
  2. Modifier la perméabilité membranaire des canaux chlore lié au complexe- récepteur GABAA/BZD. Ils augmentent la fréquence d’ouverture du canal chlore via la MAP.

A. Les récepteurs GABAA sensibles aux BZD sont constitués de 5 sous-unités avec un canal chlore au centre. Ils possèdent des sites de fixation non seulement pour le GABA mais aussi pour les MAP, p.ex. les benzodiazépines.
B. Quand le GABA se fixe à ses sites récepteurs sur le GABAA il augmente la fréquence d’ouverture du canal chlore et augmente ainsi le passage du chlore.
C. Quand un MAP comme un BZD se fixe aussi au GABAA en l’absence de GABA il n’y a pas d’effet sur le canal chlore. Les BZD n’ont donc pas d’activité propre.
D. Quand un MAP comme un BZD se fixe au GABAA en présence du GABA il provoque une ouverture du canal chlore encore plus fréquente que lorsque le GABA est seul (B).

22
Q

Connaître les 7 indications des BZD

A
  1. Traitement de l’anxiété (et agitation). Adjuvant lors d’interventions psychothérapeutiques (anxiété/insomnie), sur courte période (inférieure à 6 mois).
  2. Traitement du trouble panique.
  3. Traitement temporaire de l’insomnie (voir section sur effets sur le sommeil).
  4. Médication pré-opératoire
  5. Traitement du trouble épileptique (BDZ agissent sur le seuil convulsif et modifient la configuration des ondes cérébrales).
  6. Traitement de la spasticité musculosquelettique (spasmes et dystonie): myorelaxant.
  7. Traitement du sevrage alcoolique
23
Q

Connaître les 5 effets désirés des BZD en lien avec les indications

A

1) Myorelaxantes 2) Anticonvulsivantes 3) Sédatives (diminution anxiété et excitabilité pendant la journée, s’accompagne d’un effet calmant) 4) Anxiolytiques (à doses modérées, baisse significative de l’anxiété) 5) Hypnotiques (facilite initiation et maintien sommeil)

24
Q

Connaître les effets recherchés et les effets secondaires des BZD sur le sommeil

A

1) Augm du temps total de sommeil (améliore sommeil profond), 2) Sommeil moins riche en ondes lentes : nuit & stade 2 : baisse ondes delta et thêta, 3) Moins d’éveils nocturnes, 4) Durée raccourcie du sommeil REM, 5) Arrêt des BZD (augm REM et cauchemars)

25
Q

Nommer 5 principaux effets secondaires des BZD

A

Sédation pendant la journée ; Hyperexcitabilité ; Problèmes de mémoire ; Altération du cycle du sommeil ; Phénomène de sevrage (insomnie et anxiété)

26
Q

Décrivez 6 sx moteurs induits par les BZD

A

Action sur le cervelet : Dysarthrie, Faiblesse musculaire, Incoordination, Ataxie, Nystagmus, PÂgées : ces symptômes peuvent entraîner des chutes et des fractures

27
Q

Décrivez les sx cognitifs induits par les BZD

A

Action sur le système limbique : atteinte mémoire et autres fonctions cognitives : 1) Amnésie antérograde, 2) Diminution de la vitesse psychomotrice, des fonctions exécutives et des capacités perceptivo-motrices, 3) Usage chronique : baisse de concentration, altération mémoire épisodique et des fonctions exécutives, 4) Chez les personnes âgées, confusion et désorientation.

28
Q

Comprendre comment les BZD peuvent engendrer 2 types de dépendance : physique et psychologique en lien avec l’augmentation de la tolérance

A

Désensibilisation du site MAP, donc diminution des récepteurs BZD et GABAa : baisse des effets des BZD : augmentation des doses. Syndrome de sevrage = celui associé à arrêt consommation abusive alcool. MAIS, plus long et déplaisant que celui suivant arrêt de l’abus de narcotiques (!!) Sevrage BZD : hospitalisation.

29
Q

Capacité de nommer les 4 facteurs de risque de dépendance

A

Durée d’utilisation prolongée ; Personnalité dépendante ; Personnalité addictive (historique toxico) ; Risque accru de récurrence de BZD chez usagers chroniques et âgés.

30
Q

Capacité de nommer au moins 4 sx de sevrage

A

Surviennent entre 1 à 3 jours suivant l’arrêt du médicament : 1) Anxiété, 2) Étourdissement, 3) Maux de tête, 4) Insomnie

31
Q

Connaître au moins 4 contre-indications des BZD

A

1) Hypersensibilité connue aux BDZ (pour chacun de ces agents),
2) Insuffisance respiratoire grave & apnée du sommeil, 3) Patients déprimés à haut risque suicidaire (BZD utilisé tentatives de suicide), 4) Hypertension artérielle

32
Q

Connaître les 4 interactions médicamenteuses des BZD (métabolisés par le foie et éliminés par les reins)

A

1) Alcool, barbituriques et autres dépresseurs SNC, 2) Inducteurs d’enzymes hépatiques, 3) Inhibiteur d’enzymes hépatiques, 4) Jus de pamplemousse

33
Q

Effets d’un arrêt brusque des BDZ

A

Épisode psychotique

34
Q

Capacité de nommer les 2 drogues Z et au moins 1 antihistaminique (les non-BDZ)

A

Z : Zolpidem, Zopiclone
Antihistaminique : Benadryl

35
Q

Capacité de nommer au moins 2 barbituriques

A

PHÉNObarbital, PENTObarbital

36
Q

Connaître le mécanisme d’action des Z, des antihistaminiques et des barbituriques

A

Z : Modulateurs allostériques positifs (MAP) du GABAa. Affinité pour la sous-unité alpha1. Leur durée d’action a été optimisée de façon à être plus sécuritaire à long terme et entraînent moins de tolérance. N’ont pas les propriétés myorelaxantes ni antiépileptiques des BZD (n’agissent pas sur les sous-unités alpha2 et 3) Antihistaminiques : Bloquent non sélectivement les récepteurs H1. MAIS, plusieurs sont aussi de puissants antagonistes des récepteurs anticholinergiques muscariniques donc entrainent effets secondaires anticholinergiques typiques. Effets recherchés : sédation. Barbituriques : Stimulent récepteur Barbiturique du complexe GABAa et stimulent ainsi le canal chlore, par modulation allostérique positive. Le canal chlore stimulé provoque une baisse d’excitabilité du neurone et une augm de l’act GABAergique.

37
Q

Connaître leur profil d’effets secondaires

A

Z : Zolpidem : dépendance moins importante que BZD, amnésie antérograde plus rare que BZD.

Zopiclone : similaire à celui des BZD. En général, aucun effet rebond.

Antihistaminiques : Baisse attention et mémoire.

Barbituriques : Causent encore plus de dépendance que les BZD (récepteur se désensibilise plus rapidement, donc hausse des dosages) Leur profil ressemble à celui des BZD, mais plus intense. Symptômes de sevrage plus sévères. Conduisent à une euphorie plus intense et sentiment de tranquillité plus prononcée.

38
Q

Connaître leurs indications

A

Barbituriques : 1) Sédation nocturne, traitement à court de terme de l’insomnie, 2) Sédation pré-op.