Anémies Flashcards
Érythropoïèse normale
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Définir érythron
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Origine du mot
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Que veut dire le mot “érython”?
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Combien de GR sont remplacés tous les jours?
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Érythron - nommez les compartiments
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Érythron - décrire le rôle de la moelle vs le sang
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
- Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
Érythropoïèse normale: Érythron - nommez les compartiments du point de vue cinétique
- Le terme érythron désigne l’ensemble anatomique et fonctionnel qui sert à maintenir constante la masse des globules rouges circulants durant la vie humaine.
- Chez l’adulte, 200 milliards d’érythrocytes doivent être remplacés chaque jour afin de compenser pour la destruction physiologique d’un nombre équivalent de cellules.
- Du point de vue anatomique, l’érythron comprend deux compartiments qui sont la moelle osseuse, siège de l’érythropoïèse, et la circulation sanguine, lieu de déversement des érythrocytes transporteurs d’oxygène.
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Du point de vue de sa cinétique, le système comporte également trois compartiments (Figure 1) dont l’équilibre est maintenu ou modifié, selon le besoin, par un système de régulation spécifique impliquant un facteur de croissance, l’érythropoïétine.
- Compartiments: prolifération, maturation, survie érythrocytaire
Érythropoïèse normale: Prolifération
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- ce qui se passe
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- nommez la cellule progénitrice
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- molécule en jeu
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- nombre de mitoses
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- donne combien de cellules filles?
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- les cellules filles s’appellent comment?
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Prolifération
- durée
- Dans la moelle osseuse, la cellule progénitrice de l’érythropoïèse ou CFU-E, stimulée par l’érythropoïétine, donne naissance, après 4 ou 5 mitoses successives, à une génération de 16 ou 32 cellules-filles appelées érythroblastes ou normoblastes.
- Cette phase de l’érythropoïèse dure normalement entre trois et quatre jours, mais elle peut être accélérée selon le besoin, en fonction du degré de stimulation.
Érythropoïèse normale: Maturation
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Maturation
- ce compartiment fonctionnel est caractérisé par quoi?
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Maturation
- on peut reconnaître les différents stades de maturation au microscope?
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Maturation
- nommez les différentes phases / cellules
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Maturation
- à quel moment ça devient un réticulocyte?
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Maturation
- durée
- Ce compartiment fonctionnel est caractérisé par l’acquisition progressive des attributs morphologiques et fonctionnels du globule rouge normal: synthèse progressive de l’hémoglobine dans le cytoplasme et perte éventuelle du noyau et du pouvoir de division cellulaire.
- Lorsqu’on examine au microscope un frottis de moelle osseuse, on peut distinguer, selon la quantité d’hémoglobine qu’ils contiennent, des érythroblastes à différents stades de maturation (basophiles, polychromatophiles et orthochromatiques).
- Une fois le noyau expulsé, la cellule devient un réticulocyte prêt à passer dans la circulation.
- Le tout dure environ 5 jours dans la moelle et une journée de plus dans le sang périphérique, journée pendant laquelle les réticulocytes se transforment en globules rouges mûrs.
Érythropoïèse normale: Survie érythrocytaire
- Le globule rouge mature survit pendant environ quatre mois (110-120 jours) dans la circulation grâce à son étonnante déformabilité, assurée par le maintien d’un métabolisme énergétique normal (glycolyse anaérobie).
- Le principal site de destruction physiologique des érythrocytes est la pulpe rouge de la rate, chargée de macrophages.
- L’hémoglobine libérée y est principalement convertie en bilirubine laquelle, après conjugaison au foie avec l’acide glycuronique, est excrétée dans la bile. Le fer, lui, est réutilisé pour l’érythropoïèse.
Érythropoïèse normale: Survie érythrocytaire
- durée de survie
- Le globule rouge mature survit pendant environ quatre mois (110-120 jours) dans la circulation grâce à son étonnante déformabilité, assurée par le maintien d’un métabolisme énergétique normal (glycolyse anaérobie).
- Le principal site de destruction physiologique des érythrocytes est la pulpe rouge de la rate, chargée de macrophages.
- L’hémoglobine libérée y est principalement convertie en bilirubine laquelle, après conjugaison au foie avec l’acide glycuronique, est excrétée dans la bile. Le fer, lui, est réutilisé pour l’érythropoïèse.
Érythropoïèse normale: Survie érythrocytaire
- GR survit grâce à quoi?
- Le globule rouge mature survit pendant environ quatre mois (110-120 jours) dans la circulation grâce à son étonnante déformabilité, assurée par le maintien d’un métabolisme énergétique normal (glycolyse anaérobie).
- Le principal site de destruction physiologique des érythrocytes est la pulpe rouge de la rate, chargée de macrophages.
- L’hémoglobine libérée y est principalement convertie en bilirubine laquelle, après conjugaison au foie avec l’acide glycuronique, est excrétée dans la bile. Le fer, lui, est réutilisé pour l’érythropoïèse.
Érythropoïèse normale: Survie érythrocytaire
- principal site de destruction physiologique des GR
- Le globule rouge mature survit pendant environ quatre mois (110-120 jours) dans la circulation grâce à son étonnante déformabilité, assurée par le maintien d’un métabolisme énergétique normal (glycolyse anaérobie).
- Le principal site de destruction physiologique des érythrocytes est la pulpe rouge de la rate, chargée de macrophages.
- L’hémoglobine libérée y est principalement convertie en bilirubine laquelle, après conjugaison au foie avec l’acide glycuronique, est excrétée dans la bile. Le fer, lui, est réutilisé pour l’érythropoïèse.
Érythropoïèse normale: Survie érythrocytaire
- ce qui se passe avec les différents constituants du GR une fois détruit
- Le globule rouge mature survit pendant environ quatre mois (110-120 jours) dans la circulation grâce à son étonnante déformabilité, assurée par le maintien d’un métabolisme énergétique normal (glycolyse anaérobie).
- Le principal site de destruction physiologique des érythrocytes est la pulpe rouge de la rate, chargée de macrophages.
- L’hémoglobine libérée y est principalement convertie en bilirubine laquelle, après conjugaison au foie avec l’acide glycuronique, est excrétée dans la bile. Le fer, lui, est réutilisé pour l’érythropoïèse.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
- Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- boucle de rétroaction
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
- Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- décrire l’érythropoïétine
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
- Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- par quoi l’Epo est sécrétée?
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
- Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- ce qui stimule la production de l’Epo
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
- Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- principaux effets de l’Epo
- La régulation fonctionnelle de l’érythron est assurée par une boucle de rétroaction classique dont l’intermédiaire est l’érythropoïétine ou EPO (cf. figure 5 au chapitre 3 de ce cahier).
- Cette glycoprotéine est élaborée et sécrétée principalement par les cellules péritubulaires du rein sous l’influence de la pression partielle en oxygène (PO2) qui prévaut dans la circulation avoisinante.
-
Les principaux effets de l’érythropoïétine sont :
- de stimuler la prolifération des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E et CFU-E),
- d’accélérer la maturation des érythroblastes,
- d’accélérer le passage des réticulocytes au sang circulant.
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- résultante de la sécrétion de l’Epo
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- effets de l’Epo sur la moelle
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- Epo peut augmenter de combien la production érythrocytaire
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Érythropoïèse normale: Système de régulation
- nommez les cofacteurs de l’érythropoïèse
- La résultante normale d’une stimulation par l’érythropoïétine est donc de rétablir la masse érythrocytaire devenue incapable d’assurer l’oxygénation adéquate des tissus.
- La moelle osseuse ainsi stimulée peut augmenter sa production érythrocytaire jusqu’à un maximum d’environ huit fois son taux de base.
- Bien évidemment, les autres co-facteurs de l’érythropoïèse soit la vitamine B12, l’acide folique et le fer devront être en quantité suffisante pour assurer une production adéquate.
Anémie: Définition biologique
- L’anémie est définie par une diminution de la concentration circulante de l’hémoglobine (exprimée en g/l sur la formule sanguine) en deçà des valeurs généralement considérées comme normales.
- Il faut noter que la limite inférieure de la concentration normale d’hémoglobine, définie par deux écarts-types sous la moyenne, varie selon l’âge et les circonstances de la vie :
Anémie: Définition biologique
- c’est quoi?
- L’anémie est définie par une diminution de la concentration circulante de l’hémoglobine (exprimée en g/l sur la formule sanguine) en deçà des valeurs généralement considérées comme normales.
- Il faut noter que la limite inférieure de la concentration normale d’hémoglobine, définie par deux écarts-types sous la moyenne, varie selon l’âge et les circonstances de la vie :
Anémie: Définition biologique - comment est étabilie la valeur normale?
- L’anémie est définie par une diminution de la concentration circulante de l’hémoglobine (exprimée en g/l sur la formule sanguine) en deçà des valeurs généralement considérées comme normales.
- Il faut noter que la limite inférieure de la concentration normale d’hémoglobine, définie par deux écarts-types sous la moyenne, varie selon l’âge et les circonstances de la vie :
Anémie: Manifestation clinique
- Ces derniers ne sont pas nécessairement en relation étroite avec la concentration mesurée de l’hémoglobine.
- Sur le plan clinique, la tolérance à l’anémie varie de façon importante selon l’âge et l’état général du malade ainsi que selon la rapidité d’installation de l’anémie (les anémies chroniques sont beaucoup mieux tolérées).
Anémie: Manifestation clinique
- lien avec concentration en Hb
- Ces derniers ne sont pas nécessairement en relation étroite avec la concentration mesurée de l’hémoglobine.
- Sur le plan clinique, la tolérance à l’anémie varie de façon importante selon l’âge et l’état général du malade ainsi que selon la rapidité d’installation de l’anémie (les anémies chroniques sont beaucoup mieux tolérées).
Anémie: Manifestation clinique
- de quoi dépend la tolérance à l’anémie?
- Ces derniers ne sont pas nécessairement en relation étroite avec la concentration mesurée de l’hémoglobine.
- Sur le plan clinique, la tolérance à l’anémie varie de façon importante selon l’âge et l’état général du malade ainsi que selon la rapidité d’installation de l’anémie (les anémies chroniques sont beaucoup mieux tolérées).
Anémie: Manifestation clinique
- tolérance à l’anémie: anémie aiguë vs chronique
- Ces derniers ne sont pas nécessairement en relation étroite avec la concentration mesurée de l’hémoglobine.
- Sur le plan clinique, la tolérance à l’anémie varie de façon importante selon l’âge et l’état général du malade ainsi que selon la rapidité d’installation de l’anémie (les anémies chroniques sont beaucoup mieux tolérées).
Anémie: Manifestation clinique
- manifestations peu spécifiques
- L’anémie elle-même comporte peu de manifestations cliniques spécifiques si ce n’est :
- la pâleur : peau, plis de la main, muqueuses (bouche et conjonctives)
- l’asthénie, plus ou moins importante selon le cas
- l’ictère, lorsqu’il y a hémolyse.
Anémie: Manifestation clinique
- manifestations peu spécifiques - nommez-les
- L’anémie elle-même comporte peu de manifestations cliniques spécifiques si ce n’est :
- la pâleur : peau, plis de la main, muqueuses (bouche et conjonctives)
- l’asthénie, plus ou moins importante selon le cas
- l’ictère, lorsqu’il y a hémolyse.
Anémie: Manifestation clinique
- manifestations peu spécifiques: la pâleur
- L’anémie elle-même comporte peu de manifestations cliniques spécifiques si ce n’est :
- la pâleur : peau, plis de la main, muqueuses (bouche et conjonctives)
- l’asthénie, plus ou moins importante selon le cas
- l’ictère, lorsqu’il y a hémolyse.
Anémie: Manifestation clinique
- manifestations peu spécifiques: l’asthénie
- L’anémie elle-même comporte peu de manifestations cliniques spécifiques si ce n’est :
- la pâleur : peau, plis de la main, muqueuses (bouche et conjonctives)
- l’asthénie, plus ou moins importante selon le cas
- l’ictère, lorsqu’il y a hémolyse.
Anémie: Manifestation clinique
- manifestations peu spécifiques: l’ictère
- L’anémie elle-même comporte peu de manifestations cliniques spécifiques si ce n’est :
- la pâleur : peau, plis de la main, muqueuses (bouche et conjonctives)
- l’asthénie, plus ou moins importante selon le cas
- l’ictère, lorsqu’il y a hémolyse.
Anémie: Manifestation clinique
- que reflètent-ils?
Par contre, plusieurs symptômes et signes physiques associés à l’apparition d’une anémie reflètent surtout :
- L’activation de mécanismes compensatoires :
- tachycardie, palpitations, plus marqués à l’effort
- céphalée pulsatile, acouphènes
- dyspnée d’effort, orthopnée, œdème malléolaire.
- L’état de la circulation : (perméabilité vasculaire)
- angine de poitrine
- claudication intermittent
- ischémie cérébrale transitoire.
- L’expression de la maladie causale :
- fièvre (maladie inflammatoire)
- paresthésies, perte d’équilibre (Maladie de Biermer)-
- douleurs épigastriques, méléna, etc. (ulcère gastroduodénal)
- ménorragies et/ou métrorragies.
Anémie: Manifestation clinique
- les signes et sx reflètent quoi?
Par contre, plusieurs symptômes et signes physiques associés à l’apparition d’une anémie reflètent surtout :
-
L’activation de mécanismes compensatoires :
- tachycardie, palpitations, plus marqués à l’effort
- céphalée pulsatile, acouphènes
- dyspnée d’effort, orthopnée, œdème malléolaire.
-
L’état de la circulation : (perméabilité vasculaire)
- angine de poitrine
- claudication intermittent
- ischémie cérébrale transitoire.
-
L’expression de la maladie causale :
- fièvre (maladie inflammatoire)
- paresthésies, perte d’équilibre (Maladie de Biermer)-
- douleurs épigastriques, méléna, etc. (ulcère gastroduodénal)
- ménorragies et/ou métrorragies.
Anémie: Manifestation clinique
- signes et sx de: l’activation de mécanismes compensatoires
Par contre, plusieurs symptômes et signes physiques associés à l’apparition d’une anémie reflètent surtout :
-
L’activation de mécanismes compensatoires :
- tachycardie, palpitations, plus marqués à l’effort
- céphalée pulsatile, acouphènes
- dyspnée d’effort, orthopnée, œdème malléolaire.
- L’état de la circulation : (perméabilité vasculaire)
- angine de poitrine
- claudication intermittent
- ischémie cérébrale transitoire.
- L’expression de la maladie causale :
- fièvre (maladie inflammatoire)
- paresthésies, perte d’équilibre (Maladie de Biermer)-
- douleurs épigastriques, méléna, etc. (ulcère gastroduodénal)
- ménorragies et/ou métrorragies.
Anémie: Manifestation clinique
- signes et sx de: l’état de la circulation (perméabilité vasculaire)
Par contre, plusieurs symptômes et signes physiques associés à l’apparition d’une anémie reflètent surtout :
- L’activation de mécanismes compensatoires :
- tachycardie, palpitations, plus marqués à l’effort
- céphalée pulsatile, acouphènes
- dyspnée d’effort, orthopnée, œdème malléolaire.
-
L’état de la circulation : (perméabilité vasculaire)
- angine de poitrine
- claudication intermittent
- ischémie cérébrale transitoire.
- L’expression de la maladie causale :
- fièvre (maladie inflammatoire)
- paresthésies, perte d’équilibre (Maladie de Biermer)-
- douleurs épigastriques, méléna, etc. (ulcère gastroduodénal)
- ménorragies et/ou métrorragies.
Anémie: Manifestation clinique
- signes et sx de: l’expression de la maladie causale
Par contre, plusieurs symptômes et signes physiques associés à l’apparition d’une anémie reflètent surtout :
- L’activation de mécanismes compensatoires :
- tachycardie, palpitations, plus marqués à l’effort
- céphalée pulsatile, acouphènes
- dyspnée d’effort, orthopnée, œdème malléolaire.
- L’état de la circulation : (perméabilité vasculaire)
- angine de poitrine
- claudication intermittent
- ischémie cérébrale transitoire.
-
L’expression de la maladie causale :
- fièvre (maladie inflammatoire)
- paresthésies, perte d’équilibre (Maladie de Biermer)
- douleurs épigastriques, méléna, etc. (ulcère gastroduodénal)
- ménorragies et/ou métrorragies.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Nommez-les
- Défaut de prolifération
- Défaut de maturation
- Survie raccourcie
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de prolifération
- Les anémies sont causées ici
- 1) par une insuffisance numérique ou fonctionnelle des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E ou CFU-E),
- 2) par une altération quelconque du microenvironnement médullaire
- ou encore 3) par une production ou une efficacité insuffisantes de l’érythropoïétine.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de prolifération
- nommez les différentes sous-causes
- Les anémies sont causées ici
- 1) par une insuffisance numérique ou fonctionnelle des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E ou CFU-E),
- 2) par une altération quelconque du microenvironnement médullaire
- ou encore 3) par une production ou une efficacité insuffisantes de l’érythropoïétine.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de prolifération
- sous-causes: insuffisance …
- Les anémies sont causées ici
- 1) par une insuffisance numérique ou fonctionnelle des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E ou CFU-E),
- 2) par une altération quelconque du microenvironnement médullaire
- ou encore 3) par une production ou une efficacité insuffisantes de l’érythropoïétine.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de prolifération
- sous-causes: altération …
- Les anémies sont causées ici
- 1) par une insuffisance numérique ou fonctionnelle des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E ou CFU-E),
- 2) par une altération quelconque du microenvironnement médullaire
- ou encore 3) par une production ou une efficacité insuffisantes de l’érythropoïétine.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de prolifération
- sous-causes: Epo
- Les anémies sont causées ici
- 1) par une insuffisance numérique ou fonctionnelle des progéniteurs érythropoïétiques (BFU-E ou CFU-E),
- 2) par une altération quelconque du microenvironnement médullaire
- ou encore 3) par une production ou une efficacité insuffisantes de l’érythropoïétine.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de maturation
- Une prolifération normale ou accrue est parfois rendue inefficace par l’incapacité des érythroblastes à acquérir leurs caractères morphologiques et fonctionnels normaux, ce qui entraîne parfois leur destruction précoce au sein même de la moelle (érythropoïèse inefficace).
- Ces anémies sont causées le plus souvent par une carence des cofacteurs essentiels de l’érythropoïèse comme le fer, l’acide folique ou la vitamine B12.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de maturation
- décrire
- Une prolifération normale ou accrue est parfois rendue inefficace par l’incapacité des érythroblastes à acquérir leurs caractères morphologiques et fonctionnels normaux, ce qui entraîne parfois leur destruction précoce au sein même de la moelle (érythropoïèse inefficace).
- Ces anémies sont causées le plus souvent par une carence des cofacteurs essentiels de l’érythropoïèse comme le fer, l’acide folique ou la vitamine B12.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Défaut de maturation
- causes de ces mécanismes
- Une prolifération normale ou accrue est parfois rendue inefficace par l’incapacité des érythroblastes à acquérir leurs caractères morphologiques et fonctionnels normaux, ce qui entraîne parfois leur destruction précoce au sein même de la moelle (érythropoïèse inefficace).
- Ces anémies sont causées le plus souvent par une carence des cofacteurs essentiels de l’érythropoïèse comme le fer, l’acide folique ou la vitamine B12.
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Survie raccourcie des GR
- Ces anémies résultent, soit d’une hémorragie, soit d’une destruction prématurée des globules rouges in vivo (hémolyse) pouvant survenir dans la circulation elle-même (hémolyse intravasculaire), ou dans certains organes comme la rate et le foie (hémolyse extravasculaire).
Principaux mécanismes producteurs d’anémie: Survie raccourcie des GR
- types de causes
- Ces anémies résultent, soit d’une hémorragie, soit d’une destruction prématurée des globules rouges in vivo (hémolyse) pouvant survenir dans la circulation elle-même (hémolyse intravasculaire), ou dans certains organes comme la rate et le foie (hémolyse extravasculaire).
Indicateurs biologiques de l’anémie
Indicateurs biologiques de l’anémie: C’est quoi?
- Il s’agit d’épreuves de laboratoire disponibles au clinicien et lui permettant, dans la majorité des cas, d’identifier rapidement le mécanisme physiopathologique sous-jacent à une anémie.
Réticulocytose: Autre nom
Numération des réticulocytes
Indicateurs biologiques de l’anémie: Nommez-les
- La réticulocytose (numération des réticulocytes)
- La morphologie des érythrocytes
Réticulocytose
- Les réticulocytes sanguins peuvent être identifiés et énumérés par les automates de laboratoire à l’aide de fluorochromes se liant spécifiquement à l’ARN des ribosomes encore présents dans le cytoplasme cellulaire à ce stade de la maturation.
- Normalement, la moelle osseuse doit remplacer chaque jour environ 1/100ième de la masse des érythrocytes circulants; la maturation finale des réticulocytes, qui a lieu dans le sang périphérique, dure environ 24 heures.
- Dans ces circonstances, on devrait s’attendre, chez un individu en bonne santé, à ce que les réticulocytes représentent environ 1% du nombre total des globules rouges circulants.
- Afin de tenir compte d’une certaine imprécision liée à la technique, on admet généralement que la réticulocytose normale varie entre 0.5% et 2% du nombre d’érythrocytes circulants.
- La réticulocytose est une donnée essentielle à obtenir dans l’investigation initiale de tout cas d’anémie car elle permet au clinicien d’évaluer l’état de la production érythrocytaire et de savoir si une anémie possède un caractère REGÉNÉRATIF (production augmentée) ou NONREGÉNÉRATIF (production normale ou diminuée).
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: Comment on identifie les réticulocytes?
- Les réticulocytes sanguins peuvent être identifiés et énumérés par les automates de laboratoire à l’aide de fluorochromes se liant spécifiquement à l’ARN des ribosomes encore présents dans le cytoplasme cellulaire à ce stade de la maturation.
- Normalement, la moelle osseuse doit remplacer chaque jour environ 1/100ième de la masse des érythrocytes circulants; la maturation finale des réticulocytes, qui a lieu dans le sang périphérique, dure environ 24 heures.
- Dans ces circonstances, on devrait s’attendre, chez un individu en bonne santé, à ce que les réticulocytes représentent environ 1% du nombre total des globules rouges circulants.
- Afin de tenir compte d’une certaine imprécision liée à la technique, on admet généralement que la réticulocytose normale varie entre 0.5% et 2% du nombre d’érythrocytes circulants.
- La réticulocytose est une donnée essentielle à obtenir dans l’investigation initiale de tout cas d’anémie car elle permet au clinicien d’évaluer l’état de la production érythrocytaire et de savoir si une anémie possède un caractère REGÉNÉRATIF (production augmentée) ou NONREGÉNÉRATIF (production normale ou diminuée).
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: Quelle proportion des GR est remplacée quotidiennement?
- Les réticulocytes sanguins peuvent être identifiés et énumérés par les automates de laboratoire à l’aide de fluorochromes se liant spécifiquement à l’ARN des ribosomes encore présents dans le cytoplasme cellulaire à ce stade de la maturation.
- Normalement, la moelle osseuse doit remplacer chaque jour environ 1/100ième de la masse des érythrocytes circulants; la maturation finale des réticulocytes, qui a lieu dans le sang périphérique, dure environ 24 heures.
- Dans ces circonstances, on devrait s’attendre, chez un individu en bonne santé, à ce que les réticulocytes représentent environ 1% du nombre total des globules rouges circulants.
- Afin de tenir compte d’une certaine imprécision liée à la technique, on admet généralement que la réticulocytose normale varie entre 0.5% et 2% du nombre d’érythrocytes circulants.
- La réticulocytose est une donnée essentielle à obtenir dans l’investigation initiale de tout cas d’anémie car elle permet au clinicien d’évaluer l’état de la production érythrocytaire et de savoir si une anémie possède un caractère REGÉNÉRATIF (production augmentée) ou NONREGÉNÉRATIF (production normale ou diminuée).
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: Représente quelle proportion des GR?
- Les réticulocytes sanguins peuvent être identifiés et énumérés par les automates de laboratoire à l’aide de fluorochromes se liant spécifiquement à l’ARN des ribosomes encore présents dans le cytoplasme cellulaire à ce stade de la maturation.
- Normalement, la moelle osseuse doit remplacer chaque jour environ 1/100ième de la masse des érythrocytes circulants; la maturation finale des réticulocytes, qui a lieu dans le sang périphérique, dure environ 24 heures.
- Dans ces circonstances, on devrait s’attendre, chez un individu en bonne santé, à ce que les réticulocytes représentent environ 1% du nombre total des globules rouges circulants.
- Afin de tenir compte d’une certaine imprécision liée à la technique, on admet généralement que la réticulocytose normale varie entre 0.5% et 2% du nombre d’érythrocytes circulants.
- La réticulocytose est une donnée essentielle à obtenir dans l’investigation initiale de tout cas d’anémie car elle permet au clinicien d’évaluer l’état de la production érythrocytaire et de savoir si une anémie possède un caractère REGÉNÉRATIF (production augmentée) ou NONREGÉNÉRATIF (production normale ou diminuée).
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: Son importance / sa pertinence
- Les réticulocytes sanguins peuvent être identifiés et énumérés par les automates de laboratoire à l’aide de fluorochromes se liant spécifiquement à l’ARN des ribosomes encore présents dans le cytoplasme cellulaire à ce stade de la maturation.
- Normalement, la moelle osseuse doit remplacer chaque jour environ 1/100ième de la masse des érythrocytes circulants; la maturation finale des réticulocytes, qui a lieu dans le sang périphérique, dure environ 24 heures.
- Dans ces circonstances, on devrait s’attendre, chez un individu en bonne santé, à ce que les réticulocytes représentent environ 1% du nombre total des globules rouges circulants.
- Afin de tenir compte d’une certaine imprécision liée à la technique, on admet généralement que la réticulocytose normale varie entre 0.5% et 2% du nombre d’érythrocytes circulants.
- La réticulocytose est une donnée essentielle à obtenir dans l’investigation initiale de tout cas d’anémie car elle permet au clinicien d’évaluer l’état de la production érythrocytaire et de savoir si une anémie possède un caractère REGÉNÉRATIF (production augmentée) ou NONREGÉNÉRATIF (production normale ou diminuée).
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: De quelles manières peut-elle être présentée?
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Réticulocytose: Valeurs normales
- Sur le rapport d’une formule sanguine, la réticulocytose peut être exprimée de deux façons: soit en pourcentage (ex : 0,015 ou 1,5%), soit en valeur absolue (ex : 65 x 109/l).
- Les valeurs considérées comme normales sont respectivement de 0.5% à 2% en pourcentage et de 20 à 100 x 109/l en absolu.
Morphologie des GR
- Cet indicateur est extrêmement important en clinique puisqu’il sert de base à une CLASSIFICATION OPÉRATIONNELLE DES ANÉMIES (Tableau 6).
- Les renseignements relatifs aux constantes érythrocytaires et les particularités morphologiques observées lors de l’examen du frottis sanguin font partie intégrante du résultat de la formule sanguine et doivent être analysés soigneusement dans la démarche conduisant au diagnostic étiologique d’une anémie.
Morphologie des GR: Son pertinence
- Cet indicateur est extrêmement important en clinique puisqu’il sert de base à une CLASSIFICATION OPÉRATIONNELLE DES ANÉMIES (Tableau 6).
- Les renseignements relatifs aux constantes érythrocytaires et les particularités morphologiques observées lors de l’examen du frottis sanguin font partie intégrante du résultat de la formule sanguine et doivent être analysés soigneusement dans la démarche conduisant au diagnostic étiologique d’une anémie.
Morphologie des GR: Son importance
- Cet indicateur est extrêmement important en clinique puisqu’il sert de base à une CLASSIFICATION OPÉRATIONNELLE DES ANÉMIES (Tableau 6).
- Les renseignements relatifs aux constantes érythrocytaires et les particularités morphologiques observées lors de l’examen du frottis sanguin font partie intégrante du résultat de la formule sanguine et doivent être analysés soigneusement dans la démarche conduisant au diagnostic étiologique d’une anémie.
Constantes érythrocytaires: Synonymes
Indices érythrocytaires
Constantes érythrocytaires: C’est quoi?
- Il s’agit de valeurs MOYENNES calculées à partir des données de base de la formule sanguine (Hb, Hcte, numération érythrocytaire) et qui permettent au clinicien de déterminer si, dans un cas donné, une anémie est de type NORMOCYTAIRE, MICROCYTAIRE ou MACROCYTAIRE d’une part et NORMOCHROME ou HYPOCHROME d’autre part.
- Pour un rappel de la manière dont on calcule les constantes érythrocytaires, voir le chapitre 2 de ce cahier, au paragraphe 2.5: « Les constantes érythrocytaires »
Constantes érythrocytaires: Calculées partir de quelles valeurs?
- Il s’agit de valeurs MOYENNES calculées à partir des données de base de la formule sanguine (Hb, Hcte, numération érythrocytaire) et qui permettent au clinicien de déterminer si, dans un cas donné, une anémie est de type NORMOCYTAIRE, MICROCYTAIRE ou MACROCYTAIRE d’une part et NORMOCHROME ou HYPOCHROME d’autre part.
- Pour un rappel de la manière dont on calcule les constantes érythrocytaires, voir le chapitre 2 de ce cahier, au paragraphe 2.5: « Les constantes érythrocytaires »
Constantes érythrocytaires: Permettent de déterminer quoi?
- Il s’agit de valeurs MOYENNES calculées à partir des données de base de la formule sanguine (Hb, Hcte, numération érythrocytaire) et qui permettent au clinicien de déterminer si, dans un cas donné, une anémie est de type NORMOCYTAIRE, MICROCYTAIRE ou MACROCYTAIRE d’une part et NORMOCHROME ou HYPOCHROME d’autre part.
- Pour un rappel de la manière dont on calcule les constantes érythrocytaires, voir le chapitre 2 de ce cahier, au paragraphe 2.5: « Les constantes érythrocytaires »
Constantes érythrocytaires: C’est quoi?
- Il s’agit de valeurs MOYENNES calculées à partir des données de base de la formule sanguine (Hb, Hcte, numération érythrocytaire) et qui permettent au clinicien de déterminer si, dans un cas donné, une anémie est de type NORMOCYTAIRE, MICROCYTAIRE ou MACROCYTAIRE d’une part et NORMOCHROME ou HYPOCHROME d’autre part.
- Pour un rappel de la manière dont on calcule les constantes érythrocytaires, voir le chapitre 2 de ce cahier, au paragraphe 2.5: « Les constantes érythrocytaires »
VGM: Nom long
Volume globulaire moyen
VGM: Valeurs normales
VGM ou volume globulaire moyen
- VALEUR NORMALE = 82 à 98 fl (10-15l)
- Anémie microcytaire : VGM inférieur à 82 fl
- Anémie normocytaire : VGM entre 82 et 98 fl
- Anémie macrocytaire : VGM supérieur à 98 fl
VGM: Son utilité
Indice de loin le plus sensible et le plus utile.
TGMH: Nom long
Teneur globulaire moyenne en Hb
TGMH: Valeurs normales
TGMH ou teneur globulaire moyenne en hémoglobine
- VALEUR NORMALE = 27 à 33 pg (10-12g)
- Anémie microcytaire : TGMH inférieure à 27 pg
- Anémie normocytaire : TGMH entre 27 et 33 pg
- Anémie macrocytaire : TGMH supérieure à 33 pg
TGMH: Son utilité
En pratique inutile, pusiqu’il n’apporte rien de plus que le VGM
CGMH: Nom long
Concentration globulaire moyenne en Hb
CGMH: Valeurs normales
CGMH ou concentration globulaire moyenne en hémoglobine)
- VALEUR NORMALE = 320 à 360 g/L
- Anémie hypochrome : CGMH inférieure à 320 g/L
- Anémie normochrome : CGMH entre 320 et 360 g/L (Il n’existe PAS d’anémies hyperchromes)
CGMH: Son utilité
Indice utile, mais relativement peu sensible
Examen du frottis sanguin
- Les constantes érythrocytaires moyennes ne suffisent pas à elles seules à décrire de façon complète les anomalies morphologiques susceptibles d’être associées à une anémie.
- C’est pourquoi un examen microscopique attentif du frottis sanguin avec description de toutes les anomalies observées constitue une étape importante du diagnostic dans tous les cas.
- Cet examen est habituellement effectué par le ou la technologiste en hématologie qui note, sur le résultat de la formule sanguine, les anomalies observées:
Examen du frottis sanguin: Son utilité
- Les constantes érythrocytaires moyennes ne suffisent pas à elles seules à décrire de façon complète les anomalies morphologiques susceptibles d’être associées à une anémie.
- C’est pourquoi un examen microscopique attentif du frottis sanguin avec description de toutes les anomalies observées constitue une étape importante du diagnostic dans tous les cas.
- Cet examen est habituellement effectué par le ou la technologiste en hématologie qui note, sur le résultat de la formule sanguine, les anomalies observées:
Examen du frottis sanguin: Examen est effectué par qui?
- Les constantes érythrocytaires moyennes ne suffisent pas à elles seules à décrire de façon complète les anomalies morphologiques susceptibles d’être associées à une anémie.
- C’est pourquoi un examen microscopique attentif du frottis sanguin avec description de toutes les anomalies observées constitue une étape importante du diagnostic dans tous les cas.
- Cet examen est habituellement effectué par le ou la technologiste en hématologie qui note, sur le résultat de la formule sanguine, les anomalies observées:
Examen du frottis sanguin: Types d’anomalies
- Anomalies du diamètre
- Anomalies de la coloration
- Anomalies de la forme
Examen du frottis sanguin: Anomalies du diamètre des GR
- ce qu’on voit au frottis
- microcytose
- anisocytose
- macrocytose
Examen du frottis sanguin: Anomalies du coloration des GR
- ce qu’on voit sur le frottis
- anisochromie
- hypochromie
- polychromatophilie
- présence de corps d’inclusion
Examen du frottis sanguin: Anomalies de la forme des GR
- ce qu’on voit sur le frottis
- poïkilocytose
- sphérocytes ou ovalocytes
- acanthocytes ou schistocytes
- cellules en larmes
- cellules en cible
- etc.
Classification générale des anémies
Classification générale des anémies
- Anémie normochromes-normocytaires
- Non-regénératives –> Défaut de prolifération
- Regénératives –> Survie raccourcie (hémorragie aiguë ou hémolyse)
Classification générale des anémies
- Anémie normochromes-normocytaires: mécanisme en cause si NON regénératives
- Non-regénératives –> Défaut de prolifération
- Regénératives –> Survie raccourcie (hémorragie aiguë ou hémolyse)
Classification générale des anémies
- Anémie normochromes-normocytaires: mécanisme en cause si regénératives
- Non-regénératives –> Défaut de prolifération
- Regénératives –> Survie raccourcie (hémorragie aiguë ou hémolyse)
Classification générale des anémies
- Anémie microcytaire-hypochrome
Défaut de maturation du cytoplasme
- Non regénératives –> Carence en fer
- Regénératives –> Thalassémie majeure?
Classification générale des anémies
- Anémie microcytaire-hypochrome: nommez le mécanisme en cause
Défaut de maturation du cytoplasme
- Non regénératives –> Carence en fer
- Regénératives –> Thalassémie majeure?
Classification générale des anémies
- Anémie microcytaire-hypochrome: cause si NON regénérative
Défaut de maturation du cytoplasme
- Non regénératives –> Carence en fer
- Regénératives –> Thalassémie majeure?
Classification générale des anémies
- Anémie microcytaire-hypochrome: cause si regénérative
Défaut de maturation du cytoplasme
- Non regénératives –> Carence en fer
2. Regénératives –> Thalassémie majeure?
Classification générale des anémies
- Anémie macrocytaire
- Non-regénérative –> Défaut de maturation du noyau
- Régénérative –> Survie raccourcue (avec forte réticulocytose)
Classification générale des anémies
- Anémie macrocytaire: mécanisme en cause si NON regénérative
- Non-regénérative –> Défaut de maturation du noyau
- Régénérative –> Survie raccourcue (avec forte réticulocytose)
Classification générale des anémies
- Anémie macrocytaire: mécanisme en cause si regénérative
- Non-regénérative –> Défaut de maturation du noyau
- Régénérative –> Survie raccourcue (avec forte réticulocytose)
Principales causes d’anémie: Nommez-les + leur fréquence
- Inflammation (31%)
- Ferriprive (27%)
- Hémorragie aiguë (15%)
- Moelle envahie (11%)
- Hémolyse (8%)
- B12 et folates (8%)
Principales causes d’anémie: Nommez-les + leur fréquence
- Inflammation (31%)
- Ferriprive (27%)
- Hémorragie aiguë (15%)
- Moelle envahie (11%)
- Hémolyse (8%)
- B12 et folates (8%)
Produits de la dégradation des GR
- Lorsqu’il existe une destruction anormale des érythroblastes ou des érythrocytes circulants in vivo (hémolyse intramédullaire ou périphérique), on peut retrouver dans le plasma certaines substances chimiques dont la concentration anormale témoigne de ce processus de destruction :
- Bilirubine non conjuguée ou indirecte
- Lactate déshydrogénase (LDH)
- Haptoglobine
Produits de la dégradation des GR: Nommez-les
- Lorsqu’il existe une destruction anormale des érythroblastes ou des érythrocytes circulants in vivo (hémolyse intramédullaire ou périphérique), on peut retrouver dans le plasma certaines substances chimiques dont la concentration anormale témoigne de ce processus de destruction :
- Bilirubine non conjuguée ou indirecte
- Lactate déshydrogénase (LDH)
- Haptoglobine
Produits de la dégradation des GR: Décrire
- Lorsqu’il existe une destruction anormale des érythroblastes ou des érythrocytes circulants in vivo (hémolyse intramédullaire ou périphérique), on peut retrouver dans le plasma certaines substances chimiques dont la concentration anormale témoigne de ce processus de destruction :
- Bilirubine non conjuguée ou indirecte
- Lactate déshydrogénase (LDH)
- Haptoglobine
Produits de la dégradation des GR: Bilirubine
- La bilirubine non conjuguée ou indirecte s’élève de manière caractéristique dans les hémolyses périphériques, et de façon moins marquée dans les hémolyses intramédullaires.
- Cette augmentation de la bilirubine se traduit souvent par la présence d’un ictère à l’examen physique.
Produits de la dégradation des GR: Bilirubine - type
- La bilirubine non conjuguée ou indirecte s’élève de manière caractéristique dans les hémolyses périphériques, et de façon moins marquée dans les hémolyses intramédullaires.
- Cette augmentation de la bilirubine se traduit souvent par la présence d’un ictère à l’examen physique.
Produits de la dégradation des GR: Bilirubine - dans quel type d’hémolyse?
- La bilirubine non conjuguée ou indirecte s’élève de manière caractéristique dans les hémolyses périphériques, et de façon moins marquée dans les hémolyses intramédullaires.
- Cette augmentation de la bilirubine se traduit souvent par la présence d’un ictère à l’examen physique.
Produits de la dégradation des GR: Bilirubine - manifestation clinique
- La bilirubine non conjuguée ou indirecte s’élève de manière caractéristique dans les hémolyses périphériques, et de façon moins marquée dans les hémolyses intramédullaires.
- Cette augmentation de la bilirubine se traduit souvent par la présence d’un ictère à l’examen physique.
Produits de la dégradation des GR: LDH - nom long
- La lactate déshydrogénase (LDH) du sérum peut atteindre des concentrations très élevées lorsqu’il y a hémolyse périphérique intravasculaire ou dans les cas d’hémolyse intramédullaire due à la destruction massive des érythroblastes (ex : anémie de Biermer).
Produits de la dégradation des GR: LDH - type d’hémolyse
- La lactate déshydrogénase (LDH) du sérum peut atteindre des concentrations très élevées lorsqu’il y a hémolyse périphérique intravasculaire ou dans les cas d’hémolyse intramédullaire due à la destruction massive des érythroblastes (ex : anémie de Biermer).
Produits de la dégradation des GR: Haptoglobine
- L’haptoglobine est une protéine sérique à laquelle se lie préférentiellement l’hémoglobine libre lorsqu’elle s’échappe accidentellement du cytoplasme érythrocytaire.
- Le complexe haptoglobine-hémoglobine ainsi formé est rapidement retiré de la circulation par le système réticulo-endothélial.
- Lorsque la clairance du complexe excède la synthèse hépatique de l’haptoglobine , sa concentration mesurable dans le sang s’abaisse de façon importante et témoigne la plupart du temps d’une hémolyse extravasculaire ou intravasculaire.
Produits de la dégradation des GR: Haptoglobine
- c’est quoi?
- L’haptoglobine est une protéine sérique à laquelle se lie préférentiellement l’hémoglobine libre lorsqu’elle s’échappe accidentellement du cytoplasme érythrocytaire.
- Le complexe haptoglobine-hémoglobine ainsi formé est rapidement retiré de la circulation par le système réticulo-endothélial.
- Lorsque la clairance du complexe excède la synthèse hépatique de l’haptoglobine , sa concentration mesurable dans le sang s’abaisse de façon importante et témoigne la plupart du temps d’une hémolyse extravasculaire ou intravasculaire.
Produits de la dégradation des GR: Haptoglobine
- son rôle
- L’haptoglobine est une protéine sérique à laquelle se lie préférentiellement l’hémoglobine libre lorsqu’elle s’échappe accidentellement du cytoplasme érythrocytaire.
- Le complexe haptoglobine-hémoglobine ainsi formé est rapidement retiré de la circulation par le système réticulo-endothélial.
- Lorsque la clairance du complexe excède la synthèse hépatique de l’haptoglobine , sa concentration mesurable dans le sang s’abaisse de façon importante et témoigne la plupart du temps d’une hémolyse extravasculaire ou intravasculaire.
Produits de la dégradation des GR: Haptoglobine
- ce qui se passe lors d’hémolyse
- L’haptoglobine est une protéine sérique à laquelle se lie préférentiellement l’hémoglobine libre lorsqu’elle s’échappe accidentellement du cytoplasme érythrocytaire.
- Le complexe haptoglobine-hémoglobine ainsi formé est rapidement retiré de la circulation par le système réticulo-endothélial.
- Lorsque la clairance du complexe excède la synthèse hépatique de l’haptoglobine , sa concentration mesurable dans le sang s’abaisse de façon importante et témoigne la plupart du temps d’une hémolyse extravasculaire ou intravasculaire.
Aspect morphologique de la moelle osseuse
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Comment l’évaluer?
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Permet d’évaluer quoi?
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Cellularité de la moelle
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Proportions occupées par les cellules des différentes lignées
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Proportions occupées par les cellules des différentes lignées
- utilité
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Aspect morphologique
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Aspect morphologique de la moelle osseuse: Cellules étrangères
- Le myélogramme et la biopsie de moelle (voir chapitre 3 de ce cahier) peuvent s’avérer utiles dans l’établissement du diagnostic de certains cas d’anémie lorsque les autres examens n’apportent pas de renseignements suffisants.
- Un examen de la moelle effectué dans ces circonstances permet d’évaluer :
- la richesse ou cellularité hématopoïétique de la moelle,
- les proportions occupées par les cellules des différentes lignées hématopoïétiques. Normalement, on retrouve environ 3 précurseurs myéloïdes ou granulocytaires pour un érythroblaste (rapport M/E de 3:1). Il peut être très utile, face à une anémie, de pouvoir déterminer si la lignée érythroblastique est hypoplasiée (ex : défauts de prolifération) ou, au contraire, hyperplasiée comme, par exemple, dans les hémolyses.
- l’aspect morphologique des érythroblastes, surtout dans l’identification d’un défaut de maturation : la présence de changements mégaloblastiques, par exemple, dans les déficits en acide folique (très rare) ou en vitamine B12.
- la présence, dans certains cas, de cellules étrangères à la moelle (métastases, fibrose, granulomes).
Checklist pour l’investigation d’une anémie
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité de la concentration de l’Hb
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité du VGM
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité de la réticulocytose
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité du frottis sanguin
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité de la bilirubine, LDH, haptoglobine
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Checklist pour l’investigation d’une anémie: Utilité de l’aspiration et biopsie de la moelle (option)
- Concentration d’Hb –> Anémie ou non… sévérité?
- VGM –> Classification opérationnelle de l’anémie (mécanisme?)
- Réticulocytose –> Regénérative ou non?
- Frottis sanguin –> Indices particuliers ?? (ex. sphérocytes, schistocytes, etc.)
- Bilirubine, LDH, haptoglobine –> Hémolyse intra / extra-vasculaire ou intra-médullaire ?
- Aspiration et biopsie de la moelle (option) –> Cellularité ratio M/E, mégaloblastose, envahissement?
Anémies par défaut de prolifération
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: Décrire
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: Regénératif?
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: Degré d’anémie
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: Anomalies morphologiques
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: VGM? CGMH?
- Il s’agit ici essentiellement d’anémies à caractère NON-RÉGÉNÉRATIF, c’est-à-dire dont la réticulocytose 100 x 109/l, ce qui constitue une réponse médullaire inadéquate en présence d’anémie.
- Le degré d’anémie (concentration d’hémoglobine) peut être très variable selon la cause et la durée.
- Ce type d’anémie ne s’accompagne généralement pas d’anomalie morphologique très frappante des érythrocytes à l’examen du frottis sanguin.
- Elles sont la plupart du temps NORMOCHROMES ET NORMOCYTAIRES (VGM et CGMH normaux).
Anémies par défaut de prolifération: Examen de la moelle osseuse (aspiration et biopsie) démontre quoi?
L’examen de la moelle osseuse après aspiration et biopsie peut montrer :
- soit une diminution de la cellularité globale
- soit une modification rapport M/E, i.e. du nombre relatif d’érythroblastes
- rapport M/E augmenté si hypoplasie érythroïde (ex : défaut de prolifération)
- rapport M/E diminué si hyperplasie érythroïde (ex : survie raccourcie)
- soit une infiltration par de la fibrose ou par des cellules tumorales.
Anémies par défaut de prolifération: Examen de la moelle osseuse (aspiration et biopsie) - nommez ce qu’il peut démontrer
L’examen de la moelle osseuse après aspiration et biopsie peut montrer :
- soit une diminution de la cellularité globale
- soit une modification rapport M/E, i.e. du nombre relatif d’érythroblastes
- rapport M/E augmenté si hypoplasie érythroïde (ex : défaut de prolifération)
- rapport M/E diminué si hyperplasie érythroïde (ex : survie raccourcie)
- soit une infiltration par de la fibrose ou par des cellules tumorales.
Anémies par défaut de prolifération: Examen de la moelle osseuse (aspiration et biopsie) - effet sur rapport M/E
L’examen de la moelle osseuse après aspiration et biopsie peut montrer :
- soit une diminution de la cellularité globale
-
soit une modification rapport M/E, i.e. du nombre relatif d’érythroblastes
- rapport M/E augmenté si hypoplasie érythroïde (ex : défaut de prolifération)
- rapport M/E diminué si hyperplasie érythroïde (ex : survie raccourcie)
- soit une infiltration par de la fibrose ou par des cellules tumorales.
Anémies par défaut de prolifération: Sérums de produits?
- Dans ce type d’anémie, on ne retrouve PAS dans le sérum de produits témoignant d’une destruction accélérée des érythroblastes ni des érythrocytes circulants.
Atteinte primitive de la moelle: Que veut dire myélophtisie?
Remplacement de l’espace médullaire
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- c’est quoi?
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- dans quels tests se manifestent l’atteinte?
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- décrire l’effet sur le frottis
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- physiopatho
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- leuco-érythroblastose
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Atteinte primitive de la moelle: Remplacement de l’espace médullaire
- la leuco-érythroblastose doit évoquer quoi?
- Il s’agit presque toujours de proliférations malignes originant des cellules hématopoïétiques (leucémies ou lymphomes) ou de métastases à distance d’autres cancers.
- Parfois, il s’agit d’une prolifération fibroblastique (myélofibrose) ou, plus rarement, d’un infiltrat granulomateux, comme dans la tuberculose ou la sarcoïdose.
- Ces anémies se manifestent souvent sur le frottis sanguin par la présence de cellules hématopoïétiques immatures d’origine médullaire (érythroblastes, myélocytes, etc.), cellules qu’on ne retrouve pas normalement dans le sang périphérique.
- On croit que la délicate barrière anatomique qui sépare normalement la moelle du sang circulant a été endommagée par le processus qui infiltre l’espace hématopoïétique.
- On qualifie ce phénomène de “leuco-érythroblastose”.
- En corollaire, la présence au frottis sanguin d’une leuco-érythroblastose doit toujours évoquer la possibilité d’une infiltration de la moelle par des cellules anormales comme mécanisme de production d’une anémie.
Anémies par défaut de prolifération: Classification
- Atteinte primitive de la moelle
- Espace médullaire- Remplacement ou envahissement
- Cellule-souche et progéniteurs (CFU-E) - Aplasie ou hypoplasie
- Remplacement ou envahissement
- Défaut de stimulation érythropoïétique
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires
- Maladies endocriniennes
- Le rôle du fer
Anémies par défaut de prolifération: Classification
- atteinte primitive de la moelle
- Atteinte primitive de la moelle
-
Espace médullaire
- Remplacement ou envahissement
-
Cellule-souche et progéniteurs (CFU-E)
- Aplasie ou hypoplasie
- Défaut de stimulation érythropoïétique
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires
- Maladies endocriniennes
- Le rôle du fer
Anémies par défaut de prolifération: Classification
- Atteinte primitive de la moelle: décrire
- Atteinte primitive de la moelle
-
Espace médullaire
- Remplacement ou envahissement
-
Cellule-souche et progéniteurs (CFU-E)
- Aplasie ou hypoplasie
- Défaut de stimulation érythropoïétique
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires
- Maladies endocriniennes
- Le rôle du fer
Anémies par défaut de prolifération: Classification
- Défaut de stimulation érythropoïétique
- Atteinte primitive de la moelle
- Espace médullaire- Remplacement ou envahissement
- Cellule-souche et progéniteurs (CFU-E) - Aplasie ou hypoplasie
- Remplacement ou envahissement
-
Défaut de stimulation érythropoïétique
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires
- Maladies endocriniennes
- Le rôle du fer
Anémies par défaut de prolifération: Classification
- Défaut de stimulation érythropoïétique: causes possibles
- Atteinte primitive de la moelle
- Espace médullaire- Remplacement ou envahissement
- Cellule-souche et progéniteurs (CFU-E) - Aplasie ou hypoplasie
- Remplacement ou envahissement
-
Défaut de stimulation érythropoïétique
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires
- Maladies endocriniennes
- Le rôle du fer
Déficience de la cellule-souche: l’aplasie médullaire
- les aplasies sélectives
- Dans ces cas, la lignée érythroblastique est la seule à disparaître de la moelle qui semble normale par ailleurs.
- Il s’agit de situations TRÈS RARES qui peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: l’aplasie médullaire
- les aplasies sélectives
- Dans ces cas, la lignée érythroblastique est la seule à disparaître de la moelle qui semble normale par ailleurs.
- Il s’agit de situations TRÈS RARES qui peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Érythroblastopénies
- synonyme
Aplasies sélectives
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives - Fréquence
- Dans ces cas, la lignée érythroblastique est la seule à disparaître de la moelle qui semble normale par ailleurs.
- Il s’agit de situations TRÈS RARES qui peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type congénitales
- Congénitales, comme c’est le cas dans l’anémie de Blackfan-Diamond, une maladie transmise selon le mode autosome dominant avec pénétrance variable.
- Cette maladie très rare est habituellement diagnostiquée durant l’enfance. Elle est souvent améliorée par l’administration de corticostéroïdes.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type congénitales: exemple
- Congénitales, comme c’est le cas dans l’anémie de Blackfan-Diamond, une maladie transmise selon le mode autosome dominant avec pénétrance variable.
- Cette maladie très rare est habituellement diagnostiquée durant l’enfance.
- Elle est souvent améliorée par l’administration de corticostéroïdes.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type congénitales: fréquence
- Congénitales, comme c’est le cas dans l’anémie de Blackfan-Diamond, une maladie transmise selon le mode autosome dominant avec pénétrance variable.
- Cette maladie très rare est habituellement diagnostiquée durant l’enfance. Elle est souvent améliorée par l’administration de corticostéroïdes.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type congénitales: diagnostiquées quand?
- Congénitales, comme c’est le cas dans l’anémie de Blackfan-Diamond, une maladie transmise selon le mode autosome dominant avec pénétrance variable.
- Cette maladie très rare est habituellement diagnostiquée durant l’enfance.
- Elle est souvent améliorée par l’administration de corticostéroïdes.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type congénitales: traitement?
- Congénitales, comme c’est le cas dans l’anémie de Blackfan-Diamond, une maladie transmise selon le mode autosome dominant avec pénétrance variable.
- Cette maladie très rare est habituellement diagnostiquée durant l’enfance.
- Elle est souvent améliorée par l’administration de corticostéroïdes.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type acquises
- Acquises, comme dans l’érythroblastopénie auto-immune, parfois associée à la présence d’un thymome ou d’une leucémie lymphoïde chronique.
- Une érythroblastopénie acquise peut également survenir à la suite d’une infection par le Parvovirus B19, pour lequel les progéniteurs (CFU-E) et précurseurs (érythroblastes) de l’érythropoïèse sont dotés de récepteurs spécifiques.
- La liaison du virus à ce récepteur entraîne habituellement une suppression sélective et transitoire de l’érythropoïèse.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type acquises: exemples de causes
- Acquises, comme dans l’érythroblastopénie auto-immune, parfois associée à la présence d’un thymome ou d’une leucémie lymphoïde chronique.
- Une érythroblastopénie acquise peut également survenir à la suite d’une infection par le Parvovirus B19, pour lequel les progéniteurs (CFU-E) et précurseurs (érythroblastes) de l’érythropoïèse sont dotés de récepteurs spécifiques.
- La liaison du virus à ce récepteur entraîne habituellement une suppression sélective et transitoire de l’érythropoïèse.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type acquises: parfois associée à quoi?
- Acquises, comme dans l’érythroblastopénie auto-immune, parfois associée à la présence d’un thymome ou d’une leucémie lymphoïde chronique.
- Une érythroblastopénie acquise peut également survenir à la suite d’une infection par le Parvovirus B19, pour lequel les progéniteurs (CFU-E) et précurseurs (érythroblastes) de l’érythropoïèse sont dotés de récepteurs spécifiques.
- La liaison du virus à ce récepteur entraîne habituellement une suppression sélective et transitoire de l’érythropoïèse.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type acquises: causes possibles
- Acquises, comme dans l’érythroblastopénie auto-immune, parfois associée à la présence d’un thymome ou d’une leucémie lymphoïde chronique.
- Une érythroblastopénie acquise peut également survenir à la suite d’une infection par le Parvovirus B19, pour lequel les progéniteurs (CFU-E) et précurseurs (érythroblastes) de l’érythropoïèse sont dotés de récepteurs spécifiques.
- La liaison du virus à ce récepteur entraîne habituellement une suppression sélective et transitoire de l’érythropoïèse.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies sélectives
- Type acquises causées par Parvovirus B19: physiopatho
- Acquises, comme dans l’érythroblastopénie auto-immune, parfois associée à la présence d’un thymome ou d’une leucémie lymphoïde chronique.
- Une érythroblastopénie acquise peut également survenir à la suite d’une infection par le Parvovirus B19, pour lequel les progéniteurs (CFU-E) et précurseurs (érythroblastes) de l’érythropoïèse sont dotés de récepteurs spécifiques.
- La liaison du virus à ce récepteur entraîne habituellement une suppression sélective et transitoire de l’érythropoïèse.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- synonyme
- «anémie aplasique»
- ou «aplasie médullaire»
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Ici, ce sont les trois lignées hématopoïétiques (érythroblastique, granulocytaire et mégacaryocytaire) qui disparaissent plus ou moins complètement de l’espace médullaire, témoignant d’une déficience de la cellule-souche multipotentielle myéloïde.
- Dans le sang périphérique, la maladie se manifeste non seulement par une anémie, mais par une pancytopénie (diminution simultanée du nombre des érythrocytes, des leucocytes et des plaquettes).
- Comme les précédentes, ces aplasies ou hypoplasies peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- c’est quoi?
- Ici, ce sont les trois lignées hématopoïétiques (érythroblastique, granulocytaire et mégacaryocytaire) qui disparaissent plus ou moins complètement de l’espace médullaire, témoignant d’une déficience de la cellule-souche multipotentielle myéloïde.
- Dans le sang périphérique, la maladie se manifeste non seulement par une anémie, mais par une pancytopénie (diminution simultanée du nombre des érythrocytes, des leucocytes et des plaquettes).
- Comme les précédentes, ces aplasies ou hypoplasies peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- comment ça se manifeste au niveau du sanguin?
- Ici, ce sont les trois lignées hématopoïétiques (érythroblastique, granulocytaire et mégacaryocytaire) qui disparaissent plus ou moins complètement de l’espace médullaire, témoignant d’une déficience de la cellule-souche multipotentielle myéloïde.
- Dans le sang périphérique, la maladie se manifeste non seulement par une anémie, mais par une pancytopénie (diminution simultanée du nombre des érythrocytes, des leucocytes et des plaquettes).
- Comme les précédentes, ces aplasies ou hypoplasies peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- types
- Ici, ce sont les trois lignées hématopoïétiques (érythroblastique, granulocytaire et mégacaryocytaire) qui disparaissent plus ou moins complètement de l’espace médullaire, témoignant d’une déficience de la cellule-souche multipotentielle myéloïde.
- Dans le sang périphérique, la maladie se manifeste non seulement par une anémie, mais par une pancytopénie (diminution simultanée du nombre des érythrocytes, des leucocytes et des plaquettes).
-
Comme les précédentes, ces aplasies ou hypoplasies peuvent être :
- Congénitales
- Acquises
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Congénitales
- Congénitales : le meilleur exemple connu étant la maladie de Fanconi, une aplasie médullaire observée chez le nourrisson et parfois associée à des anomalies de la formation osseuse (absence de radius, par exemple).
- Une forme frustre de la maladie de Fanconi peut parfois être diagnostiquée à l’âge adulte seulement.
- Là encore, il s’agit d’une maladie très rare.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Congénitales: causes possibles
- Congénitales : le meilleur exemple connu étant la maladie de Fanconi, une aplasie médullaire observée chez le nourrisson et parfois associée à des anomalies de la formation osseuse (absence de radius, par exemple).
- Une forme frustre de la maladie de Fanconi peut parfois être diagnostiquée à l’âge adulte seulement.
- Là encore, il s’agit d’une maladie très rare.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Congénitales: quand est-ce diagnostiqué?
- Congénitales : le meilleur exemple connu étant la maladie de Fanconi, une aplasie médullaire observée chez le nourrisson et parfois associée à des anomalies de la formation osseuse (absence de radius, par exemple).
- Une forme frustre de la maladie de Fanconi peut parfois être diagnostiquée à l’âge adulte seulement.
- Là encore, il s’agit d’une maladie très rare.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Congénitales: fréquence
- Congénitales : le meilleur exemple connu étant la maladie de Fanconi, une aplasie médullaire observée chez le nourrisson et parfois associée à des anomalies de la formation osseuse (absence de radius, par exemple).
- Une forme frustre de la maladie de Fanconi peut parfois être diagnostiquée à l’âge adulte seulement.
- Là encore, il s’agit d’une maladie très rare.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Acquises
- Acquises : ce sont les formes observées le plus souvent bien que leur prévalence ne dépasse guère 4 à 5 cas par million de population par année en Amérique du nord.
- Néanmoins, comme cette maladie au pronostic redoutable peut être maintenant traitée avec succès dans une proportion importante de cas, il importe d’en connaître les principales caractéristiques.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Acquises: fréquence
- Acquises : ce sont les formes observées le plus souvent bien que leur prévalence ne dépasse guère 4 à 5 cas par million de population par année en Amérique du nord.
- Néanmoins, comme cette maladie au pronostic redoutable peut être maintenant traitée avec succès dans une proportion importante de cas, il importe d’en connaître les principales caractéristiques.
Déficience de la cellule-souche: Aplasies globales
- Acquises: pronostic
- Acquises : ce sont les formes observées le plus souvent bien que leur prévalence ne dépasse guère 4 à 5 cas par million de population par année en Amérique du nord.
- Néanmoins, comme cette maladie au pronostic redoutable peut être maintenant traitée avec succès dans une proportion importante de cas, il importe d’en connaître les principales caractéristiques.
Déficience de la cellule-souche: Nommez les étiologies possibles
- Agents toxiques
- Médicaments
- Infections virales
- Idiopathiques
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Agents toxiques
- Agents toxiques: l’exposition à certaines SUBSTANCES CHIMIQUES, comme les dérivés du benzène (solvants domestiques type Varsol) ou de l’arsenic ainsi que les insecticides comme le Chlordane, le DDT et le malathion, a été associée de façon régulière au développement d’aplasies médullaires.
- De la même manière, les RADIATIONS IONISANTES (rayons X, gamma, bêta et neutrons) sont reconnues capables de produire des aplasies en fonction de la dose reçue (pensez à Tchernobyl!)
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Agents toxiques: nommez les agents toxiques qui peuvent être en cause
- Agents toxiques: l’exposition à certaines SUBSTANCES CHIMIQUES, comme les dérivés du benzène (solvants domestiques type Varsol) ou de l’arsenic ainsi que les insecticides comme le Chlordane, le DDT et le malathion, a été associée de façon régulière au développement d’aplasies médullaires.
- De la même manière, les RADIATIONS IONISANTES (rayons X, gamma, bêta et neutrons) sont reconnues capables de produire des aplasies en fonction de la dose reçue (pensez à Tchernobyl!)
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Agents toxiques: nommez les substances chimiques possibles
- Agents toxiques: l’exposition à certaines SUBSTANCES CHIMIQUES, comme les dérivés du benzène (solvants domestiques type Varsol) ou de l’arsenic ainsi que les insecticides comme le Chlordane, le DDT et le malathion, a été associée de façon régulière au développement d’aplasies médullaires.
- De la même manière, les RADIATIONS IONISANTES (rayons X, gamma, bêta et neutrons) sont reconnues capables de produire des aplasies en fonction de la dose reçue (pensez à Tchernobyl!)
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Agents toxiques: Radiations ionisantes - causent quoi?
- Agents toxiques: l’exposition à certaines SUBSTANCES CHIMIQUES, comme les dérivés du benzène (solvants domestiques type Varsol) ou de l’arsenic ainsi que les insecticides comme le Chlordane, le DDT et le malathion, a été associée de façon régulière au développement d’aplasies médullaires.
- De la même manière, les RADIATIONS IONISANTES (rayons X, gamma, bêta et neutrons) sont reconnues capables de produire des aplasies en fonction de la dose reçue (pensez à Tchernobyl!)
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: classes
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: ceux dont l’effet est relié à la dose
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: ceux dont l’effet est relié à la dose - nommez-les
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: ceux dont l’effet est imprévisible
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: ceux dont l’effet est imprévisible - nommez-les
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Médicaments: ceux dont l’effet est imprévisible - physiopatho
- Médicaments : on distingue d’abord ceux dont l’effet est généralement prévisible et lié à la dose.
- Il s’agit principalement des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer, comme les alkylants et les antimétabolites (cyclophosphamide, méthotrexate, etc.).
- Il y a ensuite tous ceux dont l’effet est imprévisible et résulte d’une idiosyncrasie.
- Les plus fréquemment cités sont le chloramphénicol, certains antithyroïdiens de synthèse, les anticonvulsivants, les sulfas et au total près de 150 autres médicaments courants au sujet desquels une association possible avec l’apparition d’une aplasie médullaire a été rapportée dans la littérature.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Infections virales
- Infections virales : des aplasies médullaires graves ont été rapportées au décours d’hépatites virales, de mononucléoses infectieuses (virus d’Epstein Barr) ou de grippes banales.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Infections virales
- Infections virales : des aplasies médullaires graves ont été rapportées au décours d’hépatites virales, de mononucléoses infectieuses (virus d’Epstein Barr) ou de grippes banales.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Infections virales: exemples
- Infections virales : des aplasies médullaires graves ont été rapportées au décours d’hépatites virales, de mononucléoses infectieuses (virus d’Epstein Barr) ou de grippes banales.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique: fréquence
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique: c’est quoi?
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique: physiopatho
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique: facteur déclencheur
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Étiologie
- Idiopathique: test de labo pour le dx
- Idiopathiques : dans plus de la moitié des cas rapportés, aucune des causes énumérées ci-dessus n’a pu être identifiée ni même sérieusement soupçonnée.
- On croit de plus en plus, sur la foi de nombreuses observations cliniques, que l’aplasie résulte dans ces cas d’un phénomène auto-immun où un clone anormal de lymphocytes T autoréactifs s’attaquerait à la cellule souche ou aux progéniteurs très immatures de l’hématopoïèse.
- Dans certains cas, le facteur déclenchant pourrait être une infection virale passée cliniquement inaperçue.
- Malgré plusieurs efforts déployés en ce sens, il n’existe encore aucun test de laboratoire courant qui permette d’identifier un tel mécanisme avec certitude.
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- à quelle vitesse apparaissent les sx?
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
-
Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- les sx sont reliés à quoi?
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
-
Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- résultats à la prise de sang
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
-
Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- prise de sang: anémie
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- prise de sang: neutropénie
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- comment se manifeste la neutropénie?
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- prise de sang: thrombopénie
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Présentation clinique
- prise de sang: thrombopénie - se manifeste comment?
- Les symptômes et signes de la maladie apparaissent presque toujours de façon insidieuse.
- Ils sont directement reliés à la diminution graduelle du nombre des cellules sanguines circulantes, aboutissant de façon successive ou simultanée à :
- une anémie (symptômes et signes déjà décrits)
- une neutropénie, se manifestant principalement par des infections (voir le chapitre de ce cahier sur les neutropénies)
- une thrombocytopénie, manifestée par des hémorragies anormales (voir le cahier sur les maladies de l’hémostase).
Déficience de la cellule-souche: Pronostic
- Lorsque l’aplasie est sévère et non traitée, près de 80% des malades risquent de mourir éventuellement d’infection ou d’hémorragie dans les 12 mois qui suivent le diagnostic.
- Chez les autres, une rémission spontanée, partielle ou complète, peut être espérée.
- Malheureusement, il est impossible de prédire avec exactitude l’évolution dans un cas particulier.
Déficience de la cellule-souche: Pronostic
- si aplasie est sévère
- Lorsque l’aplasie est sévère et non traitée, près de 80% des malades risquent de mourir éventuellement d’infection ou d’hémorragie dans les 12 mois qui suivent le diagnostic.
- Chez les autres, une rémission spontanée, partielle ou complète, peut être espérée.
- Malheureusement, il est impossible de prédire avec exactitude l’évolution dans un cas particulier.
Déficience de la cellule-souche: Pronostic
- si aplasie est pas sévère
- Lorsque l’aplasie est sévère et non traitée, près de 80% des malades risquent de mourir éventuellement d’infection ou d’hémorragie dans les 12 mois qui suivent le diagnostic.
- Chez les autres, une rémission spontanée, partielle ou complète, peut être espérée.
- Malheureusement, il est impossible de prédire avec exactitude l’évolution dans un cas particulier.
Déficience de la cellule-souche: Pronostic
- prédire évolution?
- Lorsque l’aplasie est sévère et non traitée, près de 80% des malades risquent de mourir éventuellement d’infection ou d’hémorragie dans les 12 mois qui suivent le diagnostic.
- Chez les autres, une rémission spontanée, partielle ou complète, peut être espérée.
- Malheureusement, il est impossible de prédire avec exactitude l’évolution dans un cas particulier.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement - nommez les principales mesures
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- retrait de médicament
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- traitement de support
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- traitement de support: nommez les éléments
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- quoi faire si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait du médicament?
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- traitement immunosuppresseur
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- immunosuppresseur: le décrire
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- immunosuppresseur: efficacité
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- greffe de moelle osseuse
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- greffe de moelle osseuse: type
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- allogreffe de moelle osseuse: peut être envisagée d’emblée dans quelle situation?
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- allogreffe de moelle osseuse: donneur
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Déficience de la cellule-souche: Traitement
- allogreffe de moelle osseuse: de quoi dépend la décision de procéder à une greffe?
Les principales mesures qui doivent être appliquées sont :
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUT MÉDICAMENT, MÊME ANODIN EN APPARENCE.
- Le traitement de support sous forme d’isolement de protection, d’antibiothérapie à large spectre, ainsi que de transfusions d’érythrocytes et de plaquettes au besoin.
- Si l’aplasie ne se corrige pas spontanément après le retrait de tout médicament jugé potentiellement nocif, on préconise alors un traitement immunosuppresseur à base de cyclosporine et de sérum anti-lymphocytaire (associé ou non à un facteur de croissance hématopoïétique appelé eltrombopag). Selon les résultats d’études publiées, cette forme de traitement peut conduire à une rémission partielle ou complète dans à 60% à 90% des cas d’aplasie médullaire globale.
- Une allogreffe de moelle osseuse peut être envisagée d’emblée si le malade est âgé de moins de 40 ans et s’il possède dans sa fratrie un donneur compatible. La recherche d’un tel donneur dans la fratrie doit donc être entreprise très tôt après le diagnostic. La décision de procéder à une greffe dépendra de la sévérité de l’aplasie et de l’évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice de cette forme de traitement dans chaque cas.
Défaut de stimulation de la moelle: Nommez les causes possibles
- Maladies rénales
- Maladies inflammatoires chroniques
- Maladies endocriniennes
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales - fréquence de l’anémie associée
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- débit de filtration glomérulaire
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- cause de l’anémie
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- niveau / sévérité de l’anémie
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- traitement de ce type d’anémie
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies rénales
- traitement de l’anémie: médicament
- Une atteinte suffisamment importante de la fonction rénale (débit de filtration glomérulaire < 35 ml/minute), quelle qu’en soit la cause, s’accompagne presque toujours d’une anémie due à l’insuffisance de production/secrétion d’érythropoïétine par les cellules juxtaglomérulaires rénales.
- L’observation d’une anémie sévère (Hb de 60 ou 70 g/L) et chronique associée à une diminution importante des taux d’érythropoïétine circulante était jusqu’à récemment monnaie courante chez les patients qui fréquentent les unités d’hémodialyse.
- Le traitement de cette anémie est d’abord celui de la maladie causale lorsque possible, pouvant aller jusqu’à la greffe rénale.
- L’administration parentérale d’érythropoïétine humaine biosynthétique (EprexMC ou AranespMC), est par ailleurs très efficace pour corriger ce type d’anémie chez les insuffisants rénaux .
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- fréquence de l’anémie
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- nommez des exemples de la maladies inflammatoire chroniques
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- morphologie de l’anémie
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- anémie est regénérative ou non?
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- intensité de l’anémie
- Les états inflammatoires associés à certaines infections ou maladies chroniques (tuberculose, arthrite rhumatoïde, artérite temporale, polymyalgia rhumatica) de même qu’à certains cancers (lymphomes, hypernéphromes) s’accompagnent presque toujours d’une anémie non-régénérative d’intensité modérée (90-100 g/L) et de caractère normochromenormocytaire.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
- Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- dénominateur commun entre les maladies inflammatoires chroniques
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
- Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- rôles / effets des médiateurs inflammatoires
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
- Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- physiopatho de l’anémie associée
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
-
Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- effets directs sur l’Epo
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
-
Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques
- effets directs sur l’Epo: nommez-les
- Ces maladies ont pour dénominateur commun la production et la sécrétion en grande quantité par les macrophages “activés” de certaines cytokines dont l’interleukine-1, l’interleukine-6, le TNF (tumor necrosis factor) et l’interféron-gamma.
- Ces médiateurs inflammatoires possèdent de multiples effets biologiques dont le mieux connu est celui de stimuler la synthèse hépatique du fibrinogène, entraînant presque invariablement une élévation de la vitesse de sédimentation des érythrocytes.
-
Parmi leurs autres effets, certains ont une influence directe sur l’érythropoïèse, dont :
- 1) une diminution légère mais significative de la durée de vie des érythrocytes,
- 2) une diminution de la sensibilité des CFU-E médullaires à l’érythropoïétine,
- 3) le maintien d’un taux anormalement faible d’érythropoïétine circulante pour le degré d’anémie,
- et 4) une inhibition du recyclage normal du fer pour l’érythropoïèse (voir la section suivante).
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques - traitement
- Le traitement de la maladie causale doit être la première mesure à envisager pour la correction de ce type d’anémie.
- Lorsque cela s’avère impossible et que le patient présente des symptômes suffisamment importants, il faut parfois recourir à la transfusion sanguine.
- L’administration d’érythropoïétine synthétique aux doses recommandées dans l’insuffisance rénale est généralement peu efficace dans ce type d’anémie.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques - traitement: 1ère mesure?
- Le traitement de la maladie causale doit être la première mesure à envisager pour la correction de ce type d’anémie.
- Lorsque cela s’avère impossible et que le patient présente des symptômes suffisamment importants, il faut parfois recourir à la transfusion sanguine.
- L’administration d’érythropoïétine synthétique aux doses recommandées dans l’insuffisance rénale est généralement peu efficace dans ce type d’anémie.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques - traitement: nommez-les
- Le traitement de la maladie causale doit être la première mesure à envisager pour la correction de ce type d’anémie.
- Lorsque cela s’avère impossible et que le patient présente des symptômes suffisamment importants, il faut parfois recourir à la transfusion sanguine.
- L’administration d’érythropoïétine synthétique aux doses recommandées dans l’insuffisance rénale est généralement peu efficace dans ce type d’anémie.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques - traitement: transfusions sanguines
- Le traitement de la maladie causale doit être la première mesure à envisager pour la correction de ce type d’anémie.
- Lorsque cela s’avère impossible et que le patient présente des symptômes suffisamment importants, il faut parfois recourir à la transfusion sanguine.
- L’administration d’érythropoïétine synthétique aux doses recommandées dans l’insuffisance rénale est généralement peu efficace dans ce type d’anémie.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies inflammatoires chroniques - traitement: Epo synthétique
- Le traitement de la maladie causale doit être la première mesure à envisager pour la correction de ce type d’anémie.
- Lorsque cela s’avère impossible et que le patient présente des symptômes suffisamment importants, il faut parfois recourir à la transfusion sanguine.
- L’administration d’érythropoïétine synthétique aux doses recommandées dans l’insuffisance rénale est généralement peu efficace dans ce type d’anémie.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies endocriniennes
- Plusieurs hormones endocrines, dont la testostérone, la thyroxine et l’hormone de croissance sont capables de moduler l’effet d’une quantité donnée d’érythropoïétine sur les progéniteurs BFU-E et CFU-E.
- Il semble qu’à l’état physiologique ces hormones jouent un rôle complémentaire à celui de l’érythropoïétine elle-même.
- À titre d’exemple, la différence observée entre les valeurs normales d’hémoglobine circulante chez l’homme et chez la femme serait due à l’existence d’un taux physiologiquement plus élevé de testostérone chez l’homme.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies endocriniennes
- hormones endocrines qui ont un effet sur l’Epo
- Plusieurs hormones endocrines, dont la testostérone, la thyroxine et l’hormone de croissance sont capables de moduler l’effet d’une quantité donnée d’érythropoïétine sur les progéniteurs BFU-E et CFU-E.
- Il semble qu’à l’état physiologique ces hormones jouent un rôle complémentaire à celui de l’érythropoïétine elle-même.
- À titre d’exemple, la différence observée entre les valeurs normales d’hémoglobine circulante chez l’homme et chez la femme serait due à l’existence d’un taux physiologiquement plus élevé de testostérone chez l’homme.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies endocriniennes
- leur importance
- Plusieurs hormones endocrines, dont la testostérone, la thyroxine et l’hormone de croissance sont capables de moduler l’effet d’une quantité donnée d’érythropoïétine sur les progéniteurs BFU-E et CFU-E.
- Il semble qu’à l’état physiologique ces hormones jouent un rôle complémentaire à celui de l’érythropoïétine elle-même.
- À titre d’exemple, la différence observée entre les valeurs normales d’hémoglobine circulante chez l’homme et chez la femme serait due à l’existence d’un taux physiologiquement plus élevé de testostérone chez l’homme.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies endocriniennes
- lien avec Epo
- Plusieurs hormones endocrines, dont la testostérone, la thyroxine et l’hormone de croissance sont capables de moduler l’effet d’une quantité donnée d’érythropoïétine sur les progéniteurs BFU-E et CFU-E.
- Il semble qu’à l’état physiologique ces hormones jouent un rôle complémentaire à celui de l’érythropoïétine elle-même.
- À titre d’exemple, la différence observée entre les valeurs normales d’hémoglobine circulante chez l’homme et chez la femme serait due à l’existence d’un taux physiologiquement plus élevé de testostérone chez l’homme.
Défaut de stimulation de la moelle: Maladies endocriniennes
- exemple
- Plusieurs hormones endocrines, dont la testostérone, la thyroxine et l’hormone de croissance sont capables de moduler l’effet d’une quantité donnée d’érythropoïétine sur les progéniteurs BFU-E et CFU-E.
- Il semble qu’à l’état physiologique ces hormones jouent un rôle complémentaire à celui de l’érythropoïétine elle-même.
- À titre d’exemple, la différence observée entre les valeurs normales d’hémoglobine circulante chez l’homme et chez la femme serait due à l’existence d’un taux physiologiquement plus élevé de testostérone chez l’homme.