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SP 2 > 9 > Flashcards

9 Flashcards

1
Q

Quelle est la définition d’un comportement altruiste?

A

Émettre un geste dont bénéficiera une autre personne ou un groupe de personnes et dont le but premier n’est pas de retirer quelques conséquences positives pour soi- même

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2
Q

Quelle est la définition d’un comportement égoïste?

A

Émettre un geste en fonction de considérations exclusives pour soi dont une autre personne ou un groupe de personnes peut ou peut ne pas bénéficier

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3
Q

Quelle est la définition d’un comportement d’aide?

A

Aider une personne afin qu’elle puisse en bénéficier, du moins en apparence.

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4
Q

Vrai ou Faux : un comportement altruiste peut mener à un comportement d’aide ou ne pas aider.

A

Faux. C’est un comportement égoïste

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5
Q

Quelles sont les trois influences situationnelles?

A
  1. Les normes
  2. Les modèles
  3. L’effet du passant
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6
Q

Qu’est-ce que les normes (influences situationnelles)?

A

Constitue une règle de conduite dictée par la société et qui reflète des standards d’approbation ou de désapprobation sociale .

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7
Q

Quelles sont les 4 normes (influences situationnelles)?

A

(1) Norme de réciprocité
(2) Norme d’équité
(3) Norme de la responsabilisation sociale
(4) Normes de justice

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8
Q

Quelles sont les trois différences que peuvent rencontrer les normes (influences situationnelles)?

A

(1) Différents degrés d’intériorisation
(2) Différentes interprétation de la situation
(3) Différences culturelles

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9
Q

Qu’est-ce que la norme de réciprocité sociale?

A

Repose sur le principe d’échanges sociaux. Postule que les gens sont récompensés pour ce qu’ils apportent aux autres.

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10
Q

Avec la norme de réciprocité sociale, on va avoir à aider l’autre quand…. (3)

A

(1) L’autre nous a aidé (surtout si gratuitement et volontairement)

(2) On retire un bénéfice direct à l’aide (objet ou expérience positive)
o Et encore plus si l’autre en a vraiment besoin

(3)L’autre est reconnu comme une personne aidante (qui pourrait nous aider éventuellement)

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11
Q

Qu’est-ce la norme d’équité?

A

Les gens qui se perçoivent dans des situations équitables vont aider plus que ceux dans des situations inéquitables.

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12
Q

Quelle est la définition de l’équité?

A

Une correspondance entre ce qu’il donne, ce qu’il reçoit et ce que l’autre donne et reçoit. Perception d’équivalence plutôt que d’égalité.

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13
Q

Qu’est-ce que la norme de responsabilisation sociale?

A

Les gens ressentent un besoin moral d’aider les autres, et surtout ceux qui dépendent d’eux.

(Plus tendance à aider les enfants, les personnes âgées, les personnes blessées, )

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14
Q

Qu’est-ce que la norme de justice?

A

Les gens aident autrui surtout dans la mesure où ils croient que les personnes méritent de recevoir de l’aide

(basé sur le mérite)

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15
Q

Qu’est-ce que les modèles (influence situationnelles?)

A

Regarder une personne en aider une autre augmenterait les probabilités que l’observateur du comportement d’aide en fasse de même par la suite

(notes :
- Augmenter les probabilités qu’on aide par la suite.
- Le fait d’apprendre en observant le comportement des autres et utilisé cet apprentissage pour aider en retour.
- Dans une étude avec la guignotée, ils ont fait deux situations, une où il y avait un exemple où une personne donnait de l’argent et une autre situation où il n’y avait pas d’exemple. Les gens ont plus données lorsqu’il y avait une personne (exemple) qui donnait de l’argent)

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16
Q

Quelle est la définition du modelage?

A

Apprendre en observant le comportement des autres et utiliser cet apprentissage pour informer son propre comportement.

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17
Q

Quelles sont les deux modèles (influences sociales)?

A

(1) Modèle non-aidant
(2) Similarité

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18
Q

Qu’est-ce que le modèle non-aidant?

A

On risque plus d’aider dans un environnement équitable que dans un environnement inéquitable (moins d’aide)

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19
Q

Qu’est-ce que le modèle de similarité?

A

Plus le modèle nous est similaire, plus notre comportement sera influencé

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20
Q

Quelles sont les trois types de messages (influences situationnelles)?

A

(1) L’encouragement verbale au comportement d’aide
(2) Les médias
(3) Les messages implicites

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21
Q

Qu’est-ce que l’encouragement verbale au comportement d’aide dans les messages (influences situationnelles)? (3)

A

(1) L’encouragement verbal au comportement d’aide est efficace pour prédire le comportement d’aide futur dans la mesure ou l’individu fait une attribution interne pour son comportement.

«Je suis une personne qui aime aider» vs « Ma mère m’a obligé à aider»

(2) Style parental explicatif > contrôlant

(3) Le message et modèle ont un effet combiné.
- si ma mère me demande d’aider, mais que je la vois aider elle aussi, j’ai plus de chance d’aider que si elle me demande de le faire sans qu’elle le fasse.

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22
Q

Dans les encouragement verbe au comportement d’aide, distinguer si c’est une attribution interne ou externe.

A

Plus grand pourcentage de chance d’aider si on fait une attribution interne qu’une attribution externe.

  • Si c’est une attribution interne : attentes de résultats similaires, fierté (voir cours 4) augmente les chances de comportements similaire
  • Si c’est une attribution externe : plus grande panoplie de résultats différents (attentes de résultats différents, pitié, colère, etc…)
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23
Q

Qu’est-ce que les médias (messages - influences situationnelles)? (2)

A

(1) Les messages d’encouragement au comportement d’aide peuvent également venir de médias influents.

(2) L’exposition à des nouvelles prosociales (même en l’absence de message direct) mène à une augmentation du comportement d’aide

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24
Q

Qu’est-ce que les messages implicites (messages - influences situationnelles)?

A

(1) Le mimétisme mène à plus de comportement d’aide
- p.ex., Si quelqu’un commence à nous imiter (posture, mimique, etc.), on a plus de chance de l’aider puisque on se trouve plus similaire à lui.

(2) L’exposition à des mots prosociaux augmente également le comportement d’aide (effet d’amorçage)
- notes ; amorçage - le fait de pouvoir lire ces signaux là dans notre environnement, il est plus saillant à notre esprit.

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25
Q

Qui est Kitty Genovese?

A

Cette femme se fait poignarder en pleine nuit, les voisins ouvrent les lumières, ce qui fait fuire temporairement son agresseur. Or, il revient par la suite et tue, viole la femme sous les yeux de 35 voisins.
* Cette situation créé le système 911.

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26
Q

Qu’est-ce que la situation de Kitty Genovese a mis en place ? (4)

A

(1) Création du système 911 (2) Loi du bon samaritain (3)Études du phénomène
(4) L’effet du passant

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27
Q

Qu’est-ce que la loi du bon samaritain?

A

Loi du bon samaritain : que si quelqu’un blesse en tentant d’aider, il ne sera pas tenu responsable de ses actes.

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28
Q

Qu’est-ce que l’effet du passant?

A

En situation d’urgence, les gens aident moins en présence d’autres personnes que s’ils sont seuls

(p.ex., avec Kitty Genovese ; Dans les 6 personnes qui auraient vu l’attaque finale, une seule personne aurait appelé la police, mais elle ne serait pas venue.
◦ Cette situation nous informe sur un phénomène : l’effet du passant.)

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29
Q

Qu’est-ce que le modèle cognitif du comportement d’aide?

A
  • Ce qui se produit lorsqu’on est en présence d’une situation où il faut aider et qui va dicter si on aide ou pas.
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30
Q

Qu’est-ce que le stade 1 du modèle cognitif du comportement d’aide?

A

Stade 1: Percevoir la situation
- Remarquer la situation
- Ne pas être focalisé sur des stimuli distrayants (p. ex. téléphone, autres personnes)

Par exemple, si je suis sur mon cell, je ne remarque pas qu’il y a une femme enceinte qui est debout et qui aurait besoin de mon siège. Ainsi, si je ne remarque pas la situation, il est moins probable que je l’aide.

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31
Q

Qu’est-ce que le stade 2 du modèle cognitif du comportement d’aide?

A

Stade 2: Interpréter correctement la situation

  • Plusieurs interprétations sont possibles
    (1) Prise en considération du contexte social (processus de comparaison sociale)
    o Seuls/accompagnés d’un ami dans une foule -> on se fie à notre évaluation de la situation
    o Seuls dans une foule -> on observe le comportement des autres pour informer le notre

(2) Reconnaissance d’une situation connue (intimidation)

(3)Sentiment d’efficacité sociale

(NOTES : p.ex., j’entend crier dans l’appartement voisin. Comment je peux interpréter cette situation? :
* quelqu’un qui se fait battre, un film
qui joue fort, quelqu’un qui se fait chatouiller, etc.
(1) La présence des autres personnes dans la situation va influencer notre interprétation.
* S’ils ne réagissent pas, je vais être
moins porté à réagir pcq je me dis qu’ils doivent savoir quelque chose que je ne sais pas.
(2) Reconnaissance : Si je reconnais une situation, il est plus probable que je réagisse/reconnaisse à ce qui est en train de se passer.
(3) Sentiment d’efficacité sociale : Si je crois que je suis bonne pour interprété les situations sociales, il y a plus de chance que je réagisse parce que je me sens plus compétent pour évaluer la situation et je me fie moins aux autres.)

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32
Q

Quelle est le stade 3 du modèle cognitif du comportement d’aide?

A

Stade 3: Accepter la responsabilité d’aider
- Comprend la diffusion de la responsabilité.

(notes : Chaque personne porte environ 10% de la responsabilité d’aider. Mais si tout le monde se dit ça, personne va aider (diffusion de la responsabilité).)/

33
Q

Qu’est-ce que la diffusion de la responsabilité?

A

Plus le nombre de personnes en mesure d’aider la victime augmente, moins chacune d’elles ressent personnellement le besoin d’agir car le pourcentage de chance que quelqu’un d’autre agisse est plus élevé.

34
Q

Quelle est le stade 4 qui modèle cognitif du comportement d’aide?

A

Stade 4: Choisir le comportement approprié

Le niveau d’expérience de l’aidant potentiel et le niveau d’ajustement entre l’expérience et la situation est un bon prédicteur de son comportement d’aide.

(notes juste le fait d’enseigner ce modèle augmente les chances que les gens aident)

35
Q

Quelle est le stade 5 du modèle cognitif du comportement d’aide?

A

Stade 5: Décider d’adopter le comportement
- Calcul du passant

36
Q

Qu’est-ce que le calcul du passant?

A

Les gens ont tendance à adopter un comportement d’aide lorsque les bénéfices sont plus élevés que les coûts, mais pas lorsque les coûts sont plus élevés que les bénéfices (incluant les coûts d’aider ET de ne pas aider, pour l’aidant ET l’aidé).

(notes ; Comportement d’aide : le plus de bénéfices et le moins de conséquences possible. on va comparer les bénéfices et les coûts.
* Si les bénéfices plus élevé
que coûts : on va
probablement aider.
* Si les bénéfices plus faible
que coûts : probablement pas aider.)

37
Q

Quelles sont les coût et bénéfices possible au fait d’aider pour l’aidant et l’aider? (en lien avec vidéo)

A

Aidant
Coût : Temps, argent, embarras
Bénéfices : fierté, estime, reconnaissance

Aidé
Coût : embarrras
Bénéfices : gâteau, joie

38
Q

À partir de quelle étape du modèle cognitif du comportement d’aide on apporte de l’aide?

A

Si stade 5 = oui.

  • Si on répond non à n’importe quelle étape là-dedans : on n’aidera pas.
  • Maintenant qu’on connait ce modèle, si on aide, ça va faire une différence et encourager d’autres gens à aider.
39
Q

Quelles sont les nuances à avoir concernant l’effet du passant? (4)

A

(1) Évaluation de l’urgence et du niveau de dangerosité → faible = moins d’aide

(2)Coûts physiques élevés = moins d’aide

(3) Agresseur présent = plus d’aide (surtout si d’autres sont présents)

(4)Les « passants » peuvent être virtuels

(notes :
(1)On sent moins l’urgence d’agir
(2)Si je dois faire énormément d’effort physique, j’ai moins de chance d’aider.
(3)Parce que j’interprète plus facilement dans cette situation qu’il y a un besoin d’aide.
◦ Si il y a plus de gens autour de nous, même si y’a un agresseur, on va aussi aider.
(4)Même en ligne.)

40
Q

Quelles sont les 4 influences personnelles?

A

(1) Orientation de la valeur sociale
(2) Théorie du jeu/tragédie des biens communs
(3) personnalité
(4) facteurs émotionnelles

41
Q

Qu’est-ce que l’orientation de la valeur sociale (influences personnelles)? (3)

A

(1) Coopération
Maximum pour soi et l’autre

(2) Individualisme
Maximum pour soi

(3) Compétition
Maximum de différence entre soi et l’autre (en faveur de soi)

42
Q

Qu’est-ce que le dilemme du prisonnier dans la théorie du jeu?

A

Quel que soit le choix de l’autre, je gagne
à le dénoncer (6 mois vs Libre; 10 ans vs 5 ans)

Si les deux se taisent: meilleure issue collective
(6 mois/6 mois)

    • Dans toutes les situations, je gagne à le dénoncer. Pourquoi?
      ◦ Si l’autre personne se taie, j’ai le choix à avoir 6 mois ou libre.
      ◦ Si l’autre me dénonce, j’ai aussi intérêt à le dénoncer.
43
Q

Qu’elles sont les choix personnels dans la théorie du jeu? (3)

A

(1) coopérer/coopérer = prosocial

(2) Compétition/compétition = individualiste

(3) Coopérer/compétition = trahison/profit

44
Q

Qu’est-ce que la tragédie des biens communs (infuences personnelles)?

A

(1) La tragédie des biens commun décrit un phénomène collectif de surexploitation d’une ressource commune limitée dans un contexte de compétition (créant un conflit entre l’intérêt individuel et le bien commun).

(2) La stratégie de poursuivre son intérêt personnel mène à un résultat perdant-perdant.

(notes : L’orientation de la valeur sociale influence le comportement d’aide)

45
Q

Qu’est-ce que la littérature mentionne sur la personnalité (influence personnelles)?

A

La littérature reflète la diversité des champs de recherche s’intéressant au comportement prosocial.

Caractéristiques communes:
(1) Solidité émotionnelle
o Estime de soi, attachement sécure, satisfaction de vie, haut niveau d’auto-efficacité,

(2) Souci pour les autres
o Empathie, altruisme, raisonnement de la condition d’autrui, responsabilité sociale, bonté

(notes :
Prendre soin de soi avant de prendre soi des autres (comme masque dans l’avion, on met le sien avant).
L’envie d’aider l’autre personne à mettre le masque.)

46
Q

Dans l’influence personnelle « personnalité», qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle?

A

Permet de mieux décoder la situation, ressentir davantage d’empathie, émettre le comportement d’aide plus facilement et donner un meilleur soutien émotionnel aux autres.

Habiletés plus ou moins grandes sur le plan de:
(1) L’identification des émotions (les siennes et celles d’autrui);
(2) L’utilisation des émotions pour mieux réfléchir;
(3) La compréhension du sens de l’émotion ressentie;
(4)La gestion de ses émotions

(notes : * Certaines personnes bloquent leur émotions ou n’ont pas appris à identifier leur émotions.
La colère indique qu’on se sent menacé ou que la personne brime nos droits.
On peut partir de l’émotions et regarder quel type d’attribution on peut faire.)

47
Q

Quelles sont les 5 composantes des facteurs émotionnelles (influences personnelles)?

A
  1. Humeur
  2. Effet d’être de bonne humeur
  3. Modèle du soulagement des émotions négatives
  4. Modèle activation-coût et bénéfices
  5. Émotions
48
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que l’humeur?

A

État affectif plus ou moins général et peu intense qui peut être positif ou négatif.

49
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que l’effet d’être de bonne humeur?

A

Une variable contextuelle quelconque amène la personne à se sentir de bonne ou de mauvaise humeur et le fait d’être de bonne humeur la conduit à émettre le comportement d’aide (p.ex. recevoir un sourire, écouter de la musique, rire, s’imaginer en vacances)

  • Plus on est de bonne humeur, plus on a de chance d’aider quelqu’un.
50
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que le modèle du soulagement des émotions négatives?

A

Les individus aident pour chasser les émotions négatives qu’ils peuvent ressentir
devant les souffrances d’autrui.

Pour atteindre ce but, les bénéfices doivent être suffisant pour compenser les coûts et les émotions négatives initiales.
(1) L’effort requis doit être faible
(2) L’humeur négative ne doit pas être trop intense

51
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que le modèle activation-coût et bénéfices?

A

En situation d’urgence, le passant a une hausse proportionnelle de son niveau d’activation. Plus l’activation est déplaisante plus la motivation à réduire cette activation est grande. La méthode la plus rapide et la moins couteuse (couts moins bénéfices reliés à l’aide apportée) sera employée que ce soit l’aide ou l’évitement.

(notes : je ne veux plus ressentir cete émotion là, je vais donc réagir pour ne plus la ressentir (que ça soit par l’évitement ou l’aide).)

52
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que les émotions?

A

États affectifs plus spécifiques (p. ex. la joie, la fierté, la culpabilité, la colère), avec une cible bien précise (p. ex. la sympathie envers une personne qui souffre).

53
Q

Dans les émotions (facteurs émotionnelles - influences situationnelles), qu’est-ce les définitions d’émotions de détresse personnelles et émotions empathiques?

A

(1) Émotions de détresse personnelle :
Émotions négatives tels le dégoût et la colère contre l’antagoniste, l’état d’alerte et le choc (états personnels).

(2) Émotions empathiques :
Peine, sympathie, tendresse, compassion pour la personne qui a besoin d’aide

54
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que le modèle intégratif de Batson?

A

La détresse d’autrui provoquerait soit (1) une détresse personnelle ou (2) des émotions d’empathie.

Si c’est une détresse personnelle, ça l’activerait une (3) motivation égoïste (éliminer la détresse personnelle), ce qui provoquerait (4) un comportement visant à réduire sa propre détresse.

Si c’est des émotions d’empathie, ça l’activerait (5) une motivation altruiste (éliminer la détresse d’autrui), ce qui provoquerait un (6) comportement visant à réduire la détresse d’autrui.

55
Q

Dans le modèle intégratif de Batson, qu’est-ce que la voie du moindre effort et l’effort nécessaire.

A

La voie du moindre effort : quand c’est une détresse personnelle.

L’effort nécessaire : Émotions empathies

56
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que la honte?

A

(1) Émotion négative à la suite d’une évaluation du soi en entier à la suite d’une mauvaise action (Orientée vers soi)

(2) Empêche de penser à l’autre. Mène à l’évitement car absence de contrôle ou levier d’action.

57
Q

Dans les facteurs émotionnelles, qu’est-ce que la culpabilité?

A

(1) Regret d’avoir mal agi (Orientée vers l’action, vers l’autre)

(3) Amène à exprimer de l’empathie et vouloir aider la victime. Cherche à réparer le tort sans craindre de se percevoir ou d’être perçue comme une mauvaise personne. Liée à l’engagement communautaire

58
Q

En termes d’attribution, qu’elle est la différence entre honte et culpabilité?

A

Honte : interne, incontrôlable, stable
(on a plus tendance à l’éviter)

Culpabilité : interne et contrôlable
(Mène à plus de comportement d’aide. Pour réparer ce que j’ai fait.)

59
Q

Dans les facteurs émotionnelles, quelle est la place de la théorie attributionnelles des conduites sociales?

A

Le jugement de responsabilité va mener à une réaction affective qui va mener à une réaction comportementale.

60
Q

Dans la théorie attributionnelle des conduites sociale, qu’elle est la place du jugement de responsabilité dans le comportement d’aide?

A
  • interne, contrôlable et sans cirsconstance atténuante = aucun comportement d’aide
  • Externe ou incontrôlable ou avec présence de circonstances atténuantes : comportement d’aide

(notes : Contrôable : elle a acheté trop de vêtement, plus d’argent pour gâteau.
* Circonstance atténuantes : nouveaux vêtements pour aller à entrevue pour avoir plus d’argent)

61
Q

Quelles sont les 2 influences interpersonnelles?

A
  1. Caractéristiques de la personne demandant de l’aide 2. Relation entre l’aidant et l’aidé
62
Q

Dans les influences interpersonnelles, quelles sont les 4 caractéristiques de la personne demandant de l’aide?

A

(1) Attirance physique
(2) Le sexe
(3) Quantité de victime
(4) Degré de similitude

63
Q

Dans les caractéristiques de la personne demandant de l’aide (influences interpersonnelles), qu’est-ce que l’attirance physique? (2)

A

(1) Autant vrai pour les hommes que les femmes
(2) L’effet Halo :
- les personnes attirantes sont considérés meilleurs. Ainsi, plus de chance qu’on les aide, car ils doivent nécessairement être non responsable

64
Q

Dans les caractéristiques de la personne demandant de l’aide (influences interpersonnelles), quelles sont les différences entres les sexes?

A

LES HOMMES AIDENT :
(1) plus que les femmes en situation d’urgence
(2) plus lorsqu’ils sont entourés de femmes
(3) plus souvent des femmes
(4) Moins les hommes ou les femmes qui sont avec des hommes

LES FEMMES AIDENT :
(1) plus que les hommes pour l’écoute, le réconfort, le bénévolat et l’esprit sportif
(2) plus en situation d’urgence lors qu’elles sont entourées de femmes plutôt que d’hommes

(notes
- Hommes : Potentiel de conquérir la femme qui explique le fait que les hommes aident les femmes s’ils n’ont pas d’hommes dans leur vie?
- Femmes : Concept de socialisation où les hommes sont forts et n’ont pas besoin d’aide.)

65
Q

Dans les caractéristiques de la personne demandant de l’aide (influences interpersonnelles), qu’est-ce que la quantité de victime? (4)

A

(1) Plus elles sont nombreuses plus elles sont aidées
(2) Norme de la responsabilité sociale plus saillante
(3) Évènement perçu comme plus grave
(4) Plus de chances d’aider pour un évènement majeur que plusieurs évènements mineurs.

(note :
* Nombreuses, mais limite :
p.ex., au départ, les gens voulaient vrm aider pour COVID, mais à la longue, même si nb. victimes augmentaient, les gens aidaient moins.
* Si quelques perd connaissance chaque jour vs 20 personnes perd connaissance en même temps.)

66
Q

Dans les caractéristiques de la personne demandant de l’aide (influences interpersonnelles), qu’est-ce que le degré de similitude? (3)

A

(1) Plus enclins à aider les gens de notre groupe, particulièrement pour l’aide exigeante
(2) Aiderait à ressentir plus d’empathie (mêmes valeurs, attitudes, etc.)
(3) Biais de sélection familiale (qualité du lien affectif, aider les gens qui ont le plus de chances de nous aider en retour)

(notes
* Empathie.
* Les personnes de notre
famille proche de nous, on partage certains caractéristiques, comportements, posture similaires, donc on pourrait pensé à l’influence des messages inconscients.)

67
Q

Dans les relations interpersonnelles, qu’est est le modèle de la relation entre l’aidant et l’aidé?

A

Modèle du maintien de l’autoévaluation

68
Q

Qu’est-ce le modèle du maintien de l’autoévaluation?

A

La performance des autres peut avoir un impact significatif sur nos sentiments et comportements, et le type de tâche accomplie joue un rôle prépondérant afin de déterminer si nous adopterons ou pas un comportement d’aide.

69
Q

Dans le modèle du maintien de l’autoévaluation, qu’est-ce qu’une tâche sans importance pour soi fait comme conséquence?

A

Augmentation de l’estime de soi.

P.ex., aider un ami à augmenter sa note dans son cours d’admin. Ça n’a pas d’importance/ conséquence pour moi puisque je ne suis pas en admin. Si il obtient une bonne note grâce à moi, ça va augmenter mon estime de soi.

70
Q

Dans le modèle du maintien de l’autoévaluation, qu’est-ce qu’une tâche importance pour soi fait comme conséquence?

A

Baisse de l’estime de soi

  • p.ex., aider un ami en psychologie dans un travail et il obtient une meilleure note que nous. Ça diminue mon estime, parce que si je ne l’avais pas aidé, il aurait eu une moins bonne note.
71
Q

Quelles sont les conséquences liées à l’aide apporté POUR L’AIDANT? (6)

A

(1) Coût physique ou psychologique
o Effort physique
oTemps
o Risque d’épuisement émotionnel
o Image publique

(2) Perception de soi/concept de soi
- augmentation si on se considère comme une personne aidante

(3) Conséquences affectives positives (si aide volontaire)

(4) Augmentation de bien-être et de fonctionnement social
- Augmentation des attitudes prosociales/Diminution des attitudes antisociales

(5) Augmentation de la santé physique
- Diminution de l’inflammation, augmentation des gènes antiviraux)

(6) Comportement d’aide subséquent (de soi et des autres)
- Le comportement d’aide qu’on va faire plus tard est influencé par le sentiment d’autoefficacité (norme de réciprocité)

72
Q

Dans les conséquences liées à l’aide apporté pour l’aidant, qu’est-ce que les proches aidants? (3)

A

(1) Les proches aidants recevant un soutien adéquat sont plus susceptibles de:
o Offrir des meilleurs soins à leur proche
o Faire économiser des coûts au système
o Amplifier les bénéfices habituels des soins par un proche

(2) Les proches aidants ne recevant pas le soutien adéquat sont plus susceptibles de: o Devenir des « dommages collatéraux »
o Développer des problèmes de santé
o Réduire l’efficacité des soins par un proche
o Augmenter les coûts pour le système

(3) L’aspect volontaire de l’aide apportée est un facteur important

(note 2 :
N’a plus de temps pour s’occuper de lui :
- Il peut lui même développer des problèmes de santé physique/mentale. Dépression, manquer de sommeil, stress, etc.
- Augmente coût pour le système : lui même va aller chercher des services.)

73
Q

Quelles sont les conséquences liés à l’aide apportée pour L’AIDÉ si l’aide est RESPECTUEUX/VOLONtAIRE?

A

(1) Perception de soi :Bonne personne, digne de respect, mérite d’être aidée

(2) Conséquences affectives : Satisfaction, gratitude (augmentation du bien-être psychologique si gratitude exprimée)

(3) Comportement d’aide : Tendance à rendre l’aide reçue dans une mesure équivalente

74
Q

Quelles sont les conséquences liés à l’aide apportée pour L’AIDÉ si l’aide est CONDESCENDANTE/OBLIGATOIRE?

A

(1) Perception de soi : Incapable de réussir sans l’aide, diminution de la motivation subséquence

(2) Conséquences affectives : Humiliation/honte (en contexte de ridiculisation, critique, évitement, minimisation, etc.)

(3) Comportement d’aide : Absence d’aide en retour

75
Q

Dans les conséquences liés à l’aide apportée pour L’AIDÉ, quelles son les facteurs menant à l’absence du retour d’aide? (3)

A

Comparaison sociale avec l’aidant menant à une baisse d’estime de soi,

niveau d’estime personnelle élevé,

tâche importante

76
Q

Quelles sont les conséquences liées à la non adoption du comportement d’aide Pour le NON-AIDANT? (4)

A

(1) Perception de soi/concept de soi
o Mauvaise personne/personne qui n’aide pas les autres

(2) Conséquences affectives
o Culpabilité
o Anxiété

(3) Comportement d’aide
o Chercher à compenser l’absence d’aide o Éviter le stimuli

(4) Blamer. lavictime
- Résoudre la dissonance cognitive en se disant que la personne dans le besoin mérite ce qui lui arrive

(notes
* Perception de soi : Mais, c’est peu probable. Parce qu’on a tendance de se voir sous un jour positif (présence de plein de biais). L’absence de comportement amène rarement à faire des inférence sur soi.
* Conséquence affective : culpabilité (si attribution interne et contrôlable) et anxiété.
Comportement d’aide : compenser (si coupable on va essayer de réparer la prochaine fois) ou évitement (éviter de penser à la situation qui aura pas d’impact sur comportement future).
* Blâmer : hypothèse du monde juste)

77
Q

Quelles sont les conséquences liées à la non adoption du comportement d’aide Pour le NON-AIDÉ? (4)

A

(1) Conséquences physiques et psychologiques directe de l’absence d’aide

(2) Perception de soi/concept de soi
- Intériorisation d’une évaluation de soi négative (p.ex., ça se peut qu’on intériose une version négative de nous même, comme si on ne méritait pas d’aide.)

(3) Conséquences affectives
- Sentiment de rejet
-Dépréciation
- Colère
(notes : ça dépend de l’attribution qu’on fait (sentiment de rejet si on met ça interne et colère si c’est externe))

(4) Comportement futur
- Éviter de demande de l’aide

78
Q

Quelles sont les conclusions concernant les comportements d’aides (4)

A

(1) Nombreux bénéfices à aider si on respecte nos limites

(2) Le pouvoir de s’attribuer la responsabilité d’aider nous appartient

(3) Bénéfices importants d’une approche coopérative
- Sauf qu’il doit y avoir de la confiance mutuelle

(4) En l’absence d’aide respectueuse, on peut faire plus de mal que de bien

SP 2 (6 decks)

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