13 - Troubles perceptuels / psychotiques (COPY) Flashcards
Sélection de flashcards du cours de psychisme (MED-1217)
Définir la psychose.
Faire mention de l’altération de la réalité au niveau de 4 variables
Maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité
- Hallucinations
- Délires
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes
- Comportement désorganisé
Quel type d’hallucinations est le plus fréquent en schizophrénie?
A. Auditives
B. Visuelles
C. Cénesthésiques (toucher)
D. Olfactives
E. Gustatives
A. Auditives
Décrire les hallucinations auditives liées à la psychose.
- Plus fréquentes chez quelle pathologique?
- Constituée de quoi?
- Bienveillantes ou malveillantes? (%)
- Schizophrénie
- Initialement constituées de bruits / sons confondus / mots indistincts → Phrases prononcées à la 3e personne
- 25% bienveillantes; 50% malveillantes; 25% les 2
Décrire les hallucinations visuelles liées à la psychose.
- En schizophrénie (constituée de quoi?)
- Psychose secondaire à intox / sevrage (constituée de quoi?)
- Schizophrénie : Personnes mystiques ou réelles (généralement)
- Intox / sevrage : Insectes ou animaux
Décrire les hallucinations cénesthésique liées à la psychose.
- Ressenties comme quoi?
- Plus fréquentes dans quelle problématique?
- Ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, attouchements inconvenants ou sensation que l’intérieur du
corps est en train de se transformer - Psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
Décrire les hallucinations olfactives liées à la psychose.
- Plus fréquentes dans quelle problématique?
- DDx : Il faut aussi penser à un trouble ____.
- Trouble délirant somatique
- Trouble organique
Décrire les hallucinations gustatives liées à la psychose.
- Souvent perçue comme quoi?
- DDx : Il faut aussi penser à un trouble ____.
- Tentative d’empoisonnement
- Trouble organique
Définir une hallucination.
Perceptions sensorielles en l’absence de stimuli réels
Symptôme positif
Vrai ou Faux
Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
Vrai
Nommez 2 phénomènes hallucinogènes souvent présents chez les enfants.
Phénomènes causals
- Anxiété
- Fièvre
Quelle est la différence entre une schizophrénie précoce et un ami imaginaire chez l’enfant?
L’enfant s’amuse avec son ami imaginaire uniquement dans des moments privés (non publics)
Décrire le/les pics d’incidence de la schizophrénie pour chaque sexe.
Âge du pic d’incidence
- Homme : 15-26 ans
- Femmes : 24-32 ans & 55-64 ans
Quel est le ratio général H:F de la schizophrénie?
~1,5H:1F
Environ 1,28-1,56H:1F (32-39H:25F)
Le ratio entre les hommes et les femmes s’équilibre à l’adolescence.
Modèle de vulnérabilité au stress : Stresseurs bio & socio-environ.
Décrire les facteurs psycho-sociaux de la schizophrénie.
- Vie quotidienne
- Émotionnalité
- Urbanisme
- Immigration
- Performance
- Soutien social
- Événements de la vie quotidienne : Plusieurs événements rapprochés → Compromettent capacités d’adaptation → Provoquent des rechutes.
- Émotionnalité exprimée : Taux de rechutes ↑ par présence de familles ayant une expression émotive forte.
-
Urbanicité : Plus la ville est densément peuplée, plus la personne y va vécu longtemps et moins il y a de cohésion sociale, plus la personne est à risque.
> La schizophrénie entraîne une dérive sociale. -
Immigration : L’immigration (surtout si discrimination) entraîne une augmentation du risque de schizophrénie.
> Immigrants 1ère génération : Risque ↑ 2,3x
> Immigrants 2e génération : Risque ↑ 2,1x
> Discrimination sociale : Risque ↑ 5-10x - Pression de performance : Exigences de la vie moderne entravent l’insertion sociale
- Tensions (travail, examens, pression de performance) plus difficiles à supporter si schizophrène
> Schizophrène a plus de difficulté à composer avec la pression de performance -
Soutien social : Perte du soutien social peut affecter grandement le patient
> Surtout si maladie à début précoce (patient est dans une phase où il développe ses habiletés sociales et relationnelles et de s’affranchir de sa famille)
- Événements de la vie quotidienne : Chez un sujet sain, il ne provoquera pas la pathologie puisque le filtrage des stimuli est compétent.
- Émotionnalité exprimée : Cet effet est annulé lors de la prise de neuroleptiques.
Quels sont les critères diagnostiques de la schizophrénie?
DSM-V
Décrire les symptômes pré-morbides de la schizophrénie.
Avant la maladie
Comportements et idées bizarres :
- Difficulté de socialisation
- Anomalies développementales
- Rituels / habitudes bizarres
- Difficultés cognitives
Décrire les symptômes prodromaux de la schizophrénie.
Annonciateurs de la maladie
- Symptômes négatifs
- Détérioration du niveau de fonctionnement antérieur (s’installe sur 2-3 ans)
- Sentiment de malaise
- Plaintes somatiques vagues
- Difficultés cognitives
- Angoisse qui s’intensifie
- Perte du sommeil
- Sentiment de perte de contrôle sur ses pensées
- Troubles psychologiques : Perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente
- Troubles affectifs : Anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression
- Troubles comportementaux : Agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis
- Troubles cognitifs : Diminution de la concentration, pertes de mémoire
- Élaboration délirantes : Impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses
- Troubles perceptuels : Illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces
Vrai ou Faux
Les patients schizophrènes vivent des perturbations psychologiques même lorsqu’ils ne sont pas en psychose aiguë.
Vrai
Symptômes négatifs, troubles cognitifs & symptômes affectifs
Énumérez les principaux symptômes négatifs de la schizophrénie.
- Affect inapproprié, aplati ou émoussé (en phase aiguë : Réponse émotive incongrue & excessive)
- Alogie
- Aboulie / Apathie
- Anhédonie & asocialité (perte du plaisir à socialiser)
- Déficit de l’attention (attention sociale & fonctionnelle)
- Alogie : Difficulté de conversation
- Aboulie / Apathie : Manque d’énergie physique, négligence de l’hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance
- Anhédonie : Perte de la capacité à ressentir le plaisir
- Asocialité : Manque d’intérêt social
Quelle est la différence entre la schizophrénie et le comportement antisocial au niveau de l’anhédonie & l’asocialité?
- Anhédonie : Perte de la capacité à ressentir le plaisir
- Asocialité : Manque d’intérêt social
Comportement antisocial : la personne profite des autres
Vrai ou Faux
Les troubles cognitifs sont souvent les premiers symptômes de la schizoprénie à apparaître.
Vrai
Quels sont les 3 grands troubles cognitifs observés en schizophrénie?
- Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- Troubles des fonctions exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
Quels moments sont particulièrement à risque de tentative de suicide pour un patient schizophrène?
5 réponses
- Période s’accompagnant de fluctuations rapides de l’état mental
- Première année suivant le diagnostic
- Rechutes avec intensification des symptômes psychotiques, notamment les hallucinations impérieuses
- Période post-hospitalisation ou transfert d’équipe traitante
- Phase précoce du rétablissement, associée à des difficultés d’adaptation
Nommez les facteurs de risque du suicide chez les patients schizophrènes.
7 réponses
- Sexe masculin
- Jeune âge
- Célibat
- Fonctionnement prémorbide élevé
- Abus de substances
- Tentatives précédentes
- Dépression comorbide
Nommez des diagnostics différentiels de la schizophrénie.
- Cause organique (5%)
- Maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses & génétiques
- Psychoses dues aux drogues et alcool
- Bipolarité
- Autisme
- Trouble psychotique bref
- Trouble factice (falsification de symptômes)
- En faveur d’une bipolarité :
> Expansivité & sociabilité récemment accrues
> Sentiment d’exaltation ou d’euphorie
> Un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui
> Diminution du besoin de sommeil - En faveur de l’autisme :
> Maladie débute dans la jeune enfance
Quelles sont les 4 étapes de l’approche permettant au patient d’accepter son traitement?
- Écoute active
- Empathie
- Accord
- Partenariat
Vrai ou Faux
L’adhésion au traitement pharmacologique est un défi chez la clientèle schizophrène.
Vrai
- 25% prend sa médication de temps en temps
- 50% arrête après 1 an
- 75% arrête après 2 ans
Nommez des facteurs de bon pronostic de la schizophrénie.
- Sexe féminin (sauf si début de maladie très tôt)
- Mariage
- Début aigu de la maladie
- Début des symptômes à un âge plus tardif
- Symptômes positifs
- Absence d’ATCD familiaux de schizophrénie ni de psychose
- Bon fonctionnement prémorbide
- Pas d’anomalies structurales cérébrales
- Peu de troubles cognitifs
- Absence d’abus de drogues
- Intervention précoce
- Bonne adhésion à la médication
- Bonne réponse initiale au traitement
- Effets indésirables minimes
- Capable d’autocritique
À part les trucs en gras (et encore) c’est pas mal logique
Nommez des facteurs de mauvais pronostic de la schizophrénie.
- Sexe masculin
- ATCD familial de schizophrénie et de psychose
- Histoire d’agressivité, autres difficulté durant l’enfance
- Célibat, solitude
- Début insidieux
- Début précoce (voir ci-bas)
- Symptômes négatifs
- Anomalies structurales cérébrales (ex : atrophie corticale)
- Troubles cognitifs
- Utilisation de drogues
- Psychose non traitée durant une longue période
- Inobservance de la médication & de la réadaptation
- Résistance au traitement
- Akathisie, parkinsonisme non contrôlé (effets secondaires)
- Manque d’autocritique
À part les trucs en gras (et encore) c’est pas mal logique
Début précoce :
- Possiblement parce qu’un âge d’apparition plus précoce est signe d’une maladie plus grave
- Mais également parce qu’un jeune patient n’a pas eu la possiblité d’acquérir avant la psychose les habiletés sociales et occupationnelles qui faciliteraient sa réadaptation
Quelles sont les principales différences entre :
- Trouble psychotique bref
- Trouble schizophréniforme
- Schizophrénie
Selon le DSM-5
Trouble psychotique bref :
- < 1 mois
- 1 seul Sx nécessaire
- Absence du critère de symptômes négatifs
Trouble schizophréniforme :
- < 6 mois
Schizophrénie :
- > 6 mois
- Atteinte du niveau de fonctionnement dans un domaine majeur (critère B ci-dessous)
Quels sont les critères diagnostiques du trouble schizophréniforme?
DSM-5
Qui suis-je?
Trouble de type « schizophrène », mais dont la durée de temps est entre 1 et 6 mois.
Trouble schizophréniforme
Quels sont les critères diagnostiques du trouble schizo-affectif?
DSM-5
Critère A de la schizophrénie (doit être absent) :
Deux (ou plus) symptômes parmi les symptômes suivants, chacun devant être présent dans une proportion significative de temps au cours d’une période d’un moins (ou moins en cas de traitement efficace). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent:
1. Idées délirantes.
2. Hallucinations.
3. Discours désorganisé (p. ex. incohérences ou déraillements fréquents)
4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
5. Symptômes négatifs (aboulie ou diminution de l’expression émotionnelle).
Qui suis-je?
Trouble présentant des symptômes mixtes de schizophrénie et de trouble affectif avec un épisode maniaque.
Préciser le sous-type!
Trouble schizoaffectif de type bipolaire
Qui suis-je?
Trouble présentant des symptômes mixtes de schizophrénie et de trouble affectif avec des épisodes dépressifs caractérisés seulement.
Préciser le sous-type!
Trouble schizoaffectif de type dépressif
Absence de manie
Qui suis-je?
Trouble présentant des symptômes mixtes de schizophrénie et de trouble affectif avec des épisodes dépressifs caractérisés ainsi qu’un épisode maniaque.
Préciser le sous-type!
Trouble schizoaffectif de type bipolaire
Des épisodes dépressifs caractérisés peuvent être observés
Quels sont les critères diagnostiques du trouble délirant?
DSM-5
Quels sont les critères diagnostiques du trouble psychotique bref?
DSM-5
Le trouble délirant est caractérisé par la survenue de quoi?
Une idée délirante unique ou d’un ensemble d’idées délirantes apparentées
qui peuvent parfois persister durant toute la vie
Vrai ou Faux
Le début du trouble délirant est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntone).
Vrai
Définir un délire.
- Conviction erronée
- Irréductible par la logique
- Non conforme aux croyances de son groupe
- Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
- Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
- Raisonnement irréductible par la logique : Ce n’est pas en présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
- Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
Le trouble délirant peut engendrer fréquemment des hallucinations envahissantes auditives ou visuelles.
Faux
- Pas fréquent
- Pas envahissant
En plus du type mixte ou non spécifié, nommez les 5 autres sous-types du trouble délirant.
- Persécution
- Somatique
- Érotomane
- Mégalomane
- Jalousie
- Mixte ou non spécifié (atypique)
Définir le sous-type de persécution du trouble délirant.
Le patient est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
Définir le sous-type somatique du trouble délirant.
Le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus.
Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau.
Définir le sous-type érotomane du trouble délirant.
Porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers le patient, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée.
Plus souvent de type spirituel que sexuel
Le patient interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
Définir le sous-type mégalomane du trouble délirant.
Le patient pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou pour occuper un statut très important.
Délire de grandeur
Définir le sous-type mixte ou non spécifié du trouble délirant.
Ne correspond pas précisément à un sous-type particulier du trouble délirant
Définir le sous-type de jalousie du trouble délirant.
- Porte sur la conviction des infidélités de la conjointe.
- Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins.
Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
Vrai ou Faux
Dans le trouble délirant de type somatique, montrer des examens normaux au patient permettra de le sortir de son délire.
Faux
Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux.
Comparez l’âge du début de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Indéterminé
- Trouble délirant : 35-45 ans
- Schizophrénie paranoïde : 20-30 ans
Comparez les caractéristiques du délire de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Absent
- Trouble délirant : Bien systématisé, cohérent, plausible, encapsulé
- Schizophrénie paranoïde : Peu systématisé, incohérent, bizarre, envahissant
Comparez les caractéristiques des hallucinations de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Absente
- Trouble délirant : Rares, non envahissantes
- Schizophrénie paranoïde : Habituelles, envahissantes
Comparez les caractéristiques du contact avec la réalité de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Préservé
- Trouble délirant : Bon (sauf en ce qui concerne le délire)
- Schizophrénie paranoïde : Gravement perturbé
Comparez le style du comportement de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Réservé, méfiant
- Trouble délirant : Rigide, défensif, agressif
- Schizophrénie paranoïde : Bizarre
Comparez la détérioration du fonctionnement de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Aucune
- Trouble délirant : Légère (sauf si le délire devient envahissant)
- Schizophrénie paranoïde : Progressive
Comparez la durée moyenne d’hospitalisation de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde : Aucune
- Trouble délirant : 2-3 semaines
- Schizophrénie paranoïde : 1-2 mois
Comparez l’adaptation sociale de ces 3 diagnostics :
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde
- Personnalité paranoïde :
> Performance de travail convenable, mais contaminée par de nombreux conflits interpersonnels
> Difficultés conjugales fréquentes - Trouble délirant : Effort continuel pour réussir son travail (la pensée étant contaminée par le système délirant)
- Schizophrénie paranoïde :
> Retrait, isolement
> Perte d’habiletés sociales
Nommez 2 facteurs de bon pronostic du trouble délirant.
- Début brutal ou progressif?
- Stresseur identifié ou inconnu?
- Début brutal
- Stresseur bien identifié
Vrai ou Faux
Le délire peut être teinté par la culture.
Vrai
- Un blanc nord-américain croit être surveillé électroniquement
- Le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits
- Etc.
Quels sont les facteurs de mauvais pronostic de la thérapie du trouble délirant?
- Contre-transfert
- Tonus émotionnel intense
- Importance démesurée accordée à des détail
- Demandes multiples
- Relations conflictuelles entre les rdv
- Jugement & comportements influencés par le délire
- Risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé)
- Efficacité relative des médicaments
- Risque de violence