11 Les mécanismes d'adaptation à la fixée. Flashcards
Le poil absorbant
Le poil absorbant est une extension d’une cellule de l’épiderme de la racine
seigle

Les mycorhizes
Les mycorhizes sont des symbioses bénéfiques qui s’instaurent entre les racines de plantes et certains champignons du sol
abscission
En botanique, l’abscission (du latin ab, « loin » et scindere, « couper ») est le processus physiologique naturel par lequel un organe (le plus souvent une feuille, une fleur, un fruit), ou même une partie de la plante virevoltant (dits abscissiles) se détache d’une plante ou de sa racine.
les bourgeons

les tubercules de pomme de terre

le cactus


des dépressions cryptes


La transgénèse
La transgénèse est une technique issue du génie génétique qui consiste à intégrer dans le génome de l’individu d’une espèce un gène issu d’une autre espèce.
Les différentesétapes de la transgenèse
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
La synthèse de molécules organiques par photosynthèse et donc la croissance et la survie de la plante, dépendent de la quantité d’eau et d’ions minéraux prélevés par l’appareil racinaire. Des mécanismes permettent d’augmenter la surface d’absorption des racines.
a Les poils absorbants (ex. chez les plantes herbacées).
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
La synthèse de molécules organiques par photosynthèse et donc la croissance et la survie de la plante, dépendent de la quantité d’eau et d’ions minéraux prélevés par l’appareil racinaire. Des mécanismes permettent d’augmenter la surface d’absorption des racines.
a Les poils absorbants (ex. chez les plantes herbacées).
- Le poil absorbant est une extension d’une cellule de l’épiderme de la racine. De nombreux poils absorbants sont présents aux extrémités des racines. Ils forment une zone pilifère et assurent une surface de contact importante avec la solution du sol (400 m2 pour un plant de seigle).
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
La synthèse de molécules organiques par photosynthèse et donc la croissance et la survie de la plante, dépendent de la quantité d’eau et d’ions minéraux prélevés par l’appareil racinaire. Des mécanismes permettent d’augmenter la surface d’absorption des racines.
b Les mycorhizes (ex. chez les arbres).
##
b Les mycorhizes (ex. chez les arbres).
- Les filaments du champignon fonctionnent comme des extensions du système racinaire. Ils augmentent donc le contact avec sol et la surface d’absorption, Les filaments alimentent les cellules racinaires en eau et ions minéraux. Le champignon incapable de synthétiser des molécules organiques les reçoit de la plante.
2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
Dans les régions tempérées, l’hiver avec le gel rend l’eau inaccessible à la plante. Plusieurs mécanismes ont été mis en place pour assurer la survie de la plante.
a L’abscission des feuilles
- Quand les températures chutent ou quand la durée la lumineuse diminuent, changements hormonaux entraînent la chute des feuilles (=abscission). Avant la chute, ces changements hormonaux ont provoqué la dégradation de la chlorophylle des feuilles rendant la photosynthèse impossible.
- Les arbres n’ayant plus de feuilles ne transpirent plus, il n’y a plus de circulation de sève brute. Ils entrent en dormance.
b La dormance
- La dormance d’une plante est une période de repos où la plante cesse de croître. C’est le cas des arbres après l’abscission foliaire, les bourgeons sont dormants.
- Les plantes herbacées passent l’hiver dans le sol à l’état de racines ou de tiges emplies de glucides de réserve (ex: les tubercules de pomme de terre). La dormance des graines est une innovation évolutive importante. Elle permet à la graine d’attendre pour germer que les conditions soient favorables au développement de plante, qui assure la survie de la descendance.
2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
Dans les régions tempérées, l’hiver avec le gel rend l’eau inaccessible à la plante. Plusieurs mécanismes ont été mis en place pour assurer la survie de la plante.
a L’abscission des feuilles
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2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
Dans les régions tempérées, l’hiver avec le gel rend l’eau inaccessible à la plante. Plusieurs mécanismes ont été mis en place pour assurer la survie de la plante.
a L’abscission des feuilles
- Quand les températures chutent ou quand la durée la lumineuse diminuent, changements hormonaux entraînent la chute des feuilles (=abscission). Avant la chute, ces changements hormonaux ont provoqué la dégradation de la chlorophylle des feuilles rendant la photosynthèse impossible.
- Les arbres n’ayant plus de feuilles ne transpirent plus, il n’y a plus de circulation de sève brute. Ils entrent en dormance.
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
a Les adaptations pour résister à la sécheresse
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
a Les adaptations pour résister à la sécheresse
-
Les plantes de milieux arides ont mis en place des adaptations pour minimiser les pertes d’eau au niveau des feuilles:
- elles sont réduites à des épines pour limiter la transpiration. la tige charnue est remplie d’eau (ex: le cactus).
- elles sont recouvertes d’une cuticule épaisse, les stomates sont protégés dans des dépressions cryptes.
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
b Les réponses défensives des plantes contre des envahisseurs (virus, bactéries, animaux, champignons).
b Les réponses défensives des plantes contre des envahisseurs (virus, bactéries, animaux, champignons).
- Les tissus de revêtement rigides (cuticule, écorce) constituent la première ligne de défense.
- Les plantes produisent des toxines (ex: cyanure) capables de tuer les microorganismes ou de rendre malades les animaux herbivores
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
a Les adaptations pour résister à la sécheresse
-
Les plantes de milieux arides ont mis en place des adaptations pour minimiser les pertes d’eau au niveau des feuilles:
- elles sont réduites à des épines pour limiter la transpiration. la tige charnue est remplie d’eau (ex: le cactus).
- elles sont recouvertes d’une cuticule épaisse, les stomates sont protégés dans des dépressions cryptes.
b Les réponses défensives des plantes contre des envahisseurs (virus, bactéries, animaux, champignons).
- Les tissus de revêtement rigides (cuticule, écorce) constituent la première ligne de défense.
- Les plantes produisent des toxines (ex: cyanure) capables de tuer les microorganismes ou de rendre malades les animaux herbivores
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
La synthèse de molécules organiques par photosynthèse et donc la croissance et la survie de la plante, dépendent de la quantité d’eau et d’ions minéraux prélevés par l’appareil racinaire. Des mécanismes permettent d’augmenter la surface d’absorption des racines.
a Les poils absorbants (ex. chez les plantes herbacées).
- Le poil absorbant est une extension d’une cellule de l’épiderme de la racine. De nombreux poils absorbants sont présents aux extrémités des racines. Ils forment une zone pilifère et assurent une surface de contact importante avec la solution du sol (400 m2 pour un plant de seigle).
b Les mycorhizes (ex. chez les arbres).
- Les filaments du champignon fonctionnent comme des extensions du système racinaire. Ils augmentent donc le contact avec sol et la surface d’absorption, Les filaments alimentent les cellules racinaires en eau et ions minéraux. Le champignon incapable de synthétiser des molécules organiques les reçoit de la plante.
2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
Dans les régions tempérées, l’hiver avec le gel rend l’eau inaccessible à la plante. Plusieurs mécanismes ont été mis en place pour assurer la survie de la plante.
b La dormance
b La dormance
- La dormance d’une plante est une période de repos où la plante cesse de croître. C’est le cas des arbres après l’abscission foliaire, les bourgeons sont dormants.
- Les plantes herbacées passent l’hiver dans le sol à l’état de racines ou de tiges emplies de glucides de réserve (ex: les tubercules de pomme de terre). La dormance des graines est une innovation évolutive importante. Elle permet à la graine d’attendre pour germer que les conditions soient favorables au développement de plante, qui assure la survie de la descendance.
Bilan
Bilan
- Les angiospermes ayant une vie fixée ont développé au cours de l’évolution des mécanismes d’adaptation pour lutter contre les contraintes de l’environnement. Certaines adaptations sont héréditaires et ont été conservées par sélection naturelle.
Bilan
Bilan
- Les angiospermes ayant une vie fixée ont développé au cours de l’évolution des mécanismes d’adaptation pour lutter contre les contraintes de l’environnement. Certaines adaptations sont héréditaires et ont été conservées par sélection naturelle.
Quels sont les mécanismes mis en place par les plantes pour répondre aux contraintes liées leur vie fixée
11 Les mécanismes d’adaptation à la fixée.
Quels sont les mécanismes mis en place par les plantes pour répondre aux contraintes liées leur vie fixée
1 Des mécanismes pour augmenter l’apport en éléments nutritifs.
La synthèse de molécules organiques par photosynthèse et donc la croissance et la survie de la plante, dépendent de la quantité d’eau et d’ions minéraux prélevés par l’appareil racinaire. Des mécanismes permettent d’augmenter la surface d’absorption des racines.
a Les poils absorbants (ex. chez les plantes herbacées).
- Le poil absorbant est une extension d’une cellule de l’épiderme de la racine. De nombreux poils absorbants sont présents aux extrémités des racines. Ils forment une zone pilifère et assurent une surface de contact importante avec la solution du sol (400 m2 pour un plant de seigle).
b Les mycorhizes (ex. chez les arbres).
- Les filaments du champignon fonctionnent comme des extensions du système racinaire. Ils augmentent donc le contact avec sol et la surface d’absorption, Les filaments alimentent les cellules racinaires en eau et ions minéraux. Le champignon incapable de synthétiser des molécules organiques les reçoit de la plante.
2 Des mécanismes d’adaptation aux variations saisonnières
Dans les régions tempérées, l’hiver avec le gel rend l’eau inaccessible à la plante. Plusieurs mécanismes ont été mis en place pour assurer la survie de la plante.
a L’abscission des feuilles
- Quand les températures chutent ou quand la durée la lumineuse diminuent, changements hormonaux entraînent la chute des feuilles (=abscission). Avant la chute, ces changements hormonaux ont provoqué la dégradation de la chlorophylle des feuilles rendant la photosynthèse impossible.
- Les arbres n’ayant plus de feuilles ne transpirent plus, il n’y a plus de circulation de sève brute. Ils entrent en dormance.
b La dormance
- La dormance d’une plante est une période de repos où la plante cesse de croître. C’est le cas des arbres après l’abscission foliaire, les bourgeons sont dormants.
- Les plantes herbacées passent l’hiver dans le sol à l’état de racines ou de tiges emplies de glucides de réserve (ex: les tubercules de pomme de terre). La dormance des graines est une innovation évolutive importante. Elle permet à la graine d’attendre pour germer que les conditions soient favorables au déve- loppement de plante, qui assure la survie de la descendance.
3 Des mécanismes de défense contre les agressions de l’environnement
a Les adaptations pour résister à la sécheresse
-
Les plantes de milieux arides ont mis en place des adaptations pour minimiser les pertes d’eau au niveau des feuilles:
- elles sont réduites à des épines pour limiter la transpiration. la tige charnue est remplie d’eau (ex: le cactus).
- elles sont recouvertes d’une cuticule épaisse, les stomates sont protégés dans des dépressions cryptes.
b Les réponses défensives des plantes contre des envahisseurs (virus, bactéries, animaux, champignons).
- Les tissus de revêtement rigides (cuticule, écorce) constituent la première ligne de défense.
- Les plantes produisent des toxines (ex: cyanure) capables de tuer les microorganismes ou de rendre malades les animaux herbivores
Bilan
- Les angiospermes ayant une vie fixée ont développé au cours de l’évolution des mécanismes d’adaptation pour lutter contre les contraintes de l’environnement. Certaines adaptations sont héréditaires et ont été conservées par sélection naturelle.