11. Exploitation d’aéronef Flashcards
Dans une situation d’urgence nécessitant l’utilisation de l’ELT, l’ELT devrait être déclenchée
(1) immédiatement et laissée dans la position « on ».
(2) à l’ETA prévue au plan de vol.
(3) pendant les cinq premières minutes de chaque heure UTC.
(4) le jour seulement afin de conserver la pile.
(1) immédiatement et laissée dans la position « on ».
Une ELT 121.5 MHz de bord peut être mise en marche pour en vérifier le fonctionnement à n’importe quel moment
(1) à la suite d’un atterrissage brutal.
(2) durant les 5 premières minutes d’une heure UTC donnée.
(3) à la suite du changement d’une pièce ou de pile.
(4) avant d’effectuer un vol, en écoutant sur 121.5 MHz.
(2) durant les 5 premières minutes d’une heure UTC donnée.
Vous pouvez vous assurer que l’ELT ne transmet pas, après le vol, en
(1) vérifiant si l’ELT est en position « off ».
(2) écoutant sur 121.5 MHz pour un signal.
(3) vous assurant que l’interrupteur général est en position « off ».
(4) vérifiant le voyant avertisseur de l’ELT
(2) écoutant sur 121.5 MHz pour un signal.
Toute émission accidentelle de votre ELT devrait être signalée
(1) au directeur de l’aéroport.
(2) à la G.R.C.
(3) au Ministre.
(4) à l’unité ATS la plus près.
(4) à l’unité ATS la plus près.
Lorsque tout moteur d’un aéronef est laissé en marche au sol et que personne ne se trouve à bord, des mesures
doivent être prises pour empêcher l’aéronef de se déplacer et
(1) l’aéronef doit demeurer dans le champ de vision du pilote en tout temps.
(2) l’aéronef ne doit pas être laissé sans surveillance
(3) l’aéronef doit avoir une masse brute inférieure à 4 409 lb (2 000 kg).
(4) les dispositifs de blocage des commandes sont installés.
(2) l’aéronef ne doit pas être laissé sans surveillance
Lorsqu’il y a une menace d’un orage, un décollage ou un atterrissage
(1) devrait être évité car un coup de vent brusque ou une turbulence à basse altitude pourrait vous faire perdre la maîtrise de l’aéronef.
(2) peut être accompli en sécurité si vous voyez à travers le bas de l’orage.
(3) devrait être évité à moins que le décollage puisse se faire en s’éloignant de l’orage.
(4) peut être accompli en sécurité si l’orage est considéré comme faible.
(1) devrait être évité car un coup de vent brusque ou une turbulence à basse altitude pourrait vous faire perdre la maîtrise de l’aéronef.
Un orage se trouve près de votre aérodrome de destination. Vous devriez
(1) atterrir en considérant l’effet du cisaillement de vent lors de l’approche finale.
(2) attendre à la verticale d’un point connu jusqu’à ce que l’orage ait bien traversé la région de l’aérodrome.
(3) atterrir aussitôt que possible.
(4) ajouter la moitié du facteur de rafale à votre vitesse d’approche et atterrir.
(2) attendre à la verticale d’un point connu jusqu’à ce que l’orage ait bien traversé la région de l’aérodrome.
La zone dangereuse du souffle de poussée au décollage s’étend à l’arrière d’un avion à réaction moyen porteur sur au moins
(1) 1 200 pieds.
(2) 900 pieds.
(3) 500 pieds.
(4) 450 pieds.
(1) 1 200 pieds.
La zone dangereuse du souffle au ralenti des réacteurs s’étend à l’arrière d’un avion gros porteur sur au moins
(1) 200 pieds.
(2) 450 pieds.
(3) 600 pieds.
(4) 750 pieds.
(3) 600 pieds.
La zone dangereuse du souffle au ralenti des réacteurs s’étend à l’arrière d’un avion moyen porteur sur au moins
(1) 200 pieds.
(2) 450 pieds.
(3) 600 pieds.
(4) 750 pieds.
(2) 450 pieds.
La zone dangereuse du souffle au ralenti des réacteurs s’étend à l’arrière d’un réacté d’affaires sur
(1) 200 pieds.
(2) 450 pieds.
(3) 600 pieds.
(4) 750 pieds.
(1) 200 pieds.
Une zone de souffle des hélices de 45 kt peut être anticipée sur …… derrière les hélices d’un gros avion équipé de turbopropulseurs.
(1) 60 pieds.
(2) 80 pieds.
(3) 100 pieds.
(4) 120 pieds.
(1) 60 pieds.
L’ATC vous avise que des exploitations sur des pistes qui se croisent sont en cours à un aéroport. Les pilotes peuvent s’attendre à une autorisation
(1) de décollage au-dessus d’un aéronef situé sur une piste qui en croise une autre.
(2) de décollage sur une piste parallèle spécifique.
(3) d’atterrissage et d’attente a l’écart avant l’intersection de la piste qui en croise une autre.
(4) d’atterrissage sur une piste parallèle spécifiée.
(3) d’atterrissage et d’attente a l’écart avant l’intersection de la piste qui en croise une autre.
Lorsque les pilotes reçoivent une autorisation d’atterrissage avec attente à l’écart avant l’intersection, les pilotes
(1) doivent respecter l’autorisation quelles que soient les circonstances.
(2) peuvent circuler de l’autre coté de l’intersection une fois que l’aéronef en partance ou à l’arrivée soit dégagé.
(3) qui, par inadvertance, traversent l’intersection, devraient faire demi-tour et remonter la piste jusqu’au point d’attente.
(4) devraient informer l’ATC immédiatement de l’impossibilité de respecter l’autorisation.
(4) devraient informer l’ATC immédiatement de l’impossibilité de respecter l’autorisation.