Urologie Flashcards
Vessie
Volume
Trigone vesicale
Detrusor -> 3 couches des muscles lisses
Volume: 250-300 ml mais peut aller jsq 500-600 ml
Trigone vesicale: 2 uretères + urètre . Contient les récepteurs de la pression (contraction et relaxation de la vessie)
Réservoir à basse pression
Appareil urinaire féminin bas
Fermeture urétrale
- plancher pelvien = réseau musculaire fibro-aponévrotiques provennt de muscle releveur de l’anus. Maintient: Comp ant avec vessie Comp moyenne vagin Comp post avec l’anus Moins puissant que chez H car muscles lisses disposés longitudinalement et obliquement. 4 cm urètre Fermeture urétrale : -rhabdospincter: muscle lisse le long de l’urètre entouré de muscle strié (continence) -Musculature de plancher pelvien - tissu sous-épithéliale - bride péri-urétrale
Appareil urinaire masculin bas
Vessie repose sur la prostate -> traversé par l’urètre prostatique (canaux ejaculateurs)
Urètre: 20-30 cm: prostatique, membraneux, caverneux
Sphincter interne: col vésical
Sphincter externe intrinseques: muscle lisse entouré de muscle strié
Voies neurologiques de la miction
Nerfs
Centres mictionelles
Stockage et vidange
SNC -> nerf pudendal -> col vésical + sphincter externe strié
SNA:
- nerf hypogastrique: sympathique
- nerf pelvien: parasympathique
Centres:
T10-L2 centre mictionnel sympathique
S2-S4 centre sacré de la miction: para et volontaire
Stockage et vidange -> centre reflexes de la moelle + cerveau
Voies afférentes sensitives -> S2-S4 -> cerveau -> contraction/ relâchement de sphincter strié
Récepteurs
Muscariniques
Adrénergiques
Contrôle normal
Muscariniques:
- M2 et M3 3:1
- M2 présents dans SNC/ cœur/ muscles lisses
- M3 glandes endocrines/ exocrines/ muscles lisses de vx/ tractus GI ou voies respiratoires
Donc EII: bouche sèche, vision floue, constipation
Adrénergique:
alpha 1a -> prostate, urètre, col de la vessie contraction NORA -> anatg pour + vidange
Beta 3 -> relaxation de e la vessie NORA -> beta3 mim -> si vessie hyperactive
Controlé normal:
- para -> acth -> rec musc M3 -> contraction de detrusor -> vidange
- ortho -> NOR -> relaxation de detrusor beta3 et contraction de l’urètre alpha1a
Processus mictionnel
Miction
2-3 ans on commence à contrôler.
1 phase de remplissage:
- stimulation des rec alpha adrénergiques -> contraction des sphincters urétraux
- stimulation des récepteurs beta -> relaxation de la vessie
- contraction de sphincter externe extrinsèque
2. Phase de vidange
Rec acth -> contraction de la vessie + inhibition de l’activité sympathique et somatique -> relâchement de l’urètre.
Miction: entrée de faible qqtité des urines dans l’urètre (pression urétrale < pression intravésicale) -> relaxation volontaire des muscles urétraux. Chez l’homme: + pression abdomianle (léger) -> debit dans l’urètre -> contraction réflexe de detrusor -> vidange par force
Fin:
- contraction des muscles de plancher pelvien
- contraction de muscles urétraux
- contraction des muscles de col vésical (milk back) pour s’assurer que a une goutte d’urine ne reste dans l’urètre car cela déclenche des contractions de la vessie.
Max 8 fois par jour
Réflexe mictionnel
Mécanorécepteur dans le trigone (reservoir à basse pression) -> centre mictionnel dans la moelle -> cerveau -> reponse activation para inhibition symp + somatique
Continence
2-3 ans la perception se développe au même temps que les voies nerveuse qui relient la vessie -> conscience de la vessie pleine.
Pendant sommeil -> ganglions de base inhibe contraction de detrusor. Énurésie peut etre provoqué par deficit en ADH chez l’homme plus agé, augmentation de retour veineux
Trauma rénale généralités
Organe le + fréquemment atteint ds polytrauma
Abstention chirurgicale dans 90%
Classification trauma reins
I. Contusion ou hématome sous-capsulaire
II. Hématome périrénale ou rupture corticale
III. Rupture corticale > 1 cm ou extravasation des urines
IV. Lésion du système collecteur/ lésion vasculaire avec thrombose ou hématome auto-illimité
V. Dévascularisation segmentaire/ rupture du pédicule rénal
Intervention apd de stade IV car svnt patient instable hémodynamiquément.
arret de saignement. Jsq moment patient est stable il y a pas d’indication pour ouvrir.
Trauma vésicale
Contexte: vessie pleine, trauma de bassin
Prise en charge:
- scanner ou urétro-cystographie rétrograde (UCR) mais on fait plutot scannent car tres souvent polytrauma.
- prise en charge en fonction si intra ou extra-péritonéale
Extra-péritonéale: drainage vésicale pendant 10 jours a condition que pas de rupture de l’urètre
Intra-péritonéale: suture chir urgente car pas de mécanisme de compression -> urine + intestins -> iléus intestinal
Toute fracture de bassin -> confirmer/ infirmer fracture vésicale
Svnt hématurie macroscopique
Trauma urétral
Classification
Triade
Prise ne charge en fonction de classification
Toute trama de bassin -> vessie + urètre
Le + svnt urètre post
Prise en charge selon classification EAU:
I. Élongation sans extravasation de produit de ctrst
II. Contusion avec uretroragie mais sans extravasation du produit de ctrst
—-> on peut mettre une sonde pour I et II
III. Rupture partielle
IV. rupture complète de l’uretère antérieur
V. Rupture complète de l’urètre post
VI. Rupture complete de l’urètre post avec lesion du col vésical
Triade: - retention urinaire aigue - urettrrorgaie - hematome en ailes de papillons Examens: - scanner -> on regarde la vessie aussi - UCR -> voir ctrst - si on a mis cystocath (echo) -> UCA IRM en différé
Prise en charge: I. Pas de tt II et IIItt conservateur avec CK IV et V tt chir différé VI répéartion immédiate (on fait pas sauf si lesion de col vésical, instabilité, laparotomie car risque ++++ d’infection, stenose impuissance.on fait plutot pour empêcher la fermeture des orifices
Reconstruction à distance jsq 3 mois après trauma (propre et programmé avec hématome réduit ce qui permet une diminution de la mobilisation des nerfs érecteurs).
Urethroplastie soit bout à bout soit lambeau de muqueuse buccale (pas quand on a un hématome)
* réalignement endoscopqiue précoce 5-15 jours en cas de rupture partielle car ca diminue taux de sténose et facilite urétroplastie ultérieure. Mais R+++ d’incontinente et impuissance.
Trauma de la verge
- anamnèse
- angulation, hématome, D+ violente
- parfois uretrorragie
diagnostic: échographie + intervention urgente pour vidanger hématome et réparer l’albuginée pour empêcher des troubles érectiles par fibrose.
Trauma: urètre membrnaux mais + svnt au niveua pénien
Si hématome sans rupture de la tunique albuginé -> tt conservateur
Paraphimosis
- les adherences -> Ona drive plus a recalotter
Adultes: sonde urinaire si on recalotte pas
Si patient ne laisse pas faire -> on doit inciser on peut aussi proposer circonsicion
Phimosis
- les adhérences on peut pas décalotter
Traumatisme de scrotum
Bilan
Scrotum aigue
Bilan -> echodoppleer + clinique - contusion simple -> tt conservateur - hématocele volumineux -> chir car risque de compression de la vascularisation des testicules A. Scrotum aigue - torsion de cordon spermatique - torsion e l(hydatide de morgagni - orchipeididimyite -trauma - tumeur B. Gangrène de Fournier C. Réténtion aigue d’urines D. Priapisme art/ veineux
Scrotum aigue
Différent de trauma de scrotum car sans forcément de traumatisme Premiere chasse à laquelle il faut penser -> torsion do cordon spermatique Exploration chir en 6 h - torsion cordon - torsion de hydatide de Morgane - orchiepidimyite - trauma - tumeur
Torsion du cordon spermatique
Le + svnt enfan/ jeune ado
Premeire cause d’orchidectomie
Anamnèse: important pour le diagnostic durée d’évolution
100% récup si <3 h
90% si <6h
50% si ischémie <10%
Examen clinique:
- testicules horizontlaisés (Prehn) peut etre masqué pendnat l’œdème
- abolition de réflexe cremasterien
- pas de soulagement pendant le soulèvement de testicule (Gouverneur négatif) posiitf dans orchiepidymite
Examen complémentaire: Doppler peut confirmer mais pas exclure -> perte de temps
Exploration chir:
- détorsion, réchauffement, orchidopexie si trop tard orchidectomie
Gangrène de Fournier
Terrain particulier (DT, cirrhose, ID, mauvais hygiene)
+
Cause lococrégionale abcès, anal, cutané, fistule, sténose, trauma
Germes anaérobies -> thrombose capillaire sous-cutané -> nécrose -> extension locale extrêmement rapide
Mortalité 50%
TT: AB à large spectre + sérum antitétanique, héparinothérapie dès qu’il part en bloc, debridation, dérivation urinaire et digestif s’il faut et oxygénothérapie hyperbare
Urgence
Réténtion aigue des urines TT Contexte Examen clinique CI cystocath
Vessie pleine =/= anurie
D+
Urgence -> dilatation des reines et uretères
TT: sonde ou cath SI prostatite, fausse route urétrale, sténose * mieux prendre sonde + grande 18 h et 14/16 F
Faut pas vider à une fois car on peut provoquer le saignement (syndrome de lever un obstacle)
Cystocath: 2 doigts au dessu de symphyse pubienne Ci si:
- suspicion de néoplasie vésicale
- pontage croisée
- remaniements abdominaux post-chir
- troubles de coagulation
Examen clinique:
-Agitation
- matité sus-pubienne
- globe vésicale
Contexte: - adénome Prost, prostatite - post-op - hématurie et caillotage (accumulation des GR) - trauma périnéal - fécalmoe - psychotropes AntiAch DD avec anurie
Priapisme definition
Types:
Eerrction > 6 h -> D+ par hypoxie risque d’impuissance ultérieur
Artérielle: à haut débit creation de fistule arterio-veienux traumatique plus rare et + pronostic
Veineux à bas debit: obstruction de retour veineux -> hypoxie, acidose, œdème, nécrose. C’est l’urgence
Priapisme veineux
- absence de drainage des corps caverneux via veine profonde -> corps caverneux durs + mais gland et corps spongieux moux car drianés pas veine superficielle ils seront donc mous. Absence de drainage -> thrombose -> ischémie -> fibrose
Cause: - déséquilibre neurovégétatif
- deregulation de cycle NO
Anamnèse: la + de temps sans étiologie
Étiologie: - psychotropes
- injection intra-caveneuse
- drépanocytose
- tumeur petit bassin
- neurologique
- traumatique
Examen clinique: D, verge rigide sauf gland et corps spongieux.
Prise en charge: Hémogramme + bilan de l’hémostase + antalgiques
TT: apres 4 h hypoxie, 5 h ischémie + fibrose et apres 1 jour fibrose + nécrose
Rinçage des corps caverneux + éventuellement alpha-mimétiques (monitoring cardiaque)
Si drépanocytose: - O2, transfusion, hyper hydratation, effortil (diminue viscosité) + alcalinisation
TT si récidive: étilefrine si erection >45 minutes
Priapisme artériel
- sponatné ou récidivant
- jsq 72h apres trauma
- D moindre
- eerction incomplete
Confirmation par Doppler
Pas d’ischémie
On fait drainage -> embolisation
Pas des alpha- mimétqiues
Colique néphrétique Définition Causes Symptômes Prise en charge
Hyperpression paroxystique de la voie urinaire sup secondaire à une obstruction
Pas forcement à un calcul:
- calcul
- compression extrinsèque
- tumeur voies excrétrices
- calcul indinavir (médoc antiretroviral)
- nécrose papillaire
- tuberculose urinaire
Symptômes:
- D lombaire brutale unilat et irradiant vers les organes génitaux externes
- agitation
- pollakurie parfois
- des urgences micitonelles
- hématurie
- signes indirects: nausée + vomissement
Pas calcul qui fait mal mais la dilatation
Prise en charge:
- gestion de la douleur AINS -> morphiniques (attention affaiblissement de péristaltisme)
- diagnostic au CT-scan spiralé (calcul ou non, localisation exacte d’obstacle, idée de composition)
- facteurs de complication ÉMU + bio
Possibilité d’élimination spontanée
Drainage d’urgence
Colique néphrétique critères de drainage d’urgence
- sepsis/ pyonéphrose
- rein unique/ obstacle bilat
- IRA
- D incontrôlable
- dilatation majeure/ urinome -> extravasation des urines à cause de la pression
- grossesse (peut favoriser l’accouchement prématuré)
Technique: sonde endo-urétrale ou nephrostomie percutanée
Calcules et grossesse Généralités Genèse des calculs Diagnsotic TT
- Lithiases stt 2eme et 3 eme trimestre
-+ fréquentes chez multipares - compression au niveau urétéral (dilatation au dessus du promontoire) + svnt droite
- stase urianire + progestérone -> caillot
Genèse: - flux rénal plasmatique + taux filtration glom + -> augm filtration Na et Ca et + clairance créatinine et acide urique. PTH diminue -> Ca reabsorbé des os -> hypercalciurie -> cristaux
+ risque de colique néphrétique -> + prématurité
Diagnostic: échographie abdominale Se +++
TT:
- flux rénal plasmatique + taux filtration glom + -> augm filtration Na et Ca et + clairance créatinine et acide urique. PTH diminue -> Ca reabsorbé des os -> hypercalciurie -> cristaux
- 80% expulsion sponatnée
- anti-infl->PG -> canal artériel
- morphiniques -> addiction chez foetus + retard de croissance
Pyélonéphrite aigue Symptômes Attention * Microbes: Diagnositc Dérivation en urgence TT
- parenchyme rénal inflammé + infection urinaire haute
Symptômes - lombalgie febrile
- frissons
- troubles urinaires bas appareil
- alteration etat general
- DT, éthylique, greffe rénal ca peut etre non-D
Microbes: E. coli, Proteus mirabilis, entérocoque, Klebsiella
Diagnostic: clinqiue + EMU. Si doute: scanner echo car si obstacle -> derivation en urgence
Dérivation en urgence colique néphrétique + obstacle fébrile -> derivation en urgence
Scanner avec contraste -> pour exclure abcès
TT: varie avec R des AB céphalosporine de 2eme génération / ciprofloxacine
+ antalgiques une fois crise D passée
Pyélonéphrite aigue
Critères d’hospitalisation
- syndrome inflammatoire imp
- D incontrôlable
- presence d’obstacle
- rein unique
- Grosssesse
- greffé, DT, ID
Cas particulières pyélonéphrite aigue
- obstacle -> derivation urinaire
- si récidive -> suspicion reflux vesico-ureteral/ abcès
- pyélonéphrite emphysémateuse urgence thérapeutique car gaz
Prostatite aigue
Symptômes
Définition
Symptômes:
- pyrexie,
- frissons
- D périnéale
- troubles urinaires du bas appareil
Prise en charge
Prostatite aigue
- TR (pas de septicémie) par contre massage prostatique peut aggraver l’infection
- EMU
- HC
- biologie
Si tout - on fait spermatoculture
! Infection urinaire basse chez l’homme est prostatite jsq preuve de contraire !
Prostatite aigue tt
4-6 semaines à la base des AB et antalgiques
Alpha bloquants favorise évolution favorable
Si réténtion urinaire aigue -> sonde/cystocath
Prostatite aigue attention sur
Faire un bilan complet pour comprendre PQ,
Ca peut etre HBP
Ca peut etre spermoculture
DD hématurie
- hémorragie de voisinage
- coloration origine alimentaire
- médocs: RIfa, ibuprofene,
- métabolique: porphyrie, urobilirubine, myoglobinurie, hémolyse
- intoxication
Diagnsotic hématurie
Bandelette urinaire -> Se + mais Sp -
ECBU=Exmaen microscopique d’urine/ examen du sédiment urianire sur les urines fraîchement émises
Hématurie dans la uro et nephro
Uro:
- saigeenltn de l’arbre urinaire donc GR normal
Nephro: passage des GR via membrane basale -> pas des caillots (urokinase tubulaire), cylindres hématiques, protéinurie +++
Hemturie macroscopique
Observations
Localisation
- caillots -> uro
- preuve des 3 verres
initiale: urètre/ prostate
terminale: signe de localisation vésicale
totale: origine rénale mais si abondant -> pas d’importance
Hématurie macroscopique
Étiologie anamnèse
- Mode de vie: ethnicité, voyage, exposition aux cancérigènes, tabagisme actif, plantes chinoises
- contexte évocateur: trauma, chir uro, endo-uro, caractère cyclique, durée d’évolution
- ATCDs personnels: DT, drepanocytose, troubles de coagulation (epistaxis, willebrand, hématome), infections urinaires, calcules, tumeur, radiothérapie, ORL infeciton récente
- ATCDs familiaux: pb urologiques: polykystose renal, cancer voies urinaires, IR, suridté héréditaire (sydnrome d’Alport)
- TT: anticoagulants, AINS, anti agrégats, chimiothérapie
Examen générale hématurie macroscopique
- fièvre
- perte poids
- asthénie (IR, cancer)
- D osseuse
Signes fonctionnels à orientation urologique - pollakurie, dysurie -> appareil bas
- D lombaires chroniques/ coliques néphrétiques -> caillotage de la voie excrétrice/ pathologie lithiasique
- hyperthermie, brulures mictionelles -> infeciton
Symptômes évocateurs de néphropathie:
- prise de poids
- oedème
- HTA
Examen physique hématurie macroscopique
- retentissement hémodynamique Hypovolémie -> tachycardie, hypotension HTA maligne Vigilance vis-àvis des signes d’anémie - palpation hypogastrique -> globe vésicale - contact lombaire: tumeur/ polykystose - percussion fosses lombaires -> D+ colique néphrétique - œdèmes MI - touchers pelviens
Examens complémentaires hématurie macroscopique
D’office, en ambulatoire
D’office: - tigette urinaire - ECBU - Biologie: infection, IR, NFS, coagulation - Spot urinaire - Imagerie selon le cas En ambulatoires: - cystoscopie - imagerie (echo, CT scan, IRM) - urines de 24h
ECBU hématurie macroscopique
Glom:
- hématies a isotopiques,depigmentés, cylindres
Glomérulaire si:
- pas des signes uro
- 80% GR dysmorphiques
- cylindres hématiques (pathognomoniques)
- protéinurie < 0,5 g/j en l’absence,ce d’hématurie macroscopique
Extra-glom:
- GR normales, pigmentés, pas des cylindres
Protéinuries des 24 h pour hématurie macroscopique
> 2g/24h -> atteint glom
Hématurie macroscopique retentissement de l’hématurie
- numération formule sanguine + hémostase
- evaluation fonction rénale : urée, créât, clairance plasm
Echo voies urinaires hématurie macroscopique
Chercher: calculs, tumeurs rénales, cavités pyélocalicielles, vésicales, kystes
Signes indirects
Étude vx rénaux Doppler
1ere intention Se pas ouf donc faut enf aire les autres.
Uro-scanner hématurie macroscopique
Examen de référence pe remplacé par uro-IRM
- blanc pour calcules
- ctrst précoce -> vx parenchyme rénal
- ctrst tardive pour voies excrétrices
Urétrocytsosocpie hématurie macroscopique
Il faut etre sur de la sterilité des urines et absence de nitrate
- detection tumeur
- filière urétrale
- inspection méats urétéraux
Examen indispensable chez patient de >40 ans qui présente les FR tumeurs
Urétéroscopie hématurie macroscopique
- exploration haut appareil urinaire
Cytologie urinaire hématurie macroscopique
- tumeurs
- Se faible stt pour bas grade
Biopsie rénale hématurie macroscopique
- hematurie macro -> berger
- néphropathie diagnostic
- hématurie micro + protéinurie glom + HTA
Étiologie hématurie
Causes le + fréquentes: 4
Autres 6
Causes le + fréquentes: - tumeur urothélial ( vessie voie excrétrice supérieur, rein, prostate) - infection urinaire (bilharziose, TB) - lithiase - néphropathie et glomerulonéphrite Faut d’abord exclure cause uro 80% avant d’envoyer chez nephro * médocs anticoagulants -> explique pas tout Autres causes: - cystite et néphrite radique - HBP - endométriose - polykystose rénal - sténose urétrale ou urétérale - trauma - corps étrangères - trauma renal - infarctus rénal - malformation a-v - reflux vésico-urétéral - syndrome jonction pyélo-urétérale - nutcracker syndrome (pince vascu entre mésentérique sup et la veine rénale gauche)
Hématurie (macroscopique) asymptomatique
Néoplasie FR
++6
- H >F ++
- 35 >age
- Hématurie macroscopique ++
- tabagisme actif ou ancien ++
- aminés romantiques/ benzene
- antcd troubles irrritatfs et stockage vesicale ++
- antcd irradiation pelvienne
- antcd infection urinaires à répétition ou schistosomiase ++
- antcd sonde urinaire - de leur de longue date ++
Causes d’hématurie néphrologiques (hématurie macroscopique)
Néphropathie glomérulaire principalement ++++ - glomerluonephrite post-strepto rapidement progressive Berger (depots mesangiaux IgA membrano-proliferative - syndrome alport - néphrites interstitielles (immuno-allergiques
Absence de diagsnotic apres bilan (hematurie macrosopcique)
Attitude de surveillance
- forme peu severe de glomerulonephrite
- hématurie d’effort
apres activité physiologique prolongée
mécanisme: micro trauma rénaux/ vésicaux et perméabilité accru pendant l’effort
réévaluation apres qqs jours de repos - révélation secondaire cancer urologique
Surveillance: - analyse urines / 6mois
- contrôle tensionnel/ 6mois
- cytologie urinaire/ 6mois
- scanner, cystoscopie chez patient à haut risque/ 1 an si hematurie persiste
Hématurie arbre décisionnel
Hématurie (macro/micro) -> ECBU:
- infection urinaire
- fausse hématuries
- examen clinique, echo, analyse de culot, protéinurie, créatininémie
- > signes d’orientation uro ou hématurie isolé -> echo+ uroscanner -> tumeur ou rien. Si rien et FR de cancer urothélial -> pas de surveillance si FR de cancer urothélial le + -> urétéoscopie -> cancer/ surveillance
- > signes nephro -> ponction rénale -> glomN
HBP geenralités
Physiopath: 3 composantes, symptômes obstructifs,
adaptations vésicales nerveuses
Adaptation morphologiques
-Stt la zone transitionnelle (avec urètre)
Physiopathologie:
Si augmentation centripète -> obstruction vesico-urétrale:
composantes:
1. Statique: pousse sur trigone -> obstruction du col vésical/ urètre
2. Composante dynamique: augmentation du tonus des muscles lisses de l’urètre et de la prostate -> retrecisssment de conduit. Causé par rec alpha (responsables de tonicité)
Symptômes obstructifs/ symptomes d’évacuation:
- diminution de la force du jet urinaire
- retard d’apparition du jet
- jet intermittent
- tension abdominale
- sensation de vidange de la vessie incomplète
- gouttes retardataires
Changement de l’innervation sympathique -> + reponse alpha-adrénergiques de la vessie -> + force de contraction de la vessie. Et eu niveau parasympathique -> diminution des récepteurs AntiAch
Adaptations morphologiques: fibrose + hypertrophie -> symptomes irritatifs/ symptomes de remplissage: - pollakiurie: petites quantités - impériosité mictionnelle - incontinence par impériosité ——-> typique d’hyperactivité vesicale
En resume:Symptômes irritatifs + obstructifs
Tout ca -> décompensation vésicale: réténtion urinaire -> hypertrophie de detrusor -> augmentation de capcité de la vessie mais diminution de muscle ou fibrose -< perte de capcité de contraction
Complications HBP
- Stase urinaire -> infecitons
- Instabilité vésicale avec impériosité voir l’incontinence -> faiblesse de detrusor -> diverticules
- Réténtion urinaire (chronique)
- Urétéro-hydro-néphrose -> IR