UA 4 Flashcards

1
Q

La plupart des nerfs crâniens innervent la région du cou et de la tête. Il y en a cependant un qui innerve également les organes abdominaux, lequel ?
A) Glossopharyngien
B) Pathétique
C) Spinal accessoire
D) Trijumeau
E) Vague

A

E

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2
Q

Quelles régions ou structures sont innervées par les nerfs spinaux cervicaux ?
A) Hanches et membres inférieurs
B) Muscles, glandes, cou, épaule, membres supérieurs et mains
C) Organes génitaux et bas de l’appareil digestif
D) Paroi thoracique et abdomen
E) Tête, mâchoire, yeux

A

B

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3
Q

Quelle portion du système nerveux intervient pour réduire la fréquence cardiaque ?
A) Système nerveux sympathique
B) Système nerveux parasympathique
C) Système nerveux somatique
D) Système nerveux central
E) Aucun de ces systèmes

A

B

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4
Q

Quel type de récepteurs retrouve-t-on au niveau des organes effecteurs du système nerveux autonome sympathique ?
A) Récepteur adrénergique
B) Récepteur dopaminergique
C) Récepteur nicotinique
D) Récepteur muscarinique
E) Récepteur sérotoninergique

A

A

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5
Q

Quelle information sensitive est véhiculée par la première paire de nerfs crâniens ?
A) Les saveurs sucrées
B) L’odeur d’un parfum
C) Un stimulus douloureux
D) La lumière
E) Information provenant des récepteurs musculaires

A

B

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6
Q

Parmi les caractéristiques suivantes, laquelle peut-on attribuer au système nerveux parasympathique ?
A) Correspond au système d’alerte et de fuite de l’organisme
B) La longueur des fibres pré-ganglionnaires est généralement courte
C) Le neurotransmetteur libéré par les fibres post-ganglionnaires est l’acétylcholine
D) Innerve les fibres musculaires squelettiques
E) Sa stimulation produit une dilatation des pupilles

A

C

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7
Q

Lequel parmi les effets suivants n’est pas une réponse de la stimulation du système nerveux parasympathique ?
A) Augmentation de la digestion
B) Augmentation de la libération de glucose par le foie
C) Contraction de la pupille
D) Diminution de la fréquence cardiaque
E) Diminution du débit sanguin

A

B

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8
Q

Parmi les exemples de synapses suivants, laquelle fait intervenir principalement des récepteurs noradrénergiques ?
A) Synapse entre la fibre pré-ganglionnaire et post-ganglionnaire du système nerveux autonome sympathique
B) Synapse entre la fibre pré-ganglionnaire et post-ganglionnaire du système nerveux autonome parasympathique
C) Synapse entre la fibre post-ganglionnaire et l’organe effecteur du système nerveux autonome sympathique
D) Synapse entre la fibre post-ganglionnaire et l’organe effecteur du système nerveux autonome parasympathique
E) Synapse entre la fibre post-ganglionnaire et la glande médullosurrénale

A

C

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9
Q

Une des fonctions du système nerveux central

A

recevoir des influx nerveux sensitifs (afférents) qui détectent des stimuli provenant soit de l’extérieur ou de l’intérieur du corps

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10
Q

L’encéphale traite l’information et la transmet au reste du corps par l’intermédiaire du SNP en envoyant quoi et à qui

A

des influx nerveux moteurs (efférents) pour activer des muscles (squelettiques, lisses ou cardiaques) ou pour stimuler des glandes.

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11
Q

Le système nerveux périphérique est quoi?

A

le système qui relie le SNC et l’organisme (la périphérie)

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12
Q

De quoi est composé le système nerveaux périphérique

A

voies sensitives et voies motrices

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13
Q

voies motrice est composé de

A

système nerveux autonome et somatique

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14
Q

système nerveux autonome est composé de

A

système nerveaux sympathique et parasympathique

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15
Q

Le système nerveux périphérique est doté d’un système de câblage électrique particulier. L’organisation structurelle des fibres nerveuses diffère-t-elle de celle du système nerveux central

A

Oui

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16
Q

Nommez la structure nerveuse qui conduit l’information dans le système nerveux périphérique

A

nerf

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17
Q

un nerf

A

la structure nerveuse qui conduit l’information dans le système nerveux périphérique

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18
Q

Organisation des fibres nerveuses du SNP (voir figure 2)

A

A) Axone
B) Gaine de myéline
C) Endonèvre
D) Périnèvre
E) Épinèvre
F) Fascicule
G) Vaisseaux sanguins
H) Nerf

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19
Q

A) Axone
B) Gaine de myéline
C) Endonèvre
D) Périnèvre
E) Épinèvre
F) Fascicule
G) Vaisseaux sanguins
H) Nerf

A

Organisation des fibres nerveuses du SNP (voir figure 2)

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20
Q

Qu’entend-on par le fait que la plupart des nerfs sont mixtes ?

A

Ils renferment des fibres nerveuses sensitives et motrices ainsi que souvent des fibres du système nerveux autonome.

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21
Q

Quelles structures assurent la protection des fibres nerveuses qui constituent un nerf ?

A

L’endonèvre, la périnèvre et l’épinèvre.

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22
Q

L’endonèvre, la périnèvre et l’épinèvre.

A

structures assurent la protection des fibres nerveuses qui constituent un nerf

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23
Q

De quel type tissulaire l’endonèvre, la périnèvre et l’épinèvre sont-elles composées

A

Du tissu conjonctif

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24
Q

Le SNP est constitué majoritairement de deux types de nerfs. Nommez-les.

A

Les nerfs crâniens et spinaux

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25
Q

Les nerfs crâniens émergent de ?

A

l’encéphale

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26
Q

les nerfs spinaux émergent de ?

A

la moelle épinière.

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27
Q

Identifiez les 12 paires de nerfs crâniens

A

Olfactif (I), optique (II), oculomoteur (III), trochléaire (IV), trijumeau (V), abducens (VI), facial (VII), vestibulochochléaire (VIII), glossopharyngien (IX), vague (X), accessoire (XI), hypoglosse (XII).

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28
Q

Types de nerfs crâniens: sensitif

A

olfactif (I), optique (II) et vestibulocochléaire (VIII)

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29
Q

olfactif (I), optique (II) et vestibulocochléaire (VIII)

A

Types de nerfs crâniens: sensitif

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30
Q

Olfactif (I), optique (II), oculomoteur (III), trochléaire (IV), trijumeau (V), abducens (VI), facial (VII), vestibulochochléaire (VIII), glossopharyngien (IX), vague (X), accessoire (XI), hypoglosse (XII).

A

Identifiez les 12 paires de nerfs crâniens

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31
Q

Types de nerfs crâniens: moteur

A

oculomoteur (III), trochléaire (IV), abducens (VI), accessoire (XI) et hypoglosse (XII)

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32
Q

oculomoteur (III), trochléaire (IV), abducens (VI), accessoire (XI) et hypoglosse (XII)

A

Types de nerfs crâniens: moteur

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33
Q

Types de nerfs crâniens: mixte

A

trijumeau (V), facial (VII), glossopharyngien (IX) et vague (X)

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34
Q

trijumeau (V), facial (VII), glossopharyngien (IX) et vague (X)

A

Types de nerfs crâniens: mixte

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35
Q

Quelle est la différence dans l’organisation des fibres nerveuses qui constituent les nerfs crâniens et celles qui forment les nerfs spinaux ?

A

Les nerfs spinaux sont toujours mixtes tandis que certains nerfs crâniens peuvent être constitués seulement de fibres nerveuses sensitives ou motrices.

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36
Q

La plupart des nerfs crâniens innervent la région du cou et de la tête. Parmi ces derniers, il y en a un qui innerve pourtant une plus vaste région corporelle. Lequel ?

A

Le nerf vague.

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37
Q

Quelles régions sont innervées par le nerf vague (autre que la tête et le cou) ?

A

Le thorax (cœur et poumons) et une grande partie de l’abdomen (tube digestif).

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38
Q

les nerfs spinaux innervent quoi

A

toutes les régions de l’organisme ; du bout des doigts jusqu’au bout des orteils

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39
Q

fonction des nerfs spinaux

A

Ils relaient l’information entre la périphérie et le SNC et vice-versa.

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40
Q

Organisation générale des nerfs spinaux (voir figure 3)

A

A) Encéphale
B) Moelle épinière
C) Plexus brachial
D) Plexus lombo-sacré
E) Nerfs spinaux cervicaux (8 paires)
F) Nerfs spinaux thoraciques (12 paires)
G) Nerfs spinaux lombaires (5 paires)
H) Nerfs spinaux sacrés (5 paires)
I) Nerfs spinaux coccygiens (1 paire)

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41
Q

A) Encéphale
B) Moelle épinière
C) Plexus brachial
D) Plexus lombo-sacré
E) Nerfs spinaux cervicaux (8 paires)
F) Nerfs spinaux thoraciques (12 paires)
G) Nerfs spinaux lombaires (5 paires)
H) Nerfs spinaux sacrés (5 paires)
I) Nerfs spinaux coccygiens (1 paire)

A

Organisation générale des nerfs spinaux (voir figure 3)

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42
Q

Paroi thoracique et abdomen

A

nerfs spinaux thoraciques

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43
Q

nerfs spinaux thoraciques

A

Paroi thoracique et abdomen

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44
Q

Organes génitaux et bas de l’appareil digestif

A

nerfs spinaux sacrés

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45
Q

nerfs spinaux sacrés

A

Organes génitaux et bas de l’appareil digestif

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46
Q

nerfs spinaux cervicales

A

Muscles, glandes, cou, épaules, membres supérieurs et mains

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47
Q

Muscles, glandes, cou, épaules, membres supérieurs et mains

A

nerfs spinaux cervicales

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48
Q

Hanches et membres inférieurs

A

nerfs spinaux lombaires

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49
Q

nerfs spinaux lombaires

A

Hanches et membres inférieurs

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50
Q

Définissez dans vos termes, ce qu’est un stimulus sensoriel.

A

C’est une forme d’énergie perçue par des récepteurs sensibles à ce stimulus qui provient soit du monde extérieur ou de l’intérieur de l’organisme.

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51
Q

C’est une forme d’énergie perçue par des récepteurs sensibles à ce stimulus qui provient soit du monde extérieur ou de l’intérieur de l’organisme.

A

Définissez dans vos termes, ce qu’est un stimulus sensoriel.

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52
Q

Donnez quatre exemples de stimuli sensoriels.

A

Température (chaleur, froid), toucher, pression, lumière et son (aussi douleur, saveur, odeur, étirement).

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53
Q

Température (chaleur, froid), toucher, pression, lumière et son (aussi douleur, saveur, odeur, étirement).

A

quatre exemples de stimuli sensoriels.

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54
Q

Nommez et décrivez l’étape initiale de la perception des stimuli sensoriels.

A

C’est la transduction du stimulus: la forme d’énergie sensorielle est transformée en message électrique.

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55
Q

C’est la transduction du stimulus: la forme d’énergie sensorielle est transformée en message électrique.

A

l’étape initiale de la perception des stimuli sensoriels.

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56
Q

nommez les trois étapes principales de la transmission de l’information sensorielle vers le SNC suivant l’application du stimulus. (voir figure 4)

A

Étape 1: Transduction du stimulus (bout de la membrane réceptrice (stimulus sensoriel)
Étape 2: Génération de potentiels gradués (section de la membrane réceptrice)
Étape 3: Génération de potentiels d’action (axone myélinisé)

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57
Q

Spécifiez les types de canaux retrouvés sur la membrane réceptrice du stimulus sensoriel

A

canaux ioniques ligand-dépendants, canaux ioniques sensibles à l’étirement ou à la déformation membranaire, canaux ioniques sensibles à la lumière. Tous sont perméables aux Na+ et K+.

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58
Q

Spécifiez les types de canaux retrouvés sur l’axone myélinisé

A

canaux sodiques voltage-dépendants.

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59
Q

canaux sodiques voltage-dépendants.

A

types de canaux retrouvés sur l’axone myélinisé

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60
Q

canaux ioniques ligand-dépendants, canaux ioniques sensibles à l’étirement ou à la déformation membranaire, canaux ioniques sensibles à la lumière. Tous sont perméables aux Na+ et K+.

A

types de canaux retrouvés sur la membrane réceptrice du stimulus sensoriel

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61
Q

Qu’entend-t-on par codage ?

A

C’est la conversion des potentiels gradués (potentiels de récepteurs) en potentiels d’action qui véhiculent une information sensorielle jusqu’au SNC.

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62
Q

les principaux récepteurs sensoriels de l’organisme (voir la figure 5)

A

-toucher, douleur, température, proprioception
-odorat
-gout
-ouïe
-vue

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63
Q

Parmi les neurones récepteurs sensoriels, lesquels sont des chémorécepteurs ?

A

Les récepteurs gustatifs et de l’olfaction

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64
Q

Parmi les neurones récepteurs sensoriels, lesquels sont des photorécepteurs

A

Les récepteurs de la vue.

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65
Q

Comment nomme-t-on les récepteurs sensibles à la douleur ?

A

Les nocicepteurs.

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66
Q

Vous faites une pression sur votre peau à l’aide de la pointe de votre crayon. Décrivez les événements qui se déroulent durant les trois premières étapes de la transmission du stimulus sensoriel.

A

La pression est perçue par les récepteurs sensoriels sensibles au toucher. L’énergie mécanique est transformée en potentiels gradués. (La pression a mené à l’ouverture des canaux ioniques sensibles à la déformation membranaire du récepteur). Les potentiels gradués ont atteint le premier nœud de Ranvier et ont stimulé l’ouverture des canaux voltage-dépendants. Ceci a mené à la génération de potentiels d’action.

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67
Q

Quelle sera la conséquence d’une augmentation de la pression exercée par la pointe du crayon sur les potentiels gradués ?

A

Ils auront une plus grande amplitude

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68
Q

Quelle sera la conséquence d’une augmentation de la pression exercée par la pointe du crayon sur les potentiels d’action ?

A

Ils auront une fréquence plus élevée.

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69
Q

Tous les stimuli sensoriels sont codés de la même manière, c’est-à-dire qu’ils sont transformés en potentiels d’action. Comment le SNC est-il capable de reconnaître un type de stimulus sensoriel par rapport à un autre ?

A

Chaque type de stimuli est associé à une région spécifique au cortex cérébral qui traite l’information sensorielle.

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70
Q

Quelle région du cortex traite l’information des stimuli physiques (température, pression, douleur) ?

A

région somatosensitive

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71
Q

région somatosensitive

A

région du cortex traite l’information des stimuli physiques (température, pression, douleur)

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72
Q

Nommez les quatre caractéristiques des stimuli sensoriels qui influencent la fréquence des potentiels d’action.

A
  1. Modalité du stimulus
  2. Intensité
  3. Durée
  4. Localisation
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73
Q
  1. Modalité du stimulus
  2. Intensité
  3. Durée
  4. Localisation
A

les quatre caractéristiques des stimuli sensoriels qui influencent la fréquence des potentiels d’action.

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74
Q

Quel type de message sensoriel sera perçu par l’encéphale lorsqu’il y a de la pression et de la chaleur appliqué dans une zone cutanée n’ayant que des récepteurs sensibles à la chaleur

A

Perception de la chaleur

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75
Q

Quel type de message sensoriel sera perçu par l’encéphale lorsqu’il y a de la pression et de la chaleur appliqué dans une zone cutanée n’ayant que des récepteurs sensibles au toucher

A

Perception du toucher

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76
Q

Quel type de message sensoriel sera perçu par l’encéphale lorsqu’il y a de la pression et de la chaleur appliqué dans une zone cutanée n’ayant que des récepteurs sensibles à la chaleur et au toucher

A

Perception de la chaleur et du toucher

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77
Q

Si on projetait un rayon lumineux dans cette région n’ayant que des récepteurs sensibles à la chaleur et au taucher, y aurait-il une génération de potentiels d’action ? Expliquez.

A

Non puisque dans cette région il n’y a pas de récepteurs sensibles à la lumière

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78
Q

Quel type de récepteur peut générer des PA suivant une stimulation par un rayon lumineux ?

A

Les récepteurs de la rétine de l’œil (photorécepteurs).

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79
Q

Qu’est-ce qu’un champ récepteur ?

A

C’est une zone du corps qui est composée de plusieurs récepteurs et qui engendre une activité dans un même neurone sensoriel.

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80
Q

C’est une zone du corps qui est composée de plusieurs récepteurs et qui engendre une activité dans un même neurone sensoriel.

A

un champ récepteur

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81
Q

Expliquez le fait qu’une augmentation de l’intensité d’un stimulus mène à une augmentation de la fréquence des potentiels d’action.

A

Plus le stimulus est intense, plus le nombre de récepteurs dans le champ récepteur qui capteront le stimulus sera grand et d’autres récepteurs de neurones similaires avoisinants seront aussi activés par le stimulus (recrutement de récepteurs).

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82
Q

Qu’observez-vous quant à la fréquence des potentiels d’action suivant le stimulus sensoriel constant? (voir figure 7)

A

Elle diminue avec le temps.

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83
Q

À quoi attribuez-vous ce phénomène ou la fréquence des potentiels d’action suivant le stimulus sensoriel constant diminue avec le temps

A

Le neurone sensoriel s’adapte au stimulus sensoriel de sorte qu’il devient moins sensible à ce dernier avec le temps.

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84
Q

Donnez un exemple que vous vivez au quotidien.de ce phénomène ou la fréquence des potentiels d’action suivant le stimulus sensoriel constant diminue avec le temps

A

L’odeur ambiante n’est plus perçue après un certain temps.
Les vêtements portés ne sont plus perçus par les récepteurs de la peau. Etc.

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85
Q

La fréquence des potentiels d’action peut aussi dépendre de quoi?

A

du site d’application du stimulus dans le champ récepteur. (Comme l’illustre la figure 7-8 de votre manuel de référence Vander, p. 195).

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86
Q

Le stimulus qui est donné au centre du champ récepteur générera une fréquence plus importante de potentiels d’action. Expliquez.

A

Au centre, il y a un plus grand nombre de récepteurs sensoriels. La densité des récepteurs dans cette zone (au centre) est plus grande qu’aux extrémités du champ récepteur.

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87
Q

Hormis les caractéristiques mêmes du stimulus, quel autre facteur peut influencer la fréquence des potentiels d’action ?

A

Les fibres descendantes provenant de l’encéphale peuvent aussi moduler l’effet des potentiels d’action en régulant l’activation du récepteur par le stimulus sensoriel directement comme fibre pré-synaptique ou indirectement par l’intermédiaire d’un interneurone. Ces régulations réduisent ainsi l’impact des potentiels d’action (l’action produite est moindre que ce que dictait la fréquence initiale).

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88
Q

Aussi, le phénomène d’inhibition latérale participe à quoi

A

au fait que le stimulus donné au centre d’un champ récepteur génère une fréquence plus élevée de potentiel d’action.

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89
Q

Décrivez dans vos termes le phénomène d’inhibition latérale ?

A

C’est un phénomène par lequel l’information sensorielle des neurones en périphérie d’un point de stimulation est inhibée par rapport à l’information véhiculée par les neurones situés au centre de la stimulation. Cet effet est obtenu grâce à des influx inhibiteurs qui parviennent aux neurones périphériques par l’intermédiaire d’interneurones inhibiteurs.

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90
Q

C’est un phénomène par lequel l’information sensorielle des neurones en périphérie d’un point de stimulation est inhibée par rapport à l’information véhiculée par les neurones situés au centre de la stimulation. Cet effet est obtenu grâce à des influx inhibiteurs qui parviennent aux neurones périphériques par l’intermédiaire d’interneurones inhibiteurs.

A

le phénomène d’inhibition latérale

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91
Q

les stimuli sensoriels empruntent principalement 2 voies ascendantes

A

spécifique pour l’information tactile, la pression et la proprioception
non spécifique pour les stimuli douloureux, la température et le toucher grossier.
Une 3e voie, la voie spino-cérébelleuse participe également à la proprioception.

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92
Q

spécifique pour l’information tactile, la pression et la proprioception
non spécifique pour les stimuli douloureux, la température et le toucher grossier.
Une 3e voie, la voie spino-cérébelleuse participe également à la proprioception.

A

les stimuli sensoriels empruntent principalement 2 voies ascendantes

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93
Q

Quel est le centre de relais commun à tous les stimuli sensoriels (Sauf les stimuli de l’odorat) ?

A

thalamus

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94
Q

thalamus

A

le centre de relais commun à tous les stimuli sensoriels (Sauf les stimuli de l’odorat)

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95
Q

Au niveau cellulaire, qu’est-ce qui distingue les voies ascendantes spécifique et non spécifique ?

A

Contrairement aux voies spécifiques, les voies non spécifiques sont activées par des unités sensitives de plusieurs types (Toucher et température, par exemple). Les neurones de 2e ordre intègrent des informations sensitives de modalités différentes

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96
Q

Il existe plusieurs types de fibres nerveuses qui acheminent les informations sensorielles vers le cerveau. Nommez-en deux

A

Les fibres dites Aalpha (grosses fibres myélinisées) et Abéta (fines et myélinisées) sont les fibres associées à la proprioception et au touché/pression non douloureux, respectivement.

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97
Q

Que détectent les nocicepteurs ?

A

Les récepteurs sensoriels à la douleur (nocicepteurs) détectent soit des lésions cutanées ou des brûlures ainsi que des substances chimiques libérées par les cellules lésées.

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98
Q

Ils détectent soit des lésions cutanées ou des brûlures ainsi que des substances chimiques libérées par les cellules lésées.

A

Les récepteurs sensoriels à la douleur (nocicepteurs)

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99
Q

Nommez les types de neurotransmetteurs ou neuromodulateurs libérés par les nocicepteurs

A

La substance P et le glutamate en sont quelques-uns.

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100
Q

La substance P et le glutamate en sont quelques-uns.

A

les types de neurotransmetteurs ou neuromodulateurs libérés par les nocicepteurs

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101
Q

À quel endroit le neurone nocicepteur fait-il synapse avec un neurone de 2ème ordre ?

A

Du même côté du stimulus, au niveau de la moelle épinière (voie antérolatérale).

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102
Q

Quel phénomène est illustré dans la figure 8 de la transmission de la douleur

A

C’est un exemple du contrôle central (voies descendantes) sur les voies sensitives ascendantes de la douleur aussi appelée: analgésie par stimulation.

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103
Q

Déterminez le type de neurones impliqués dans cette figure (analgésie par stimulation) en spécifiant le neurotransmetteur libéré. (voir figure 8)

A

Type A): neurone sensoriel sécrétant de la substance P (ou du glutamate)
Type B): Interneurone local (de la moelle épinière) sécrétant des opioïdes endogènes
Type C): Interneurone du tronc cérébral sécrétant des opioïdes endogènes.

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104
Q

Où les récepteurs des opioïdes endogènes se trouvent-ils ?

A

Au niveau de la terminaison nerveuse du neurone sensoriel (synapses axo-axoniques) et au niveau du corps cellulaire du neurone de deuxième ordre qui transmet l’influx nerveux de la douleur.

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105
Q

Nommez les deux sites de régulation de la transmission de la douleur.

A

Au niveau du neurone pré-synaptique (sensoriel) et du neurone post-synaptique (de deuxième ordre).

106
Q

Au niveau du neurone pré-synaptique (sensoriel) et du neurone post-synaptique (de deuxième ordre).

A

les deux sites de régulation de la transmission de la douleur.

107
Q

Au niveau de la terminaison nerveuse du neurone sensoriel (synapses axo-axoniques) et au niveau du corps cellulaire du neurone de deuxième ordre qui transmet l’influx nerveux de la douleur.

A

Où les récepteurs des opioïdes endogènes se trouvent

108
Q

Lorsque vous étiez petits, on vous disait de frotter « fort, fort, fort » à l’endroit où vous vous étiez fait mal. Quel nom porte cette méthode d’atténuation de la douleur et expliquez son mécanisme d’action.

A

C’est l’équivalent de la méthode de « stimulation nerveuse électrique transcutanée ». Il y a une stimulation de fibres afférentes non nociceptives, ce qui atténue le signal de la douleur.

109
Q

La transmission de la douleur débute par ?

A

la stimulation des nocicepteurs situés sur les neurones sensoriels primaires dont le corps cellulaire est situé dans les ganglions spinaux

110
Q

2e étape de la transmission de la douleur

A

L’influx nerveux poursuit sa route à travers un neurone spino-thalmique, puis un neurone thalamo-cortical (vers le cortex somatosensitif).

111
Q

3e étape de la transmission de la douleur

A

L’information douloureuse est ensuite analysée et traitée dans différentes aires associatives corticales (neurones cortico-corticaux)

112
Q

différentes fibres nerveuses dont les terminaisons libres sont des nocicepteurs

A
  • Les fibres nerveuses A-delta (delta miniscule)
  • Les fibres nerveuses C
113
Q
  • Les fibres nerveuses A-delta (delta miniscule)
  • Les fibres nerveuses C
A

différentes fibres nerveuses dont les terminaisons libres sont des nocicepteurs

114
Q

Fibres A-delta types de stimuli

A

Stimuli mécaniques et thermiques

115
Q

Stimuli mécaniques et thermiques

A

Fibres A-delta types de stimuli

116
Q

Fibres C types de stimuli

A

Stimuli mécaniques, thermiques et chimiques

117
Q

Stimuli mécaniques, thermiques et chimiques

A

Fibres C types de stimuli

118
Q

Fibres A-delta gaine de myéline

A

oui

119
Q

Fibres C gaine de myéline

A

non

120
Q

Fibres C diamètre

A

0,2 à 1,5 µm

121
Q

0,2 à 1,5 µm

A

Fibres C diamètre

122
Q

Fibres A-delta diamètre

A

1 à 5 µm

123
Q

1 à 5 µm

A

Fibres A-delta diamètre

124
Q

Fibres A-delta Vitesse de conduction

A

5 à 40 m/s

125
Q

5 à 40 m/s

A

Fibres A-delta Vitesse de conduction

126
Q

Fibres C Vitesse de conduction

A

0,5 à 2 m/s

127
Q

0,5 à 2 m/s

A

Fibres C Vitesse de conduction

128
Q

Fibres A-Delta Sensation

A

Douleur vive, aigue et précise

129
Q

Douleur vive, aigue et précise

A

Fibres A-Delta Sensation

130
Q

Fibres C Intensité du stimulus

A

+++

131
Q

Fibres A-delta Intensité du stimulus

A

++

132
Q

Fibres C Sensation

A

Douleur diffuse, plus sourde

133
Q

Douleur diffuse, plus sourde

A

Fibres C Sensation

134
Q

Les fibres C constituent quoi?

A

90-95% des fibres cutanées et presque toutes les fibres viscérales

135
Q

la composante A-delta (plus rapide) qui rend possible quoi

A

nos réflexes de retrait suite à une douleur lorsqu’on marche sur un objet pointu, par exemple

136
Q

Qu’est-ce qui rend possible nos réflexes de retrait suite à une douleur lorsqu’on marche sur un objet pointu, par exemple

A

la composante A-delta (plus rapide)

137
Q

Les neurones primaires ou de premier ordre (fibres A-delta et C) dont les corps cellulaires sont situés ou?

A

dans les ganglions spinaux. Ils pénètrent dans la moelle épinière au niveau de la corne postérieure

138
Q

Les neurones primaire font synapse avec quoi

A

un neurone de second ordre

139
Q

trois classes de neurones secondaires :

A
  • Un neurone de projection c’est-à-dire qui relaye directement l’information vers le cerveau ;
  • Un interneurone excitateur qui transmet l’information vers un neurone de projection ou d’autres interneurones ou encore un neurone moteur responsable des réflexes ;
  • Un interneurone inhibiteur.
140
Q
  • Un neurone de projection c’est-à-dire qui relaye directement l’information vers le cerveau ;
  • Un interneurone excitateur qui transmet l’information vers un neurone de projection ou d’autres interneurones ou encore un neurone moteur responsable des réflexes ;
  • Un interneurone inhibiteur.
A

trois classes de neurones secondaires :

141
Q

Le système nerveux qui contrôle les mouvements volontaires de l’organisme suit une organisation plus complexe que l’intégration des influx sensoriels. Donnez un exemple

A

Par exemple, pour prendre un livre dans ses mains, le mouvement doit être tout d’abord intentionné. Ceci est exercé par les centres supérieurs qui comprennent les aires de l’encéphale intervenant dans la mémoire, les émotions et la motivation. Ensuite, les influx venant des centres supérieurs atteignent d’autres structures de l’encéphale

142
Q

Nommez les aires motrices du cortex qui sont impliquées dans la régulation du mouvement et de la contraction musculaire et décrivez leur implication dans la fonction motrice.

A

Aire motrice primaire: elle est impliquée dans l’exécution des mouvements musculaires.
Aire motrice supplémentaire et aire pré-motrice: Elles sont impliquées dans la coordination et la planification de la séquence des mouvements. Elles envoient aussi des influx à l’aire motrice primaire du cortex.

143
Q

Aire motrice primaire: elle est impliquée dans l’exécution des mouvements musculaires. Aire motrice supplémentaire et aire pré-motrice: Elles sont impliquées dans la coordination et la planification de la séquence des mouvements. Elles envoient aussi des influx à l’aire motrice primaire du cortex.

A

les aires motrices du cortex qui sont impliquées dans la régulation du mouvement et de la contraction musculaire et décrivez leur implication dans la fonction motrice.

144
Q

Les influx moteurs partent de ces trois aires motrices du cortex cérébral et peuvent atteindre quoi

A

soit les motoneurones ou les interneurones directement à la moelle épinière, ou soit les interneurones en passant indirectement par le tronc cérébral. (voir figure 9)

145
Q

Nommez les trois niveaux hiérarchiques de la transmission motrice.

A

Cortex cérébral
Tronc cérébral
Moelle épinière

146
Q

Cortex cérébral
Tronc cérébral
Moelle épinière

A

les trois niveaux hiérarchiques de la transmission motrice.

147
Q

Structure impliquée dans la réponse réflexe

A

Moelle épinière

148
Q

Moelle épinière

A

Structure impliquée dans la réponse réflexe et Loge les motoneurones

149
Q

Régule l’activité des interneurones de la moelle épinière impliqués dans le contrôle de la posture.

A

Tronc cérébral

150
Q

Est impliqué dans le mouvement des muscles oculaires et de la tête

A

Tronc cérébral

151
Q

Loge les neurones primaires qui stimulent directement les motoneurones de la moelle épinière

A

Cortex cérébral

152
Q

Loge les motoneurones

A

Moelle épinière

153
Q

Quelles autres structures du système nerveux régulent la réponse motrice ?

A

Le cervelet d’une part et le thalamus et les noyaux gris centraux d’autre part.

154
Q

Décrivez leur implication motrice pour le cervelet

A

impliqué dans la précision des mouvements (il compare la commande motrice avec la réponse motrice résultante) et leurs coordinations

155
Q

Décrivez leur implication motrice pour les noyaux gris centraux et le thalamus

A

dans la planification et l’initiation des mouvements.

156
Q

Comparativement aux voies sensitives qui nécessitent au minimum trois neurones pour transmettre l’information au cerveau, combien de neurones (au minimum) sont nécessaires pour conduire l’information motrice vers la périphérie?

A

2

157
Q

Nommez les principales voies motrices

A

Voie 1: Voie corticospinale
Voie 2: Voie du tronc cérébral

158
Q

Voie 1: Voie corticospinale
Voie 2: Voie du tronc cérébral

A

les principales voies motrices

159
Q

Quelles réponses musculaires les principales voies motrices régulent-elles

A

Voie 1: mouvement des muscles squelettiques de la périphérie
Voie 2: contrôle de la posture, de l’équilibre et de la marche.

160
Q

Voie 1: mouvement des muscles squelettiques de la périphérie
Voie 2: contrôle de la posture, de l’équilibre et de la marche.

A

réponses musculaires que les principales voies motrices régulent

161
Q

Les trois quarts des influx partant du cortex décussent (croisent) au niveau de quoi

A

du tronc cérébral.

162
Q

Les prolongements de ces neurones moteurs qi décussent au niveau du tronc cérébral atteignent quoi

A

la moelle épinière du côté dorso-latéral

163
Q

Le quart restant des influx partant du cortex descendent sans croisements au niveau de la moelle épinière et atteignent quoi?

A

la moelle épinière du côté ventral. C’est au niveau de la moelle épinière qu’ils décussent

164
Q

Quelle serait la conséquence de la lésion du cortex moteur droit ? Justifiez votre réponse

A

Une perte de mouvement des muscles du côté gauche du corps étant donné la décussation du faisceau cortico-spinal au niveau du tronc cérébral.

165
Q

Définissez dans vos termes ce qu’est un motoneurone.

A

Fibre nerveuse motrice de deuxième ou de troisième ordre qui part de la moelle épinière et qui fait synapse avec le muscle squelettique, formant alors la jonction neuromusculaire

166
Q

Fibre nerveuse motrice de deuxième ou de troisième ordre qui part de la moelle épinière et qui fait synapse avec le muscle squelettique, formant alors la jonction neuromusculaire

A

un motoneurone.

167
Q

Quel type de neurotransmetteur les motoneurones libèrent-ils ?

A

L’acétylcholine

168
Q

L’acétylcholine

A

type de neurotransmetteur les motoneurones libèrent

169
Q

Quels types de récepteurs sont stimulés par le neurotransmetteur des motoneurones ?

A

Les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine

170
Q

Les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine

A

types de récepteurs sont stimulés par le neurotransmetteur des motoneurones

171
Q

Où ces récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine sont-ils localisés ?

A

Sur la membrane plasmique du muscle.

172
Q

Fonctions dites végétatives

A

notre organisme régule aussi de façon autonome différentes fonctions motrice et hormonal

173
Q

des exemples de fonctions végétatives

A

Par exemple, notre cerveau ne planifie pas de façon volontaire la contraction cardiaque, ni la contraction péristaltique de la paroi musculaire du tube digestif lorsque nous digérons.

174
Q

Les fonctions végétatives sont dirigées par?

A

système nerveux autonome.

175
Q

les deux divisions du système nerveux autonome. (voir figure 10)

A

SN parasympathique et SN Sympathique

176
Q

SN parasympathique et SN Sympathique

A

les deux divisions du système nerveux autonome. (voir figure 10)

177
Q

A) fibre nerveuse sympathique pré-ganglionnaire, B) fibre nerveuse sympathique post-ganglionnaire, C) fibre nerveuse parasympathique pré-ganglionnaire, D) fibre nerveuse parasympatique post-ganglionnaire, E) tronc sympathique, F) nerf vague et G) glande surrénale.

A

Organisation du système nerveux autonome (voir figure 10)

178
Q

Organisation du système nerveux autonome (voir figure 10)

A

A) fibre nerveuse sympathique pré-ganglionnaire, B) fibre nerveuse sympathique post-ganglionnaire, C) fibre nerveuse parasympathique pré-ganglionnaire, D) fibre nerveuse parasympatique post-ganglionnaire, E) tronc sympathique, F) nerf vague et G) glande surrénale.

179
Q

Au niveau de quelles régions du système nerveux central les fibres pré-ganglionnaires parasympathiques et sympathiques émergent-elles ?

A
  1. Parasympathiques: tronc cérébral et région sacrée de la moelle épinière.
  2. Sympathiques: régions thoracique et lombaire de la moelle épinière.
180
Q

D’où proviennent les fibres post-ganglionnaires sympathiques qui innervent les muscles et les glandes de la tête et du cou ?

A

Du ganglion cervical supérieur.

181
Q

Nommez les ganglions collatéraux :

A

Ganglion coeliaque
Ganglion mésentérique supérieur
Ganglion mésentérique inférieur

182
Q

Ganglion coeliaque
Ganglion mésentérique supérieur
Ganglion mésentérique inférieur

A

les ganglions collatéraux :

183
Q

Comment se différencient les ganglions sympathiques collatéraux par rapport à l’ensemble des ganglions sympathiques ?

A

Ils sont plus proches des organes qu’ils innervent.

184
Q

Quelle est la particularité structurelle et fonctionnelle de la glande surrénale dans le système sympathique ?

A

Quant à sa structure, elle ressemble à un ganglion sympathique. Quant à sa fonction, elle se comporte comme une glande endocrine dont la sécrétion est contrôlée par les fibres pré-ganglionnaires. C’est la composante hormonale du système sympathique.

185
Q

Fibre post-ganglionnaire sympathique

A

La stimulation de la fibre post-ganglionnaire produit la libération de noradrénaline à la terminaison nerveuse (muscle lisse, muscle cardiaque ou glande).

186
Q

La stimulation de la fibre post-ganglionnaire produit la libération de noradrénaline à la terminaison nerveuse (muscle lisse, muscle cardiaque ou glande).

A

Fibre post-ganglionnaire sympathique

187
Q

Glande surrénale

A

La stimulation de la médullosurrénale produit la libération d’adrénaline (surtout) dans la circulation sanguine. Le « neurotransmetteur » agit ainsi plus comme une hormone en stimulant son récepteur à distance de son lieu de libération.

188
Q

La stimulation de la médullosurrénale produit la libération d’adrénaline (surtout) dans la circulation sanguine. Le « neurotransmetteur » agit ainsi plus comme une hormone en stimulant son récepteur à distance de son lieu de libération.

A

Glande surrénale

189
Q

Identifiez la fibre nerveuse parasympathique la plus longue.

A

Le nerf vague

190
Q

Hormis les glandes lacrymales, l’œil, et les glandes salivaires, quels autres organes ou glandes sont innervés par le nerf vague

A

Glandes olfactives, le cœur, les poumons, l’estomac, le gros intestin et l’intestin grêle et la vessie.

191
Q

les types de neurotransmetteurs utilisés dans le système parasympathique dans le ganglion (près ou dans l’organe effecteur) et proche de l’organe effecteur (bouton terminaux) (figure 11)

A

acétylcholine

192
Q

les types de neurotransmetteurs utilisés dans le système sympathique dans le ganglion (près de la moelle épinière) (figure 11)

A

acétylcholine

193
Q

les types de neurotransmetteurs utilisés dans le système sympathique proche de l’organe effecteur (bouton terminaux) (figure 11)

A

noradrénaline

194
Q

les types de neurotransmetteurs utilisés dans le système sympathique dans/autour le ganglion (glande médullosurrénale) (figure 11)

A

acétylcholine

195
Q

les types de neurotransmetteurs utilisés dans le système sympathique libéré par le ganglion (glande médullosurrénale) dans la circulation sanguine (figure 11)

A

adrénaline ou noradrénaline

196
Q

Système nerveux sympathique: Longueur générale
des fibres pré-ganglionnaires

A

courte

197
Q

Système nerveux parasympathique: Longueur générale
des fibres pré-ganglionnaires

A

longue

198
Q

Système nerveux sympathique: Longueur générale des fibres post-ganglionnaires

A

longue

199
Q

Système nerveux parasympathique: Longueur générale des fibres post-ganglionnaires

A

courte

200
Q

Système nerveux sympathique: Localisation du corps cellulaire de la fibre post-synaptique

A

Ganglions de la chaîne sympathique ou ganglions collatéraux

201
Q

Système nerveux parasympathique: Localisation du corps cellulaire de la fibre post-synaptique

A

Organes effecteurs
(aussi ganglions ciliaires, ptérygo-palatin, submandibulaire et optique au niveau de la tête et du cou).

202
Q

Système nerveux parasympathique: Neurotransmetteur libéré par les fibres pré-ganglionnaires

A

Acétylcholine

203
Q

Système nerveux sympathique: Neurotransmetteur libéré par les fibres pré-ganglionnaires

A

Acétylcholine

204
Q

Système nerveux sympathique: Neurotransmetteur libéré par les fibres pré-ganglionnaires

A

Acétylcholine

205
Q

Système nerveux sympathique: Neurotransmetteur libéré par les fibres post-ganglionnaires

A

Noradrénaline (ou si la médullo-surrénale, surtout de l’adrénaline)

206
Q

Système nerveux parasympathique: Neurotransmetteur libéré par les fibres post-ganglionnaires

A

Acétylcholine

207
Q

Système nerveux sympathique: Fonction générale

A

Système d’alerte, réaction de lutte ou de fuite.

208
Q

Système nerveux parasympathique: Fonction générale

A

Système d’état de repos, état d’homéostasie.

209
Q

Système nerveux sympathique: Exemples de réponses générées.

A

Augmente la fréquence cardiaque, la pression artérielle, le débit sanguin aux muscles squelettiques, au cœur et à l’encéphale, libération de glucose par le foie et dilatation des pupilles, effet anti-diurétique

210
Q

Système nerveux parasympathique: Exemples de réponses générées.

A

Diminution de la fréquence cardiaque, de la pression sanguine, du débit sanguin, augmentation de la digestion, diminution de la libération de glucose, contraction des pupilles, augmentation de la diurèse.

211
Q

En vous référant à la figure 10 (Organisation du système nerveux autonome), que remarquez-vous lorsque vous observez chaque organe ?

A

Les organes sont généralement innervés par les deux systèmes sympathique et parasympathique (mais il y a des exceptions).

212
Q

Expliquez comment les deux composantes (sympathique et parasympathique) du système nerveux autonome fonctionnent généralement par rapport à un organe innervé.

A

Lorsque les fibres parasympathiques et sympathiques innervent en concomitance un organe, elles produisent des effets opposés sur ce dernier (muscle ou glande). En conséquence, les deux divisions du système nerveux autonome sont généralement stimulées de façon réciproque, c’est-à-dire que lorsqu’un contingent de fibres est stimulé, l’autre est inhibé.

213
Q

Quel est l’avantage de cette organisation des deux systèmes sur la réponse globale des organes effecteurs ?

A

Elle permet un contrôle très fin de l’organe effecteur.

214
Q

Est-ce qu’il y a cette même régulation de la réponse des organes effecteurs dans le système nerveux somatique ? Justifiez

A

Non, puisque les motoneurones engendrent toujours la même réponse, i.e. la contraction des muscles squelettiques. Or, pour qu’une relaxation se fasse, il doit y avoir une diminution de l’activation des motoneurones.

215
Q

Système nerveux somatique: Types d’organes innervés

A

Muscle squelettique

216
Q

Système nerveux autonome: Types d’organes innervés

A

Muscle lisse, muscle cardiaque, glande

217
Q

Système nerveux autonome: Type de mouvement (ou action)

A

involontaire

218
Q

Système nerveux somatique: Type de mouvement (ou action)

A

Volontaire et involontaire (posture)

219
Q

Système nerveux autonome: Organisation générale des fibres à partir de la moelle épinière

A

Deux fibres: pré-ganglionnaire et post-ganglionnaire

220
Q

Système nerveux somatique: Organisation générale des fibres à partir de la moelle épinière

A

Une seule fibre neuromotrice

221
Q

Système nerveux somatique: Types de neurotransmetteurs libérés

A

Acétylcholine (Ach)

222
Q

Système nerveux autonome: Types de neurotransmetteurs libérés

A

Fibre pré-ganglionnaire: Ach; fibre post-ganglionnaire: Ach, noradrénaline et adrénaline (médullosurrénale)

223
Q

Système nerveux somatique: Types de récepteurs membranaires de l’organe

A

cholinergique de type nicotinique

224
Q

Système nerveux autonome: Types de récepteurs membranaires de l’organe

A

cholinergique nicotinique (ganglion), muscarinique (organe) et adrénergique (alpha et beta aux organes).

225
Q

De nombreux médicaments peuvent modifier la réponse engendrée par les systèmes nerveux sympathique et parasympathique. Sur quels types de récepteurs agissent-ils ?

A

Les récepteurs de l’acétylcholine (cholinergiques) et de l’adrénaline et noradrénaline (adrénergiques).

226
Q

Relevez la différence entre les récepteurs cholinergiques nicotinique et muscarinique dans leur mécanisme d’action.

A

Les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine sont des récepteurs de type canal, qui lorsque activés, causent l’entrée importante d’ions Na+, provoquant une dépolarisation membranaire. Les récepteurs muscariniques de l’acétylcholine sont couplés à une protéine G (RCPG) qui stimule une cascade de transduction de signal cellulaire impliquant des seconds messagers qui altèrent le métabolisme de la cellule.

227
Q

Les récepteurs adrénergiques appartiennent à quels types de récepteurs ?

A

Ce sont des récepteurs couplés aux protéines G.

228
Q

Quel sera l’effet d’un bêta-bloqueur adrénergique sur la contraction cardiaque

A

diminution

229
Q

Quel sera l’effet d’un bêta-bloqueur adrénergique sur la lipolyse

A

diminution

230
Q

Quel sera l’effet d’un bêta-bloqueur adrénergique sur la respiration

A

diminution de la respiration (contraction des bronches)

231
Q

Quel sera l’effet d’un bêta-bloqueur adrénergique sur la glycogénolyse et la néoglucogenèse

A

diminution

232
Q

Si vous aviez le choix de proposer un agoniste ou un antagoniste des récepteurs du système nerveux autonome sympathique, lequel suggériez-vous pour: Asthmatique (contraction des bronches)

A

Agoniste Béta2-adrénergique
(sympathico-mimétique) pour faire dilater les bronches

233
Q

Si vous aviez le choix de proposer un agoniste ou un antagoniste des récepteurs du système nerveux autonome sympathique, lequel suggériez-vous pour: Insuffisance cardiaque

A

Agoniste béta1-adrénergique (sympathico-mimétique)
pour avoir comme réponse Effets ionotrope et chronotrope positifs, augmentation de la contractilité cardiaque

234
Q

Si vous aviez le choix de proposer un agoniste ou un antagoniste des récepteurs du système nerveux autonome sympathique, lequel suggériez-vous pour: Hypertension artérielle (où la fréquence cardiaque et la contraction vasculaire sont élevées), le volet cardiaque

A

Antagoniste béta1-adrénergique (sympatholytique)
pour avoir comme réponse Diminution de la fréquence cardiaque

235
Q

Si vous aviez le choix de proposer un agoniste ou un antagoniste des récepteurs du système nerveux autonome sympathique, lequel suggériez-vous pour: Hypertension artérielle (où la fréquence cardiaque et la contraction vasculaire sont élevées), le volet vasculaire

A

Antagoniste alpha-adrénergique et /ou agoniste béta2-adrénergique
pour avoir comme réponse la dilatation vasculaire

236
Q

Pour quelle raison l’administration des inhibiteurs de l’acétylcholinestérase provoque-t-elle des effets secondaires indésirables tels que des vomissements et de la diarrhée (qui résulte d’une augmentation de la motilité intestinale) ?

A

Les intestins sont stimulés par le système nerveux parasympathique dont les fibres post-ganglionnaires sont cholinergiques. Si l’enzyme de dégradation à l’acétylcholine est inhibée, il y aura une plus grande action cholinergique, donc une plus grande stimulation intestinale.

237
Q

i (olfactif)

A

transmet information provenant de l’odorat

238
Q

transmet information provenant de l’odorat

A

i (olfactif)

239
Q

transmet information provenant de la vue

A

II (optique)

240
Q

II (optique)

A

transmet information provenant de la vue

241
Q

transmet information relative à l’ouïe et l’équilibre

A

VIII (vestibulo-cochléaire)

242
Q

VIII (vestibulo-cochléaire)

A

transmet information relative à l’ouïe et l’équilibre

243
Q

III (oculomoteur)

A

permet à l’oeil et paupière de bouger (iris, muscle ciliaire)

244
Q

permet à l’oeil et paupière de bouger (iris, muscle ciliaire)

A

III (oculomoteur)

245
Q

permet à l’oeil de bouger

A

IV(trochléaire)

246
Q

IV(trochléaire)

A

permet à l’oeil de bouger

247
Q

V (trijumeau)

A

sensitive: information tactile, température, douleur provenant du visage, bouche, langue, tête et méninges
motrice: innerve les muscles masticatoires

248
Q

sensitive: information tactile, température, douleur provenant du visage, bouche, langue, tête et méninges
motrice: innerve les muscles masticatoires

A

V (trijumeau)

249
Q

permet à l’oeil de bouger (moteur oculaire externe, abduction (vers l’extérieur du corps) de l’oeil)

A

VI (abducens)

250
Q

VI (abducens)

A

permet à l’oeil de bouger (moteur oculaire externe, abduction (vers l’extérieur du corps) de l’oeil)

251
Q

sensitive: assure la gustation (langue)
motrice: innerve les muscles du visage (glandes lacrymales et salivaires)

A

VII (facial)

252
Q

VII (facial)

A

sensitive: assure la gustation (langue)
motrice: innerve les muscles du visage (glandes lacrymales et salivaires)

253
Q

sensitive: perception du goût, artères carotides
motrice: innerve les muscles du pharynx (glandes salivaires)

A

IX (glosso-pharyngien)

254
Q

IX (glosso-pharyngien)

A

sensitive: perception du goût, artères carotides
motrice: innerve les muscles du pharynx (glandes salivaires)

255
Q

sensitive: transmet les informations sensitives provenant des viscères, méat acoustique, tympan, larynx
motrice: innerve du pharynx et larynx (muscles lisses des organes de la cavité thoracique et abdominale)
Nerf important parasympathique

A

X (vague)

256
Q

X (vague)

A

sensitive: transmet les informations sensitives provenant des viscères, méat acoustique, tympan, larynx
motrice: innerve du pharynx et larynx (muscles lisses des organes de la cavité thoracique et abdominale)
Nerf important parasympathique

257
Q

innerve les muscles des épaules (trapèze) du cou et le pharynx

A

XI (accessoire)

258
Q

XI (accessoire)

A

innerve les muscles des épaules (trapèze) du cou et le pharynx

259
Q

XII (hypoglosse)

A

innerve les muscles de la langue (déglutition)

260
Q

innerve les muscles de la langue (déglutition)

A

XII (hypoglosse)

261
Q

nerf parasympathique

A

III, VII, IX, X