Troubles psychotiques Flashcards
Psychose: C’est quoi?
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
Psychose: Définition
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
Psychose: Symptômes
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
Psychose: Quelle est la définition de “symptômes positifs”?
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
Psychose: physiopatho des sx positifs
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
Psychose: Nommez les symptômes positifs
- La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
- Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
- Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux:
- hallucinations
- délires
- trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes
- comportement désorganisé
Psychose: Sx positifs
- Définir: HALLUCINATIONS
Hallucinations : perceptions sensorielles en l’absence de stimuli réels.
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: nommez les types
- Auditive
- Visuelle
- Cénesthétique
- Olfactive
- Guastative
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: Type LE PLUS FRÉQUENT EN SCHIZOPHRÉNIE
Auditives: Les plus fréquentes en schizophrénie
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: type AUDITIVE - À QUOI RESSEMBLENT-ELLES AU DÉBUT?
- Les plus fréquentes en schizophrénie
- Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
- Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
- 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: type AUDITIVE - DÉCRIRE LEUR ÉVOLUTION
- Les plus fréquentes en schizophrénie
- Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
- Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
- 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: AUDITIVES - QUELLE EST L’ATTITUDE DE CES VOIX?
- Les plus fréquentes en schizophrénie
- Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
- Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
- 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: VISUELLE - EN SCHIZOPHRÉNIE, QU’EST-CE QUE LES PATIENTS VOIENT?
- Schizophrénie : généralement des personnes mystiques ou réels
- Psychose secondaire aux intox / sevrages : hallucinations d’insectes ou d’animaux
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: VISUELLE - en PSYCHOSE SECONDAIRE À INTOX, QU’EST-CE QUE LES PATIENTS VOIENT?
- Schizophrénie : généralement des personnes mystiques ou réels -
- Psychose secondaire aux intox / sevrages : hallucinations d’insectes ou d’animaux
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: DÉFINIR CÉNESTHÉTIQUE
- Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
- Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: CÉNESTHÉTIQUE - EXEMPLES
- Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
- Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: CÉNESTHÉTIQUE - PLUS FRÉQUENTES DANS QUEL TYPE DE SITUATION?
- Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
- Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES
- Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES - PRÉSENT DANS QUEL TYPE DE SITUATIONS?
- Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES - PENSER À QUOI?
- Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES
- Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES - PEUT RESSEMBLER À QUOI?
- Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES - PENSER À QUOI?
- Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
- Penser à un trouble organique
Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: QUELS TYPES DOIT FAIRE PENSER À UN TROUBLE ORGANIQUE?
- Hallucinations OLFACTIVES
- Hallucinations GUSTATIVES
À quoi ressemblent les patients schizophrènes lors de leurs hallucinations?
- N.B. : Les hallucinations en schizophrénie surviennent typiquement chez un patient bien éveillé et non confus.
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
Hallucinations: Chez les enfants
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - c’est normal?
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - risque associé
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - causes possibles
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - il faut distinguer les hallcuinations de quoi?
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - amis imaginaires = hallucinations?
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Hallucinations: Chez les enfants - dans quelles conditions peut-on parler d’hallucinations véritables?
- Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
- Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
- L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
- Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
- De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: C’est quoi?
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: Définition
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: Ses caractéristiques
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: amènent quoi?
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: quels types de distorsion sont amenés?
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ;
- biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ;
- biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ;
- déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: définir biais D’ATTRIBUTION
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: définir DÉFICITS DE LA THÉORIE DE L’ESPRIT
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: décrire les délires schizophréniques
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: de quoi dépend l’élaboration des biais?
- Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
- Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
- Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
- N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: c’est quoi?
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: formes possibles
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
-
Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir DÉRAILLEMENT OU DISCOURS TANGENTIEL
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir ILLOGISME
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir NÉOLOGISME
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir JARGONAPHASIE
- Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
- Peut prendre diverses formes :
- Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
- Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
- Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
- Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: c’est quoi?
- Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
- Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: définir
- Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
- Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: physiopatho
- Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
- Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: exemples
- Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
- Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
Psychose: Sx positifs - quand les sx positifs sont-ils présents?
- Il est à noter que ces symptômes positifs sont présents de façon transitoires et ne sont pas tous simultanément présents.
- Ceux présents de façon chronique sont considérés comme résiduels / résistants au traitement.
Schizophrénie: Incidence
- L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
- Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
- De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
Schizophrénie: Incidence
- qu’est-ce qui fait varier l’incidence?
- L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
- Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
- De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
Schizophrénie: Incidence au QUÉBEC
- L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
- Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
- De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
Schizophrénie: Prévalence au QUÉBEC
- L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
- Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
- De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
Schizophrénie: Coûts associés à cette pathologie
- L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
- Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
- De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
Schizophrénie: Incidence - H vs F
- Un pic d’incidence est noté entre 15 et 26 ans pour les hommes (début plus précoce chez l’homme)
Schizophrénie: Pic d’incidence chez les HOMMES
- Un pic d’incidence est noté entre 15 et 26 ans pour les hommes (début plus précoce chez l’homme)
Schizophrénie: Pic d’incidence chez les FEMMES
- Un premier pic d’incidence à 24-32 ans pour les femmes
- Un deuxième pic d’incidence à 55-64 ans pour les femmes, probablement relié à la baisse d’oestrogènes.
Schizophrénie: Évolution
- Chez les HOMMES
- Un début précoce met à risque d’une évolution plus morbide.
- Une différence de quelques années peut parfois permettre l’adoption d’attitudes sociales plus adaptées et prévenir la morbidité.
Schizophrénie: Hospitalisation
- Chez les HOMMES
- Hospitalisation plus longtemps que les femmes en général
Schizophrénie: Ratio - H vs F
- Ratio d’environ 1,28 à 1,56 H pour 1 F.
- Le ratio entre les hommes et les femmes s’équilibre à l’adolescence.
Schizophrénie: Répartition de l’incidence
La répartition de l’incidence se fait donc ainsi globalement :
- 5% avant 14 ans
- 20% avant 18 ans
- >50% avant 25 ans
- 80% avant 35 ans
- Moins de 10% pour avant 12 ans et entre 40-60 ans.
Schizophrénie: Caractéristiques présentes chez plusieurs patients schizophrènes
- Il peut être intéressant de noter que 10% des patients atteints de schizophrénie sont nés en fin d’hiver, car une infection virale de la mère en fin de 2ie trimestre augmente le risque via l’atteinte du développement cérébral fœtal.
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- prévalence dans la population générale
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI PARENT 2ÈME DEGRÉ TOUCHÉ
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI PARENT 1ER DEGRÉ TOUCHÉ
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI JUMEAU DIZYGOTE TOUCHÉ
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI 2 PARENTS TOUCHÉS
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI JUMEAU MONOZYGOTE TOUCHÉ
- 1 % dans la population générale
- 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
- 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
- 10 % si jumeau dizygote touché
- 40 % si les 2 parents sont atteints
- 50 % si jumeau monozygote atteint
Schizophrénie: Étiologies
- Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
- Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
- Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
- Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
- Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
- Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
Schizophrénie: Étiologies
- physiopatho du dév de la maladie
- Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
- Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
- Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
- Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
- Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
- Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
Schizophrénie: Étiologies
- sur quoi vise le modèle de compréhension?
- Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
- Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
- Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
- Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
- Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
- Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
Schizophrénie: Étiologies
- rôle des facteurs physiologiques
- Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
- Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
- Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
- Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
- Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
- Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
Schizophrénie: Étiologies
- les différentes composantes
- Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
- Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
- Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
- Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
- Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
- Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
Schizophrénie: Étiologies - les différentes composantes
- VULNÉRABILITÉ NEUROPSYCHOLOGIQUE
Vulnérabilité neuropsychologique
- Anomalies génétiques
- Antécédents familiaux de psychose
- Anomalies cérébrales
- Anoamlies temporales
- Anomalies limbiques (hippocampe)
- Hypofrontalité
- Dysfonction des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, glutamate)
Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- VULNÉRABILITÉ NEUROPSYCHOLOGIQUE: NOMMEZ LES ANOMALIES CÉRÉBRALES
Vulnérabilité neuropsychologique
- Anomalies génétiques
- Antécédents familiaux de psychose
-
Anomalies cérébrales
- Anoamlies temporales
- Anomalies limbiques (hippocampe)
- Hypofrontalité
- Dysfonction des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, glutamate)
Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- STRESSEURS BIOLOGIQUES ET SOCIO-ENVIRONNEMENTAUX
Stresseurs biologiques et socio-environnementaux
- Cannabis et autres dorgues (stimulants)
- Complications obstétricaux
- Événements de la vie quotidienne
- Émotions exprimées (EE)
- Immigration, urbanicité
- Pression de performance (études, travail)
- Insuffisance du soutien social
Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- TRAITEMENTS (PRÉVENTION DES RECHUTES)
Traitements (prévention des rechutes)
- Antipsychotiques
- Psychoéducation (patient et famille)
- Thérapie cognitive
- Entraînement aux habilités sociales et de communication (coping)
- Programme de réadaptation individualisé
- Retour aux études ou au travail
- Soutien social continu
Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- SYMPTÔMES RÉSIDUELS
- Fonctionnement altéré
- Handicap, invalidité
- Stigmatisation, découragement
Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - définir
- Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
- On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
- Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - rôle des gènes dans l’étiologie de la schizophrénie
- Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
- On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
- Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - nombre de gènes nécessaires
- Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
- On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
- Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - facteur épigénétique
- Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
- On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
- Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - NOMMEZ LES DIFFÉRENTES ANOMALIES GÉNÉTIQUES
- Marqueurs génétiques
- Études familiales
- Étude de jumeaux
- Étude d’adoption
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - MARQUEURS GÉNÉTIQUES
- Marqueurs génétiques : On retrouve différents signes neuropsychologique mesurables chez les individus atteints ou à risques tels que la poursuite oculaire anarchique.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES FAMILIALES
- Études familiales : Plus les parents porteurs sont génétiquement proches, plus le risque est grand.
- De plus, le risque double si le proche débute la maladie en âge précoce par rapport à l’âge adulte.
- Le tableau le plus courant est un patient dont les parents auraient le génotype sans le phénotype (porteurs asymptomatiques) et des seconds proches atteints
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES DE JUMEAUX
- Études de jumeaux : Les jumeaux homozygotes ont une concordance de 50 %.
- C’est la meilleure preuve qu’il y a une composante génétique, malgré que celle-ci soit insuffisante pour déterminer l’apparition de la maladie.
- De plus, ceci soutient la thèse que l’élément déclencheur est après la naissance, mais que des complications obstétricales (anté et périnatales) peuvent aussi potentiellement expliquer l’atteinte, selon le fait que l’enfant de plus faible poids est plus souvent atteint.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES D’ADOPTION
- Études d’adoption : Le facteur d’adoption n’a pas d’influence (sauf si la mère biologique est atteinte de schizophrénie et famille d’accueil ayant une communication perturbée).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: Nommez les différents éléments
- histologiques
- immunologiques
- structurales
- imagerie fonctionnelle
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: HISTOLOGIQUES
- Histologiques : Il existe des anomalies de la migration des cellules dans la région limbique (hippocampe, cortex entorhinal, amygdale, thalamus, cingulum, septum), ce qui renforcie l’idée d’une trouble du développement du cerveau lors de la phase fœtale.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: IMMUNOLOGIQUES
- Immunologiques: Des lésions cérébrales pourraient être reliées à une atteinte auto-immune chez certains patients.
- Des virus neurotrophiques (CMV, HSV, rétrovirus, VIH) peuvent directement infecter le cerveau, ou alors des autoanticorps viendraient perturber le développement cérébral et causer des symptômes de schizophrénie.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: STRUCTURALES
- Structurales : Il est de plus en plus admis que la schizophrénie est une maladie neurodéveloppementale avec des composantes neurodégénératives puisqu’il existe des changements (ex : élargissement des ventricules) qui arrivent avant l’apparition des symptômes et que certains changements (ex : perte progressive de matière grise) se perpétue dans le temps.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: IMAGERIE FONCTIONNELLE
- Imagerie Fonctionnelle : On voit dans changements fonctionnels lors de certains symptômes (ex : aire de Broca activée lors des discours intérieur et aire de Wernicke lors des hallucinations auditives) et une diminution de l’activité de certaines aires cérébrales chez les schizophrènes.
- Les trois zones interreliées affectées sont le cortex préfrontal, le cortex temporal et le cortex limbique, et dépendamment de quelles zones sont les plus touchées, il y a variabilité des symptômes.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: nommez les NT en cause
- dopamine
- sérotonine
- glutamate
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - quel est le rôle de la dopamine en général?
- La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
- Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - quelle est la perturbation de la DA chez les patients schizophrènes?
- La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
- Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
- Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
- Une plus grande synthèse de DA
- Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
- Une plus grande quantité de DA dans la synapse
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - impact du surplus de DA
- La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
- Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
- Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
- Une plus grande synthèse de DA
- Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
- Une plus grande quantité de DA dans la synapse
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - physiopatho du surplus de DA
- La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
- Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
-
Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
- Une plus grande synthèse de DA
- Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
- Une plus grande quantité de DA dans la synapse
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Mécanisme d’action des antipsychotiques
- Il est à noter que les antipsychotiques utilisés dans le traitement de la schizophrénie ont tous la propriété de bloquer la transmission de la DA au niveau des récepteurs DA1 et DA2.
- Considérant que 30% des patients ne répondent pas aux antipsychotiques, il faut en déduire que la DA et sa transmission ne peut à elle seule expliquer les symptômes.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - importance de la DA dans la physiopatho de la schizophrénie
- Il est à noter que les antipsychotiques utilisés dans le traitement de la schizophrénie ont tous la propriété de bloquer la transmission de la DA au niveau des récepteurs DA1 et DA2.
- Considérant que 30% des patients ne répondent pas aux antipsychotiques, il faut en déduire que la DA et sa transmission ne peut à elle seule expliquer les symptômes.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - au niveau de quelles structures agissent les antipsychotiques?
Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :
- Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
- Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
- Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
- Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau de la SUBSTANCE NOIRE
Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :
- Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
- Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
- Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
- Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau de l’HYPOTHALAMUS
Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :
- Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
- Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
- Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
- Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau du MÉSENCÉPHALE au cortex FRONTAL
Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :
- Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
- Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
- Mésencéphale au cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
- Mésencéphale au lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau du MÉSENCÉPHALE au cortex LIMBIQUE
Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :
- Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
- Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
- Mésencéphale au cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
- Mésencéphale au lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: SÉROTONINE
La sérotonine a un effet modulateur sur l’expression émotive, et elle semble plus élevée (diminution de l’enzyme la dégradant) chez les schizophrènes.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: SÉROTONINE - rôle de la sérotonine dans la schizophrénie
La sérotonine a un effet modulateur sur l’expression émotive, et elle semble plus élevée (diminution de l’enzyme la dégradant) chez les schizophrènes.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: GLUTAMATE
- Glutamate : On pense que la surstimulation glutaminergique a un effet toxique sur les neurones et cause une dégénérescence neuronale aboutissant à une hyperactivité dopaminergique.
- La mauvaise régulation de la transmission dopaminergique chez les schizophrènes serait la voie commune finale de la pathologie, précédemment causée par un trouble au niveau du système glutaminergique (origine neurochimique).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: GLUTAMATE - rôle du glutamate dans la physiopatho de la schizophrénie
- Glutamate : On pense que la surstimulation glutaminergique a un effet toxique sur les neurones et cause une dégénérescence neuronale aboutissant à une hyperactivité dopaminergique.
- La mauvaise régulation de la transmission dopaminergique chez les schizophrènes serait la voie commune finale de la pathologie, précédemment causée par un trouble au niveau du système glutaminergique (origine neurochimique).
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs: nommez les types
- Biologiques
- Psycho-social
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Nommez-les
-
Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
- Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
- Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
- Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrène
- Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
- Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Physiopatho du cannabis et autres drogues
-
Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
- Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
- Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
- Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrène
- Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
- Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Conséquences du cannabis et autres drogues
-
Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
- Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
- Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
- Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrèn
- Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
- Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: Nommez-les
- Événements de la vie quotidienne
- Émotionnalité exprimée
- Urbanicité
- Immigration
- Pression de performance
- Soutien social
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: ÉVÉNEMENTS DE LA VIE QUOTIDIENNE
- Événements de la vie quotidienne : La survenue de plusieurs événements rapprochés peuvent compromettre les capacités d’adaptation et provoquer des rechutes chez le patient.
- Par contre, chez un sujet sain, il ne provoquera pas la pathologie puisque le filtrage des stimuli est compétent.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: ÉMOTIONNALITÉ EXPRIMÉE
- Émotionnalité exprimée : Les taux de rechutes chez les patients sont augmentés par la présence de familles ayant une expression émotive forte.
- Cet effet est annulé lors de la prise de neuroleptiques.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: URBANICITÉ
- Urbanicité : Plus la ville est densément peuplée, plus la personne y va vécu longtemps et moins il y a de cohésion sociale, plus la personne est à risque.
- Il est à noter que la schizophrénie entraîne une dérive sociale.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: IMMIGRATION
- Immigration : L’immigration, particulièrement lorsqu’il y a discrimination, entraîne une augmentation du risque de schizophrénie.
- Le risque de souffrir de schizophrénie chez les immigrants de 1ère génération est 2,3X plus élevés et de 2,1X pour leurs enfants.
- S’il y a présence de discrimination sociale, le risque grimpe à 5-10X.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: PRESSION DE PERFORMANCE
- Pression de performance : les exigences de la vie moderne entravent l’insertion sociale des patients schizophrènes.
- Les tensions éprouvées par un employé au travail, l’approche des examens et de la pression de performance que vit un étudiant sont plus difficiles à supporter quand on souffre de schizophrénie puisque
- Le schizophrène a plus de difficulté à composer avec la pression de performance.
Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: SOUTIEN SOCIAL
- Soutien social : La perte du soutien social, que ce soit par l’objectif d’autonomie des thérapies ou d’une autre cause, peut affecter grandement le patient, surtout si la maladie est à début précoce (le patient est dans une phase où il développe ses habilitées sociales et relationnelles et de s’affranchir de sa famille).
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- « Au niveau des critères diagnostics, je vous laisse le soin de lire vos livres de références, DSM et Lalonde.
- Cependant, ne perdez pas de temps avec les variétés diagnostiques listées page 344 qui relève plus de l’externat que du préclinique. Intéressant à lire cependant car vous allez vous en faire parler en clinique à coup sûr !
- Par ailleurs, passez pour le moment sur les sections 17.4.2 et 17.4.3, nous y reviendrons plus tard.
- Faites impasse également sur la section 17.4.4.
- Allons plutôt voir la section 17.4.5 sur les Modes d’apparition de la psychose. »
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- distinction entre les sx pré-morbides vs prodromaux vs en phase aiguë
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- définir: sx pré-morbides
Symptômes avant la maladie
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- définir: sx prodromaux
Sx annonciateurs de la maladie
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX PRÉ-MORBIDES
Comportements et idées bizarres :
- Difficulté de socialisation
- Anomalies développementales
- Rituels / habitudes bizarres
- Difficultés cognitives
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX PRODROMAUX
- Symptômes négatifs
- Détérioration du niveau de fonctionnement antérieur (s’installe sur 2 – 3 ans)
- Sentiment de malaise
- Plaintes somatiques vagues
- Difficultés cognitives
- Angoisse qui s’intensifie
- Perte du sommeil
- Sentiment de perte de contrôle sur ses pensées
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX EN PHASE AIGUË
Symptômes psychotiques :
- Hallucinations
- Délires
- Incohérence des propos
- Désorganisation du comportement
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
A. Deux (ou plus) parmi les symptômes suivants, chacun devant être présent dans une proportion significative de temps au cours d’une période d’un mois (ou moins en cas de traitement efficace). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
1. Idées délirantes.
2. Hallucinations.
3. Discours désorganisé (p. ex. incohérences ou déraillements fréquents)
4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
5. Symptômes négatifs (aboulie ou diminution de l’expression émotionnelle).
B. Durant une proportion signicative de temps depuis le début du trouble, le niveau de fonctionnement dans un domaine majeur tel que le travail, les relations interpersonnelles ou l’hygiène personnelle est passé d’une façon marquée en dessous du niveau atteint avant le début du trouble (ou, quand le trouble apparaît pendant l’enfance ou l’adolescence, le niveau prévisible de fonctionnement interpersonnel, scolaire ou professionnel n’a pas été atteint).
C. Des signes continus du trouble persistent depuis au moins 6 mois. Pendant cette période de 6 mois les symptômes répondant au critère A (c.-à-d., symptômes de la phase active) doivent avoir été présents pendant au moins un mois (ou moins en cas de traitement efcace) ; dans le même laps de temps, des symptômes prodromiques ou résiduels peuvent également se rencontrer. Pendant ces périodes prodromiques ou résiduelles, les signes du trouble peuvent ne se manifester que par des symptômes négatifs, ou par deux ou plus des symptômes listés dans le critère A présents sous une forme atténuée (p. ex. des croyances étranges ou expériences de perceptions inhabituelles).
D. Un trouble schizoaffectif, ou dépressif, ou un trouble bipolaire avec manifestations psychotiques ont été exclus parce que :
1) soit il n’y a pas eu d’épisode maniaque ou dépressif caractérisé concurremment avec la phase active des symptômes ;
2) soit, si des épisodes de trouble de l’humeur ont été présents pendant la phase active des symptômes, ils étaient présents seulement pendant une courte période de temps sur la durée totale des phases actives et résiduelles de la maladie.
E. Le trouble n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. une drogue donnant lieu à abus, ou un médicament) ou à une autre pathologie médicale.
F. S’il existe des antécédents de trouble du spectre de l’autisme ou de trouble de la communication débutant dans l’enfance, le diagnostic surajouté de schizophrénie est posé seulement si des symptômes hallucinatoires et délirants importants, en plus des autres symptômes de schizophrénie nécessaires au diagnostic, sont aussi présents pendant au moins un mois (ou moins en cas de traitement efcace).
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-IV-TR)
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- il faut spécifier quoi?
Spécifier si :
- Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
- Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
- Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: dans quel contexte peuvent-elles être utilisées?
Spécifier si :
-
Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
- Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
- Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: PREMIER ÉPISODE
Spécifier si :
- Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
-
Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
- Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
- Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: ÉPISODES MULTIPLES
Spécifier si :
- Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
-
Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
- Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: AUTRES
Spécifier si :
- Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
- Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
-
Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: SÉVÉRITÉ
Spécifier si :
- Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
- Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
- Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
- Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
- Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
- Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
- Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
- Non spécifié
- Spécifier si : Avec catatonie
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
Schizophrénie: Manifestations cliniques
- SX PRÉCURSEURS À UN ÉPISODE PSYCHOTIQUE
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Manifestations cliniques - LORS DE L’ÉPISODE AIGU
- Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ».
- Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique.
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - PSYCHOLOGIQUES
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - AFFECTIFS
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - COMPORTEMENTAUX
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - COGNITIFS
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - ÉLABORATIONS DÉLIRANTES
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaborations délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - PERCEPTUELS
Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
- Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
- Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
Schizophrénie: Quels sont les sx en dehors de la psychose aiguë?
- Il ne faut pas oublier que les patients vivent des perturbations psychologiques même lorsqu’ils ne sont pas en psychose aiguë.
- Ceux-ci sont notamment représentés par des symptômes négatifs, des troubles cognitifs et des symptômes affectifs.
Schizophrénie: Sx négatifs - c’est quoi?
- Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
- On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
- Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
- Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
- Voici les principaux :
- Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
- Alogie
- Aboulie ou apathie
- Anhédonie et asocialité
- Déficit de l’attention
Schizophrénie: Sx négatifs - définition
- Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
- On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
- Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
- Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
- Voici les principaux :
- Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
- Alogie
- Aboulie ou apathie
- Anhédonie et asocialité
- Déficit de l’attention
Schizophrénie: Sx négatifs - à quels moments sont-ils présents?
- Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
- On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
- Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
- Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
- Voici les principaux :
- Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
- Alogie
- Aboulie ou apathie
- Anhédonie et asocialité
- Déficit de l’attention
Schizophrénie: Sx négatifs - nommez les principaux
- Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
- On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
- Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
- Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
-
Voici les principaux :
- Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
- Alogie
- Aboulie ou apathie
- Anhédonie et asocialité
- Déficit de l’attention
Schizophrénie: Sx négatifs
- AFFECT
- Affect inapproprié, aplati ou émoussé : en phase aigüe, une réponse émotive incongrue et excessive (par exemple : une anxiété massive et morcelante) accompagne certains délires ou certaines hallucinations.
- C’est une discordance idéoaffective, soit une dissociation entre l’affect (ce que la personne semble éprouver) et la pensée (ce que la personne croit éprouver).
Schizophrénie: Sx négatifs
- AFFECT: définir discordance idéoaffective
- Affect inapproprié, aplati ou émoussé : en phase aigüe, une réponse émotive incongrue et excessive (par exemple : une anxiété massive et morcelante) accompagne certains délires ou certaines hallucinations.
- C’est une discordance idéoaffective, soit une dissociation entre l’affect (ce que la personne semble éprouver) et la pensée (ce que la personne croit éprouver).
Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE
Alogie : difficulté de conversation manifestée par :
- Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
- Augmentation du délai de réponse
- Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
- Interruption subite de la conversation, un blocage
Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE: définition
Alogie : difficulté de conversation manifestée par :
- Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
- Augmentation du délai de réponse
- Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
- Interruption subite de la conversation, un blocage
Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE: comment se manifeste-t-elle?
Alogie : difficulté de conversation manifestée par :
- Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
- Augmentation du délai de réponse
- Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
- Interruption subite de la conversation, un blocage
Schizophrénie: Sx négatifs
- ABOULIE OU APATHIE
Aboulie ou apathie : manque d’énergie physique, négligence de l’hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance.
Schizophrénie: Sx négatifs
- ABOULIE OU APATHIE: définition
Aboulie ou apathie : manque d’énergie physique, négligence de l’hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance.
Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ
Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.
- Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
- Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
- Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
- Effritement des relations avec les amis et les pairs
- Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: définition
Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.
- Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
- Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
- Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
- Effritement des relations avec les amis et les pairs
- Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: vs antisocial?
Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.
- Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
- Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
- Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
- Effritement des relations avec les amis et les pairs
- Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: impacts sur la vie des patients
Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.
- Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
- Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
- Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
- Effritement des relations avec les amis et les pairs
- Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
Schizophrénie: Sx négatifs
- DÉFICIT DE L’ATTENTION
Déficit de l’attention : Tant sur le plan de l’attention sociale que fonctionnelle (activités)
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
- Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
- Les grands troubles que l’on observe sont :
- Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
- Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- fréquence
- Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
- Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
- Les grands troubles que l’on observe sont :
- Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
- Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- présentation clinique
- Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
- Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
- Les grands troubles que l’on observe sont :
- Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
- Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- nommez les grands troubles
- Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
- Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
- Les grands troubles que l’on observe sont :
- 1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- 2. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- 3. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
- Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- les patients sont au courant?
- Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
- Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
- Les grands troubles que l’on observe sont :
- Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
- Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
- Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
- Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental: DESCRIPTION
- Ne réussit pas à conserver une attention soutenue lors de la réalisation d’une tâche
- Difficulté à suivre ses cours ou à se concentrer sur un film.
- Difficulté à extraire des informations spécifiques dans un contexte où plusieurs informations sont données
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental: TEST - OBSERVATION
- Prend du temps à répondre aux questions, à réagir aux situations qui demandent une réponse rapide
- Distrait par des stimuli non pertinents
- Test de Stroop met en évidence ce type de difficulté : on montre des cartes de couleur avec des mots écrits, et on lui demande d’uniquement nous dire la couleur sans s’attarder aux mots.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire: DESCRIPTION
- Trouble de mémoire global / de travail / contextuel et autobiographique
- La mémoire contextuelle ou mémoire source est déficitaire (information concernant le lieu ou le moment où est survenu un événement).
- Mémoire autobiographique affectée : les patients oublient des évènements de leur histoire personnelle. Il continue de se percevoir comme le Moi d’autrefois (« je peux bien retourner à l’école même si ça fait 4 ans que je n’y suis pas allé, je réussissais, j’aimais ça, je suis capable! »).
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire: TEST - OBSERVATION
- Difficulté à raconter ce qu’elle lit, à suivre une conversation ou se rappeler ce que les autres disent
- Altération de la mémoire de travail (conserver et manipuler une information sur une brève durée, comme retenir un numéro de téléphone le temps de le composer).
- Test d’empan de mémoire des chiffres : lire au patient une liste de chiffres à une vitesse donnée puis à lui demander de les redire dans l’ordre. Habituellement à 7 éléments le rappel est ardu
- Test de traçage de piste A et B : dans A il doit relier les nombres en ordre croissant et dans B il doit relier les nombres et les lettres alternativement en ordre croissant (1-A, 2-B, 3-C, etc.)
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives: DESCRIPTION
- Gérées par les lobes frontaux, sont essentielles à tout comportement dirigé, autonome ou adapté. Par exemple : préparer un repas.
- Difficulté à conceptualiser les gestes à faire pour y arriver
- Manque de flexibilité cognitive : difficulté à s’adapter.
Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives: TEST - OBSERVATION
- Elle a de la difficulté à formuler, initier et exécuter un plan d’action en vue de résoudre un problème
- Wisconsin Card Sorting Test : bonne façon d’assembler des carters par essais et erreurs. Mesure la flexibilité mentale.
- Test de la tour de Londres : permet d’évaluer les capacités de planification et mesure les erreurs persévératives.
Schizophrénie: Sx affectifs
- L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
- Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
- Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
- Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
Schizophrénie: Manifestations cliniques des sx affectifs
- L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
- Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
- Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
- Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
Schizophrénie: Causes des sx affectifs
- L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
- Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
- Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
- Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
Schizophrénie: Sx affectifs - chez les enfants
- L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
- Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
- Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
- Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
Schizophrénie: Sx affectifs - présence d’émotions?
- L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
- Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
- Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
- Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
- Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
- Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- étiologie de la schizophrénie
- La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
- Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
- Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- DSM-5 vs 4
- La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
- Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
- Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- spectre de la schizophrénie
- La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
- Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
- Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
Classification des maladies mentales selon KRAEPELIN
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Grandes maladies
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Démence précoce
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Démence précoce - évolution
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Psychose maniaco-dépressive - évolution
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Évolution
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Maladies mentales selon KRAEPELIN: Son importance aujourd’hui
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
- La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
- C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
- Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
Hitsoire de la schizophrénie: Grandes lignes
- Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Schneider (1957) définit une série de symptômes de premier rang qui ont servi de base aux critères du DSMIII – 5, explicable par la théorie du déficit de l’esprit.
Bleuler: Son implication dans l’histoire de la schizophrénie
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
-
Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Que veut dire le terme “schizophrénie”?
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
- Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Ce qu’il remarque en lien avec la schizophrénie
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
-
Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Sx primaires
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
-
Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Sx primaires - nommez-les
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
-
Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Sx primaires
- définir AMBIVALENCE
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
- Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Bleuler: Sx primaires
- définir AUTISME
- Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
- Il remarque la fragmentation de la personnalité.
- Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
- Affect inadéquat ou aplati
- Associations d’idées incohérentes
- Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
- Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
Schneider: Son rôle dans l’histoire de la schizophrénie
- Schneider (1957) définit une série de symptômes de premier rang qui ont servi de base aux critères du DSMIII – 5, explicable par la théorie du déficit de l’esprit:
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
- B) Hallucinations, troubles des perceptions
- a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
- b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
Schneider: Il a décrit quels sx?
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
- B) Hallucinations, troubles des perceptions
- a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
- b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- PERCEPTION DÉLIRANTE
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- DÉLIRE DE CONTRÔLE
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- SENTIMENT DÉLIRANT D’ÉTRANGETÉ
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- PENSÉE IMPOSÉE
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- VOL DE PENSÉE
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Délire, troubles de la pensée
- DIVULGATION DE LA PENSÉE
- A) Délires, troubles de la pensée
- a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
- b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
- c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
- d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
- e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
- f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
Schneider: Hallucinations, troubles de perception
- B) Hallucinations, troubles des perceptions
- a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
- b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
Schneider: Hallucinations, troubles de perception
- ÉCHO DE LA PENSÉE
- B) Hallucinations, troubles des perceptions
- a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
- b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
Schneider: Hallucinations, troubles de perception
- HALLUCINATIONS AUDITIVES
- B) Hallucinations, troubles des perceptions
- a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
- b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
Schziophrénie: Comorbidités - Nommez-les
- risque suicidaire
- risque d’abus et de violence
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
- 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
- Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
- Les moments particulièrement à risque sont :
- Période s’accompagnant de fluctuations rapides de l’état mental
- Première année suivant le diagnostic
- Rechutes avec intensification des symptômes psychotiques, notamment les hallucinations impérieuses
- Période post-hospitalisation ou transfert d’équipe traitante
- Phase précoce du rétablissement, associée à des difficultés d’adaptation
- Les facteurs de risque du suicide sont : sexe masculin, jeune âge, célibat, fonctionnement prémorbide élevé, abus de substances, tentatives précédentes, dépression comorbide.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- niveau du risque suicidaire
- Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
- 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
- Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- fréquence
- Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
- 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
- Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- décès associé
- Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
- 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
- Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- particularités
- Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
- 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
- Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- moments particulièrement à risque
Les moments particulièrement à risque sont :
- Période s’accompagnant de fluctuations rapides de l’état mental
- Première année suivant le diagnostic
- Rechutes avec intensification des symptômes psychotiques, notamment les hallucinations impérieuses
- Période post-hospitalisation ou transfert d’équipe traitante
- Phase précoce du rétablissement, associée à des difficultés d’adaptation
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- les FDR
- Les facteurs de risque du suicide sont : sexe masculin, jeune âge, célibat, fonctionnement prémorbide élevé, abus de substances, tentatives précédentes, dépression comorbide.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- pourquoi?
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- autres manifestations associées
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- ATCD personnels
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- lien entre la maladie mentale et la violence
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- lien entre la schizophrénie et violence
- Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
- Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
- Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
- Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
Schziophrénie: DDX
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- nommez-les
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- cause organique
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- maladies physiques
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- psychoses
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- particularité des psychoses
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- différenciez psychose toxique vs schizo / bipolarité
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- différenciez schizophrénie vs bipolarité
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- différenciez schizophrénie vs autisme
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: DDX
- autres maladies possibles
- Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
- Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
- Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
- Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
- L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
- Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
- Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
- Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
- On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
- Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
Schziophrénie: Tx préventif
Aucun traitement préventif n’est connu à ce jour pour empêcher le développement de la maladie
Schizophrénie: Interventions chez personnes à risque de dév la maladie
Interventions chez les personnes à risque :
- Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à :
- Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
- Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
- Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
- Soulager la souffrance
- Améliorer ou rétablir le fonctionnement
- Surveiller l’évolution de la psychopathologie
- Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.
Schizophrénie: Interventions de prévention (avant le dx de schizo)
Interventions chez les personnes à risque :
-
Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à:
- Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
- Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
- Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
- Soulager la souffrance
- Améliorer ou rétablir le fonctionnement
-
Surveiller l’évolution de la psychopathologie
- Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.
Schizophrénie: Interventions de prévention - ce qui est important
- Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.
Interventions chez les personnes à risque :
- Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à :
- Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
- Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
- Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
- Soulager la souffrance
- Améliorer ou rétablir le fonctionnement
- Surveiller l’évolution de la psychopathologie
Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques
- Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
- En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques
- leur importance
- Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
- En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques
- période d’intervention critique
- Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
- En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- ce qui est important
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- pharmacothérapie
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- hospitalisation
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
-
Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- traitements biologiques - objectifs des Rx utilisés
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
-
Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
-
Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- Rx symptomatique
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- indications antipsychotiques
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- 1. Intensification des symptômes
- 2. Détérioration du fonctionnement
- 3. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- quel Rx a changé la donne?
- En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
- Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
- Traitements biologiques :
- o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
- o Antipsychotiques seulement si :
- Intensification des symptômes
- Détérioration du fonctionnement
- Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
- N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
- o Contrôle de l’abus de substances
- o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
- Traitements biologiques :
Schizcophrénie: Nommez les différentes classes d’antipsychotiques
- Antipsychotiques de 1ière génération (classique ou typique)
- Antipsychotiques de 2ième génération (nouveau ou atypique)
- Antipsychotique de 3ième génération
Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération - autres noms
Antipsychotiques de 1ière génération (classique ou typique)
Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération
- mode d’action
- Bloque la DA au niveau nigrostriée
- Peuvent causer des troubles du mouvement
Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération
- leurs E2
- Bloque la DA au niveau nigrostriée
- Peuvent causer des troubles du mouvement
Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération - autres noms
Antipsychotiques de 2ième génération (nouveau ou atypique)
Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- leurs effets
- Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
- Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
- Entraînent rarement des troubles du mouvement
Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- leurs E2
- Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
- Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
- Entraînent rarement des troubles du mouvement
Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- mode d’action
- Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
- Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
- Entraînent rarement des troubles du mouvement
Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- leurs E2
- Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
- Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
- Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- leurs effets
- Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
- Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
- Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- mode d’action
- Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
- Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
- Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
Schizophrénie: Quel Rx on prescrit en phase aiguë?
- On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
- Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
- Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
- On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
Schizophrénie: Quel antipsychotique prescrit-on en 1ère ligne en PHASE AIGUË?
- On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
- Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
- Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
- On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
Schizophrénie: Quel antipsychotique prescrit-on en 2ème ligne en PHASE AIGUË?
- On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
- Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
- Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
- On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
Schizophrénie: Antipsychotique 2ème ligne en phase aigu - particularité du Clozapine?
- On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
- Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
- Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
- On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
Schizophrénie: Antipsychotique 2ème ligne en phase aigu - suivi à faire avec Clozapine
- On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
- Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
- Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
- On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
Schizophrénie: E2 les plus fréquents des antipsychotiques
- Parmi les effets indésirables les plus souvent présents, on note : la sédation, le gain de poids, les troubles métaboliques (hyperglycémie et dyslipidémie), les effets anticholinergiques (atropiniques), les troubles sexuels (secondaire à l’hyperPRL et anticholinergique), cardiovasculaire (tachycardie, HTO et étourdissement), effets extrapyramidaux (parkinsonisme)(surtout par les antipsychotiques atypiques, dyskinésie tardive.
Schizophrénie: Traitements psychologiques
Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.
- Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
- Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
- Interventions sociales :
- Gestion de cas
- Entraînement aux habiletés sociales
- Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
- Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
Schizophrénie: Traitements psychologiques
- leur importance?
Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.
- Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
- Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
- Interventions sociales :
- Gestion de cas
- Entraînement aux habiletés sociales
- Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
- Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
Schizophrénie: Traitements psychologiques
- acceptation du tx
Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.
- Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
- Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
- Interventions sociales :
- Gestion de cas
- Entraînement aux habiletés sociales
- Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
- Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
Schizophrénie: Traitements psychologiques
- thérapie psychoéducative
Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.
- Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
- Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
- Interventions sociales :
- Gestion de cas
- Entraînement aux habiletés sociales
- Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
- Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
Schizophrénie: Traitements psychologiques
- interventions sociales
Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.
- Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
- Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
-
Interventions sociales :
- Gestion de cas
- Entraînement aux habiletés sociales
- Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
- Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien
- elle est quand?
Phase de stabilisation et de maintien : se produit après l’hospitalisation de la psychose.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - quels sont les interventions et traitement offerts?
- Traitements biologiques
- Interventions psychologiques
- Interventions sociales
- Réadaptation
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- objectif du tx
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- quel est le défi avec cette clientèle?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- facteur prédicteur de rechute
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Quel est le taux de rechute?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- qu’est-ce qui favorise une meilleure adhésion?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- quel est l’antipsychotique le plus puissant?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- dans quel contexte utilise-t-on la clozapine?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- ce que les médicaments ne permettent pas
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- de quoi dépend l’efficacité de la psychothérapie?
- Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
- L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
- Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
- On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
- La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
- La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
- Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques
Au niveau de la durée de prescription :
- Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
- Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
- Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
- Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: APRÈS 1ER ÉPIDOSE
Au niveau de la durée de prescription :
- Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
- Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
- Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
- Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: APRÈS 2ÈME ÉPISODE
Au niveau de la durée de prescription :
- Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
- Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
- Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
- Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques - APRÈS 3ÈME ÉPISODE
Au niveau de la durée de prescription :
- Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
- Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
- Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
- Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: TRAITEMENT INTERMITTENT
Au niveau de la durée de prescription :
- Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
- Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
- Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
- Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
- La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- objectifs
- Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
- La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- techniques / outils utilisés
- Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
- La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- dans quel contexte les interventions psychologiques sont-elles efficaces?
- Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
- La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- qu’est-ce que visent les interventions psychologiques précisément?
Elles visent plus précisément :
- Le développement d’une relation de confiance
- L’enseignement répété
- L’augmentation de l’adhésion pharmacologique
- La gestion des comorbidités
- La prévention des rechutes
- La résolution de problèmes quotidiens
- La prise de conscience de sa vulnérabilité
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- quelle est la pertinence des interventions psychologiques?
- En aidant la personne et sa famille à intégrer l’expérience de la maladie, à faire le deuil d’attentes passées, en élaborant des plans réalistes et optimistes en relation avec la nouvelle réalité, les thérapies psychosociales favorisent la reprise du pouvoir sur sa vie (empowerment) plutôt que d’accepter passivement le rôle de la maladie.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
- Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
- La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
- Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est le 1er niveau d’intervention sociale?
- Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
- Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
- La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
- Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est le 2ème niveau d’intervention sociale?
- Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
- Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
- La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
- Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est l’objectif de la thérapie psychoéducative?
- Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
- Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
- La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
- Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quelles sont les thérapies proposées?
- Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
- Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
- La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
- Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
- Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
- À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
- Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- son importance
- Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
- Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
- À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
- Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- but principal de la réadaptation
- Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
- Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
- À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
- Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- quel type d’objectifs sont établis?
- Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
- Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
- À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
- Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
Schizophrénie: Pronostic et évolution
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- facteurs de bon vs mauvais pronostic
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic
- Sexe féminin, excepté si le début de la maladie a eu lieu très tôt
- Pas d’histoire familiale de schizophrénie ni de psychose
- Bon fonctionnement prémordbide
- Pas d’anomalies structurales cérébrales
- Le mariage serait un facteur de protection
- Début aigu de la maladie
- Âge plus tardif au début des symptômes
- Symptômes positifs
- Peu de troubles cognitifs
- Pas d’abus de drogues
- Intervention précoce
- Bonne adhésion à la médication
- Bonne réponse initiale au traitement
- Effets indésirables minimes
- Capable d’autocritique
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: SEXE
Sexe féminin, excepté si le début de la maladie a eu lieu très tôt
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: ATCD
Pas d’histoire familiale de schizophrénie ni de psychose
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: NIVEAU DE FONCTIONNEMENT
Bon fonctionnement prémorbide
Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: ANOMALIES
Pas d’anomalies structurales cérébrales