Troubles psychotiques Flashcards

1
Q

Psychose: C’est quoi?

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
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Q

Psychose: Définition

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
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3
Q

Psychose: Symptômes

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
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4
Q

Psychose: Quelle est la définition de “symptômes positifs”?

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
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5
Q

Psychose: physiopatho des sx positifs

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux (hallucinations, délires, trouble de l’organisation de la pensée / associayion d’idées incohérentes, comportement désorganisé)
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6
Q

Psychose: Nommez les symptômes positifs

A
  • La psychose est une maladie du cerveau qui cause une perturbation du contact avec la réalité.
  • Elle est empreinte de symptômes positifs, qui sont en fait des ajouts à la réalité et aux pensées usuelles de l’individu.
  • Ces symptômes positifs, causés par un trouble de la transmission de la dopamine, se caractérisent par une altération de la réalité à 4 niveaux:
      1. hallucinations
      1. délires
      1. trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes
      1. comportement désorganisé
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7
Q

Psychose: Sx positifs
- Définir: HALLUCINATIONS

A

Hallucinations : perceptions sensorielles en l’absence de stimuli réels.

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8
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: nommez les types

A
  1. Auditive
  2. Visuelle
  3. Cénesthétique
  4. Olfactive
  5. Guastative
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9
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: Type LE PLUS FRÉQUENT EN SCHIZOPHRÉNIE

A

Auditives: Les plus fréquentes en schizophrénie

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10
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: type AUDITIVE - À QUOI RESSEMBLENT-ELLES AU DÉBUT?

A
  • Les plus fréquentes en schizophrénie
  • Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
  • Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
  • 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
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11
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: type AUDITIVE - DÉCRIRE LEUR ÉVOLUTION

A
  • Les plus fréquentes en schizophrénie
  • Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
  • Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
  • 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
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12
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: AUDITIVES - QUELLE EST L’ATTITUDE DE CES VOIX?

A
  • Les plus fréquentes en schizophrénie
  • Initialement constituées de bruits, sons confondus ou mots indistincts.
  • Avec la progression, le patient peut entendre des phrases prononcées par des voix à la 3e personne qu’il peut reconnaître.
  • 25 % → bienveillantes ; 50 % → malveillantes ; 25 % → les 2.
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13
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: VISUELLE - EN SCHIZOPHRÉNIE, QU’EST-CE QUE LES PATIENTS VOIENT?

A
  • Schizophrénie : généralement des personnes mystiques ou réels
  • Psychose secondaire aux intox / sevrages : hallucinations d’insectes ou d’animaux
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14
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: VISUELLE - en PSYCHOSE SECONDAIRE À INTOX, QU’EST-CE QUE LES PATIENTS VOIENT?

A
  • Schizophrénie : généralement des personnes mystiques ou réels -
  • Psychose secondaire aux intox / sevrages : hallucinations d’insectes ou d’animaux
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15
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: DÉFINIR CÉNESTHÉTIQUE

A
  • Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
  • Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
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16
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: CÉNESTHÉTIQUE - EXEMPLES

A
  • Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
  • Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
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17
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: CÉNESTHÉTIQUE - PLUS FRÉQUENTES DANS QUEL TYPE DE SITUATION?

A
  • Reliées au sens du toucher et sont ressenties comme des perceptions tactiles bizarres, comme des attouchements inconvenants ou encore comme la sensation que l’intérieur du corps est en train de se transformer.
  • Plus fréquentes en psychose secondaire aux intox / sevrage de drogues psychostimulantes
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18
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES

A
  • Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
  • Penser à un trouble organique
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19
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES - PRÉSENT DANS QUEL TYPE DE SITUATIONS?

A
  • Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
  • Penser à un trouble organique
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20
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: OLFACTIVES - PENSER À QUOI?

A
  • Présentes notamment dans le trouble délirant somatique
  • Penser à un trouble organique
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21
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES

A
  • Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
  • Penser à un trouble organique
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22
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES - PEUT RESSEMBLER À QUOI?

A
  • Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
  • Penser à un trouble organique
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23
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: GUSTATIVES - PENSER À QUOI?

A
  • Souvent perçu comme une tentative d’empoisonnement
  • Penser à un trouble organique
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24
Q

Psychose: Sx positifs
- Hallucinations: QUELS TYPES DOIT FAIRE PENSER À UN TROUBLE ORGANIQUE?

A
  • Hallucinations OLFACTIVES
  • Hallucinations GUSTATIVES
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25
Q

À quoi ressemblent les patients schizophrènes lors de leurs hallucinations?

A
  • N.B. : Les hallucinations en schizophrénie surviennent typiquement chez un patient bien éveillé et non confus.
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
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26
Q

Hallucinations: Chez les enfants

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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27
Q

Hallucinations: Chez les enfants - c’est normal?

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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28
Q

Hallucinations: Chez les enfants - risque associé

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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29
Q

Hallucinations: Chez les enfants - causes possibles

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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30
Q

Hallucinations: Chez les enfants - il faut distinguer les hallcuinations de quoi?

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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31
Q

Hallucinations: Chez les enfants - amis imaginaires = hallucinations?

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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32
Q

Hallucinations: Chez les enfants - dans quelles conditions peut-on parler d’hallucinations véritables?

A
  • Les hallucinations sont fréquentes chez les enfants, sans que ce soit un phénomène pathologique.
  • Leur présence en bas âge prédispose tout de même beaucoup à la pathologie schizophrénique.
  • L’anxiété et la fièvre sont souvent des phénomènes hallucinogènes chez ces derniers.
  • Le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer d’une schizophrénie à début précoce, notamment par le fait que ce dernier s’amuse avec son compagnon uniquement dans des moments non publics.
  • De plus, afin de parler d’hallucinations véritables, l’enfant doit avoir un sensorium clair (ø T°, ø délirium, ø drogues).
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33
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: C’est quoi?

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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34
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: Définition

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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35
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: Ses caractéristiques

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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36
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: amènent quoi?

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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37
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: quels types de distorsion sont amenés?

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ;
      1. biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ;
      1. biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ;
      1. déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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38
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: définir biais D’ATTRIBUTION

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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39
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: définir DÉFICITS DE LA THÉORIE DE L’ESPRIT

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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40
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: décrire les délires schizophréniques

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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41
Q

Psychose: Sx positifs
- DÉLIRES: de quoi dépend l’élaboration des biais?

A
  • Délires : erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronées.
  • Classiquement, le délire se définit comme une conviction erronée, irréductible par la logique.
  • Amènent 3 types de distorsion ; biais du type « sauter prématurément aux conclusions » ; biais d’attribution (croire que certaines pensées / émotions / impulsions proviennent d’influences externes à soi) ; déficits de la théorie de l’esprit (difficulté à concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu’il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations).
  • N.B. : Les délires schizophréniques sont caractérisés par leur bizzarerie, et l’élaboration de ceux-ci dépendent du QI du patient (faible : délire concret / frustre vs élevé : délire fantaisiste et compliqué).
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42
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: c’est quoi?

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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43
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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44
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: formes possibles

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir DÉRAILLEMENT OU DISCOURS TANGENTIEL

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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46
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir ILLOGISME

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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47
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir NÉOLOGISME

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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48
Q

Psychose: Sx positifs
- TR ORGANISATION PENSÉE / ASSOCIATION D’IDÉES INCOHÉRENTES: définir JARGONAPHASIE

A
  • Trouble de l’organisation de la pensée / association d’idées incohérentes : perte de la valeur de communication du langage ; il devient incompréhensible.
  • Peut prendre diverses formes :
    • Déraillement ou discours tangentiel : glissement des idées, par exemple parler de politique et finir en discutant de bloques Lego.
    • Illogisme : forme de discours ou les conclusions ne suivent pas la logique, par exemple « j’instaure un logiciel d’examen sur ordinateur » donc tout le monde a un ordinateur adéquat.
    • Néologisme : création de nouveaux mots (rare mais typique de la schizophrénie)
    • Jargonaphasie : discours composé d’onomatopées ou de sons « Blah-heuh-hi-han »
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Q

Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: c’est quoi?

A
  • Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
  • Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
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50
Q

Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: définir

A
  • Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
  • Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
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51
Q

Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: physiopatho

A
  • Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
  • Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
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52
Q

Psychose: Sx positifs
- COMPORTEMENT DÉSORGANISÉ: exemples

A
  • Comportement désorganisé –> Faible capacité d’anticipation : par exemple, dans la schizophrénie, la capacité d’anticipation est faible en raison de l’hypofrontalité, et le raisonnement est perturbé à cause du délire.
  • Le patient peut alors accomplir une variété d’actions erratiques, sans but, que l’entourage trouve bizarres (ex : collectionner des ordures, porter des vêtements trop chauds en été).
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53
Q

Psychose: Sx positifs - quand les sx positifs sont-ils présents?

A
  • Il est à noter que ces symptômes positifs sont présents de façon transitoires et ne sont pas tous simultanément présents.
  • Ceux présents de façon chronique sont considérés comme résiduels / résistants au traitement.
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54
Q

Schizophrénie: Incidence

A
  • L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
  • Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
  • De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
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55
Q

Schizophrénie: Incidence
- qu’est-ce qui fait varier l’incidence?

A
  • L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
  • Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
  • De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
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56
Q

Schizophrénie: Incidence au QUÉBEC

A
  • L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
  • Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
  • De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
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57
Q

Schizophrénie: Prévalence au QUÉBEC

A
  • L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
  • Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
  • De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
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58
Q

Schizophrénie: Coûts associés à cette pathologie

A
  • L’incidence de la schizophrénie varie dans le monde de 0,3 – 2,7 % en raison d’une variété de composantes environnementales.
  • Au Québec, on rapporte une incidence annuelle de 0,42 – 0,94 % et une prévalence à vie de 0,59 – 1,46 %.
  • De hauts coûts sont associés à cette pathologie, notamment au niveau de la perde de productivité des malades.
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59
Q

Schizophrénie: Incidence - H vs F

A
  • Un pic d’incidence est noté entre 15 et 26 ans pour les hommes (début plus précoce chez l’homme)
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60
Q

Schizophrénie: Pic d’incidence chez les HOMMES

A
  • Un pic d’incidence est noté entre 15 et 26 ans pour les hommes (début plus précoce chez l’homme)
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61
Q

Schizophrénie: Pic d’incidence chez les FEMMES

A
  • Un premier pic d’incidence à 24-32 ans pour les femmes
  • Un deuxième pic d’incidence à 55-64 ans pour les femmes, probablement relié à la baisse d’oestrogènes.
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62
Q

Schizophrénie: Évolution
- Chez les HOMMES

A
  • Un début précoce met à risque d’une évolution plus morbide.
  • Une différence de quelques années peut parfois permettre l’adoption d’attitudes sociales plus adaptées et prévenir la morbidité.
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63
Q

Schizophrénie: Hospitalisation
- Chez les HOMMES

A
  • Hospitalisation plus longtemps que les femmes en général
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64
Q

Schizophrénie: Ratio - H vs F

A
  • Ratio d’environ 1,28 à 1,56 H pour 1 F.
  • Le ratio entre les hommes et les femmes s’équilibre à l’adolescence.
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65
Q

Schizophrénie: Répartition de l’incidence

A

La répartition de l’incidence se fait donc ainsi globalement :
- 5% avant 14 ans
- 20% avant 18 ans
- >50% avant 25 ans
- 80% avant 35 ans
- Moins de 10% pour avant 12 ans et entre 40-60 ans.

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66
Q

Schizophrénie: Caractéristiques présentes chez plusieurs patients schizophrènes

A
  • Il peut être intéressant de noter que 10% des patients atteints de schizophrénie sont nés en fin d’hiver, car une infection virale de la mère en fin de 2ie trimestre augmente le risque via l’atteinte du développement cérébral fœtal.
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67
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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68
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- prévalence dans la population générale

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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69
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI PARENT 2ÈME DEGRÉ TOUCHÉ

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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70
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI PARENT 1ER DEGRÉ TOUCHÉ

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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71
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI JUMEAU DIZYGOTE TOUCHÉ

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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72
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI 2 PARENTS TOUCHÉS

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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73
Q

Schizophrénie: Risque de transmission génétique
- SI JUMEAU MONOZYGOTE TOUCHÉ

A
  • 1 % dans la population générale
  • 3 % si parent du 2e degré touché (oncle / tante / cousin / cousine)
  • 10 % si parent du 1er degré touché (mère / père / frère / sœur)
  • 10 % si jumeau dizygote touché
  • 40 % si les 2 parents sont atteints
  • 50 % si jumeau monozygote atteint
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74
Q

Schizophrénie: Étiologies

A
  • Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
  • Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
  • Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
  • Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
  • Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
  • Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
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75
Q

Schizophrénie: Étiologies
- physiopatho du dév de la maladie

A
  • Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
  • Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
  • Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
  • Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
  • Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
  • Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
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76
Q

Schizophrénie: Étiologies
- sur quoi vise le modèle de compréhension?

A
  • Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
  • Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
  • Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
  • Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
  • Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
  • Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
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Q

Schizophrénie: Étiologies
- rôle des facteurs physiologiques

A
  • Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
  • Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
  • Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
  • Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
  • Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
  • Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
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Q

Schizophrénie: Étiologies
- les différentes composantes

A
  • Comme bien des maladies, il n’existe pas de causes uniques permettant le développement de la schizophrénie.
  • Ce serait plutôt l’interaction entre une multitude de causes potentielles.
  • Le modèle de compréhension vise plutôt à unifier ces facteurs disparates et s’appuie sur le modèle de vulnérabilité au stress qui permet de réunir les diverses facettes.
  • Ce modèle démontre bien que la seule présence des facteurs physiologique est insuffisante pour provoquer l’apparition de la maladie.
  • Effectivement, il doit s’ajouter certains types de stress pour que la maladie arrive.
  • Voici les différentes composantes approchées : voir image ci-jointe
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Q

Schizophrénie: Étiologies - les différentes composantes
- VULNÉRABILITÉ NEUROPSYCHOLOGIQUE

A

Vulnérabilité neuropsychologique

  • Anomalies génétiques
  • Antécédents familiaux de psychose
  • Anomalies cérébrales
    • Anoamlies temporales
    • Anomalies limbiques (hippocampe)
    • Hypofrontalité
  • Dysfonction des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, glutamate)
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Q

Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- VULNÉRABILITÉ NEUROPSYCHOLOGIQUE: NOMMEZ LES ANOMALIES CÉRÉBRALES

A

Vulnérabilité neuropsychologique

  • Anomalies génétiques
  • Antécédents familiaux de psychose
  • Anomalies cérébrales
    • Anoamlies temporales
    • Anomalies limbiques (hippocampe)
    • Hypofrontalité
  • Dysfonction des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, glutamate)
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Q

Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- STRESSEURS BIOLOGIQUES ET SOCIO-ENVIRONNEMENTAUX

A

Stresseurs biologiques et socio-environnementaux

  • Cannabis et autres dorgues (stimulants)
  • Complications obstétricaux
  • Événements de la vie quotidienne
  • Émotions exprimées (EE)
  • Immigration, urbanicité
  • Pression de performance (études, travail)
  • Insuffisance du soutien social
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Q

Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- TRAITEMENTS (PRÉVENTION DES RECHUTES)

A

Traitements (prévention des rechutes)

  • Antipsychotiques
  • Psychoéducation (patient et famille)
  • Thérapie cognitive
  • Entraînement aux habilités sociales et de communication (coping)
  • Programme de réadaptation individualisé
  • Retour aux études ou au travail
  • Soutien social continu
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Q

Schizophrénie: Étiologies - différentes composantes
- SYMPTÔMES RÉSIDUELS

A
  • Fonctionnement altéré
  • Handicap, invalidité
  • Stigmatisation, découragement
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Q

Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - définir

A
  • Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
  • On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
  • Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
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Q

Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - rôle des gènes dans l’étiologie de la schizophrénie

A
  • Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
  • On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
  • Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
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Q

Schizophrénie: Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - nombre de gènes nécessaires

A
  • Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
  • On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
  • Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
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Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - facteur épigénétique

A
  • Impact variable dû à un effet d’addition de risques génétiques entraînant une hétérogénéité des tableaux cliniques.
  • On considère d’ailleurs que la schizophrénie relève d’un bon nombre de gènes combinant leurs effets pour déclencher la maladie quand le risque dépasse un certain seuil.
  • Il existe aussi un facteur d’épigénétique (20 %).
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88
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - NOMMEZ LES DIFFÉRENTES ANOMALIES GÉNÉTIQUES

A
  1. Marqueurs génétiques
  2. Études familiales
  3. Étude de jumeaux
  4. Étude d’adoption
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89
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - MARQUEURS GÉNÉTIQUES

A
  • Marqueurs génétiques : On retrouve différents signes neuropsychologique mesurables chez les individus atteints ou à risques tels que la poursuite oculaire anarchique.
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Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES FAMILIALES

A
  • Études familiales : Plus les parents porteurs sont génétiquement proches, plus le risque est grand.
  • De plus, le risque double si le proche débute la maladie en âge précoce par rapport à l’âge adulte.
  • Le tableau le plus courant est un patient dont les parents auraient le génotype sans le phénotype (porteurs asymptomatiques) et des seconds proches atteints
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91
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES DE JUMEAUX

A
  • Études de jumeaux : Les jumeaux homozygotes ont une concordance de 50 %.
  • C’est la meilleure preuve qu’il y a une composante génétique, malgré que celle-ci soit insuffisante pour déterminer l’apparition de la maladie.
  • De plus, ceci soutient la thèse que l’élément déclencheur est après la naissance, mais que des complications obstétricales (anté et périnatales) peuvent aussi potentiellement expliquer l’atteinte, selon le fait que l’enfant de plus faible poids est plus souvent atteint.
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92
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Vulnérabilité neurophysiologique: ANOMALIES GÉNÉTIQUES - ÉTUDES D’ADOPTION

A
  • Études d’adoption : Le facteur d’adoption n’a pas d’influence (sauf si la mère biologique est atteinte de schizophrénie et famille d’accueil ayant une communication perturbée).
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93
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: Nommez les différents éléments

A
  1. histologiques
  2. immunologiques
  3. structurales
  4. imagerie fonctionnelle
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94
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: HISTOLOGIQUES

A
  • Histologiques : Il existe des anomalies de la migration des cellules dans la région limbique (hippocampe, cortex entorhinal, amygdale, thalamus, cingulum, septum), ce qui renforcie l’idée d’une trouble du développement du cerveau lors de la phase fœtale.
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95
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: IMMUNOLOGIQUES

A
  • Immunologiques: Des lésions cérébrales pourraient être reliées à une atteinte auto-immune chez certains patients.
  • Des virus neurotrophiques (CMV, HSV, rétrovirus, VIH) peuvent directement infecter le cerveau, ou alors des autoanticorps viendraient perturber le développement cérébral et causer des symptômes de schizophrénie.
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96
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: STRUCTURALES

A
  • Structurales : Il est de plus en plus admis que la schizophrénie est une maladie neurodéveloppementale avec des composantes neurodégénératives puisqu’il existe des changements (ex : élargissement des ventricules) qui arrivent avant l’apparition des symptômes et que certains changements (ex : perte progressive de matière grise) se perpétue dans le temps.
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97
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Anomalies cérébrales: IMAGERIE FONCTIONNELLE

A
  • Imagerie Fonctionnelle : On voit dans changements fonctionnels lors de certains symptômes (ex : aire de Broca activée lors des discours intérieur et aire de Wernicke lors des hallucinations auditives) et une diminution de l’activité de certaines aires cérébrales chez les schizophrènes.
  • Les trois zones interreliées affectées sont le cortex préfrontal, le cortex temporal et le cortex limbique, et dépendamment de quelles zones sont les plus touchées, il y a variabilité des symptômes.
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98
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: nommez les NT en cause

A
  1. dopamine
  2. sérotonine
  3. glutamate
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99
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - quel est le rôle de la dopamine en général?

A
  • La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
  • Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - quelle est la perturbation de la DA chez les patients schizophrènes?

A
  • La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
  • Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
    • Une plus grande synthèse de DA
    • Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
    • Une plus grande quantité de DA dans la synapse
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101
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - impact du surplus de DA

A
  • La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
  • Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
    • Une plus grande synthèse de DA
    • Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
    • Une plus grande quantité de DA dans la synapse
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102
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - physiopatho du surplus de DA

A
  • La DA serait associée à la vigilance ; une surproduction de DA mènerait à une survigilance aux stimuli et pourrait provoquer les symptômes.
  • Un évènement normal peut être considéré comme un évènement d’une grande signification pour l’individu.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie présentent :
    • Une plus grande synthèse de DA
    • Une décharge plus importe de DA selon un stimulation
    • Une plus grande quantité de DA dans la synapse
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103
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Mécanisme d’action des antipsychotiques

A
  • Il est à noter que les antipsychotiques utilisés dans le traitement de la schizophrénie ont tous la propriété de bloquer la transmission de la DA au niveau des récepteurs DA1 et DA2.
  • Considérant que 30% des patients ne répondent pas aux antipsychotiques, il faut en déduire que la DA et sa transmission ne peut à elle seule expliquer les symptômes.
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104
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - importance de la DA dans la physiopatho de la schizophrénie

A
  • Il est à noter que les antipsychotiques utilisés dans le traitement de la schizophrénie ont tous la propriété de bloquer la transmission de la DA au niveau des récepteurs DA1 et DA2.
  • Considérant que 30% des patients ne répondent pas aux antipsychotiques, il faut en déduire que la DA et sa transmission ne peut à elle seule expliquer les symptômes.
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105
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - au niveau de quelles structures agissent les antipsychotiques?

A

Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :

  • Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
  • Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
  • Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
  • Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
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106
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau de la SUBSTANCE NOIRE

A

Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :

  • Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
  • Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
  • Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
  • Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau de l’HYPOTHALAMUS

A

Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :

  • Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
  • Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
  • Mésencéphale → cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
  • Mésencéphale → lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
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108
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau du MÉSENCÉPHALE au cortex FRONTAL

A

Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :

  • Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
  • Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
  • Mésencéphale au cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
  • Mésencéphale au lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
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109
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: DOPAMINE - mécanisme d’action des antipsychitiques au niveau du MÉSENCÉPHALE au cortex LIMBIQUE

A

Les antipsychotiques agissent au niveau des différentes voies dopaminergiques :

  • Substance noire → stritum (nigrostriée) : troubles du mouvement si bloqué (p/e dystonie)
  • Hypothalamus → hypophyse antérieur (tubéro-infundibulaire) : galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfonctions sexuelles si bloqué
  • Mésencéphale au cortex frontal (voie mésocorticale) : réduit les délires, mais aussi le fonctionnement des lobes frontaux dont la cognition si bloquée
  • Mésencéphale au lobe limbique (voie mésolimbique) : réduit les émotions intenses et parfois disparition des symptômes positifs si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques).
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: SÉROTONINE

A

La sérotonine a un effet modulateur sur l’expression émotive, et elle semble plus élevée (diminution de l’enzyme la dégradant) chez les schizophrènes.

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Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: SÉROTONINE - rôle de la sérotonine dans la schizophrénie

A

La sérotonine a un effet modulateur sur l’expression émotive, et elle semble plus élevée (diminution de l’enzyme la dégradant) chez les schizophrènes.

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112
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: GLUTAMATE

A
  • Glutamate : On pense que la surstimulation glutaminergique a un effet toxique sur les neurones et cause une dégénérescence neuronale aboutissant à une hyperactivité dopaminergique.
  • La mauvaise régulation de la transmission dopaminergique chez les schizophrènes serait la voie commune finale de la pathologie, précédemment causée par un trouble au niveau du système glutaminergique (origine neurochimique).
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113
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Dysfonction des NT: GLUTAMATE - rôle du glutamate dans la physiopatho de la schizophrénie

A
  • Glutamate : On pense que la surstimulation glutaminergique a un effet toxique sur les neurones et cause une dégénérescence neuronale aboutissant à une hyperactivité dopaminergique.
  • La mauvaise régulation de la transmission dopaminergique chez les schizophrènes serait la voie commune finale de la pathologie, précédemment causée par un trouble au niveau du système glutaminergique (origine neurochimique).
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Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs: nommez les types

A
  1. Biologiques
  2. Psycho-social
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Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Nommez-les

A
  • Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
    • Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
    • Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
    • Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrène
    • Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
  • Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
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Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Physiopatho du cannabis et autres drogues

A
  • Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
    • Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
    • Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
    • Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrène
    • Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
  • Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
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117
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs BIOLOGIQUES: Conséquences du cannabis et autres drogues

A
  • Cannabis et autres drogues : Ces drogues surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2 à 25 fois. On pense que ces substances peuvent précipiter la schizophrénie en :
    • Produisant des symptômes psychotiques transitoire chez tout individu
    • Déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les patients prédisposés
    • Intensifiant les symptômes d’un patient schizophrèn
    • Provoquant des rechutes des patients en rémission ou qui cessent leur médication
  • Complications obstétricales : Sauf chez les patients dont la survenue de la schizophrénie est précoce (< 12 ans), la survenue d’événement obstétrical augmente le risque de schizophrénie, probablement en affectant le développement cérébral / potentialisant l’effet de l’hypoxie cérébrale.
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118
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: Nommez-les

A
  1. Événements de la vie quotidienne
  2. Émotionnalité exprimée
  3. Urbanicité
  4. Immigration
  5. Pression de performance
  6. Soutien social
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119
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: ÉVÉNEMENTS DE LA VIE QUOTIDIENNE

A
  • Événements de la vie quotidienne : La survenue de plusieurs événements rapprochés peuvent compromettre les capacités d’adaptation et provoquer des rechutes chez le patient.
  • Par contre, chez un sujet sain, il ne provoquera pas la pathologie puisque le filtrage des stimuli est compétent.
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120
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: ÉMOTIONNALITÉ EXPRIMÉE

A
  • Émotionnalité exprimée : Les taux de rechutes chez les patients sont augmentés par la présence de familles ayant une expression émotive forte.
  • Cet effet est annulé lors de la prise de neuroleptiques.
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121
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: URBANICITÉ

A
  • Urbanicité : Plus la ville est densément peuplée, plus la personne y va vécu longtemps et moins il y a de cohésion sociale, plus la personne est à risque.
  • Il est à noter que la schizophrénie entraîne une dérive sociale.
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122
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: IMMIGRATION

A
  • Immigration : L’immigration, particulièrement lorsqu’il y a discrimination, entraîne une augmentation du risque de schizophrénie.
  • Le risque de souffrir de schizophrénie chez les immigrants de 1ère génération est 2,3X plus élevés et de 2,1X pour leurs enfants.
  • S’il y a présence de discrimination sociale, le risque grimpe à 5-10X.
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123
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: PRESSION DE PERFORMANCE

A
  • Pression de performance : les exigences de la vie moderne entravent l’insertion sociale des patients schizophrènes.
  • Les tensions éprouvées par un employé au travail, l’approche des examens et de la pression de performance que vit un étudiant sont plus difficiles à supporter quand on souffre de schizophrénie puisque
  • Le schizophrène a plus de difficulté à composer avec la pression de performance.
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124
Q

Modèle vulnérabilité-stress de la schizophrénie
- Stresseurs PSYCHOSOCIAL: SOUTIEN SOCIAL

A
  • Soutien social : La perte du soutien social, que ce soit par l’objectif d’autonomie des thérapies ou d’une autre cause, peut affecter grandement le patient, surtout si la maladie est à début précoce (le patient est dans une phase où il développe ses habilitées sociales et relationnelles et de s’affranchir de sa famille).
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125
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques

A
  • « Au niveau des critères diagnostics, je vous laisse le soin de lire vos livres de références, DSM et Lalonde.
  • Cependant, ne perdez pas de temps avec les variétés diagnostiques listées page 344 qui relève plus de l’externat que du préclinique. Intéressant à lire cependant car vous allez vous en faire parler en clinique à coup sûr !
  • Par ailleurs, passez pour le moment sur les sections 17.4.2 et 17.4.3, nous y reviendrons plus tard.
  • Faites impasse également sur la section 17.4.4.
  • Allons plutôt voir la section 17.4.5 sur les Modes d’apparition de la psychose. »
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126
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- distinction entre les sx pré-morbides vs prodromaux vs en phase aiguë

A
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127
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- définir: sx pré-morbides

A

Symptômes avant la maladie

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128
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- définir: sx prodromaux

A

Sx annonciateurs de la maladie

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129
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX PRÉ-MORBIDES

A

Comportements et idées bizarres :

  • Difficulté de socialisation
  • Anomalies développementales
  • Rituels / habitudes bizarres
  • Difficultés cognitives
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130
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX PRODROMAUX

A
  • Symptômes négatifs
  • Détérioration du niveau de fonctionnement antérieur (s’installe sur 2 – 3 ans)
  • Sentiment de malaise
  • Plaintes somatiques vagues
  • Difficultés cognitives
  • Angoisse qui s’intensifie
  • Perte du sommeil
  • Sentiment de perte de contrôle sur ses pensées
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131
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- nommez les SX EN PHASE AIGUË

A

Symptômes psychotiques :

  • Hallucinations
  • Délires
  • Incohérence des propos
  • Désorganisation du comportement
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132
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)

A

A. Deux (ou plus) parmi les symptômes suivants, chacun devant être présent dans une proportion significative de temps au cours d’une période d’un mois (ou moins en cas de traitement efficace). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
1. Idées délirantes.
2. Hallucinations.
3. Discours désorganisé (p. ex. incohérences ou déraillements fréquents)
4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
5. Symptômes négatifs (aboulie ou diminution de l’expression émotionnelle).

B. Durant une proportion signicative de temps depuis le début du trouble, le niveau de fonctionnement dans un domaine majeur tel que le travail, les relations interpersonnelles ou l’hygiène personnelle est passé d’une façon marquée en dessous du niveau atteint avant le début du trouble (ou, quand le trouble apparaît pendant l’enfance ou l’adolescence, le niveau prévisible de fonctionnement interpersonnel, scolaire ou professionnel n’a pas été atteint).

C. Des signes continus du trouble persistent depuis au moins 6 mois. Pendant cette période de 6 mois les symptômes répondant au critère A (c.-à-d., symptômes de la phase active) doivent avoir été présents pendant au moins un mois (ou moins en cas de traitement efcace) ; dans le même laps de temps, des symptômes prodromiques ou résiduels peuvent également se rencontrer. Pendant ces périodes prodromiques ou résiduelles, les signes du trouble peuvent ne se manifester que par des symptômes négatifs, ou par deux ou plus des symptômes listés dans le critère A présents sous une forme atténuée (p. ex. des croyances étranges ou expériences de perceptions inhabituelles).

D. Un trouble schizoaffectif, ou dépressif, ou un trouble bipolaire avec manifestations psychotiques ont été exclus parce que :
1) soit il n’y a pas eu d’épisode maniaque ou dépressif caractérisé concurremment avec la phase active des symptômes ;
2) soit, si des épisodes de trouble de l’humeur ont été présents pendant la phase active des symptômes, ils étaient présents seulement pendant une courte période de temps sur la durée totale des phases actives et résiduelles de la maladie.

E. Le trouble n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. une drogue donnant lieu à abus, ou un médicament) ou à une autre pathologie médicale.

F. S’il existe des antécédents de trouble du spectre de l’autisme ou de trouble de la communication débutant dans l’enfance, le diagnostic surajouté de schizophrénie est posé seulement si des symptômes hallucinatoires et délirants importants, en plus des autres symptômes de schizophrénie nécessaires au diagnostic, sont aussi présents pendant au moins un mois (ou moins en cas de traitement efcace).

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133
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques
- LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-IV-TR)

A
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134
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- il faut spécifier quoi?

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: dans quel contexte peuvent-elles être utilisées?

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: PREMIER ÉPISODE

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: ÉPISODES MULTIPLES

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: AUTRES

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LES CRITÈRES DIAGNOSTICS (DSM-V)
- spécifications: SÉVÉRITÉ

A

Spécifier si :

  • Les spécifications de l’évolution qui suivent ne doivent être utilisées qu’après une durée d’un an du trouble et si elles ne sont pas en contradiction avec les critères évolutifs propres au diagnostic :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu : Première manifestation du trouble remplissant les critères diagnostiques de définition et les critères de durée. Un épisode aigu est une période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle : Une rémission partielle après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques du trouble ne sont que partiellement remplis.
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète : Une rémission complète après un épisode antérieur est une période de temps durant laquelle aucun symptôme spécifique de la maladie n’est présent.
  • Épisodes multiples, actuellement épisode aigu : Des épisodes multiples ne peuvent être établis qu’après un minimum de deux épisodes (un épisode, une rémission, et un minimum d’une rechute).
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
    • Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
    • Continu : Les symptômes remplissant les critères symptomatiques diagnostiques du trouble sont présents la majorité du temps de la maladie, les périodes de symptômes subliminaux étant très brefs au regard de l’ensemble de l’évolution.
    • Non spécifié
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux, et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (le plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave).
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Schizophrénie: Manifestations cliniques
- SX PRÉCURSEURS À UN ÉPISODE PSYCHOTIQUE

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques - LORS DE L’ÉPISODE AIGU

A
  • Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ».
  • Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique.
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - PSYCHOLOGIQUES

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - AFFECTIFS

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - COMPORTEMENTAUX

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - COGNITIFS

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - ÉLABORATIONS DÉLIRANTES

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaborations délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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Q

Schizophrénie: Sx précurseurs à épisode psychotique - PERCEPTUELS

A

Lorsque l’on regarde la clinique d’un schizophrène, son épisode aigu de psychose est empreint de symptômes dit « positifs ». Or, il existe plusieurs symptômes que l’on qualifie de précurseurs à un épisode psychotique :

  • Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
  • Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage, sentiment d’inutilité, dépression)
  • Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
  • Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
  • Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi, accroissement des préoccupations religieuses)
  • Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition d’hallucinations fugaces)
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148
Q

Schizophrénie: Quels sont les sx en dehors de la psychose aiguë?

A
  • Il ne faut pas oublier que les patients vivent des perturbations psychologiques même lorsqu’ils ne sont pas en psychose aiguë.
  • Ceux-ci sont notamment représentés par des symptômes négatifs, des troubles cognitifs et des symptômes affectifs.
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149
Q

Schizophrénie: Sx négatifs - c’est quoi?

A
  • Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
  • On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
  • Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
  • Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
  • Voici les principaux :
    • Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
    • Alogie
    • Aboulie ou apathie
    • Anhédonie et asocialité
    • Déficit de l’attention
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150
Q

Schizophrénie: Sx négatifs - définition

A
  • Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
  • On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
  • Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
  • Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
  • Voici les principaux :
    • Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
    • Alogie
    • Aboulie ou apathie
    • Anhédonie et asocialité
    • Déficit de l’attention
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Q

Schizophrénie: Sx négatifs - à quels moments sont-ils présents?

A
  • Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
  • On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
  • Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
  • Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
  • Voici les principaux :
    • Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
    • Alogie
    • Aboulie ou apathie
    • Anhédonie et asocialité
    • Déficit de l’attention
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Q

Schizophrénie: Sx négatifs - nommez les principaux

A
  • Ils se caractérisent par une absence de comportements attendus.
  • On peut les concevoir comme une diminution (idée de soustraction) des aptitudes usuelles d’un individu.
  • Ce sont des symptômes précurseurs de la schizophrénie et leurs apparitions est insidieuses dès le début de la maladie, mais peuvent également persister après la disparition des symptômes positifs.
  • Ils sont donc résiduels, déficitaires et souvent permanents.
  • Voici les principaux :
    • Affect inapproprié, aplaté ou émoussé
    • Alogie
    • Aboulie ou apathie
    • Anhédonie et asocialité
    • Déficit de l’attention
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Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- AFFECT

A
  • Affect inapproprié, aplati ou émoussé : en phase aigüe, une réponse émotive incongrue et excessive (par exemple : une anxiété massive et morcelante) accompagne certains délires ou certaines hallucinations.
  • C’est une discordance idéoaffective, soit une dissociation entre l’affect (ce que la personne semble éprouver) et la pensée (ce que la personne croit éprouver).
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154
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- AFFECT: définir discordance idéoaffective

A
  • Affect inapproprié, aplati ou émoussé : en phase aigüe, une réponse émotive incongrue et excessive (par exemple : une anxiété massive et morcelante) accompagne certains délires ou certaines hallucinations.
  • C’est une discordance idéoaffective, soit une dissociation entre l’affect (ce que la personne semble éprouver) et la pensée (ce que la personne croit éprouver).
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155
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE

A

Alogie : difficulté de conversation manifestée par :

  • Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
  • Augmentation du délai de réponse
  • Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
  • Interruption subite de la conversation, un blocage
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156
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE: définition

A

Alogie : difficulté de conversation manifestée par :
- Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
- Augmentation du délai de réponse
- Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
- Interruption subite de la conversation, un blocage

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157
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ALOGIE: comment se manifeste-t-elle?

A

Alogie : difficulté de conversation manifestée par :

  • Manque d’initiative pour amorcer ou entretenir une conversation
  • Augmentation du délai de réponse
  • Pauvreté du discours avec des réponses évasives et brèves (même si une réplique peut être longue, elle ne contient que très peu d’information)
  • Interruption subite de la conversation, un blocage
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Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ABOULIE OU APATHIE

A

Aboulie ou apathie : manque d’énergie physique, négligence de l’hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance.

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159
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ABOULIE OU APATHIE: définition

A

Aboulie ou apathie : manque d’énergie physique, négligence de l’hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance.

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160
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ

A

Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.

  • Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
  • Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
  • Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
  • Effritement des relations avec les amis et les pairs
  • Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
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161
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: définition

A

Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.

  • Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
  • Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
  • Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
  • Effritement des relations avec les amis et les pairs
  • Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
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Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: vs antisocial?

A

Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.

  • Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
  • Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
  • Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
  • Effritement des relations avec les amis et les pairs
  • Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
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163
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- ANHÉDONIE ET ASOCIALITÉ: impacts sur la vie des patients

A

Anhédonie et asocialité : perte de plaisir à socialiser. C’est un manque d’intérêt social (asocialité), mais différent du comportement antisocial où dans ce dernier la personne profite des autres.

  • Perte d’intérêt dans les activités de détentes, agréables (par exemple des fêtes)
  • Diminution de la qualité et de la quantité des activités récréatives et des loisirs
  • Incapacité à entretenir des relations intimes avec les membres de sa famille
  • Effritement des relations avec les amis et les pairs
  • Rareté des activités sexuelles impliquant des contacts avec des partenaires.
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164
Q

Schizophrénie: Sx négatifs
- DÉFICIT DE L’ATTENTION

A

Déficit de l’attention : Tant sur le plan de l’attention sociale que fonctionnelle (activités)

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165
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs

A
  • Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
  • Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
  • Les grands troubles que l’on observe sont :
      1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
      1. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
      1. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
  • Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
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166
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- fréquence

A
  • Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
  • Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
  • Les grands troubles que l’on observe sont :
      1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
      1. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
      1. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
  • Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
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167
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- présentation clinique

A
  • Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
  • Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
  • Les grands troubles que l’on observe sont :
      1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
      1. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
      1. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
  • Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
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168
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- nommez les grands troubles

A
  • Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
  • Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
  • Les grands troubles que l’on observe sont :
    • 1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
    • 2. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
    • 3. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
  • Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
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169
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- les patients sont au courant?

A
  • Présents chez 85% des personnes atteintes de schizophrénie, ils sont souvent les premiers symptômes à apparaître.
  • Ils se caractérisent par une difficulté à réagir aux stimuli appropriés et à inhiber ou filtrer les stimuli inappropriés qui interfèrent avec le traitement des informations et la réponse adéquate.
  • Les grands troubles que l’on observe sont :
      1. Trouble de concentration / d’attention / faible tolérance à l’effort
      1. Troubles de la mémoire globale / de travail / contextuelle et autobiographique
      1. Troubles des fonction exécutives (lobes frontaux → difficulté à planifier, conceptualiser, et réaliser une tâche ; organiser des séquences d’actions ; anticiper les conséquences)
  • Il est à noter que les personnes atteintes de schizophrénies sont au courant de leur déficit cognitif, mais ne savent pas comment les corriger, d’où l’importance de leur proposer des solutions.
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170
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental

A
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171
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental: DESCRIPTION

A
  • Ne réussit pas à conserver une attention soutenue lors de la réalisation d’une tâche
  • Difficulté à suivre ses cours ou à se concentrer sur un film.
  • Difficulté à extraire des informations spécifiques dans un contexte où plusieurs informations sont données
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172
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Trouble de l’attention, faible tolérance à l’effort mental: TEST - OBSERVATION

A
  • Prend du temps à répondre aux questions, à réagir aux situations qui demandent une réponse rapide
  • Distrait par des stimuli non pertinents
  • Test de Stroop met en évidence ce type de difficulté : on montre des cartes de couleur avec des mots écrits, et on lui demande d’uniquement nous dire la couleur sans s’attarder aux mots.
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173
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire

A
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174
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire: DESCRIPTION

A
  • Trouble de mémoire global / de travail / contextuel et autobiographique
  • La mémoire contextuelle ou mémoire source est déficitaire (information concernant le lieu ou le moment où est survenu un événement).
  • Mémoire autobiographique affectée : les patients oublient des évènements de leur histoire personnelle. Il continue de se percevoir comme le Moi d’autrefois (« je peux bien retourner à l’école même si ça fait 4 ans que je n’y suis pas allé, je réussissais, j’aimais ça, je suis capable! »).
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175
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles de la mémoire: TEST - OBSERVATION

A
  • Difficulté à raconter ce qu’elle lit, à suivre une conversation ou se rappeler ce que les autres disent
  • Altération de la mémoire de travail (conserver et manipuler une information sur une brève durée, comme retenir un numéro de téléphone le temps de le composer).
  • Test d’empan de mémoire des chiffres : lire au patient une liste de chiffres à une vitesse donnée puis à lui demander de les redire dans l’ordre. Habituellement à 7 éléments le rappel est ardu
  • Test de traçage de piste A et B : dans A il doit relier les nombres en ordre croissant et dans B il doit relier les nombres et les lettres alternativement en ordre croissant (1-A, 2-B, 3-C, etc.)
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176
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives

A
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177
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives: DESCRIPTION

A
  • Gérées par les lobes frontaux, sont essentielles à tout comportement dirigé, autonome ou adapté. Par exemple : préparer un repas.
  • Difficulté à conceptualiser les gestes à faire pour y arriver
  • Manque de flexibilité cognitive : difficulté à s’adapter.
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178
Q

Schizophrénie: Troubles cognitifs
- Troubles des fonctions exécutives: TEST - OBSERVATION

A
  • Elle a de la difficulté à formuler, initier et exécuter un plan d’action en vue de résoudre un problème
  • Wisconsin Card Sorting Test : bonne façon d’assembler des carters par essais et erreurs. Mesure la flexibilité mentale.
  • Test de la tour de Londres : permet d’évaluer les capacités de planification et mesure les erreurs persévératives.
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179
Q

Schizophrénie: Sx affectifs

A
  • L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
  • Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
  • Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
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180
Q

Schizophrénie: Manifestations cliniques des sx affectifs

A
  • L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
  • Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
  • Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
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181
Q

Schizophrénie: Causes des sx affectifs

A
  • L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
  • Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
  • Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
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182
Q

Schizophrénie: Sx affectifs - chez les enfants

A
  • L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
  • Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
  • Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
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183
Q

Schizophrénie: Sx affectifs - présence d’émotions?

A
  • L’intensité des émotions vécues est exprimée de façon inappropriée à cause d’une dysrégulation affective.
  • Les personnes atteintes de schizophrénie ne réussissent pas à communiquer leurs expressions faciales ou l’intonation de leur voix.
  • Chez l’enfant, il faut différencier cette présentation d’un syndrome autistique.
  • Bref, ils ont des émotions mais ne sont pas aptes à les exprimer.
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184
Q

Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques

A
  • La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
  • Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
  • Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
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185
Q

Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- étiologie de la schizophrénie

A
  • La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
  • Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
  • Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
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186
Q

Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- DSM-5 vs 4

A
  • La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
  • Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
  • Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
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187
Q

Schizophrénie: Infos cliniques pertinentes sur la provenance des critères diagnostiques
- spectre de la schizophrénie

A
  • La schizophrénie en tant que telle semble davantage être considérée comme une pathologie unique ayant une étiologie plurifactorielle.
  • Dans le DSM-5, on perd les variétés diagnostiques de la schizophrénie du DSM-IV puisque celles-ci ont une faible stabilité diagnostique.
  • Il est à noter qu’on recoupe une série de troubles dans la catégorie du spectre de la schizophrénie, mais qu’ils sont des diagnostics distincts de la schizophrénie.
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188
Q

Classification des maladies mentales selon KRAEPELIN

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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189
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Grandes maladies

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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190
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Démence précoce

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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191
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Démence précoce - évolution

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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192
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Psychose maniaco-dépressive - évolution

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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193
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Évolution

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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194
Q

Maladies mentales selon KRAEPELIN: Son importance aujourd’hui

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • La démence précoce regroupe l’hébéphrénie, la paranoïa et la catatonie, leurs évolutions étant plus morbides.
  • La psychose maniaco-dépressive n’évolue pas vers la détérioration mentale.
  • C’est une conception fataliste qui imprègne encore aujourd’hui l’idéologie de certains cliniciens.
  • Il est à la base de la compréhension de la schizophrénie actuelle.
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195
Q

Hitsoire de la schizophrénie: Grandes lignes

A
  • Kraepelin (1896) distingue 2 grandes maladies mentales en se basant sur leur évolution différente : la démence précoce et psychose maniaco-dépressive.
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Schneider (1957) définit une série de symptômes de premier rang qui ont servi de base aux critères du DSMIII – 5, explicable par la théorie du déficit de l’esprit.
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196
Q

Bleuler: Son implication dans l’histoire de la schizophrénie

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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197
Q

Bleuler: Que veut dire le terme “schizophrénie”?

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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198
Q

Bleuler: Ce qu’il remarque en lien avec la schizophrénie

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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199
Q

Bleuler: Sx primaires

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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200
Q

Bleuler: Sx primaires - nommez-les

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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201
Q

Bleuler: Sx primaires
- définir AMBIVALENCE

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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202
Q

Bleuler: Sx primaires
- définir AUTISME

A
  • Bleuler (1911) remplace le diagnostic de démence précoce par le terme « schizophrénie », ce qui veut dire « esprit divisé ».
  • Il remarque la fragmentation de la personnalité.
  • Il observe également les symptômes primaires de la maladie, regroupés sous les 4 A :
    • Affect inadéquat ou aplati
    • Associations d’idées incohérentes
    • Ambivalence : incapacité de s’activer par manque de motivation, d’organisation de la pensée
    • Autisme : introversion comportementale associée à une pensée idiosyncrasique (qui lui seul peut comprendre) bizarre.
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203
Q

Schneider: Son rôle dans l’histoire de la schizophrénie

A
  • Schneider (1957) définit une série de symptômes de premier rang qui ont servi de base aux critères du DSMIII – 5, explicable par la théorie du déficit de l’esprit:
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
  • B) Hallucinations, troubles des perceptions
    • a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
    • b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
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Schneider: Il a décrit quels sx?

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
  • B) Hallucinations, troubles des perceptions
    • a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
    • b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
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Q

Schneider: Délire, troubles de la pensée

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- PERCEPTION DÉLIRANTE

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- DÉLIRE DE CONTRÔLE

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- SENTIMENT DÉLIRANT D’ÉTRANGETÉ

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- PENSÉE IMPOSÉE

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- VOL DE PENSÉE

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Schneider: Délire, troubles de la pensée
- DIVULGATION DE LA PENSÉE

A
  • A) Délires, troubles de la pensée
    • a. Perception délirante ou idée de référence : acquisition de la conviction de quelque chose (ex : lorsqu’un camion blanc passe dans la rue, c’est parce que j’ai fait quelque chose de bien)
    • b. Délire de contrôle / expérience corporelle passive : perte de contrôle du patient de ses paroles et désirs puisqu’il est convaincu que ses sentiments et actes sont contrôlés par autrui (ex : c’est un mauvais esprit qui dirige mes actions et je ne peux rien y faire)
    • c. Sentiment délirant d’étrangeté : se sent mal à l’aise / a l’impression que quelque chose d’inhabituel se passe autour de lui (ex : j’ai l’impression d’être dans un film)
    • d. Pensée imposée / automatisme de la pensée : le patient pense que les pensées qui surgissent dans son esprit proviennent d’une autre personne
    • e. Vol de la pensée : le patient se sent vide de l’esprit / a l’impression qu’on a retiré ses pensées
    • f. Divulgation / diffusion de la pensée : perte de maîtrise de ses pensées / divlgation de ses pensées les plus secrètes (ex : je n’ai pas besoin de répondre à votre question puisque vous avez entendu ma pensée)
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Q

Schneider: Hallucinations, troubles de perception

A
  • B) Hallucinations, troubles des perceptions
    • a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
    • b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
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Q

Schneider: Hallucinations, troubles de perception
- ÉCHO DE LA PENSÉE

A
  • B) Hallucinations, troubles des perceptions
    • a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
    • b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
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Q

Schneider: Hallucinations, troubles de perception
- HALLUCINATIONS AUDITIVES

A
  • B) Hallucinations, troubles des perceptions
    • a. Écho de la pensée / pensée audible : le patient entend sa pensée à haute voix dans sa tête comme un écho (ex : j’entends quelqu’un répéter mes pensées)
    • b. Hallucinations auditives sous forme de conversation : des voix parlent entre elles du patient à la 3e personne (majorité de commentaires négatifs)
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Q

Schziophrénie: Comorbidités - Nommez-les

A
  1. risque suicidaire
  2. risque d’abus et de violence
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Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE

A
  • Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
  • 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
  • Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
  • Les moments particulièrement à risque sont :
    • Période s’accompagnant de fluctuations rapides de l’état mental
    • Première année suivant le diagnostic
    • Rechutes avec intensification des symptômes psychotiques, notamment les hallucinations impérieuses
    • Période post-hospitalisation ou transfert d’équipe traitante
    • Phase précoce du rétablissement, associée à des difficultés d’adaptation
  • Les facteurs de risque du suicide sont : sexe masculin, jeune âge, célibat, fonctionnement prémorbide élevé, abus de substances, tentatives précédentes, dépression comorbide.
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Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- niveau du risque suicidaire

A
  • Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
  • 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
  • Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
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218
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- fréquence

A
  • Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
  • 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
  • Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
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219
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- décès associé

A
  • Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
  • 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
  • Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
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220
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- particularités

A
  • Risque suicidaire : Chez le patient schizophrène, le risque suicidaire est augmenté de 20 à 25 fois.
  • 4 patients sur 10 feront une tentative et 1 / 10 décèdera de son geste.
  • Puisque le patient démontre un affect émoussé ou discordant, les idées suicidaires et la dépression sont plus difficiles à détecter.
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221
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- moments particulièrement à risque

A

Les moments particulièrement à risque sont :

  • Période s’accompagnant de fluctuations rapides de l’état mental
  • Première année suivant le diagnostic
  • Rechutes avec intensification des symptômes psychotiques, notamment les hallucinations impérieuses
  • Période post-hospitalisation ou transfert d’équipe traitante
  • Phase précoce du rétablissement, associée à des difficultés d’adaptation
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222
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE SUICIDAIRE
- les FDR

A
  • Les facteurs de risque du suicide sont : sexe masculin, jeune âge, célibat, fonctionnement prémorbide élevé, abus de substances, tentatives précédentes, dépression comorbide.
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223
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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224
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- pourquoi?

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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225
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- autres manifestations associées

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- ATCD personnels

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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227
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- lien entre la maladie mentale et la violence

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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228
Q

Schziophrénie: Comorbidités - RISQUE D’ABUS ET VIOLENCE
- lien entre la schizophrénie et violence

A
  • Risque d’abus et de violence : en raison de l’altération du jugement présent, les patients psychotiques sont plus vulnérables à la maltraitance (surtout les femmes).
  • Ils ont également souvent une histoire passée de victimisation (abus verbal, physique ou sexuel, durant l’enfance, à l’école, au travail, itinérance, blessures accidentelles, etc.).
  • Notons que la plupart des gens atteints de maladie mentale ne sont pas violents, mais les schizophrènes sont plus sujets à faire violence surtout s’ils ne sont pas traités ou en interruption de traitement.
  • Malheureusement, plusieurs patients apprennent leur diagnostic de schizophrénie dans un processus légal qui suit le geste violent, dans lequel le verdict est de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.
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229
Q

Schziophrénie: DDX

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Q

Schziophrénie: DDX
- nommez-les

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Q

Schziophrénie: DDX
- cause organique

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Schziophrénie: DDX
- maladies physiques

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Q

Schziophrénie: DDX
- psychoses

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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234
Q

Schziophrénie: DDX
- particularité des psychoses

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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235
Q

Schziophrénie: DDX
- différenciez psychose toxique vs schizo / bipolarité

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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236
Q

Schziophrénie: DDX
- différenciez schizophrénie vs bipolarité

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Q

Schziophrénie: DDX
- différenciez schizophrénie vs autisme

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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238
Q

Schziophrénie: DDX
- autres maladies possibles

A
  • Lors du diagnostic différentiel, il ne faut pas oublier une cause organique, qui explique 5 % des cas.
  • Pensons notamment aux maladies neurologiques, systémiques, métaboliques, infectieuses et génétiques.
  • Il ne faut pas oublier les psychoses dues aux drogues et alcool.
  • Il faut par contre faire attention lors du suivi puisque 75 % des psychoses dites « toxiques » ont en fait un diagnostic de bipolarité ou de schizophrénie associée.
  • L’histoire collatérale est alors très pertinente à obtenir.
  • Au niveau des maladies mentales, la bipolarité ainsi que l’autisme font aussi partie du diagnostic différentiel.
  • Les arguments en faveur d’un diagnostic de bipolarité sont une expansivité et une sociabilité récemment accrues, un sentiment d’exaltation ou d’euphorie, un grand besoin de parler à tout moment / à n’importe qui ainsi qu’une diminution du besoin de sommeil.
  • Il est à noter que les symptômes psychotiques peuvent prédominer au sommet de la phase aiguë d’un patient atteint de maladie bipolaire.
  • On pense davantage au diagnostic d’autisme lorsque la maladie commence lors de la jeune enfance.
  • Finalement, le diagnostic différentiel doit prendre en compte une possibilité de trouble psychotique bref ainsi qu’un trouble factice.
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Q

Schziophrénie: Tx préventif

A

Aucun traitement préventif n’est connu à ce jour pour empêcher le développement de la maladie

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Q

Schizophrénie: Interventions chez personnes à risque de dév la maladie

A

Interventions chez les personnes à risque :

  • Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à :
    • Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
    • Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
    • Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
    • Soulager la souffrance
    • Améliorer ou rétablir le fonctionnement
    • Surveiller l’évolution de la psychopathologie
  • Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.
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241
Q

Schizophrénie: Interventions de prévention (avant le dx de schizo)

A

Interventions chez les personnes à risque :

  • Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à:
    • Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
    • Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
    • Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
    • Soulager la souffrance
    • Améliorer ou rétablir le fonctionnement
    • Surveiller l’évolution de la psychopathologie
  • Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.
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Q

Schizophrénie: Interventions de prévention - ce qui est important

A
  • Il est primordial d’instaurer une alliance thérapeutique ainsi qu’un climat de collaboration avec le patient et sa famille.

Interventions chez les personnes à risque :

  • Avant le diagnostic de schizophrénie, l’intervention vise à :
    • Atténuer l’effet des stresseurs chez une personne vulnérable à la psychose
    • Prévenir ou retarder l’effet de la psychose
    • Limiter le développement d’une psychose franche ainsi que ses effets sur sa vie et son fonctionnement
    • Soulager la souffrance
    • Améliorer ou rétablir le fonctionnement
    • Surveiller l’évolution de la psychopathologie
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243
Q

Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques

A
  • Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
  • En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
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244
Q

Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques
- leur importance

A
  • Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
  • En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
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245
Q

Schizophrénie: Interventions précoces lors des 1er épisodes psychotiques
- période d’intervention critique

A
  • Intervention précoce lors des premiers épisodes psychotiques : l’évolution du début de la maladie prédit l’évolution à long terme.
  • En ce sens, une période critique d’intervention, d’une durée de 3-5 ans, au début de la schizophrénie, permet de prévenir les déficits psychosociaux.
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246
Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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247
Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- ce qui est important

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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248
Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- pharmacothérapie

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- hospitalisation

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- traitements biologiques - objectifs des Rx utilisés

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- Rx symptomatique

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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252
Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- indications antipsychotiques

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
        • 1. Intensification des symptômes
        • 2. Détérioration du fonctionnement
        • 3. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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253
Q

Schizophrénie: Interventions en phase aiguë
- quel Rx a changé la donne?

A
  • En phase aigüe : une pharmacothérapie pour traiter la phase et permettre la rémission.
  • Lorsque l’hospitalisation est nécessaire, elle doit être la plus brève possible et les hôpitaux de jour doivent servir de lieux de transition.
    • Traitements biologiques :
      • o Médication dirigée contre les symptômes (ex : la dépression, l’anxiété, risque suicidaire)
      • o Antipsychotiques seulement si :
          1. Intensification des symptômes
          1. Détérioration du fonctionnement
          1. Risque élevé de dangerosité pour la personne ou envers autrui
      • N.B. : Le médicament arrivé en 1951 ayant changé le traitement de façon majeur (1er antipsychotique) la chlorpromazine.
      • o Contrôle de l’abus de substances
      • o Selon les antipsychotiques utilisés, des effets secondaires sont possibles
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254
Q

Schizcophrénie: Nommez les différentes classes d’antipsychotiques

A
  1. Antipsychotiques de 1ière génération (classique ou typique)
  2. Antipsychotiques de 2ième génération (nouveau ou atypique)
  3. Antipsychotique de 3ième génération
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255
Q

Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération - autres noms

A

Antipsychotiques de 1ière génération (classique ou typique)

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Q

Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération
- mode d’action

A
  • Bloque la DA au niveau nigrostriée
  • Peuvent causer des troubles du mouvement
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257
Q

Schizcophrénie: Antipsychotiques 1ère génération
- leurs E2

A
  • Bloque la DA au niveau nigrostriée
  • Peuvent causer des troubles du mouvement
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258
Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération - autres noms

A

Antipsychotiques de 2ième génération (nouveau ou atypique)

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Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- leurs effets

A
  • Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
  • Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
  • Entraînent rarement des troubles du mouvement
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260
Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- leurs E2

A
  • Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
  • Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
  • Entraînent rarement des troubles du mouvement
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Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 2ème génération
- mode d’action

A
  • Bloque les récepteurs de la DA et de la 5HT au niveau de la voie mésolimbique.
  • Peuvent entraîner une prise de poids et des troubles métaboliques
  • Entraînent rarement des troubles du mouvement
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262
Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- leurs E2

A
  • Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
  • Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
  • Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
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Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- leurs effets

A
  • Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
  • Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
  • Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
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264
Q

Schizophrénie: Antipsychotiques 3ème génération
- mode d’action

A
  • Agoniste partiel des récepteurs à DA et 5HT1A
  • Maintiennent une transmission de base de ces neurotransmetteurs
  • Ils peuvent entraîner du nervosisme et une baisse de poids
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Q

Schizophrénie: Quel Rx on prescrit en phase aiguë?

A
  • On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
  • Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
  • Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
  • On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
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266
Q

Schizophrénie: Quel antipsychotique prescrit-on en 1ère ligne en PHASE AIGUË?

A
  • On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
  • Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
  • Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
  • On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
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267
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Schizophrénie: Quel antipsychotique prescrit-on en 2ème ligne en PHASE AIGUË?

A
  • On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
  • Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
  • Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
  • On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
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268
Q

Schizophrénie: Antipsychotique 2ème ligne en phase aigu - particularité du Clozapine?

A
  • On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
  • Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
  • Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
  • On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
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269
Q

Schizophrénie: Antipsychotique 2ème ligne en phase aigu - suivi à faire avec Clozapine

A
  • On prescrit habituellement un antipsychotique atypique lors d’une phase aigüe, à faible dose qu’on augmente graduellement.
  • Si ce médicament ne fonctionne pas, on essait la Clozapine, qui est l’antipsychotique le plus puissant.
  • Il faut par contre surveiller le patient de près puisque ce médicament présente un risque d’agranulocytose (1 %) qui peut être mortel.
  • On fait des FSC aux semaines pour 6 mois, aux 2 semaines pour 6 mois puis au mois.
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270
Q

Schizophrénie: E2 les plus fréquents des antipsychotiques

A
  • Parmi les effets indésirables les plus souvent présents, on note : la sédation, le gain de poids, les troubles métaboliques (hyperglycémie et dyslipidémie), les effets anticholinergiques (atropiniques), les troubles sexuels (secondaire à l’hyperPRL et anticholinergique), cardiovasculaire (tachycardie, HTO et étourdissement), effets extrapyramidaux (parkinsonisme)(surtout par les antipsychotiques atypiques, dyskinésie tardive.
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271
Q

Schizophrénie: Traitements psychologiques

A

Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.

  1. Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
  2. Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
  3. Interventions sociales :
    • Gestion de cas
    • Entraînement aux habiletés sociales
    • Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
    • Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
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272
Q

Schizophrénie: Traitements psychologiques
- leur importance?

A

Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.

  1. Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
  2. Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
  3. Interventions sociales :
    • Gestion de cas
    • Entraînement aux habiletés sociales
    • Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
    • Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
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273
Q

Schizophrénie: Traitements psychologiques
- acceptation du tx

A

Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.

  1. Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
  2. Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
  3. Interventions sociales :
    • Gestion de cas
    • Entraînement aux habiletés sociales
    • Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
    • Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
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274
Q

Schizophrénie: Traitements psychologiques
- thérapie psychoéducative

A

Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.

  1. Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
  2. Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
  3. Interventions sociales :
    • Gestion de cas
    • Entraînement aux habiletés sociales
    • Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
    • Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
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275
Q

Schizophrénie: Traitements psychologiques
- interventions sociales

A

Traitements psychologiques : même s’il s’agit d’une garde forcée, le psychiatrique ou les intervenants doivent trouver une façon de créer une alliance thérapeutique et de faire parler le patient de son vécu.

  1. Acceptation du traitement : une approche en 4 étapes qui permet au patient d’accepter son traitement : Écoute active → empathie → accord → partenariat.
  2. Thérapie psychoéducative : constitue le fondement de l’approche thérapeutique, lorsqu’adressée avec médication. On insiste sur l’enseignement de la maladie et des symptômes ainsi que de la planification du suivi.
  3. Interventions sociales :
    • Gestion de cas
    • Entraînement aux habiletés sociales
    • Intervention dans le milieu naturel (psychoéducation familiale et engagement des proches
    • Soutien aux études ou au travail par des services éducationnels et occupationnels
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276
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien
- elle est quand?

A

Phase de stabilisation et de maintien : se produit après l’hospitalisation de la psychose.

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277
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - quels sont les interventions et traitement offerts?

A
  1. Traitements biologiques
  2. Interventions psychologiques
  3. Interventions sociales
  4. Réadaptation
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278
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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279
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- objectif du tx

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- quel est le défi avec cette clientèle?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- facteur prédicteur de rechute

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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282
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Quel est le taux de rechute?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- qu’est-ce qui favorise une meilleure adhésion?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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284
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- quel est l’antipsychotique le plus puissant?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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285
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- dans quel contexte utilise-t-on la clozapine?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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286
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- ce que les médicaments ne permettent pas

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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287
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- de quoi dépend l’efficacité de la psychothérapie?

A
  • Traitements biologiques : consiste en offrir une médication qui assure le meilleur contrôle des symptômes et qui est la mieux tolérée par le patient.
  • L’adhésion au traitement est un défi chez cette clientèle : 25% la prennent la médication de temps en temps, 50% arrêtent après un an et 75% après 2 ans.
  • Le taux de de rechute par nonobservance, qui est LE facteur prédicteur de rechutes et hospitalisation, est de 65% à 1 an et 80 % à 2 ans.
  • On utilise des doses faibles ou modérées, les formes injectables à longue action permettent une meilleure adhésion.
  • La clozapine est l’antipsychotique le plus puissant, habituellement utilisée si le premier agent est inefficace.
  • La médication ne permet pas d’améliorer l’ajustement personnel et social (les thérapies psychosociales s’en chargent).
  • Par contre, l’efficacité de la thérapie dépend grandement de l’efficacité de la médication.
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288
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques

A

Au niveau de la durée de prescription :

  • Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
  • Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
  • Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
  • Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
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289
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: APRÈS 1ER ÉPIDOSE

A

Au niveau de la durée de prescription :

  • Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
  • Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
  • Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
  • Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
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290
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: APRÈS 2ÈME ÉPISODE

A

Au niveau de la durée de prescription :

  • Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
  • Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
  • Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
  • Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
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291
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques - APRÈS 3ÈME ÉPISODE

A

Au niveau de la durée de prescription :

  • Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
  • Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
  • Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
  • Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
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292
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Tx biologiques
- durée de prescription des antipsychotiques: TRAITEMENT INTERMITTENT

A

Au niveau de la durée de prescription :

  • Après 1er épisode : 1 – 2 ans puis, si ø sx → diminue de 25 % au 3 – 6 mois
  • Après 2e épisode : 5 ans puis, si ø sx → proposer la diminution de 25 % an 3 – 6 mois
  • Après 3e épisode ou 1er avec danger pour soi-même ou autrui : prescription jusqu’à environ 45 ans ou à vie
  • Traitement intermittent → augmente le risque de rechute.
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293
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques

A
  • Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
  • La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
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294
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- objectifs

A
  • Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
  • La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
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295
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- techniques / outils utilisés

A
  • Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
  • La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
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296
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- dans quel contexte les interventions psychologiques sont-elles efficaces?

A
  • Interventions psychologiques: l’objectif est d’améliorer l’évolution, permettre au patient d’être autonome, d’occuper un emploi, et de « vivre » comme le fait la population générale.
  • La TCC, l’entraînement aux habiletés sociales, la psychoéducation familiale sont les thérapies le plus souvent proposées, mais elles ne sont efficaces qu’en présence de la médication.
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297
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- qu’est-ce que visent les interventions psychologiques précisément?

A

Elles visent plus précisément :

  • Le développement d’une relation de confiance
  • L’enseignement répété
  • L’augmentation de l’adhésion pharmacologique
  • La gestion des comorbidités
  • La prévention des rechutes
  • La résolution de problèmes quotidiens
  • La prise de conscience de sa vulnérabilité
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298
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions psychologiques
- quelle est la pertinence des interventions psychologiques?

A
  • En aidant la personne et sa famille à intégrer l’expérience de la maladie, à faire le deuil d’attentes passées, en élaborant des plans réalistes et optimistes en relation avec la nouvelle réalité, les thérapies psychosociales favorisent la reprise du pouvoir sur sa vie (empowerment) plutôt que d’accepter passivement le rôle de la maladie.
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299
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales

A
  • Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
  • Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
  • La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
  • Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
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300
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est le 1er niveau d’intervention sociale?

A
  • Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
  • Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
  • La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
  • Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
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301
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est le 2ème niveau d’intervention sociale?

A
  • Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
  • Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
  • La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
  • Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
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302
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quel est l’objectif de la thérapie psychoéducative?

A
  • Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
  • Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
  • La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
  • Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
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303
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Interventions sociales
- quelles sont les thérapies proposées?

A
  • Interventions sociales : le premier niveau d’intervention est l’identification des sources de stress sociaux (isolement, hébergement précaire, pauvreté, etc.) et la réduction de leurs effets.
  • Ensuite, il faut rechercher à optimiser les capacités de la personne pour qu’elle s’adapte au stress.
  • La thérapie psychoéducative familiale vise l’amélioration de l’évolution de la schizophrénie, le bien-être des proches.
  • Plusieurs thérapies sont proposées : psychoéducation, thérapie de groupe multifamilles, stratégies d’adaptation à la maladie, intervention de crise et résolution de problèmes notamment.
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304
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation

A
  • Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
  • Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
  • À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
  • Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
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305
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- son importance

A
  • Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
  • Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
  • À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
  • Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
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306
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- but principal de la réadaptation

A
  • Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
  • Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
  • À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
  • Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
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307
Q

Psychose: Phase de stabilisation et de maintien - Réadaptation
- quel type d’objectifs sont établis?

A
  • Réadaptation : généralement, la schizophrénie entraîne une détérioration qualitative et quantitative du niveau de fonctionnement antérieur, un handicap qui se manifeste en particulier par une difficulté de réinsertion sociale.
  • Le but principal est de déterminer les objectifs de vie du patient aussi précisément que possible.
  • À partir des objectifs de long terme, on peut établir des objectifs intermédiaires.
  • Même si les objectifs long terme semble inaccessibles, ils peuvent servir de motivation au patient.
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308
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution

A
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309
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- facteurs de bon vs mauvais pronostic

A
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310
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic

A
  • Sexe féminin, excepté si le début de la maladie a eu lieu très tôt
  • Pas d’histoire familiale de schizophrénie ni de psychose
  • Bon fonctionnement prémordbide
  • Pas d’anomalies structurales cérébrales
  • Le mariage serait un facteur de protection
  • Début aigu de la maladie
  • Âge plus tardif au début des symptômes
  • Symptômes positifs
  • Peu de troubles cognitifs
  • Pas d’abus de drogues
  • Intervention précoce
  • Bonne adhésion à la médication
  • Bonne réponse initiale au traitement
  • Effets indésirables minimes
  • Capable d’autocritique
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311
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: SEXE

A

Sexe féminin, excepté si le début de la maladie a eu lieu très tôt

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312
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: ATCD

A

Pas d’histoire familiale de schizophrénie ni de psychose

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313
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: NIVEAU DE FONCTIONNEMENT

A

Bon fonctionnement prémorbide

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314
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: ANOMALIES

A

Pas d’anomalies structurales cérébrales

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315
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: STATUT MARITAL

A

Le mariage serait un facteur de protection

316
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: DÉBUT DE LA MALADIE

A

Début aigu de la maladie

317
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: ÂGE DE DÉBUT DE LA MALADIE

A

Âge plus tardif au début des sx

318
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: SX

A
  • Symptômes positifs
  • Peu de troubles cognitifs
319
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: COGNITION

A

Peu de troubles cognitifs

320
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: HABITUDES DE VIE

A

Pas d’abus de drogues

321
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: INTERVENTION

A

Intervention précoce

322
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: MÉDICAMENT

A

Bonne adhésion à la médication

323
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: RÉPONSE AU TX

A

Bonne réponse initale au traitement

324
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: EFFETS INDÉSIRABLES

A

Effets indésirables minimes

325
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteur de BON pronostic: AUTOCRITIQUE

A

Capable d’autocritique

326
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic

A
  • Sexe masculin
  • Histoire familiale de schizophrénie et de psychose
  • Histoire d’agressivité, autres difficultés durant l’enfance
  • Anomalies structurales cérébrales (p. ex., atrophie corticale)
  • Célibat, solitude
  • Début insidieux
  • Début précoce, possiblement parce qu’un âge d’apparition plus précoce est signe d’une maladie plus grave, mais également parce qu’un jeune patient n’a pas eu la possibilité d’acquérir avant la psychose les habiletés sociales et occupationnelles qui faciliteraient sa réadaptation.
  • Symptômes négatifs
  • Troubles cognitifs
  • Utilisation de drogues
  • Psychose non traitée durant une longue période
  • Inobservance de la médication et de la réadaptation
  • Résistance au traitement
  • Akathasie, parkinsonisme non contrôlé
  • Manque d’autocritique
327
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: SEXE

A

SEXE MASCULIN

328
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: ATCD

A
  • HISTOIRE FAMILLIALE DE SCHIZOPHRÉNIE ET DE PSYCHOSE
  • HISTOIRE D’AGRESSIVITÉ, AUTRES DIFFICULTÉS DURANT L’ENFANCE
329
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: ANOMALIES

A
  • ANOMALIES STRUCTURALES CÉRÉBRALES (EX. ATROPHIE CORTICALE)
330
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: STATUT MARITAL

A

CÉLIBAT, SOLITUDE

331
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: DÉBUT

A
  • Début insidieux
  • Début précoce, possiblement parce qu’un âge d’apparition plus précoce est signe d’une maladie plus grave, mais également parce qu’un jeune patient n’a pas eu la possibilité d’acquérir avant la psychose les habiletés sociales et occupationnelles qui faciliteraient sa réadaptation
332
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: SX

A
  • SYMPTÔMES NÉGATIFS
  • TROUBLES COGNITIFS
  • AKATHASIE, PARKINSONISME NON CONTRÔLÉ
333
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: COGNITION

A

TROUBLES COGNITIFS

334
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: HABITUDES DE VIE

A

UTILISATION DE DROGUES

335
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: TRAITEMENT

A
  • PSYCHOSE NON TRAITÉ DURANT UNE LONGUE PÉRIODE
  • INOBSERVANCE DE LA MÉDICATION ET DE LA RÉADAPTATION
  • RÉSISTANCE AU TX
336
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: MÉDICATION

A
  • INOBSERVANCE DE LA MÉDICATION ET DE LA RÉADAPTATION
337
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: RÉPONSE AU TX

A

RÉSISTANCE AU TX

338
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: E2

A
  • AKATHASIE, PARKINSONISME NON CONTÔLÉ
339
Q

Schizophrénie: Pronostic et évolution
- Facteurs de MAUVAIS pronostic: AUTOCRITIQUE

A

MANQUE D’AUTOCRITIQUE

340
Q

Schizophrénie: Évolution

A
341
Q

Pronostic de la schizophrénie: Intensité des sx

A
  • 50% des symptômes modérés
  • 25% rémission - sx légers
  • 15% sx graves chroniques
  • 10% suicide
342
Q

Évolution variable de la schizophrénie selon les époques

A
343
Q

Troubles schizophréniformes: C’est quoi?

A

Il s’agit d’un trouble de type « schizophrène », mais dont la durée de temps est inférieure à 6 mois.

344
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5

A
  • A. Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une proportion significative de temps pendant une période d’un mois (ou moins quand ils répondent favorablement au traitement). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence)
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
      1. Symptômes négatifs (p. ex diminution de l’expression émotionnelle, ou aboulie).
  • B. Un épisode du trouble dure au moins un mois mais moins de 6 mois. (Quand on doit faire un diagnostic sans attendre la guérison, on doit qualifier celui-ci de « provisoire »)
  • C. Un trouble schizoaffectif et un trouble dépressif ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques ont été éliminés :
      1. soit parce qu’aucun épisode dépressif caractérisé ou maniaque n’a été présent conjointement avec les symptômes de la phase active ;
      1. soit parce que si des épisodes thymiques ont été présents pendant les symptômes de la phase active, leur durée totale a été brève par rapport à la durée des périodes actives et résiduelles de la maladie elle-même.
  • D. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (c.-à-d. une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
345
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- manifestations nécessaires

A
  • A. Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une proportion significative de temps pendant une période d’un mois (ou moins quand ils répondent favorablement au traitement). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
    • 1. Idées délirantes.
    • 2. Hallucinations.
    • 3. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence)
    • 4. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
    • 5. Symptômes négatifs (p. ex diminution de l’expression émotionnelle, ou aboulie).
  • B. Un épisode du trouble dure au moins un mois mais moins de 6 mois. (Quand on doit faire un diagnostic sans attendre la guérison, on doit qualifier celui-ci de « provisoire »)
  • C. Un trouble schizoaffectif et un trouble dépressif ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques ont été éliminés :
      1. soit parce qu’aucun épisode dépressif caractérisé ou maniaque n’a été présent conjointement avec les symptômes de la phase active ;
      1. soit parce que si des épisodes thymiques ont été présents pendant les symptômes de la phase active, leur durée totale a été brève par rapport à la durée des périodes actives et résiduelles de la maladie elle-même.
  • D. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (c.-à-d. une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
346
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- durée

A
  • A. Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une proportion significative de temps pendant une période d’un mois (ou moins quand ils répondent favorablement au traitement). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence)
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
      1. Symptômes négatifs (p. ex diminution de l’expression émotionnelle, ou aboulie).
  • B. Un épisode du trouble dure au moins un mois mais moins de 6 mois. (Quand on doit faire un diagnostic sans attendre la guérison, on doit qualifier celui-ci de « provisoire »)
  • C. Un trouble schizoaffectif et un trouble dépressif ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques ont été éliminés :
      1. soit parce qu’aucun épisode dépressif caractérisé ou maniaque n’a été présent conjointement avec les symptômes de la phase active ;
      1. soit parce que si des épisodes thymiques ont été présents pendant les symptômes de la phase active, leur durée totale a été brève par rapport à la durée des périodes actives et résiduelles de la maladie elle-même.
  • D. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (c.-à-d. une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
347
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- critères d’exclusion

A
  • A. Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une proportion significative de temps pendant une période d’un mois (ou moins quand ils répondent favorablement au traitement). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence)
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
      1. Symptômes négatifs (p. ex diminution de l’expression émotionnelle, ou aboulie).
  • B. Un épisode du trouble dure au moins un mois mais moins de 6 mois. (Quand on doit faire un diagnostic sans attendre la guérison, on doit qualifier celui-ci de « provisoire »)
  • C. Un trouble schizoaffectif et un trouble dépressif ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques ont été éliminés :
    • 1. soit parce qu’aucun épisode dépressif caractérisé ou maniaque n’a été présent conjointement avec les symptômes de la phase active;
    • 2. soit parce que si des épisodes thymiques ont été présents pendant les symptômes de la phase active, leur durée totale a été brève par rapport à la durée des périodes actives et résiduelles de la maladie elle-même.
  • D. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (c.-à-d. une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
348
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- à éliminer

A
  • A. Deux (ou plus) des manifestations suivantes sont présentes, chacune pendant une proportion significative de temps pendant une période d’un mois (ou moins quand ils répondent favorablement au traitement). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence)
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
      1. Symptômes négatifs (p. ex diminution de l’expression émotionnelle, ou aboulie).
  • B. Un épisode du trouble dure au moins un mois mais moins de 6 mois. (Quand on doit faire un diagnostic sans attendre la guérison, on doit qualifier celui-ci de « provisoire »)
  • C. Un trouble schizoaffectif et un trouble dépressif ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques ont été éliminés :
      1. soit parce qu’aucun épisode dépressif caractérisé ou maniaque n’a été présent conjointement avec les symptômes de la phase active ;
      1. soit parce que si des épisodes thymiques ont été présents pendant les symptômes de la phase active, leur durée totale a été brève par rapport à la durée des périodes actives et résiduelles de la maladie elle-même.
  • D. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (c.-à-d. une drogue donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
349
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- quoi spécifier?

A
  • Avec caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification nécessite la présence d’au moins deux des caractéristiques suivantes :
    • 1) survenue de symptômes psychotiques prééminents dans les 4 semaines suivant le premier changement observable du comportement ou du fonctionnement habituels ;
    • 2) confusion ou perplexité ;
    • 3) bon fonctionnement social et professionnel prémorbide ;
    • 4) absence d’émoussement ou d’abrasion de l’affect.
  • Sans caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification s’applique si deux des caractéristiques mentionnées ci-dessus n’ont pas été présentes.
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle
350
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- spécifications: caractéristiques de bon pronostic

A
  • Avec caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification nécessite la présence d’au moins deux des caractéristiques suivantes :
    • 1) survenue de symptômes psychotiques prééminents dans les 4 semaines suivant le premier changement observable du comportement ou du fonctionnement habituels ;
    • 2) confusion ou perplexité ;
    • 3) bon fonctionnement social et professionnel prémorbide ;
    • 4) absence d’émoussement ou d’abrasion de l’affect.
  • Sans caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification s’applique si deux des caractéristiques mentionnées ci-dessus n’ont pas été présentes.
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle
351
Q

Troubles schizophréniformes: Critères dx DSM-5
- spécifications: spécifier quoi d’autres?

A
  • Avec caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification nécessite la présence d’au moins deux des caractéristiques suivantes :
    • 1) survenue de symptômes psychotiques prééminents dans les 4 semaines suivant le premier changement observable du comportement ou du fonctionnement habituels ;
    • 2) confusion ou perplexité ;
    • 3) bon fonctionnement social et professionnel prémorbide ;
    • 4) absence d’émoussement ou d’abrasion de l’affect.
  • Sans caractéristiques de bon pronostic : Cette spécification s’applique si deux des caractéristiques mentionnées ci-dessus n’ont pas été présentes.
  • Spécifier si : Avec catatonie
  • Spécifier la sévérité actuelle
352
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5

A
  • A. Période ininterrompue de maladie pendant laquelle sont présents à la fois un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) et le critère A de schizophrénie.
    • N.B. : En cas d’épisode dépressif majeur, le critère A1 (humeur dépressive) doit être présent.
  • B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque).
  • C. Les symptômes qui répondent aux critères d’un épisode thymique caractérisé sont présents pendant la majeure partie de la durée totale des périodes actives et résiduelles de la maladie.
  • D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
353
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- épsiodes nécessaires

A
  • A. Période ininterrompue de maladie pendant laquelle sont présents à la fois un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) et le critère A de schizophrénie.
    • N.B. : En cas d’épisode dépressif majeur, le critère A1 (humeur dépressive) doit être présent.
  • B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque).
  • C. Les symptômes qui répondent aux critères d’un épisode thymique caractérisé sont présents pendant la majeure partie de la durée totale des périodes actives et résiduelles de la maladie.
  • D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
354
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- durées des sx

A
  • A. Période ininterrompue de maladie pendant laquelle sont présents à la fois un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) et le critère A de schizophrénie.
    • N.B. : En cas d’épisode dépressif majeur, le critère A1 (humeur dépressive) doit être présent.
  • B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque).
  • C. Les symptômes qui répondent aux critères d’un épisode thymique caractérisé sont présents pendant la majeure partie de la durée totale des périodes actives et résiduelles de la maladie.
  • D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
355
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- sx

A
  • A. Période ininterrompue de maladie pendant laquelle sont présents à la fois un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) et le critère A de schizophrénie.
    • N.B. : En cas d’épisode dépressif majeur, le critère A1 (humeur dépressive) doit être présent.
  • B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque).
  • C. Les symptômes qui répondent aux critères d’un épisode thymique caractérisé sont présents pendant la majeure partie de la durée totale des périodes actives et résiduelles de la maladie.
  • D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
356
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- exclure quoi?

A
  • A. Période ininterrompue de maladie pendant laquelle sont présents à la fois un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque) et le critère A de schizophrénie.
    • N.B. : En cas d’épisode dépressif majeur, le critère A1 (humeur dépressive) doit être présent.
  • B. Idées délirantes ou hallucinations pendant au moins 2 semaines sur toute la durée de la maladie, en dehors d’un épisode thymique caractérisé (dépressif ou maniaque).
  • C. Les symptômes qui répondent aux critères d’un épisode thymique caractérisé sont présents pendant la majeure partie de la durée totale des périodes actives et résiduelles de la maladie.
  • D. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une autre affection médicale.
357
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- spécifications

A
  • Spécifier le type :
    • 295.70 (F25.0) Type bipolaire :Ce sous-type est retenu lorsqu’un épisode maniaque fait partie du tableau clinique. Des épisodes dépressifs caractérisés peuvent aussi être observés.
    • 295.70 (F25.1) Type dépressif : Ce sous-type est retenu lorsque seuls des épisodes dépressifs caractérisés font partie du tableau clinique.
  • Spécifier si : Avec catatonie [voir la sous-section 17.4.1]
  • Spécifier le type de l’évolution [voir le tableau 17.1]
  • Spécifier la sévérité actuelle [voir le tableau 17.1]
358
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- spécifications: le type

A
  • Spécifier le type :
    • 295.70 (F25.0) Type bipolaire :Ce sous-type est retenu lorsqu’un épisode maniaque fait partie du tableau clinique. Des épisodes dépressifs caractérisés peuvent aussi être observés.
    • 295.70 (F25.1) Type dépressif : Ce sous-type est retenu lorsque seuls des épisodes dépressifs caractérisés font partie du tableau clinique.
  • Spécifier si : Avec catatonie [voir la sous-section 17.4.1]
  • Spécifier le type de l’évolution [voir le tableau 17.1]
  • Spécifier la sévérité actuelle [voir le tableau 17.1]
359
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- spécifications: différenciez type bipolaire vs dépressif

A
  • Spécifier le type :
    • 295.70 (F25.0) Type bipolaire :Ce sous-type est retenu lorsqu’un épisode maniaque fait partie du tableau clinique. Des épisodes dépressifs caractérisés peuvent aussi être observés.
    • 295.70 (F25.1) Type dépressif : Ce sous-type est retenu lorsque seuls des épisodes dépressifs caractérisés font partie du tableau clinique.
  • Spécifier si : Avec catatonie [voir la sous-section 17.4.1]
  • Spécifier le type de l’évolution [voir le tableau 17.1]
  • Spécifier la sévérité actuelle [voir le tableau 17.1]
360
Q

Troubles schizoaffectifs: Critères dx DSM-5
- spécifications: autres

A
  • Spécifier le type :
    • 295.70 (F25.0) Type bipolaire :Ce sous-type est retenu lorsqu’un épisode maniaque fait partie du tableau clinique. Des épisodes dépressifs caractérisés peuvent aussi être observés.
    • 295.70 (F25.1) Type dépressif : Ce sous-type est retenu lorsque seuls des épisodes dépressifs caractérisés font partie du tableau clinique.
  • Spécifier si : Avec catatonie [voir la sous-section 17.4.1]
  • Spécifier le type de l’évolution [voir le tableau 17.1]
  • Spécifier la sévérité actuelle [voir le tableau 17.1]
361
Q

Trouble délirant: Par quoi est-il caractérisé?

A

Caractérisé par la survenir d’une idée délirante unique ou d’un ensemble d’idées délirantes apparentées, qui peuvent parfois persister durant toute la vie.

362
Q

Trouble délirant: Épidémiologie
- prévalence

A
  • La prévalence est estimée à 0.03 % et il est constitué de 7 H : 3 F.
  • Le début est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntome).
  • De plus, il ne semble pas avoir de pic d’incidence, quoique certaines études mentionnent 35 – 45 ans.
  • La prévalence de cette pathologie est difficile à évaluer étant donné une définition imprécise / changeante.
363
Q

Trouble délirant: Épidémiologie
- décrire le début de la maladie

A
  • La prévalence est estimée à 0.03 % et il est constitué de 7 H : 3 F.
  • Le début est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntome).
  • De plus, il ne semble pas avoir de pic d’incidence, quoique certaines études mentionnent 35 – 45 ans.
  • La prévalence de cette pathologie est difficile à évaluer étant donné une définition imprécise / changeante.
364
Q

Trouble délirant: Épidémiologie
- égosyntone ou dystone?

A
  • La prévalence est estimée à 0.03 % et il est constitué de 7 H : 3 F.
  • Le début est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntome).
  • De plus, il ne semble pas avoir de pic d’incidence, quoique certaines études mentionnent 35 – 45 ans.
  • La prévalence de cette pathologie est difficile à évaluer étant donné une définition imprécise / changeante.
365
Q

Trouble délirant: Épidémiologie
- pic d’incidence

A
  • La prévalence est estimée à 0.03 % et il est constitué de 7 H : 3 F.
  • Le début est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntome).
  • De plus, il ne semble pas avoir de pic d’incidence, quoique certaines études mentionnent 35 – 45 ans.
  • La prévalence de cette pathologie est difficile à évaluer étant donné une définition imprécise / changeante.
366
Q

Trouble délirant: Épidémiologie
- évolution de la prévalence

A
  • La prévalence est estimée à 0.03 % et il est constitué de 7 H : 3 F.
  • Le début est généralement graduel et le patient ne se rend pas compte de sa maladie (égosyntome).
  • De plus, il ne semble pas avoir de pic d’incidence, quoique certaines études mentionnent 35 – 45 ans.
  • La prévalence de cette pathologie est difficile à évaluer étant donné une définition imprécise / changeante.
367
Q

Trouble délirant: Étiologies
- Nommez-les

A
  1. biologique
  2. psychologique
  3. sociale
368
Q

Trouble délirant: Étiologie

A

L’étiologie serait probablement multifactorielle, mais non précisément connue.

  1. biologique
  2. psychologique
  3. sociale
369
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE

A
  • Biologique : le cerveau engendre des croyances qui sont perçues comme vraies, quand il y a congruence (isomorphisme) entre l’objet et la croyance.
  • L’atteinte de la vérité procure du plaisir, ce qui entraîne une stimulation dopaminergique.
370
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- rôle de la biologie dans la physiopatho

A
  • Biologique : le cerveau engendre des croyances qui sont perçues comme vraies, quand il y a congruence (isomorphisme) entre l’objet et la croyance.
  • L’atteinte de la vérité procure du plaisir, ce qui entraîne une stimulation dopaminergique.
371
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- différents éléments

A
  • Génétique : aucune relation selon l’étude des jumeaux. Aucune relation avec le lien de parenté. Les paranoïdes n’engendrent pas plus de schizophrènes.
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
372
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- GÉNÉTIQUE

A
  • Génétique : aucune relation selon l’étude des jumeaux. Aucune relation avec le lien de parenté. Les paranoïdes n’engendrent pas plus de schizophrènes.
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
373
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- GÉNÉTIQUE: jumeaux

A
  • Génétique : aucune relation selon l’étude des jumeaux. Aucune relation avec le lien de parenté. Les paranoïdes n’engendrent pas plus de schizophrènes.
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
374
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- GÉNÉTIQUE: parenté

A
  • Génétique : aucune relation selon l’étude des jumeaux. Aucune relation avec le lien de parenté. Les paranoïdes n’engendrent pas plus de schizophrènes.
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
375
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- GÉNÉTIQUE: lien paranoïdes-schizophrènes

A
  • Génétique : aucune relation selon l’étude des jumeaux. Aucune relation avec le lien de parenté. Les paranoïdes n’engendrent pas plus de schizophrènes.
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
376
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
377
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: nommez les perturbateurs

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
378
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: SUBSTANCES

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
379
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: MALADIES PHYSIQUES

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
380
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: CHIRURGIES

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
381
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: INTERPRÉTATIONS

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
382
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: AU NIVEAU CÉRÉBRAL

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
383
Q

Trouble délirant: Étiologie BIOLOGIQUE
- Perturbations organiques et neuropsychologiques: NEUROTRANSMETTEURS

A
  • Perturbations organiques et neuropsychologiques : plusieurs entités peuvent provoquer un trouble délirant
    • Substances (alcool, drogues, médicaments)
    • Maladies physiques (endocrinopathies, infections, troubles électrolytiques, Mx métaboliques, autoimmune, malnutrition, troubles vasculaires cérébraux, hémodialyse, modifications du tissu cérébral)
    • Chirurgies
    • Interprétations erronées secondairement à des déficits sensoriels
    • Théorie des deux déficits/hémisphère droit
    • Hyperactivité de l’hémisphère gauche
    • Surplus de DA
384
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
385
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- importance de la psychologie dans la physiopatho

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
386
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- facteur déclenchant

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
387
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- traits de personnalité associés

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
388
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- théories associées

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
389
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- théorie de Cameron

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
390
Q

Trouble délirant: Étiologie psychologique
- théorie de Cameron: étapes

A
  • Psychologiques : le trouble délirant proviendrait la plupart du temps de perturbations psychogéniques durant le développement de l’enfant ou de l’adulte.
  • Le facteur déclenchant est le plus souvent trivial (sans importance).
  • 45% des patients présentent des traits paranoïdes avant le Dx.
  • Plusieurs auteurs et plusieurs théories différentes, dont Cameron et sa notion de « pseudo communauté hostile », selon lequel le délire découle bien souvent d’une estime de soi déficiente et le Surmoi exigeant du patient et projeté sur des persécuteurs harassants.
  • Il dit qu’avant d’arriver à la cristallisation du délire, le patient passe par plusieurs étapes :
      1. Observe un nombre de faits qu’il juge suspects.
      1. Élabore des idées de référence en remarquant l’hostilité et les sarcasmes dirigés contre lui par des inconnus. La télévision émet des messages lui étant destinés
      1. Il cherche une explication et comprend subitement que tous ces gens sont connectés et qu’ils lui veulent du mal.
391
Q

Trouble délirant: Étiologie sociale

A
  • Sociales : des stresseurs sociaux sont des facteurs de risque qui peut déclencher une réaction psychotique.
    • Ignorance de la langue et des coutumes d’un pays d’adoption et sentiment d’ostracisme associé
    • Isolement social (vieillesse, handicap physique ou mental, emprisonnement).
392
Q

Trouble délirant: Étiologie sociale
- importance de l’aspect social dans la physiopatho

A
  • Sociales : des stresseurs sociaux sont des facteurs de risque qui peut déclencher une réaction psychotique.
    • Ignorance de la langue et des coutumes d’un pays d’adoption et sentiment d’ostracisme associé
    • Isolement social (vieillesse, handicap physique ou mental, emprisonnement).
393
Q

Trouble délirant: Étiologie sociale
- nommez les stresseurs pouvant être des déclencheurs

A
  • Sociales : des stresseurs sociaux sont des facteurs de risque qui peut déclencher une réaction psychotique.
    • Ignorance de la langue et des coutumes d’un pays d’adoption et sentiment d’ostracisme associé
    • Isolement social (vieillesse, handicap physique ou mental, emprisonnement).
394
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
395
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- sx central

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
396
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- qu’est-ce qu’un délire?

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
397
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- nommez les manifestations du délire

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
398
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- délire –> conviction

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
399
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- délire –> raisonnement irréductible de la logique

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
400
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- croyances non confromes

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
401
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- hallucinations

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
402
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- hallucination: place dans le dx

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
403
Q

Trouble délirant: Manifestations cliniques
- qu’est-ce qui influence le délire?

A
  • Symptôme central : délire relativement plausible (le patient ne semble pas en psychose), présenté clairement par un patient convaincu et convaincant.
  • Un délire est une conviction erronée, irréductible par la logique et non conforme aux croyances de son groupe :
    • o Conviction : pas seulement une croyance ou opinion
    • o Conclusions erronées : il faut parfois vérifier
    • o Raisonnement irréductible par la logique : ne n,est pas présentant des preuves qu’on peut convaincre un patient délirant
    • o Croyances non conformes à celles de son groupe : croyances de religion, secte, idéologie pas délirante, mais dont les membres reconnaissent qu’il va trop loin.
  • Possible hallucination auditive ou visuelle, mais elle n’est pas envahissante. Si elles sont fréquentes, le Dx est peu probable.
  • Le délire peut être teinté par la culture (un blanc nordaméricain croit être surveillé électroniquement, le noir haïtien est plus souvent menacé par les esprits, etc.).
404
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V

A
  • A. Présence d’une (ou de plusieurs) idée(s) délirante(s) pendant une durée de 1 mois ou plus.
  • B. Le critère A de la schizophrénie n’a jamais été rempli. N.B. :Si des hallucinations sont présentes, elles ne sont pas prééminentes et elles sont en rapport avec le thème du délire (p. ex. la sensation d’être infesté par des insectes associée à des idées délirantes d’infestation).
  • C. En dehors de l’impact de l’idée (des idées) délirante(s) ou de ses (leurs) ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
  • D. Si des épisodes maniaques ou dépressifs caractérisés sont survenus concomitamment, ils ont été de durée brève comparativement à la durée globale de la période délirante.
  • E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre affection médicale et elle n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou un trouble obsessionnel-compulsif.
405
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- durée nécessaire des sx

A
  • A. Présence d’une (ou de plusieurs) idée(s) délirante(s) pendant une durée de 1 mois ou plus.
  • B. Le critère A de la schizophrénie n’a jamais été rempli. N.B. :Si des hallucinations sont présentes, elles ne sont pas prééminentes et elles sont en rapport avec le thème du délire (p. ex. la sensation d’être infesté par des insectes associée à des idées délirantes d’infestation).
  • C. En dehors de l’impact de l’idée (des idées) délirante(s) ou de ses (leurs) ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
  • D. Si des épisodes maniaques ou dépressifs caractérisés sont survenus concomitamment, ils ont été de durée brève comparativement à la durée globale de la période délirante.
  • E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre affection médicale et elle n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou un trouble obsessionnel-compulsif.
406
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- critères d’exclusion

A
  • A. Présence d’une (ou de plusieurs) idée(s) délirante(s) pendant une durée de 1 mois ou plus.
  • B. Le critère A de la schizophrénie n’a jamais été rempli. N.B. :Si des hallucinations sont présentes, elles ne sont pas prééminentes et elles sont en rapport avec le thème du délire (p. ex. la sensation d’être infesté par des insectes associée à des idées délirantes d’infestation).
  • C. En dehors de l’impact de l’idée (des idées) délirante(s) ou de ses (leurs) ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
  • D. Si des épisodes maniaques ou dépressifs caractérisés sont survenus concomitamment, ils ont été de durée brève comparativement à la durée globale de la période délirante.
  • E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre affection médicale et elle n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou un trouble obsessionnel-compulsif.
407
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- épisodes

A
  • A. Présence d’une (ou de plusieurs) idée(s) délirante(s) pendant une durée de 1 mois ou plus.
  • B. Le critère A de la schizophrénie n’a jamais été rempli. N.B. :Si des hallucinations sont présentes, elles ne sont pas prééminentes et elles sont en rapport avec le thème du délire (p. ex. la sensation d’être infesté par des insectes associée à des idées délirantes d’infestation).
  • C. En dehors de l’impact de l’idée (des idées) délirante(s) ou de ses (leurs) ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
  • D. Si des épisodes maniaques ou dépressifs caractérisés sont survenus concomitamment, ils ont été de durée brève comparativement à la durée globale de la période délirante.
  • E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre affection médicale et elle n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou un trouble obsessionnel-compulsif.
408
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- autres

A
  • A. Présence d’une (ou de plusieurs) idée(s) délirante(s) pendant une durée de 1 mois ou plus.
  • B. Le critère A de la schizophrénie n’a jamais été rempli. N.B. :Si des hallucinations sont présentes, elles ne sont pas prééminentes et elles sont en rapport avec le thème du délire (p. ex. la sensation d’être infesté par des insectes associée à des idées délirantes d’infestation).
  • C. En dehors de l’impact de l’idée (des idées) délirante(s) ou de ses (leurs) ramifications, il n’y a pas d’altération marquée du fonctionnement ni de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement.
  • D. Si des épisodes maniaques ou dépressifs caractérisés sont survenus concomitamment, ils ont été de durée brève comparativement à la durée globale de la période délirante.
  • E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre affection médicale et elle n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental comme l’obsession d’une dysmorphie corporelle ou un trouble obsessionnel-compulsif.
409
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- spécifications à faire

A
  • Spécifier le type :
    • Type de persécution
    • Type somatique
    • Type érotomaniaque
    • Type mégalomaniaque
    • Type de jalousie
    • Type mixte
    • Type non spécifié
  • Spécifier si : Avec contenu bizarre
  • Spécifier si :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète
    • Multiples épisodes, actuellement en épisode aigu
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission partielle
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission complète
    • Continu
    • Non spécifié
  • Spécifier la sévérité actuelle [sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave)] (voir le tableau 17.2)
410
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- spécifications du TYPE

A
  • Spécifier le type :
    • Type de persécution
    • Type somatique
    • Type érotomaniaque
    • Type mégalomaniaque
    • Type de jalousie
    • Type mixte
    • Type non spécifié
  • Spécifier si : Avec contenu bizarre
  • Spécifier si :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète
    • Multiples épisodes, actuellement en épisode aigu
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission partielle
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission complète
    • Continu
    • Non spécifié
  • Spécifier la sévérité actuelle [sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave)] (voir le tableau 17.2)
411
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- spécifications si avec quoi?

A
  • Spécifier le type :
    • Type de persécution
    • Type somatique
    • Type érotomaniaque
    • Type mégalomaniaque
    • Type de jalousie
    • Type mixte
    • Type non spécifié
  • Spécifier si : Avec contenu bizarre
  • Spécifier si :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète
    • Multiples épisodes, actuellement en épisode aigu
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission partielle
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission complète
    • Continu
    • Non spécifié
  • Spécifier la sévérité actuelle [sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave)] (voir le tableau 17.2)
412
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- spécifications: épisode

A
  • Spécifier le type :
    • Type de persécution
    • Type somatique
    • Type érotomaniaque
    • Type mégalomaniaque
    • Type de jalousie
    • Type mixte
    • Type non spécifié
  • Spécifier si : Avec contenu bizarre
  • Spécifier si :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète
    • Multiples épisodes, actuellement en épisode aigu
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission partielle
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission complète
    • Continu
    • Non spécifié
  • Spécifier la sévérité actuelle [sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave)] (voir le tableau 17.2)
413
Q

Critères diagnostiques du trouble délirant: DSM-V
- spécification: sévérité

A
  • Spécifier le type :
    • Type de persécution
    • Type somatique
    • Type érotomaniaque
    • Type mégalomaniaque
    • Type de jalousie
    • Type mixte
    • Type non spécifié
  • Spécifier si : Avec contenu bizarre
  • Spécifier si :
    • Premier épisode, actuellement en épisode aigu
    • Premier épisode, actuellement en rémission partielle
    • Premier épisode, actuellement en rémission complète
    • Multiples épisodes, actuellement en épisode aigu
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission partielle
    • Multiples épisodes, actuellement en rémission complète
    • Continu
    • Non spécifié
  • Spécifier la sévérité actuelle [sur une échelle à 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave)] (voir le tableau 17.2)
414
Q

Troubles délirants: Sous-types

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
415
Q

Troubles délirants: Sous-types
- nommez-les

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
416
Q

Troubles délirants: Sous-types
- Type PERSÉCUTION

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
417
Q

Troubles délirants: Sous-types
- Type SOMATIQUE

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
418
Q

Troubles délirants: Sous-types
- Type ÉROTOMANE

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
419
Q

Troubles délirants: Sous-types
- Type MÉGALOMANE

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
420
Q

Troubles délirants: Sous-types
- Type JALOUSIE

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
421
Q

Troubles délirants: Sous-types
- MIXTE / NON SPÉCIFIÉ

A
  • Type persécution : le type le plus fréquent, il est convaincu que lui ou un de ses proches est traité de manière malveillante.
  • Type somatique : le patient est convaincu d’être porteur d’une maladie grave ou que certains de ses organes ne fonctionnent plus. Il peut croire qu’il pue, avoir des insectes dans sa peau. Il n’est pas persuadé si on lui montre des examens normaux
  • Type érotomane : porte sur le soi-disant amour qu’une personne, habituellement de statut élevé, manifeste envers la patiente, qui occupe souvent un emploi peu valorisant et est esseulée. Plus souvent de type spirituel que sexuel. Elle interprète souvent des messages dans les chansons, discours de la personnalité.
  • Type mégalomane : délire de grandeur, il pense avoir été désigné pour accomplir une grande mission ou d’occuper un statut très important.
  • Type de jalousie : plus fréquent chez l’homme, porte sur la conviction des infidélités de la conjointe. Se développe à partir de la mauvaise interprétation et de l’amplification de faits anodins. Les preuves de jalousie ne sont pas convaincantes pour le médecin, mais le patient les trouve irréfutables.
  • Type mixte ou non spécifié : atypique, il ne peut être précisé dans aucune catégorie
422
Q

Troubles délirants: DDX

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
423
Q

Troubles délirants: DDX
- à différenciez de quoi?

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.)
424
Q

Troubles délirants: DDX
- autres troubles psychotiques

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
425
Q

Troubles délirants: DDX
- autres troubles psychotiques: trouble délirant induit

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
426
Q

Troubles délirants: DDX
- trouble délirant simultané

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
427
Q

Troubles délirants: DDX
- autres idées / obsessions

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
428
Q

Troubles délirants: DDX
- organique

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
429
Q

Troubles délirants: DDX
- autre maladie mentale

A
  • À faire avec les autres troubles psychotiques, qui incluent :
    • o Le trouble délirant induit, ou à deux, dans lequel une personne vivant isolée avec une autre personne dans une relation intime de longue durée développe un délire paranoïde auquel les 2 partenaires croient.
    • o Le trouble délirant simultané, ou simplement deux malades cohabitent et partagent un thème délirant similaire, mais chacun porte un Dx personnel.
  • À faire avec l’idée surinvesti (moins irréaliste que le délire), l’obsession (qui est égodystone) et l’obsession dysmorphie corporelle.
  • À faire avec une cause organique
  • À faire avec une maladie mentale associée (démence, délirium, schizophrénie paranoïde, trouble affectif majeur, forme grave de TOC et TP paranoïde et schizotypique.
430
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: TABLEAU

A
431
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: ÂGE DE DÉBUT
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Non déterminé
  • Trouble délirant: 35-45 ans
  • Schizophrénie paranoïde: 20-30 ans
432
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: DÉCRIRE LE DÉLIRE
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Absent
  • Trouble délirant: Bien systématisé, cohérent, plausible, encapsulé
  • Schizophrénie paranoïde: Peu systématisé, incohérent, bizarre, envahissant
433
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: DÉCRIRE LES HALLUCINATIONS
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Absentes
  • Trouble délirant: Rares, non envahissantes
  • Schizophrénie paranoïde: Habituelles, envahissantes
434
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: CONTACT AVEC LA RÉALITÉ
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Préservé
  • Trouble délirant: Bon, sauf en ce qui concerne le délire
  • Schizophrénie paranoïde: Gravement perturbé
435
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: STYLE DE COMPORTEMENT
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Réservé, méfiant
  • Trouble délirant: Rigide, défensif, agressif
  • Schizophrénie paranoïde: Bizarre
436
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: DÉCRIRE LA DÉTERIORATION DU FONCTIONNEMENT
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Aucune
  • Trouble délirant: Légère, sauf si le délire devient envahissant
  • Schizophrénie paranoïde: Progressive
437
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: DURÉE MOYENNE DE L’HOSPITALISATION
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde: Aucune
  • Trouble délirant: 2-3 semaines
  • Schizophrénie paranoïde: 1-2 mois
438
Q

Critères différentiels du spectre paranoïde: DÉCRIRE L’ADAPTATION SOCIALE
- Personnalité paranoïde
- Trouble délirant
- Schizophrénie paranoïde

A
  • Personnalité paranoïde:
    • Performance au travail convenable, mais contaminée par de nombreux conflits interpersonnels
    • Difficultés conjugales fréquentes
  • Trouble délirant: Effort continuel pour réussir son travail, la pensée étant contaminée par le système délirant
  • Schizophrénie paranoïde:
    • Retrait, isolement
    • Perte d’habiletés sociales
439
Q

Trouble délirant: Traitement
- nommez les options de tx

A
  1. tx biologiques
  2. psychothérapie
440
Q

Trouble délirant: Traitement BIOLOGIQUE

A
  • Biologiques : on prescrit aisément un antipsychotique atypique sédatif dès l’apparition des symptômes psychotiques.
  • La thérapie ressemble essentiellement à celle de la schizophrénie.
  • Les idées dépressives étant fréquentes, on prescrit souvent aussi un antidépresseur :
    • o Agit en atténuant l’inquiétude, la souffrance et le tourment associé au délire (via la voie mésolimbique).
    • o Il est conseillé de continuer un antipsychotique durant 3-6 mois pour éviter la rechute.
    • o Si une cause physique est identifiée, la corriger.
    • o Si le délire est associé à une autre maladie mentale, la corriger prioritairement
441
Q

Trouble délirant: Traitement BIOLOGIQUE
- nommez les classes de Rx utilisées

A
  • Biologiques : on prescrit aisément un antipsychotique atypique sédatif dès l’apparition des symptômes psychotiques.
  • La thérapie ressemble essentiellement à celle de la schizophrénie.
  • Les idées dépressives étant fréquentes, on prescrit souvent aussi un antidépresseur :
    • o Agit en atténuant l’inquiétude, la souffrance et le tourment associé au délire (via la voie mésolimbique).
    • o Il est conseillé de continuer un antipsychotique durant 3-6 mois pour éviter la rechute.
    • o Si une cause physique est identifiée, la corriger.
    • o Si le délire est associé à une autre maladie mentale, la corriger prioritairement
442
Q

Trouble délirant: Traitement BIOLOGIQUE
- ANTIPSYCHOTIQUE

A
  • Biologiques : on prescrit aisément un antipsychotique atypique sédatif dès l’apparition des symptômes psychotiques.
  • La thérapie ressemble essentiellement à celle de la schizophrénie.
  • Les idées dépressives étant fréquentes, on prescrit souvent aussi un antidépresseur :
    • o Agit en atténuant l’inquiétude, la souffrance et le tourment associé au délire (via la voie mésolimbique).
    • o Il est conseillé de continuer un antipsychotique durant 3-6 mois pour éviter la rechute.
    • o Si une cause physique est identifiée, la corriger.
    • o Si le délire est associé à une autre maladie mentale, la corriger prioritairement
443
Q

Trouble délirant: Traitement BIOLOGIQUE
- ANTIDÉPRESSEUR

A
  • Biologiques : on prescrit aisément un antipsychotique atypique sédatif dès l’apparition des symptômes psychotiques.
  • La thérapie ressemble essentiellement à celle de la schizophrénie.
  • Les idées dépressives étant fréquentes, on prescrit souvent aussi un antidépresseur :
    • o Agit en atténuant l’inquiétude, la souffrance et le tourment associé au délire (via la voie mésolimbique).
    • o Il est conseillé de continuer un antipsychotique durant 3-6 mois pour éviter la rechute.
    • o Si une cause physique est identifiée, la corriger.
    • o Si le délire est associé à une autre maladie mentale, la corriger prioritairement
444
Q

Trouble délirant: Traitement BIOLOGIQUE
- ANTIDÉPRESSEURS: POURQUOI?

A
  • Biologiques : on prescrit aisément un antipsychotique atypique sédatif dès l’apparition des symptômes psychotiques.
  • La thérapie ressemble essentiellement à celle de la schizophrénie.
  • Les idées dépressives étant fréquentes, on prescrit souvent aussi un antidépresseur :
    • o Agit en atténuant l’inquiétude, la souffrance et le tourment associé au délire (via la voie mésolimbique).
    • o Il est conseillé de continuer un antipsychotique durant 3-6 mois pour éviter la rechute.
    • o Si une cause physique est identifiée, la corriger.
    • o Si le délire est associé à une autre maladie mentale, la corriger prioritairement
445
Q

Trouble délirant: PSYCHOTHÉRAPIE

A
  • Psychothérapie : il est inutile, voire néfaste, de confronter le patient directement.
  • Cela ne renforce que l’hostilité. Il est inutile de faire des démonstrations savantes puisque les convictions sont irréductibles par la logique.
  • Il est conseillé de s’attarder à la relation de confiance avec empathie (sans faire semblant d’y croire).
  • Deuxièmement, il faut semer le doute chez le patient, en posant des questions pour l’amener à réfléchir, sans contredire les perceptions du patient.
  • Par une approche psychoéducative, le thérapeute tente d’expliquer au patient comme l’isolement, les drogues, le stress, etc. peuvent altérer les perceptions et produire un délire et comment l’antipsychotique et l’anxiolytique peuvent aider.
446
Q

Trouble délirant: PSYCHOTHÉRAPIE
- ce qu’il NE faut PAS faire

A
  • Psychothérapie : il est inutile, voire néfaste, de confronter le patient directement.
  • Cela ne renforce que l’hostilité.
  • Il est inutile de faire des démonstrations savantes puisque les convictions sont irréductibles par la logique.
  • Il est conseillé de s’attarder à la relation de confiance avec empathie (sans faire semblant d’y croire).
  • Deuxièmement, il faut semer le doute chez le patient, en posant des questions pour l’amener à réfléchir, sans contredire les perceptions du patient.
  • Par une approche psychoéducative, le thérapeute tente d’expliquer au patient comme l’isolement, les drogues, le stress, etc. peuvent altérer les perceptions et produire un délire et comment l’antipsychotique et l’anxiolytique peuvent aider.
447
Q

Trouble délirant: PSYCHOTHÉRAPIE
- ce qui FAUT faire

A
  • Psychothérapie : il est inutile, voire néfaste, de confronter le patient directement.
  • Cela ne renforce que l’hostilité. Il est inutile de faire des démonstrations savantes puisque les convictions sont irréductibles par la logique.
  • Il est conseillé de s’attarder à la relation de confiance avec empathie (sans faire semblant d’y croire).
  • Deuxièmement, il faut semer le doute chez le patient, en posant des questions pour l’amener à réfléchir, sans contredire les perceptions du patient.
  • Par une approche psychoéducative, le thérapeute tente d’expliquer au patient comme l’isolement, les drogues, le stress, etc. peuvent altérer les perceptions et produire un délire et comment l’antipsychotique et l’anxiolytique peuvent aider.
448
Q

Trouble délirant: PSYCHOTHÉRAPIE
- approche à utiliser

A
  • Psychothérapie : il est inutile, voire néfaste, de confronter le patient directement.
  • Cela ne renforce que l’hostilité. Il est inutile de faire des démonstrations savantes puisque les convictions sont irréductibles par la logique.
  • Il est conseillé de s’attarder à la relation de confiance avec empathie (sans faire semblant d’y croire).
  • Deuxièmement, il faut semer le doute chez le patient, en posant des questions pour l’amener à réfléchir, sans contredire les perceptions du patient.
  • Par une approche psychoéducative, le thérapeute tente d’expliquer au patient comme l’isolement, les drogues, le stress, etc. peuvent altérer les perceptions et produire un délire et comment l’antipsychotique et l’anxiolytique peuvent aider.
449
Q

Trouble délirant: Évolution et pronostic

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
450
Q

Trouble délirant: Évolution dans les années suivantes

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
451
Q

Trouble délirant: Évolution vers schizophrénie

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
452
Q

Trouble délirant: Évolution et pronostic
- impacts sur qualité de vie

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
453
Q

Trouble délirant: Évolution et pronostic
- facteurs de BON pronostic

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
454
Q

Trouble délirant: Évolution et pronostic
- facteurs de MAUVAIS pronostic

A
  • Ce diagnostic reste stable au cours des années subséquentes.
  • Seulement 3 – 22 % des patients seront diagnostiqués schizophrènes paranoïdes.
  • Le trouble délirant n’amène généralement pas de changement dans la personnalité ni de raccourcissement de la durée de vie.
  • Un début brutal et un stresseur bien identifié sont un bon facteur pronostic, comparativement à la forme insidieuse.
  • Des facteurs de mauvais pronostic de la thérapie peuvent réduire l’efficacité du traitement : contre-transfert, tonus émotionnel intense, importance démesurée accordée à des détails, des demandes multiples, relations conflictuelles entre les rdv, jugement et comportements influencés par le délire, risque de devenir partie intégrante du délire (le thérapeute devient un persécuteur imaginé), efficacité relative des médicaments, risque de violence.
455
Q

Trouble psychotique bref: Pourquoi l’étudier?

A
  • « Voici un autre diagnostic souvent oublié de vos diagnostics différentiels lors de vos gardes en psychiatrie à l’externat… Retenez l’épidémiologie, les critères diagnostics et la section 15.10 sur l’évolution et le pronostic. »
456
Q

Trouble psychotique bref: Épidémiologie

A
  • 10X plus prévalent dans les pays en développement
  • 0,74 H et 1,99F pour 100 000H et 100 000F
  • 60-86% sont des femmes ou 1,7F-1H selon les études
  • Pic en mi- trentaine dans les pays industrialisés et mi- vingtaine dans les pays en développement
  • Niveau de scolarité des TPB est plus élevé et occupent plus d’emploi que les schizophrènes
457
Q

Trouble psychotique bref: Épidémiologie
- plus prévalents où dans le monde?

A
  • 10X plus prévalent dans les pays en développement
  • 0,74 H et 1,99F pour 100 000H et 100 000F
  • 60-86% sont des femmes ou 1,7F-1H selon les études
  • Pic en mi- trentaine dans les pays industrialisés et mi- vingtaine dans les pays en développement
  • Niveau de scolarité des TPB est plus élevé et occupent plus d’emploi que les schizophrènes
458
Q

Trouble psychotique bref: Épidémiologie
- H vs F

A
  • 10X plus prévalent dans les pays en développement
  • 0,74 H et 1,99F pour 100 000H et 100 000F
  • 60-86% sont des femmes ou 1,7F-1H selon les études
  • Pic en mi- trentaine dans les pays industrialisés et mi- vingtaine dans les pays en développement
  • Niveau de scolarité des TPB est plus élevé et occupent plus d’emploi que les schizophrènes
459
Q

Trouble psychotique bref: Épidémiologie
- pic d’incidence

A
  • 10X plus prévalent dans les pays en développement
  • 0,74 H et 1,99F pour 100 000H et 100 000F
  • 60-86% sont des femmes ou 1,7F-1H selon les études
  • Pic en mi- trentaine dans les pays industrialisés et mi- vingtaine dans les pays en développement
  • Niveau de scolarité des TPB est plus élevé et occupent plus d’emploi que les schizophrènes
460
Q

Trouble psychotique bref: Épidémiologie
- niveau de fonctionnement

A
  • 10X plus prévalent dans les pays en développement
  • 0,74 H et 1,99F pour 100 000H et 100 000F
  • 60-86% sont des femmes ou 1,7F-1H selon les études
  • Pic en mi- trentaine dans les pays industrialisés et mi- vingtaine dans les pays en développement
  • Niveau de scolarité des TPB est plus élevé et occupent plus d’emploi que les schizophrènes
461
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V

A
  • A. Présence d’un (ou plus) des symptômes suivants. Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence).
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
    • N.B.Ne pas inclure un symptôme s’il s’agit d’une modalité de réaction culturellement admise.
  • B. Au cours d’un épisode, la perturbation persiste au moins un jour mais moins d’un mois, avec retour complet au niveau de fonctionnement prémorbide.
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble dépressif caractérisé ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques, ou un autre trouble psychotique comme une schizophrénie ou une catatonie, et n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une affection médicale générale.
462
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- manifestations cliniques

A
  • A. Présence d’un (ou plus) des symptômes suivants. Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence).
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
    • N.B.Ne pas inclure un symptôme s’il s’agit d’une modalité de réaction culturellement admise.
  • B. Au cours d’un épisode, la perturbation persiste au moins un jour mais moins d’un mois, avec retour complet au niveau de fonctionnement prémorbide.
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble dépressif caractérisé ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques, ou un autre trouble psychotique comme une schizophrénie ou une catatonie, et n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une affection médicale générale.
463
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- durée

A
  • A. Présence d’un (ou plus) des symptômes suivants. Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence).
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
    • N.B.Ne pas inclure un symptôme s’il s’agit d’une modalité de réaction culturellement admise.
  • B. Au cours d’un épisode, la perturbation persiste au moins un jour mais moins d’un mois, avec retour complet au niveau de fonctionnement prémorbide.
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble dépressif caractérisé ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques, ou un autre trouble psychotique comme une schizophrénie ou une catatonie, et n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une affection médicale générale.
464
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- quoi exclure?

A
  • A. Présence d’un (ou plus) des symptômes suivants. Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent :
      1. Idées délirantes.
      1. Hallucinations.
      1. Discours désorganisé (p. ex. déraillements fréquents ou incohérence).
      1. Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique.
    • N.B. Ne pas inclure un symptôme s’il s’agit d’une modalité de réaction culturellement admise.
  • B. Au cours d’un épisode, la perturbation persiste au moins un jour mais moins d’un mois, avec retour complet au niveau de fonctionnement prémorbide.
  • C. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble dépressif caractérisé ou bipolaire avec caractéristiques psychotiques, ou un autre trouble psychotique comme une schizophrénie ou une catatonie, et n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à un abus, un médicament) ou d’une affection médicale générale.
465
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- spécifications à faire

A
  • Spécifier si : Avec catatonie (pour la définition, se référer aux critères de catatonie associée à un autre trouble mental) (voir le tableau 28.10)
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (en prenant en compte l’intensité la plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle de 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave). […] (voir le tableau 17.2)
    • N.B.Un diagnostic de trouble psychotique bref peut être posé sans utiliser cette spécification de la sévérité.
466
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- spécificier si avec quoi?

A
  • Spécifier si : Avec catatonie (pour la définition, se référer aux critères de catatonie associée à un autre trouble mental) (voir le tableau 28.10)
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (en prenant en compte l’intensité la plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle de 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave). […] (voir le tableau 17.2)
    • N.B.Un diagnostic de trouble psychotique bref peut être posé sans utiliser cette spécification de la sévérité.
467
Q

Critères diagnostiques du trouble psychotique bref: DSM-V
- spécificier sévérité

A
  • Spécifier si : Avec catatonie (pour la définition, se référer aux critères de catatonie associée à un autre trouble mental) (voir le tableau 28.10)
  • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité est cotée par une évaluation quantitative des symptômes psychotiques primaires, dont les idées délirantes, les hallucinations, la désorganisation du discours, les comportements psychomoteurs anormaux et les symptômes négatifs. Chacun de ces symptômes peut être coté pour sa sévérité actuelle (en prenant en compte l’intensité la plus sévère au cours des 7 derniers jours) sur une échelle de 5 points, allant de 0 (absent) à 4 (présent et grave). […] (voir le tableau 17.2)
    • N.B.Un diagnostic de trouble psychotique bref peut être posé sans utiliser cette spécification de la sévérité.
468
Q

Trouble psychotique bref: Évolution et pronostic

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon :
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes. De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
469
Q

Trouble psychotique bref: Durée / évolution

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon :
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes. De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
470
Q

Trouble psychotique bref: Pronostic

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon :
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes. De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
471
Q

Trouble psychotique bref: Évolutions possibles

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon:
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes. De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
472
Q

Trouble psychotique bref: Évolution et pronostic
- ce qui permet de réduire la durée des sx

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon :
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes.
  • De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
473
Q

Trouble psychotique bref: Évolution et pronostic
- stabilité du dx dans le temps

A
  • L’évolution par définition d’un trouble psychotique bref est de courte durée (jours / semaines).
  • Le pronostic est bon :
    • 20 % de chronique
    • 30 % avec épisode unique
    • 50 % avec successions d’épisodes et de rechutes
  • Il est à noter que la prise d’antipsychotiques réduit la longueur des symptômes.
  • De plus, il est à noter que ce diagnostic est peu stable dans le temps ; 48 % auront un autre diagnostic à 1 an.
474
Q

Trouble psychotique induit ou secondaire

A
  • « À lire seulement. Sachez tout de même qu’en clinique ou dans un contexte d’urgence il est difficile de distinguer un trouble psychotique induit/secondaire d’un trouble primaire et que plus souvent qu’autrement, c’est l’évolution de la maladie et le temps qui nous seront le plus utile, méfiez-vous des diagnostics hâtifs ! »
475
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose

A

(À titre informatif)

476
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose: Maladies NEURO

A
  • Délirium
  • Trauma
  • Tumeur
  • Encéphalite
  • Épilepsie
  • Sclérose en plaque
  • Vasculite cérébrale
  • Hématome sousdural
  • Etc.

(À titre informatif)

477
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose: Maladies SYSTÉMIQUES

A
  • LED
  • Pellagre
  • Porphyrie
  • Etc.

(À titre informatif)

478
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose: Maladies MÉTABOLIQUES

A
  • Hypoglycémie
  • Hyperthyroïdie
  • Cushing
  • Encéphalopathie hépatique
  • Etc.

(À titre informatif)

479
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose: Maladies INFCTIEUSES

A
  • Neurosyphilis
  • Toxoplasmose cérébrale
  • Tuberculose
  • SIDA
  • Etc.

(À titre informatif)

480
Q

Maladies pouvant provoquer une psychose: Maladies GÉNÉTIQUES

A
  • Mx de Huntington
  • Leucodystrophie métachromatique
  • Maladie de Wilson
  • Phénylcétonurie
  • Homocystinurie
  • Etc.

(À titre informatif)

481
Q

Patient agité et violent: Principe à prendre en considération

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
482
Q

Patient agité et violent: Principe d’agitation

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
483
Q

Patient agité et violent: Principe d’agitation - le définir

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
484
Q

Patient agité et violent: Principe d’agitation
- ça traduit quoi?

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
485
Q

Patient agité et violent: Principe d’agitation
- associé à quoi?

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
486
Q

Patient agité et violent: Fréquence des consultations de violence en psychiatrie

A
  • Principe d’agitation : c’est une perturbation de l’activité motrice perçue tant sur les plans quantitatifs (une augmentation) que qualitatif (inadéquation par rapport à la situation).
  • C’est une traduction motrice de la souffrance et de la désorganisation psychiques ressenties lorsque les moyens d’élaboration mentale sont débordés.
  • C’est associé à une perte de contrôle de ses actes, de la parole et de la pensée et il peut s’accompagner de violence verbale et comportementale, avec des gestes dirigés contre soi, contre les objets ou contre les autres personnes.
  • Représente 10% des consultations en urgence psychiatrique.
487
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence :
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
488
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation
- objectifs de la prise en charge initiale

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence :
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
489
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation
- maîtrise de la situation

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence :
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
490
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation
- signes précurseurs de violence

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence:
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
491
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation
- identification de la cause du comportement agité / violent

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence :
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
492
Q

Patient agité et violent: Prise en charge de l’agitation
- classification des causes de comportements injustifiés

A

Prise en charge de l’agitation : la prise en charge initiale comporte deux objectifs majeurs :

  • Maîtrise de la situation de façon sécuritaire pour tous
    • o Prévenir les actes de violence par tous les moyens nécessaires, en respectant le confort du patient et des autres.
    • o Attention aux signes précurseurs de violence :
      • § Agitation, nervosité, fébrilité, marche de long en large d’un air préoccupé
      • § Comportements désorganisés et bizarres, ou changement subit de comportement
      • § Rage, colère, cris
      • § Incohérence du langage
      • § Tentative de fuite
  • Identification de la cause du comportement agité ou violent
    • o L’agressivité peut être l’expression de diverses émotions engendrées elles-mêmes par différentes cognitions.
    • o Les causes de comportements injustifiés sont regroupées en deux sous-groupes : causes médicales vs causes psychiatriques.
493
Q

Paramètres de l’évaluation du risque de violence

A
  • Antécédents
  • Altération de l’état mental
  • Déterminants spécifiques
  • Affections associées à la violence
494
Q

Paramètres de l’évaluation du risque de violence: ANTÉCÉDENTS

A
  • Antécédents personnels de violence
  • Antécédents judiciaires
  • Historique de trouble de conduite durant l’enfance
  • Faible tolérance à la frustration
495
Q

Paramètres de l’évaluation du risque de violence: ALTÉRATION DE L’ÉTAT MENTAL

A
  • Agitation
  • Nervosité
  • Fébrilité
  • Hallucinations impérieuses
  • Délire de persécution
  • Catatonie
  • Consommation de drogues et d’alcool
496
Q

Paramètres de l’évaluation du risque de violence: DÉTERMINANTS SPÉCIFIQUES

A
  • Distinction entre fantaisie, idée et intention et geste agressif
  • Présence d’un plan d’agression
  • Disponibilité de moyens
  • Cible identifiée et atteignable
  • Caractère envahissant des pensées hétéroagressives
  • Égosyntonie ou égodystonie des pensées agressives
  • Faible tolérance à la frustration
  • Perception par le patient de sa propre capacité de contrôle
497
Q

Paramètres de l’évaluation du risque de violence: AFFECTIONS ASSOCIÉES À LA VIOLENCE

A
  • Schizophrénie (paranoïde, catatonique)
  • Delirium (causes diverses)
  • Intoxication (alcool, stimulants, PCP)
  • Trouble de la personnalité (antisociale, limite)
  • Trouble de la personnalité organique
  • Épilepsie
498
Q

Patient agité et violent: Causes MÉDICALES de la violence

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
499
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Nommez-les

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
500
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Présentations cliniques

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
501
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Fréquence des causes médicales

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
502
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Nommez-les
- nommez les causes médicales possibles

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
503
Q

Causes MÉDICALES de la violence:
- décrivez la démence

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
504
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Nommez-les
- causes toxiques

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
505
Q

Causes MÉDICALES de la violence: Nommez-les
- médicaments

A

Affection médicale responsable

  • Le patient présente une altération des fonctions cognitives (altération niveau de conscience, désorientation, onirisme et confusion mentale)
  • 3,5 % des causes d’altération ont comme origine une cause médicale
  • Diverses causes : hypoglycémie, AVC, IM, insuffisance respiratoire aigüe, hypoxie, hypercapnie, épilepsie, hémorragie méningée, tumeur cérébrale, méningo-encéphalite, rétention urinaire aigue.
  • Démence : associe au trouble cognitif des changements de caractère, des épisodes de perturbation nocturne, des troubles de la conscience avec onirisme et des actes agressifs
  • Toxiques : à rechercher systématiquement dans les urines
  • Attention aux benzodiazépines, les ISRS et les antidépresseurs tricycliques.
506
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Nommez-les

A
  • Schizophrénie et trouble psychotique bref
  • Manie
  • Dépression majeure
  • Attaque panique
  • Agigation caractérielle
507
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Schizophrénie et trouble psychotique bref

A
  • Évoqués lorsque l’agitation est associée à des interprétations délirantes, des hallucinations, des symptômes dissociatifs, des troubles du cours de la pensée et un affect méfiant, perplexe ou inapproprié.
  • L’agitation est souvent le premier plan du montée psychotique
508
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Schizophrénie et trouble psychotique bref
- présentation clinique de la violence

A
  • Évoqués lorsque l’agitation est associée à des interprétations délirantes, des hallucinations, des symptômes dissociatifs, des troubles du cours de la pensée et un affect méfiant, perplexe ou inapproprié.
  • L’agitation est souvent le premier plan du montée psychotique
509
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Schizophrénie et trouble psychotique bref
- ce qui peut être être au premier plan

A
  • Évoqués lorsque l’agitation est associée à des interprétations délirantes, des hallucinations, des symptômes dissociatifs, des troubles du cours de la pensée et un affect méfiant, perplexe ou inapproprié.
  • L’agitation est souvent le premier plan du montée psychotique
510
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Manie

A
  • À considérer devant une humeur expansive (exaltation, grandiosité et un affect exubérant, souvent labile, pouvant passer de l’euphorie à l’hostilité ou aux pleurs).
  • Excitation physique et psychique caractérisée par agitation, irritabilité, colère, hyperactivité ludique, désinhibition globale, tachypsychie et logorrhée
511
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Manie
- la violence est associée à quels sx?

A
  • À considérer devant une humeur expansive (exaltation, grandiosité et un affect exubérant, souvent labile, pouvant passer de l’euphorie à l’hostilité ou aux pleurs).
  • Excitation physique et psychique caractérisée par agitation, irritabilité, colère, hyperactivité ludique, désinhibition globale, tachypsychie et logorrhée
512
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Dépression majeure

A
  • Agit motrice qui tire plus vers le nervosisme.
  • Il parait inconfortable, bouge sur sa chaise, marche de long en large, l’air hagard.
  • Souvent déclenchée par une anxiété importante ou des symptômes psychotiques associés
  • Peut alimenter une poussée suicidaire
513
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Dépression majeure
- sx associés

A
  • Agit motrice qui tire plus vers le nervosisme.
  • Il parait inconfortable, bouge sur sa chaise, marche de long en large, l’air hagard.
  • Souvent déclenchée par une anxiété importante ou des symptômes psychotiques associés
  • Peut alimenter une poussée suicidaire
514
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Dépression majeure
- déclenchée par quoi?

A
  • Agit motrice qui tire plus vers le nervosisme.
  • Il parait inconfortable, bouge sur sa chaise, marche de long en large, l’air hagard.
  • Souvent déclenchée par une anxiété importante ou des symptômes psychotiques associés
  • Peut alimenter une poussée suicidaire
515
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Dépression majeure
- peut alimenter quoi?

A
  • Agit motrice qui tire plus vers le nervosisme.
  • Il parait inconfortable, bouge sur sa chaise, marche de long en large, l’air hagard.
  • Souvent déclenchée par une anxiété importante ou des symptômes psychotiques associés
  • Peut alimenter une poussée suicidaire
516
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Attaque de panique

A
  • Survenue brutale d’une peur intense accompagnée d’un sentiment de mort imminente, de la peur de devenir fou ou la crainte de catastrophe.
  • Des signes somatiques peuvent dominer le tableau clinique
517
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Attaque de panique
- c’est quoi?

A
  • Survenue brutale d’une peur intense accompagnée d’un sentiment de mort imminente, de la peur de devenir fou ou la crainte de catastrophe.
  • Des signes somatiques peuvent dominer le tableau clinique
518
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Attaque de panique
- sx associés

A
  • Survenue brutale d’une peur intense accompagnée d’un sentiment de mort imminente, de la peur de devenir fou ou la crainte de catastrophe.
  • Des signes somatiques peuvent dominer le tableau clinique
519
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Agitation caractérielle

A
  • Crise explosive chez une personne impulsive, intolérante à la frustration.
  • Agitation généralement réactionnelle à un évènement stresseur
  • Surtout chez les patients avec TP antisocial ou limite
520
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Agitation caractérielle
- c’est quoi?

A
  • Crise explosive chez une personne impulsive, intolérante à la frustration.
  • Agitation généralement réactionnelle à un évènement stresseur
  • Surtout chez les patients avec TP antisocial ou limite
521
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Agitation caractérielle
- cause

A
  • Crise explosive chez une personne impulsive, intolérante à la frustration.
  • Agitation généralement réactionnelle à un évènement stresseur
  • Surtout chez les patients avec TP antisocial ou limite
522
Q

Causes PSYCHIATRIQUES de la violence: Agitation caractérielle
- chez qui?

A
  • Crise explosive chez une personne impulsive, intolérante à la frustration.
  • Agitation généralement réactionnelle à un évènement stresseur
  • Surtout chez les patients avec TP antisocial ou limite
523
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence

A
  • Si les mesures cognitivo-comportementales ne réussissent pas à calmer l’agitation, l’utilisation d’une médication sédative peut être utile.
  • Si la communication verbale et de la médication, la chambre d’isolement peut être utilisée.
  • Lorsque l’isolement est inefficace, les mesures de contentions physiques peuvent indiquées temporairement.
524
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- 1ère ligne

A
  • Si les mesures cognitivo-comportementales ne réussissent pas à calmer l’agitation, l’utilisation d’une médication sédative peut être utile.
  • Si la communication verbale et de la médication, la chambre d’isolement peut être utilisée.
  • Lorsque l’isolement est inefficace, les mesures de contentions physiques peuvent indiquées temporairement.
525
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- quoi faire si les mesures cognitivo-comportementales ne fonctionnent pas?

A
  • Si les mesures cognitivo-comportementales ne réussissent pas à calmer l’agitation, l’utilisation d’une médication sédative peut être utile.
  • Si la communication verbale et de la médication, la chambre d’isolement peut être utilisée.
  • Lorsque l’isolement est inefficace, les mesures de contentions physiques peuvent indiquées temporairement.
526
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- quoi faire si la communication et la Rx ne fonctionnent pas?

A
  • Si les mesures cognitivo-comportementales ne réussissent pas à calmer l’agitation, l’utilisation d’une médication sédative peut être utile.
  • Si la communication verbale et de la médication, la chambre d’isolement peut être utilisée.
  • Lorsque l’isolement est inefficace, les mesures de contentions physiques peuvent indiquées temporairement.
527
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- quoi fare si l’isolement ne fonctionne pas?

A
  • Si les mesures cognitivo-comportementales ne réussissent pas à calmer l’agitation, l’utilisation d’une médication sédative peut être utile.
  • Si la communication verbale et de la médication, la chambre d’isolement peut être utilisée.
  • Lorsque l’isolement est inefficace, les mesures de contentions physiques peuvent indiquées temporairement.
528
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Le recours à la contention nécessite de respecter quoi?

A

Le recours à la contention nécessite de respecter certains faits :

  • Disposer d’au moins 5 intervenants
  • Expliquer les raisons de la mise en contention
  • Ne pas comprimer les membres du patient
  • Administrer une médication sédative
  • Assurer une surveillance étroite du patient et le réexaminer périodiquement.
  • Retirer la contention graduellement dès le retour au calme
529
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Traitement pharmacologique

A
  • Traitement pharmacologique : le but est d’obtenir rapidement une sédation, de la conserver sans nécessairement endormir le patient : maintenir la communication afin de permettre une évaluation diagnostique et garder un contact rassurant avec le patient.
  • Les principaux médicaments utilisés sont les benzodiazépines et les antipsychotiques.
  • Le médicament utilisé devrait tenir compte des caractéristiques suivantes :
    • Début d’action rapide
    • Sécurité d’emploi
    • Mode d’administration adapté
    • Effet cumulatif nul
    • Fenêtre thérapeutique large
    • Évaluation possible de l’état de conscience du patient.
530
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Traitement pharmacologique: quel est son objectif?

A
  • Traitement pharmacologique : le but est d’obtenir rapidement une sédation, de la conserver sans nécessairement endormir le patient : maintenir la communication afin de permettre une évaluation diagnostique et garder un contact rassurant avec le patient.
  • Les principaux médicaments utilisés sont les benzodiazépines et les antipsychotiques.
  • Le médicament utilisé devrait tenir compte des caractéristiques suivantes :
    • Début d’action rapide
    • Sécurité d’emploi
    • Mode d’administration adapté
    • Effet cumulatif nul
    • Fenêtre thérapeutique large
    • Évaluation possible de l’état de conscience du patient.
531
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Traitement pharmacologique: médicaments utilisés

A
  • Traitement pharmacologique : le but est d’obtenir rapidement une sédation, de la conserver sans nécessairement endormir le patient : maintenir la communication afin de permettre une évaluation diagnostique et garder un contact rassurant avec le patient.
  • Les principaux médicaments utilisés sont les benzodiazépines et les antipsychotiques.
  • Le médicament utilisé devrait tenir compte des caractéristiques suivantes :
    • Début d’action rapide
    • Sécurité d’emploi
    • Mode d’administration adapté
    • Effet cumulatif nul
    • Fenêtre thérapeutique large
    • Évaluation possible de l’état de conscience du patient.
532
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Traitement pharmacologique: les médicaments devraient tenir comptent de quelles caractéristiques?

A
  • Traitement pharmacologique : le but est d’obtenir rapidement une sédation, de la conserver sans nécessairement endormir le patient : maintenir la communication afin de permettre une évaluation diagnostique et garder un contact rassurant avec le patient.
  • Les principaux médicaments utilisés sont les benzodiazépines et les antipsychotiques.
  • Le médicament utilisé devrait tenir compte des caractéristiques suivantes :
    • Début d’action rapide
    • Sécurité d’emploi
    • Mode d’administration adapté
    • Effet cumulatif nul
    • Fenêtre thérapeutique large
    • Évaluation possible de l’état de conscience du patient.
533
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient

A
  • Attitude du patient : la réticence à communiquer témoigne d’un besoin de rester maître d’une situation pour laquelle l’individu n’entrevoit pas d’issue.
  • Beaucoup craignent de dire des choses qui pourraient être utilisées contre eux.
  • La méfiance se traduit parfois par du mutisme et complique l’évaluation psychiatrique.
534
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: attitude fréquente

A
  • Attitude du patient : la réticence à communiquer témoigne d’un besoin de rester maître d’une situation pour laquelle l’individu n’entrevoit pas d’issue.
  • Beaucoup craignent de dire des choses qui pourraient être utilisées contre eux.
  • La méfiance se traduit parfois par du mutisme et complique l’évaluation psychiatrique.
535
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: pourquoi les patients sont-ils souvent méfiants?

A
  • Attitude du patient : la réticence à communiquer témoigne d’un besoin de rester maître d’une situation pour laquelle l’individu n’entrevoit pas d’issue.
  • Beaucoup craignent de dire des choses qui pourraient être utilisées contre eux.
  • La méfiance se traduit parfois par du mutisme et complique l’évaluation psychiatrique.
536
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: manifestations de la méfiance du patient

A
  • Attitude du patient : la réticence à communiquer témoigne d’un besoin de rester maître d’une situation pour laquelle l’individu n’entrevoit pas d’issue.
  • Beaucoup craignent de dire des choses qui pourraient être utilisées contre eux.
  • La méfiance se traduit parfois par du mutisme et complique l’évaluation psychiatrique.
537
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: le refus de collaborer peut dénoter quelles émotions?

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
538
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester l’émotion suivante? - COLÈRE

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
539
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester l’émotion suivante? - DÉPRIME

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
540
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester l’émotion suivante? - PASSIF-AGRESSIF

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
541
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester l’émotion suivante? - DÉPENDANT

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
542
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester l’émotion suivante? - NARCISSISME

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
543
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: comment peut se manifester la caractéristique suivante ? - TP

A
  • Le refus de collaborer ne dénote pas nécessairement de la méfiance :
    • En colère → peur d’exploser
    • Déprimé → refuse de partager l’intérêt du médecin pour sa situation
    • Passif-agressif → remettre entre les mains du médecin la responsabilité de trouver une solution
    • Dépendant → se sentir réconforté de voir un médecin s’efforcer
    • Narcissique → peut se valoriser devant l’échec thérapeutique
    • TP → immaturité ou opposition par du mutisme
544
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: qu’est-ce qui peut entraver la collaboration du patient?

A
  • Une pathologie psychiatrique ou physique qui affecte l’état de conscience, le jugement, le processus et la structure de la pensée, le langage, les fonctions cognitives ou la motricité peut entraver la collaboration du patient.
  • La formulation des questions et les interventions doivent viser l’établissement d’une communication dans laquelle le patient ne sent pas son intégrité menacée.
545
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence
- Attitude du patient: quelle devrait être l’approche des intervenants?

A
  • Une pathologie psychiatrique ou physique qui affecte l’état de conscience, le jugement, le processus et la structure de la pensée, le langage, les fonctions cognitives ou la motricité peut entraver la collaboration du patient.
  • La formulation des questions et les interventions doivent viser l’établissement d’une communication dans laquelle le patient ne sent pas son intégrité menacée.
546
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - reformuler la phrase suivante afin qu’elle soit moins provocante:
- Pourquoi avez-vous été amené ici contre votre gré ?

A

Vous semblez avoir été amené ici contre votre gré et on ne vous a pas laissé la chance de vous exprimer…

547
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - reformuler la phrase suivante afin qu’elle soit moins provocante:
- Pourquoi ces gens veulent-ils que vous rencontriez un psychiatre ?

A

Vous ne semblez pas d’accord avec ces gens qui vous ont amené, vous devez avoir vos raisons…

548
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - reformuler la phrase suivante afin qu’elle soit moins provocante:
- Si vous ne m’en dites pas plus, je devrai vous garder.

A

Quand je ne sais pas, je trouve difficile de prendre une décision, alors je dois attendre.

549
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - quoi faire si la barrière de communication ne peut PAS être franchie?

A
  • Intervention en situation d’urgence : lorsque la barrière de la communication ne peut être franchie, il est possible d’aller rechercher l’information par les tiers, l’observation, l’examen physique afin de déterminer les mesures thérapeutiques à prendre.
  • Il est préférable de rencontrer le tiers en compagnie du patient.
  • Si on perçoit un risque suicidaire ou pour autrui, il convient de garder le patient à l’hôpital afin de clarifier les informations, en accord ou contre son gré (garde préventive).
550
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - dans quel contexte rencontrer les tiers?

A
  • Intervention en situation d’urgence : lorsque la barrière de la communication ne peut être franchie, il est possible d’aller rechercher l’information par les tiers, l’observation, l’examen physique afin de déterminer les mesures thérapeutiques à prendre.
  • Il est préférable de rencontrer le tiers en compagnie du patient.
  • Si on perçoit un risque suicidaire ou pour autrui, il convient de garder le patient à l’hôpital afin de clarifier les informations, en accord ou contre son gré (garde préventive).
551
Q

Violence: Intervention en situation d’urgence - quoi faire si on perçoit un risque suicidaire ou pour autrui?

A
  • Intervention en situation d’urgence : lorsque la barrière de la communication ne peut être franchie, il est possible d’aller rechercher l’information par les tiers, l’observation, l’examen physique afin de déterminer les mesures thérapeutiques à prendre.
  • Il est préférable de rencontrer le tiers en compagnie du patient.
  • Si on perçoit un risque suicidaire ou pour autrui, il convient de garder le patient à l’hôpital afin de clarifier les informations, en accord ou contre son gré (garde préventive).
552
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence

A
  • Au Québec, des mesures d’exception dans le but d’assurer la sécurité du patient et d’autrui sont encadrées par le Code civil du Québec et la Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes
553
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Lois régissant la sécurité

A
  • Au Québec, des mesures d’exception dans le but d’assurer la sécurité du patient et d’autrui sont encadrées par le Code civil du Québec et la Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes
554
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Lois régissant la sécurité - objectifs de ces lois?

A
  • Au Québec, des mesures d’exception dans le but d’assurer la sécurité du patient et d’autrui sont encadrées par le Code civil du Québec et la Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes
555
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Lois régissant la sécurité
- quels sont les codes de loi régissant la sécurité des patients?

A
  • Au Québec, des mesures d’exception dans le but d’assurer la sécurité du patient et d’autrui sont encadrées par le Code civil du Québec et la Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes
556
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Différents types de gardes

A
  1. Garde préventive
  2. Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique
  3. Garde en établissement
  4. Mesures urgentes sans consentement
  5. Requête d’autorisation de soins
557
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE

A
  • Garde préventive : la LPPEM prévoit que tout médecin pratiquant dans un établissement désigné peut garder un patient contre son gré pour une durée maximale de 72h s’il croit que son état mental présente un danger grave et immédiat pour lui-même ou pour autrui.
558
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- conditions où elle peut être utilisée

A
  • Garde préventive : la LPPEM prévoit que tout médecin pratiquant dans un établissement désigné peut garder un patient contre son gré pour une durée maximale de 72h s’il croit que son état mental présente un danger grave et immédiat pour lui-même ou pour autrui.
559
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- durée de la garde

A
  • Garde préventive : la LPPEM prévoit que tout médecin pratiquant dans un établissement désigné peut garder un patient contre son gré pour une durée maximale de 72h s’il croit que son état mental présente un danger grave et immédiat pour lui-même ou pour autrui.
560
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- étapes pour qu’un médecin applique la garde PRÉVENTIVE

A
  • Il remplit le formulaire prévu à cet effet et l’achemine au directeur des services professionnels.
  • Il doit démontrer que tous les éléments graves et immédiats sont présents :
    • o Altération de l’état mental
    • o Danger grave de suicide, de violence ou de détérioration de sa condition physique (ex : DB insulinodépendant refuse ses injections pour cause délirante).
    • o Un danger immédiat (prochaines heures/jours)
    • o Risque imminent de passage à l’acte
  • Elle dure 72h (ni plus ni moins) et doit la lever en tout temps s’il constate que la dangerosité grave et immédiate est résolue. À l’issue des 72h le patient doit être libéré (à moins qu’une démarche légale soit active)
  • Pendant ces 72h, si le patient consent, 2 psychiatres doivent procéder à une évaluation.
561
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- le médecin doit démontrer quels éléments?

A
  • Il remplit le formulaire prévu à cet effet et l’achemine au directeur des services professionnels.
  • Il doit démontrer que tous les éléments graves et immédiats sont présents :
    • o Altération de l’état mental
    • o Danger grave de suicide, de violence ou de détérioration de sa condition physique (ex : DB insulinodépendant refuse ses injections pour cause délirante).
    • o Un danger immédiat (prochaines heures/jours)
    • o Risque imminent de passage à l’acte
  • Elle dure 72h (ni plus ni moins) et doit la lever en tout temps s’il constate que la dangerosité grave et immédiate est résolue. À l’issue des 72h le patient doit être libéré (à moins qu’une démarche légale soit active)
  • Pendant ces 72h, si le patient consent, 2 psychiatres doivent procéder à une évaluation.
562
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- durée de la garde préventive + conditions où la garde peut être levée

A
  • Il remplit le formulaire prévu à cet effet et l’achemine au directeur des services professionnels.
  • Il doit démontrer que tous les éléments graves et immédiats sont présents :
    • o Altération de l’état mental
    • o Danger grave de suicide, de violence ou de détérioration de sa condition physique (ex : DB insulinodépendant refuse ses injections pour cause délirante).
    • o Un danger immédiat (prochaines heures/jours)
    • o Risque imminent de passage à l’acte
  • Elle dure 72h (ni plus ni moins) et doit la lever en tout temps s’il constate que la dangerosité grave et immédiate est résolue. À l’issue des 72h le patient doit être libéré (à moins qu’une démarche légale soit active)
  • Pendant ces 72h, si le patient consent, 2 psychiatres doivent procéder à une évaluation.
563
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PRÉVENTIVE
- que se passe-t-il dans ces 72h?

A
  • Il remplit le formulaire prévu à cet effet et l’achemine au directeur des services professionnels.
  • Il doit démontrer que tous les éléments graves et immédiats sont présents :
    • o Altération de l’état mental
    • o Danger grave de suicide, de violence ou de détérioration de sa condition physique (ex : DB insulinodépendant refuse ses injections pour cause délirante).
    • o Un danger immédiat (prochaines heures/jours)
    • o Risque imminent de passage à l’acte
  • Elle dure 72h (ni plus ni moins) et doit la lever en tout temps s’il constate que la dangerosité grave et immédiate est résolue. À l’issue des 72h le patient doit être libéré (à moins qu’une démarche légale soit active)
  • Pendant ces 72h, si le patient consent, 2 psychiatres doivent procéder à une évaluation.
564
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
565
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- qu’est-ce qu’une garde PROVISOIRE?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
566
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- sous quelles conditions le juge peut-il accepter de garder un patient contre son gré?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
    • Le juge doit avoir un motif sérieux de croire que la personne représente un danger
    • Suivant une ordonnance de garde provisoire suivant une garde préventive, les 2 psychiatres ont 48h pour compléter leurs évaluations
    • La LPPEM permet que cette requête soit demandée pour un patient en externe
    • Toute personne proche du patient peut s’inquiéter de l’état mental d’un individu et de la dangerosité ; des organismes communautaires comme les CLSC peuvent guider les proches pour les démarches
    • La LPPEM permet aux policiers d’amener une personne à l’urgence contre son gré, sans l’accord d’un tribunal, si elle représente une dangerosité.
567
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- qui doit faire l’évaluation? dans quel laps de temps?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
    • Le juge doit avoir un motif sérieux de croire que la personne représente un danger
    • Suivant une ordonnance de garde provisoire suivant une garde préventive, les 2 psychiatres ont 48h pour compléter leurs évaluations
    • La LPPEM permet que cette requête soit demandée pour un patient en externe
    • Toute personne proche du patient peut s’inquiéter de l’état mental d’un individu et de la dangerosité ; des organismes communautaires comme les CLSC peuvent guider les proches pour les démarches
    • La LPPEM permet aux policiers d’amener une personne à l’urgence contre son gré, sans l’accord d’un tribunal, si elle représente une dangerosité.
568
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- Quels patients peuvent être affectés par cette garde?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
    • Le juge doit avoir un motif sérieux de croire que la personne représente un danger
    • Suivant une ordonnance de garde provisoire suivant une garde préventive, les 2 psychiatres ont 48h pour compléter leurs évaluations
    • La LPPEM permet que cette requête soit demandée pour un patient en externe
    • Toute personne proche du patient peut s’inquiéter de l’état mental d’un individu et de la dangerosité ; des organismes communautaires comme les CLSC peuvent guider les proches pour les démarches
    • La LPPEM permet aux policiers d’amener une personne à l’urgence contre son gré, sans l’accord d’un tribunal, si elle représente une dangerosité.
569
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- quelles sont les démarches pour des proches qui s’inquitètent d’un patient en externe?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
    • Le juge doit avoir un motif sérieux de croire que la personne représente un danger
    • Suivant une ordonnance de garde provisoire suivant une garde préventive, les 2 psychiatres ont 48h pour compléter leurs évaluations
    • La LPPEM permet que cette requête soit demandée pour un patient en externe
    • Toute personne proche du patient peut s’inquiéter de l’état mental d’un individu et de la dangerosité ; des organismes communautaires comme les CLSC peuvent guider les proches pour les démarches
    • La LPPEM permet aux policiers d’amener une personne à l’urgence contre son gré, sans l’accord d’un tribunal, si elle représente une dangerosité.
570
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde PROVISOIRE
- que permet la LLPEM aux policiers?

A
  • Garde provisoire en vue d’une évaluation psychiatrique : si le patient en garde préventive pour 72h refuse de collaborer avec les psychiatres, l’établissement doit, à l’intérieur du délai de 72h, entreprendre les démarches pour qu’une garde provisoire soit prononcée par le juge afin que le patient soit soumis à une évaluation psychiatrique contre son gré.
    • Le juge doit avoir un motif sérieux de croire que la personne représente un danger
    • Suivant une ordonnance de garde provisoire suivant une garde préventive, les 2 psychiatres ont 48h pour compléter leurs évaluations
    • La LPPEM permet que cette requête soit demandée pour un patient en externe
    • Toute personne proche du patient peut s’inquiéter de l’état mental d’un individu et de la dangerosité ; des organismes communautaires comme les CLSC peuvent guider les proches pour les démarches
    • La LPPEM permet aux policiers d’amener une personne à l’urgence contre son gré, sans l’accord d’un tribunal, si elle représente une dangerosité.
571
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT

A
  • Garde en établissement : à la suite d’une ordonnance de garde provisoire en vue de procéder à une évaluation psychiatrique, la personne doit subir un premier examen psychiatrique dans les 24h suivant sa prise en charge à l’urgence.
  • Si ce premier examen conclut la nécessité de placer le patient sous garde en établissement, il doit subir un second examen, au plus tard dans les 96h suivant sa prise en charge par l’établissement (donc 24h après les 24h de la consultation après les 72h de la garde préventive).
572
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- c’est quoi?

A
  • Garde en établissement : à la suite d’une ordonnance de garde provisoire en vue de procéder à une évaluation psychiatrique, la personne doit subir un premier examen psychiatrique dans les 24h suivant sa prise en charge à l’urgence.
  • Si ce premier examen conclut la nécessité de placer le patient sous garde en établissement, il doit subir un second examen, au plus tard dans les 96h suivant sa prise en charge par l’établissement (donc 24h après les 24h de la consultation après les 72h de la garde préventive).
573
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- quelles sont les étapes suite à la garde en établissement?

A
  • Garde en établissement : à la suite d’une ordonnance de garde provisoire en vue de procéder à une évaluation psychiatrique, la personne doit subir un premier examen psychiatrique dans les 24h suivant sa prise en charge à l’urgence.
  • Si ce premier examen conclut la nécessité de placer le patient sous garde en établissement, il doit subir un second examen, au plus tard dans les 96h suivant sa prise en charge par l’établissement (donc 24h après les 24h de la consultation après les 72h de la garde préventive).
  • Les deux résultats sont soumis au juge qui décide si le patient doit être gardé en établissement contre son gré ou libéré.
574
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- qui décide si le patient sera gardé contre son gré ou non?

A
  • Garde en établissement : à la suite d’une ordonnance de garde provisoire en vue de procéder à une évaluation psychiatrique, la personne doit subir un premier examen psychiatrique dans les 24h suivant sa prise en charge à l’urgence.
  • Si ce premier examen conclut la nécessité de placer le patient sous garde en établissement, il doit subir un second examen, au plus tard dans les 96h suivant sa prise en charge par l’établissement (donc 24h après les 24h de la consultation après les 72h de la garde préventive).
  • Les deux résultats sont soumis au juge qui décide si le patient doit être gardé en établissement contre son gré ou libéré.
575
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- quand doit se dérouler cette garde?
- quelle est la durée de cette garde?

A
  • Les deux résultats sont soumis au juge qui décide si le patient doit être gardé en établissement contre son gré ou libéré.
  • La garde en établissement n’est pas nécessairement immédiate après le mot du juge
  • La garde en établissement est d’une durée déterminée par le juge, habituellement entre 21-30 jours.
576
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- à quel moment et pour quelles raisons la garde peut-elle être levée?

A
  • La garde peut être levée en tout temps si le psychiatre juge que la dangerosité est finie
  • Le patient peut demander en tout temps une réévaluation.
  • Si la garde est de plus de 21 jours, le patient doit passer des examens périodiquement
  • La garde provisoire permet la sécurité du patient, mais non d’entreprendre des traitements contre son gré (sauf en situation d’urgence)
577
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- qui peut demander une réévaluation?

A
  • La garde peut être levée en tout temps si le psychiatre juge que la dangerosité est finie
  • Le patient peut demander en tout temps une réévaluation.
  • Si la garde est de plus de 21 jours, le patient doit passer des examens périodiquement
  • La garde provisoire permet la sécurité du patient, mais non d’entreprendre des traitements contre son gré (sauf en situation d’urgence)
578
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- dans quel contexte la patient doit-il subir des examens périodiquement?

A
  • La garde peut être levée en tout temps si le psychiatre juge que la dangerosité est finie
  • Le patient peut demander en tout temps une réévaluation.
  • Si la garde est de plus de 21 jours, le patient doit passer des examens périodiquement
  • La garde provisoire permet la sécurité du patient, mais non d’entreprendre des traitements contre son gré (sauf en situation d’urgence)
579
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Garde en ÉTABLISSEMENT
- qu’est-il possible de faire pendant la garde provisoire?

A
  • La garde peut être levée en tout temps si le psychiatre juge que la dangerosité est finie
  • Le patient peut demander en tout temps une réévaluation.
  • Si la garde est de plus de 21 jours, le patient doit passer des examens périodiquement
  • La garde provisoire permet la sécurité du patient, mais non d’entreprendre des traitements contre son gré (sauf en situation d’urgence)
580
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Mesures urgentes sans consentement

A
  • Mesures urgentes sans consentement : dans un contexte d’inaptitude et dans le cas d’un refus du patient à subir des examens, dans le but d’évaluer les sphères biopsychosociales il est possible de procéder à des examens de base sans son consentement s’ils sont urgents et afin de lui sauver la vie ou de préserver son intégrité. (par exemple un patient ivre qui refuse de passer un TACO pour une commotion peut être contraint de le faire sous sédation).
    • Dans cette situation, il est toujours préférable, mais non obligatoire, de demander le consentement d’un proche
    • Des traitements d’urgence peuvent être donnés sans le consentement du patient si la condition menace sa vie et que son consentement ne peut être obtenu à temps.
581
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Mesures urgentes sans consentement
- dans quelles conditions est-il acceptable de faire des examens sans consentement?

A
  • Mesures urgentes sans consentement : dans un contexte d’inaptitude et dans le cas d’un refus du patient à subir des examens, dans le but d’évaluer les sphères biopsychosociales il est possible de procéder à des examens de base sans son consentement s’ils sont urgents et afin de lui sauver la vie ou de préserver son intégrité. (par exemple un patient ivre qui refuse de passer un TACO pour une commotion peut être contraint de le faire sous sédation).
    • Dans cette situation, il est toujours préférable, mais non obligatoire, de demander le consentement d’un proche
    • Des traitements d’urgence peuvent être donnés sans le consentement du patient si la condition menace sa vie et que son consentement ne peut être obtenu à temps.
582
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Mesures urgentes sans consentement
- faut-il demander d’un proche?

A
  • Mesures urgentes sans consentement : dans un contexte d’inaptitude et dans le cas d’un refus du patient à subir des examens, dans le but d’évaluer les sphères biopsychosociales il est possible de procéder à des examens de base sans son consentement s’ils sont urgents et afin de lui sauver la vie ou de préserver son intégrité. (par exemple un patient ivre qui refuse de passer un TACO pour une commotion peut être contraint de le faire sous sédation).
    • Dans cette situation, il est toujours préférable, mais non obligatoire, de demander le consentement d’un proche
    • Des traitements d’urgence peuvent être donnés sans le consentement du patient si la condition menace sa vie et que son consentement ne peut être obtenu à temps.
583
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Mesures urgentes sans consentement
- dans quel contexte est-il possible de faire des traitements sans consentement?

A
  • Mesures urgentes sans consentement : dans un contexte d’inaptitude et dans le cas d’un refus du patient à subir des examens, dans le but d’évaluer les sphères biopsychosociales il est possible de procéder à des examens de base sans son consentement s’ils sont urgents et afin de lui sauver la vie ou de préserver son intégrité. (par exemple un patient ivre qui refuse de passer un TACO pour une commotion peut être contraint de le faire sous sédation).
    • Dans cette situation, il est toujours préférable, mais non obligatoire, de demander le consentement d’un proche
    • Des traitements d’urgence peuvent être donnés sans le consentement du patient si la condition menace sa vie et que son consentement ne peut être obtenu à temps.
584
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Requête d’autorisation de soins

A
  • Requête d’autorisation de soins : il est recommandé de lire attentivement le libellé du jugement afin d’en connaître les détails et de s’assurer de la conformité des interventions prévues.
  • Ces jugements obligent habituellement le patient à se soumettre au traitement recommandé, aux examens de laboratoire ainsi qu’à des conditions d’hébergement parfois.
585
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Requête d’autorisation de soins
- qu’est-il recommandé de faire?

A
  • Requête d’autorisation de soins : il est recommandé de lire attentivement le libellé du jugement afin d’en connaître les détails et de s’assurer de la conformité des interventions prévues.
  • Ces jugements obligent habituellement le patient à se soumettre au traitement recommandé, aux examens de laboratoire ainsi qu’à des conditions d’hébergement parfois.
586
Q

Aspects médicolégaux pertinents aux situations d’urgence: Requête d’autorisation de soins
- qu’est-ce que ces jugements obligent?

A
  • Requête d’autorisation de soins : il est recommandé de lire attentivement le libellé du jugement afin d’en connaître les détails et de s’assurer de la conformité des interventions prévues.
  • Ces jugements obligent habituellement le patient à se soumettre au traitement recommandé, aux examens de laboratoire ainsi qu’à des conditions d’hébergement parfois.
587
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étape du métabolisme pharmacologique

A
  • Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.
    -Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%. Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.
  • Métabolisme, demi-vie, excrétion : La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
588
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étape du métabolisme pharmacologique
- ABSOPRTION

A

Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.

  • L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture (sauf exception)
    • o L’Asépine est absorbée par la muqueuse buccale et le patient doit donc éviter de boire ou de manger.
    • o Autres exceptions (page 1461)
  • La plupart des antipsychotiques PO ont un effet en 1-3h
589
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étape du métabolisme pharmacologique
- ABSOPRTION: quels sont les impacts d’un antipsychotique avec degré d’absorption élevé?

A

Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.

  • L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture (sauf exception)
    • o L’Asépine est absorbée par la muqueuse buccale et le patient doit donc éviter de boire ou de manger.
    • o Autres exceptions (page 1461)
  • La plupart des antipsychotiques PO ont un effet en 1-3h
590
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étape du métabolisme pharmacologique
- ABSOPRTION: impacts de la nourriture sur l’absorption?

A

Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.

  • L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture (sauf exception)
    • o L’Asépine est absorbée par la muqueuse buccale et le patient doit donc éviter de boire ou de manger.
    • o Autres exceptions (page 1461)
  • La plupart des antipsychotiques PO ont un effet en 1-3h
591
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étape du métabolisme pharmacologique
- ABSOPRTION: l’absorption de quel antipsychotique est influencée par la nourriture?

A

Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.

  • L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture (sauf exception)
    • o L’Asépine est absorbée par la muqueuse buccale et le patient doit donc éviter de boire ou de manger.
    • o Autres exceptions (page 1461)
  • La plupart des antipsychotiques PO ont un effet en 1-3h
592
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- ABSOPRTION: les antipsychotiques ont un effet combien de temps après l’ingestion / la prise?

A

Absorption : en règle générale, plus la vitesse et le degré d’absorption d’un antipsychotique sont grands, plus la molécule a un pic plasmatique élevé, ce qui entraîne des effets thérapeutiques rapides, mais aussi des risques d’induire des effets indésirables plus marqués.

  • L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture (sauf exception)
    • o L’Asépine est absorbée par la muqueuse buccale et le patient doit donc éviter de boire ou de manger.
    • o Autres exceptions (page 1461)
  • La plupart des antipsychotiques PO ont un effet en 1-3h
593
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- DISTRIBUTION

A

Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%.
Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.

  • La grande liposolubilité des antipsychotiques assure leur distribution dans le cerveau et la redistribution vers les tissus adipeux périphériques.
594
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- DISTRIBUTION: comment les antipsychotiques sont-ils distribués?

A

Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%.

Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.

  • La grande liposolubilité des antipsychotiques assure leur distribution dans le cerveau et la redistribution vers les tissus adipeux périphériques.
595
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- DISTRIBUTION: quelle portion peut avoir un effet?

A

Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%.

Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.

  • La grande liposolubilité des antipsychotiques assure leur distribution dans le cerveau et la redistribution vers les tissus adipeux périphériques.
596
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- DISTRIBUTION: quelle est la fraction liée vs libre?

A

Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%.

Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.

  • La grande liposolubilité des antipsychotiques assure leur distribution dans le cerveau et la redistribution vers les tissus adipeux périphériques.
597
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- DISTRIBUTION: quelle caractéristique des antipsychotiques est essentielle à la distribution?

A

Distribution : tous les antipsychotiques (sauf la palipéridone) se lient aux protéines plasmatiques à un degré variant de 90 à 98%.

Uniquement la portion libre peut pénétrer la BHE et avoir un effet au cerveau.

  • La grande liposolubilité des antipsychotiques assure leur distribution dans le cerveau et la redistribution vers les tissus adipeux périphériques.
598
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
599
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION: à quel endroit sont métabolisés les AP?

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
600
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION: 1ère métabolisation / excrétion

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
601
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION: 2ème métabolisation / excrétion

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
602
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION: 1ère étape - quel cytochrome?

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
603
Q

Antipsychotique administré par voie orale: Étapes du métabolisme pharmacologique
- MÉTABOLISME, DEMI-VIE ET EXCRÉTION: effets des métabolites

A
  • La grande majorité des antipsychotiques sont métabolisés par le système hépatique
    • o Une première métabolisation via le cyp-450 → métabolite hydrophile → excrétion rénale
    • o Une seconde métabolisation lors de la liaison avec l’acide glucuronique → excrétion biliaire
  • Certains métabolites n’ont pas d’effets thérapeutiques, mais participent aux effets indésirables
604
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Types - Nommez-les

A

On y distingue deux types d’antipsychotiques par voie IM

  • Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.
  • Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.
605
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Quelle est l’utilisation des antipsychothiques à courte vs longue action?

A

On y distingue deux types d’antipsychotiques par voie IM

  • Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.
  • Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.
606
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Courte action

A

Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.

  • La durée de leur efficacité est limitée dans le temps et nécessite dans les 24-48h la prise PO pour maintenir l’effet.
  • Il est parfois recommandé d’utiliser un anticholinergique pour prévenir l’apparition de symptômes parkinsoniens.
607
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Courte action
- son utilité

A

Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.

  • La durée de leur efficacité est limitée dans le temps et nécessite dans les 24-48h la prise PO pour maintenir l’effet.
  • Il est parfois recommandé d’utiliser un anticholinergique pour prévenir l’apparition de symptômes parkinsoniens.
608
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Courte action
- qu’est-ce qui doit être fait pour maintenir leur effet?

A

Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.

  • La durée de leur efficacité est limitée dans le temps et nécessite dans les 24-48h la prise PO pour maintenir l’effet.
  • Il est parfois recommandé d’utiliser un anticholinergique pour prévenir l’apparition de symptômes parkinsoniens.
609
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Courte action
- ce qui peut aider pour les E2

A

Les antipsychotiques à courte durée d’action sont habituellement réservés pour les situations exigeant une sédation rapide.

  • La durée de leur efficacité est limitée dans le temps et nécessite dans les 24-48h la prise PO pour maintenir l’effet.
  • Il est parfois recommandé d’utiliser un anticholinergique pour prévenir l’apparition de symptômes parkinsoniens.
610
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Longue action

A

Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.

  • Peuvent être utiles pour les patients avec problèmes gastro-intestinaux
  • L’injection se fait au 2,3 ou 4 semaines selon le type et l’effet thérapeutique maximal est atteint après la 3e ou 4e injection
  • Avant de faire un traitement IM à longue action, il est recommandé d’essayer la même molécule en voie PO afin de tester
611
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Longue action
- son utilité

A

Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.

  • Peuvent être utiles pour les patients avec problèmes gastro-intestinaux
  • L’injection se fait au 2,3 ou 4 semaines selon le type et l’effet thérapeutique maximal est atteint après la 3e ou 4e injection
  • Avant de faire un traitement IM à longue action, il est recommandé d’essayer la même molécule en voie PO afin de tester
612
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Longue action
- avantage côté E2

A

Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.

  • Peuvent être utiles pour les patients avec problèmes gastro-intestinaux
  • L’injection se fait au 2,3 ou 4 semaines selon le type et l’effet thérapeutique maximal est atteint après la 3e ou 4e injection
  • Avant de faire un traitement IM à longue action, il est recommandé d’essayer la même molécule en voie PO afin de tester
613
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Longue action
- à quelle fréquence se fait l’injection?

A

Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.

  • Peuvent être utiles pour les patients avec problèmes gastro-intestinaux
  • L’injection se fait au 2, 3 ou 4 semaines selon le type et l’effet thérapeutique maximal est atteint après la 3e ou 4e injection
  • Avant de faire un traitement IM à longue action, il est recommandé d’essayer la même molécule en voie PO afin de tester
614
Q

Antipsychotiques administrés par voie intramusculaire: Longue action
- quoi faire avant de l’utiliser?

A

Les antipsychotiques à longue durée d’action sont utiles pour les patients dont l’observance pharmacologique est douteuse, mais commencent à être de plus en plus proposés d’emblée.

  • Peuvent être utiles pour les patients avec problèmes gastro-intestinaux
  • L’injection se fait au 2,3 ou 4 semaines selon le type et l’effet thérapeutique maximal est atteint après la 3e ou 4e injection
  • Avant de faire un traitement IM à longue action, il est recommandé d’essayer la même molécule en voie PO afin de tester (puisque s’il y a des E2 ou une mauvaise réponse, on ne peut pas arrêter l’effet de la molécule une fois l’injection effectuée)
615
Q

Antipsychotiques: Mécanisme d’action

A
  • L’ensemble des résultats des études de 1950 à 1960 ont orienté vers le fait que les antipsychotiques agissent directement sur la neurotransmission monoaminergique et plus précisément celle de la dopamine.
  • Les antipsychotiques atténuent l’hyperactivité dopaminergique en agissant comme antagoniste des récepteurs DA2 post-synaptique
616
Q

Antipsychotiques: Que se passe-t-il au niveau du cerveau lors d’une psychose?

A
  • L’innervation dopaminergique des régions corticales et sous-corticales impliquées dans la psychose est issue des neurones dopaminergiques localisés dans le mésencéphale ventral, principalement l’aire tegmentale ventrale et la substance noire.
  • Ces régions sont le cortex frontal et préfrontal, ainsi que le striatum, le thalamus et l’amygdale.
  • Le signal transmis via la DA active deux types de récepteurs : DA1 et DA2.
617
Q

Antipsychotiques: Impacts des antipsychotiques dans la physiopatho de la psychose

A
  • L’innervation dopaminergique des régions corticales et sous-corticales impliquées dans la psychose est issue des neurones dopaminergiques localisés dans le mésencéphale ventral, principalement l’aire tegmentale ventrale et la substance noire.
  • Ces régions sont le cortex frontal et préfrontal, ainsi que le striatum, le thalamus et l’amygdale.
  • Le signal transmis via la DA active deux types de récepteurs : DA1 et DA2.
618
Q

Antipsychotiques: Quelle est la sélectivité des antipsychotiques?

A
  • La sélectivité des antipsychotiques peut varier.
  • À partir d’un blocage de 70% de la DA du faisceau tubéroinfundibulaire, il a une augmentation de la prolactine qui peut entraîner une galactorrhée. (Rappel d’endocrino, la prolactine n’est jamais stimulée, mais constamment inhibée par la dopamine).
  • Il n’existe aucun antipsychotique efficace totalement dépourvu d’activité dopaminergique. Toutefois, les A2G (antipsychotiques de 2e génération) ont un effet antagoniste au niveau sérotoninergique.
619
Q

Antipsychotiques: Conséquences du blocage de la dopamine sur le faisceau tubéroinfundibulaire

A
  • La sélectivité des antipsychotiques peut varier.
  • À partir d’un blocage de 70% de la DA du faisceau tubéroinfundibulaire, il a une augmentation de la prolactine qui peut entraîner une galactorrhée. (Rappel d’endocrino, la prolactine n’est jamais stimulée, mais constamment inhibée par la dopamine).
  • Il n’existe aucun antipsychotique efficace totalement dépourvu d’activité dopaminergique. Toutefois, les A2G (antipsychotiques de 2e génération) ont un effet antagoniste au niveau sérotoninergique.
620
Q

Antipsychotiques: Niveau de blocage des antipsychotiques

A
  • La sélectivité des antipsychotiques peut varier.
  • À partir d’un blocage de 70% de la DA du faisceau tubéroinfundibulaire, il a une augmentation de la prolactine qui peut entraîner une galactorrhée. (Rappel d’endocrino, la prolactine n’est jamais stimulée, mais constamment inhibée par la dopamine).
  • Il n’existe aucun antipsychotique efficace totalement dépourvu d’activité dopaminergique.
  • Toutefois, les A2G (antipsychotiques de 2e génération) ont un effet antagoniste au niveau sérotoninergique.
621
Q

Antipsychotiques: Particularité des antipsychotiques de 2ème génération

A
  • La sélectivité des antipsychotiques peut varier.
  • À partir d’un blocage de 70% de la DA du faisceau tubéroinfundibulaire, il a une augmentation de la prolactine qui peut entraîner une galactorrhée. (Rappel d’endocrino, la prolactine n’est jamais stimulée, mais constamment inhibée par la dopamine).
  • Il n’existe aucun antipsychotique efficace totalement dépourvu d’activité dopaminergique.
  • Toutefois, les A2G (antipsychotiques de 2e génération) ont un effet antagoniste au niveau sérotoninergique.
622
Q

Antipsychotiques: Classification

A
  • Elle est aujourd’hui de nature plus clinique, reflétant davantage le profil d’effets indésirables.
  • Les antipsychotiques atypiques (A2G) provoquent moins d’effet extrapyramidaux et ont une efficacité semblable à ceux typiques (A1G).
  • Les atypiques présentent une plus forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) comparativement à l’affinité dopaminergique, ce qui pourrait expliquer cette baisse d’effets secondaires.
623
Q

Antipsychotiques: Classification
- sur quoi se base-t-elle?

A
  • Elle est aujourd’hui de nature plus clinique, reflétant davantage le profil d’effets indésirables.
  • Les antipsychotiques atypiques (A2G) provoquent moins d’effet extrapyramidaux et ont une efficacité semblable à ceux typiques (A1G).
  • Les atypiques présentent une plus forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) comparativement à l’affinité dopaminergique, ce qui pourrait expliquer cette baisse d’effets secondaires.
624
Q

Antipsychotiques: Classification
- antipsychotiques avec moins d’E2

A
  • Elle est aujourd’hui de nature plus clinique, reflétant davantage le profil d’effets indésirables.
  • Les antipsychotiques atypiques (A2G) provoquent moins d’effet extrapyramidaux et ont une efficacité semblable à ceux typiques (A1G).
  • Les atypiques présentent une plus forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) comparativement à l’affinité dopaminergique, ce qui pourrait expliquer cette baisse d’effets secondaires.
625
Q

Antipsychotiques: Classification
- antipsychotiques avec meilleure efficacité

A
  • Elle est aujourd’hui de nature plus clinique, reflétant davantage le profil d’effets indésirables.
  • Les antipsychotiques atypiques (A2G) provoquent moins d’effet extrapyramidaux et ont une efficacité semblable à ceux typiques (A1G).
  • Les atypiques présentent une plus forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) comparativement à l’affinité dopaminergique, ce qui pourrait expliquer cette baisse d’effets secondaires.
626
Q

Antipsychotiques: Classification
- pourquoi les antipsychotiques atypiques ont-ils moins d’E2?

A
  • Elle est aujourd’hui de nature plus clinique, reflétant davantage le profil d’effets indésirables.
  • Les antipsychotiques atypiques (A2G) provoquent moins d’effet extrapyramidaux et ont une efficacité semblable à ceux typiques (A1G).
  • Les atypiques présentent une plus forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) comparativement à l’affinité dopaminergique, ce qui pourrait expliquer cette baisse d’effets secondaires.
627
Q

Antipsychotiques: Classification
- A1G: Ratio 5HT2A / DA2

A
  • Ratio 5HT2A / DA2: < 1
628
Q

Antipsychotiques: Classification
- A1G: exemple de Rx

A

Halopéridol

629
Q

Antipsychotiques: Classification
- A2G: Ratio 5HT2A / DA2

A
  • Ratio 5HT2A / DA2: > 1
630
Q

Antipsychotiques: Classification
- A2G: exemple de Rx

A

Olanzapine

631
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
632
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription
- indications des antipsychotiques

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
633
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription
- antipsychotiques agissent sur quels sx?

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
634
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription
- pourquoi les patients peuvent-ils refuser de prendre des antipsychotiques?

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
635
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription
- comment les médecins peuvent-ils favoriser l’observance?

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
636
Q

Antipsychotiques: Modalités de prescription
- observance pour les patients schizophrènes

A
  • Étant les seuls médicaments pouvant atténuer l’effet de la psychose, c’est pour cette raison qu’ils sont principalement utilisés.
  • Ils permettent de soulager des symptômes très désorganisant et pénibles d’hallucinations, de délires, d’agitation, etc., qui perturbent l’équilibre habituel des émotions et des pensées.
    • À cause d’un manque d’insight, peu de patients acceptent de prendre ces médicaments pour des pensées qui leur apparaissent comme authentiques.
    • Le médecin a donc avantage à proposer une médication visant à atténuer la souffrance reliée à ces symptômes.
    • L’observance reste malheureusement globalement faible pour les patients schizophrènes.
637
Q

Choix de l’antipsychotique: Il se base sur quoi?

A
  • Choix de l’antipsychotique : trois profils sont à définir avant que le médecin décide du choix de molécules, ce sont le profil du patient, celui de la maladie et celui de la médication.
      1. Profil du patient
      1. Profil de la maladie
      1. Profil de la médication
638
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil du patient

A
  • Profil du patient : évaluation complète du patient et du milieu est nécessaire par le médecin.
  • Il faut documenter les comorbidités, la vulnérabilité aux effets indésirables, l’autocritique du patient, les bénéfices qu’il perçoit.
  • Le réseau de soutien doit également être documenté et constitue un point de départ pour les thérapies psychoéducatives familiales.
639
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil du patient
- il faut évaluer quels éléments?

A
  • Profil du patient : évaluation complète du patient et du milieu est nécessaire par le médecin.
  • Il faut documenter les comorbidités, la vulnérabilité aux effets indésirables, l’autocritique du patient, les bénéfices qu’il perçoit.
  • Le réseau de soutien doit également être documenté et constitue un point de départ pour les thérapies psychoéducatives familiales.
640
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
641
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- différents types de sx: lien entre eux

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
642
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- importance de l’évaluation des différents domaines

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
643
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- efficacité des Rx sur les sx positifs

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
644
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- documentation des sx négatifs

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
645
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- documentation des troubles cognitifs

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
646
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- efficacité des Rx sur les sx cognitifs

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
647
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- quelle classe d’antipsychotiques joue le plus sur les troubles cognitifs?

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
648
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- décrivez les sx affectifs

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
649
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- Sx affectifs: tx pharmaco

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
650
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- éval du fonctionnement social

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
651
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- éval de la qualité de vie

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
652
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- lien entre phase de la maladie et antipsychotique

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
653
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la maladie
- quelle classe de Rx a une meilleure efficacité?

A
  • Profil de la maladie : les différents domaines (symptômes positifs, négatifs, cognitif, fonctionnement, qualité de vie) sont peu reliés les uns aux autres et l’évaluation spécifique pour choisir l’antipsychotique est importante.
    • o Les symptômes positifs sont précisés à l’entrevue. Ils répondent bien à un antipsychotique.
    • o Les symptômes négatifs. Il faut documenter ceux qui sont secondaires à la prise d’un antipsychotique de 1ière génération (A1G) ou la prescription de doses trop élevées.
    • o Les troubles cognitifs peuvent être documentés de manière plus rigoureuse (évaluation en neuropsychologie). Les A2G seraient plus efficaces que les A1G, mais les résultats restent décevants.
    • o Les symptômes affectifs sont souvent présents (75% des patients) et prennent la forme de Sx dépressifs, d’angoisse. La prescription d’antipsychotique est habituellement indiquée, mais les modalités de dosage et de choix de molécule varient.
    • o Le fonctionnement social peut être évalué avec des échelles facilement
    • o L’évaluation de la qualité de vie doit être faite, et des antipsychotiques peuvent avoir un impact.
    • o La phase de la maladie influence le choix de l’antipsychotique. Globalement on retient que les A2G sont le plus souvent de meilleures efficacités.
654
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la médication

A
  • Profil de la médication : L’efficacité à court terme est à considérer.
  • Si aucun bénéfice n’est noté après 2 semaines de pharmacothérapie, il est peu probable que la molécule utilisée ait un effet à 4 semaines.
  • Il est tout de même recommandé d’attendre 1-2 mois avant de changer de molécule à moins d’une intolérance importante.
655
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la médication
- quel élément est important à considérer?

A
  • Profil de la médication : L’efficacité à court terme est à considérer.
  • Si aucun bénéfice n’est noté après 2 semaines de pharmacothérapie, il est peu probable que la molécule utilisée ait un effet à 4 semaines.
  • Il est tout de même recommandé d’attendre 1-2 mois avant de changer de molécule à moins d’une intolérance importante.
656
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la médication
- après combien de temps on considère que le médicament a peu de chances de faire effet?

A
  • Profil de la médication : L’efficacité à court terme est à considérer.
  • Si aucun bénéfice n’est noté après 2 semaines de pharmacothérapie, il est peu probable que la molécule utilisée ait un effet à 4 semaines.
  • Il est tout de même recommandé d’attendre 1-2 mois avant de changer de molécule à moins d’une intolérance importante.
657
Q

Choix de l’antipsychotique: Profil de la médication
- après combien de temps on change de molécule?

A
  • Profil de la médication : L’efficacité à court terme est à considérer.
  • Si aucun bénéfice n’est noté après 2 semaines de pharmacothérapie, il est peu probable que la molécule utilisée ait un effet à 4 semaines.
  • Il est tout de même recommandé d’attendre 1-2 mois avant de changer de molécule à moins d’une intolérance importante.
658
Q

Début de traitement

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace. La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
659
Q

Début de traitement: quoi faire avant de débuter le tx?

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace. La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
660
Q

Début de traitement
- dose de Rx

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il est recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace. La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
661
Q

Début de traitement
- importance du suivi

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace.
  • La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
662
Q

Début de traitement
- durée recommandée des essais thérapeutiques

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace.
  • La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
663
Q

Début de traitement
- principe du début du tx

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace.
  • La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
664
Q

Début de traitement
- posologie

A
  • Il faut procéder à un bilan bien spécifique avant d’entreprendre une médication antipsychotique
  • Il recommandé d’utiliser des doses faibles lors d’un premier épisode psychotique
  • Un suivi attentif des effets bénéfiques et secondaires permet de déterminer la dose minimale efficace.
  • La durée recommandée des essais est de minimum 2 semaines et idéalement 6 semaines pour une réponse optimale.
  • Suit le principe du start slow, go slow
  • Prescription quotidienne HS est utile, particulièrement pour ceux associés à de la somnolence ou de la fatigue (ce sont des E2 parmi les plus fréquents).
665
Q

Traitement d’entretien

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute. Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
666
Q

Traitement d’entretien: son objectif

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
667
Q

Traitement d’entretien: principal facteur prédictif de rechute

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
668
Q

Traitement d’entretien: Rx diminuant le risque de rechute

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
669
Q

Traitement d’entretien: gestion de la médication une fois le tx instauré

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
670
Q

Traitement d’entretien: gestion de la médication
- suite au 1er épisode

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
671
Q

Traitement d’entretien
- suite au 2ème épisode

A
  • Traitement d’entretien : vise d’abord le contrôle soutenu des symptômes et la diminution du risque de rechute.
  • Il est connu que l’arrêt de la médication constitue le principal (et le seul selon une étude) facteur prédictif de rechute.
  • Il est à noter que les A2G semblent plus efficaces pour prévenir les rechutes.
  • Divers scénarios sont possibles :
    • À la suite du premier épisode, une diminution progressive est possible de la médication
    • À la suite du deuxième épisode, il faut considérer de maintenir la médication indéfiniment ou un arrêt après 5 ans
672
Q

Traitement des cas réfractaires

A

Traitement des cas réfractaires : section ardue et complexe, aller lire 1470 au besoin

673
Q

Traitement: Quelques mesures particulières

A
  • Quelques mesures particulières : il n’est pas recommandé d’utiliser des antipsychotiques durant la grossesse, mais l’allaitement est autorisé (mais non encouragé).
  • Il est conseillé de réduire les doses et d’utiliser la clozapine pour le traitement de la psychose chez les parkinsoniens.
674
Q

Traitement: Quelques mesures particulières
- grossesse
- allaitement

A
  • Quelques mesures particulières : il n’est pas recommandé d’utiliser des antipsychotiques durant la grossesse, mais l’allaitement est autorisé (mais non encouragé).
  • Il est conseillé de réduire les doses et d’utiliser la clozapine pour le traitement de la psychose chez les parkinsoniens.
675
Q

Traitement: Quelques mesures particulières
- tx psychose chez les parkinsoniens

A
  • Quelques mesures particulières : il n’est pas recommandé d’utiliser des antipsychotiques durant la grossesse, mais l’allaitement est autorisé (mais non encouragé).
  • Il est conseillé de réduire les doses et d’utiliser la clozapine pour le traitement de la psychose chez les parkinsoniens.
676
Q

Antipsychotiques: Indications et Contre-indications

A
677
Q

Antipsychotiques: Indications

A
  • Traitement des divers troubles psychotiques
    • Schizophrénie
    • Trouble délirant
    • Manie
    • Dépression bipolaire ou psychotique
    • Psychose due à une affection médicale
    • Psychose due à une substance
    • Délirium
  • Possible indication comme adjuvant et pour les cas réfractaires des troubles suivants :
    • TSPT
    • TOC
    • TAG
    • Insomnie
    • TP et impulsivité
    • Syndrome de Gilles de la Tourette
    • TSA
    • Agitation dans la démence
678
Q

Antipsychotiques: Indications
- TROUBLES PSYCHOTIQUES

A
  • Traitement des divers troubles psychotiques
    • Schizophrénie
    • Trouble délirant
    • Manie
    • Dépression bipolaire ou psychotique
    • Psychose due à une affection médicale
    • Psychose due à une substance
    • Délirium
  • Possible indication comme adjuvant et pour les cas réfractaires des troubles suivants :
    • TSPT
    • TOC
    • TAG
    • Insomnie
    • TP et impulsivité
    • Syndrome de Gilles de la Tourette
    • TSA
    • Agitation dans la démence
679
Q

Antipsychotiques: Indications
- COMME ADJUVANT

A
  • Traitement des divers troubles psychotiques
    • Schizophrénie
    • Trouble délirant
    • Manie
    • Dépression bipolaire ou psychotique
    • Psychose due à une affection médicale
    • Psychose due à une substance
    • Délirium
  • Possible indication comme adjuvant et pour les cas réfractaires des troubles suivants :
    • TSPT
    • TOC
    • TAG
    • Insomnie
    • TP et impulsivité
    • Syndrome de Gilles de la Tourette
    • TSA
    • Agitation dans la démence
680
Q

Antipsychotiques: Contre-indications

A
  • Aucune contre-indication absolue
  • Surveillance accrue si condition neurologique avec troubles moteurs.
681
Q

Antipsychotiques: Contre-indications
- CI ABSOLUES

A
  • Aucune contre-indication absolue
  • Surveillance accrue si condition neurologique avec troubles moteurs.
682
Q

Antipsychotiques: Contre-indications
- INDICATIONS DE SURVEILLER

A
  • Aucune contre-indication absolue
  • Surveillance accrue si condition neurologique avec troubles moteurs.
683
Q

Antipsychotiques: Cause fréquente d’abandon

A
  • Rappelons que bien qu’ils soient très efficaces, l’observance est très faible, et ce particulièrement chez les schizophrènes pour les traitements à base d’antipsychotiques.
  • L’abandon est souvent secondaire aux effets indésirables et il faut savoir les reconnaître pour prévenir cet abandon.
684
Q

Antipsychotiques: Molécule meilleure qu’une autre?

A

Il n’y a pas une molécule meilleure qu’une autre pour son efficacité sur la psychose, il faut guider le choix de molécule selon le profil d’effets secondaires ainsi que leur posologie.

685
Q

Antipsychotiques: Élément très important dans le choix de molécule

A

Il n’y a pas une molécule meilleure qu’une autre pour son efficacité sur la psychose, il faut guider le choix de molécule selon le profil d’effets secondaires ainsi que leur posologie.

686
Q

Antipsychotiques: Physiopatho des E2

A
  • Les antipsychotiques, toutes sortes confondues (A1G, A2G, A3G) ont une affinité pour les récepteurs dopaminergiques et en tirent leur efficacité thérapeutique.
  • Toutefois, certains ont des affinités pour d’autres molécules (que ce soit la molécule active ou son métabolite) qui peuvent engendrer des effets bénéfiques ou indésirables.
  • On note des affinités pour les récepteurs sérotoninergique, cholinergiques, adrénergiques et histaminiques où (sauf quelques exceptions) l’effet sera celui d’un antagoniste.
687
Q

Antipsychotiques: Physiopatho des E2
- molécules ont une affinité pour quels récepteurs?

A
  • Les antipsychotiques, toutes sortes confondues (A1G, A2G, A3G) ont une affinité pour les récepteurs dopaminergiques et en tirent leur efficacité thérapeutique.
  • Toutefois, certains ont des affinités pour d’autres molécules (que ce soit la molécule active ou son métabolite) qui peuvent engendrer des effets bénéfiques ou indésirables.
  • On note des affinités pour les récepteurs sérotoninergique, cholinergiques, adrénergiques et histaminiques où (sauf quelques exceptions) l’effet sera celui d’un antagoniste.
688
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- nommez-les

A
  1. Symptômes extrapyramidaux
  2. Parkinsonisme
  3. Dystonie
  4. Akathisie
  5. Dyskinésie tardive
  6. Sédation et sommeil
  7. Dysfonction sexuelle
  8. Manie
  9. Symptômes obsessionels-compulsifs
  10. Syndrome métabolique
  11. Élévation des enzymes hépatiques
  12. Tachycardie, hypotension
  13. Myocardite
  14. Hyperprolactinémie
  15. SIADH
  16. Convulsions
  17. Syndrome malin des neuroleptiques
  18. Effets indésirables hématologiques
689
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYMPTÔMES EXTRA-PYRAMIDAUX

A
  • Les neurones des noyaux gris centraux sont à l’origine des comportements moteurs possiblement modifiés par les antipsychotiques
  • En bloquant les récepteurs DA2 des noyaux gris centraux, des symptômes extrapyramidaux d’intensité variable peuvent survenir :
    • Parkinsonisme
    • Akathisie
    • Dystonie
    • Dyskinésie tardive
690
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYMPTÔMES EXTRA-PYRAMIDAUX: cause

A
  • Les neurones des noyaux gris centraux sont à l’origine des comportements moteurs possiblement modifiés par les antipsychotiques
  • En bloquant les récepteurs DA2 des noyaux gris centraux, des symptômes extrapyramidaux d’intensité variable peuvent survenir :
    • Parkinsonisme
    • Akathisie
    • Dystonie
    • Dyskinésie tardive
691
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYMPTÔMES EXTRA-PYRAMIDAUX: récepteur en jeu

A
  • Les neurones des noyaux gris centraux sont à l’origine des comportements moteurs possiblement modifiés par les antipsychotiques
  • En bloquant les récepteurs DA2 des noyaux gris centraux, des symptômes extrapyramidaux d’intensité variable peuvent survenir :
    • Parkinsonisme
    • Akathisie
    • Dystonie
    • Dyskinésie tardive
692
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYMPTÔMES EXTRA-PYRAMIDAUX: nommez-les

A
  • Les neurones des noyaux gris centraux sont à l’origine des comportements moteurs possiblement modifiés par les antipsychotiques
  • En bloquant les récepteurs DA2 des noyaux gris centraux, des symptômes extrapyramidaux d’intensité variable peuvent survenir :
    • Parkinsonisme
    • Akathisie
    • Dystonie
    • Dyskinésie tardive
693
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
694
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME: cause

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
695
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME: nommez les sx

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
696
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME: les sx débutent quand?

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
697
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME: comment contrer les sx?

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
698
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- PARKINSONISME: le risque est plus élevé chez qui?

A
  • Origine d’un blocage du faisceau nigrostrié (surtout de la part des A1G).
  • Tremblement de repos, rigidité et bradykinésie
  • Apparaissent environ 2 sem après le début de la médication, lorsque 80% des récepteurs DA2 du striatum sont bloqués.
  • L’ajout d’un médicament anticholinergique s’avère efficace pour contrer ces symptômes
  • Le risque de parkinsonisme est plus élevé chez les patients avec trouble bipolaire traité avec un antipsychotique
699
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
700
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: définition

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
701
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: apparait quand?

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
702
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: quelle classe particulièrement?

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
703
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: les plus fréquentes

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
704
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: laquelle peut être dangereuse?

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
705
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSTONIE: la décrire si tardive

A
  • Contraction musculaire soutenue et involontaire
  • Peut être aigue après le début du traitement
  • Les A2G présentent une incidence moindre que les A1G
  • Les plus fréquentes sont les suivantes :
    • o Torticolis
    • o Contraction de la mâchoire
    • o Crise oculogyre
    • o Opisthotonos (contracture des extenseurs)
  • Attention à la dystonie laryngée ou pharyngée et l’étouffement
  • Si tardive, la dystonie sera surtout axiale.
706
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- AKATHISIE

A
  • Éprouve de la difficulté à demeure immobile tout en ressentant une anxiété diffuse ou de la dysphorie (le plus souvent).
  • Se manifeste dans les premières semaines, mais apparition tardive possible avec les tx de longue durée
  • Une diminution de la dose ou un changement pour un A2G demeure les solutions les plus efficaces
707
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- AKATHISIE: c’est quoi?

A
  • Éprouve de la difficulté à demeure immobile tout en ressentant une anxiété diffuse ou de la dysphorie (le plus souvent).
  • Se manifeste dans les premières semaines, mais apparition tardive possible avec les tx de longue durée
  • Une diminution de la dose ou un changement pour un A2G demeure les solutions les plus efficaces
708
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- AKATHISIE: se manifeste quand?

A
  • Éprouve de la difficulté à demeure immobile tout en ressentant une anxiété diffuse ou de la dysphorie (le plus souvent).
  • Se manifeste dans les premières semaines, mais apparition tardive possible avec les tx de longue durée
  • Une diminution de la dose ou un changement pour un A2G demeure les solutions les plus efficaces
709
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- AKATHISIE: solution

A
  • Éprouve de la difficulté à demeure immobile tout en ressentant une anxiété diffuse ou de la dysphorie (le plus souvent).
  • Se manifeste dans les premières semaines, mais apparition tardive possible avec les tx de longue durée
  • Une diminution de la dose ou un changement pour un A2G demeure les solutions les plus efficaces
710
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSKINÉSIE TARDIVE

A
  • Mouvement involontaire anormal qui peut se présenter spontanément chez les personnes âgées ou à la suite d’un traitement antipsychotique ou avec la lévodopa (pour le parkinson).
  • Atteinte prédominante des muscles de la région orofaciale, mais d’autres contractions anormales sont possibles
  • Le risque est moindre avec A2G
711
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSKINÉSIE TARDIVE: définition

A
  • Mouvement involontaire anormal qui peut se présenter spontanément chez les personnes âgées ou à la suite d’un traitement antipsychotique ou avec la lévodopa (pour le parkinson).
  • Atteinte prédominante des muscles de la région orofaciale, mais d’autres contractions anormales sont possibles
  • Le risque est moindre avec A2G
712
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSKINÉSIE TARDIVE: causes possibles

A
  • Mouvement involontaire anormal qui peut se présenter spontanément chez les personnes âgées ou à la suite d’un traitement antipsychotique ou avec la lévodopa (pour le parkinson).
  • Atteinte prédominante des muscles de la région orofaciale, mais d’autres contractions anormales sont possibles
  • Le risque est moindre avec A2G
713
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSKINÉSIE TARDIVE: muscles plus fréquemment atteints

A
  • Mouvement involontaire anormal qui peut se présenter spontanément chez les personnes âgées ou à la suite d’un traitement antipsychotique ou avec la lévodopa (pour le parkinson).
  • Atteinte prédominante des muscles de la région orofaciale, mais d’autres contractions anormales sont possibles
  • Le risque est moindre avec A2G
714
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSKINÉSIE TARDIVE: comment diminuer le risque?

A
  • Mouvement involontaire anormal qui peut se présenter spontanément chez les personnes âgées ou à la suite d’un traitement antipsychotique ou avec la lévodopa (pour le parkinson).
  • Atteinte prédominante des muscles de la région orofaciale, mais d’autres contractions anormales sont possibles
  • Le risque est moindre avec A2G
715
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
716
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL: physiopatho

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
717
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL: solution

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
718
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL: sx positifs ou négatifs?

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
719
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL: peut être utile dans quelle situation?

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
720
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SÉDATION ET SOMMEIL: autres modifications du sommeil

A
  • Les antipsychotiques qui ont une action sérotoninergique, histaminique et cholinergique causent souvent une sédation ou de la somnolence
  • Il est préférable de prescrire HS
  • Ce ne sont pas des symptômes négatifs
  • E2 pouvant être recherché si patient présente de l’insomnie!
  • Ils modifient aussi le sommeil paradoxal et peuvent favoriser les éveils nocturnes
721
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSFONCTION SEXUELLE

A
  • Une diminution de l’érection ou de l’éjaculation chez l’homme et de libido chez la femme et l’homme
  • Une hyperprolactinémie peut être en cause (secondaire au blocage dopaminergique antipsychotique) dans la voie tubéro-infundibulaire (bref, l’axe hypothalamo-hypophysaire).
  • On peut substituer par un antipsychotique avec affinité moins forte pour les récepteurs DA2.
722
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSFONCTION SEXUELLE: symptômes H vs F

A
  • Une diminution de l’érection ou de l’éjaculation chez l’homme et de libido chez la femme et l’homme
  • Une hyperprolactinémie peut être en cause (secondaire au blocage dopaminergique antipsychotique) dans la voie tubéro-infundibulaire (bref, l’axe hypothalamo-hypophysaire).
  • On peut substituer par un antipsychotique avec affinité moins forte pour les récepteurs DA2.
723
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSFONCTION SEXUELLE: cause

A
  • Une diminution de l’érection ou de l’éjaculation chez l’homme et de libido chez la femme et l’homme
  • Une hyperprolactinémie peut être en cause (secondaire au blocage dopaminergique antipsychotique) dans la voie tubéro-infundibulaire (bref, l’axe hypothalamo-hypophysaire).
  • On peut substituer par un antipsychotique avec affinité moins forte pour les récepteurs DA2.
724
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- DYSFONCTION SEXUELLE: solution

A
  • Une diminution de l’érection ou de l’éjaculation chez l’homme et de libido chez la femme et l’homme
  • Une hyperprolactinémie peut être en cause (secondaire au blocage dopaminergique antipsychotique) dans la voie tubéro-infundibulaire (bref, l’axe hypothalamo-hypophysaire).
  • On peut substituer par un antipsychotique avec affinité moins forte pour les récepteurs DA2.
725
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MANIE

A
  • Associé à l’introduction d’un A2G surtout
  • Le blocage sérotoninergique (5HT2A) serait potentiellement en cause
726
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MANIE: quelle classe?

A
  • Associé à l’introduction d’un A2G surtout
  • Le blocage sérotoninergique (5HT2A) serait potentiellement en cause
727
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MANIE: cause

A
  • Associé à l’introduction d’un A2G surtout
  • Le blocage sérotoninergique (5HT2A) serait potentiellement en cause
728
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SX OBSESSIONNELS-COMPULSIFS

A
  • Observée jusqu’à 23% des schizophrènes traités après 1-4 semaine de traitement à l’aide d’un A2G
  • Il est recommandé de réduire l’antipsychotique et d’ajouter un ISRS
729
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SX OBSESSIONNELS-COMPULSIFS: dans quel contexte?

A
  • Observée jusqu’à 23% des schizophrènes traités après 1-4 semaine de traitement à l’aide d’un A2G
  • Il est recommandé de réduire l’antipsychotique et d’ajouter un ISRS
730
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SX OBSESSIONNELS-COMPULSIFS: solution

A
  • Observée jusqu’à 23% des schizophrènes traités après 1-4 semaine de traitement à l’aide d’un A2G
  • Il est recommandé de réduire l’antipsychotique et d’ajouter un ISRS
731
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE

A
  • Incidence élevée avec l’utilisation d’A2G
  • Aurait une prévalence de 20-25%
  • Définition du syndrome métabolique voir page 1475 (HTA, hypertriglycéridémie, hypoHDL, IMC plus de 30, tour de taille ↑, albumine urinaire aN).
  • Gain de poids
  • Diabète
  • Dyslipidémie
732
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: incidence

A
  • Incidence élevée avec l’utilisation d’A2G
  • Aurait une prévalence de 20-25%
  • Définition du syndrome métabolique voir page 1475 (HTA, hypertriglycéridémie, hypoHDL, IMC plus de 30, tour de taille ↑, albumine urinaire aN).
  • Gain de poids
  • Diabète
  • Dyslipidémie
733
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: prévalence

A
  • Incidence élevée avec l’utilisation d’A2G
  • Aurait une prévalence de 20-25%
  • Définition du syndrome métabolique voir page 1475 (HTA, hypertriglycéridémie, hypoHDL, IMC plus de 30, tour de taille ↑, albumine urinaire aN).
  • Gain de poids
  • Diabète
  • Dyslipidémie
734
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: définition

A
  • Incidence élevée avec l’utilisation d’A2G
  • Aurait une prévalence de 20-25%
  • Définition du syndrome métabolique voir page 1475 (HTA, hypertriglycéridémie, hypoHDL, IMC plus de 30, tour de taille ↑, albumine urinaire aN).
  • Gain de poids
  • Diabète
  • Dyslipidémie
735
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: éléments particulièrement observés

A
  • Incidence élevée avec l’utilisation d’A2G
  • Aurait une prévalence de 20-25%
  • Définition du syndrome métabolique voir page 1475 (HTA, hypertriglycéridémie, hypoHDL, IMC plus de 30, tour de taille ↑, albumine urinaire aN).
  • Gain de poids
  • Diabète
  • Dyslipidémie
736
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: GAIN DE POIDS

A
  • Le blocage histaminique (H1) et sérotoninergique (5HT2C) serait en cause via la dysrégulation de peptides impliqués dans la satiété (leptine, ghréline, orexine)
  • Conséquemment, les A2G sont plus souvent impliqués
737
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: GAIN DE POIDS - physiopatho de la cause

A
  • Le blocage histaminique (H1) et sérotoninergique (5HT2C) serait en cause via la dysrégulation de peptides impliqués dans la satiété (leptine, ghréline, orexine)
  • Conséquemment, les A2G sont plus souvent impliqués
738
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: GAIN DE POIDS - quelle classe?

A
  • Le blocage histaminique (H1) et sérotoninergique (5HT2C) serait en cause via la dysrégulation de peptides impliqués dans la satiété (leptine, ghréline, orexine)
  • Conséquemment, les A2G sont plus souvent impliqués
739
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: DIABÈTE

A
  • Le traitement antipsychotique, plus il est long, plus le risque de diabète est grand.
740
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: DIABÈTE - ce qui augmente le risque

A
  • Le traitement antipsychotique, plus il est long, plus le risque de diabète est grand.
741
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: DYSLIPIDÉMIE

A
  • Hypertg, hyperldl, hypohdl
  • La causalité directe des antipsychotiques est difficile à défini et peut secondaire à d’autres conséquences
742
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: DYSLIPIDÉMIE - quel type?

A
  • Hypertg, hyperldl, hypohdl
  • La causalité directe des antipsychotiques est difficile à défini et peut secondaire à d’autres conséquences
743
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: DYSLIPIDÉMIE - cause

A
  • Hypertg, hyperldl, hypohdl
  • La causalité directe des antipsychotiques est difficile à défini et peut secondaire à d’autres conséquences
744
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MÉTABOLIQUE: solutions

A
  • Il est recommandé de :
    • Réduire les doses
    • Substitué pour un autre antipsychotique
    • Prendre en charge le syndrome métabolique
745
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- ÉLÉVATION ENZYMES HÉPATIQUES

A
  • Asymptomatique et présent jusqu’à 32% des patients après 1-6 mois
  • Dans des rares cas, l’élévation peut survenir jusqu’à 3-4X la normale et il est recommandé de cesser ou de substituer l’antipsychotique
746
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- ÉLÉVATION ENZYMES HÉPATIQUES: symptômes

A
  • Asymptomatique et présent jusqu’à 32% des patients après 1-6 mois
  • Dans des rares cas, l’élévation peut survenir jusqu’à 3-4X la normale et il est recommandé de cesser ou de substituer l’antipsychotique
747
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- ÉLÉVATION ENZYMES HÉPATIQUES: prévalence

A
  • Asymptomatique et présent jusqu’à 32% des patients après 1-6 mois
  • Dans des rares cas, l’élévation peut survenir jusqu’à 3-4X la normale et il est recommandé de cesser ou de substituer l’antipsychotique
748
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- ÉLÉVATION ENZYMES HÉPATIQUES: intensité de l’élévation

A
  • Asymptomatique et présent jusqu’à 32% des patients après 1-6 mois
  • Dans des rares cas, l’élévation peut survenir jusqu’à 3-4X la normale et il est recommandé de cesser ou de substituer l’antipsychotique
749
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- ÉLÉVATION ENZYMES HÉPATIQUES: solution

A
  • Asymptomatique et présent jusqu’à 32% des patients après 1-6 mois
  • Dans des rares cas, l’élévation peut survenir jusqu’à 3-4X la normale et il est recommandé de cesser ou de substituer l’antipsychotique
750
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- TACHYCARDIE, HYPOTENSION

A
  • Un blocage adrénergique α1 et cause une vasodilatation, entraînant une HTO, des étourdissements
  • Une élévation du QTc
  • Risque d’AVC et embolie veineuse pulmonaire chez les personnes à risque
751
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- TACHYCARDIE, HYPOTENSION: cause

A
  • Un blocage adrénergique α1 et cause une vasodilatation, entraînant une HTO, des étourdissements
  • Une élévation du QTc
  • Risque d’AVC et embolie veineuse pulmonaire chez les personnes à risque
752
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- TACHYCARDIE, HYPOTENSION: risques associés

A
  • Un blocage adrénergique α1 et cause une vasodilatation, entraînant une HTO, des étourdissements
  • Une élévation du QTc
  • Risque d’AVC et embolie veineuse pulmonaire chez les personnes à risque
753
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MYOCARDITE

A
  • Rare
  • Urgence!
754
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MYOCARDITE: fréquence

A
  • Rare
  • Urgence!
755
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- MYOCARDITE: solution

A
  • Rare
  • Urgence!
756
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- HYPERPROLACTINÉMIE

A
  • La DA inhibe la PRL, donc si DA ↓ secondairement à l’antipsychotique la PRL ↑
  • Les antipsychotiques à faible affinités pour la DA causent moins de hyperPRL
  • Il recommandé de doser la PRL avant le début, quand le Tx est stable, lorsque des Sx sont présents et annuellement ou tous les 2 ans.
  • Une réduction de dose ou une substitution est recommandée en cas d’hyperPRL
757
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- HYPERPROLACTINÉMIE: cause

A
  • La DA inhibe la PRL, donc si DA ↓ secondairement à l’antipsychotique la PRL ↑
  • Les antipsychotiques à faible affinités pour la DA causent moins de hyperPRL
  • Il recommandé de doser la PRL avant le début, quand le Tx est stable, lorsque des Sx sont présents et annuellement ou tous les 2 ans.
  • Une réduction de dose ou une substitution est recommandée en cas d’hyperPRL
758
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- HYPERPROLACTINÉMIE: Rx pour lequel c’est moins pire

A
  • La DA inhibe la PRL, donc si DA ↓ secondairement à l’antipsychotique la PRL ↑
  • Les antipsychotiques à faible affinités pour la DA causent moins de hyperPRL
  • Il recommandé de doser la PRL avant le début, quand le Tx est stable, lorsque des Sx sont présents et annuellement ou tous les 2 ans.
  • Une réduction de dose ou une substitution est recommandée en cas d’hyperPRL
759
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- HYPERPROLACTINÉMIE: recommandations

A
  • La DA inhibe la PRL, donc si DA ↓ secondairement à l’antipsychotique la PRL ↑
  • Les antipsychotiques à faible affinités pour la DA causent moins de hyperPRL
  • Il recommandé de doser la PRL avant le début, quand le Tx est stable, lorsque des Sx sont présents et annuellement ou tous les 2 ans.
  • Une réduction de dose ou une substitution est recommandée en cas d’hyperPRL
760
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- HYPERPROLACTINÉMIE: solution

A
  • La DA inhibe la PRL, donc si DA ↓ secondairement à l’antipsychotique la PRL ↑
  • Les antipsychotiques à faible affinités pour la DA causent moins de hyperPRL
  • Il recommandé de doser la PRL avant le début, quand le Tx est stable, lorsque des Sx sont présents et annuellement ou tous les 2 ans.
  • Une réduction de dose ou une substitution est recommandée en cas d’hyperPRL
761
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SIADH

A
  • Augmente la libération d’ADH
  • Dilution du Na et possible hypoNa
  • Peut se manifester de 1 semaine à qqes mois après le début
  • Troubles cognitifs, confusion, convulsions jusqu’au coma
762
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SIADH: Cause

A
  • Augmente la libération d’ADH
  • Dilution du Na et possible hypoNa
  • Peut se manifester de 1 semaine à qqes mois après le début
  • Troubles cognitifs, confusion, convulsions jusqu’au coma
763
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SIADH: conséquences

A
  • Augmente la libération d’ADH
  • Dilution du Na et possible hypoNa
  • Peut se manifester de 1 semaine à qqes mois après le début
  • Troubles cognitifs, confusion, convulsions jusqu’au coma
764
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SIADH: se manifeste quand?

A
  • Augmente la libération d’ADH
  • Dilution du Na et possible hypoNa
  • Peut se manifester de 1 semaine à qqes mois après le début
  • Troubles cognitifs, confusion, convulsions jusqu’au coma
765
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SIADH: manifestations cliniques

A
  • Augmente la libération d’ADH
  • Dilution du Na et possible hypoNa
  • Peut se manifester de 1 semaine à qqes mois après le début
  • Troubles cognitifs, confusion, convulsions jusqu’au coma
766
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- CONVULSIONS

A
  • Varie de 0,5-0,9% pour la plupart des antipsychotiques
  • Le risque est plus haut chez les A2G que les A1G
  • L’acide valproïque est parfois recommandé en prévention lors de hautes doses de clozapine
  • Il existe des changements non spécifiques à l’EEG associés aux antipsychotiques, mais non associés aux convulsions
767
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- CONVULSIONS: fréquence

A
  • Varie de 0,5-0,9% pour la plupart des antipsychotiques
  • Le risque est plus haut chez les A2G que les A1G
  • L’acide valproïque est parfois recommandé en prévention lors de hautes doses de clozapine
  • Il existe des changements non spécifiques à l’EEG associés aux antipsychotiques, mais non associés aux convulsions
768
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- CONVULSIONS: solution

A
  • Varie de 0,5-0,9% pour la plupart des antipsychotiques
  • Le risque est plus haut chez les A2G que les A1G
  • L’acide valproïque est parfois recommandé en prévention lors de hautes doses de clozapine
  • Il existe des changements non spécifiques à l’EEG associés aux antipsychotiques, mais non associés aux convulsions
769
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- CONVULSIONS: type d’AP le plus à risque

A
  • Varie de 0,5-0,9% pour la plupart des antipsychotiques
  • Le risque est plus haut chez les A2G que les A1G
  • L’acide valproïque est parfois recommandé en prévention lors de hautes doses de clozapine
  • Il existe des changements non spécifiques à l’EEG associés aux antipsychotiques, mais non associés aux convulsions
770
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- CONVULSIONS: EEG

A
  • Varie de 0,5-0,9% pour la plupart des antipsychotiques
  • Le risque est plus haut chez les A2G que les A1G
  • L’acide valproïque est parfois recommandé en prévention lors de hautes doses de clozapine
  • Il existe des changements non spécifiques à l’EEG associés aux antipsychotiques, mais non associés aux convulsions
771
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
772
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES: cause

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
    • Prédisposition particulière de l’organisme qui fait qu’un individu réagit d’une manière personnelle à l’influence des agents extérieurs.
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
773
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES: risques associés à ce syndrome

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
774
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES: taux de décès associé

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
775
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES: manifestations cliniques

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
776
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES: traitement

A
  • Réaction idiosyncrasique rare (0,02%)
  • Taux de décès de 10-20% chez les A1G et moins chez les A2G
  • Fièvre, Sx extrapyramidaux, akinésie et hypertonie, instabilité du SNA, augmentation des CK, enzymes hépatiques et leucocytes, altération de l’état de conscience
  • Le tx consiste à cesser l’antipsychotique et la réhydratation.
777
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
778
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO: nommez-les

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
779
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO: risque plus élevé

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
780
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO: se manifestent quand?

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
781
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO: prévention

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
782
Q

Antipsychotiques: Effets secondaires
- E2 HÉMATO: autres

A
  • Risque de leucopénie et neutropénie chez tous les antipsychotiques, sauf avec la clozapine où le risque est 10X plus élevé.
  • 70% des cas surviennent dans les 18 premières semaines, il est donc conseillé de faire un bilan hebdomadaire pendant les 26 premières semaines, aux deux semaines dans les 26 suivantes et toutes les 4 semaines après 1 an de traitement à la clozapine.
  • Thrombocytopénie et thrombocytose sont également à risque
783
Q

Interactions médicamenteuses: Types
- nommez-les

A
  • Interactions pharmacocinétiques : une interaction pharmacocinétique d’un médicament produit une modification du taux plasmatique d’un autre médicament. Peut survenir à l’étape d’absorption, de distribution, du métabolisme ou de l’élimination. Voir tableau 68.11 page 1479, je ne crois pas que ce soit pertinent.
  • Interactions pharmacodynamiques : fait référence aux effets indésirables cumulatifs de deux médicaments, par exemple l’effet sédatif des antipsychotiques est potentialisé avec une benzodiazépine. Voir tableau 68.12 page 1480, je ne crois pas que ce soit pertinent.
784
Q

Interactions médicamenteuses: Types
- définir interactions PHARMACOCINÉTIQUES

A
  • Interactions pharmacocinétiques : une interaction pharmacocinétique d’un médicament produit une modification du taux plasmatique d’un autre médicament. Peut survenir à l’étape d’absorption, de distribution, du métabolisme ou de l’élimination. Voir tableau 68.11 page 1479, je ne crois pas que ce soit pertinent.
  • Interactions pharmacodynamiques : fait référence aux effets indésirables cumulatifs de deux médicaments, par exemple l’effet sédatif des antipsychotiques est potentialisé avec une benzodiazépine. Voir tableau 68.12 page 1480, je ne crois pas que ce soit pertinent.
785
Q

Interactions médicamenteuses: Types
- définir interactions PHARMACODYNAMIQUES

A
  • Interactions pharmacocinétiques : une interaction pharmacocinétique d’un médicament produit une modification du taux plasmatique d’un autre médicament. Peut survenir à l’étape d’absorption, de distribution, du métabolisme ou de l’élimination. Voir tableau 68.11 page 1479, je ne crois pas que ce soit pertinent.
  • Interactions pharmacodynamiques : fait référence aux effets indésirables cumulatifs de deux médicaments, par exemple l’effet sédatif des antipsychotiques est potentialisé avec une benzodiazépine. Voir tableau 68.12 page 1480, je ne crois pas que ce soit pertinent.