Normalité et tr adaptation Flashcards
Nommer et décrire les notations habituelles de la normalité
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la quantitié
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la supériorité
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Nommez les différentes définitions de la santé mentale
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon FREUD
-
Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon FREUD
- que veut dire Freud par “c’est aimer, travailler et jouer?”
-
Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon OMS
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon COMITÉ DE LA SANTÉ MENTALE AU QUÉBEC
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
-
Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition d’un trouble mental selon DSM
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: qu’est-ce qu’un trouble mental selon le DSM?
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: ce qui différencie trouble mental et normalité
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: exemples de réactions qui ne sont pas reliées à des troubles mentaux
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Caractéristiques nécessaires pour avoir titre de trouble mental selon DSM
Trouble mental selon le DSM-V :
a. Rupture fonctionnelle (individu ne peut plus fonctionner N à cause des sx)
b. Souffrance cliniquement significative
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau PERSONNEL
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau SOCIAL
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
De quelle manière la notion de santé mentale peut devenir sexiste?
- La notion de santé mentale peut devenir sexiste si les caractéristiques de santé mentale et de normalité s’appuient sur des stéréotypes sexistes, par exemple si l’on se fie, pour qualifier quelqu’un de sain, du rôle traditionnel de chaque sexe dans notre société (homme travaillant et femme au foyer).
- Ceci entraîne des biais d’évaluation et de thérapie pour les cliniciens.
- Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
VS - Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
Notion de santé mentale existe: caractéristiques attendues des H vs F
Caractéristiques de santé mentale et de normalité peuvent s’appuyer sur des stéréotypes sexistes, car traditionnellement…
- Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
VS - Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
Lien entre la normalité et la capacité d’adaptation à son milieu
- Si la normalité est considérée comme l’adaptation au milieu, alors le conformisme social risque de devenir la norme.
- Dans ce cas, toute déviation devient pathologique, ce qui peut entraîner une psychiatrisation excessive de tout comportement perçu comme mésadapté ou déviant (p/e l’homosexualité DSM 2).
Lien entre normalité et le bonheur
- Si la normalité est définie comme le bien-être et l’harmonie intérieure (et donc le mieux-être), le bonheur devient la norme et toute forme de détresse et d’angoisse humaine devient pathologique.
- La psychiatrie ne peut pas se donner comme objectif l’atteinte du bonheur.
Pourquoi s’intéresser à Freud et Erickson?
- Pourquoi s’intéresser à ces deux vielles barbes? N’y a-t-il pas des auteurs plus… je ne sais pas moi…à la mode, plus cool ou plus sexy… plus moderne quoi!
- Bien-sûr que si… Mais il reste que ces derniers nous ont donné quelque chose de bien… l’un « invente » l’inconscient, les mécanismes de défenses, et l’autre met en lien l’individu avec son environnement.
- Très critiqués, souvent avec raison, mais aussi surtout dans le cas de Freud, par lui-même (de là des concepts qui évoluent au gré des ouvrages), ces auteurs nous apportent des notions indissociables de la vision que nous avons de la psyché humaine.
Freud: Sur quoi se base sa théorie du développement de la personnalité?
- La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
- Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
Théorie du dév de la personnalité de Freud: Qu’est-ce qui peut provoquer une psychopathologie chez un enfant?
- La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
- Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
Selon Freud: Quelles sont les sources d’énergie?
-
Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
- L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
- Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
- Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
Selon Freud: Définir ÉROS
- Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
- L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
- Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
- Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
Selon Freud: Définir THANATOS
- Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
- L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
- Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
- Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
Selon Freud: Lien entre Éros et Thanatos
- Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
- L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
- Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
- Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
Selon Freud: Différenciez le principe de réalité vs plaisir
- Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
- Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
- Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
Selon Freud: Définir le principe de réalité
- Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
- Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
- Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
Selon Freud: Définir le principe de plaisir
- Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
- Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
- Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
Nommez les niveaux de conscience de la Première topique
- L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
- Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
- Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez l’INCONSCIENT
- L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
- Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
- Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez le PRÉCONSCIENT
- L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
- Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
- Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez le CONSCIENT
- L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
- Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
- Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
Pour Freud, l’inconscient est-il accessible au conscient?
- On ne peut accéder à l’inconscient, et ce même lorsqu’on y prête attention.
- Par contre, son contenu ne cesse de faire pression pour redevenir conscient.
- Lorsqu’il y parvient, c’est toujours de façon déformée (lapsus, rêves, SYMPTÔMES).
Pour Freud, comment a-t-on accès à l’inconscient?
- On ne peut accéder à l’inconscient, et ce même lorsqu’on y prête attention.
- Par contre, son contenu ne cesse de faire pression pour redevenir conscient.
- Lorsqu’il y parvient, c’est toujours de façon déformée (lapsus, rêves, SYMPTÔMES).
Nommez les instances de la 2ème topique
En raison des limitations de la première topique, Freud a élaboré une deuxième topique.
1. Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché. Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées. Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate. Le Ça ne tient pas compte de la réalité. Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
2. Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur. Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité. Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience. Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
3. Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi. Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient. Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre). Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
Entre vous et moi, la figure 9.5 est vraiment très intéressante n’est-ce pas?
Instances de la 2ème topique: ÇA
- définir / décrire
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: ÇA
- qu’est-ce qui est associé au ça?
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: ÇA
- par quoi cette instance est-elle régie?
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: ÇA
- tient-il compte de la réalité?
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: ÇA
- définir: pulsion
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: ÇA
- fonction des pulsions
- Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
- Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
- Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
- Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
- Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
Instances de la 2ème topique: MOI
- définir / décrire
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: MOI
- son développement
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: MOI
- quelle est sa fonction?
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
- Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: MOI
- de quelle manière les fonctions médiatrices sont exercées?
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
- Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: MOI
- dans quel niveau de conscience agit-il?
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
- Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: MOI
- définir le principe de réalité
- Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
- Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
- Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
- Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
Instances de la 2ème topique: SURMOI
- sa fonction
- Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
- Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
- Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
- Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
Instances de la 2ème topique: SURMOI
- que représente-t-il?
- Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
- Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
- Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
- Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
Instances de la 2ème topique: SURMOI
- rôle
- Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
- Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
- Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
- Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
Instances de la 2ème topique: SURMOI
- objectif
- Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
- Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
- Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
- Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
Instances de la 2ème topique: SURMOI
- lien entre surmoi, moi et ça?
À quel niveau de conscience se retrouve le Moi?
- Le Moi est présent dans tous les champs de la conscience. Par exemple : conscient → prise de décision, inconscient → mécanisme de défense.
- Le Moi n’est donc pas entièrement conscient!!
Quels sont les buts des mécanismes de défenses?
- Les mécanismes de défenses ont pour but de nourrir les exigences du Surmoi.
- Les mécanismes de défense sont présents afin de maintenir l’homéostasie au sein du Moi, entre les poussées du Ça et les exigences du Surmoi.
- Il permet donc de maintenir à distance les pulsions considérées comme indésirables par le Surmoi.
- Une variété de mécanisme est utilisée chez un Moi sain, comme par exemple l’anticipation, lorsqu’il y a menace à l’intégrité d’une personne.
Mécanismes de défenses chez le moi sain
- Les mécanismes de défenses ont pour but de nourrir les exigences du Surmoi.
- Les mécanismes de défense sont présents afin de maintenir l’homéostasie au sein du Moi, entre les poussées du Ça et les exigences du Surmoi.
- Il permet donc de maintenir à distance les pulsions considérées comme indésirables par le Surmoi.
- Une variété de mécanisme est utilisée chez un Moi sain, comme par exemple l’anticipation, lorsqu’il y a menace à l’intégrité d’une personne.
Dans quel contexte une névrose peut survenir?
Si l’intensité des conflits entre les différentes instances dépasse les capacités de défense et d’adaptation, une névrose survient (psychopathologie):
- Le Moi utilise alors de manière stéréotypée et inflexible les mêmes méthodes défensives à chaque fois que la menace pulsionnelle survient
- Les désirs, les pensées et les affects inacceptables sont maintenus dans l’inconscient, mais apparaissent sous forme déformée comme des symptômes.
- L’individu évite les situations qui provoquent ces pulsions et réduit son champ d’activité
Que se passe-t-il lorsque les différentes instances dépassent les capacités de défense et d’adaptation?
Si l’intensité des conflits entre les différentes instances dépasse les capacités de défense et d’adaptation, une névrose survient (psychopathologie):
- Le Moi utilise alors de manière stéréotypée et inflexible les mêmes méthodes défensives à chaque fois que la menace pulsionnelle survient
- Les désirs, les pensées et les affects inacceptables sont maintenus dans l’inconscient, mais apparaissent sous forme déformée comme des symptômes.
- L’individu évite les situations qui provoquent ces pulsions et réduit son champ d’activité
Le 3ème topique évoque quoi?
La troisième topique évoque des stades de formation de la personnalité
3ème topique: Stade ORAL
3ème topique: Stade ORAL
- âge de l’enfant
- nom du stade
- 0 à 14 mois
- Stade de dépendance
3ème topique: Stade ORAL
- PULSION
3ème topique: Stade ORAL
- RÉALITÉ
3ème topique: Stade ORAL
- ATTITUDE
3ème topique: Stade ORAL
- MÉCANISME DE DÉFENSES
3ème topique: Stade ORAL
- TROUBLES
3ème topique: Stade ANAL
3ème topique: Stade ANAL
- âge de l’enfant
- nom du stade
- 14 mois à 3 ans
- stade de l’autonomie
3ème topique: Stade ANAL
- PULSION
3ème topique: Stade ANAL
- RÉALITÉ
3ème topique: Stade ANAL
- ATTITUDE: mécanismes de défense
3ème topique: Stade ANAL
- MÉCANISME DE DÉFENSES
3ème topique: Stade ANAL
- TROUBLES ASSOCIÉS
3ème topique: Stade PHALLIQUE
- autre nom
Oedipien
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- âge de l’enfant
- nom du stade
- 3 à 6 ans
- Organisation du sur Surmoi
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- PULSION
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- RÉALITÉ
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- ATTITUDE
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- MÉCANISME DE DÉFENSES
3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- TROUBLES ASSOCIÉS
3ème topique: LATENCE
3ème topique: LATENCE
- âge de l’enfant
6-12 ans
3ème topique: LATENCE
- PULSION
- Ralentissement des pulsions sexuelles
- Moins de formation de personnalité
- Le Moi se renforce
3ème topique: LATENCE
- RÉALITÉ
- Ralentissement des pulsions sexuelles
- Moins de formation de personnalité
- Le Moi se renforce
3ème topique: LATENCE
- ATTITUDE
- Ralentissement des pulsions sexuelles
- Moins de formation de personnalité
- Le Moi se renforce
3ème topique: LATENCE
- MÉCANISME DE DÉFENSES
Le Moi peut utiliser le refoulement, l’identification, la sublimation
3ème topique: LATENCE
- TROUBLES ASSOCIÉS
Le Moi peut utiliser le refoulement, l’identification, la sublimation
3ème topique: GÉNITAL
3ème topique: GÉNITAL
- âge de l’enfant
puberté à fin de l’adolescence
3ème topique: GÉNITAL
- âge de l’enfant
puberté à fin de l’adolescence
3ème topique: GÉNITAL
- ce qui se passe pendant cette phase
- Poussée d’hormones sexuelles, développement et croissance de la libido
- Le Moi doit s’adapter aux changement physiques et psychiques.
Période de latence: Le Moi se débarrasse du refoulement?
- Le Moi se forme certes durant la période de latence, mais il ne se débarrasse pas du refoulement.
- Au contraire, il déploie de nombreux mécanismes de défense, dont le refoulement, l’identification et la sublimation
Méthode psychanalytique: Expliquez les fondements
- Le fondement de la méthode psychanalyste est de demander au patient de parler le plus librement possible, dans le but d’amener à la conscience des éléments de vie conflictuels et refoulés.
- Ces conflits inconscients et mécanismes de défense utilisés sont par la suite analysés, avec pour objectif de faire disparaître les symptômes névrotiques.
- C’est en quelque sorte le contraire de l’hypnose qui utilise la suggestion.
Méthode psychanalytique: Comment fonctionne-t-elle?
- Le fondement de la méthode psychanalyste est de demander au patient de parler le plus librement possible, dans le but d’amener à la conscience des éléments de vie conflictuels et refoulés.
- Ces conflits inconscients et mécanismes de défense utilisés sont par la suite analysés, avec pour objectif de faire disparaître les symptômes névrotiques.
- C’est en quelque sorte le contraire de l’hypnose qui utilise la suggestion.
Relation analytique: Grands principes de base
- Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
Relation analytique: Distinguez le transfert du contre-transfert
- Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
Relation analytique: Définir / décrire TRANSFERT
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- définition du transfert
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- c’est quoi?
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- causes
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- c’est positif ou négatif?
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- son importance
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: TRANSFERT
- exemple
Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- définir
- Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
- Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
- 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- causes
- Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
- Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
- 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- formes de contre-transfert
- Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
- Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
- 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- distinguez le indirect vs direct
- Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier. Comprend deux sous-types de contre-transfert direct : contre-transfert concordant vs complémentaire
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE
Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
- Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressemblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
- Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
- Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
- Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
- Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: définition
Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
- Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
- Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
- Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
- Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
- Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: varie en fonction de quoi?
Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
- Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
- Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
- Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
- Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
- Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: ce que le thérapeute devrait faire
Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
- Varie en fonction des caractérisyiques réelles du patiet et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
- Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
- Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
- Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
- Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: exemple
Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
- Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
- Varie en fonction des caractérisyiques réelles du patiet et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
- Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
- Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
- Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
- Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE
Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier.
Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: cause
Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier.
Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: types
Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier. Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: distinguez le type concordant vs complémentaire
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - définir
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
- Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
- Elle facilité généralement l’empathie.
- Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - conséquences positives
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
- Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
- Elle facilité généralement l’empathie.
- Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - ce qu’elle cause
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
- Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
- Elle facilité généralement l’empathie.
- Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - exemple
- Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
- Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie.
- Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
- Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
- S’inscrit dans la théorie des relations objets.
- Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
- Plus d’infos d’Internet: Le « contre-transfert complémentaire » se définit lorsque le moi de l’analyste s’identifie à son insu aux objets internes de l’analysant, « l’analyste se sent traité comme l’est l’objet interne dans le monde psychique du patient »
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - définition
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
- Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
- S’inscrit dans la théorie des relations objets.
- Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - qu’est-ce qui se passe dans la tête du thérapeute?
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
- Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
- S’inscrit dans la théorie des relations objets.
- Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - fait partie de quelle théorie?
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
- Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
- S’inscrit dans la théorie des relations objets.
- Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - exemple
- Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
- Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
- S’inscrit dans la théorie des relations objets.
- Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
Contre-transfert: Son importance et sa signification
- S’il est bien perçu par le thérapeute, le contre-transfert est une source précieuse d’information sur le monde intérieur du patient et sur la nature des conflits à l’origine de ses souffrances.
- D’où l’importance pour le thérapeute d’être sans cesse aux aguets des réactions affectives que le patient suscite en lui.
Erikson et Freud: Ressemblances et différences
- Certes Erikson développe son approche en adhérant aux principes psychanalytiques fondamentaux dans leur ensemble, mais il accorde une importance beaucoup plus grande aux mécanismes mentaux adaptatifs issus du Moi, ainsi qu’à l’influence de l’environnement sur le développement de l’individu.
- Les dimensions interpersonnelles, sociales et culturelles sont au fondement des stades de développement de sa théorie, contrairement à Freud qui accorde beaucoup d’importance aux processus instinctuels.
Hartmann: Comment perçoit-il le Moi et le Ça?
- Hartmann, contrairement à Freud, postule que le Moi est, dès la naissance, une instance autonome distincte du Ça, même s’ils proviennent du même substrat biologique.
Pour Erikson: qu’est-ce qu’un stade?
- Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
- Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
- Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
Pour Erikson: Définir STADE
- Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
- Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
- Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
Pour Erikson: Utilité des stades
- Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
- Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
- Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
Erikson VS Freud: Ce qui différencie leur classification des stades
- Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
- Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
- Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
** Tableau important pour l’examen, âge aussi! **
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- NAISSANCE À 18 MOIS
- Stades freudiens: Oral
- Crises ériksoniennes: Confiance ou méfiance fondamentale
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 18 MOIS À 3 ANS
- Stades freudiens: anal
- Crises ériksoniennes: autonomie ou honte et doute
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 3 À 6 ANS
- Stades freudiens: Phallique-oedipien
- Crises ériksoniennes: Initiative ou culpabilité
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 6 À 12 ANS
- Stades freudiens: Latence
- Crises ériksoniennes: Travail ou infériorité
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 12 À 20 ANS
- Stades freudiens: Génital
- Crises ériksoniennes: Identité ou confusion ou diffusion des rôles
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 20 À 35 ANS
- Crises ériksoniennes: Intimité ou isolement
- Stades freudiens: ø
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 35 À 65 ANS
- Crises ériksoniennes: Générativité ou stagnation
- Stades freudiens: ø
Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 65 ANS ET PLUS
- Crises ériksoniennes: Intégrité ou désespoir
- Stades freudiens: ø
Stade d’Erikson: 0-18 mois
- NOM DU STADE
Confiance ou méfiance fondamentale
Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Développement d’un sentiment de confiance de base envers l’entourage, et ce en raison de la dépendance totale du nourrisson.
Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- RÉALITÉ
- Se développe à travers la gratification ou frustration de ses pulsions.
Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- CONSÉQUENCES
- Un sentiment d’optimiste et de confiance peut se développer si l’entourage est présent pour l’enfant et qu’il répond correctement à ses besoins.
- Un sentiment de méfiance et de crainte envers son entourage peut se développer si ses besoins ne sont pas complètement comblés. L’envie, l’avidité et la possessivité sont des traits courants.
Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans
- NOM DU STADE
- Autonomie ou honte et doute
Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Capacités de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société.
Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- RÉALITÉ
- Les parents peuvent ou non bien accueillir ce rapport de force
- Se base sur le nouveau contrôle de ses sphincters et de son autonomie grandissante.
Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- CONSÉQUENCES
- Les parents démontrent de la bienveillance dans l’accueil de ce rapport de force. Ils félicitent et soutiennent les efforts de l’enfant tout en gardant une autorité ferme pour lui apprendre le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Permet à l’enfant d’apprendre à reconnaître ses besoins et celui des autres.
- Les parents peuvent être trop sévères et l’enfant peut vivre le tout avec un sentiment d’échec. Il doute alors de ses capacités. Son processus d’autonomie est alors brimé et divers comportements d’oppositions et de mise en échec peuvent survenir.
Stade d’Erikson: 3-6 ans
- NOM DU STADE
Initiative ou culpabilité
Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Développement du sens de l’initiative et de l’efficacité, de même que pour la capacité d’éprouver du plaisir dans les identifications avec ses objets d’amour
Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- RÉALITÉ
- Les parents peuvent ou non trop réprimander l’enfant face à ses désirs.
- Élargissement du champ d’action et d’interactions
- Cherche à se découvrir
Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- CONSÉQUENCES
Si l’attitude des parents est trop culpabilisante envers les désirs d’exploration de l’enfant, l’enfant peut développer de la culpabilité envers ses désirs d’exploration.
Stade d’Erikson: 6-12 ans
- NOM DU STADE
Travail ou infériorité
Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Contrairement au modèle de Freud, Erikson pense que la personnalité continue de se former activement durant cette phase.
Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- RÉALITÉ
- L’enfant développe ses compétences face à son environnement qui s’élargit.
Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- CONSÉQUENCES
- Si les nouvelles expériences et rencontres sont bien reçues, l’enfant acquiert un sentiment de compétence.
- Si les expériences sont vécues négativement, il risque de développer un sentiment d’incompétence et d’infériorité, ce qui freine son exposition au monde.
Stade d’Erikson: 12-20 ans
- NOM DU STADE
Identité ou confusion ou diffusion
Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Prise de conscience de qui il est, de ses intérêts et de ses goûts, que ce soit au niveau de son orientation sexuelle, de ses choix politiques ou même au niveau religieux ou professionnel
Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- RÉALITÉ
- Selon son positionnement, il peut vivre une crise d’identité.
Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- CONSÉQUENCES
- Si les étapes précédentes se sont bien déroulées, il continue son développement en confiance.
- Si les étapes précédentes ont été conflictuelles sans solution, il risque de vivre une confusion d’identité et une diffusion des rôles. Il risque de se désintéresser des projets de vie et risque d’avoir de la difficulté à avoir des relations interpersonnelles, jusqu’au sentiment de n’avoir de place nulle part.
Stade d’Erikson: 20-35 ans
- NOM DU STADE
Intimité ou isolement
Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Capacité de s’engager dans une relation intime, sans craindre de perdre son identité
Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- RÉALITÉ
ø
Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- CONSÉQUENCES
- Les jeunes adultes qui a la difficulté à faire confiance risque de se retirer socialement et de développement un sentiment d’isolement.
Stade d’Erikson: 35-65 ans
- NOM DU STADE
GÉNÉRATIVITÉ OU STAGNATION
Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Réalisation du chemin parcouru et reconnaissance de la valeur de son expérience.
Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- RÉALITÉ
ø
Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- CONSÉQUENCES
- L’adulte qui n’a pas eu de problème aux précédentes étapes s’en sort bien. La confiance qu’il a en lui-même est assez forte pour ne pas qu’il se sente menacé. Il peut partager son savoir à la jeune génération et jouer un rôle important.
- Les adultes qui n’ont pas réussi à se réaliser ou à assumer leurs choix de vie sont en difficulté. Ils réalisent que le temps est compté et réalisent que la génération d’en dessous réalise les objectifs qu’il n’a pas réussi à atteindre. Ils risquent de stagner, d’éprouver du désintérêt, du découragement et de se retirer des activités sociales ou projet de vie important.
Stade d’Erikson: 65 ans et plus
- NOM DU STADE
Intégrité ou désespoir
Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- ENJEU FONDAMENTAL
- Constatation de ses réussites et de ses accomplissements, mais aussi reconnaissance des déceptions ; faire la paix avec celles-ci
Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- RÉALITÉ
ø
Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- CONSÉQUENCES
- Son acceptation lui offre un sentiment de plénitude, d’intégrité et de sérénité. La perspective de la mort ne l’effraie pas.
- Si l’adulte n’est pas en paix avec son vécu, il risque de persister un sentiment d’échec, d’incomplétude, d’amertume, de regrets, de déprime ou de désespoir. Il risque de finir sa vie de façon isolée.