Normalité et tr adaptation Flashcards

1
Q

Nommer et décrire les notations habituelles de la normalité

A
  1. Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
    —— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir.
  2. Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
    —— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
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2
Q

Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la quantitié

A
  1. Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
    —— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir.
  2. Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
    —— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
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3
Q

Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la supériorité

A
  1. Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
    —— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir.
  2. Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
    —— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
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4
Q

Nommez les différentes définitions de la santé mentale

A
  1. Freud : c’est aimer, travailler et jouer
    o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
    o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
    o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
  2. Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
  3. Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
    o Le niveau de bien-être subjectif
    o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
    Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
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5
Q

Définition de la santé mentale: Selon FREUD

A
  1. Freud : c’est aimer, travailler et jouer
    o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
    o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
    o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
  2. Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
  3. Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
    o Le niveau de bien-être subjectif
    o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
    Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
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6
Q

Définition de la santé mentale: Selon FREUD
- que veut dire Freud par “c’est aimer, travailler et jouer?”

A
  1. Freud : c’est aimer, travailler et jouer
    o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
    o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
    o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
  2. Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
  3. Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
    o Le niveau de bien-être subjectif
    o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
    Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
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7
Q

Définition de la santé mentale: Selon OMS

A
  1. Freud : c’est aimer, travailler et jouer
    o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
    o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
    o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
  2. Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
  3. Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
    o Le niveau de bien-être subjectif
    o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
    Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
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8
Q

Définition de la santé mentale: Selon COMITÉ DE LA SANTÉ MENTALE AU QUÉBEC

A
  1. Freud : c’est aimer, travailler et jouer
    o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
    o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
    o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
  2. Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
  3. Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
    o Le niveau de bien-être subjectif
    o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
    Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
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9
Q

Définition d’un trouble mental selon DSM

A
  • Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
  • Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
  • Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
  • Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
  • Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
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10
Q

Définition d’un trouble mental selon DSM: qu’est-ce qu’un trouble mental selon le DSM?

A
  • Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
  • Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
  • Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
  • Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
  • Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
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11
Q

Définition d’un trouble mental selon DSM: ce qui différencie trouble mental et normalité

A
  • Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
  • Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
  • Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
  • Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
  • Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
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12
Q

Définition d’un trouble mental selon DSM: exemples de réactions qui ne sont pas reliées à des troubles mentaux

A
  • Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
  • Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
  • Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
  • Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
  • Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
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13
Q

Caractéristiques nécessaires pour avoir titre de trouble mental selon DSM

A

Trouble mental selon le DSM-V :
a. Rupture fonctionnelle (individu ne peut plus fonctionner N à cause des sx)
b. Souffrance cliniquement significative

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14
Q

FDR pour la santé mentale: Les nommer

A

Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.

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15
Q

FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau PERSONNEL

A

Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.

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16
Q

FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau SOCIAL

A

Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.

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17
Q

De quelle manière la notion de santé mentale peut devenir sexiste?

A
  • La notion de santé mentale peut devenir sexiste si les caractéristiques de santé mentale et de normalité s’appuient sur des stéréotypes sexistes, par exemple si l’on se fie, pour qualifier quelqu’un de sain, du rôle traditionnel de chaque sexe dans notre société (homme travaillant et femme au foyer).
  • Ceci entraîne des biais d’évaluation et de thérapie pour les cliniciens.
  • Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
    VS
  • Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
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18
Q

Notion de santé mentale existe: caractéristiques attendues des H vs F

A

Caractéristiques de santé mentale et de normalité peuvent s’appuyer sur des stéréotypes sexistes, car traditionnellement…

  • Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
    VS
  • Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
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19
Q

Lien entre la normalité et la capacité d’adaptation à son milieu

A
  • Si la normalité est considérée comme l’adaptation au milieu, alors le conformisme social risque de devenir la norme.
  • Dans ce cas, toute déviation devient pathologique, ce qui peut entraîner une psychiatrisation excessive de tout comportement perçu comme mésadapté ou déviant (p/e l’homosexualité DSM 2).
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20
Q

Lien entre normalité et le bonheur

A
  • Si la normalité est définie comme le bien-être et l’harmonie intérieure (et donc le mieux-être), le bonheur devient la norme et toute forme de détresse et d’angoisse humaine devient pathologique.
  • La psychiatrie ne peut pas se donner comme objectif l’atteinte du bonheur.
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21
Q

Pourquoi s’intéresser à Freud et Erickson?

A
  • Pourquoi s’intéresser à ces deux vielles barbes? N’y a-t-il pas des auteurs plus… je ne sais pas moi…à la mode, plus cool ou plus sexy… plus moderne quoi!
  • Bien-sûr que si… Mais il reste que ces derniers nous ont donné quelque chose de bien… l’un « invente » l’inconscient, les mécanismes de défenses, et l’autre met en lien l’individu avec son environnement.
  • Très critiqués, souvent avec raison, mais aussi surtout dans le cas de Freud, par lui-même (de là des concepts qui évoluent au gré des ouvrages), ces auteurs nous apportent des notions indissociables de la vision que nous avons de la psyché humaine.
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22
Q

Freud: Sur quoi se base sa théorie du développement de la personnalité?

A
  • La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
  • Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
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23
Q

Théorie du dév de la personnalité de Freud: Qu’est-ce qui peut provoquer une psychopathologie chez un enfant?

A
  • La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
  • Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
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24
Q

Selon Freud: Quelles sont les sources d’énergie?

A
  • Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
    • L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
    • Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
  • Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
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25
Q

Selon Freud: Définir ÉROS

A
  • Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
    • L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
    • Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
  • Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
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26
Q

Selon Freud: Définir THANATOS

A
  • Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
    • L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
    • Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
  • Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
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27
Q

Selon Freud: Lien entre Éros et Thanatos

A
  • Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
    • L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
    • Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
  • Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.
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28
Q

Selon Freud: Différenciez le principe de réalité vs plaisir

A
  • Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
  • Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
  • Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
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29
Q

Selon Freud: Définir le principe de réalité

A
  • Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
  • Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
  • Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
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30
Q

Selon Freud: Définir le principe de plaisir

A
  • Freud a postulé l’existence du principe de réalité, qui permet à l’enfant de retarder la satisfaction de ses désirs en lui trouvant une façon plus adéquate de les satisfaire.
  • Le principe de réalité est médié principalement par le « Moi ».
  • Le principe de plaisir est représenté par une personne qui répond immédiatement à ses désirs afin d’en avoir la satisfaction immédiate (médié principalement par le Ça).
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31
Q

Nommez les niveaux de conscience de la Première topique

A
  1. L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
  2. Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
  3. Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
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32
Q

Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez l’INCONSCIENT

A
  1. L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
  2. Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
  3. Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
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33
Q

Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez le PRÉCONSCIENT

A
  1. L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
  2. Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
  3. Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
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34
Q

Niveaux de conscience de la Première topique: Expliquez le CONSCIENT

A
  1. L’inconscient, qui est constitué de tout ce qui échappe au champ de la conscience et dont on ne peut se rappeler de façon volontaire. C’est le plus vaste des trois niveaux. (Toutes représentations mentales inacceptables et refoulées ; p/e désirs meurtriers)
  2. Le préconscient, qui désigne tout ce qui n’est pas immédiatement présent au champ de la conscience, mais qui demeure accessible si l’on y porte attention ou si l’on fait un effort de rappel (ex : si l’on demande le nom d’un premier amour)
  3. Le conscient, qui correspond à ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience. (Ex : émotions ressenties à la lecture de ce joli guide de lecture)
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35
Q

Pour Freud, l’inconscient est-il accessible au conscient?

A
  • On ne peut accéder à l’inconscient, et ce même lorsqu’on y prête attention.
  • Par contre, son contenu ne cesse de faire pression pour redevenir conscient.
  • Lorsqu’il y parvient, c’est toujours de façon déformée (lapsus, rêves, SYMPTÔMES).
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36
Q

Pour Freud, comment a-t-on accès à l’inconscient?

A
  • On ne peut accéder à l’inconscient, et ce même lorsqu’on y prête attention.
  • Par contre, son contenu ne cesse de faire pression pour redevenir conscient.
  • Lorsqu’il y parvient, c’est toujours de façon déformée (lapsus, rêves, SYMPTÔMES).
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37
Q

Nommez les instances de la 2ème topique

A

En raison des limitations de la première topique, Freud a élaboré une deuxième topique.
1. Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché. Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées. Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate. Le Ça ne tient pas compte de la réalité. Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
2. Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur. Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité. Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience. Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
3. Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi. Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient. Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre). Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.

Entre vous et moi, la figure 9.5 est vraiment très intéressante n’est-ce pas?

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38
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- définir / décrire

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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39
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- qu’est-ce qui est associé au ça?

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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40
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- par quoi cette instance est-elle régie?

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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41
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- tient-il compte de la réalité?

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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42
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- définir: pulsion

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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43
Q

Instances de la 2ème topique: ÇA
- fonction des pulsions

A
  • Le « Ça » : Instance entièrement inconsciente, elle représente le réservoir pulsionnel de la psyché.
  • Les pulsions primitives de vie et de mort (présentées ci-haut) lui sont associées.
  • Cette instance est régie par le principe de plaisir et ne cherche qu’à satisfaire ses désirs de façon immédiate.
  • Le Ça ne tient pas compte de la réalité.
  • Pulsion : poussée qui vise à une satisfaction. C’est une représentation psychique d’une excitation somatique endogène.
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44
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- définir / décrire

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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45
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- son développement

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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46
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- quelle est sa fonction?

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
  • Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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47
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- de quelle manière les fonctions médiatrices sont exercées?

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
  • Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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48
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- dans quel niveau de conscience agit-il?

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense.
  • Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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49
Q

Instances de la 2ème topique: MOI
- définir le principe de réalité

A
  • Le « Moi » : Instance qui émerge progressivement du Ça au cours de la croissance et du contact de l’enfant avec le monde extérieur.
  • Le Moi mature gère les pulsions et contraintes du Ça et les exigences du Surmoi, et permet une harmonie de ceux-ci en étant guidé par le principe de réalité.
  • Cette fonction médiatrice est exercée notamment à l’aide des mécanismes de défense. Il agit dans les trois niveaux de conscience.
  • Principe de réalité : capacité d’ajourner la satisfaction pulsionnelle tout en prenant compte des exigences du monde réel et des conséquences de ses actes.
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50
Q

Instances de la 2ème topique: SURMOI
- sa fonction

A
  • Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
  • Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
  • Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
  • Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
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51
Q

Instances de la 2ème topique: SURMOI
- que représente-t-il?

A
  • Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
  • Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
  • Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
  • Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
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52
Q

Instances de la 2ème topique: SURMOI
- rôle

A
  • Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
  • Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
  • Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
  • Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
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53
Q

Instances de la 2ème topique: SURMOI
- objectif

A
  • Le « Surmoi » : Instance responsable de déterminer les règles de conduite et les lois qui déterminent le comportement du Moi.
  • Il représente les normes morales, les valeurs et les idéaux du conscient.
  • Il a un rôle de censeur et de juge (il critique, punit, juge et énonce les objectifs à atteindre).
  • Bref, il fournit l’idéal auquel l’individu doit se comparer pour guider sa conduite.
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54
Q

Instances de la 2ème topique: SURMOI
- lien entre surmoi, moi et ça?

A
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55
Q

À quel niveau de conscience se retrouve le Moi?

A
  • Le Moi est présent dans tous les champs de la conscience. Par exemple : conscient → prise de décision, inconscient → mécanisme de défense.
  • Le Moi n’est donc pas entièrement conscient!!
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56
Q

Quels sont les buts des mécanismes de défenses?

A
  • Les mécanismes de défenses ont pour but de nourrir les exigences du Surmoi.
  • Les mécanismes de défense sont présents afin de maintenir l’homéostasie au sein du Moi, entre les poussées du Ça et les exigences du Surmoi.
  • Il permet donc de maintenir à distance les pulsions considérées comme indésirables par le Surmoi.
  • Une variété de mécanisme est utilisée chez un Moi sain, comme par exemple l’anticipation, lorsqu’il y a menace à l’intégrité d’une personne.
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57
Q

Mécanismes de défenses chez le moi sain

A
  • Les mécanismes de défenses ont pour but de nourrir les exigences du Surmoi.
  • Les mécanismes de défense sont présents afin de maintenir l’homéostasie au sein du Moi, entre les poussées du Ça et les exigences du Surmoi.
  • Il permet donc de maintenir à distance les pulsions considérées comme indésirables par le Surmoi.
  • Une variété de mécanisme est utilisée chez un Moi sain, comme par exemple l’anticipation, lorsqu’il y a menace à l’intégrité d’une personne.
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58
Q

Dans quel contexte une névrose peut survenir?

A

Si l’intensité des conflits entre les différentes instances dépasse les capacités de défense et d’adaptation, une névrose survient (psychopathologie):
- Le Moi utilise alors de manière stéréotypée et inflexible les mêmes méthodes défensives à chaque fois que la menace pulsionnelle survient
- Les désirs, les pensées et les affects inacceptables sont maintenus dans l’inconscient, mais apparaissent sous forme déformée comme des symptômes.
- L’individu évite les situations qui provoquent ces pulsions et réduit son champ d’activité

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59
Q

Que se passe-t-il lorsque les différentes instances dépassent les capacités de défense et d’adaptation?

A

Si l’intensité des conflits entre les différentes instances dépasse les capacités de défense et d’adaptation, une névrose survient (psychopathologie):
- Le Moi utilise alors de manière stéréotypée et inflexible les mêmes méthodes défensives à chaque fois que la menace pulsionnelle survient
- Les désirs, les pensées et les affects inacceptables sont maintenus dans l’inconscient, mais apparaissent sous forme déformée comme des symptômes.
- L’individu évite les situations qui provoquent ces pulsions et réduit son champ d’activité

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60
Q

Le 3ème topique évoque quoi?

A

La troisième topique évoque des stades de formation de la personnalité

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61
Q

3ème topique: Stade ORAL

A
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62
Q

3ème topique: Stade ORAL
- âge de l’enfant
- nom du stade

A
  • 0 à 14 mois
  • Stade de dépendance
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63
Q

3ème topique: Stade ORAL
- PULSION

A
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64
Q

3ème topique: Stade ORAL
- RÉALITÉ

A
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65
Q

3ème topique: Stade ORAL
- ATTITUDE

A
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66
Q

3ème topique: Stade ORAL
- MÉCANISME DE DÉFENSES

A
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67
Q

3ème topique: Stade ORAL
- TROUBLES

A
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68
Q

3ème topique: Stade ANAL

A
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69
Q

3ème topique: Stade ANAL
- âge de l’enfant
- nom du stade

A
  • 14 mois à 3 ans
  • stade de l’autonomie
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70
Q

3ème topique: Stade ANAL
- PULSION

A
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71
Q

3ème topique: Stade ANAL
- RÉALITÉ

A
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72
Q

3ème topique: Stade ANAL
- ATTITUDE: mécanismes de défense

A
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73
Q

3ème topique: Stade ANAL
- MÉCANISME DE DÉFENSES

A
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74
Q

3ème topique: Stade ANAL
- TROUBLES ASSOCIÉS

A
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75
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE
- autre nom

A

Oedipien

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76
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- âge de l’enfant
- nom du stade

A
  • 3 à 6 ans
  • Organisation du sur Surmoi
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77
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- PULSION

A
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78
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- RÉALITÉ

A
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79
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- ATTITUDE

A
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80
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- MÉCANISME DE DÉFENSES

A
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81
Q

3ème topique: Stade PHALLIQUE ou OEDIPIEN
- TROUBLES ASSOCIÉS

A
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82
Q

3ème topique: LATENCE

A
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Q

3ème topique: LATENCE
- âge de l’enfant

A

6-12 ans

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84
Q

3ème topique: LATENCE
- PULSION

A
  • Ralentissement des pulsions sexuelles
  • Moins de formation de personnalité
  • Le Moi se renforce
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85
Q

3ème topique: LATENCE
- RÉALITÉ

A
  • Ralentissement des pulsions sexuelles
  • Moins de formation de personnalité
  • Le Moi se renforce
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86
Q

3ème topique: LATENCE
- ATTITUDE

A
  • Ralentissement des pulsions sexuelles
  • Moins de formation de personnalité
  • Le Moi se renforce
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87
Q

3ème topique: LATENCE
- MÉCANISME DE DÉFENSES

A

Le Moi peut utiliser le refoulement, l’identification, la sublimation

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Q

3ème topique: LATENCE
- TROUBLES ASSOCIÉS

A

Le Moi peut utiliser le refoulement, l’identification, la sublimation

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89
Q

3ème topique: GÉNITAL

A
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Q

3ème topique: GÉNITAL
- âge de l’enfant

A

puberté à fin de l’adolescence

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91
Q

3ème topique: GÉNITAL
- âge de l’enfant

A

puberté à fin de l’adolescence

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92
Q

3ème topique: GÉNITAL
- ce qui se passe pendant cette phase

A
  • Poussée d’hormones sexuelles, développement et croissance de la libido
    • Le Moi doit s’adapter aux changement physiques et psychiques.
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93
Q

Période de latence: Le Moi se débarrasse du refoulement?

A
  • Le Moi se forme certes durant la période de latence, mais il ne se débarrasse pas du refoulement.
  • Au contraire, il déploie de nombreux mécanismes de défense, dont le refoulement, l’identification et la sublimation
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94
Q

Méthode psychanalytique: Expliquez les fondements

A
  • Le fondement de la méthode psychanalyste est de demander au patient de parler le plus librement possible, dans le but d’amener à la conscience des éléments de vie conflictuels et refoulés.
  • Ces conflits inconscients et mécanismes de défense utilisés sont par la suite analysés, avec pour objectif de faire disparaître les symptômes névrotiques.
  • C’est en quelque sorte le contraire de l’hypnose qui utilise la suggestion.
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95
Q

Méthode psychanalytique: Comment fonctionne-t-elle?

A
  • Le fondement de la méthode psychanalyste est de demander au patient de parler le plus librement possible, dans le but d’amener à la conscience des éléments de vie conflictuels et refoulés.
  • Ces conflits inconscients et mécanismes de défense utilisés sont par la suite analysés, avec pour objectif de faire disparaître les symptômes névrotiques.
  • C’est en quelque sorte le contraire de l’hypnose qui utilise la suggestion.
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96
Q

Relation analytique: Grands principes de base

A
  • Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
  • Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
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97
Q

Relation analytique: Distinguez le transfert du contre-transfert

A
  • Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
  • Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
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98
Q

Relation analytique: Définir / décrire TRANSFERT

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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Relation analytique: TRANSFERT
- définition du transfert

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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Q

Relation analytique: TRANSFERT
- c’est quoi?

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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101
Q

Relation analytique: TRANSFERT
- causes

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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102
Q

Relation analytique: TRANSFERT
- c’est positif ou négatif?

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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103
Q

Relation analytique: TRANSFERT
- son importance

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.
- Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
- Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
- Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
- Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
- Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.

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104
Q

Relation analytique: TRANSFERT
- exemple

A

Transfert : ce sont les émotions, les attributs, les qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute. Bref : Patient → thérapeute.

  • Il s’agit d’une « répétition des prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué »
  • Le patient fait donc jouer des figures parentales au thérapeute tel qu’il les a subjectivement vu dans le passé
  • Il est positif ou négatif, selon les sentiments tendres ou hostiles à l’égard du thérapeute.
  • Initialement considéré comme un obstacle par Freud, il est aujourd’hui un élément clé en psychanalyse.
  • Ex : un patient ne peut pas s’exprimer devant son thérapeute sans se sentir jugé ; la relation qu’il avait avec son père s’est inscrite sous le sceau de la persécution durant son enfance.
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105
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- définir

A
  • Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
  • Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
  • 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
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106
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- causes

A
  • Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
  • Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
  • 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
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107
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- formes de contre-transfert

A
  • Contre-transfert : ce sont l’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient. Bref : thérapeute → patient.
  • Résulte habituellement du transfert du thérapeute envers le patient ou des caractéristiques psychodynamiques du patient.
  • 2 formes: contre-transfert indirect vs direct
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108
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- distinguez le indirect vs direct

A
  • Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».
  • Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier. Comprend deux sous-types de contre-transfert direct : contre-transfert concordant vs complémentaire
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109
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE

A

Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».

  • Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
  • Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressemblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
  • Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
  • Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
  • Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
  • Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: définition

A

Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».

  • Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
  • Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
  • Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
  • Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
  • Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
  • Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: varie en fonction de quoi?

A

Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».

  • Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
  • Varie en fonction des caractéristiques réelles du patient et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
  • Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
  • Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
  • Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
  • Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: ce que le thérapeute devrait faire

A

Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».

  • Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
  • Varie en fonction des caractérisyiques réelles du patiet et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
  • Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
  • Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
  • Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
  • Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme INDIRECTE: exemple

A

Contre-transfert indirect : survient lorsque « l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui-même, mais d’autre chose ».

  • Le patient n’est PAS le principal agent responsable des affects et des pensées qui habitent le thérapeute.
  • Varie en fonction des caractérisyiques réelles du patiet et leur ressamblance avec des figures significatives du passé de la vie du thérapeute.
  • Inclut également le transfert que le thérapeute pourrait faire envers le patient, si ce dernier évoque une figure particulière de son passé.
  • Dans un tel cas, les conflits émotionnels non conclus d’autrefois pourrait infiltrer l’entrevue. Il est du devoir du thérapeute de faire une introspection détaillée dans le but de découvrir quels éléments (physiques, psychologiques ou autres) motivent cette association et également de déterminer si ses réactions sont secondaires à ce transfert ou non.
  • Ex : jeune thérapeute qui focalise son attention sur des pensées orientées par les commentaires de son supérieur → contre-transfert indirect (mais non dû à un transfert de la part du thérapeute).
  • Plus d’infos trouvées sur Internet: Le contre-transfert indirect ne porte pas sur le patient lui-même, mais sur un objet extérieur qui est vécu comme surveillant ou jugeant le traitement analytique. Cet objet extérieur, qui devient le surmoi de l’analyste, peut être représenté par un analyste de « haut rang », un « analyste père », par l’institution à laquelle il appartient ou encore par la société en général. Sous la pression de son surmoi, l’analyste stimule ses propres besoins névrotiques de réussite thérapeutique, afin de contenter ses aspects surmo ïques. Ensuite, par un processus que Racker nomme le sous-transfert, l’analysant est vécu comme le surmoi de l’analyste. Cette situation peut se produire, par exemple, face à un probable échec de l’analyse ou à une aggravation de l’état du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE

A

Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier.

Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:

  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: cause

A

Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier.

Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:

  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: types

A

Contre-transfert direct : induit principalement par le patient et par la nature du transfert avec ce dernier. Comprend deux sous-types de contre-transfert direct:

  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: distinguez le type concordant vs complémentaire

A
  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient. Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie. Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation. Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient. S’inscrit dans la théorie des relations objets. Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - définir

A
  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
  • Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
  • Elle facilité généralement l’empathie.
  • Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
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119
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - conséquences positives

A
  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
  • Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
  • Elle facilité généralement l’empathie.
  • Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - ce qu’elle cause

A
  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
  • Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.
  • Elle facilité généralement l’empathie.
  • Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: CONCORDANT - exemple

A
  • Contre-transfert concordant : le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.
  • Le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient. Elle facilité généralement l’empathie.
  • Ex : si le patient explique être la victime d’une mère humiliante, le thérapeute pourrait ressentir des émotions de honte et même ressentir de la sympathie pour lui.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE

A
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
  • Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
  • S’inscrit dans la théorie des relations objets.
  • Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
  • Plus d’infos d’Internet: Le « contre-transfert complémentaire » se définit lorsque le moi de l’analyste s’identifie à son insu aux objets internes de l’analysant, « l’analyste se sent traité comme l’est l’objet interne dans le monde psychique du patient »
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123
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - définition

A
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
  • Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
  • S’inscrit dans la théorie des relations objets.
  • Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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124
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - qu’est-ce qui se passe dans la tête du thérapeute?

A
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
  • Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
  • S’inscrit dans la théorie des relations objets.
  • Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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125
Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - fait partie de quelle théorie?

A
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
  • Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
  • S’inscrit dans la théorie des relations objets.
  • Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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Q

Relation analytique: CONTRE-TRANSFERT
- Forme DIRECTE: COMPLÉMENTAIRE - exemple

A
  • Contre-transfert complémentaire : le thérapeute s’identifie plutôt aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.
  • Dans cette forme de transfert, le thérapeute est souvent conduit à s’identifier à des parties rejetées, clivées et projetées du patient.
  • S’inscrit dans la théorie des relations objets.
  • Ex : Un thérapeute s’identifie à la mère du patient et formule des remarques critiques à l’égard du patient.
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127
Q

Contre-transfert: Son importance et sa signification

A
  • S’il est bien perçu par le thérapeute, le contre-transfert est une source précieuse d’information sur le monde intérieur du patient et sur la nature des conflits à l’origine de ses souffrances.
  • D’où l’importance pour le thérapeute d’être sans cesse aux aguets des réactions affectives que le patient suscite en lui.
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Q

Erikson et Freud: Ressemblances et différences

A
  • Certes Erikson développe son approche en adhérant aux principes psychanalytiques fondamentaux dans leur ensemble, mais il accorde une importance beaucoup plus grande aux mécanismes mentaux adaptatifs issus du Moi, ainsi qu’à l’influence de l’environnement sur le développement de l’individu.
  • Les dimensions interpersonnelles, sociales et culturelles sont au fondement des stades de développement de sa théorie, contrairement à Freud qui accorde beaucoup d’importance aux processus instinctuels.
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129
Q

Hartmann: Comment perçoit-il le Moi et le Ça?

A
  • Hartmann, contrairement à Freud, postule que le Moi est, dès la naissance, une instance autonome distincte du Ça, même s’ils proviennent du même substrat biologique.
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130
Q

Pour Erikson: qu’est-ce qu’un stade?

A
  • Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
  • Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
  • Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
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131
Q

Pour Erikson: Définir STADE

A
  • Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
  • Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
  • Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
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132
Q

Pour Erikson: Utilité des stades

A
  • Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
  • Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
  • Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
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133
Q

Erikson VS Freud: Ce qui différencie leur classification des stades

A
  • Pour Erikson, un stade est caractérisé par des problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale.
  • Ces tâches intrapsychiques, mais aussi interpersonnelles, doivent être accomplies pour progresser au prochain stade de façon saine.
  • Il est à noter que ces stades, contrairement à Freud, ne se termine pas après la puberté ; ils continuent jusqu’à la mort.
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134
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes

A

** Tableau important pour l’examen, âge aussi! **

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135
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- NAISSANCE À 18 MOIS

A
  • Stades freudiens: Oral
  • Crises ériksoniennes: Confiance ou méfiance fondamentale
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136
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 18 MOIS À 3 ANS

A
  • Stades freudiens: anal
  • Crises ériksoniennes: autonomie ou honte et doute
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137
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 3 À 6 ANS

A
  • Stades freudiens: Phallique-oedipien
  • Crises ériksoniennes: Initiative ou culpabilité
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138
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 6 À 12 ANS

A
  • Stades freudiens: Latence
  • Crises ériksoniennes: Travail ou infériorité
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139
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 12 À 20 ANS

A
  • Stades freudiens: Génital
  • Crises ériksoniennes: Identité ou confusion ou diffusion des rôles
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140
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 20 À 35 ANS

A
  • Crises ériksoniennes: Intimité ou isolement
  • Stades freudiens: ø
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141
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 35 À 65 ANS

A
  • Crises ériksoniennes: Générativité ou stagnation
  • Stades freudiens: ø
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142
Q

Stades psychosexuels vs crises développementales ériksoniennes
- 65 ANS ET PLUS

A
  • Crises ériksoniennes: Intégrité ou désespoir
  • Stades freudiens: ø
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Q

Stade d’Erikson: 0-18 mois
- NOM DU STADE

A

Confiance ou méfiance fondamentale

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Q

Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Développement d’un sentiment de confiance de base envers l’entourage, et ce en raison de la dépendance totale du nourrisson.
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145
Q

Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- RÉALITÉ

A
  • Se développe à travers la gratification ou frustration de ses pulsions.
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146
Q

Stade d’Erikson: 0-18 mois (confiance ou méfiance fondamentale)
- CONSÉQUENCES

A
  • Un sentiment d’optimiste et de confiance peut se développer si l’entourage est présent pour l’enfant et qu’il répond correctement à ses besoins.
  • Un sentiment de méfiance et de crainte envers son entourage peut se développer si ses besoins ne sont pas complètement comblés. L’envie, l’avidité et la possessivité sont des traits courants.
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147
Q

Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans
- NOM DU STADE

A
  • Autonomie ou honte et doute
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148
Q

Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Capacités de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société.
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149
Q

Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- RÉALITÉ

A
  • Les parents peuvent ou non bien accueillir ce rapport de force
  • Se base sur le nouveau contrôle de ses sphincters et de son autonomie grandissante.
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Q

Stade d’Erikson: 18 mois-3 ans (autonomie ou honte et doute)
- CONSÉQUENCES

A
  • Les parents démontrent de la bienveillance dans l’accueil de ce rapport de force. Ils félicitent et soutiennent les efforts de l’enfant tout en gardant une autorité ferme pour lui apprendre le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Permet à l’enfant d’apprendre à reconnaître ses besoins et celui des autres.
  • Les parents peuvent être trop sévères et l’enfant peut vivre le tout avec un sentiment d’échec. Il doute alors de ses capacités. Son processus d’autonomie est alors brimé et divers comportements d’oppositions et de mise en échec peuvent survenir.
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Q

Stade d’Erikson: 3-6 ans
- NOM DU STADE

A

Initiative ou culpabilité

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152
Q

Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Développement du sens de l’initiative et de l’efficacité, de même que pour la capacité d’éprouver du plaisir dans les identifications avec ses objets d’amour
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153
Q

Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- RÉALITÉ

A
  • Les parents peuvent ou non trop réprimander l’enfant face à ses désirs.
  • Élargissement du champ d’action et d’interactions
  • Cherche à se découvrir
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154
Q

Stade d’Erikson: 3-6 ans (initiative ou culpabilité)
- CONSÉQUENCES

A

Si l’attitude des parents est trop culpabilisante envers les désirs d’exploration de l’enfant, l’enfant peut développer de la culpabilité envers ses désirs d’exploration.

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155
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Stade d’Erikson: 6-12 ans
- NOM DU STADE

A

Travail ou infériorité

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156
Q

Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Contrairement au modèle de Freud, Erikson pense que la personnalité continue de se former activement durant cette phase.
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157
Q

Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- RÉALITÉ

A
  • L’enfant développe ses compétences face à son environnement qui s’élargit.
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158
Q

Stade d’Erikson: 6-12 ans (travail ou infériorité)
- CONSÉQUENCES

A
  • Si les nouvelles expériences et rencontres sont bien reçues, l’enfant acquiert un sentiment de compétence.
  • Si les expériences sont vécues négativement, il risque de développer un sentiment d’incompétence et d’infériorité, ce qui freine son exposition au monde.
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159
Q

Stade d’Erikson: 12-20 ans
- NOM DU STADE

A

Identité ou confusion ou diffusion

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160
Q

Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Prise de conscience de qui il est, de ses intérêts et de ses goûts, que ce soit au niveau de son orientation sexuelle, de ses choix politiques ou même au niveau religieux ou professionnel
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161
Q

Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- RÉALITÉ

A
  • Selon son positionnement, il peut vivre une crise d’identité.
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162
Q

Stade d’Erikson: 12-20 ans (identité ou confusion ou diffusion des rôles)
- CONSÉQUENCES

A
  • Si les étapes précédentes se sont bien déroulées, il continue son développement en confiance.
  • Si les étapes précédentes ont été conflictuelles sans solution, il risque de vivre une confusion d’identité et une diffusion des rôles. Il risque de se désintéresser des projets de vie et risque d’avoir de la difficulté à avoir des relations interpersonnelles, jusqu’au sentiment de n’avoir de place nulle part.
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163
Q

Stade d’Erikson: 20-35 ans
- NOM DU STADE

A

Intimité ou isolement

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164
Q

Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Capacité de s’engager dans une relation intime, sans craindre de perdre son identité
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165
Q

Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- RÉALITÉ

A

ø

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166
Q

Stade d’Erikson: 20-35 ans (intimité ou isolement)
- CONSÉQUENCES

A
  • Les jeunes adultes qui a la difficulté à faire confiance risque de se retirer socialement et de développement un sentiment d’isolement.
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167
Q

Stade d’Erikson: 35-65 ans
- NOM DU STADE

A

GÉNÉRATIVITÉ OU STAGNATION

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168
Q

Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Réalisation du chemin parcouru et reconnaissance de la valeur de son expérience.
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169
Q

Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- RÉALITÉ

A

ø

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170
Q

Stade d’Erikson: 35-65 ans (générativité ou stagnation)
- CONSÉQUENCES

A
  • L’adulte qui n’a pas eu de problème aux précédentes étapes s’en sort bien. La confiance qu’il a en lui-même est assez forte pour ne pas qu’il se sente menacé. Il peut partager son savoir à la jeune génération et jouer un rôle important.
  • Les adultes qui n’ont pas réussi à se réaliser ou à assumer leurs choix de vie sont en difficulté. Ils réalisent que le temps est compté et réalisent que la génération d’en dessous réalise les objectifs qu’il n’a pas réussi à atteindre. Ils risquent de stagner, d’éprouver du désintérêt, du découragement et de se retirer des activités sociales ou projet de vie important.
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171
Q

Stade d’Erikson: 65 ans et plus
- NOM DU STADE

A

Intégrité ou désespoir

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172
Q

Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- ENJEU FONDAMENTAL

A
  • Constatation de ses réussites et de ses accomplissements, mais aussi reconnaissance des déceptions ; faire la paix avec celles-ci
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173
Q

Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- RÉALITÉ

A

ø

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174
Q

Stade d’Erikson: 65 ans et plus (intégrité ou désespoir)
- CONSÉQUENCES

A
  • Son acceptation lui offre un sentiment de plénitude, d’intégrité et de sérénité. La perspective de la mort ne l’effraie pas.
  • Si l’adulte n’est pas en paix avec son vécu, il risque de persister un sentiment d’échec, d’incomplétude, d’amertume, de regrets, de déprime ou de désespoir. Il risque de finir sa vie de façon isolée.
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175
Q

Le contrôle sphinctérien peut être un pouvoir de négociation à quel stade? Pourquoi?

A
  • Stade autonomie/honte/doute
  • Enjeu fondamental : capacité de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société. Encore très dépendant de son entourage, mais commence à acquérir un meilleur contrôle de sa motricité, notamment de ses sphincters. Les parents doivent être capables d’accueillir avec bienveillance ce nouveau rapport de force et de négociation avec leur enfant. De plus, comme l’enfant fait d’importantes acquisitions sur les plans moteur et langagier, son champ d’action s’élargit, il cherche à s’affirmer et son autonomie se développe.
  • Les parents doivent soutenir ses efforts vers l’autonomie tout en démontrant une fermeté bienveillante en lui apprenant le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Cet apprentissage l’aide à se distinguer de l’autre par rapport à ses désirs, favorise son émancipation tout en lui permettant de reconnaître les besoins et les désirs de l’autre.
176
Q

Contrôle sphinctérien: Stade

A
  • Stade autonomie/honte/doute
  • Enjeu fondamental : capacité de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société. Encore très dépendant de son entourage, mais commence à acquérir un meilleur contrôle de sa motricité, notamment de ses sphincters. Les parents doivent être capables d’accueillir avec bienveillance ce nouveau rapport de force et de négociation avec leur enfant. De plus, comme l’enfant fait d’importantes acquisitions sur les plans moteur et langagier, son champ d’action s’élargit, il cherche à s’affirmer et son autonomie se développe.
  • Les parents doivent soutenir ses efforts vers l’autonomie tout en démontrant une fermeté bienveillante en lui apprenant le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Cet apprentissage l’aide à se distinguer de l’autre par rapport à ses désirs, favorise son émancipation tout en lui permettant de reconnaître les besoins et les désirs de l’autre.
177
Q

Contrôle sphinctérien: Enjeu fondamental

A
  • Stade autonomie/honte/doute
  • Enjeu fondamental : capacité de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société. Encore très dépendant de son entourage, mais commence à acquérir un meilleur contrôle de sa motricité, notamment de ses sphincters. Les parents doivent être capables d’accueillir avec bienveillance ce nouveau rapport de force et de négociation avec leur enfant. De plus, comme l’enfant fait d’importantes acquisitions sur les plans moteur et langagier, son champ d’action s’élargit, il cherche à s’affirmer et son autonomie se développe.
  • Les parents doivent soutenir ses efforts vers l’autonomie tout en démontrant une fermeté bienveillante en lui apprenant le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Cet apprentissage l’aide à se distinguer de l’autre par rapport à ses désirs, favorise son émancipation tout en lui permettant de reconnaître les besoins et les désirs de l’autre.
178
Q

Contrôle sphinctérien: Stade autonomie / honte / doute
- rôle des parents

A
  • Stade autonomie/honte/doute
  • Enjeu fondamental : capacité de maîtrise et d’autocontrôle de l’enfant, de même que sa capacité à se positionner à l’égard des attentes et des exigences de ses parents et de la société. Encore très dépendant de son entourage, mais commence à acquérir un meilleur contrôle de sa motricité, notamment de ses sphincters. Les parents doivent être capables d’accueillir avec bienveillance ce nouveau rapport de force et de négociation avec leur enfant. De plus, comme l’enfant fait d’importantes acquisitions sur les plans moteur et langagier, son champ d’action s’élargit, il cherche à s’affirmer et son autonomie se développe.
  • Les parents doivent soutenir ses efforts vers l’autonomie tout en démontrant une fermeté bienveillante en lui apprenant le discernement et la prudence dans la réalisation de ses désirs. Cet apprentissage l’aide à se distinguer de l’autre par rapport à ses désirs, favorise son émancipation tout en lui permettant de reconnaître les besoins et les désirs de l’autre.
179
Q

La phase œdipienne est-elle liée à quel stade d’Érikson?

A

Stade initiative/culpabilité

180
Q

Phase oedipienne: Enjeu fondamental

A
  • Stade initiative/culpabilité
  • Enjeu fondamental : la phase œdipienne est critique dans le développement du sens de l’initiative et de l’efficacité de même que pour la capacité d’éprouver du plaisir dans les identifications avec ses objets d’amour.
  • L’enfant élargit son champ d’action et d’interaction avec son environnement. Découvre la différence des sexes et grâce aux jeux d’identification avec ses parents, déploie son identité et cherche à découvrir ce qu’il peut devenir. L’initiative sous-tend cette exploration identitaire, les prises de risques lorsqu’il entre en rivalité pour la conquête de son objet d’amour, mais aussi la découverte grandissante de son environnement.
181
Q

Quel est le lien entre la phase oedipienne et le stade intiative / culpabilité?

A
  • Stade initiative/culpabilité
  • Enjeu fondamental : la phase œdipienne est critique dans le dével du sens de l’initiative et de l’efficacité de même que pour la capacité d’éprouver du plaisir dans les identifications avec ses objets d’amour.
  • L’enfant élargit son champ d’action et d’interaction avec son environnement. Découvre la différence des sexes et grâce aux jeux d’identification avec ses parents, déploie son identité et cherche à découvrir ce qu’il peut devenir. L’initiative sous-tend cette exploration identitaire, les prises de risques lorsqu’il entre en rivalité pour la conquête de son objet d’amour, mais aussi la découverte grandissante de son environnement.
182
Q

Stade initiative/culpabilité: Enjeu fondamental

A
  • Stade initiative/culpabilité
  • Enjeu fondamental : la phase œdipienne est critique dans le développement du sens de l’initiative et de l’efficacité de même que pour la capacité d’éprouver du plaisir dans les identifications avec ses objets d’amour.
  • L’enfant élargit son champ d’action et d’interaction avec son environnement. Découvre la différence des sexes et grâce aux jeux d’identification avec ses parents, déploie son identité et cherche à découvrir ce qu’il peut devenir. L’initiative sous-tend cette exploration identitaire, les prises de risques lorsqu’il entre en rivalité pour la conquête de son objet d’amour, mais aussi la découverte grandissante de son environnement.
183
Q

Stades d’Erikson: Dans quel stade l’individu s’investit comme un citoyen à part entière si les stades précédents se sont bien déroulés?

A
  • L’individu rendu à ce stade s’investit comme un citoyen à part entière si les précédents se sont bien déroulés. De quel stade s’agit-il?
  • Stade identité/confusion/diffusion des rôles (12-20 ans)
  • Enjeu fondamental : l’adolescent doit se positionner vis-à-vis des autres et de leurs attentes, ainsi que face à lui-même, et faire de choix. Ces prises de position peuvent impliquer de déplaire à l’autre ou d’avoir à assumer de + en + son autonomie et à dépendre davantage de ses ressources personnelles, ce qui peut être une importante source d’angoisse. Cette période peut amener l’ado à vivre une véritable crise d’identité.
  • Si les étapes développementales précédentes se sont relativement bien déroulées, l’ado continue à développer sa confiance en lui et envers les autres. Il croit qu’il peut apporter une contribution originale au monde dans lequel il vit. Il s’investit comme citoyen à part entière et contribue par ses intérêts et ses projets à bâtir un monde meilleur.
184
Q

Stade identité/confusion/diffusion des rôles: Enjeu fondamental

A
  • Enjeu fondamental : l’adolescent doit se positionner vis-à-vis des autres et de leurs attentes, ainsi que face à lui-même, et faire de choix.
  • Ces prises de position peuvent impliquer de déplaire à l’autre ou d’avoir à assumer de + en + son autonomie et à dépendre davantage de ses ressources personnelles, ce qui peut être une importante source d’angoisse.
  • Cette période peut amener l’ado à vivre une véritable crise d’identité.
  • Si les étapes développementales précédentes se sont relativement bien déroulées, l’ado continue à développer sa confiance en lui et envers les autres. Il croit qu’il peut apporter une contribution originale au monde dans lequel il vit. Il s’investit comme citoyen à part entière et contribue par ses intérêts et ses projets à bâtir un monde meilleur.
185
Q

Stade identité/confusion/diffusion des rôles: Conséquences

A
  • Enjeu fondamental : l’adolescent doit se positionner vis-à-vis des autres et de leurs attentes, ainsi que face à lui-même, et faire de choix. Ces prises de position peuvent impliquer de déplaire à l’autre ou d’avoir à assumer de + en + son autonomie et à dépendre davantage de ses ressources personnelles, ce qui peut être une importante source d’angoisse. Cette période peut amener l’ado à vivre une véritable crise d’identité.
  • Si les étapes développementales précédentes se sont relativement bien déroulées, l’ado continue à développer sa confiance en lui et envers les autres. Il croit qu’il peut apporter une contribution originale au monde dans lequel il vit. Il s’investit comme citoyen à part entière et contribue par ses intérêts et ses projets à bâtir un monde meilleur.
186
Q

Stade où l’individu peut sentir une menace à son intégrité lorsqu’une nouvelle génération prend la relève

A
  • Stade générativité/stagnation
  • Enjeu fondamental : l’adulte commence à réaliser le chemin parcouru et se voit inévitablement prendre de l’âge. Il réalise qu’une nouvelle génération est déjà en train de prendre la relève, ce qui peut occasionner une nouvelle crise chez lui. Il n’est plus au goût du jour, de nouvelles idées émergent, il y a de nouveaux goûts musicaux, de nouveaux codes vestimentaires, de sorte que l’adulte mûr peut se sentir bouleversé et dépassé par cette nouvelle génération.
  • Les adultes qui n’ont pas réussi à se réaliser ou à assumer leur choix de vie sont d’autant + en difficulté à cette étape. Se rendent compte que leur temps est compté, prennent de + en + conscience qu’ils n’ont pas pu se réaliser comme ils le souhaitaient et, en même temps, réalisent qu’une nouvelle génération se manifeste et commence à atteindre des objectifs qu’ils n’ont pas eux-mêmes accomplis. Risquent donc de stagner, d’éprouver du désintérêt et du découragement et de se retirer des activités sociales ou de tout projet de vie significatif.
187
Q

Stade générativité/stagnation: Enjeu fondamental

A
  • Enjeu fondamental : l’adulte commence à réaliser le chemin parcouru et se voit inévitablement prendre de l’âge. Il réalise qu’une nouvelle génération est déjà en train de prendre la relève, ce qui peut occasionner une nouvelle crise chez lui. Il n’est plus au goût du jour, de nouvelles idées émergent, il y a de nouveaux goûts musicaux, de nouveaux codes vestimentaires, de sorte que l’adulte mûr peut se sentir bouleversé et dépassé par cette nouvelle génération.
  • Les adultes qui n’ont pas réussi à se réaliser ou à assumer leur choix de vie sont d’autant + en difficulté à cette étape. Se rendent compte que leur temps est compté, prennent de + en + conscience qu’ils n’ont pas pu se réaliser comme ils le souhaitaient et, en même temps, réalisent qu’une nouvelle génération se manifeste et commence à atteindre des objectifs qu’ils n’ont pas eux-mêmes accomplis. Risquent donc de stagner, d’éprouver du désintérêt et du découragement et de se retirer des activités sociales ou de tout projet de vie significatif.
188
Q

Stade générativité/stagnation: Quels sont les individus le plus à risque de trouver ce stade difficile?

A
  • Enjeu fondamental : l’adulte commence à réaliser le chemin parcouru et se voit inévitablement prendre de l’âge. Il réalise qu’une nouvelle génération est déjà en train de prendre la relève, ce qui peut occasionner une nouvelle crise chez lui. Il n’est plus au goût du jour, de nouvelles idées émergent, il y a de nouveaux goûts musicaux, de nouveaux codes vestimentaires, de sorte que l’adulte mûr peut se sentir bouleversé et dépassé par cette nouvelle génération.
  • Les adultes qui n’ont pas réussi à se réaliser ou à assumer leur choix de vie sont d’autant + en difficulté à cette étape. Se rendent compte que leur temps est compté, prennent de + en + conscience qu’ils n’ont pas pu se réaliser comme ils le souhaitaient et, en même temps, réalisent qu’une nouvelle génération se manifeste et commence à atteindre des objectifs qu’ils n’ont pas eux-mêmes accomplis. Risquent donc de stagner, d’éprouver du désintérêt et du découragement et de se retirer des activités sociales ou de tout projet de vie significatif.
189
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 1ère TOPIQUE

A
  • Conscient: Actuellement accessible
  • Préconscient: Peut y avoir accès si réfléchit
  • Inconscient: Aucun accès même en essayant de le trouver
190
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 1ère TOPIQUE: CONSCIENT

A

Actuellement accessible

191
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 1ère TOPIQUE: PRÉCONSCIENT

A

Peut y avoir accès si on réfléchit

192
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 1ère TOPIQUE: INCONSCIENT

A

Aucun accès même en essayant de le trouver

193
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 2e TOPIQUE

A
194
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 2e TOPIQUE: ÇA

A
  • Structure des pulsions et des désirs
  • Gouverné par le principe de plaisir
  • Tout est possible, aucun doute, négation, temporalité, certitudes
  • Entièrement dans l’inconscient
195
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 2e TOPIQUE: MOI

A
  • Se développe progressivement avec les expériences de l’individu
  • Tente de créer un équilibre entre le Ça, le Surmoi et la réalité
  • En partie dans le conscient, préconscient et inconscient
  • Rempli plusieurs fcts (contrôle et régulation des pulsions, relation à la réalité, mécanismes de défense, synthèse, fcts autonomes, jugement, relations d’objets)
196
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 2e TOPIQUE: SURMOI

A
  • Apprentissage progressif des normes et règles de conduite
  • Critique, juge et décrit l’idéal à atteindre
  • Intériorisation de l’autorité parentale au terme du stade œdipien
197
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 3e TOPIQUE

A
198
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- 3e TOPIQUE: EXPLIQUEZ

A
  • Passage obligé de plusieurs stades de dével en fct de l’âge appelés « stades psychosexuels »
  • Chq stade correspond à des enjeux spécifiques, zones érogènes (source de plaisir) et contrainte de la réalité
  • Découle des conflits qui peuvent ne pas être résolus = fixation et/ou régression
  • Fixation peut être liée à carence ou sur-gratification à un certain stade
  • Stades de la naissance ad fin de l’adolescence
199
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- ÉNERGIES PSYCHIQUES

A

Énergies psychiques
1. Éros (instinct de vie) à libido
2. Thanatos (instinct de mort ou destruction) à agressivité

Psyché vise l’équilibre entre ces deux forces dans le but d’obtenir le plaisir sans souffrance

200
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud
- PRINCIPES RÉGISSANT LE PSYCHÉ

A
  • Principe de plaisir
    • Chercher à satisfaire un besoin de façon immédiate
    • Processus primaires : ne tient pas compte de la réalité
  • Principe de réalité
    • Processus secondaires : intégrer la réalité
    • Possible de retarder une satisfaction - Plaisir n’est pas le seul but à atteindre
201
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud - PRINCIPES RÉGISSANT LE PSYCHÉ
- PRINCIPE DE PLAISIR

A
  • Principe de plaisir
    • Chercher à satisfaire un besoin de façon immédiate
    • Processus primaires : ne tient pas compte de la réalité
  • Principe de réalité
    • Processus secondaires : intégrer la réalité
    • Possible de retarder une satisfaction - Plaisir n’est pas le seul but à atteindre
202
Q

Tableau résumé: Hypothèses de Freud - PRINCIPES RÉGISSANT LE PSYCHÉ
- PRINCIPE DE RÉALITÉ

A
  • Principe de plaisir
    • Chercher à satisfaire un besoin de façon immédiate
    • Processus primaires : ne tient pas compte de la réalité
  • Principe de réalité
    • Processus secondaires : intégrer la réalité
    • Possible de retarder une satisfaction
    • Plaisir n’est pas le seul but à atteindre
203
Q

Quel philosophe est célèbre pour sa proposition des mécanismes de défense?

A
  • Vaillant identifie un groupe de mécanismes de défense mature (altruisme, anticipation, humour, sublimation) qui permet aux individus de faire face aux stresseurs de la vie.
  • Erikson: modèle des cycles de vie
    • il observe une hiérarchie des mécanismes de défense du Moi qui se construit à mesure que les hommes avancent en âge
  • Vaillant arrive par contre à la conclusion que les capacités d’adaptation des individus évoluent et dépendent davantage de leurs caractéristiques personnelles d’adaptation qu’à l’environnement.
204
Q

Modèle des mécanismes de défense: Philosophies impliquées

A
  • Erikson: modèle des cycles de vie
    • il observe une hiérarchie des mécanismes de défense du Moi qui se construit à mesure que les hommes avancent en âge
  • Vaillant arrive par contre à la conclusion que les capacités d’adaptation des individus évoluent et dépendent davantage de leurs caractéristiques personnelles d’adaptation qu’à l’environnement.
205
Q

Modèle des mécanismes de défense: Erikson vs Vaillant

A
  • Erikson: modèle des cycles de vie
    • il observe une hiérarchie des mécanismes de défense du Moi qui se construit à mesure que les hommes avancent en âge
  • Vaillant arrive par contre à la conclusion que les capacités d’adaptation des individus évoluent et dépendent davantage de leurs caractéristiques personnelles d’adaptation qu’à l’environnement.
206
Q

Selon Vaillant: Quels sont les mécanismes de défense matures?

A
  • Selon Vaillant, l’humour, tout comme l’altruisme, l’anticipation et la sublimation sont des mécanismes de défense matures qui permettent aux individus sains de faire face aux stresseurs de la vie.
  • Les individus qui les utilisent sont plus enclin à montrer un ajustement normal à la vie (satisfaction conjugale, bon état de santé physique…)
207
Q

Selon Vaillant: Avantages d’avoir des mécanismes de défense matures

A
  • Selon Vaillant, l’humour, tout comme l’altruisme, l’anticipation et la sublimation sont des mécanismes de défense matures qui permettent aux individus sains de faire face aux stresseurs de la vie.
  • Les individus qui les utilisent sont plus enclin à montrer un ajustement normal à la vie (satisfaction conjugale, bon état de santé physique…)
208
Q

Mécanisme de défense: Définition

A
  • Processus psychologiques automatiques et généralement inconscients qui protègent l’individu de l’anxiété, de facteurs de stress internes ou externes tels des conflits émotionnels.
  • (Élizabeth Ricard: Mécanismes de défense : processus psychologiques automatiques et généralement inconscients qui protègent l’individu de l’anxiété, de facteurs de stress internes ou externe tels des conflits émotionnels. Afin de neutraliser ses conflits émotionnels, la personne élabore des défenses qui maintiennent en dehors de sa conscience les idées, les sentiments, les souvenirs, les désirs ou les peurs susceptibles de représenter une menace potentielle.)
209
Q

Ego psychology: Chef du mouvement

A
  • Cette approche s’est attardée à décrire une série de mécanismes de défense utilisés par le Moi pour gérer les conflits.
  • Anna Freud a mis l’accent sur l’importance de comprendre et d’interpréter les défenses dans le travail psychothérapeutique.
  • Les mécanismes de défense ont été catégorisés selon une hiérarchie adaptative.
  • Les défenses immatures sont associées à un bas niveau de fonctionnement, alors que les défenses matures sont associées à un fonctionnement + sain.
  • C’est toutefois Hartmann qui, en reformulant la théorie freudienne, a été le véritable chef de file du mvt de l’Ego psychology.
  • Il a développé l’idée d’un « Moi libre de tout conflit » et la psychanalyse, a surtout été définie comme une méthode d’adaptation du Moi à la réalité.
210
Q

Ego psychology: C’est quoi?

A
  • Cette approche s’est attardée à décrire une série de mécanismes de défense utilisés par le Moi pour gérer les conflits.
  • Anna Freud a mis l’accent sur l’importance de comprendre et d’interpréter les défenses dans le travail psychothérapeutique.
  • Les mécanismes de défense ont été catégorisés selon une hiérarchie adaptative.
  • Les défenses immatures sont associées à un bas niveau de fonctionnement, alors que les défenses matures sont associées à un fonctionnement + sain.
  • C’est toutefois Hartmann qui, en reformulant la théorie freudienne, a été le véritable chef de file du mvt de l’Ego psychology.
  • Il a développé l’idée d’un « Moi libre de tout conflit » et la psychanalyse, a surtout été définie comme une méthode d’adaptation du Moi à la réalité.
211
Q

Mécanismes de défense: Nommez-les

A
  • Altruisme
  • Anticipation
  • Ascétisme
  • Déni
  • Déplacement
  • Dissociation
  • Fantasie schizoïde
  • Formation
  • réactionnelle
  • Humour
  • Intellectualisation
  • Introjection
  • Isolation de l’affect
  • Passage à l’acte (Acting out)
  • Passivité-agressivité
  • Projection
  • Rationalisation
  • Refoulement
  • Régression
  • Somatisation
  • Sublimation
  • Supression ou répression
  • Clivage
  • Annulation rétroactive
  • Identification projective
212
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: ALTRUISIME

A
  • La personne satisfait ses propres besoins en répondant aux besoins des autres.
  • Le conflit tourne autour d’une détresse liée à des situations stressantes de son passé, dans lesquelles elle n’a pas trouvé toute l’aide nécessaire.
  • Ex : « Ça me fait du bien d’aider quelqu’un qui vit la même chose que j’ai vécu avec tant de difficulté ».
213
Q

Donnez un EXEMPLE le mécanisme de défense suivant: ALTRUISME

A
  • La personne satisfait ses propres besoins en répondant aux besoins des autres. Le conflit tourne autour d’une détresse liée à des situations stressantes de son passé, dans lesquelles elle n’a pas trouvé toute l’aide nécessaire.
  • Ex : « Ça me fait du bien d’aider quelqu’un qui vit la même chose que j’ai vécu avec tant de difficulté ».
214
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: ANTICIPATION

A
  • La personne anticipe les conséquences émotionnelles de problèmes à venir et ressent une détresse en se représentant des idées et des affects stressants.
  • Ce scénario anticipatoire, cette répétition mentale permettant néanmoins à la personne d’élaborer une réponse plus adaptée au conflit qui peut survenir et à l’angoisse qu’elle pourrait affronter.
  • Ex : Une personne imagine la réaction de ses parents avant de leur annoncer une nouvelle difficile
215
Q

Donnez un EXEMPLE le mécanisme de défense suivant: ANTICIPATION

A
  • La personne anticipe les conséquences émotionnelles de problèmes à venir et ressent une détresse en se représentant des idées et des affects stressants. Ce scénario anticipatoire, cette répétition mentale permettant néanmoins à la personne d’élaborer une réponse plus adaptée au conflit qui peut survenir et à l’angoisse qu’elle pourrait affronter.
  • Ex : Une personne imagine la réaction de ses parents avant de leur annoncer une nouvelle difficile
216
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: ASCÉTISME

A
  • La personne adopte une discipline volontaire du corps et de l’esprit cherchant à tendre vers une perfection, par une forme de renoncement ou d’abnégation (renoncement de soi-même et de ses besoins).
  • Bref, on essaie d’avoir un esprit pur, de viser le « noble ».
  • L’ascèse vient du mot grec askésis qui fait partie à l’origine du vocabulaire sportif et qui désigne l’exigeant mode de vie adopté par les athlètes :
    • régime alimentaire ;
    • sommeil ;
    • exercices.
  • L’ascèse implique des renoncements, des privations. C’est une discipline de vie. Il s’agit de s’imposer une discipline (auto-discipline) et ainsi d’exercer sa volonté contre des tendances naturelles du corps ou de l’esprit.
217
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: ASCÉTISME

A
  • La personne adopte une discipline volontaire du corps et de l’esprit cherchant à tendre vers une perfection, par une forme de renoncement ou d’abnégation (renoncement de soi-même et de ses besoins).
  • Bref, on essaie d’avoir un esprit pur, de viser le « noble ».
  • L’ascèse vient du mot grec askésis qui fait partie à l’origine du vocabulaire sportif et qui désigne l’exigeant mode de vie adopté par les athlètes :
    • régime alimentaire ;
    • sommeil ;
    • exercices.
  • L’ascèse implique des renoncements, des privations. C’est une discipline de vie. Il s’agit de s’imposer une discipline (auto-discipline) et ainsi d’exercer sa volonté contre des tendances naturelles du corps ou de l’esprit.
218
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: DÉNI

A
  • La personne adopte une non-considération d’une partie de la réalité.
  • Ex : Un patient présent à l’urgence pour douleur thoracique refuse tout examen complémentaire, disant que l’épisode est fini
  • Ex. Un homme agit comme si le décès de sa conjointe n’avait pas eu lieu, il continue à communiquer avec elle, de lui acheter des cadeaux, etc.
219
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: DÉNI

A
  • La personne adopte une non-considération d’une partie de la réalité.
  • Ex : Un patient présent à l’urgence pour douleur thoracique refuse tout examen complémentaire, disant que l’épisode est fini
  • Ex. Un homme agit comme si le décès de sa conjointe n’avait pas eu lieu, il continue à communiquer avec elle, de lui acheter des cadeaux, etc.
220
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: DÉPLACEMENT

A
  • La personne déplace un sentiment ou une réponse d’un objet vers un autre.
  • Le déplacement autorise plus facilement l’expression de l’affect et de la gratification de la pulsion, car l’objet sur lequel s’effectue le déplacement est habituellement moins menaçant que l’objet initial qui a inspiré ce sentiment.
  • Ex : Au retour d’une journée de travail épuisante, un homme se fâche contre son chien
221
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: DÉPLACEMENT

A
  • La personne déplace un sentiment ou une réponse d’un objet vers un autre. Le déplacement autorise plus facilement l’expression de l’affect et de la gratification de la pulsion, car l’objet sur lequel s’effectue le déplacement est habituellement moins menaçant que l’objet initial qui a inspiré ce sentiment.
  • Ex : Au retour d’une journée de travail épuisante, un homme se fâche contre son chien –> il déplace sur son chien des affects de colère éprouvés plis tantôt dans la journée contre son patron et qui étaients alors impossible d’exprimer
  • Ex. Un jeune enfant présente une peur des chevaux au moment de sa crise oedipidienne déplaçant ainsi sur l’animal ses angoisses de castration
222
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: DISSOCIATION

A
  • La personne vit une altération des fonctions d’intégration de la conscience, de la mémoire, de la perception de Soi ou de l’environnement.
  • L’affect ou la pulsion s’exprime alors hors du conscient.
  • La dissociation sert à « dissoudre » le matériel psychique trop menaçant ou anxiogène.
  • Les états de transes, d’amnésie ou de dépersonnalisation font partie de cette catégorie.
  • Ex : Une jeune fille victime d’agression sexuelle répétée à l’impression de quitter son corps au moment de l’acte
223
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: DISSOCIATION

A
  • La personne vit une altération des fonctions d’intégration de la conscience, de la mémoire, de la perception de Soi ou de l’environnement. L’affect ou la pulsion s’exprime alors hors du conscient. La dissociation sert à « dissoudre » le matériel psychique trop menaçant ou anxiogène. Les états de transes, d’amnésie ou de dépersonnalisation font partie de cette catégorie.
  • Ex : Une jeune fille victime d’agression sexuelle répétée à l’impression de quitter son corps au moment de l’acte –> le phénomène de dépersonnalisation la coupe ainsi d’une expérience affective insoutenable
  • Ex. Il est usuel de séparer des sentiments, des expériences pénibles, des comportements de notre mémoire de consciente, en les dissociant, en les oubliant.
224
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: FANTAISIE SCHIZOÏDE

A
  • Consiste à se réfugier dans l’imaginaire de sorte à oublier les conflits ou les aspects désagréables de la réalité.
  • Bref, avoir des rêves de puissance, qui l’aveuglent, ce qui permet de vivre dans la misérabilité.
225
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: FANTAISIE SCHIZOIDE

A
  • Consiste à se réfugier dans l’imaginaire de sorte à oublier les conflits ou les aspects désagréables de la réalité.
  • Bref, avoir des rêves de puissance, qui l’aveuglent, ce qui permet de vivre dans la misérabilité.
226
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: FORMATION RÉACTIONNELLE

A
  • La personne substitue à un comportement, à des pensées ou à des sentiments inacceptables d’autres qui leur sont diamétralement opposés. La formation réactionnelle permet d’éviter un sentiment de culpabilité ou peut alimenter le souhait de se sentir moralement supérieur.
  • Ex : Une femme catholique ressent une pulsion sexuelle avant le mariage et devient sœur.
  • Ex. Un employé est obséquieux envers son patron, pour qui il éprouve pourtant beaucoup de colère.
  • Ex. Une personne s’interdit des choses qu’elle désire en y substituant des sentiments d’aversion (p. ex., une pudeur excessive face à la sexualité).
227
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: FORMATION RÉACTIONELLE

A
  • La personne substitue à un comportement, à des pensées ou à des sentiments inacceptables d’autres qui leur sont diamétralement opposés. La formation réactionnelle permet d’éviter un sentiment de culpabilité ou peut alimenter le souhait de se sentir moralement supérieur.
  • Ex : Une femme catholique ressent une pulsion sexuelle avant le mariage et devient sœur.
  • Ex. Un employé est obséquieux envers son patron, pour qui il éprouve pourtant beaucoup de colère.
  • Ex. Une personne s’interdit des choses qu’elle désire en y substituant des sentiments d’aversion (p. ex., une pudeur excessive face à la sexualité).
228
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: HUMOUR

A
  • La personne met de l’avant des aspects amusants ou ironiques de la situation qu’elle vit.
  • L’humour tend à relicher la tension provoquée par le confit d’une manière qui permet à tout le monde de se sentir plus à l’aise.
  • C’est bien différent des commentaires moqueurs ou cinglants qui créent un malaise.
  • Ex. Au moment de commencer une présentation sur le deuil, le conférencier (et les auditeurs qui s’apprêtent à l’écouter) constate que le projecteur ne fonctionne pas, ce qui suscite un embarras général, auquel il met en en disant avec le sourire : “ Il faut croire que je devrai en faire le deuil “
229
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: HUMOUR

A
  • La personne met de l’avant des aspects amusants ou ironiques de la situation qu’elle vit.
  • L’humour tend à relicher la tension provoquée par le confit d’une manière qui permet à tout le monde de se sentir plus à l’aise.
  • C’est bien différent des commentaires moqueurs ou cinglants qui créent un malaise.
  • Ex. Au moment de commencer une présentation sur le deuil, le conférencier (et les auditeurs qui s’apprêtent à l’écouter) constate que le projecteur ne fonctionne pas, ce qui suscite un embarras général, auquel il met en en disant avec le sourire : “ Il faut croire que je devrai en faire le deuil “
230
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: INTELLECTUALISATION

A
  • La personne s’adonne à un usage excessif de pensées abstraites ou de généralisations (ex : se créer une théorie pour expliquer ses gestes) pour contrôler ou minimiser ses sentiments gênants.
  • Elle parle en termes généraux, livresques ou à la 3e personne pour mettre ses émotions à distance.
  • Elle accorde une prépondérance à la pensée abstraite pour bloquer l’émergence et la reconnaissance des affects et fantasmes.
  • Ex. À la suite d’une séparation amoureuse difficile, un patient s’exprime en ces termes : “ Le concept de liaison amoureuse ne tient de toute façon plus la route dans notre société actuelle.
  • Ex. Questionné par son thérapeute au sujet de sa tristesse, un patient lui répond en adoptant un ton plutôt détaché : “ Ma tristesse est la conséquence inévitable des attentes extrêmes de mes parents durant mon enfance. “
231
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: INTELLECTUALISATION

A
  • La personne s’adonne à un usage excessif de pensées abstraites ou de généralisations (ex : se créer une théorie pour expliquer ses gestes) pour contrôler ou minimiser ses sentiments gênants.
  • Elle parle en termes généraux, livresques ou à la 3e personne pour mettre ses émotions à distance.
  • Elle accorde une prépondérance à la pensée abstraite pour bloquer l’émergence et la reconnaissance des affects et fantasmes.
  • Ex. À la suite d’une séparation amoureuse difficile, un patient s’exprime en ces termes : “ Le concept de liaison amoureuse ne tient de toute fajon plus la route dans notre société actuelle.
  • Ex. Questionné par son thérapeute au sujet de sa tristesse, un patient lui répond en adoptant un ton plutôt détaché : “ Ma tristesse est la conséquence inévitable des attentes extrêmes de mes parents durant mon enfance. “
232
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: INTROJECTION

A
  • Processus par lequel un sujet transpose, sur un mode fantasmatique, des objets extérieurs partiels ou totaux, ou encore des qualités de ces objets, dans les différentes instances de son appareil psychique.
  • L’introjection : ce qui fait partie de l’environnement est éprouvé comme faisant partie de Soi.
  • L’introjection, par exemple, est nécessaire à l’apprentissage, mais peut devenir une défense quand une personne n’assimile pas le contenu d’une introjection et ne fait qu’agir en fonction de quelque chose qu’elle semble avoir absorbé sans discernement.
  • Exemple : une mère qui a été abandonnée par son mari et qui élève seule sa fille peut par exemple se mettre à boire ou se retrouver dans des grandes difficultés financières. Son enfant, sa fille va introjecter inconsciemment la douleur de sa mère et à l’âge adulte peut se mettre en échec amoureux, sans comprendre pourquoi… (ayant introjecté la souffrance de sa mère à cause de son père absent)
233
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: INTROJECTION

A
  • Processus par lequel un sujet transpose, sur un mode fantasmatique, des objets extérieurs partiels ou totaux, ou encore des qualités de ces objets, dans les différentes instances de son appareil psychique.
  • L’introjection : ce qui fait partie de l’environnement est éprouvé comme faisant partie de Soi.
  • L’introjection, par exemple, est nécessaire à l’apprentissage, mais peut devenir une défense quand une personne n’assimile pas le contenu d’une introjection et ne fait qu’agir en fonction de quelque chose qu’elle semble avoir absorbé sans discernement.
  • Exemple : une mère qui a été abandonnée par son mari et qui élève seule sa fille peut par exemple se mettre à boire ou se retrouver dans des grandes difficultés financières. Son enfant, sa fille va introjecter inconsciemment la douleur de sa mère et à l’âge adulte peut se mettre en échec amoureux, sans comprendre pourquoi… (ayant introjecté la souffrance de sa mère à cause de son père absent)
234
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: ISOLATION DE L’AFFECT

A
  • Isolation de l’affect : La personne sépare les idées des sentiments qui leur étaient initialement associés.
  • Elle perd le contact avec les sentiments associés à une situation donnée, alors qu’elle reste consciente des éléments cognitifs.
  • La fonction de l’isolation, qui accompagne souvent l’intellectualisation, sert à éloigner les affects menaçants comme la honte, le dégout, la culpabilité ou l’angoisse.
  • Ex. Une personne décrit des événements difficiles de façon détaillée, mais sans émotion, comme un narrateur extérieur.
  • Ex. Un policier fait un rapport descriptif et neutre d’une scène de crime ou d’un accident.
235
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: ISOLATION DE L’AFFECT

A
  • Isolation de l’affect : La personne sépare les idées des sentiments qui leur étaient initialement associés.
  • Elle perd le contact avec les sentiments associés à une situation donnée, alors qu’elle reste consciente des éléments cognitifs.
  • La fonction de l’isolation, qui accompagne souvent l’intellectualisation, sert à éloigner les affects menaçants comme la honte, le dégout, la culpabilité ou l’angoisse.
  • Ex. Une personne décrit des événements difficiles de façon détaillée, mais sans émotion, comme un narrateur extérieur.
  • Ex. Un policier fait un rapport descriptif et neutre d’une scène de crime ou d’un accident.
236
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: PASSAGE À L’ACTE (ACTING OUT)

A
  • La personne se tourne vers l’action pour éviter d’entrer en contact avec des sentiments ou des représentations mentales désagréables d’elle-même.
  • Il s’agit d’une défense inadaptée puisque sa motivation profonde est inconsciente.
  • Elle n’atténue pas le conflit intérieur et peut être nocif pour la personne ou autrui.
  • Ex : Une jeune femme s’automutile après avoir vécu une expérience de rejet avec son partenaire amoureux.
  • Ex. Après avoir injustement rétrogradé injustement à son travail, un homme va au casino, s’envire et dépense son argent de façon inconsidérée
237
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: PASSAGE À L’ACTE (ATING OUT)

A
  • La personne se tourne vers l’action pour éviter d’entrer en contact avec des sentiments ou des représentations mentales désagréables d’elle-même.
  • Il s’agit d’une défense inadaptée puisque sa motivation profonde est inconsciente.
  • Elle n’atténue pas le conflit intérieur et peut être nocif pour la personne ou autrui.
  • Ex : Une jeune femme s’automutile après avoir vécu une expérience de rejet avec son partenaire amoureux.
  • Ex. Après avoir injustement rétrogradé injustement à son travail, un homme va au casino, s’envire et dépense son argent de façon inconsidérée
238
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: PASSIVITÉ-AGRESSIVITÉ

A
  • La personne sabote autrui de façon indirecte et non combative, en utilisant des attitudes passives qui consistent en diverses formes de résistance, d’impuissance apparente ou d’évitement dans les activités et les relations interpersonnelles.
  • Très présent chez les adolescents.
  • Ex : Un employé qui cultive une colère sourde envers son patron tarde à lui remettre le travail demandé (procrastination), occasionnant ainsi des problèmes.
  • Ex: Un employé se présente en retard à une réunion durant laquelle doit être prise une décision avec laquelle il est en désaccord. Le vote doit être reporté à une réunion ultérieure, ce qui suscite une certaine colère dans le groupe. L’employé, pour sa part, se sent soulagé.
239
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: PASSSIVITÉ-AGRESSIVITÉ

A
  • La personne sabote autrui de façon indirecte et non combative, en utilisant des attitudes passives qui consistent en diverses formes de résistance, d’impuissance apparente ou d’évitement dans les activités et les relations interpersonnelles.
  • Très présent chez les adolescents.
  • Ex : Un employé qui cultive une colère sourde envers son patron tarde à lui remettre le travail demandé (procrastination), occasionnant ainsi des problèmes.
  • Ex: Un employé se présente en retard à une réunion durant laquelle doit être prise une décision avec laquelle il est en désaccord. Le vote doit être reporté à une réunion ultérieure, ce qui suscite une certaine colère dans le groupe. L’employé, pour sa part, se sent soulagé.
240
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: PROJECTION

A
  • La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, ses pulsions ou ses pensées inacceptables.
  • La projection névrotique expulse hors de la personne des émotions ou des motivations désagréables ou qui la rendent trop vulnérable.
  • Ex : J’ai envie de tuer un homme, alors je lui dit que j’ai l’impression qu’il veut me tuer.
  • Ex. Je suis stressée alors je dis au patient qu’il n’a pas besoin d’être stressé
241
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: PROJECTION

A
  • La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, ses pulsions ou ses pensées inacceptables.
  • La projection névrotique expulse hors de la personne des émotions ou des motivations désagréables ou qui la rendent trop vulnérable.
  • Ex : J’ai envie de tuer un homme, alors je lui dit que j’ai l’impression qu’il veut me tuer.
  • Ex. Je suis stressée alors je dis au patient qu’il n’a pas besoin d’être stressé
242
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: RATIONALISATION

A
  • La personne cherche à donner une explication cohérente, logique, acceptable, morale à une attitude, un sentiment dont elle ne perçoit pas les véritables motifs afin de dissimuler à elle-même et à autrui les motivations réelles de ses pensées.
  • Très présent chez les anti-sociaux.
  • Ex: Une personne donne plus d’explications à ses actes qu’il ne semble nécessaire.
  • Ex: À la suite d’une rupture amoureuse vécue de façon douloureuse, un patient dit à son thérapeute “ Au fond, c’est ce qui pouvait m’arriver de mieux parce que…” , alors qu’il aurait souhaité la poursuite de la relation.
  • Ex : À la suite d’une séance de thérapie particulièrement intense, une patiente ne se présente pas au rendez-vous suivant, justifiant sa conduite à son thérapeute en évoquant “ un horaire trop chargé “.
243
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: RATIONALISATION

A
  • La personne cherche à donner une explication cohérente, logique, acceptable, morale à une attitude, un sentiment dont elle ne perçoit pas les véritables motifs afin de dissimuler à elle-même et à autrui les motivations réelles de ses pensées.
  • Très présent chez les anti-sociaux.
  • Ex: Une personne donne plus d’explications à ses actes qu’il ne semble nécessaire.
  • Ex: À la suite d’une rupture amoureuse vécue de façon douloureuse, un patient dit à son thérapeute “ Au fond, c’est ce qui pouvait m’arriver de mieux parce que…” , alors qu’il aurait souhaité la poursuite de la relation.
  • Ex : À la suite d’une séance de thérapie particulièrement intense, une patiente ne se présente pas au rendez-vous suivant, justifiant sa conduite à son thérapeute en évoquant “ un horaire trop chargé “.
244
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: REFOULEMENT

A
  • La personne expulse de sa conscience des désirs, des pensées ou des expériences pénibles.
  • Le sentiment peut rester conscient, mais il est détaché des idées qui y sont rattachées.
  • Ex : La personne « oublie » de signer le chèque de son loyer à son propriétaire
  • Ex: Une personne se vexe sans raison apparente envers un copain, lors d’une discussion. La personne et le copain ne comprennent pas d’où provient la colère.
  • Ex: Une patiente commence à pleurer en thérapie au moment d’aborder un sujet en apparence anodin. Elle ne sait pas pourquoi elle pleure. dne représentation semble ici avoir été refoulée, laissant seul l’affect émerger à la conscience.
245
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: REFOULEMENT

A
  • La personne expulse de sa conscience des désirs, des pensées ou des expériences pénibles.
  • Le sentiment peut rester conscient, mais il est détaché des idées qui y sont rattachées.
  • Ex : La personne « oublie » de signer le chèque de son loyer à son propriétaire
  • Ex: Une personne se vexe sans raison apparente envers un copain, lors d’une discussion. La personne et le copain ne comprennent pas d’où provient la colère.
  • Ex: Une patiente commence à pleurer en thérapie au moment d’aborder un sujet en apparence anodin. Elle ne sait pas pourquoi elle pleure. Une représentation semble ici avoir été refoulée, laissant seul l’affect émerger à la conscience.
246
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: RÉGRESSION

A

Passage d’un état psychique plus avancé à un stade plus archaïque du développement.

247
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: RÉGRESSION

A
  • Prenons l’exemple d’un adulte se trouvant dans une situation conflictuelle au travail et qui s’en trouve malade. En conséquence, il ne peut pas se rendre au travail, tout en requérant des soins et de l’attention, de la même façon qu’un enfant qui n’est pas encore autonome.
248
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: SOMATISATION

A
  • C’est une forme de déplacement, mais le déplacement se fait « à l’intérieur ». Il ne déplace pas le problème sur un objet, mais sur une partie de lui.
  • Ex : idées homosexuelles à la vue de quelqu’un du même sexe→ devient aveugle
249
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: SOMATISATION

A
  • C’est une forme de déplacement, mais le déplacement se fait « à l’intérieur ». Il ne déplace pas le problème sur un objet, mais sur une partie de lui.
  • Ex : idées homosexuelles à la vue de quelqu’un du même sexe→ devient aveugle
250
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: SUBLIMATION

A
  • La personne canalise ses sentiments et pulsions inadaptées vers un comportement socialement acceptable, le plus souvent altruiste ou spirituel.
  • Ex: Une compétitivité avec agressivité se trouve redirigée vers des compétitions sportives ou dans un travail acharné.
  • Ex: Des pulsions sexuelles peuvent s’exprimer au travers de la chorégraphie ou des créations artistiques.
  • Ex: La profession de chirurgien permet de transformer un geste à première vue agressif (incision) en action thérapeutique.
251
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: SUBLIMATION

A
  • La personne canalise ses sentiments et pulsions inadaptées vers un comportement socialement acceptable, le plus souvent altruiste ou spirituel.
  • Ex: Une compétitivité avec agressivité se trouve redirigée vers des compétitions sportives ou dans un travail acharné.
  • Ex: Des pulsions sexuelles peuvent s’exprimer au travers de la chorégraphie ou des créations artistiques.
  • Ex: La profession de chirurgien permet de transformer un geste à première vue agressif (incision) en action thérapeutique.
252
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: SUPPRESSION OU RÉPRESSION

A
  • La personne évite délibérément et consciemment de penser à des problèmes, des désirs ou des expériences pénibles, mais temporairement.
  • C’est un report, afin de garder le focus sur quelque chose de plus pressant.
  • Ex. Après avoir été critiqué injustement par son patron devant ses collègues de travail, l’employé décide de réprimer sa colère jusqu’à un moment ultérieur oà il pourra discuter de l’événement en privé avec son patron.
  • Ex: Une personne “ met de côté “ consciemment les pensées et affects pénibles associés à des tensions conjugales récentes dans son couple pour être en mesure de se consacrer effacement à son travail.
253
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: SUPPRESSION OU RÉPRESSION

A
  • La personne évite délibérément et consciemment de penser à des problèmes, des désirs ou des expériences pénibles, mais temporairement.
  • C’est un report, afin de garder le focus sur quelque chose de plus pressant.
  • Ex. Après avoir été critiqué injustement par son patron devant ses collègues de travail, l’employé décide de réprimer sa colère jusqu’à un moment ultérieur oà il pourra discuter de l’événement en privé avec son patron.
  • Ex: Une personne “ met de côté “ consciemment les pensées et affects pénibles associés à des tensions conjugales récentes dans son couple pour être en mesure de se consacrer effacement à son travail.
254
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: CLIVAGE

A
  • La personne compartimente des états affectifs opposés et ne parvient pas à intégrer ses propres qualités et défauts, et ceux des autres dans des images cohérentes.
  • Ne pouvant éprouver simultanément des affects ambivalents, la personne n’est pas nuancée et le Soi et les objets alternent entre des positions opposées. Beaucoup de noir ou blanc.
  • Ex: Une patiente hospitalisée décrit son psychiatre comme un homme “cruel et sans aucune empathie”, tandis qu’elle parle de son infirmière comme “la femme la plus sensible qu’elle ait jamais rencontrée” (clivage des objets).
  • Ex. D’une séance à l’autre, une patiente se décrit tantôt comme “une ordure digne d’aucun amour”, tantôt comme “une femme injustement célibataire, puisque dotée de tant de qualités” (clivage du Soi).
  • Ex. Une patiente souffrant d’un trouble de la personnalité limite suscite des réactions affectives très polarisées parmi les membres du personnel de l’unité oà elle est hospitalisée. Certains éprouvent beaucoup de colère envers elle et jugent “ qu’elle n’a pas sa place à l’hôpital “ d’autres la trouvent souffrante et adoptent une attitude maternelle et protectrice à son égard. Lorsque ce phénomène est observé au sein d’une équipe traitante, il indique souvent qu’un clivage est induit par le patient. Les membres du personnel sont souvent surpris de réaliser à quel point leurs perceptions du patient diffèrent de celles de leurs collègues.
255
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: CLIVAGE

A
  • La personne compartimente des états affectifs opposés et ne parvient pas à intégrer ses propres qualités et défauts, et ceux des autres dans des images cohérentes.
  • Ne pouvant éprouver simultanément des affects ambivalents, la personne n’est pas nuancée et le Soi et les objets alternent entre des positions opposées. Beaucoup de noir ou blanc.
  • Ex: Une patiente hospitalisée décrit son psychiatre comme un homme “cruel et sans aucune empathie”, tandis qu’elle parle de son infirmière comme “la femme la plus sensible qu’elle ait jamais rencontrée” (clivage des objets).
  • Ex. D’une séance à l’autre, une patiente se décrit tantôt comme “une ordure digne d’aucun amour”, tantôt comme “une femme injustement célibataire, puisque dotée de tant de qualités” (clivage du Soi).
256
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: ANNULATION RÉTROACTIVE

A
  • La personne utilise des mots ou des comportements visant à corriger symboliquement des pensées, des sentiments ou des actes jugés inacceptables. Ce mécanisme vise à annuler après coup et à considérer comme non advenu un acte ou une pensée à l’origine d’un conflit psychologique.
  • Ex. Une patiente dit : “ Parfois, mon conjoint me rend folle; non ce n’est pas vrai, pas vraiment folle. “
  • Avant de s’exprimer, une personne énonce d’abord une affirmation qui annule le poids de ce qu’elle va dire ensuite : “ Je me trompe sûrement, mais… “
  • Ex. “ Une patiente encore inconsciente de son transfert amoureux envers son thérapeute lui dit en débutant la description de l’un de ses rêves : “ Vous allez sûrement dire que cela signifie que j’éprouve des désirs pour vous, mais je vous annonce tout de suite que ce n’est pas le cas”
  • Ex. “ Un patient rapporte que sa mère “ est malgré tout une bien bonne personne “ après avoir décrit combien il a souffert de son manque d’amour sa vie durant.
257
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: ANNULATION RÉTROACTIVE

A
  • La personne utilise des mots ou des comportements visant à corriger symboliquement des pensées, des sentiments ou des actes jugés inacceptables. Ce mécanisme vise à annuler après coup et à considérer comme non advenu un acte ou une pensée à l’origine d’un conflit psychologique.
  • Ex. Une patiente dit : “ Parfois, mon conjoint me rend folle; non ce n’est pas vrai, pas vraiment folle. “
  • Avant de s’exprimer, une personne énonce d’abord une affirmation qui annule le poids de ce qu’elle va dire ensuite : “ Je me trompe sûrement, mais… “
  • Ex. “ Une patiente encore inconsciente de son transfert amoureux envers son thérapeute lui dit en débutant la description de l’un de ses rêves : “ Vous allez sûrement dire que cela signifie que j’éprouve des désirs pour vous, mais je vous annonce tout de suite que ce n’est pas le cas”
  • Ex. “ Un patient rapporte que sa mère “ est malgré tout une bien bonne personne “ après avoir décrit combien il a souffert de son manque d’amour sa vie durant.
258
Q

Définir le mécanisme de défense suivant: IDENTIFICATION PROJECTIVE

A
  • Pour ce mécanisme, il faut être au moins 2. 1 qui reçoit et l’autre qui projette.
  • Il doit y avoir un lien entre les 2 (canal de communication).
  • C’est passer une partie de son problème sur l’autre personne alors qu’il n’y a pas raison de le passer à l’autre.
  • C’est une forme de projection, mais la personne ne désavoue pas totalement ce qui est projeté.
  • Ex : Au contact d’une patiente, un thérapeute est envahi par l’idée “ qu’elle ne pourra jamais s’en sortir “ et se trouve habité par un sentiment de découragement, que la patiente reconnait aussi en elle.
  • Ex. Les exemples de contre-transferts directs concordants et complémentaires mentionnés dans la sous-section 74.1.2 constituent également des illustrations d’identification projective.
259
Q

Donnez un EXEMPLE du mécanisme de défense suivant: IDENTIFICATION PROJECTIVE

A
  • Pour ce mécanisme, il faut être au moins 2. 1 qui reçoit et l’autre qui projette.
  • Il doit y avoir un lien entre les 2 (canal de communication).
  • C’est passer une partie de son problème sur l’autre personne alors qu’il n’y a pas raison de le passer à l’autre.
  • C’est une forme de projection, mais la personne ne désavoue pas totalement ce qui est projeté.
  • Ex : Au contact d’une patiente, un thérapeute est envahi par l’idée “ qu’elle ne pourra jamais s’en sortir “ et se trouve habité par un sentiment de découragement, que la patiente reconnait aussi en elle.
  • Ex. Les exemples de contre-transferts directs concordants et complémentaires mentionnés dans la sous-section 74.1.2 constituent également des illustrations d’identification projective.
260
Q

Mécanismes de défense: Conscient ou inconscient?

A

Tous ces mécanismes de défense sont inconscients sauf la suppression qui est semi-consciente.

261
Q

Mécanismes de défense: Seul mécanisme conscient

A

Tous ces mécanismes de défense sont inconscients sauf la suppression qui est semi-consciente.

262
Q

Mécanismes de défense: Leur classification

A
  • Niveau adaptif élevé (accroit la gratification et permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif modéré-élevé (expulse de la conscience mais permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif faible (ne permet pas de régler le conflit puisqu’il y a trop grande distorsion ou agissement inadéquat)
263
Q

Mécanismes de défense: Les différents niveaux d’adaptation

A
  • Niveau adaptif élevé (accroit la gratification et permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif modéré-élevé (expulse de la conscience mais permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif faible (ne permet pas de régler le conflit puisqu’il y a trop grande distorsion ou agissement inadéquat)
264
Q

Mécanismes de défense: Définir niveau adaptif ÉLEVÉ

A
  • Niveau adaptif élevé: Les défenses de ce niveau accroissent la gratification et autorisent pour la personne, la perception consciente de ses sentiments, de ses idées et de leurs conséquences tout en permettant de répondre à ses conflits émotionnels et aux affects associés.
  • Niveau adaptatif modéré-élevé (expulse de la conscience mais permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif faible (ne permet pas de régler le conflit puisqu’il y a trop grande distorsion ou agissement inadéquat)
265
Q

Mécanismes de défense: Définir niveau adaptif MODRÉRÉ-ÉLEVÉ

A
  • Niveau adaptif élevé (accroit la gratification et permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif modéré-élevé (expulse de la conscience mais permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif faible (ne permet pas de régler le conflit puisqu’il y a trop grande distorsion ou agissement inadéquat)
266
Q

Mécanismes de défense: Définir niveau adaptif FAIBLE

A
  • Niveau adaptif élevé (accroit la gratification et permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif modéré-élevé (expulse de la conscience mais permet de régler le conflit)
  • Niveau adaptatif faible (ne permet pas de régler le conflit puisqu’il y a trop grande distorsion ou agissement inadéquat)
267
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ALTRUISME

A

ÉLEVÉ

268
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ANTICIPATION

A

ÉLEVÉ

269
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ASCÉTISME

A

ÉLEVÉ

270
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- DÉNI

A

FAIBLE

271
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- DÉPLACEMENT

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

272
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- DISSOCIATION

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

273
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- FANTASIE SCHIZOÏDE

A

FAIBLE

274
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- FORMATION RÉACTIONNELLE

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

275
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- HUMOUR

A

ÉLEVÉ

276
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- INTELLECTUALISATION

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

277
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- INTROJECTION

A

PAS MENTIONNÉ

278
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ISOLATION DE L’AFFECT

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

279
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ACTING OUT

A

FAIBLE

280
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- PASSIVITÉ AGRESSIVITÉ

A

FAIBLE

281
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- PROJECTION

A

FAIBLE

282
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- RATIONALISATION

A

FAIBLE

283
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- REFOULEMENT

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

284
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- RÉGRESSION

A

FAIBLE

285
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- SOMATISATION

A

FAIBLE

286
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- SUBLIMATION

A

ÉLEVÉ

287
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- SUPPRESION OU RÉGRESSION

A

ÉLEVÉ

288
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- CLIVAGE

A

FAIBLE

289
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- ANNULATION RÉTROACTIVE

A

MODÉRÉ-ÉLEVÉ

290
Q

Mécanismes de défense: Dire le niveau adaptif
- IDENTIFICATION PROJECTIVE

A

FAIBLE

291
Q

Système bio-psycho-social: IMAGE

A
292
Q

Système bio-psycho-social: Nommez les facteurs BIOLOGIQUES

A
  • Génétiques
  • Facteurs pré et périnataux (infectieux, endocriniens, métabolique, vasculaires)
  • Neurosciences
  • Neuroanatomie
  • Neurotransmission
  • Physiologie cellulaire et cérébrale
  • Métabolisme
293
Q

Système bio-psycho-social: Nommez les facteurs PSYCHIQUES

A
  • Identité personnelle
  • Estime de soi
  • Relations d’objet et d’attachement
  • Inconscient, conscience
  • Mécanismes de défense
  • Capacité cognitives et affectives
  • Capacités adaptatives
  • Pulsions, motivation
  • Personnalité
  • Émotions
294
Q

Système bio-psycho-social: Nommez les facteurs SOCIOCULTURELS

A
  • Facteurs sociodémographiques (âge, sexe, statut social, logement)
  • Relations avec les parents, les amis
  • Stabilité familiale
  • Modèles éducatifs, styles parentaux
  • Systèmes de valeurs
  • Niveau socio-économique
  • Cohésion sociale
  • Groupe ethnique d’appartenance
  • Normes culturelles
  • Scolarisation
  • Travail / chômage / pauvreté / invalidité
  • Économie, politique
  • Environnement
295
Q

Système bio-psycho-social: Son importance

A
  • En considérant ces 3 composantes, il impose au médecin de considérer la totalité du patient avant de poser son diagnostic ou d’amorcer un traitement.
  • Il ne s’agit pas d’une liste de symptômes à cocher.
296
Q

Système bio-psycho-social: Rôle de la BIOLOGIE dans les maladies psychologiques

A
  • Aujourd’hui, avec les connaissances médicales acquises, il est clair et certain que les maladies psychologiques ont une composante biologique associée, qui est nécessaire au début de la pathologie.
  • Un polymorphisme génétique peut être une base pour plusieurs maladies psychiatriques.
  • Toutefois, il n’existe pas de marqueur biologique fiable et spécifique afin d’orienter à coup sur le diagnostic et traitement.
  • Le diagnostic psychiatrique se base alors sur un examen clinique attentif avec beaucoup d’observation.
297
Q

Système bio-psycho-social: Rôle de la GÉNÉTIQUE dans les maladies psychologiques

A
  • Aujourd’hui, avec les connaissances médicales acquises, il est clair et certain que les maladies psychologiques ont une composante biologique associée, qui est nécessaire au début de la pathologie.
  • Un polymorphisme génétique peut être une base pour plusieurs maladies psychiatriques.
  • Toutefois, il n’existe pas de marqueur biologique fiable et spécifique afin d’orienter à coup sur le diagnostic et traitement.
  • Le diagnostic psychiatrique se base alors sur un examen clinique attentif avec beaucoup d’observation.
298
Q

Marqueur biologique pour le dx des maladies psychiatriques

A
  • Aujourd’hui, avec les connaissances médicales acquises, il est clair et certain que les maladies psychologiques ont une composante biologique associée, qui est nécessaire au début de la pathologie.
  • Un polymorphisme génétique peut être une base pour plusieurs maladies psychiatriques.
  • Toutefois, il n’existe pas de marqueur biologique fiable et spécifique afin d’orienter à coup sur le diagnostic et traitement.
  • Le diagnostic psychiatrique se base alors sur un examen clinique attentif avec beaucoup d’observation.
299
Q

Sur quoi se base les dx psychiatriques?

A
  • Aujourd’hui, avec les connaissances médicales acquises, il est clair et certain que les maladies psychologiques ont une composante biologique associée, qui est nécessaire au début de la pathologie.
  • Un polymorphisme génétique peut être une base pour plusieurs maladies psychiatriques.
  • Toutefois, il n’existe pas de marqueur biologique fiable et spécifique afin d’orienter à coup sur le diagnostic et traitement.
  • Le diagnostic psychiatrique se base alors sur un examen clinique attentif avec beaucoup d’observation.
300
Q

Facteurs socioculturels: Impacts sur les maladies psychiatriques

A
  1. La culture elle-même peut faire varier l’expression de la maladie. Par exemple, la dépression se manifeste plus souvent par des somatisations chez la personne d’origine asiatique. Le DSM-V admet aussi des variations de présentation selon le statut culturel.
  2. Il en est de même que pour la réponse au traitement, puisque par exemple le métabolisme des médicaments est affecté par la génétique des différentes cultures ou encore que les interventions sociales soient mieux ou moins bien tolérées (hébergement, loisirs, fonctionnement, etc…).
  3. L’environnement peut aussi être facteur de risque : on peut y retrouver des substances chimiques à même de favoriser le développement d’une maladie
301
Q

Impacts des facteurs socio-culturels sur l’EXPRESSION des maladies psychiatriques

A
  • La culture elle-même peut faire varier l’expression de la maladie.
  • Par exemple, la dépression se manifeste plus souvent par des somatisations chez la personne d’origine asiatique.
  • Le DSM-V admet aussi des variations de présentation selon le statut culturel.
  • Il en est de même que pour la réponse au traitement, puisque par exemple le métabolisme des médicaments est affecté par la génétique des différentes cultures ou encore que les interventions sociales soient mieux ou moins bien tolérées (hébergement, loisirs, fonctionnement, etc…). L’environnement peut aussi être facteur de risque : on peut y retrouver des substances chimiques à même de favoriser le développement d’une maladie.
302
Q

Impacts des facteurs socio-culturels sur le TRAITEMENT des maladies psychiatriques

A
  • La culture elle-même peut faire varier l’expression de la maladie. Par exemple, la dépression se manifeste plus souvent par des somatisations chez la personne d’origine asiatique. Le DSM-V admet aussi des variations de présentation selon le statut culturel.
  • Il en est de même que pour la réponse au traitement, puisque par exemple le métabolisme des médicaments est affecté par la génétique des différentes cultures ou encore que les interventions sociales soient mieux ou moins bien tolérées (hébergement, loisirs, fonctionnement, etc…).
  • L’environnement peut aussi être facteur de risque : on peut y retrouver des substances chimiques à même de favoriser le développement d’une maladie
303
Q

Impacts de l’ENVIRONNEMENT des maladies psychiatriques

A
  • La culture elle-même peut faire varier l’expression de la maladie. Par exemple, la dépression se manifeste plus souvent par des somatisations chez la personne d’origine asiatique. Le DSM-V admet aussi des variations de présentation selon le statut culturel. Il en est de même que pour la réponse au traitement, puisque par exemple le métabolisme des médicaments est affecté par la génétique des différentes cultures ou encore que les interventions sociales soient mieux ou moins bien tolérées (hébergement, loisirs, fonctionnement, etc…).
  • L’environnement peut aussi être facteur de risque : on peut y retrouver des substances chimiques à même de favoriser le développement d’une maladie.
304
Q

Modèle bio-psycho-social et causalité circulaire

A

Il permet de saisir les interactions entre les processus biologiques et les fonctions affectives et cognitives. Il permet entre-autre de comprendre les effets des thérapies, puisque la modification d’un aspect modifie également un autre :

  • Les médicaments modifient la biologie
  • Les psychothérapies modifient les cognitions, les émotions et les comportements
  • La thérapie familiale ou les programmes de réinsertions sociales modifient l’environnement.
305
Q

Modèle bio-psycho-social et causalité circulaire: Impact sur le traitement

A

Il permet de saisir les interactions entre les processus biologiques et les fonctions affectives et cognitives.

Il permet entre-autre de comprendre les effets des thérapies, puisque la modification d’un aspect modifie également un autre:

  • Les médicaments modifient la biologie
  • Les psychothérapies modifient les cognitions, les émotions et les comportements
  • La thérapie familiale ou les programmes de réinsertions sociales modifient l’environnement.
306
Q

Qu’est-il nécessaire qu’une thérapie cause pour qu’elle soit efficace?

A
  • Pour être efficace, une thérapie doit modifier la physiologie cérébrale.
  • Aujourd’hui, les techniques d’imagerie cérébrale permettent de prouver que les psychothérapies remanient les processus biochimiques et mènent à des sentiments, pensées et actions.
  • C’est le relation thérapeute-patient qui permet d’user de la plasticité cérébrale pour reconfigurer les connexions neuronales.
  • Cette grande plasticité du cerveau est également très fortement influencée par l’environnement, d’où l’utilité des thérapies familiales et programmes de réinsertions sociaux.
  • Les expériences vécues durant l’enfance et celle de la vie façonnent la cytoarchitecture du cerveau et sa physiologie.
307
Q

De quelle manière peut-on confirmer qu’une thérapie a bien fonctionné?

A
  • Pour être efficace, une thérapie doit modifier la physiologie cérébrale.
  • Aujourd’hui, les techniques d’imagerie cérébrale permettent de prouver que les psychothérapies remanient les processus biochimiques et mènent à des sentiments, pensées et actions.
  • C’est le relation thérapeute-patient qui permet d’user de la plasticité cérébrale pour reconfigurer les connexions neuronales.
  • Cette grande plasticité du cerveau est également très fortement influencée par l’environnement, d’où l’utilité des thérapies familiales et programmes de réinsertions sociaux.
  • Les expériences vécues durant l’enfance et celle de la vie façonnent la cytoarchitecture du cerveau et sa physiologie.
308
Q

Qu’est-ce qui est nécessaire pour la reconfiguration neuronale?

A
  • Pour être efficace, une thérapie doit modifier la physiologie cérébrale.
  • Aujourd’hui, les techniques d’imagerie cérébrale permettent de prouver que les psychothérapies remanient les processus biochimiques et mènent à des sentiments, pensées et actions.
  • C’est le relation thérapeute-patient qui permet d’user de la plasticité cérébrale pour reconfigurer les connexions neuronales.
  • Cette grande plasticité du cerveau est également très fortement influencée par l’environnement, d’où l’utilité des thérapies familiales et programmes de réinsertions sociaux.
  • Les expériences vécues durant l’enfance et celle de la vie façonnent la cytoarchitecture du cerveau et sa physiologie.
309
Q

Par quoi la plasiticité cérébrale est-elle influencée?

A
  • Pour être efficace, une thérapie doit modifier la physiologie cérébrale.
  • Aujourd’hui, les techniques d’imagerie cérébrale permettent de prouver que les psychothérapies remanient les processus biochimiques et mènent à des sentiments, pensées et actions.
  • C’est le relation thérapeute-patient qui permet d’user de la plasticité cérébrale pour reconfigurer les connexions neuronales.
  • Cette grande plasticité du cerveau est également très fortement influencée par l’environnement, d’où l’utilité des thérapies familiales et programmes de réinsertions sociaux.
  • Les expériences vécues durant l’enfance et celle de la vie façonnent la cytoarchitecture du cerveau et sa physiologie.
310
Q

Qu’est-ce qui influence la cytoarchitecture du cerveau?

A
  • Pour être efficace, une thérapie doit modifier la physiologie cérébrale.
  • Aujourd’hui, les techniques d’imagerie cérébrale permettent de prouver que les psychothérapies remanient les processus biochimiques et mènent à des sentiments, pensées et actions.
  • C’est le relation thérapeute-patient qui permet d’user de la plasticité cérébrale pour reconfigurer les connexions neuronales.
  • Cette grande plasticité du cerveau est également très fortement influencée par l’environnement, d’où l’utilité des thérapies familiales et programmes de réinsertions sociaux.
  • Les expériences vécues durant l’enfance et celle de la vie façonnent la cytoarchitecture du cerveau et sa physiologie.
311
Q

Interactions entre le cerveau et l’environnement

A

C’est le cerveau qui permet l’interaction avec l’environnement :

  • Ressent et analyse les perceptions des sens
  • Élabore des pensées par la parole et la planification d’action
  • Siège de l’esprit, qui permet un état mental, des croyances, des désirs ou des intentions à autrui. D’ailleurs, qu’une personne face un geste, s’imagine le faire ou regarde quelqu’un le faire, un même circuit neuronal sera activé (principe des neurones miroirs).
312
Q

Formulation de synthèse: C’est quoi?

A
  • C’est une sorte de synthèse des informations tirées de l’entretien médical qui classe l’information pertinente afin d’arriver à une compréhension bio-psycho-sociale du patient.
  • Il permet ensuite d’élaborer un plan de traitement spécifique à son contexte.
313
Q

Quelle est la structure du tableau de synthèse?

A

Le tableau de synthèse est classé selon des facteurs biologiques, psychologiques ou sociaux, lesquels peuvent être prédisposants, perpétuants, protecteurs ou précipitants.

314
Q

Tableau de synthèse: Quels sont les facteurs énumérés / expliqués?

A
  • Facteurs biologiques
  • Facteurs psychologiques
  • Facteurs sociaux
315
Q

Tableau de synthèse: Définir / décrire les facteurs BIOLOGIQUES

A

Les facteurs biologiques réfèrent aux facteurs génétiques, médicaux, pharmacologiques (incluant les psychotropes) propres au patient.

  • Ils peuvent découler des antécédents personnels familiaux
  • Ils peuvent découler des traitements pharmacologiques
  • Ils peuvent découler de ses habitudes de vie et de consommation.
316
Q

Tableau de synthèse: Définir / décrire les facteurs PSYCHOLOGIQUES

A

Les facteurs psychologiques s’inspirent d’une ou plusieurs théories psychopathologiques (psychodynamique, cognitive, comportementale, systématique, développemental d’Erikson, etc…).

Elle concerne

  • Les caractéristiques du Soi
  • Les mécanismes de défense
  • Les enjeux au développement émotionnel
  • Des aspects cognitifs
  • La spiritualité
317
Q

Tableau de synthèse: Définir / décrire les facteurs SOCIAUX

A

Les facteurs sociaux réfèrent

  • Au contexte de vie antérieur et actif
  • Fonctionnement quotidien
  • Évènement de vie significatif
  • Relations interpersonnelles
  • Réseau de soutien social
  • Impact de la culture
318
Q

Tableau de synthèse: Quels sont les différents niveaux exprimés?

A
  • Le niveau prédisposant réfère au contexte d’avant sa naissance ainsi que de son enfance.
  • Le niveau perpétuant sont les habitudes de vie au long terme.
  • Le niveau protecteur révèle de ce qui favorise la santé
  • Le niveau précipitant identifie des facteurs récents qui peuvent avoir déclenché l’épisode.
319
Q

Tableau de synthèse: Définir niveau PRÉDISPOSANT

A
  • Le niveau prédisposant réfère au contexte d’avant sa naissance ainsi que de son enfance.
  • Le niveau perpétuant sont les habitudes de vie au long terme.
  • Le niveau protecteur révèle de ce qui favorise la santé
  • Le niveau précipitant identifie des facteurs récents qui peuvent avoir déclenché l’épisode.
320
Q

Tableau de synthèse: Définir niveau PERPÉTUANT

A
  • Le niveau prédisposant réfère au contexte d’avant sa naissance ainsi que de son enfance.
  • Le niveau perpétuant sont les habitudes de vie au long terme.
  • Le niveau protecteur révèle de ce qui favorise la santé
  • Le niveau précipitant identifie des facteurs récents qui peuvent avoir déclenché l’épisode.
321
Q

Tableau de synthèse: Définir niveau PROTECTEUR

A
  • Le niveau prédisposant réfère au contexte d’avant sa naissance ainsi que de son enfance.
  • Le niveau perpétuant sont les habitudes de vie au long terme.
  • Le niveau protecteur révèle de ce qui favorise la santé
  • Le niveau précipitant identifie des facteurs récents qui peuvent avoir déclenché l’épisode.
322
Q

Tableau de synthèse: Définir niveau PRÉCIPITANT

A
  • Le niveau prédisposant réfère au contexte d’avant sa naissance ainsi que de son enfance.
  • Le niveau perpétuant sont les habitudes de vie au long terme.
  • Le niveau protecteur révèle de ce qui favorise la santé
  • Le niveau précipitant identifie des facteurs récents qui peuvent avoir déclenché l’épisode.
323
Q

Éléments pouvant figurer dans une formulation de synthèse: IMAGE

A
324
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉDISPOSANTS

A
325
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉDISPOSANTS
- BIOLOGIQUES

A
  • Oncle psychotique
  • Suicide du père
  • Mère dépressive
  • Parents alcooliques
  • Frère toxicomane
  • Histoire d’anoxie cérébrale à la naissance (APGAR bas)
326
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉDISPOSANTS
- PSYCHOLOGIQUES

A
  • Insécurité de base
  • Incapacité à gérer l’anxiété
  • Sentiment d’incompétence du Soi
327
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉDISPOSANTS
- SOCIAUX

A
  • Négligence, violence parentale
  • Abus en bas âge
  • Intimidation, rejet par les pairs
  • Placements répétitifs en foyers d’accueil
  • Séparation, maladie des parents en bas âge
  • Immigration
328
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PERPÉTUANTS
- BIOLOGIQUES

A
  • Abus d’alcool ou d’autres drogues
  • Alimentation inappropriée
  • Six hospitalisations antérieures
  • Inobservance ou prise erratique de la médication
  • Symptômes psychotiques persistants
329
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PERPÉTUANTS
- PSYCHOLOGIQUES

A
  • Tempérament timide, inquiet, inhibé
  • Impulsivité
  • Déficit de mentalisation, de théorie de l’esprit
  • Absence d’intériorisation des interdits
  • Faible estime de soi
  • Déni de la maladie, manque d’autocritique
  • Attitude désabusée, défaitiste
  • Besoins de dépendance
  • Crainte de l’attachement
  • Crainte de l’abandon
  • Sensibilité au rejet
  • Difficulté à faire confiance à autrui
  • Difficulté d’adaptation aux changements
330
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PERPÉTUANTS
- SOCIAUX

A

• Incapacité à maintenir un emploi
• Manque d’assiduité aux rendez-vous
• Insécurité financière (perte d’emploi, absence de revenu, etc.)
• Absence de relations significatives, solitude
• Difficulté d’intégration sociale
• Instabilité conjugale
• Haute expressivité émotive dans la famille
• Fréquentation de milieux marginaux
• Misère sociale, instabilité du lieu de résidence, itinérance

331
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PROTECTEURS
- BIOLOGIQUES

A
  • Prise régulière de la médication IM
  • Pilulier supervisé
  • Arrêt des drogues depuis trois ans
  • Exercice pour contrôler son poids
  • Suivi d’un régime alimentaire
  • Engagement dans le suivi avec son médecin
332
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PROTECTEURS
- PSYCHOLOGIQUES

A
  • Attachement à son frère
  • Intelligence supérieure
  • Peu de déficits cognitifs significatifs
  • Intéressé à ses études
  • Résilience malgré l’adversité
  • Ambition, projets d’avenir importants
  • Bonne intériorisation des interdits
333
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PROTECTEURS
- SOCIAUX

A

• Soutien d’un frère et de sa mère
• Vit en milieu supervisé
• Suivi intensif à domicile
• Respecte son suivi médical et en psychothérapie
• Ordonnance de traitement et d’hébergement
• Bon réseau social
• Participe aux réunions des AA
• Fait appel au centre de crise
• Emploi (études) à temps partiel

334
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉCIPITANTS
- BIOLOGIQUES

A
  • Arrêt de la médication depuis deux mois
  • Consommation de cannabis, d’amphétamines
  • Pneumonie
  • Défaillance cardiaque
  • Fracture
335
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉCIPITANTS
- PSYCHOLOGIQUES

A
  • Inquiétudes face à son avenir
  • Baisse de l’estime de soi, sentiment d’échec, d’humiliation
  • Réapparition progressive de symptômes dépressifs
  • Hallucinations impérieuses
336
Q

Éléments formulation de synthèse: FACTEURS PRÉCIPITANTS
- SOCIAUX

A
  • Perte d’emploi il y a deux semaines
  • Séparation conjugale
  • Mauvaise assiduité aux rendez-vous avec son thérapeute
  • Critiques et rejet de la part de sa mère
  • Conjoint en phase terminale d’un cancer
  • Décès d’un parent, d’un ami
  • Départ des enfants (nid vide)
  • Itinérance
  • Déménagement
  • Réaménagement du milieu de travail
  • Conflit avec un collègue
  • Litige, comparution en cour
337
Q

Troubles de l’adaptation: C’est quoi?

A
  • Les troubles de l’adaptation consistent en la mésadapation à un ou plusieurs stresseurs psychosociaux de la vie.
  • Ils sont l’échec des mécanismes d’adaptation psychobiologiques de l’individu.
  • La notion de troubles de l’adaptation fait appel à celles de stress, de déséquilibre, de débordement des mécanismes de défense de la personne et d’épuisement de l’organisme.
  • Le diagnostic de trouble de l’adaptation suppose la survenue d’un événement stresseur considéré comme l’agent étiologique principal.
  • S’en suit des symptômes psychiatriques et une atteinte fonctionnelle.
338
Q

Troubles de l’adaptation: Physiopatho

A
  • Les troubles de l’adaptation consistent en la mésadapation à un ou plusieurs stresseurs psychosociaux de la vie.
  • Ils sont l’échec des mécanismes d’adaptation psychobiologiques de l’individu.
  • La notion de troubles de l’adaptation fait appel à celles de stress, de déséquilibre, de débordement des mécanismes de défense de la personne et d’épuisement de l’organisme.
  • Le diagnostic de trouble de l’adaptation suppose la survenue d’un événement stresseur considéré comme l’agent étiologique principal.
  • S’en suit des symptômes psychiatriques et une atteinte fonctionnelle.
339
Q

Troubles de l’adaptation: Causes

A
  • Les troubles de l’adaptation consistent en la mésadapation à un ou plusieurs stresseurs psychosociaux de la vie.
  • Ils sont l’échec des mécanismes d’adaptation psychobiologiques de l’individu.
  • La notion de troubles de l’adaptation fait appel à celles de stress, de déséquilibre, de débordement des mécanismes de défense de la personne et d’épuisement de l’organisme.
  • Le diagnostic de trouble de l’adaptation suppose la survenue d’un événement stresseur considéré comme l’agent étiologique principal.
  • S’en suit des symptômes psychiatriques et une atteinte fonctionnelle.
340
Q

Troubles de l’adaptation:
- la cause
- l’évolution

A
  • Les troubles de l’adaptation consistent en la mésadapation à un ou plusieurs stresseurs psychosociaux de la vie.
  • Ils sont l’échec des mécanismes d’adaptation psychobiologiques de l’individu.
  • La notion de troubles de l’adaptation fait appel à celles de stress, de déséquilibre, de débordement des mécanismes de défense de la personne et d’épuisement de l’organisme.
  • Le diagnostic de trouble de l’adaptation suppose la survenue d’un événement stresseur considéré comme l’agent étiologique principal.
  • S’en suit des symptômes psychiatriques et une atteinte fonctionnelle.
341
Q

Syndrome général d’adaptation: Qui a décrit les différentes phases?

A
  • Hans Selye a décrit trois phases dans le syndrome général d’adaptation
  • Les phases; réaction d’alarme, phase de résistance, phase d’épuisement
342
Q

Syndrome général d’adaptation: Nommez les différentes phases

A

Hans Selye a décrit trois phases dans le syndrome général d’adaptation
1. La réaction d’alarme : mobilisation des ressources de défense pour faire face au stress
2. La phase de résistance : utilisation de ces ressources
3. La phase d’épuisement : l’organisme perd sa capacité de s’adapter au stimulus et différents troubles somatiques et psychiques peuvent apparaître, tels l’insomnie, des céphalées, de l’irritabilité, des difficultés de concentration et des troubles mnésiques.

343
Q

Syndrome général d’adaptation: Détaillez les différentes phases

A

Hans Selye a décrit trois phases dans le syndrome général d’adaptation

  1. La réaction d’alarme : mobilisation des ressources de défense pour faire face au stress
  2. La phase de résistance : utilisation de ces ressources
  3. La phase d’épuisement : l’organisme perd sa capacité de s’adapter au stimulus et différents troubles somatiques et psychiques peuvent apparaître, tels l’insomnie, des céphalées, de l’irritabilité, des difficultés de concentration et des troubles mnésiques.
344
Q

Troubles de l’adaptation: H vs F

A
  • On retient des études qu’en fonction des sexes, les troubles de l’adaptation surviennent dans un ratio de deux femmes pour un homme.
  • Il est à noter que les femmes célibataires sont encore plus à risque.
345
Q

Troubles de l’adaptation: Qui est le plus à risque?

A
  • On retient des études qu’en fonction des sexes, les troubles de l’adaptation surviennent dans un ratio de deux femmes pour un homme.
  • Il est à noter que les femmes célibataires sont encore plus à risque.
346
Q

Trouble de l’adaptation: Prévalence

A
  • Dans les études en première ligne, la prévalence se situe à 11-18%, quoique ces études soient relativement vieilles (avant 1990).
  • Dans l’ensemble de ces études, on retient que ce trouble survienne plus souvent chez les adolescents, et qu’il est plus fréquent chez les femmes.
347
Q

Tr adaptation: Nommez les caractéristiques inhérentes des stresseurs

A
  1. Ne sont pas exceptionnels (font donc partie de la vie quotidienne d’un grand nombre de personne)
  2. N’atteignent pas un niveau décrit comme traumatique (guerre, agressions, etc.)
  3. Peut être un stress positif (mariage) tout comme négatif (perte d’emploi)
  4. Peut toucher le domaine psychosocial, personnel, environnemental, ou autre
  5. La subjectivité de ce qui peut être perçu comme un stress
348
Q

Caractéristiques inhérentes des stresseurs: Les décrire

A
  1. Ne sont pas exceptionnels (font donc partie de la vie quotidienne d’un grand nombre de personne)
  2. N’atteignent pas un niveau décrit comme traumatique (guerre, agressions, etc.)
  3. Peut être un stress positif (mariage) tout comme négatif (perte d’emploi)
  4. Peut toucher le domaine psychosocial, personnel, environnemental, ou autre
  5. La subjectivité de ce qui peut être perçu comme un stress
349
Q

Caractéristiques additives des stresseurs: Nommez-les

A

Il est à noter que le stress répond à quatre caractéristiques additives regroupées sous l’acronyme CINE :

  • C – Contrôle : manque de Contrôle sur le stresseur et la situation
  • I – Imprévisibilité : quelque chose de totalement inattendu se produit ou alors on ne peut savoir à l’avance ce qui va se produire
  • N – Nouveauté : quelque chose de jamais expérimenté survient
  • E – Égo : le stress amène une menace à l’Égo. Les compétences et le Moi sont mis à l’épreuve, l’individu doute de ses capacités.
350
Q

ENFANTS: Nommez les stresseurs les plus fréquents

A
  • Naissance de la fratrie
  • Demandes développementales
  • Incapacité cognitive / émotionnelle à maîtriser les tâches attendues
  • Problèmes scolaires
  • Difficultés avec les pairs
  • Conflits familiaux
351
Q

ADOLESCENTS: Nommez les stresseurs les plus fréquents

A
  • Divorce parental
  • Rejet parental
  • Problèmes scolaires
  • Rejet par les pairs
  • Déception amoureuse
  • Abus de substance
352
Q

ADULTES: Nommez les stresseurs les plus fréquents

A
  • Problèmes au travail
  • Difficultés financières
  • Déménagement
  • Problèmes conjugaux / séparation / divorce
353
Q

ENFANTS: Type de trouble adaptation le plus fréquent

A
  • Humeur dépressive
  • ou
  • Humeur anxieuse et dépressive
354
Q

ADOLESCENTS: Type de trouble adaptation le plus fréquent

A
  • Humeur anxieuse
  • ou
  • Troubles des conduites
  • ou
  • Troubles des conduites et émotions
355
Q

ADULTES: Type de trouble adaptation le plus fréquent

A

Humeur dépressive

356
Q

Type de relation possible entre le stresseur et le trouble adaptation

A

La relation entre le stresseur et le trouble de l’adaptation n’est pas nécessairement linéaire ; plusieurs boucles d’action sont possibles :

  1. Relation de type CIRUCLAIRE
  2. Relation de type HÉLICOÏDAL
  3. Relation de type AGRÉGATION
357
Q

Types de boucles d’action entre stresseur et trouble adaptation: NOMMEZ-LES

A

La relation entre le stresseur et le trouble de l’adaptation n’est pas nécessairement linéaire ; plusieurs boucles d’action sont possibles :

  1. Relation de type CIRUCLAIRE
  2. Relation de type HÉLICOÏDAL
  3. Relation de type AGRÉGATION
358
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Définir / décrire type CIRCULAIRE

A
  • La réponse au stress agit sur le stresseur lui-même par rétroaction.
  • Par exemple : un employé connait des tensions avec son superviseur → alcool→ retard les lundis → aggravation de ses problèmes.
359
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Définir / décrire type CIRCULAIRE - EXEMPLE

A
  • La réponse au stress agit sur le stresseur lui-même par rétroaction.
  • Par exemple : un employé connait des tensions avec son superviseur → alcool→ retard les lundis → aggravation de ses problèmes.
360
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Définir / décrire type HÉLICOÏDAL

A
  • La réponse au stresseur entraîne l’apparition de nouveaux stresseurs qui, à leur tour, empirent la situation initiale (spirale vers le bas).
  • Par exemple : Un employé connait des tensions avec son superviseur → il boit et joue à la loterie → il connait des problèmes financiers → source de conflit dans son couple → devient irritable et agressif → sa femme demande le divorce et demande pension pour ses enfants.
361
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Définir / décrire type HÉLICOÏDAL

A
  • La réponse au stresseur entraîne l’apparition de nouveaux stresseurs qui, à leur tour, empirent la situation initiale (spirale vers le bas).
  • Par exemple : Un employé connait des tensions avec son superviseur → il boit et joue à la loterie → il connait des problèmes financiers → source de conflit dans son couple → devient irritable et agressif → sa femme demande le divorce et demande pension pour ses enfants.
362
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Définir / décrire type AGRÉGATION

A
  • Succession de stresseurs qui n’ont pas nécessairement de lien entre eux, mais qui finissent par déborder les mécanismes d’adaptation de la personne.
  • Par exemple : Un employé connait des tensions avec son superviseur + son fils a des problèmes de drogue et se fait intimidant pour demander de l’argent + son épouse atteinte de la fibromyalgie + son père vient de mourir d’un infarctus et sa mère etc…
363
Q

Boucle d’action entre stresseur et trouble adaptation: Exemple du type AGRÉGATION

A
  • Succession de stresseurs qui n’ont pas nécessairement de lien entre eux, mais qui finissent par déborder les mécanismes d’adaptation de la personne.
  • Par exemple : Un employé connait des tensions avec son superviseur + son fils a des problèmes de drogue et se fait intimidant pour demander de l’argent + son épouse atteinte de la fibromyalgie + son père vient de mourir d’un infarctus et sa mère etc…
364
Q

Lien entre la sévérité du stresseur et la sévérité du trouble adaptation?

A
  • La sévérité du stresseur ne prédit pas toujours la sévérité du trouble de l’adaptation.
  • La signification subjective ou symbolique, consciente ou inconsciente de l’événement stresseur joue un rôle important.
  • Selon les individus, un même facteur stresseur peut être perçu comme catastrophique, anodin, ou même un apaisement.
  • Cela dépend de l’histoire personnelle de l’individu, de sa tolérance et de sa personnalité.
365
Q

Ce qui peut déterminer la sévérité du tr adaptation

A
  • La sévérité du stresseur ne prédit pas toujours la sévérité du trouble de l’adaptation.
  • La signification subjective ou symbolique, consciente ou inconsciente de l’événement stresseur joue un rôle important.
  • Selon les individus, un même facteur stresseur peut être perçu comme catastrophique, anodin, ou même un apaisement.
  • Cela dépend de l’histoire personnelle de l’individu, de sa tolérance et de sa personnalité.
366
Q

Trouble adaptation: À quoi fait référence le terme FDR?

A
  • Un facteur de risque fait appel à la notion de vulnérabilité.
  • On peut donc y inclure un stresseur significatif et la non-désirabilité de cet événement (ex : blessure sportive), le moment de survenue (ex : perte d’une figure d’attachement en bas âge), l’accumulation de plusieurs stresseurs, les transitions de vie (ex : nouvelle maison), la précarité, l’adversité (ex : pays en guerre), l’épuisement, l’isolement social, certaines caractéristiques de personnalité (ex : impulsivité) et une mauvaise hygiène de vie (ex : sédentarité).
367
Q

Trouble adaptation: FDR possibles

A
  • Un facteur de risque fait appel à la notion de vulnérabilité.
  • On peut donc y inclure un stresseur significatif et la non-désirabilité de cet événement (ex : blessure sportive), le moment de survenue (ex : perte d’une figure d’attachement en bas âge), l’accumulation de plusieurs stresseurs, les transitions de vie (ex : nouvelle maison), la précarité, l’adversité (ex : pays en guerre), l’épuisement, l’isolement social, certaines caractéristiques de personnalité (ex : impulsivité) et une mauvaise hygiène de vie (ex : sédentarité).
368
Q

Un diagnostic médical est un FDR du tr adaptation?

A
  • Vrai.
  • Un facteur de risque fait appel à la notion de vulnérabilité.
  • On peut donc y inclure un stresseur significatif et la non-désirabilité de cet événement (ex : blessure sportive), le moment de survenue (ex : perte d’une figure d’attachement en bas âge), l’accumulation de plusieurs stresseurs, les transitions de vie (ex : nouvelle maison), la précarité, l’adversité (ex : pays en guerre), l’épuisement, l’isolement social, certaines caractéristiques de personnalité (ex : impulsivité) et une mauvaise hygiène de vie (ex : sédentarité).
369
Q

Trouble adaptation: À quoi fait référence le terme facteur protecteur?

A
  • À l’inverse, il existe certains facteurs protecteurs, qui font appel à la notion de résilience.
  • Par exemple, les forces du Moi et sa capacité à composer avec les stresseurs du quotidien, l’utilisation de certaines stratégies d’adaptation (ex : coping positif ou le meaning-making), certaines caractéristiques de la personnalité (ex : mécanismes de défense, optimisme), le système de soutien social ainsi qu’une bonne hygiène de vie.
370
Q

Trouble adaptation: Nommez les facteurs protecteurs

A
  • À l’inverse, il existe certains facteurs protecteurs, qui font appel à la notion de résilience.
  • Par exemple, les forces du Moi et sa capacité à composer avec les stresseurs du quotidien, l’utilisation de certaines stratégies d’adaptation (ex : coping positif ou le meaning-making), certaines caractéristiques de la personnalité (ex : mécanismes de défense, optimisme), le système de soutien social ainsi qu’une bonne hygiène de vie.
371
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

372
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: Expliquez le facteur suivant - SIGNIFICATION DU STRESS

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

373
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: SIGNIFICATION DU STRESS - LIEN AVEC QUOI?

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

374
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: Expliquez le facteur suivant - LOCUS

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

375
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: LOCUS - TYPES DE LOCUS

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

376
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: DÉFINIR LOCUS CONTRÔLE INTERNE

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

377
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: DÉFINIR LOCUS CONTRÔLE EXTERNE

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

378
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: EXPLIQUEZ LE FACTEUR SUIVANT - COPING

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

379
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: NOMMEZ LES TYPES DE COPING

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

380
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: DÉCRIRE ET DÉFINIR LE COPING CENTRÉ SUR LE PROBLÈME

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

381
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: DÉCRIRE ET DÉFINIR LE COPING CENTRÉ SUR L’ÉMOTION

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

382
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: DÉCRIRE ET DÉFINIR LE COPING CENTRÉ SUR L’ÉVALUATION COGNITIVE

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

383
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: TYPES DE COPING ONT LES TROUVE CHEZ QUI?

A
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.

Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.

384
Q

Facteurs expliquant pourquoi qqn dév un tr adaptation et pas une autre: Lien avec ces facteurs

A
  • Ces trois facteurs réunis expliquent en grande partie pourquoi certains vont mieux réagir face à un stresseur, tandis que d’autres présenteront un trouble de l’adaptation.
  • A. La signification subjective ou symbolique du stresseur. Certains stresseurs sont beaucoup plus importants pour certaines personnes que pour d’autres, selon leur vécu. D’ailleurs, la littérature met l’accent sur l’impact de certaines expériences précoce négatives sur la difficulté ultérieure qu’éprouve l’individu à développer des stratégies d’adaptation appropriées.
  • B. La tendance qu’ont les individus à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou des facteurs externes. Ceci réfère au concept de locus.
    • a. Locus de contrôle interne : attribution d’une causalité interne aux événements subis. La personne croit qu’il y a un lien entre ses actions et ce qui lui arrive. Elle pense que les efforts qu’elle met peut influencer favorablement ce qui survient dans sa vie.
    • b. Locus de contrôle externe : attribution d’une causalité externe aux événements subis. La personne attribut ce qui lui arrive au hasard ou à la fatalité. Cet individu est plus confiant lorsqu’il est confronté à des problèmes graves (ex : maladie), car il accepte l’événement avec une plus grande résignation.
  • C. La capacité qu’ont chaque individu à affronter un certain stresseur. Ceci réfère au concept de coping.
    • a. Coping centré sur le problème (plus fréquent chez les hommes) : réfère aux tentatives de réduire, de modifier ou d’éliminer le stresseur lui-même.
    • b. Coping centré sur l’émotion (plus fréquent chez les femmes) : réfère aux façons de l’individu de s’adapter face au stresseur, apaiser ses émotions et de changer sa propre réaction émotionnelle.
    • c. Coping centré sur l’évaluation cognitive : consiste à faire une évaluation cognitive du problème puis de décider si les ressources nécessaires sont présentes pour y faire face.
385
Q

Facteurs protecteurs du tr adaptation: Caractéristiques de la personnalité - Nommez-les

A
  1. Mécanismes de défense matures
  2. Tendance à l’optimisme
  3. Sentiment d’auto-efficacité
  4. Résistance psychologique (psychological hardiness); constituée de l’engagement, de défi, d’un sentiment de contrôle et de cohérence, et d’une connectivité avec les autres.
  5. Soutien familial
  6. Hygiène de vie adéquate
386
Q

Tr adaptation: La réaction de la personne est normale?

A

V ou F: Un trouble de l’adaptation peut se diagnostiquer si la personne vit un événement stresseur et si elle présente une réaction affective normale et prévisible…

  • Faux. Dans les critères diagnostics, il faut retenir une réaction qui n’est pas normale et prévisible. (Voir tableau ci bas)
387
Q

Dx tr adaptation: À quoi faire attention dans les critères diagnostics?

A

NB : Attention à l’étude des critères diagnostiques du trouble d’adaptation : les spécificateurs sont importants…

388
Q

Dx tr adaptation: Nommez les critères diagnostics

A
  • A. Survenue de symptômes émotionnels ou comportementaux en réponse à un ou plusieurs facteurs de stress identifiables dans les 3 mois suivant l’exposition au(x) facteur(s) de stress
  • Ces symptômes ou comportements sont cliniquement significatifs, comme en témoigne un ou les deux éléments suivants :
      1. Détresse marquée hors de proportion par rapport à la gravité ou à l’intensité du facteur de stress, compte tenu du contexte externe et des facteurs culturels qui pourraient influencer la gravité des symptômes et la présentation.
      1. Altération significative du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • C. La perturbation causée par le facteur de stress ne répond pas aux critères d’un autre trouble mental et n’est pas simplement une exacerbation d’un trouble mental préexistant.
  • D. Les symptômes ne sont pas ceux d’un deuil normal.
  • E. Une fois que le facteur de stress ou ses conséquences sont terminés, les symptômes ne persistent pas au-delà d’une période additionnelle de 6 mois.
389
Q

Dx tr adaptation: Nommez les différents types

A

Spécifier le type :
1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
2. Avec anxiété : Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
4. Avec perturbation des conduites: La perturbation des conduites est au premier plan.
5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
6. Non spécifié : Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.

390
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - HUMEUR DÉPRESSIVE

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
391
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - ANXIÉTÉ

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
392
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - MIXTE ANXIÉTÉ ET HUMEUR DÉPRESSIVE

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
393
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - PERTURBATION DES CONDUITES

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
394
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - PERTURBATION MIXTE ÉMOTIONS ET CONDUITES

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
395
Q

Dx tr adaptation: Définir le type suivant - NON SPÉCIFIÉ

A

Spécifier le type :

  1. Avec humeur dépressive: Baisse de l’humeur, larmoiement ou sentiment de désespoir sont au premier plan.
  2. Avec anxiété :Nervosité, inquiétude, énervement, ou anxiété de séparation sont au premier plan.
  3. Mixte avec anxiété et humeur dépressive : Une combinaison de dépression et d’anxiété est au premier plan.
  4. Avec perturbation des conduites : La perturbation des conduites est au premier plan.
  5. Avec perturbation mixte des émotions et des conduites : Les symptômes émotionnels (p. ex. dépression, anxiété) et la perturbation des conduites sont au premier plan.
  6. Non spécifié :Pour les réactions inadaptées qui ne sont pas classables comme un des sous-types spécifiques du trouble de l’adaptation.
396
Q

Dx tr adaptation: Différenciez aigu vs chronique

A
  • Aigu: si la perturbation persiste moins de 6 mois
  • Chronique: si la perturbation persiste 6 mois ou plus. […]
397
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- décrire

A

Les troubles de l’adaptation se traduisent en une réaction inadaptée et excessive par rapport à ce qui est généralement considéré comme une réaction normale prévisible. C’est un débordement des capacités d’adaptation de l’individu.

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.

De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.

398
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques - Types

A

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.


    De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.
399
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- NEUROVÉGÉTATIVE / SOMATIQUES

A

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.

De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.

400
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- ÉMOTIONNELLE

A

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.

De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.

401
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- COGNITIVE

A

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.

De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.

402
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- COMPORTEMENTALE

A

Les symptômes peuvent être de plusieurs natures :

  • Neurovégétative ou somatique : insomnie, fatigue, perte d’appétit, céphalées, douleurs diffuses
  • Émotionnelle : anxiété, humeur dépressive, retrait affectif, irritabilité, colère, agressivité
  • Cognitive : difficulté d’attention et de concentration, troubles de mémoire à court terme, intrusions de la pensée, ruminations mentales, baise de l’efficience scolaire ou professionnelle
  • Comportementale : opposition, fugue, trouble de l’utilisation de substances ou de médicaments, inhibition ou retrait social, scolaire ou du travail.

De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.

403
Q

Tr adaptation: Manifestations cliniques
- INTENSITÉ DES SX

A
  • De manière générale, on dit que l’intensité symptomatique est moindre que celle des autres troubles mentaux.
404
Q

Tr adaptation: Ddx

A
  • Personnalité antisociale
  • Trouble des conduites
  • On peut évoquer ces deux pathologies lors du diagnostic différentiel puisque celles-ci démontrent un comportement mésadapté lors d’une situation qui peut être considérée stressante.
  • Autres: PTSD, épisode dépressif majeur, exacerbation TP, deuil compliqué, TAG
405
Q

Tr adaptation: Ddx
- personnalité antisociale

A
  • On peut évoquer cette pathologie lors du diagnostic différentiel puisque celle-ci démontrent un comportement mésadapté lors d’une situation qui peut être considérée stressante.
406
Q

Tr adaptation: Ddx
- trouble des conduites

A
  • On peut évoquer cette pathologie lors du diagnostic différentiel puisque celle-ci démontrent un comportement mésadapté lors d’une situation qui peut être considérée stressante.
407
Q

Ddx: Différenciez Tr adaptation VS SSPT

A

Trouble de stress aigu ou le trouble de stress posttraumatique:

  • Le facteur déclencheur est extrême
  • Regroupement de symptômes spécifiques
408
Q

Ddx: Différenciez Tr adaptation VS épisode dépressif majeur

A

Épisode dépressif majeur:

  • Pas nécessairement présence d’un événement stresseur,
  • Importance des facteurs de stress moindre
  • Il faut y penser lorsque le trouble d’adaptation perdure ou s’aggrave
409
Q

Ddx: Différenciez Tr adaptation VS exacerbation trouble personnalité

A

Exacerbation d’un trouble de la personnalité:

  • Patient avec trouble de la personnalité
  • Symptômes différents (ceux du trouble de la personnalité n’appartiennent pas à la catégorie de ceux du trouble d’adaptation)
410
Q

Ddx: Différenciez Tr adaptation VS TAG

A

Trouble d’anxiété généralisé:

  • La tendance anxieuse est généralement chronique et concerne une appréhension des événements qui pourraient survenir.
411
Q

Dx du Tr adaptation
- ce qu’il est important d’exclure

A

Le trouble d’adaptation n’est pas à retenir si celui-ci est causé par l’effet d’une substance, ou d’une autre affection médicale concomitante!!!

412
Q

Tr adaptation: Tx
- Importance de la pharmacothérapie dans le tx

A
  • Le traitement pharmacologique n’est pas le traitement de choix pour le trouble d’adaptation.
  • Le traitement pharmacologique devient une option envisageable lorsque la psychothérapie seule n’a pas produit les résultats escomptés.
  • Il est aussi très utile pour diminuer certains symptômes spécifiques (insomnie, anxiété, attaque de panique)
413
Q

Tr adaptation: Tx
- contextes où il peut être adéquat d’utiliser des médicaments

A
  • Le traitement pharmacologique n’est pas le traitement de choix pour le trouble d’adaptation.
  • Le traitement pharmacologique devient une option envisageable lorsque la psychothérapie seule n’a pas produit les résultats escomptés.
  • Il est aussi très utile pour diminuer certains symptômes spécifiques (insomnie, anxiété, attaque de panique)
414
Q

Tr adaptation: Tx
- prise en charge initiale

A

Traitements psychologiques : constitue la prise en charge initiale la grande majorité des cas.

  • Le but des psychothérapies est de :
    • Réduire ou éliminer le stresseur
    • Améliorer les stratégies d’adaptation
    • Favoriser les comportements adaptés
    • Établir un système de soutien social environnemental favorable
  • Elle doit permettre au patient de verbaliser ses émotions destructrices plutôt que de passer à l’acte.
  • Elle doit aider le patient à comprendre la signification réelle qu’a le stresseur sur lui
415
Q

Tr adaptation: Tx
- but des psychothérapies

A

Traitements psychologiques : constitue la prise en charge initiale la grande majorité des cas.

  • Le but des psychothérapies est de:
    • Réduire ou éliminer le stresseur
    • Améliorer les stratégies d’adaptation
    • Favoriser les comportements adaptés
    • Établir un système de soutien social environnemental favorable
  • Elle doit permettre au patient de verbaliser ses émotions destructrices plutôt que de passer à l’acte.
  • Elle doit aider le patient à comprendre la signification réelle qu’a le stresseur sur lui
416
Q

Tr adaptation: Tx
- effets que la psychotx devrait avoir

A

Traitements psychologiques : constitue la prise en charge initiale la grande majorité des cas.

  • Le but des psychothérapies est de :
    • Réduire ou éliminer le stresseur
    • Améliorer les stratégies d’adaptation
    • Favoriser les comportements adaptés
    • Établir un système de soutien social environnemental favorable
  • Elle doit permettre au patient de verbaliser ses émotions destructrices plutôt que de passer à l’acte.
  • Elle doit aider le patient à comprendre la signification réelle qu’a le stresseur sur lui
417
Q

Tr adaptation: Tx
- rôle des tx biologiques

A

Traitements biologiques : pas utilisés en première ligne

418
Q

Tr adaptation: Tx
- dans quel contexte envisager les tx biologiques?

A
  • À envisager s’il y a échec à la psychothérapie, souvent en concomitance à une psychothérapie.
419
Q

Tr adaptation: Tx
- tx biologiques: classes de médicaments possibles

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
420
Q

Tr adaptation: Tx
- Benzo: sur quelle durée de temps? comment?

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
421
Q

Tr adaptation: Tx
- Benzo: utiliser lesquels?

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
422
Q

Tr adaptation: Tx
- Benzo: à utiliser dans quel contexte?

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
423
Q

Tr adaptation: Tx
- Antidépresseurs: leur utilité

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
424
Q

Tr adaptation: Tx
- Antidépresseurs: risque de dépendance associé

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
425
Q

Tr adaptation: Tx
- Antidépresseurs: à utiliser dans quel contexte?

A

Les médicaments possibles pour une réaction au stress en court terme et au sens large sont :

  • Les benzodiazépines
    • Court terme et PRN
    • Utiliser celle à durée de vie courte (lorazépam, oxazépam)
    • À utiliser si composante anxieuse significative, d’un stress important ou d’insomnie.
  • Les antidépresseurs
    • De plus en plus utilisé pour leur capacité à résoudre les symptômes dépressifs et anxieux.
    • Faible risque de dépendance
    • À utiliser si dysphorie intense, ATCD personnel ou familiaux de dépression, ATCD personnel de tentative de suicide ou de suicide dans la famille, d’abus d’alcool actuel ou passé
426
Q

Tr adaptation: Tx
- ISRS et autres antidépresseurs: leurs particularités

A
  • Utilisation pour leur vertu anxiolytique (à favoriser aux benzodiazépines pour un traitement long terme)
  • À faible dose au coucher pour leur propriété sédative
427
Q

Tr adaptation: Tx
- Buspirone: ses particularités

A
  • Agoniste partiel des récepteurs 5-HT1A.
  • Son effet est notable entre 2 et 4 semaines après le début.
  • N’entraîne pas de dépendance, de dépression du SNC ni de symptôme de sevrage contrairement
428
Q

Tr adaptation: Tx
- Quétiapine: Classe de médicament?

A

antipsychotique atypique

429
Q

Tr adaptation: Tx
- Quétiapine: ses particularités

A
  • À faible dose et sur une courte période pour calmer l’anxiété et favoriser le sommeil.
  • Un usage prolongé peut être associé à un syndrome métabolique
430
Q

Tr adaptation: Tx
- Propanolol: classe de médicaments?

A

bêta-bloqueur

431
Q

Tr adaptation: Tx
- Propanolol: ses particularités

A
  • Antagonise les manifestations physiques aigues comme le tremblement des mains.
  • Pas aussi efficace que les benzodiazépines pour l’anxiété, mais usage PRN possible.
  • Attention à l’asthme et de diabète.
432
Q

Tr adaptation: Pronostic général

A
  • L’évolution habituelle des troubles de l’adaptation se fait spontanément vers la guérison, nonobstant l’impact des mesures thérapeutiques pouvant être mises en place.
  • Le pronostic est plus favorable chez les adultes que chez les adolescents et les enfants, chez qui les symptômes ont davantage tendance à se chroniciser.
  • Le sous-type « avec perturbation des conduites » présente un pronostic plus réservé.
433
Q

Tr adaptation: Pronostic général
- groupe avec meilleur pronostic

A
  • L’évolution habituelle des troubles de l’adaptation se fait spontanément vers la guérison, nonobstant l’impact des mesures thérapeutiques pouvant être mises en place.
  • Le pronostic est plus favorable chez les adultes que chez les adolescents et les enfants, chez qui les symptômes ont davantage tendance à se chroniciser.
  • Le sous-type « avec perturbation des conduites » présente un pronostic plus réservé.
434
Q

Tr adaptation: Pronostic général
- groupe avec moins bon pronostic

A
  • L’évolution habituelle des troubles de l’adaptation se fait spontanément vers la guérison, nonobstant l’impact des mesures thérapeutiques pouvant être mises en place.
  • Le pronostic est plus favorable chez les adultes que chez les adolescents et les enfants, chez qui les symptômes ont davantage tendance à se chroniciser.
  • Le sous-type « avec perturbation des conduites » présente un pronostic plus réservé.
435
Q
A
436
Q

Tr adaptation: groupe d’âge le plus à risque

A
  • Le groupe le plus à risque est celui des adolescents, notamment en raison des nombreux facteurs de risque présents à cette période de la vie.