Troubles anxieux Flashcards
Tr anxieux, TOC et tr liés à un traumatisme: Lien entre eux
- Ouff !! Il s’agit encore d’un gros chapitre !!! Vous vous demandez sûrement pourquoi nous avons décidé de regrouper sous un même thème autant de troubles spécifiques.
- Eh bien, avant le DSM-5, tous ces diagnostiques faisaient partie de la catégorie des Troubles Anxieux (sauf le Trouble de dysmorphie corporel qui faisait partie des troubles somatoformes). La logique était la suivante, tous ces troubles ont pour présentation principale une manifestation d’anxiété.
- Pour plusieurs raisons (étiologique, épidémiologique, thérapeutique, …) le DSM-5 regroupe maintenant ensemble les troubles ressemblant au TOC ainsi que les troubles induits par un évènement stresseur. Vous avez déjà vu un de ceux-ci dans le Thème 1 : le Trouble de l’adaptation!) Gardez courage !!
- Allons-y ensemble tranquillement, objectif par objectif …
Tr anxieux, TOC et tr liés à un traumatisme: Comment sont-ils classifiés dans le DSM 5?
- Ouff !! Il s’agit encore d’un gros chapitre !!! Vous vous demandez sûrement pourquoi nous avons décidé de regrouper sous un même thème autant de troubles spécifiques.
- Eh bien, avant le DSM-5, tous ces diagnostiques faisaient partie de la catégorie des Troubles Anxieux (sauf le Trouble de dysmorphie corporel qui faisait partie des troubles somatoformes). La logique était la suivante, tous ces troubles ont pour présentation principale une manifestation d’anxiété.
- Pour plusieurs raisons (étiologique, épidémiologique, thérapeutique, …) le DSM-5 regroupe maintenant ensemble les troubles ressemblant au TOC ainsi que les troubles induits par un évènement stresseur. Vous avez déjà vu un de ceux-ci dans le Thème 1 : le Trouble de l’adaptation!) Gardez courage !!
- Allons-y ensemble tranquillement, objectif par objectif …
Troubles anxieux: ils sont moins graves que les tr psychotiques?
- Les troubles anxieux peuvent avoir un aussi gros impact sur la qualité de vie et sur le fonctionnement de l’individu que les troubles psychotiques.
- La différence majeure consiste au fait que les patients ayant des troubles psychotiques ne savent pas qu’ils ont un problème ; leur psychose représente pour eux une réalité bien réelle.
- Par contre, les patients avec troubles anxieux ont connaissance de leur trouble et sont généralement enclin à essayer de l’améliorer.
Tr anxieux vs tr psychotiques: différence importante des patients atteints
- Les troubles anxieux peuvent avoir un aussi gros impact sur la qualité de vie et sur le fonctionnement de l’individu que les troubles psychotiques.
- La différence majeure consiste au fait que les patients ayant des troubles psychotiques ne savent pas qu’ils ont un problème ; leur psychose représente pour eux une réalité bien réelle.
- Par contre, les patients avec troubles anxieux ont connaissance de leur trouble et sont généralement enclin à essayer de l’améliorer.
Différenciez les termes suivants:
- angoisse
- peur
- anxiété
- phobie
- attaque de panique
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: ANGOISSE
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Donnez un exemple pour le terme suivant: ANGOISSE
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques.
- Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: PEUR
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Donnez un exemple pour le terme suivant: PEUR
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel.
- Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: ANXIÉTÉ
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Donnez un exemple pour le terme suivant: ANXIÉTÉ
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique.
- Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: PHOBIE
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Différenciez PHOBIE vs PEUR vs ANXIÉTÉ
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: ATTAQUE DE PANIQUE
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes. On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Définir le terme suivant: ATTAQUE DE PANIQUE
- types
- Angoisse : L’angoisse est reliée à une cause physique oppressante entraînant des malaises physiques. Ex : L’angoisse de mourir lors d’un étouffement entraîne des palpitations et des sueurs froides.
- Peur : La peur est reliée à un danger externe réel. Ex : La peur de mourir lors d’un accident de voiture imminent.
- Anxiété : L’anxiété est reliée à l’attente, l’appréhension d’un événement ou l’incertitude psychologique. Ex : L’appréhension de la quantité d’alcool à boire pendant un vin et fromage. Il est à noter que les termes « peur » et « anxiété » sont utilisés sans distinction dans le DSM-V.
- Phobie : Le terme « phobie » fait quant à lui référence à une peur ou une anxiété dirigée de façon bien précise vers un objet ou une situation.
- Attaque de panique : L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
- On distingue 2 types d’attaque de panique : attaque de panique inattendue / spontanné vs attaque de panique attendue / situationnelle
Attaque de panique: Type inattendue - synonyme
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type inattendue
- définition
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type inattendue
- peut se déclencher dans quel type de situation?
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type inattendue
- elle est caractéristique de quoi?
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue - synonyme
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue
- définition
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue
- est déclenché dans quel type de situation?
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue
- qu’est-ce qu’une situation panicogène?
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue
- situation panicogène: synonymes
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Attaque de panique: Type attendue
- situation panicogène: normal?
L’attaque de panique est définie comme étant une brève période de symptômes intenses (voir le trouble de panique pour les symptômes) survenant de façon brutale et atteignant leur apogée en quelques minutes.
On distingue 2 types d’attaque de panique :
- a) L’attaque de panique inattendue ou spontanée : sans déclencheur extérieur ou intérieur identifiable. Peut se déclencher dans n’importe quelle situation, n’importe où et n’importe quand! Possible même durant le sommeil. Elle est caractéristique du trouble de panique.
- b) L’attaque de panique attendue ou situationnelle : se déclenche lorsque le patient est confronté à certaines situations ou lorsqu’il appréhende l’imminence d’une situation. Ce sont des situations que l’on nomme panicogène, anxiogène ou encore phobogène. Il est a noté que l’anxiogène est une situation qui n’est pas supposée entraîner d’attaque de panique, elle n’est donc pas normale.
Anxiété: Quelle est sa cause?
- L’anxiété peut être considérée comme un mode d’adaptation d’une origine lointaine.
- D’un point de vue évolutionniste, la peur et l’anxiété feraient partie d’un système d’alarme visant à signaler un danger pour préparer l’animal ou l’humain à y faire face.
- Un système d’alarme adéquat (donc qui ne s’active pas pour aucune raison ou trop tard) peut constituer un facteur de survie dans l’évolution des espèces.
- Selon la théorie, il y a une composante génétique et innée de ce « système ».
- Effectivement, on conçoit que la phobie peut être héritée d’un ancêtre pour lequel celle-ci était préférable à sa survie, selon la théorie de l’évolution.
Anxiété: Pourquoi l’anxiété peut être considérée comme un mode d’adaptation d’origine lointaine?
- L’anxiété peut être considérée comme un mode d’adaptation d’une origine lointaine.
- D’un point de vue évolutionniste, la peur et l’anxiété feraient partie d’un système d’alarme visant à signaler un danger pour préparer l’animal ou l’humain à y faire face.
- Un système d’alarme adéquat (donc qui ne s’active pas pour aucune raison ou trop tard) peut constituer un facteur de survie dans l’évolution des espèces.
- Selon la théorie, il y a une composante génétique et innée de ce « système ».
- Effectivement, on conçoit que la phobie peut être héritée d’un ancêtre pour lequel celle-ci était préférable à sa survie, selon la théorie de l’évolution.
Anxiété: Provenance
- L’anxiété peut être considérée comme un mode d’adaptation d’une origine lointaine.
- D’un point de vue évolutionniste, la peur et l’anxiété feraient partie d’un système d’alarme visant à signaler un danger pour préparer l’animal ou l’humain à y faire face.
- Un système d’alarme adéquat (donc qui ne s’active pas pour aucune raison ou trop tard) peut constituer un facteur de survie dans l’évolution des espèces.
- Selon la théorie, il y a une composante génétique et innée de ce « système ».
- Effectivement, on conçoit que la phobie peut être héritée d’un ancêtre pour lequel celle-ci était préférable à sa survie, selon la théorie de l’évolution.
Anxiété: Cause de la phobie selon la théorie de l’évolution
- L’anxiété peut être considérée comme un mode d’adaptation d’une origine lointaine.
- D’un point de vue évolutionniste, la peur et l’anxiété feraient partie d’un système d’alarme visant à signaler un danger pour préparer l’animal ou l’humain à y faire face.
- Un système d’alarme adéquat (donc qui ne s’active pas pour aucune raison ou trop tard) peut constituer un facteur de survie dans l’évolution des espèces.
- Selon la théorie, il y a une composante génétique et innée de ce « système ».
- Effectivement, on conçoit que la phobie peut être héritée d’un ancêtre pour lequel celle-ci était préférable à sa survie, selon la théorie de l’évolution.
Anxiété: Son importance
- Supposons qu’un comportement rapide à l’égard du danger introduise un avantage dans la sélection naturelle.
- Pour que cet avantage soit rapide, il y gagne à ne pas passer par le cortex frontal pour y être analysé, mais plutôt en emprunter le chemin que ferait un réflexe.
- Chez l’humain, l’automatisme de cette réponse a été prouvé : des stimuli anxiogènes, même non perçus consciemment, peuvent induire une réponse émotive objectivable physiquement.
- Puisque l’anxiété a donc été un avantage évolutif, on s’explique plus facilement la grande prévalence des troubles anxieux dans la population.
Anxiété: Avantage
- Supposons qu’un comportement rapide à l’égard du danger introduise un avantage dans la sélection naturelle.
- Pour que cet avantage soit rapide, il y gagne à ne pas passer par le cortex frontal pour y être analysé, mais plutôt en emprunter le chemin que ferait un réflexe.
- Chez l’humain, l’automatisme de cette réponse a été prouvé : des stimuli anxiogènes, même non perçus consciemment, peuvent induire une réponse émotive objectivable physiquement.
- Puisque l’anxiété a donc été un avantage évolutif, on s’explique plus facilement la grande prévalence des troubles anxieux dans la population.
Anxiété: Automatisme associé
- Supposons qu’un comportement rapide à l’égard du danger introduise un avantage dans la sélection naturelle.
- Pour que cet avantage soit rapide, il y gagne à ne pas passer par le cortex frontal pour y être analysé, mais plutôt en emprunter le chemin que ferait un réflexe.
- Chez l’humain, l’automatisme de cette réponse a été prouvé : des stimuli anxiogènes, même non perçus consciemment, peuvent induire une réponse émotive objectivable physiquement.
- Puisque l’anxiété a donc été un avantage évolutif, on s’explique plus facilement la grande prévalence des troubles anxieux dans la population.
Anxiété: Comment explique-t-on la grande prévalence des tr anxieux?
- Supposons qu’un comportement rapide à l’égard du danger introduise un avantage dans la sélection naturelle.
- Pour que cet avantage soit rapide, il y gagne à ne pas passer par le cortex frontal pour y être analysé, mais plutôt en emprunter le chemin que ferait un réflexe.
- Chez l’humain, l’automatisme de cette réponse a été prouvé : des stimuli anxiogènes, même non perçus consciemment, peuvent induire une réponse émotive objectivable physiquement.
- Puisque l’anxiété a donc été un avantage évolutif, on s’explique plus facilement la grande prévalence des troubles anxieux dans la population.
Caractéristiques distinctives de l’anxiété PATHOLOGIQUE: Nommez-les
- L’intensité et la durée de l’anxiété pathologique sont beaucoup plus importantes qu’attendu compte tenu des circonstances déclenchantes et du contexte familial, social ou culturel.
- Entraîne une incapacité ou devient invalidante pour le fonctionnement psychosocial ou professionnel.
- Le fonctionnement est perturbé par l’évitement de certaines situations ou d’objets particuliers dans le but de réduire l’anxiété pathologique.
- L’anxiété pathologique génère des symptômes physiques significatifs sur le plan clinique, bien que des symptômes physiques inexpliqués puissent aussi être courants parmi des personnes non atteintes de troubles anxieux.
Caractéristiques distinctives de l’anxiété PATHOLOGIQUE: Intensité et durée
- L’intensité et la durée de l’anxiété pathologique sont beaucoup plus importantes qu’attendu compte tenu des circonstances déclenchantes et du contexte familial, social ou culturel.
- Entraîne une incapacité ou devient invalidante pour le fonctionnement psychosocial ou professionnel.
- Le fonctionnement est perturbé par l’évitement de certaines situations ou d’objets particuliers dans le but de réduire l’anxiété pathologique.
- L’anxiété pathologique génère des symptômes physiques significatifs sur le plan clinique, bien que des symptômes physiques inexpliqués puissent aussi être courants parmi des personnes non atteintes de troubles anxieux.
Caractéristiques distinctives de l’anxiété PATHOLOGIQUE: Incapacité
- L’intensité et la durée de l’anxiété pathologique sont beaucoup plus importantes qu’attendu compte tenu des circonstances déclenchantes et du contexte familial, social ou culturel.
- Entraîne une incapacité ou devient invalidante pour le fonctionnement psychosocial ou professionnel.
- Le fonctionnement est perturbé par l’évitement de certaines situations ou d’objets particuliers dans le but de réduire l’anxiété pathologique.
- L’anxiété pathologique génère des symptômes physiques significatifs sur le plan clinique, bien que des symptômes physiques inexpliqués puissent aussi être courants parmi des personnes non atteintes de troubles anxieux.
Caractéristiques distinctives de l’anxiété PATHOLOGIQUE: Fonctionnement
- L’intensité et la durée de l’anxiété pathologique sont beaucoup plus importantes qu’attendu compte tenu des circonstances déclenchantes et du contexte familial, social ou culturel.
- Entraîne une incapacité ou devient invalidante pour le fonctionnement psychosocial ou professionnel.
- Le fonctionnement est perturbé par l’évitement de certaines situations ou d’objets particuliers dans le but de réduire l’anxiété pathologique.
- L’anxiété pathologique génère des symptômes physiques significatifs sur le plan clinique, bien que des symptômes physiques inexpliqués puissent aussi être courants parmi des personnes non atteintes de troubles anxieux.
Caractéristiques distinctives de l’anxiété PATHOLOGIQUE: Symptômes
- L’intensité et la durée de l’anxiété pathologique sont beaucoup plus importantes qu’attendu compte tenu des circonstances déclenchantes et du contexte familial, social ou culturel.
- Entraîne une incapacité ou devient invalidante pour le fonctionnement psychosocial ou professionnel.
- Le fonctionnement est perturbé par l’évitement de certaines situations ou d’objets particuliers dans le but de réduire l’anxiété pathologique.
- L’anxiété pathologique génère des symptômes physiques significatifs sur le plan clinique, bien que des symptômes physiques inexpliqués puissent aussi être courants parmi des personnes non atteintes de troubles anxieux.
V ou F: Un tr anxieux est une réaction directe à un stresseur irréaliste qui génère une détresse objective importante.
Faux. Un trouble anxieux est une maladie qui survient sans lien réaliste avec les circonstances extérieures à un stresseur, et qui génère une détresse subjective persistante.
Tr anxieux: intensité du stresseur? de l’anxiété?
- Faux. Un trouble anxieux est une maladie qui survient sans lien réaliste avec les circonstances extérieures à un stresseur, et qui génère une détresse subjective persistante.
- Anxiété normale : réaction directe mais temporaire, proportionnée et appropriée aux changements ou aux dangers de l’environnement, qui vise à assurer la survie et l’adaptation de l’individu.
Anxiété normale: C’est quoi? Définir?
- Anxiété normale : réaction directe mais temporaire, proportionnée et appropriée aux changements ou aux dangers de l’environnement, qui vise à assurer la survie et l’adaptation de l’individu.
Tr anxieux: Étiologie génétique
- Plusieurs gènes de vulnérabilité touchant plusieurs systèmes neurobiologiques (sérotoninergiques, noradrénergiques, dopaminergiques, GABAergiques par exemple) seraient en jeu.
- De manière générale, le risque est 3 X plus élevé de développer un trouble anxieux chez les personnes dont un parent du 1er degré est atteint d’un trouble de panique, d’anxiété généralisée, de phobie spécifique ou de stress post-traumatique.
- La corrélation est encore plus forte si le trouble apparaît plus jeune (ex : trouble panique avant 20 ans → 17 X le risque).
Tr anxieux: Étiologie génétique
- gènes de vulnérabilité
- Plusieurs gènes de vulnérabilité touchant plusieurs systèmes neurobiologiques (sérotoninergiques, noradrénergiques, dopaminergiques, GABAergiques par exemple) seraient en jeu.
- De manière générale, le risque est 3 X plus élevé de développer un trouble anxieux chez les personnes dont un parent du 1er degré est atteint d’un trouble de panique, d’anxiété généralisée, de phobie spécifique ou de stress post-traumatique.
- La corrélation est encore plus forte si le trouble apparaît plus jeune (ex : trouble panique avant 20 ans → 17 X le risque).
Tr anxieux: Étiologie génétique
- risque de dév un tr anxieux chez une personne dont un parent du 1er premier degré est atteint du tr anxieux
- Plusieurs gènes de vulnérabilité touchant plusieurs systèmes neurobiologiques (sérotoninergiques, noradrénergiques, dopaminergiques, GABAergiques par exemple) seraient en jeu.
- De manière générale, le risque est 3 X plus élevé de développer un trouble anxieux chez les personnes dont un parent du 1er degré est atteint d’un trouble de panique, d’anxiété généralisée, de phobie spécifique ou de stress post-traumatique.
- La corrélation est encore plus forte si le trouble apparaît plus jeune (ex : trouble panique avant 20 ans → 17 X le risque).
Tr anxieux: Étiologie génétique
- parent du 1er degré atteint: qu’est-ce qui augmente encore plus de le risque?
- Plusieurs gènes de vulnérabilité touchant plusieurs systèmes neurobiologiques (sérotoninergiques, noradrénergiques, dopaminergiques, GABAergiques par exemple) seraient en jeu.
- De manière générale, le risque est 3 X plus élevé de développer un trouble anxieux chez les personnes dont un parent du 1er degré est atteint d’un trouble de panique, d’anxiété généralisée, de phobie spécifique ou de stress post-traumatique.
- La corrélation est encore plus forte si le trouble apparaît plus jeune (ex : trouble panique avant 20 ans → 17 X le risque).
Tr anxieux: Étiologie génétique
- Risque de dév un tr anxieux chez les jumeaux
Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Tr anxieux: Étiologie génétique - Risque de dév un tr anxieux chez les jumeaux
- 30%
Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Tr anxieux: Étiologie génétique - Risque de dév un tr anxieux chez les jumeaux
- 50%
Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Tr anxieux: Étiologie génétique - Risque de dév un tr anxieux chez les jumeaux
- 60%
Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Tr anxieux: Étiologie génétique - Risque de dév un tr anxieux chez les jumeaux
- 67%
Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Tr anxieux: Étiologie génétique
- contribution ÉPIGÉNÉTIQUE
- La contribution environnementale reliée à la génétique (épigénétique) serait de l’ordre de 30 – 70 % et serait reliée à des facteurs biologiques ou psychologiques (ex : trauma périnatal ou abus sexuel).
Tr anxieux: de quoi dépend la réponse au traitement?
- Les mêmes membres d’une famille atteints du même trouble anxieux ou mental ont tendance à répondre aux mêmes médicaments.
- Ceci a aussi été montré face à la réponse à la thérapie cognitivo-comportementale.
Tr anxieux: qu’est-ce qui peut être un bon prédicteur du réponse au médicament?
- Les mêmes membres d’une famille atteints du même trouble anxieux ou mental ont tendance à répondre aux mêmes médicaments.
- Ceci a aussi été montré face à la réponse à la thérapie cognitivo-comportementale.
Tr anxieux: qu’est-ce qui peut être un bon prédicteur du réponse à la thérapie?
- Les mêmes membres d’une famille atteints du même trouble anxieux ou mental ont tendance à répondre aux mêmes médicaments.
- Ceci a aussi été montré face à la réponse à la thérapie cognitivo-comportementale.
Anxiété: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho
- L’anxiété est liée au système limbique et au sous-cortex.
- Une certaine partie du système limbique est en sous-cortical.
- L’anxiété pathologique est associée à des perturbations du circuit neuronal cortico-sous-cortical aussi appelé « circuit de la peur et de l’anxiété ».
- Celui-ci comprend le cortex préfrontal ventromédian relié au cortex cingulaire, mais aussi les structures souscorticales, dont principalement l’hippocampe, l’amygdale, l’hypothalamus et la partie antérieure du thalamus.
- D’ailleurs, au cours des dernières années, nous avons précisé le rôle majeur de l’amygdale dans le traitement des informations concernant la survie de l’individu, dont la peur.
Anxiété: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho
- nommez-les
- L’anxiété est liée au système limbique et au sous-cortex.
- Une certaine partie du système limbique est en sous-cortical.
- L’anxiété pathologique est associée à des perturbations du circuit neuronal cortico-sous-cortical aussi appelé « circuit de la peur et de l’anxiété ».
- Celui-ci comprend le cortex préfrontal ventromédian relié au cortex cingulaire, mais aussi les structures souscorticales, dont principalement l’hippocampe, l’amygdale, l’hypothalamus et la partie antérieure du thalamus.
- D’ailleurs, au cours des dernières années, nous avons précisé le rôle majeur de l’amygdale dans le traitement des informations concernant la survie de l’individu, dont la peur.
Anxiété: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho
- circuit de la peur et de l’anxiété
- L’anxiété est liée au système limbique et au sous-cortex.
- Une certaine partie du système limbique est en sous-cortical.
- L’anxiété pathologique est associée à des perturbations du circuit neuronal cortico-sous-cortical aussi appelé « circuit de la peur et de l’anxiété ».
- Celui-ci comprend le cortex préfrontal ventromédian relié au cortex cingulaire, mais aussi les structures souscorticales, dont principalement l’hippocampe, l’amygdale, l’hypothalamus et la partie antérieure du thalamus.
- D’ailleurs, au cours des dernières années, nous avons précisé le rôle majeur de l’amygdale dans le traitement des informations concernant la survie de l’individu, dont la peur.
Anxiété: Structures du cerveau impliquées dans la physiopatho
- amygdale
- L’anxiété est liée au système limbique et au sous-cortex.
- Une certaine partie du système limbique est en sous-cortical.
- L’anxiété pathologique est associée à des perturbations du circuit neuronal cortico-sous-cortical aussi appelé « circuit de la peur et de l’anxiété ».
- Celui-ci comprend le cortex préfrontal ventromédian relié au cortex cingulaire, mais aussi les structures souscorticales, dont principalement l’hippocampe, l’amygdale, l’hypothalamus et la partie antérieure du thalamus.
- D’ailleurs, au cours des dernières années, nous avons précisé le rôle majeur de l’amygdale dans le traitement des informations concernant la survie de l’individu, dont la peur.
Médicaments pour le tr anxieux: Leur influence sur la science
En comprenant le mécanisme de certains médicaments, on est en mesure de mieux comprendre les différents troubles concernant les neurotransmetteurs.
Voici quelques exemples :
- Anxiété sociale → ↑ amygdale et insula
- Phobie → ↑ amygdale
- Panique → ↑ amygdale
- Stress post-traum → ↑ amygdale, insula, cortex préfrontal médiant droit et cortex singulaire antérieur droit, mais diminution du cortex cingulaire antérieur ventral et du cortex préfrontal ventromédian
Rx pour le tr anxieux: Compréhension de la physiopathio
- ANXIÉTÉ SOCIALE
En comprenant le mécanisme de certains médicaments, on est en mesure de mieux comprendre les différents troubles concernant les neurotransmetteurs.
Voici quelques exemples :
- Anxiété sociale → ↑ amygdale et insula
- Phobie → ↑ amygdale
- Panique → ↑ amygdale
- Stress post-traum → ↑ amygdale, insula, cortex préfrontal médiant droit et cortex singulaire antérieur droit, mais diminution du cortex cingulaire antérieur ventral et du cortex préfrontal ventromédian
Rx pour le tr anxieux: Compréhension de la physiopathio
- PHOBIE
En comprenant le mécanisme de certains médicaments, on est en mesure de mieux comprendre les différents troubles concernant les neurotransmetteurs.
Voici quelques exemples :
- Anxiété sociale → ↑ amygdale et insula
- Phobie → ↑ amygdale
- Panique → ↑ amygdale
- Stress post-traum → ↑ amygdale, insula, cortex préfrontal médiant droit et cortex singulaire antérieur droit, mais diminution du cortex cingulaire antérieur ventral et du cortex préfrontal ventromédian
Rx pour le tr anxieux: Compréhension de la physiopathio
- PANIQUE
En comprenant le mécanisme de certains médicaments, on est en mesure de mieux comprendre les différents troubles concernant les neurotransmetteurs.
Voici quelques exemples :
- Anxiété sociale → ↑ amygdale et insula
- Phobie → ↑ amygdale
- Panique → ↑ amygdale
- Stress post-traum → ↑ amygdale, insula, cortex préfrontal médiant droit et cortex singulaire antérieur droit, mais diminution du cortex cingulaire antérieur ventral et du cortex préfrontal ventromédian
Rx pour le tr anxieux: Compréhension de la physiopathio
- STRESS POST TRAUMATIQUE
En comprenant le mécanisme de certains médicaments, on est en mesure de mieux comprendre les différents troubles concernant les neurotransmetteurs.
Voici quelques exemples :
- Anxiété sociale → ↑ amygdale et insula
- Phobie → ↑ amygdale
- Panique → ↑ amygdale
- Stress post-traum → ↑ amygdale, insula, cortex préfrontal médiant droit et cortex singulaire antérieur droit, mais diminution du cortex cingulaire antérieur ventral et du cortex préfrontal ventromédian
Tr anxieux dont l’étiologie génétique semble la plus forte?
- L’agoraphobie
- RAPPEL: Des études faites sur les jumeaux attribuent ce risque :
- 30 % → anxiété généralisée, phobie spécifique, stress post-traumatique
- 50 % → trouble panique et anxiété sociale
- 60 % → phobie du sang – injections – accident
- 67 % → agoraphobie
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Nommez-les
- Substances panicogènes respiratoires
- Substances anxiogènes activant l’axe HHS
- Substances à effets mixtes ou incertains
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances panicogènes respiratoires
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances panicogènes respiratoires
- Nommez les SUBSTANCES
- Lactate de sodium
- CO2
- Bicarbonate de sodium
- Isoprotérénol (isuprel, agonite β-adrénergique)
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances panicogènes respiratoires
- Nommez les EFFETS de ces substances
- Mime une attaque de panique avec prédominance de symptômes respiratoires
- Peut être bloqué par l’imipramine
- ø d’activation de l’axe hypothalamo-hypophysosurrénalien (HHS)
- Cause une attaque de panique que chez le patient atteint d’un trouble anxieux (généralement)
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances anxiogènes activant l’axe HHS
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances anxiogènes activant l’axe HHS
- Nommez les SUBSTANCES
- Yohimbine
- Ecstazy et fenfluramine
- β-carotène et flumazénil
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances anxiogènes activant l’axe HHS
- Nommez les EFFETS de ces substances
- Effet anxiogène n’atteignant pas l’intensité d’une attaque de panique et ne causant pas de symptômes respiratoires
- Activation de l’axe HHS
- Peut susciter une réaction anxieuse chez un sujet sain
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances à effets mixtes ou incertains
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances à effets mixtes ou incertains
- Nommez les SUBSTANCES
- Cholécystokinine-4 (CCK-4)
- Caféine
- Doxapram
Substances pouvant provoquer les sx anxieux: Substances à effets mixtes ou incertains
- Nommez les SUBSTANCES
- Effet composé des deux classes précédentes
RAPPEL DES 2 CLASSES PRÉCÉDENTES:
- Substances panicogènes respiratoires
- Mime une attaque de panique avec prédominance de symptômes respiratoires
- Peut être bloqué par l’imipramine
ø d’activation de l’axe hypothalamo-hypophysosurrénalien (HHS)
- Cause une attaque de panique que chez le patient atteint d’un trouble anxieux (généralement) - Substances anxiogènes activant l’axe HHS
- Effet anxiogène n’atteignant pas l’intensité d’une attaque de panique et ne causant pas de symptômes respiratoires
- Activation de l’axe HHS
- Peut susciter une réaction anxieuse chez un sujet sain
Anxiété causée par la caféine: De quoi dépend l’intensité de l’anxiété?
- La modulation de l’effet anxieux est uniquement basée sur la concentration de caféine.
- Puisqu’un expresso contient moins de caféine qu’un Red Bull, il est moins à risque de causer des symptômes anxieux importants.
- L’espresso italien vénitien de belle qualité est moins anxiogénique que le Red Bull et autres boissons de ce type.
Anxiété causée par la caféine: Red Bull vs espresso
- La modulation de l’effet anxieux est uniquement basée sur la concentration de caféine.
- Puisqu’un expresso contient moins de caféine qu’un Red Bull, il est moins à risque de causer des symptômes anxieux importants.
- L’espresso italien vénitien de belle qualité est moins anxiogénique que le Red Bull et autres boissons de ce type.
Biologie: Son importance dans l’étiologie de l’anxiété
- La biologie est importante dans la compréhension de l’anxiété.
- Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété :
- Sérotonine
- Noradrénaline
- Dopamine
Biologie dans l’étiologie de l’anxiété: Nommez les NT les plus souvent impliqués
- La biologie est importante dans la compréhension de l’anxiété.
-
Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété :
- Sérotonine
- Noradrénaline
- Dopamine
Biologie dans l’étiologie de l’anxiété: Les NT sont associés à quoi?
- Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété : sérotonine, noradrénaline et dopamine.
- Ces neurotransmetteurs sont souvent associés à de multiples neuropeptides susceptibles de jouer un rôle modulateur notamment dans le système limbique.
- D’autres neurotransmetteurs semblent avoir un rôle dans pathogenèse des troubles anxieux, notamment un affaiblissement du système GABA qui hyperactiverait le système limbique, ainsi qu’une augmentation du système glutamatergique qui excite le cerveau dans sa globalité.
Biologie dans l’étiologie de l’anxiété: Autres NT impliqués
- Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété : sérotonine, noradrénaline et dopamine.
- Ces neurotransmetteurs sont souvent associés à de multiples neuropeptides susceptibles de jouer un rôle modulateur notamment dans le système limbique.
- D’autres neurotransmetteurs semblent avoir un rôle dans pathogenèse des troubles anxieux, notamment un affaiblissement du système GABA qui hyperactiverait le système limbique, ainsi qu’une augmentation du système glutamatergique qui excite le cerveau dans sa globalité.
Biologie dans l’étiologie de l’anxiété: Rôle du GABA
- Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété : sérotonine, noradrénaline et dopamine.
- Ces neurotransmetteurs sont souvent associés à de multiples neuropeptides susceptibles de jouer un rôle modulateur notamment dans le système limbique.
- D’autres neurotransmetteurs semblent avoir un rôle dans pathogenèse des troubles anxieux, notamment un affaiblissement du système GABA qui hyperactiverait le système limbique, ainsi qu’une augmentation du système glutamatergique qui excite le cerveau dans sa globalité.
Biologie dans l’étiologie de l’anxiété: Rôle du glutamate
- Les trois neurotransmetteurs les plus souvent évoqués lorsque nous parlons de l’anxiété : sérotonine, noradrénaline et dopamine.
- Ces neurotransmetteurs sont souvent associés à de multiples neuropeptides susceptibles de jouer un rôle modulateur notamment dans le système limbique.
- D’autres neurotransmetteurs semblent avoir un rôle dans pathogenèse des troubles anxieux, notamment un affaiblissement du système GABA qui hyperactiverait le système limbique, ainsi qu’une augmentation du système glutamatergique qui excite le cerveau dans sa globalité.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: PSYCHODYAMIQUE
- (Approche liée à la théorie de Freud)
- On postule qu’une pulsion réprimée à cause de son caractère socialement inacceptable et souvent inadmissible pour le patient lui-même est déplacée ; création d’un conflit envers un objet moins menaçant et plus acceptable.
- Pour appuyer ces théories, certains évoquent la difficulté de ce groupe de patients à nommer et identifier leurs émotions.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: PSYCHODYAMIQUE
- sur quelle théorie est basée l’approche psychodynamique?
- (Approche liée à la théorie de Freud)
- On postule qu’une pulsion réprimée à cause de son caractère socialement inacceptable et souvent inadmissible pour le patient lui-même est déplacée ; création d’un conflit envers un objet moins menaçant et plus acceptable.
- Pour appuyer ces théories, certains évoquent la difficulté de ce groupe de patients à nommer et identifier leurs émotions.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: PSYCHODYAMIQUE
- expliquez la vision
- (Approche liée à la théorie de Freud)
- On postule qu’une pulsion réprimée à cause de son caractère socialement inacceptable et souvent inadmissible pour le patient lui-même est déplacée ; création d’un conflit envers un objet moins menaçant et plus acceptable.
- Pour appuyer ces théories, certains évoquent la difficulté de ce groupe de patients à nommer et identifier leurs émotions.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: PSYCHODYAMIQUE
- sur quoi s’appuie cette théorie?
- (Approche liée à la théorie de Freud)
- On postule qu’une pulsion réprimée à cause de son caractère socialement inacceptable et souvent inadmissible pour le patient lui-même est déplacée ; création d’un conflit envers un objet moins menaçant et plus acceptable.
- Pour appuyer ces théories, certains évoquent la difficulté de ce groupe de patients à nommer et identifier leurs émotions.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: COMPORTEMENTALE
- (Approche qui s’appuie sur les principes du conditionnement classique)
- Un stimulus inconditionnel est associé à un stimulus neutre, qui devient alors conditionné, c’est-à-dire capable de déclencher à lui seul la même réaction anxieuse.
- On postule aussi que l’évitement et la fuite, engendré afin de diminuer rapidement l’anxiété, sont maintenus puisqu’ils permettent parfois de prévenir une attaque de panique (processus ciblé lors de la thérapie).
- On propose aussi des processus cognitifs sous-jacents basés sur des mécanismes cognitifs d’anticipation afin d’expliquer des phobies de choses dont les patients n’ont jamais été en contact (ex : phobie de prendre l’avion sans l’avoir pris dans sa vie).
- Finalement, on rapporte une distorsion cognitives liée au traitement de l’information (ex : on porte plus attention aux stimuli anxiogènes dans l’environnement) ainsi qu’une interprétation catastrophique des sensation physiques reliées au stress, ce qui amène à les anticiper davantage.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: COMPORTEMENTALE
- sur quels principes se basent l’approche comportementale?
- (Approche qui s’appuie sur les principes du conditionnement classique)
- Un stimulus inconditionnel est associé à un stimulus neutre, qui devient alors conditionné, c’est-à-dire capable de déclencher à lui seul la même réaction anxieuse.
- On postule aussi que l’évitement et la fuite, engendré afin de diminuer rapidement l’anxiété, sont maintenus puisqu’ils permettent parfois de prévenir une attaque de panique (processus ciblé lors de la thérapie).
- On propose aussi des processus cognitifs sous-jacents basés sur des mécanismes cognitifs d’anticipation afin d’expliquer des phobies de choses dont les patients n’ont jamais été en contact (ex : phobie de prendre l’avion sans l’avoir pris dans sa vie).
- Finalement, on rapporte une distorsion cognitives liée au traitement de l’information (ex : on porte plus attention aux stimuli anxiogènes dans l’environnement) ainsi qu’une interprétation catastrophique des sensation physiques reliées au stress, ce qui amène à les anticiper davantage.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: COMPORTEMENTALE
- explications données
- (Approche qui s’appuie sur les principes du conditionnement classique)
- Un stimulus inconditionnel est associé à un stimulus neutre, qui devient alors conditionné, c’est-à-dire capable de déclencher à lui seul la même réaction anxieuse.
- On postule aussi que l’évitement et la fuite, engendré afin de diminuer rapidement l’anxiété, sont maintenus puisqu’ils permettent parfois de prévenir une attaque de panique (processus ciblé lors de la thérapie).
- On propose aussi des processus cognitifs sous-jacents basés sur des mécanismes cognitifs d’anticipation afin d’expliquer des phobies de choses dont les patients n’ont jamais été en contact (ex : phobie de prendre l’avion sans l’avoir pris dans sa vie).
- Finalement, on rapporte une distorsion cognitives liée au traitement de l’information (ex : on porte plus attention aux stimuli anxiogènes dans l’environnement) ainsi qu’une interprétation catastrophique des sensation physiques reliées au stress, ce qui amène à les anticiper davantage.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: COMPORTEMENTALE
- mécanismes cognitifs
- (Approche qui s’appuie sur les principes du conditionnement classique)
- Un stimulus inconditionnel est associé à un stimulus neutre, qui devient alors conditionné, c’est-à-dire capable de déclencher à lui seul la même réaction anxieuse.
- On postule aussi que l’évitement et la fuite, engendré afin de diminuer rapidement l’anxiété, sont maintenus puisqu’ils permettent parfois de prévenir une attaque de panique (processus ciblé lors de la thérapie).
- On propose aussi des processus cognitifs sous-jacents basés sur des mécanismes cognitifs d’anticipation afin d’expliquer des phobies de choses dont les patients n’ont jamais été en contact (ex : phobie de prendre l’avion sans l’avoir pris dans sa vie).
- Finalement, on rapporte une distorsion cognitives liée au traitement de l’information (ex : on porte plus attention aux stimuli anxiogènes dans l’environnement) ainsi qu’une interprétation catastrophique des sensation physiques reliées au stress, ce qui amène à les anticiper davantage.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: COMPORTEMENTALE
- distorsions cognitives
- (Approche qui s’appuie sur les principes du conditionnement classique)
- Un stimulus inconditionnel est associé à un stimulus neutre, qui devient alors conditionné, c’est-à-dire capable de déclencher à lui seul la même réaction anxieuse.
- On postule aussi que l’évitement et la fuite, engendré afin de diminuer rapidement l’anxiété, sont maintenus puisqu’ils permettent parfois de prévenir une attaque de panique (processus ciblé lors de la thérapie).
- On propose aussi des processus cognitifs sous-jacents basés sur des mécanismes cognitifs d’anticipation afin d’expliquer des phobies de choses dont les patients n’ont jamais été en contact (ex : phobie de prendre l’avion sans l’avoir pris dans sa vie).
- Finalement, on rapporte une distorsion cognitives liée au traitement de l’information (ex : on porte plus attention aux stimuli anxiogènes dans l’environnement) ainsi qu’une interprétation catastrophique des sensation physiques reliées au stress, ce qui amène à les anticiper davantage.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine.
- Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable.
- Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- c’est quoi l’approche existentielle?
-
Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine. Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable.
- Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- comment l’approche existentielle voit-elle la vie?
- Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine.
- Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable.
- Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- comment cette approche explique-t-elle l’anxiété et l’angoisse?
- Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine. Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable. Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- angoisse vs peur
- Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine. Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable. Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Étiologie de l’anxiété selon l’approche suivante: EXISTENTIELLE
- angoisse est normale?
- Vise à aborder l’aspect existentiel de l’anxiété humaine. Cet aspect renvoi au caractère angoissant de la vie humaine, dans laquelle la mort est inévitable. Un auteur (Pascal) avait même comparé l’existence humaine à une chaîne de montage à laquelle se termine la mort.
- Kierkegaard poussera la réflexion plus loin, en affirmant que l’angoisse et l’anxiété sont inhérentes à la liberté de faire un choix entre plusieurs possibilités, dans lesquelles est inclus le péché ; l’humain éprouvant à la fois de l’attraction et de la répulsion pour ce dernier.
- L’angoisse est donc différente de la peur provoquée par un danger, dans la mesure où elle est « consubstantielle de l’existence humaine ».
- Toutefois, comme cette angoisse est inhérente à la nature humaine, elle doit être qualifiée de normale et distincte de l’angoisse pathologique.
- L’angoisse n’est pas une maladie, et la névrose de l’angoisse n’est pas une philosophie.
Structures cérébrales qui sont le substrat de la plupart des tr anxieux
- Structures reliées au système limbique
- Hippocampe
- Amygdale
- Hypothalamus
- Gyrus cingulaire
- Fornix
Structures cérébrales qui sont le substrat de la plupart des tr anxieux: Nommez les structures appartenant au système limbique
- Structures reliées au système limbique
- Hippocampe
- Amygdale
- Hypothalamus
- Gyrus cingulaire
- Fornix
Style parental: Lien avec dév d’un tr anxieux?
- On suppose que le développement d’un trouble anxieux peut aussi survenir par un conditionnement vicariant (apprentissage par observation), dans lequel un individu apprend à avoir peur par l’observation d’une personne manifestant une réaction de peur face à un stimulus.
- Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux.
- Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété.
Quel est le lien entre le style parental et le dév d’un tr anxieux?
- On suppose que le développement d’un trouble anxieux peut aussi survenir par un conditionnement vicariant (apprentissage par observation), dans lequel un individu apprend à avoir peur par l’observation d’une personne manifestant une réaction de peur face à un stimulus.
- Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux.
- Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété.
IMPORTANCE du style parental dans le dév d’un tr anxieux
- On suppose que le développement d’un trouble anxieux peut aussi survenir par un conditionnement vicariant (apprentissage par observation), dans lequel un individu apprend à avoir peur par l’observation d’une personne manifestant une réaction de peur face à un stimulus.
- Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux.
- Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété.
Styles parentaux: Nommez-les
Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux. Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété. Parmi les styles parentaux connus, on note :
- Un style surprotecteur et contrôlant : Dans la relation mère-enfant, le lien est bidirectionnel : plus la mère est surprotectrice, plus l’enfant devient anxieux, et dans le sens inverse, plus l’enfant est anxieux, plus la mère est protectrice. Avec le père, les données orientent plutôt vers un lien unidirectionnel. La froideur du père jouerait quant à elle un rôle légèrement plus marquant que la surprotection.
- Un style parental rejetant et moins chaleureux basé sur la critique et le négativisme : entraîne une baisse de l’estime de soi chez l’enfant ce qui amène anxiété et troubles dépressifs.
Styles parentaux: Nommez-les
- style suprotecteur et contrôlant
Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux. Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété. Parmi les styles parentaux connus, on note :
- Un style surprotecteur et contrôlant : Dans la relation mère-enfant, le lien est bidirectionnel : plus la mère est surprotectrice, plus l’enfant devient anxieux, et dans le sens inverse, plus l’enfant est anxieux, plus la mère est protectrice. Avec le père, les données orientent plutôt vers un lien unidirectionnel. La froideur du père jouerait quant à elle un rôle légèrement plus marquant que la surprotection.
- Un style parental rejetant et moins chaleureux basé sur la critique et le négativisme : entraîne une baisse de l’estime de soi chez l’enfant ce qui amène anxiété et troubles dépressifs.
Styles parentaux: Nommez-les
- style parental rejetant, critique et négatif
Les styles parentaux peuvent être des facteurs de vulnérabilité au développement d’un trouble anxieux. Il est à noter que le style parental semble expliquer 20-30% de la variance d’anxiété. Parmi les styles parentaux connus, on note :
- Un style surprotecteur et contrôlant : Dans la relation mère-enfant, le lien est bidirectionnel : plus la mère est surprotectrice, plus l’enfant devient anxieux, et dans le sens inverse, plus l’enfant est anxieux, plus la mère est protectrice. Avec le père, les données orientent plutôt vers un lien unidirectionnel. La froideur du père jouerait quant à elle un rôle légèrement plus marquant que la surprotection.
- Un style parental rejetant et moins chaleureux basé sur la critique et le négativisme : entraîne une baisse de l’estime de soi chez l’enfant ce qui amène anxiété et troubles dépressifs.
Autres facteurs parentaux ayant un impact sur le tr anxieux
- D’autres facteurs peuvent contribuer, mais dont les résultats sont incomplets : conflits parentaux, faible estime de soi, séparation ou perte parentale, ambiance familiale perturbée, faible scolarité, abus sexuel, etc… le rôle serait non spécifique aux troubles anxieux, mais prédisposant aux psychopathologies.
Pages à lire sur les troubles anxieux
- Quoi???? Ça va pas non? … Tout prêt de 75 pages !!!! … De quoi exacerber un TAG ou du moins stimuler votre axe du cortisol! Vous serez heureux de voir qu’il y a plusieurs tableaux, que ceux- ci occupent beaucoup d’espace et qu’ils contiennent souvent des informations sur les critères DSM- IV qui ne sont pas dans les objectifs de ce cours. On en a bien assez du DSM V!!!
- Tentons de structurer ces notions essentielles de façon simple et efficace afin de vous permettre de continuer à avoir une vie sociale et des loisirs, ce qui me semble nécessaire à une bonne santé mentale. Faut-il tout tout lire? Et comment reconnaître ce qui est important? Croyez-moi, il existe une solution…
- Dans un premier temps, distinguons les troubles primaires et secondaires : Les secondaires sont … secondaires à quelque chose! Gardons pour plus tard le trouble anxieux lié à une condition médicale et le trouble anxieux induit par l’usage d’une substance.
- Pour systématiser l’étude des autres troubles, pourquoi ne pas faire un fameux tableau de synthèse à compléter!!!
- Je vous en propose deux, soit un pour les troubles anxieux et un autre pour les troubles associés à de l’anxiété qui ne sont plus dans la catégorie Trouble Anxieux (TOC et troubles reliés ainsi que TSPT et Stress aigu)
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: l’ÉPIDÉMIOLOGIE?
L’épidémiologie : facile, habituellement, il faut pouvoir nommer la prévalence en général, la répartition homme/femme et une caractéristique distinctive s’il y a lieu … (donc oubliez la prévalence à vie de la phobie sociale à Oudmourtie, Russie …)
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: l’ÉTIOLOGIE?
- L’étiologie : un peu plus compliqué, mais on a déjà vu les bases générales précédemment!
- Pourquoi ne pas ressortir tout simplement les facteurs biologiques, génétiques et psychosociaux pour chacun des troubles mentionnés?
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: les CARACTÉRISTIQUES CLINIQUES?
Les caractéristiques cliniques : vous les avez dans votre DSM-5!!!
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: le DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL?
Le diagnostic différentiel : les troubles anxieux font habituellement partie du diagnostic différentiel des autres troubles anxieux. Assurez-vous de connaitre cependant les diagnostics moins évidents qui peuvent être confondant en clinique!
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: l’ÉVOLUTION ET LE PRONOSTIC?
L’évolution et le pronostic : c’est encore de l’épidémiologie et ça se systématise bien! (Lalonde pages 444445)
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur: les TRAITEMENTS?
- Les traitements : concentrons-nous sur ce qui fonctionne et ça ne peut être que biologique ou psychothérapeutique!
- (Lalonde pages 437-445 SAUF les tableaux 20.12 et 20.13… pour le tableau 20.11, concentrez-vous sur le module en ligne)
Tr anxieux: Que faut-il savoir sur - AUTRES
- En parallèle aux tableaux, je pourrai vous suivre en parcourant les pages pour attirer votre attention sur certaines informations qui m’apparaissent plus pertinentes que d’autres (allez voir après les tableaux!)
- Eh bien, allons-y! Suivez le guide!
Trouble panique
- Épidémio
- Étiologie
- Présentation clinique
- Ddx
- Pronostic
- Tx
Trouble panique: ÉPIDÉMIO
- prévalence
- H vs F
- Prévalence (2 – 3 %)
- H : F → 1 : 2
Trouble panique: ÉTIOLOGIE
- Risque X 3 chez parent 1er degré et X 17 si apparition avant 20 ans
- Héritabilité génétique : 50 %
- Conditionnement classique
- Pulsion réprimée
Trouble panique: ÉTIOLOGIE
- GÉNÉTIQUE
- Risque X 3 chez parent 1er degré et X 17 si apparition avant 20 ans
- Héritabilité génétique : 50 %
- Conditionnement classique
- Pulsion réprimée
Trouble panique: ÉTIOLOGIE
- SOCIAL
- Risque X 3 chez parent 1er degré et X 17 si apparition avant 20 ans
- Héritabilité génétique : 50 %
- Conditionnement classique
- Pulsion réprimée
Trouble panique: ÉTIOLOGIE
- PSYCHOLOGIQUE
- Risque X 3 chez parent 1er degré et X 17 si apparition avant 20 ans
- Héritabilité génétique : 50 %
- Conditionnement classique
- Pulsion réprimée
Trouble panique: DDX
- TAG
- Agoraphobie
- Panique « dépressive »
Base du Ddx : Caractère spontané et récurrent
Trouble panique: DDX
- base du ddx
- TAG
- Agoraphobie
- Panique « dépressive »
Base du Ddx : Caractère spontané et récurrent
Trouble panique: PRONOSTIC
- Évolution fluctuante
- 80% asymptomatique après un suivi thérapeutique de 5-10 ans.
Trouble panique: PRONOSTIC
- ÉVOLUTION
- Évolution fluctuante
- 80% asymptomatique après un suivi thérapeutique de 5-10 ans.
Trouble panique: PRONOSTIC
- ÉVOLUTION LONG TERME
- Évolution fluctuante
- 80% asymptomatique après un suivi thérapeutique de 5-10 ans.
Trouble panique: TRAITEMENT
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépresseurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Trouble panique: TRAITEMENT
- 1ÈRE LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépresseurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Trouble panique: TRAITEMENT
- 2ÈME LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépresseurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Trouble panique: TRAITEMENT
- 3ÈME LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépresseurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Trouble panique: TRAITEMENT
- PSYCHOTHÉRAPIE: LAQUELLE? INDICATION?
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépresseurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Agoraphobie
- Épidémio
- Étiologie
- Présentation clinique
- Pronostic
- Tx
Agoraphobie: ÉPIDÉMIO
- prévalence
- H vs F
- Pics incidence
- Prévalence (1.7 %)
- H : F → 1 : 2
- 2 pics d’incidence
Agoraphobie: Étiologie
- Héritabilité génétique : 67 %
- Conditionnement classique
Agoraphobie: Étiologie
- GÉNÉTIQUE
- Héritabilité génétique : 67 %
- Conditionnement classique
Agoraphobie: Étiologie
- SOCIAL
- Héritabilité génétique : 67 %
- Conditionnement classique
Agoraphobie: DDX
- Anxiété sociale
- Phobie spécifique : diff→ + qu’un type de situation
- TSPT
- TOC
- Dépression
Agoraphobie: PRONOSTIC
- Évolution persistante et chronique
- Peu de chance de rémission spontanée
Agoraphobie: PRONOSTIC
- ÉVOLUTION
- Évolution persistante et chronique
- Peu de chance de rémission spontanée
Agoraphobie: PRONOSTIC
- RÉMISSION SPONTANNÉE
- Évolution persistante et chronique
- Peu de chance de rémission spontanée
Agoraphobie: TRAITEMENT
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépres-seurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Agoraphobie: TRAITEMENT
- 1ÈRE LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépres-seurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Agoraphobie: TRAITEMENT
- 2ÈME LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépres-seurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Agoraphobie: TRAITEMENT
- 3ÈME LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépres-seurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Agoraphobie: TRAITEMENT
- PSYCHOTHÉRAPIE: LAQUELLE? INDICATIONS?
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : antidépres-seurs tricycliques, mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC en combiné
Phobie spécifique
- Épidémio
- Étiologie
- Présentation clinique
- DDX
- Pronostic
- Tx
Phobie spécifique: Épidémio
- Prévalence (7 – 9 %)
- H : F → 1 : 2
- Âge d’apparition très précoce (᷄moyenne : 7 ans)
Phobie spécifique: Épidémio
- prévalence
- H vs F
- Prévalence (7 – 9 %)
- H : F → 1 : 2
- Âge d’apparition très précoce (᷄moyenne : 7 ans)
Phobie spécifique: Épidémio
- âge d’apparition
- Prévalence (7 – 9 %)
- H : F → 1 : 21
- Âge d’apparition très précoce (moyenne : 7 ans)
Phobie spécifique: Étiologie
- Risque X 3 chez parent 1er degré
- Héritabilité génétique : 30 %, 60% pr certaines
- Conditionnement vicariant
- Conditionnement classique
Phobie spécifique: Étiologie
- génétique
- Risque X 3 chez parent 1er degré
- Héritabilité génétique : 30 %, 60% pr certaines
- Conditionnement vicariant
- Conditionnement classique
Phobie spécifique: Étiologie
- social
- Risque X 3 chez parent 1er degré
- Héritabilité génétique : 30 %, 60% pr certaines
- Conditionnement vicariant
- Conditionnement classique
Phobie spécifique: DDX
- Agoraphobie
- Anxiété sociale
- TSPT
- TOC
- Dépression
Phobie spécifique: Pronostic
- Tôt dans l’enfance : évolution bénigne
- Persistance à l’âge adulte : persistant et réfractaire au tx
Phobie spécifique: Pronostic
- dépend de quoi?
- Tôt dans l’enfance : évolution bénigne
- Persistance à l’âge adulte : persistant et réfractaire au tx
Phobie spécifique: Pronostic
- si tôt dans l’enfance
- Tôt dans l’enfance : évolution bénigne
- Persistance à l’âge adulte : persistant et réfractaire au tx
Phobie spécifique: Pronostic
- si persistance à l’âge adulte
- Tôt dans l’enfance : évolution bénigne
- Persistance à l’âge adulte : persistant et réfractaire au tx
Phobie spécifique: Traitement
- TCC (exposition un vivo au stresseur)
- Les médicaments ne sont pratiquement jamais prescrits
Phobie spécifique: Traitement
- médicaments
- TCC (exposition un vivo au stresseur)
- Les médicaments ne sont pratiquement jamais prescrits
Phobie spécifique: Traitement
- psychothérapie: laquelle? indication?
- TCC (exposition un vivo au stresseur)
- Les médicaments ne sont pratiquement jamais prescrits
Phobie sociale
- Épidémio
- Étiologie
- Présentation clinique
- Pronostic
- DDX
- Tx
Phobie sociale: Épidémio
- Prévalence (7 %)
- H : F → 1 : 2
- Âge d’apparition (moyenne 13 ans)
Phobie sociale: Épidémio
- prévalence
- H vs F
- Prévalence (7 %)
- H : F → 1 : 2
- Âge d’apparition (moyenne 13 ans)
Phobie sociale: Épidémio
- âge d’apparition
- Prévalence (7 %)
- H : F → 1 : 2
- Âge d’apparition (moyenne 13 ans)
Phobie sociale: Étiologie
- Héritabilité génétique : 50 %
- Inhibition comportementale chez l’enfant
- Conditionnement vicariant
- Pulsion réprimée
Phobie sociale: Étiologie
- génétique
- Héritabilité génétique : 50 %
- Inhibition comportementale chez l’enfant
- Conditionnement vicariant
- Pulsion réprimée
Phobie sociale: Étiologie
- psychologique
- Héritabilité génétique : 50 %
- Inhibition comportementale chez l’enfant
- Conditionnement vicariant
- Pulsion réprimée
Phobie sociale: Étiologie
- social
- Héritabilité génétique : 50 %
- Inhibition comportementale chez l’enfant
- Conditionnement vicariant
- Pulsion réprimée
Phobie sociale: DDX
- Trouble panique
- Agoraphobie
- Phobie spécifique
- TAG
- Dysmorphie corporelle
- TP évitante
Phobie sociale: Pronostic
- Évolution chronique
- 50% ont une rémission satisfaisant avec le traitement
Phobie sociale: Pronostic
- évolution à long terme
- Évolution chronique
- 50% ont une rémission satisfaisant avec le traitement
Phobie sociale: Pronostic
- rémission
- Évolution chronique
- 50% ont une rémission satisfaisant avec le traitement
Phobie sociale: Traitement
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
Phobie sociale: Traitement
- 1ère LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
Phobie sociale: Traitement
- 2ème LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
Phobie sociale: Traitement
- 3ème LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
Phobie sociale: Traitement
- si très réfractaire
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
Phobie sociale: Traitement
- psychothérapie
- 1er : ISRS et INSR
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- Si très réfractaire : Phénelzine
- TCC en combiné de groupe / seul
TAG
- Épidémio
- Étiologie
- Présentation clinique
- DDX
- Pronostic
- Tx
TAG: Épidémio
- Prévalence
- H vs F
- Prévalence (6 %)
- H : F → 1 : 2
TAG: Étiologie
- Risque X 3 chez parent 1er degré
- Héritabilité génétique : 30 %
TAG: Étiologie
- génétique
- Risque X 3 chez parent 1er degré
- Héritabilité génétique : 30 %
TAG: DDX
- Dépression
- TOC
- Trouble panique
- Phobie sociale
Base du Ddx : Présence constante d’anxiété
TAG: DDX
- base du ddx
- Dépression
- TOC
- Trouble panique
- Phobie sociale
Base du Ddx : Présence constante d’anxiété
TAG: Pronostic
- Évolution persistante avec fluctuations
- Rémission complète rare
TAG: Pronostic
- évolution à long terme
- Évolution persistante avec fluctuations
- Rémission complète rare
TAG: Pronostic
- rémission
- Évolution persistante avec fluctuations
- Rémission complète rare
TAG: Traitement
- 1er : ISRS et INSR
- 1 ou 2 : prégabaline
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC, mais moins bon que rx
TAG: Traitement
- 1ÈRE LIGNE
- 1er : ISRS et INSR
- 1 ou 2 : prégabaline
- 2e : mirtazapine ou benzo
- 3e : phénelzine ou moclobémide, anticonvulsivants ou antipsychotiques atypiques
- TCC, mais moins bon que rx