Pédopsychiatrie Flashcards

1
Q

Pourquoi, selon vous, la philosophie enseignée au collégial ne l’est pas dès la première année du primaire?

A
  • Puisque l’enfant n’est pas rendu encore au niveau de développement permettant la compréhension de ces concepts.
  • Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
      1. Sensorimoteur (0-2 ans)
      1. Préopératoire (2-7 ans)
      1. Opératoire concret (7-12 ans)
      1. Opératoire formel (12 ans et plus)
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2
Q

Piaget: Stades de développement

A
  • Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
      1. Sensorimoteur (0-2 ans)
      1. Préopératoire (2-7 ans)
      1. Opératoire concret (7-12 ans)
      1. Opératoire formel (12 ans et plus)
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3
Q

Piaget: Stades de développement
- leur utilité

A
  • Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
      1. Sensorimoteur (0-2 ans)
      1. Préopératoire (2-7 ans)
      1. Opératoire concret (7-12 ans)
      1. Opératoire formel (12 ans et plus)
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4
Q

Piaget: Stades de développement
- nommez-les + âges associés

A
  • Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
      1. Sensorimoteur (0-2 ans)
      1. Préopératoire (2-7 ans)
      1. Opératoire concret (7-12 ans)
      1. Opératoire formel (12 ans et plus)
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5
Q

Piaget: Stades de dév
- Nommez-les en ordre

A
  • Sensorimoteur (0-2 ans)
  • Préopératoire (2-7 ans)
  • Opératoire concret (7-12 ans)
  • Opératoire formel (12 ans et plus)
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6
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: âge associé

A

0-2 ans

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7
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR

A
  • Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
  • Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
  • Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
  • À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
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8
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: de quelle manière l’enfant apprend?

A
  • Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
  • Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
  • Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
  • À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
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9
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant apprend

A
  • Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
  • Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
  • Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
  • À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
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10
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant a acquis comme connaissance au terme de ce stade

A
  • Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
  • Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
  • Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
  • À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
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11
Q

Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant commence à développer à 18 mois

A
  • Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
  • Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
  • Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
  • À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
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12
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: âge associé

A

2-7 ans

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13
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    • Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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14
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: moyens de communication

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    - Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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15
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: limite de sa pensée

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    • Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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16
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: sa perception d’autrui

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    - Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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17
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: élaboration de ses réflexions

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    - Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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18
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: définir causalité phénoménale

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    - Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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19
Q

Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: définir pensées animalistes

A
  • L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
  • Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
    - Sa pensée est intuitive et non raisonnée
  • Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
  • Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
  • A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
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20
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: âge associé

A

7-12 ans

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21
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    • La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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22
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: comment se dév sa pensée?

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    • La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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23
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: perception d’autrui

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    • La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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24
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: relation avec les autres + place dans société

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    - La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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25
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: dév de la pensée

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    - La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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26
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: pensée logique

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    - La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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27
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: en mesure de percevoir quoi?

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    - La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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28
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: concept de quantité et réversibilité

A
  • La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
    - La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
  • Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
  • Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
  • Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
  • Il perçoit le temps et la vitesse
  • Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
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29
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: âge associé

A

12 ans et plus

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30
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL

A
  • Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
  • Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
  • Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
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31
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: développement de quoi?

A
  • Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
  • Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
  • Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
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32
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: montre de l’intérêt pour quoi?

A
  • Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
  • Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
  • Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
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33
Q

Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: dév de sa réflexion

A
  • Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
  • Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
  • Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
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34
Q

Piaget: Stades de dév
- comment se fait ce développement?

A
  • Ce développement se fait par la formation de schèmes cognitifs grâce à deux concepts en interaction constante ; l’assimilation (acquisition de nouvelles connaissances) et l’accommodation (ajustement des connaissances face à l’environnement).
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35
Q

Piaget: Stades de dév
- critique de ce modèle

A
  • La principale critique du modèle est qu’il ne tient pas compte des influences du milieu social et des affectivités et qu’ils se sont révélés être de première importance dans le développement cognitif de l’enfant.
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36
Q

Mise en place des systèmes émotionnels, cognitifs et comportementaux: SCHÉMA

A
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37
Q

Tempérament d’un enfant

A
  • On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure). Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique. Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes. Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
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38
Q

Tempérament d’un enfant: Ce qui le constitue

A
  • On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure). Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique. Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes. Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
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39
Q

Tempérament d’un enfant: Comment peut-il influencer l’attachement?

A
  • Réponse PPT de la prof: Des facteurs de vulnérabilité individuelle peuvent aussi interagir avec les caractéristiques parentales et ainsi influencer la qualité de l’attachement de l’enfant à son parent.
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
  • Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
  • Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
  • Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
  • Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
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40
Q

Tempérament d’un enfant et style d’attachement: Manière dont ils ne sont PAS reliés

A
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
  • Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
  • Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
  • Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
  • Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
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41
Q

Tempérament d’un enfant et style d’attachement: Manière dont ils sont reliés

A
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
  • Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
  • Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
  • Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
  • Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
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42
Q

Importance du tempérament de l’enfant en clinique

A
  • Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
  • Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
  • Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
  • Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
  • Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
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43
Q

Bonding vs attachement: Différenciez ces 2 termes

A
  • Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
    • (la relation que la mère développe pour le bébé)
  • Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
    • (la relation que le bébé développe pour la personne qui en prend soin = base de sécurité pour explorer l’environnement
      –> En cas de besoin, me viendra-t-on en aide?)
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44
Q

Bonding vs attachement: Définir BOUNDING

A
  • Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
  • Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
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45
Q

Bonding vs attachement: Définir ATTACHEMENT

A
  • Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
  • Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
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46
Q

Types d’attachement insécure: Nommez-les

A
  1. Attachement insécure organisé
    a. évitant
    b. ambivalent
  2. Attachement insécure désorganisé
  3. Attachement insécure contrôlant
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47
Q

Types d’attachement: Classification

A
  • Types d’attachement : il existe deux grands types d’attachement, sécure et insécure.
  • Ce dernier est subdivisé en 4 sous catégories.
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48
Q

Types d’attachement: Celui souhaitable

A

Attachement sécure

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49
Q

Types d’attachement: SÉCURE

A
  • Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
  • Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
  • L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
  • C’est le mode le plus souhaitable.
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Q

Types d’attachement: SÉCURE
- décrire

A
  • Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
  • Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
  • L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
  • C’est le mode le plus souhaitable.
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51
Q

Types d’attachement: SÉCURE
- relation parent-enfant

A
  • Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
  • Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
  • L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
  • C’est le mode le plus souhaitable.
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52
Q

Types d’attachement: SÉCURE
- ue fois l’enfant réconforté, il se passe quoi?

A
  • Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
  • Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
  • L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
  • C’est le mode le plus souhaitable.
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53
Q

Types d’attachement: SÉCURE
- ce que permet l’intériorisation de ce type de relation

A
  • Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
  • Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
  • L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
  • C’est le mode le plus souhaitable.
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54
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- nommez-les

A
  1. Attachement insécure organisé
    a. évitant
    b. ambivalent
  2. Attachement insécure désorganisé
  3. Attachement insécure contrôlant
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55
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé

A
  • Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
  • Deux types sont observés :
    1. Évitant
    2. Ambivalent
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56
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé: c’est quoi?

A
  • Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
  • Deux types sont observés :
    1. Évitant
    2. Ambivalent
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57
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé: types

A
  • Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
  • Deux types sont observés :
    1. Évitant
    2. Ambivalent
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58
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT

A
  • Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
  • Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
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59
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT: comportement de l’enfant

A
  • Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
  • Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
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Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT: décrire les parents

A
  • Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
  • Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
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Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT

A
  • Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
  • Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
  • Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
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62
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT: comportement de l’enfant

A
  • Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
  • Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
  • Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
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63
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT: décrire les parents

A
  • Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
  • Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
  • Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
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64
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ

A
  • Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
  • En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
  • Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
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65
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ: comportement de l’enfant

A
  • Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
  • En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
  • Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
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66
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ: décrire les parents

A
  • Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
  • En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
  • Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
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67
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT

A
  • Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
  • C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
  • Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
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68
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT: comportement de l’enfant

A
  • Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
  • C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
  • Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
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69
Q

Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT: décrire leur relation avec leur parent

A
  • Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
  • C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
  • Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
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70
Q

Vrai ou faux. Les enfants se tournent vers les mères pour leurs besoins de confort et réconfort. Par conséquent, les enfants qui n’ont pas de mère dans leurs premières années vont être carencés affectivement, même si le père est présent et supportant

A
  • Faux.
  • L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
  • Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
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71
Q

L’enfant est prédisposé à s’attacher à qui?

A
  • L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
  • Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
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72
Q

Dans quel contexte l’enfant est carencé affectivement?

A
  • L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
  • Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
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73
Q

Sensibilité parentale: Définition

A
  • Capacité de percevoir et d’interpréter ses besoins et ses signaux, et d’y répondre de manière appropriée et dans un délai acceptable. (ex : je sais que mon enfant a faim ou a besoin de réconfort)
  • C’est d’ailleurs un aspect important déterminant le type de relation d’attachement que l’enfant développera.
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74
Q

Sensibilité parentale: Son importance

A
  • Capacité de percevoir et d’interpréter ses besoins et ses signaux, et d’y répondre de manière appropriée et dans un délai acceptable. (ex : je sais que mon enfant a faim ou a besoin de réconfort)
  • C’est d’ailleurs un aspect important déterminant le type de relation d’attachement que l’enfant développera.
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75
Q

Attachement sécure: PETITE ENFANCE (12-24 mois)

A
  • L’enfant interagit aisément avec son parent.
  • La plupart du temps, l’exploration est efficace et structurée.
  • L’enfant est en détresse lors des séparations, puis une fois réconforté par son parent, il retourne explorer et jouer.
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76
Q

Attachement sécure: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ans)

A
  • L’enfant utilise le parent comme une base sécurisante pour explorer.
  • Les retrouvailles avec le parent après les séparations sont chaleureuses, ouvertes et positives.
  • L’interaction/conversation est positive et réciproque entre l’enfant et le parent.
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77
Q

Attachement sécure: DISTRIBUTION DANS LA POPULATION (1-7 ANS)

A

62%

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78
Q

Attachement insécure ÉVITANT: Petite enfance (12-24 mois)

A
  • L’enfant porte son attention à l’exploration, aux jouets et à la personne étrangère. Il n’engage que rarement des interactions avec son parent.
  • L’enfant paraît peu préoccupé par la séparation d’avec son parent. Lors des retrouvailles avec le parent après les séparations, il l’évite de façon évidente.
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79
Q

Attachement insécure ÉVITANT: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ans)

A
  • L’enfant est détaché et neutre lors de l’interaction avec son parent.
  • L’enfant évite la proximité physique et limite les interactions.
  • L’enfant engage des conversations impersonnelles et centrées sur les jouets.
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80
Q

Attachement insécure ÉVITANT: Distribution dans la population (1-7 ans)

A

14%

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81
Q

Attachement insécure AMBIVALENT: Petite enfance (12-24 mois)

A
  • L’enfant montre une préoccupation persistante au sujet de son parent, manifestant peu de comportements d’exploration et une crainte envers la personne étrangère.
  • Au moment de la séparation avec son parent, l’enfant vit beaucoup de détresse.
  • Il est difficilement consolable lors de la réunion et présente des comportements de colère dans son interaction avec le parent.
  • Il ne retourne pas au jeu de manière efficace.
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82
Q

Attachement insécure AMBIVALENT: Préscolaire et scolaire (3-7 ans)

A
  • L’enfant présente des comportements immatures et de dépendance excessive pour son âge.
  • Il recherche la proximité de son parent de façon accrue et proteste lors des moments de séparation avec son parent.
  • Il peut être hostile subtilement ou colérique.
  • L’enfant engage des conversations souvent conflictuelles.
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83
Q

Attachement insécure AMBIVALENT: Distribution dans la pop (1-7 ans)

A

9%

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84
Q

Attachement insécure CONTRÔLANT / DÉSORGANISÉ: Petite enfance (12-24 mois)

A
  • L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
    • de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
    • d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
    • de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
    • désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
  • Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
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85
Q

Attachement insécure CONTRÔLANT / DÉSORGANISÉ: Petite enfance (12-24 mois) - comportements de l’enfant en situation de stress

A
  • L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
    • de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
    • d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
    • de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
    • désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
  • Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
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Q

Attachement insécure CONTRÔLANT: Petite enfance (12-24 mois) - fréquence des comportements inadaptés en situation de stress

A
  • Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
  • L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
    • de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
    • d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
    • de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
    • désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
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87
Q

Attachement insécure CONTRÔLANT: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ANS)

A
  • L’enfant continue à montrer une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress.
  • L’enfant présente des signes de renversement des rôles : l’enfant tend à contrôler son parent en lui donnant des ordres.
  • L’enfant est punitif (rejetant, humiliant) ou trop attentionné envers son parent (encourageant, rassurant, faussement positif, préoccupé par les affects du parent).
  • La qualité des échanges verbaux entre l’enfant et le parent est souvent peu cohérente.
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88
Q

Attachement insécure CONTRÔLANT: Distribution dans la population

A

15%

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89
Q

NB : Le tableau 59.1 me semble assez super intéressant…

A
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90
Q

Système d’attachement: Moment où il est susceptible de se déclencher

A
  • Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
  • De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
  • Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
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91
Q

Système d’attachement: Changement de style d’attachement?

A
  • Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
  • De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
  • Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
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92
Q

Système d’attachement: Modèles représentationnels d’attachement pour les parents

A
  • Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
  • De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
  • Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
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93
Q

Système d’attachement: Dév du lien entre du type d’attachement et modèle représentationnel d’attachement

A
  • Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
  • De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
  • Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
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94
Q

Déficience intellectuelle

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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95
Q

Déficience intellectuelle: Réversibilité

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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96
Q

Déficience intellectuelle: se manifestate à quel moment dans la vie?

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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97
Q

Déficience intellectuelle: causes

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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98
Q

Déficience intellectuelle: Intensité du déficit

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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99
Q

Déficience intellectuelle: Impact sur fonctionnement de l’individu

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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100
Q

Déficience intellectuelle: Pourquoi les patients sont référés en psychiatrie?

A
  • De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
  • Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
  • Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
  • En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
  • Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
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101
Q

Lequel parmi les énoncés suivants est vrai :

  • a. Selon le DSM-5, le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins 2 activités de la vie quotidienne.
  • b. De façon globale, les différentes nomenclatures du déficit intellectuel sont exclusivement basées sur des données de mesure du QI.
  • c. On ne peut pas diagnostiquer le handicap intellectuel si le patient souffre d’une maladie causale bien identifiée.
  • d. 85 % des personnes avec un diagnostic de déficit intellectuel ont un QI entre 50-70. On considère que 1% de la population est atteinte de DI
A
  • a. Selon le DSM-5, le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins 2 activités de la vie quotidienne.
  • b. De façon globale, les différentes nomenclatures du déficit intellectuel sont exclusivement basées sur des données de mesure du QI.
  • c. On ne peut pas diagnostiquer le handicap intellectuel si le patient souffre d’une maladie causale bien identifiée.
  • d. 85 % des personnes avec un diagnostic de déficit intellectuel ont un QI entre 50-70. On considère que 1% de la population est atteinte de DI
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102
Q

En passant, le tableau 57.4 de la page 1244 est un très beau résumé permettant de se figurer avec assez de précision l’impact sur le développement de la déficience intellectuelle.

A

TABLEAU 57.4 Fonctionnement adaptatif selon le niveau de sévérité de la déficience intellectuelle - PARTIE 1

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103
Q

En passant, le tableau 57.4 de la page 1244 est un très beau résumé permettant de se figurer avec assez de précision l’impact sur le développement de la déficience intellectuelle.

A

TABLEAU 57.4 Fonctionnement adaptatif selon le niveau de sévérité de la déficience intellectuelle - PARTIE 2

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104
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine CONCEPTUEL

A
  • Chez les enfants d’âge préscolaire, il peut ne pas y avoir de différence évidente au plan intellectuel.
  • Pour les enfants d’âge scolaire et les adultes, il existe des difficultés à acquérir des compétences scolaires telles que la lecture, l’écriture, le calcul, l’apprentissage de l’heure, la valeur de l’argent, avec besoin d’aide dans un ou plusieurs domaines pour satisfaire aux attentes en rapport avec l’âge.
  • Chez l’adulte, l’abstraction, les fonctions exécutives (c.-à-d. planification, élaboration de stratégies, classement par priorité, flexibilité cognitive), la mémoire à court terme tout autant que l’utilisation des compétences scolaires (p. ex., lecture, gestion de l’argent) sont altérées.
  • Il existe une approche plutôt concrète des problèmes et des solutions par rapport aux adultes du même âge.
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105
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine SOCIAL

A
  • Comparativement aux adultes du même âge, [la personne] est immature dans ses interactions sociales.
  • Par exemple, [elle] peut avoir des difficultés à percevoir avec acuité les codes sociaux.
  • La communication, la conversation, le langage sont plus concrets ou immatures que ce qui est attendu pour son l’âge.
  • [Elle] peut y avoir des difficultés à contrôler l’émotion et le comportement de façon appropriée à l’âge ; ces difficultés sont remarquées par les autres dans la vie sociale.
  • [La personne] a une compréhension limitée des risques dans les situations sociales ; son jugement y est immature, et [elle] court le risque d’être manipulé[e] par les autres (crédulité).
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106
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine PRATIQUE

A
  • [La personne] peut agir de manière appropriée à son âge pour les soins personnels.
  • [Elle] nécessite cependant, plus que ses pairs, une assistance pour les tâches plus complexes de la vie quotidienne.
  • À l’âge adulte, les aides concernent surtout les achats alimentaires, les transports, la prise en charge des enfants et de la maison, la préparation de repas équilibrés, la gestion des comptes et de l’argent.
  • L’aptitude aux loisirs est peu différente des [personnes] du même âge, bien que l’appréciation des aspects relatifs au bien-être et à l’organisation durant les distractions nécessite une aide.
  • À l’âge adulte, [la personne] peut réussir à trouver un emploi en milieu normal, mais dans des fonctions qui ne mettent pas en avant les compétences intellectuelles.
  • Ces personnes ont généralement besoin d’aide pour prendre des décisions médicales et légales, et pour pouvoir mettre à profit avec compétence une formation professionnelle.
  • Un soutien est habituellement nécessaire pour élever une famille.
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107
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine CONCEPTUEL

A
  • Tout au long du développement, les capacités intellectuelles [de la personne] restent largement en deçà de celles de ses pairs.
  • Pour les enfants non encore scolarisés, le langage et les compétences préscolaires se développent lentement.
  • Pour les enfants scolarisés, les acquisitions en lecture, écriture, calcul, la compréhension de l’heure et la gestion de l’argent progressent lentement au fil des années de scolarité mais sont manifestement limitées par rapport aux autres élèves.
  • Chez les adultes, le développement des capacités intellectuelles reste manifestement à un niveau élémentaire, et une aide est nécessaire pour toute application des apprentissages scolaires dans le monde du travail ou la vie personnelle.
  • Une assistance au long cours est requise pour mener à bien des tâches conceptuelles du quotidien, et il peut s’avérer nécessaire que d’autres en assurent la pleine responsabilité à la place de la personne.
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108
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine SOCIAL

A
  • [La personne], au cours de son développement, montre de grandes différences par rapport aux autres dans la communication et les comportements sociaux.
  • Le langage parlé reste d’évidence le premier moyen de communication mais à un niveau de complexité nettement inférieur à celui des pairs.
  • La capacité de lier des relations est manifeste avec la famille et des amis ; [la personne] peut même au cours de sa vie arriver à établir des relations amicales durables voire des relations amoureuses à l’âge adulte.
  • Cependant, [les personnes] peuvent ne pas percevoir ou interpréter avec finesse les codes sociaux.
  • Le jugement social et les capacités décisionnelles sont limités et des aidants doivent assister la personne dans les décisions importantes de la vie.
  • Les relations amicales avec des pairs non handicapés sont souvent affectées par une communication et une sociabilité limitées.
  • Une aide soutenue, tant au niveau social que relationnel, est nécessaire pour réussir dans le monde du travail.
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109
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine PRATIQUE

A
  • [La personne] arrivé[e] à l’âge adulte peut assurer ses besoins personnels pour ce qui est de la nourriture, de l’habillage, de l’élimination sphinctérienne, de la toilette, bien qu’une période prolongée d’éducation pour accéder à l’autonomie dans ces domaines soit nécessaire et que des rappels soient parfois indispensables.
  • De même, la participation à toutes les tâches domestiques peut être acquise à l’âge adulte, bien qu’une période prolongée d’éducation soit nécessaire et que des aides suivies soient typiquement indispensables pour accéder à un niveau de performance adulte.
  • Un travail autonome dans des emplois requérant des aptitudes intellectuelles et de communication limitées peut être exercé, mais un soutien considérable de la part des collègues de travail, de l’encadrement et des autres est nécessaire pour satisfaire aux attentes sociales, aux difficultés du travail et aux exigences annexes telles que les horaires, les transports, les soins, la gestion de l’argent.
  • La personne peut accéder à des activités de loisir variées.
  • Cela bien sûr requiert une aide complémentaire et des possibilités d’accès à l’apprentissage sur une période plus longue.
  • Pour une minorité significative, un comportement inadapté est la cause de problèmes sociaux.
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110
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine CONCEPTUEL

A
  • L’acquisition des compétences conceptuelles est limitée.
  • [La personne] a habituellement peu de compréhension du langage écrit et des notions impliquant des nombres, des quantités, le temps et l’argent.
  • Les aidants doivent fournir une aide substantielle pour résoudre les problèmes tout au long de la vie.
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111
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine SOCIAL

A
  • Le langage parlé est assez limité en termes de vocabulaire et de grammaire.
  • Le discours peut se résumer à des mots ou phrases simples et être complété par des moyens de suppléance.
  • Le discours et la communication sont centrés sur « l’ici et le maintenant » des événements quotidiens.
  • Le langage est plus utilisé à des fins de communication sociale qu’à de l’explication.
  • Les [personnes] comprennent un discours simple et la communication gestuelle.
  • Les relations avec les membres de la famille et des proches sont une source de plaisir et d’aide.
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112
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine PRATIQUE

A
  • [La personne] a besoin d’aide pour toute activité du quotidien, ce qui inclut les repas, l’habillage, la toilette, l’élimination.
  • [Elle] nécessite une surveillance de tous les instants.
  • La personne ne peut pas prendre de décisions responsables concernant son bien-être ou celui des autres.
  • À l’âge adulte, la participation à des tâches ménagères, aux distractions et au travail requiert une aide et une assistance permanentes.
  • L’acquisition de compétences en tout domaine nécessite un enseignement prolongé et une aide constante.
  • Un comportement inadapté, incluant l’autoagressivité, est présent chez une minorité significative de [personnes].
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113
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine CONCEPTUEL

A
  • Les compétences intellectuelles sont essentiellement centrées sur le monde physique plutôt que sur le monde symbolique.
  • [La personne] peut utiliser des objets de façon appropriée pour prendre soin [d’elle], travailler ou se distraire.
  • Quelques compétences visuospatiales, comme assortir et trier des objets selon leurs caractéristiques physiques, peuvent être acquises.
  • Cependant, des déficits sensorimoteurs associés peuvent interdire l’utilisation des objets.
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114
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine SOCIAL

A
  • [La personne] a une compréhension très limitée de la communication symbolique, qu’elle soit orale ou gestuelle.
  • [Elle] peut comprendre des instructions ou des gestes simples.
  • La personne exprime très largement ses désirs et ses émotions dans la communication non verbale et non symbolique.
  • Elle trouve du plaisir dans les relations avec les membres de sa famille qu’elle connaît bien, les soignants, les proches, et amorce ou répond aux interactions sociales par des signes gestuels ou émotionnels.
  • Des déficits sensori moteurs associés peuvent interdire un grand nombre d’activités sociales.
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115
Q

Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine PRATIQUE

A
  • [La personne] est dépendant[e] des autres pour tous les aspects du soin quotidien, de sa santé et de sa sécurité bien qu’[elle] puisse aussi être capable de participer à quelquesunes de ces activités.
  • Les [personnes] indemnes d’atteintes physiques graves peuvent aider à certaines tâches domestiques du quotidien, comme servir à table.
  • Des actions simples utilisant des objets peuvent servir de base de participation à des activités professionnelles qui nécessitent néanmoins de hauts niveaux d’assistance soutenue.
  • Les activités de loisir comprennent le plaisir à écouter de la musique, regarder des films, se promener, participer à des activités aquatiques, toujours avec un soutien extérieur.
  • Des déficits physiques et sensoriels associés sont de fréquentes entraves à la participation (au-delà d’observer), à ces activités domestiques, de loisirs ou professionnelles. Un comportement inadapté est présent chez une minorité signicative.
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116
Q

Facteurs étiologiques de la DI: Nommez-les

A
  1. Prénatale (environ 35% des cas)
  2. Périnatale (environ 10% des cas)
  3. Postnatale (environ 20% des cas)
  4. Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
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117
Q

Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence PRÉNATALE

A
  1. Prénatale (environ 35% des cas)
  2. Périnatale (environ 10% des cas)
  3. Postnatale (environ 20% des cas)
  4. Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
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118
Q

Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence PÉRINATALE

A
  1. Prénatale (environ 35% des cas)
  2. Périnatale (environ 10% des cas)
  3. Postnatale (environ 20% des cas)
  4. Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
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119
Q

Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence POSTNATALE

A
  1. Prénatale (environ 35% des cas)
  2. Périnatale (environ 10% des cas)
  3. Postnatale (environ 20% des cas)
  4. Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
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120
Q

Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence des INCONNUES

A
  1. Prénatale (environ 35% des cas)
  2. Périnatale (environ 10% des cas)
  3. Postnatale (environ 20% des cas)
  4. Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
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121
Q

DI: Affections potentiellement réversibles par un traitement approprié

A

Affections potentiellement réversibles par un traitement approprié :

  • hypothyroïdie congénitale ;
  • phénylcétonurie ;
  • hyperbilirubinémie néonatale grave ;
  • déficit en biotinidase ;
  • déficit en acyl-coenzyme A déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne.

Au Québec, le programme de dépistage néonatal sanguin évalue, chez tous les nouveau-nés, s’il y a présence de phénylcétonurie,d’hypothyroïdie congénitale et de tyrosinémie de type I (cette dernière condition étant associée à une insufsance hépatique et non à une déficience intellectuelle).

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122
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies

A
  • Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
    - Erreurs innées du métabolisme
    - Anomalies monogéniques
    - Aberrations chromosomiques
    - Syndromes polygéniques familiaux
  • Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
    - Malformations congénitales
    - Changements chromosomiques
    - Exposition à des toxines
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123
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies: FACTEURS LIÉS À L’HÉRÉDITÉ

A
  • Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
    - Erreurs innées du métabolisme
    - Anomalies monogéniques
    - Aberrations chromosomiques
    - Syndromes polygéniques familiaux
  • Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
    - Malformations congénitales
    - Changements chromosomiques
    - Exposition à des toxines
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124
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies: FACTEURS LIÉS À DES ALTÉRATIONS PRÉCOCES DU DÉV EMBRYONNAIRE + GROSSESSE ET PROBLÈMES DE LA MÈRE

A
  • Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
    - Erreurs innées du métabolisme
    - Anomalies monogéniques
    - Aberrations chromosomiques
    - Syndromes polygéniques familiaux
  • Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
    - Malformations congénitales
    - Changements chromosomiques
    - Exposition à des toxines
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125
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Erreurs innées du métabolisme

A
  • Phénylcétonurie
  • Galactosémie
  • Maladie de Tay-Sachs
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126
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Anomalies monogéniques

A
  • Sclérose tubéreuse de Bourneville
  • Dystrophie musculaire
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127
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Aberrations chromosomiques

A
  • Syndrome du X fragile
  • Trisomie 21 par translocation
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128
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Syndromes polygéniques familiaux

A
  • Coexistence d’anomalies mentales, antisociales et développementales dans une famille, possiblement par combinaison de facteurs génétiques
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129
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Malformations congénitales

A
  • Anomalies du tube neural
  • Traumatismes chez la mère
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Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Changements chromosomiques

A
  • Trisomie 21 par non-disjonction chromosomique
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131
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Exposition à des toxines

A
  • Infections (rubéole)
  • Syndrome d’alcoolisation fœtale
  • Consommation d’alcool ou de drogues
  • Malnutrition
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132
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PÉRINATALE
- Types d’anomalies

A
  • Facteurs liés à l’accouchement
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133
Q

Facteurs étiologiques de la DI: PÉRINATALE
- Exemple de: Facteurs liés à l’accouchement

A
  • Prématurité
  • Complications à l’accouchement
  • Anoxie
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134
Q

Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Types d’anomalies

A
  • Facteurs associés à des problèmes physiques survenus pendant la petite enfance et l’enfance (environ 5 % des cas)
    * Infections
    * Exposition à des toxines
    * Atteintes neurologiques
  • Facteurs associés à des troubles mentaux ou des influences environnementales (de 15 à 20 % des cas)
    * Causes psychiatriques et sociales
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135
Q

Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Exemples de: Facteurs associés à des problèmes physiques survenus pendant la petite enfance et l’enfance (environ 5 % des cas)

A
  • Méningite, encéphalite
  • Par exemple, le plomb
  • Traumatismes, tumeur cérébrale
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136
Q

Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Exemples de: Facteurs associés à des troubles mentaux ou des influences environnementales (de 15 à 20 % des cas)

A
  • Troubles mentaux graves (p. ex., autisme)
  • Carence dans la relation mère-enfant
  • Manque de stimulation sociale et linguistique
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137
Q

Classification de la DI par causes étiologiques

A
  • Au niveau étiologique, on peut classer les causes de la déficience intellectuelle en facteurs innés (génétiques), acquis (ou développementaux) et environnementaux (ou socioculturels).
  • Assurez- vous de connaître les 3 causes les plus fréquentes ou importantes et transcrivez les ci-dessous.
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138
Q

Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez-les

A
  • Génétique :
    - 1. Trisomie 21
    - 2. Syndrome de l’X fragile
    - 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville
  • Acquis :
    - 1. Infections (rubéole par exemple)
    - 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
    - 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple)
  • Environnementaux et socioculturels :
    - 1. Carence dans la relation mère – enfant
    - 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
    - 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)

Assurez- vous de connaître les 3 causes les plus fréquentes ou importantes et transcrivez les ci-dessous.

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139
Q

Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes GÉNÉTIQUES

A
  • Génétique :
    - 1. Trisomie 21
    - 2. Syndrome de l’X fragile
    - 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville
  • Acquis :
    - 1. Infections (rubéole par exemple)
    - 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
    - 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple)
  • Environnementaux et socioculturels :
    - 1. Carence dans la relation mère – enfant
    - 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
    - 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
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140
Q

Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes ACQUISES

A
  • Génétique :
    - 1. Trisomie 21
    - 2. Syndrome de l’X fragile
    - 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville
  • Acquis :
    - 1. Infections (rubéole par exemple)
    - 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
    - 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple)
  • Environnementaux et socioculturels :
    - 1. Carence dans la relation mère – enfant
    - 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
    - 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
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141
Q

Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes ENVIRONNEMENTALES ET SOCIOCULTURELLES

A
  • Génétique :
    - 1. Trisomie 21
    - 2. Syndrome de l’X fragile
    - 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville
  • Acquis :
    - 1. Infections (rubéole par exemple)
    - 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
    - 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple)
  • Environnementaux et socioculturels :
    - 1. Carence dans la relation mère – enfant
    - 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
    - 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
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142
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire

A
  • ATCD familiaux
  • Histoire périnatale
  • Histoire développemenyale
  • ATCD médicaux et psychiatriques
  • Examen physique
  • Autres examens (selon pertinence)
  • Consultations complémentaires (selon pertinence)
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143
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- ATCD FAMILIAUX

A
  • Consanguinité
  • Déficience intellectuelle
  • Troubles d’apprentissage
  • Épilepsie et autres troubles neurologiques
  • Maladies dégénératives
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144
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- HISTOIRE PÉRINATALE

A
  • Grossesse
  • Accouchement – APGAR
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145
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- HISTOIRE DÉVELOPPEMENTALE

A
  • Motricité grossière et fine
  • Langage
  • Alimentation
  • Acquisition de la propreté
  • Interactions sociales
  • Scolarisation
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146
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- ATCD MÉDICAUX ET PSY

A
  • Hospitalisation, chirurgies et traitements
  • Histoire psychiatrique
  • Histoire pharmacologique
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147
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- EXAMEN PHYSIQUE

A
  • Recherche de signes dysmorphiques suggestifs d’un syndrome spécifique
  • Paramètres : taille, poids, périmètre crânien, courbe de croissance
  • Examen neurologique
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148
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- AUTRES EXAMENS (selon pertinence)

A
  • Dépistages génétiques spécifiques
  • Dépistages métaboliques spécifiques
  • Imagerie cérébrale
  • EEG, ECG
  • Caryotype – X fragile
  • Radiographies, biopsies musculaires
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149
Q

DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- CONSULTATIONS COMPLÉMENTAIRES (selon pertinence)

A
  • Audiologie
  • Optométrie
  • Psychométrie
  • Neurologie
  • Neuropsychologie
  • Génétique
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150
Q

Définition et critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Définir / décrire DI

A

Le handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) est un trouble débutant pendant la période du développement, fait de déficits tant intellectuels qu’adaptatifs dans les domaines conceptuels, sociaux et pratiques.

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151
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle

A

Les trois critères suivants doivent être présents :

  • A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
  • B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
    - la communication ;
    - la participation sociale ;
    - l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité.
  • C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
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152
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Fonctions intellectuelles

A

Les trois critères suivants doivent être présents :

  • A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
  • B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
    - la communication ;
    - la participation sociale ;
    - l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité.
  • C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
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153
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Fonctions adaptatives

A

Les trois critères suivants doivent être présents :

  • A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
  • B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
    - la communication ;
    - la participation sociale ;
    - l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité.
  • C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
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154
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: débute quand?

A

Les trois critères suivants doivent être présents :

  • A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
  • B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
    - la communication ;
    - la participation sociale ;
    - l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité.
  • C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
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155
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Spécifier quoi?

A
  • Spécifier la sévérité actuelle : [voir le tableau 57.4] :
    - 317 (F70) Léger
    - 318.0 (F71) Moyen
    - 318.1 (F72) Grave
    - 318.2 (F73) Profond
  • [Dans le DSM-5, les] différents degrés de sévérité sont définis sur la base du fonctionnement adaptatif et non plus sur la cote au QI, parce que c’est le fonctionnement adaptatif qui détermine le niveau d’assistance requis. De plus les mesures du QI sont moins valides pour les cotes les plus basses.
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156
Q

Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Spécifier - nommez les différents niveaux de sévérité

A
  • Spécifier la sévérité actuelle : [voir le tableau 57.4] :
    - 317 (F70) Léger
    - 318.0 (F71) Moyen
    - 318.1 (F72) Grave
    - 318.2 (F73) Profond
  • [Dans le DSM-5, les] différents degrés de sévérité sont définis sur la base du fonctionnement adaptatif et non plus sur la cote au QI, parce que c’est le fonctionnement adaptatif qui détermine le niveau d’assistance requis. De plus les mesures du QI sont moins valides pour les cotes les plus basses.
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157
Q

Pronostic d’un patient avec une DI

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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158
Q

Pronostic d’un patient avec une DI; Bon ou mauvais?

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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159
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: dépend de quoi?

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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160
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: lien avec atteinte fonctionnelle

A
  • Très variable
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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161
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: Dysmorphie

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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162
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: Syndrome spécifique

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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163
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: si pas de signes évidents

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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164
Q

Pronostic d’un patient avec une DI: Suivi

A
  • Très variable.
  • Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
    - Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
    - Meilleur px pour atteinte légère à modérée
    - Moins bon px si comorbidité PSY
    - Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique
  • À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
  • La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
  • À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
  • Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
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165
Q

Techniques lorsqu’on travaille avec une personne ayant une DI

A
  • Prendre le temps nécessaire pour établir une relation de confiance
  • Limiter les distractions
  • Adapter la durée des séances aux capacités du patient
  • Prévoir des perspectives à moyen et long terme
  • Répéter régulièrement et faire confiance au patient
  • Utiliser des supports visuels
  • Faire des mises en situation
  • Utiliser un journal de bord adapté aux rencontres
  • Favoriser une activation comportementale et des activités physiques pour diminuer le stress
  • Concrétiser des approches de résolutions de problèmes, des techniques de relaxation et de gestion du stress
  • Travailler à améliorer ses habiletés sociales
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166
Q

Approche préventive en DI: Objectif

A
  • En DI, l’objectif de la prévention est de leur donner toutes les possibilités, tous les moyens de s’exprimer, d’avoir du contrôle sur leur vie et de s’épanouir.
  • L’implication de la famille, des proches et des divers intervenants incluant le milieu scolaire ou le milieu de travail est primordial.
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167
Q

DI: Définition

A
  • La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
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168
Q

DI: Manifestations cliniques

A
  • La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
  • Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
    - 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
    - 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
    - 3) Les limitations coexistent avec des forces
    - 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
    - 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
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169
Q

DI: Manifestations cliniques
- les manifestations doivent survenir quand?

A
  • La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
  • Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
    - 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
    - 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
    - 3) Les limitations coexistent avec des forces
    - 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
    - 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
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170
Q

DI: Manifestations cliniques
- Principes à l’application de la définition de la DI

A
  • La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
  • Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
    - 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
    - 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
    - 3) Les limitations coexistent avec des forces
    - 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
    - 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
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171
Q

DI: DDX

A
  • TSA
  • TDAH
  • Il est important aussi de garder les trouble alimentaires et les troubles du comportement dans notre ddx
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172
Q

DI: DDX - TSA
- Concepts communs vs différences

A
  • Concepts communs
    - Coexistent souvent
    - 20-40% des TSA ont un DI également
    - Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes).
  • Différences
    - Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
    - Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
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173
Q

DI: DDX - TSA
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    - Coexistent souvent
    - 20-40% des TSA ont un DI également
    - Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes).
  • Différences
    - Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
    - Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
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174
Q

DI: DDX - TSA
- Différences

A
  • Concepts communs
    - Coexistent souvent
    - 20-40% des TSA ont un DI également
    - Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes).
  • Différences
    - Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
    - Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
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175
Q

DI: DDX - TDAH
- Concepts communs vs différences

A
  • Concepts communs
    - Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx.
  • Différences
    - Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
    - L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
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176
Q

DI: DDX - TDAH
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    - Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx.
  • Différences
    - Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
    - L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
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177
Q

DI: DDX - TDAH
- Différences

A
  • Concepts communs
    - Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx.
  • Différences
    - Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
    - L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
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178
Q

DI: Intervention thérapeutique

A
  • Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
  • Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
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179
Q

DI: Intervention thérapeutique
- aspects

A
  • Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
  • Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
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180
Q

DI: Intervention thérapeutique
- tx biologiques pour comorbidités

A
  • Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
  • Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
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181
Q

DI: Intervention thérapeutique
- tx psychologiques et interventions sociales

A
  • Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
  • Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
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182
Q

DI: Recommandations relatives à l’usage de la médication psychotrope

A

Voici les principales recommandations en ce qui a trait à l’instauration et à l’usage d’une médication psychotrope appropriée pour les patients présentant une déficience intellectuelle :

  • ne pas utiliser en excès, comme punition, en substitution à un service ou en quantité interférant avec la qualité de vie de l’usager ;
  • utiliser dans un contexte de plan de soins multidisciplinaire ;
  • se baser sur un diagnostic psychiatrique spécifique résultant d’une évaluation exhaustive de la situation ;
  • obtenir le consentement du patient ou de son représentant légal ;
  • évaluer l’efficacité de la médication avec des index de qualité de vie ou de comportements définis, quantifiés et suivis dans le temps ;
  • faire un suivi régulier des effets indésirables, incluant l’utilisation d’échelles standardisées ;
  • si un antipsychotique ou un autre bloqueur dopaminergique est utilisé sur une base régulière, faire un suivi spécifique pour prévenir la dyskinésie tardive, avec échelle standardisée ;
  • réviser la médication de façon systématique sur une base périodique.
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183
Q

DI: Mise à jour DSM-V

A

Mise à jour DSM-5

  • Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
  • La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
  • Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
    * Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
    * Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
    * Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement.
  • Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
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184
Q

DI: Mise à jour DSM-V
- classification DI

A

Mise à jour DSM-5

  • Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
  • La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux.
  • On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
  • Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
    * Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
    * Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
    * Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement.
  • Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
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185
Q

DI: Mise à jour DSM-V
- terme “retard mental”

A

Mise à jour DSM-5

  • Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
  • La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux.
  • On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
  • Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
    * Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
    * Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
    * Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement.
  • Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
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186
Q

DI: Mise à jour DSM-V
- critères pour déficience intellectuelle

A

Mise à jour DSM-5

  • Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
  • La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
  • Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
    * Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
    * Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
    * Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement.
  • Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
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187
Q

DI: Mise à jour DSM-V
- sur quoi se base la sévérité de la DI?

A

Mise à jour DSM-5

  • Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
  • La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
  • Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
    * Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
    * Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
    * Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement.
  • Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
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188
Q

TSA: Ça ressemble à quoi un TSA?

A
  • Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
  • Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
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189
Q

TSA: Pourquoi les phénotypes sont hétérogènes?

A
  • Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
  • Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
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190
Q

TSA: Nommez les TYPES

A
  • Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
  • Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
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191
Q

TSA: Définir

A

Selon le DSM-5, le trouble du spectre de l’autisme (TSA) appartient à un groupe de pathologie se caractérisant par un retard et de la déviance dans 2 sphères de la réalité humaine;
1. La communication
2. Interactions sociales

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192
Q

TSA: Sphères humaines affectées

A

Selon le DSM-5, le trouble du spectre de l’autisme (TSA) appartient à un groupe de pathologie se caractérisant par un retard et de la déviance dans 2 sphères de la réalité humaine;
1. La communication
2. Interactions sociales

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193
Q

TSA: À quel moment de la vie se constate-t-il habituellement?

A
  • Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
  • C’est un trouble persistant.
    • Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
  • L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic
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194
Q

TSA: Persistant ou temporaire?

A
  • Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
  • C’est un trouble persistant.
    • Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
  • L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic
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195
Q

TSA: Nommez des signes de BON pronostic

A
  • Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
  • C’est un trouble persistant.
    • Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
  • L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic.
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196
Q

TSA: Critère d’âge pour poser le dx de TSA

A
  • Il n’y a PAS de critère d’âge pour poser le dx.
  • Il est vrai de dire que les TSA montrent des signes cliniques de la maladie dès le milieu de la deuxième année de vie et que le diagnostic se fait en moyenne à la 4e année de vie, mais il n’y a plus de critère d’âge.
  • Par contre, le DSM mentionne que les symptômes doivent être présents depuis le début du développement, malgré qu’ils puissent passer inaperçus si les demandes sociales n’excèdent pas les capacités d’adaptation de l’individu
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197
Q

TSA: À quel moment de la vie les sx doivent-ils être présents?

A
  • Il n’y a PAS de critère d’âge pour poser le dx.
  • Il est vrai de dire que les TSA montrent des signes cliniques de la maladie dès le milieu de la deuxième année de vie et que le diagnostic se fait en moyenne à la 4e année de vie, mais il n’y a plus de critère d’âge.
  • Par contre, le DSM mentionne que les symptômes doivent être présents depuis le début du développement, malgré qu’ils puissent passer inaperçus si les demandes sociales n’excèdent pas les capacités d’adaptation de l’individu
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198
Q

Concernant le TSA, quelle est l’affirmation fausse?
- A. La prévalence du TSA est actuellement évaluée à 6 à 7/10 000 enfants.
- B. On diagnostic TSA 4 garçons pour 1 fille
- C. Le diagnostic est porté à l’âge moyen de 4 ans
- D. Les études familiales ont démontré qu’il existe un taux de concordances plus faible chez les jumeaux dizygotes que les monozygotes.
- E. Des modifications du tissu neuronal seraient observées dans les aires frontotemporales.

A
  • A. La prévalence du TSA est actuellement évaluée à 6 à 7/10 000 enfants. (60-70)
    - C’est plutôt 60-70/10 000
  • B. On diagnostic TSA 4 garçons pour 1 fille
  • C. Le diagnostic est porté à l’âge moyen de 4 ans
  • D. Les études familiales ont démontré qu’il existe un taux de concordances plus faible chez les jumeaux dizygotes que les monozygotes.
  • E. Des modifications du tissu neuronal seraient observées dans les aires frontotemporales.
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199
Q

TSA: Signes physiques

A
  • Il n’existe pas de signes physiques du TSA, malgré que certains comportements physiques soient typiques notamment les mouvements corporels stéréotypés (ex : battements des mains lors de joie).
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200
Q

TSA: Signes physiques
- mouvements corporels stéréotypés

A
  • Il n’existe pas de signes physiques du TSA, malgré que certains comportements physiques soient typiques notamment les mouvements corporels stéréotypés (ex : battements des mains lors de joie).
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201
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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202
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 12 MOIS

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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203
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 16 MOIS

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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204
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 24 MOIS

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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205
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À TOUT ÂGE

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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206
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- RÉGRESSION

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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207
Q

Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- COMMUNICATION ET LANGAGE

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
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208
Q

TSA: Traitement

A
  • La notion de traitement est discutable.
  • Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
  • Le soutien thérapeutique vise donc à :
    * Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
    * Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
    * Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
    * Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
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209
Q

TSA: Traitement
- notion de “traitement”

A
  • La notion de traitement est discutable.
  • Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
  • Le soutien thérapeutique vise donc à :
    * Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
    * Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
    * Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
    * Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
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210
Q

TSA: Traitement
- qu’est-ce que vise le soutien thérapeutique?

A
  • La notion de traitement est discutable.
  • Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
  • Le soutien thérapeutique vise donc à :
    * Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
    * Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
    * Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
    * Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
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211
Q

TSA: Traitement
- Volets du traitement

A
  1. Traitements biologiques
  2. Traitements psychologiques
  3. Interventions sociales
  4. Traitements alternatifs
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212
Q

TSA: Traitements BIOLOGIQUES

A

Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.

  • Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
  • Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
  • La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
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213
Q

TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- ce qu’ils visent

A

Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.

  • Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
  • Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
  • La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
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214
Q

TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- comorbidités

A

Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.

  • Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
  • Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
  • La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
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215
Q

TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- mouvements répétitifs

A

Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.

  • Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
  • Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
  • La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
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216
Q

TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- troubles du sommeil

A

Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.

  • Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
  • Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
  • La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
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217
Q

TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- leur objectif

A

Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.

  • Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
  • Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
  • Il faut :
    • o Identifier le changement.
    • o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
    • o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
    • o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
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218
Q

TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- méthodes prouvées efficaces

A

Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.

  • Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
  • Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
  • Il faut :
    • o Identifier le changement.
    • o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
    • o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
    • o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
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219
Q

TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- gestion de crise: définir / décrire ce qu’est une crise

A

Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.

  • Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
  • Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
  • Il faut :
    • o Identifier le changement.
    • o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
    • o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
    • o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
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220
Q

TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- comment gérer une crise?

A

Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.

  • Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
  • Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
  • Il faut :
    • o Identifier le changement.
    • o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
    • o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
    • o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
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221
Q

TSA: Interventions SOCIALES

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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222
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- éléments

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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223
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
  • Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
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224
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial: efficace?

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
  • Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
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225
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial: objectifs et bénéfices

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
  • Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
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226
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle

A
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
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227
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: sa pertinence

A
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
  • L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
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228
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: efficacité

A
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
  • L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée.
  • Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
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229
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: exemples d’adaptations en milieu scolaire

A
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
  • L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée.
  • Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
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230
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard

A
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
  • Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
  • La difficulté principale est celle de l’intimidation.
  • L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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Q

TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: les TSA devraient être scolarisés comment?

A
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
  • Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
  • La difficulté principale est celle de l’intimidation.
  • L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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232
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: pourquoi scolariser l’enfant TSA comme les autres?

A
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
  • Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
  • La difficulté principale est celle de l’intimidation.
  • L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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233
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: difficulté principale

A
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
  • Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
  • La difficulté principale est celle de l’intimidation.
  • L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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234
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: de quelles manières l’enseignement devrait-il être adapté?

A
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
  • Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
  • La difficulté principale est celle de l’intimidation.
  • L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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235
Q

TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial

A
  • Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
  • Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
    - o Réduire les exigences scolaires
    - o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
    - o Enseigner des stratégies compensatoires
    - o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
  • Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
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Q

TSA: Traitements ALTERNATIFS

A
  • Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
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237
Q

TSA: Traitements ALTERNATIFS
- exemples

A
  • Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
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238
Q

TSA: Traitements ALTERNATIFS
- efficacité

A
  • Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
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239
Q

TSA: Étiologies

A
  • Plusieurs facteurs
    • Biologiques
    • Environnementales
    • Agents toxiques
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TSA: Étiologie - Étiologie principale

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
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Q

TSA: Étiologie - Biologiques

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- Importance dans de la biologie dans l’étiologie

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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243
Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- gènes en jeu

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- simplement génétique?

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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245
Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- jumeaux mono vs dizygotes

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- fraterie et parents

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- particularité des filles

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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248
Q

TSA: Étiologie - Biologiques
- forme sporadique

A
  • Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
  • Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
  • Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
  • Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
  • Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
  • Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
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249
Q

TSA: Étiologie - Environnementales et médicales

A
  • Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
  • Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
  • Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
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250
Q

TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- facteurs environnementaux

A
  • Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
  • Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
  • Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
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251
Q

TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- facteurs immunologiques

A
  • Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
  • Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
  • Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
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252
Q

TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- agents toxiques

A
  • Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
  • Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
  • Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
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253
Q

TSA: Étiologie - Agents toxiques

A

Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :

  • Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
  • PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
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254
Q

TSA: Étiologie - Agents toxiques
- c’est possible?

A

Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :

  • Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
  • PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
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255
Q

TSA: Étiologie - Agents toxiques
- nommez-les

A

Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :

  • Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
  • PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
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256
Q

TSA: Étiologie - Agents toxiques
- Intoxication infraclinique au plomb

A

Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :

  • Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
  • PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
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257
Q

TSA: Étiologie - Agents toxiques
- autres

A

Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :

  • Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
  • PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
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258
Q

TSA: Physiopatho

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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259
Q

TSA: Fonction neurocognitive

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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260
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- nommez les variations

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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261
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- nommez les différents PLANS où il y a des variations

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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262
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan MICROSCOPIQUE

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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263
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan MACROSCOPIQUE

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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264
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan SYNAPTIQUE

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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265
Q

TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan COGNITIF

A

Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :

  • Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
  • Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
  • Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
  • Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
    • Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
    • Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
    • Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
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266
Q

TSA: Comorbidités les plus courantes

A
  • Trouble anxieux ou phobiques (42%)
  • Retard de développement (33%)
  • Troubles spécifiques du langage (20-40%)
  • TDAH (28%)
  • Trouble d’apprentissage (15%)
  • Énurésie (11%)
  • Épilepsie (10%)
  • Tics chroniques (9%)
  • Encoprésie (6,6%)
  • Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
  • Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
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267
Q

TSA: Comorbidités les plus courantes
- nommez-les

A
  • Trouble anxieux ou phobiques (42%)
  • Retard de développement (33%)
  • Troubles spécifiques du langage (20-40%)
  • TDAH (28%)
  • Trouble d’apprentissage (15%)
  • Énurésie (11%)
  • Épilepsie (10%)
  • Tics chroniques (9%)
  • Encoprésie (6,6%)
  • Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
  • Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
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268
Q

TSA: Comorbidités les plus courantes
- particularités sensorielles

A
  • Trouble anxieux ou phobiques (42%)
  • Retard de développement (33%)
  • Troubles spécifiques du langage (20-40%)
  • TDAH (28%)
  • Trouble d’apprentissage (15%)
  • Énurésie (11%)
  • Épilepsie (10%)
  • Tics chroniques (9%)
  • Encoprésie (6,6%)
  • Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
  • Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
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269
Q

TSA: DDX

A
  • Syndrome de Gilles de la Tourette
  • TOC
  • TDAH
  • Anxiété sociale
  • Personnalité schizoïde
  • Schizophrénie
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270
Q

TSA: DDX - Gilles Tourette
- Concepts communs
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Réduction de socialisation
    • Comportements répétitifs
    • Plus fréquents chez les garçons
    • Débute en enfance
    • Mêmes comorbidités
  • Différences
    • Condition de survenue
    • Évolutions différentes
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271
Q

TSA: DDX - Gilles Tourette
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    • Réduction de socialisation
    • Comportements répétitifs
    • Plus fréquents chez les garçons
    • Débute en enfance
    • Mêmes comorbidités
  • Différences
    • Condition de survenue
    • Évolutions différentes
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272
Q

TSA: DDX - Gilles Tourette
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Réduction de socialisation
    • Comportements répétitifs
    • Plus fréquents chez les garçons
    • Débute en enfance
    • Mêmes comorbidités
  • Différences
    • Condition de survenue
    • Évolutions différentes
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273
Q

TSA: DDX - TOC
- Concepts communs
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Comportements répétitifs
    • Champs d’intérêts restreints
  • Différences
    • Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
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274
Q

TSA: DDX - TOC
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    • Comportements répétitifs
    • Champs d’intérêts restreints
  • Différences
    • Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
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275
Q

TSA: DDX - TOC
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Comportements répétitifs
    • Champs d’intérêts restreints
  • Différences
    • Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
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276
Q

TSA: DDX - TDAH
- Concepts communs
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Les patients peuvent sembler indifférents
    • Difficultés d’interaction sociale
  • Différences
    • La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
    • Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
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277
Q

TSA: DDX - TDAH
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    • Les patients peuvent sembler indifférents
    • Difficultés d’interaction sociale
  • Différences
    • La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
    • Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
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278
Q

TSA: DDX - TDAH
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Les patients peuvent sembler indifférents
    • Difficultés d’interaction sociale
  • Différences
    • La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
    • Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
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279
Q

TSA: DDX - Anxiété sociale
- Concepts communs
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Évitement social
    • Claustration
  • Différences
    • Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
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280
Q

TSA: DDX - Anxiété sociale
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    • Évitement social
    • Claustration
  • Différences
    • Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
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281
Q

TSA: DDX - Anxiété sociale
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Évitement social
    • Claustration
  • Différences
    • Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
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282
Q

TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Concepts communs
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Abrasion émotionnelle et désinvestissement social
    • Préfère les activités solitaires
    • Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
  • Différences
    • Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
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283
Q

TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Concepts communs

A
  • Concepts communs
    • Abrasion émotionnelle et désinvestissement social
    • Préfère les activités solitaires
    • Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
  • Différences
    • Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
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284
Q

TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Différences

A
  • Concepts communs
    • Abrasion émotionnelle et désinvestissement social - Préfère les activités solitaires
    • Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
  • Différences
    • Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
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285
Q

TSA: DDX - Schizophrénie
- Concepts communs
- Différences

A

Voir tableau 58.6 page 1282 (pas à savoir)

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286
Q

Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
      • Avec catatonie
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- COMMUNICATION

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difficulté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- COMMUNICATION: SPÉCIFICATION

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- CARACTÈRE RESTREINT

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difficulté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- CARACTÈRE RESTREINT: spécifier quoi?

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- les sx doivent débuter quand?

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
      • Avec catatonie
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- impact

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
      • Avec catatonie
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Q

Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- exclure quoi?

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
    • Spécifier si :
      • Avec ou sans déficience intellectuelle associée
      • Avec ou sans altération du langage associée
      • Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
      • Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
      • Avec catatonie
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Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- spécifier quoi?

A
  • A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
    - 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
    - 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
    - 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
    - Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
    - Nécessitant une aide très importante
    - Nécessitant une aide importante
    - Nécessitant de l’aide]
  • B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
      1. Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
      1. Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
      1. Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
      1. Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
    • Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
      • Nécessitant une aide très importante
      • Nécessitant une aide importante
      • Nécessitant de l’aide]
  • C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
  • D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
  • Spécifier si :
    - Avec ou sans déficience intellectuelle associée
    - Avec ou sans altération du langage associée
    - Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
    - Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
    - Avec catatonie
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Q

TSA: DSM-5 - mise à jour

A
  • Le DSM-5 a modifié complètement la classification des troubles envahissants du développement du DSM-IV.
  • Ne vous en faites pas, elle est maintenant beaucoup plus simple.
  • En fait, ce que nous appelons Autisme, Asperger ou TED NS selon le DSM-IV se regroupe maintenant sous un seul trouble : le trouble du spectre de l’autisme.
  • Les critères se ressemblent et sont plus complets.
  • Je ne les citerai pas ici dans le but de ne pas vous confondre.
  • Notez que les critères d’âge et de retard de langage ont disparus.
  • On doit maintenant cependant ajouter au diagnostic certains spécificateurs comme la présence ou l’absence de déficience intellectuelle associée, de déficit langagier (ce qui distinguait avant l’Autisme de l’Asperger …), la présence de condition médicale connue ou de catatonie associée.
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296
Q

TDAH: Grands types de symptômes

A

3 grands types de symptômes

    1. Inattention
    1. Impulsivité
    1. Hyperactivité
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297
Q

Quel est l’énoncé qui est vrai parmi les suivants concernant l’épidémiologie du TDAH?

  • a) Le TDAH touche environ 5 à 8 % des enfants.
  • b) Le TDAH est plus prévalent chez les filles que chez les garçons, dans un ratio de variant de 3 pour 1.
  • c) Le marché de la médication est en chute libre depuis la publication du DSM-IV
  • d) La grande majorité des enfants devenus adulte ne rencontre plus de symptômes de TDAH.
A
  • a) Le TDAH touche environ 5 à 8 % des enfants. Et 4.4% des adultes
  • b) Le TDAH est plus prévalent chez les filles que chez les garçons, dans un ratio de variant de 3 pour 1. Faux : ratio 3 H : 1 F chez les enfants et 1 H : 1 F chez les adultes ce qui sous-tend un sous-diagnostic chez les femmes en bas âge.
  • c) Le marché de la médication est en chute libre depuis la publication du DSM-IV Faux. La constatation que la pathologie se poursuit à l’âge adulte et la meilleure classification amenée par le DSM-IV a fait passer le marché des médicaments pour le TDA/H de 15 millions à 7 milliards !!! (2013)
  • d) La grande majorité des enfants devenus adulte ne rencontre plus de symptômes de TDAH. Faux. Plus de la moitié des enfants présentant un TDA/H garderont des symptômes significatifs à l’âge adulte
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298
Q

TDAH: Étiologies

A

Les causes du TDAH sont multifactorielles, mais c’est une maladie bien étudiée pour laquelle plusieurs réponses sont disponibles.
- 1. Facteurs environnementaux
- 2. Facteurs génétiques
- 3. Facteurs neurphysiologiques

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299
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX

A

Facteurs environnementaux : il y a une multitude de facteurs associés, dont les principaux sont :

  • Tabagisme / consommation importante d’alcool / expositions aux métaux lourds chez la femme enceinte
  • Prématurité (petit poids de naissance), diabète gestationnel et grossesses gémellaires
  • Chimiothérapie et radiothérapie chez l’enfant
  • L’environnement psychosocial dans lequel l’enfant grandit (mais la façon d’élever un enfant ne change pas le risque).
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300
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs GÉNÉTIQUES

A
  • Facteurs génétiques : une implication génétique serait notée dans 80% des cas, ce qui rend le trouble aussi héréditaire que la taille.
  • Le risque pour un parent de transmettre le TDAH à son enfant (s’il est le seul atteint dans le couple) est de 50%.
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301
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      * La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche o La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      * Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      * N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
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302
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs neurophysiologiques: nommez les anomalies au niveau cérébral

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      * La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche o La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      * Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      * N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
303
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES: maturation cérébrale

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      * La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche o La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      * Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      * N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
304
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES: les NT

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      • La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche
      • La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      • Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      • N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
305
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES: dopamine

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      • La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche
      • La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      • Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      • N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
306
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES: système DA/NA

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      • La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche
      • La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      • Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      • N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
307
Q

TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES: comment agissent les médicaments?

A
  • Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
    • Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
    • La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
      * La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche o La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
      * Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
      * N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.
308
Q

TDAH: Test nécessaire pour le diagnostic

A
  • Aucun test n’est assez spécifique ou sensible pour permettre de confirmer ou d’infirmer un diagnostic de TDAH.
  • L’évaluation clinique demeure la pierre angulaire.
  • Il n’y a d’ailleurs aucun tests sanguins, neuropsychologiques ou d’imagerie cérébrale spécifique au TDA/H. Le diagnostic est essentiellement clinique.
309
Q

TDAH: Neuro-imagerie permettant le diagnostic

A
  • Pas de test de neuro-imagerie à faire pour le dx
  • On n’a que des données expérimentales sur des petites cohortes de patients.
  • Il est d’ailleurs intéressant de mentionner que les psychostimulant normalise le défaut d’activation du cortex cingulaire chez les patients TDA/H (pattern d’activité différent).
310
Q

TDAH: Effet de l’utilisation des médicaments sur la neuro-imagerie

A
  • Pas de test de neuro-imagerie à faire pour le dx
  • On n’a que des données expérimentales sur des petites cohortes de patients.
  • Il est d’ailleurs intéressant de mentionner que les psychostimulant normalise le défaut d’activation du cortex cingulaire chez les patients TDA/H (pattern d’activité différent).
311
Q

TDAH: Impact sur EEG

A
  • Il n’y pas de signes pathognomoniques du TDAH à l’EEG.
  • Il n’y a d’ailleurs aucun tests sanguins, neuropsychologiques ou d’imagerie cérébrale spécifique au TDA/H. Le diagnostic est essentiellement clinique.
312
Q

TDAH: Utilité de l’avis de l’école dans le dx

A
  • Il faut rencontrer le patient et ses proches, et demander le point de vue de ceux qui le voient évoluer, dont les enseignants pour les plus jeunes.
  • Il doit avoir la présence de sx dans plus de 2 contextes différents.
  • Le point de vue externe des personnes voyant évoluer le patient est très précieux et contribue à l’évaluation en fournissant différentes perspectives.
313
Q
A
314
Q

Lien entre TDAH et conduite automobile

A
  • De nombreuses études ont mis en évidence que le TDAH augmente le risque sur la conduite automobile.
  • Les adultes TDAH ont 2 à 4x plus d’accidents automobiles que la population générale.
  • Le diagnostic touche les patients dans plusieurs sphères de leur vie, notamment au niveau social, familial et / ou professionnel.
315
Q

TDAH: Quoi retenir sur les différentes molécules?

A
  • Pour ce qui est du traitement, retenez les principaux types psychostimulants, leur mécanisme d’action ainsi que les différentes interventions psychosociales.
  • Les composantes du monitoring des psychostimulants sont aussi à connaître
316
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
317
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- critères inattention, hyperactivité, impulsivité

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
318
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- durée des sx

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
319
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- quoi exclure?

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
320
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- nombre de sx nécessaires

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
321
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- les sx doivent être présents à partir de quand?

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
322
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5
- rémission possible?

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes.
  • La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
323
Q

TDAH: Mise à jour DSM-5

A
  • Les critères d’inattention, hyperactivité et impulsivité sont sensiblement les mêmes. La durée des symptômes nécessaire au diagnostic également.
  • On ajoute que les symptômes ne doivent pas être liés uniquement à une manifestation d’un trouble oppositionnel.
  • À partir de 17 ans, seulement 5 symptômes sur 9 (au lieu de 6) sont requis par catégorie pour un diagnostic.
  • Par ailleurs, les symptômes doivent avoir été présent avant l’âge de 12 ans (et non 7 ans comme dans le DSM-IV).
  • On a ajouté également la possibilité de parler de rémission partielle et la nécessité de coter la sévérité.
324
Q

TDAH: Présentation clinique

A
325
Q

TDAH: Présentation clinique
- IMPULSIVITÉ

A
326
Q

TDAH: Présentation clinique
- IMPULSIVITÉ: chez l’enfant

A
  • L’impulsivité se remarque par des gestes ou des paroles irréfléchis
327
Q

TDAH: Présentation clinique
- IMPULSIVITÉ: chez l’adulte

A
  • L’impulsivité se traduit chez l’adulte par des décisions impulsives au travail, dans la vie quotidienne et familiale. Elle peut mener à des conflits interpersonnels, des altercations et la prise de risque
  • Conduite automobile trop rapide, imprudente et conduite sexuelle à risque.
  • Impulsivité dans les dépenses et les décisions
328
Q

TDAH: Présentation clinique
- HYPERACTIVITÉ

A
329
Q

TDAH: Présentation clinique
- HYPERACTIVITÉ: chez l’enfant

A
  • Hyperactivité franche
330
Q

TDAH: Présentation clinique
- HYPERACTIVITÉ: chez l’adulte

A
  • L’hyperactivité peut être remplacée par de l’impatience et l’irritabilité en situation d’inaction.
  • Ils se disent agités ou submergés et s’adonnent aux sports ou aux activités motrices peu importe son âge
331
Q

TDAH: Présentation clinique
- INATTENTION

A
332
Q

TDAH: Présentation clinique
- INATTENTION: chez l’enfant

A
  • Les enfants perdent habituellement plus les objets
333
Q

TDAH: Présentation clinique
- INATTENTION

A
  • Les adultes se plaignent habituellement plus de perdre du temps
334
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
335
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- types possibles

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
336
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type INATTENTION: on doit exclure quoi?

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
337
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type INATTENTION: nommez les symptômes nécessaires + le nombre de sx nécessaires

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
  • 1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
    • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
    • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
    • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
    • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
    • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
    • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difficulté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difficulté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
    • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
    • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
    • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
    • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
338
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type HYPERACTIVITÉ ET IMPULSIVITÉ: on doit exclure quoi?

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
339
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type HYPERACTIVITÉ ET IMPULSIVITÉ: nommez les symptômes + le nombre de sx nécessaires au dx

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop.
      • g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
340
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- les symptômes doivent être présents quand?

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
341
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- symptômes présents dans quel contexte?

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
342
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- impact

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
343
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- doit exclure quoi?

A
  • A. Un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement, caractérisé par (1) et/ou (2).
    1. Inattention :Six (ou plus) des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. : Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Souvent, ne parvient pas à prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités (p. ex., néglige ou ne remarque pas des détails, le travail est imprécis).
      • b. A souvent du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux (p. ex., a du mal à rester concentré pendant les cours magistraux, des conversations, ou la lecture de longs textes).
      • c. Semble souvent ne pas écouter quand on lui parle personnellement (p. ex., semble avoir l’esprit ailleurs, même en l’absence d’une source de distraction évidente).
      • d. Souvent, ne se conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles (p. ex., commence des tâches, mais se déconcentre vite et se laisse facilement distraire).
      • e. A souvent du mal à organiser ses travaux ou ses activités (p. ex., difculté à gérer des tâches comportant plusieurs étapes, difculté à garder ses affaires et ses documents en ordre, travail brouillon ou désordonné, mauvaise gestion du temps, échoue à respecter les délais).
      • f. Souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecœur les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu (p. ex., le travail scolaire ou les devoirs à la maison ; chez les grands adolescents et les adultes, préparer un rapport, remplir des formulaires, analyser de longs articles).
      • g. Perd souvent les objets nécessaires à son travail ou à ses activités (p. ex., matériel scolaire, crayons, livres, outils, portefeuilles, clés, documents, lunettes, téléphones mobiles).
      • h. Se laisse facilement distraire par des stimuli externes (chez les grands adolescents et les adultes, il peut s’agir de pensées sans rapport).
      • i. A des oublis fréquents dans la vie quotidienne (p. ex., effectuer les tâches ménagères et faire les courses ; chez les grands adolescents et les adultes, rappeler des personnes au téléphone, payer des factures, honorer des rendez-vous).
    1. Hyperactivité et impulsivité: Six ou plus des symptômes suivants persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui ne correspond pas au niveau de développement et qui a un retentissement négatif direct sur les activités sociales et scolaires/professionnelles :
      • N.B. :Les symptômes ne sont pas seulement la manifestation d’un comportement opposant, provocateur ou hostile, ou de l’incapacité de comprendre les tâches ou les instructions. Chez les grands adolescents et les adultes (17 ans ou plus), au moins cinq symptômes sont requis.
      • a. Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège.
      • b. Se lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis (p. ex. quitte sa place en classe, au bureau ou dans un autre lieu de travail, ou dans d’autres situations où il est censé rester en place).
      • c. Souvent, court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié (N.B. :Chez les adolescents ou les adultes, cela peut se limiter à un sentiment d’impatience motrice).
      • d. Est souvent incapable de se tenir tranquille dans les jeux ou les activités de loisir.
      • e. Est souvent « sur la brèche » ou agit souvent comme s’il était « monté sur ressorts » (p. ex. n’aime pas rester tranquille pendant un temps prolongé ou est alors mal à l’aise, comme au restaurant ou dans une réunion, peut être perçu par les autres comme impatient ou difficile à suivre).
      • f. Parle souvent trop. g. Laisse souvent échapper la réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée (p. ex. termine les phrases des autres, ne peut pas attendre son tour dans une conversation).
      • h. A souvent du mal à attendre son tour (p. ex. dans une file d’attente). i. Interrompt souvent les autres ou impose sa présence (p. ex. fait irruption dans les conversations, les jeux ou les activités, peut se mettre à utiliser les affaires des autres sans le demander ou en recevoir la permission ; chez les adolescents ou les adultes, peut être intrusif et envahissant dans les activités des autres).
  • B. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans.
  • C. Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont présents au moins deux contextes différents (p. ex., à la maison, à l’école, ou au travail ; avec des amis ou de la famille, dans d’autres activités).
  • D. On doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • E. Les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., trouble de l’humeur, trouble anxieux, trouble dissociatif, trouble de personnalité, intoxication par, ou sevrage d’une substance).
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
344
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier les types

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
345
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- types

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
346
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type: présentation combinée

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
347
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type: présentation inattentive dominante

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
348
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- type: présentation hyperactive / impulsive dominante

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
349
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier le type (rémission)

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
350
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier le type: niveau de sévérité actuelle

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
351
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier le type: niveau de sévérité actuelle - LÉGER

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
352
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier le type: niveau de sévérité actuelle - MOYEN

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
353
Q

Critères diagnostiques du déficit de l’attention/hyperactivité
- spécifier le type: niveau de sévérité actuelle - GRAVE

A
  • Spécifier le type:
    • Présentation combinée: Si à la fois le critère A1 (inattention) et le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) sont remplis pour les 6 derniers mois.
    • Présentation inattentive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A1 (inattention) est rempli, mais pas le critère A2 (hyperactivité-impulsivité).
    • Présentation hyperactive/impulsive prédominante: Si, pour les 6 derniers mois, le critère A2 (hyperactivité-impulsivité) est rempli, mais pas le critère A1 (inattention).
  • Spécifier le type (rémission):
    • Spécifier le type : En rémission partielle: Lorsqu’au cours des 6 derniers mois l’ensemble des critères pour poser le diagnostic ne sont plus réunis alors qu’ils l’étaient auparavant, et que les symptômes continuent à entraîner une altération du fonctionnement social, scolaire ou professionnel
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Léger: Peu de symptômes, ou aucun, sont présents au-delà de ceux requis au minimum pour poser le diagnostic, et les symptômes n’entraînent que des altérations mineures du fonctionnement social ou professionnel.
    • Moyen: Les symptômes ou l’altération fonctionnelle sont présents sous une forme intermédiaire entre « léger » et « grave ».
    • Grave: Plusieurs symptômes sont présents au-delà de ceux requis pour poser le diagnostic, ou plusieurs symptômes particulièrement graves sont présents, ou les symptômes entraînent une altération marquée du fonctionnement social ou professionnel.
354
Q

TDAH: DDX
- nommez les pathos inclues dans le ddx

A
  • Troubles anxieux
  • Troubles dépressifs
  • Troubles bipolaires
  • Utilisation de substances stimulantes
  • Troubles de personnalité
  • Troubles d’apprentissage (spécifiques ou blobaux)
  • TSA
355
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: CONCEPTS COMMUNS

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
356
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: DIFFÉRENCES

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
357
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: TRAITEMENT SI PRÉSENTS DE MANIÈRE COMORBIDE

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
358
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: cause de l’anxiété en TDAH avec comorbidité tr anxieux

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
359
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: thérapie si anxiété en comorbidité avec TDAH

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
360
Q

TDAH: DDX
- Troubles ANXIEUX: médicament si anxiété en comorbidité avec TDAH

A
  • En comorbidité : l’anxiété peut être secondaire aux échecs vécus par le TDAH. L’anxiété affecte ensuite la concentration et aggraver les échecs.
  • Thérapies offertes : intervention comportementale, TCC
  • Traiter le TDAH s’il est la source d’anxiété. L’Atomoxétine est la molécule de choix
361
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF

A
362
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF: CONCEPTS COMMUNS

A
  • Les patients dépressifs peuvent présenter pendant un épisode dépressif une perte de mémoire court terme, de l’irritabilité, de l’impulsivité, des troubles difficultés de concentration et de l’agitation
  • Les patients TDAH peuvent se sentir impuissants face à leur difficulté et des Sx dépressifs sont possibles
  • Les deux entités peuvent coexister : il faut déterminer si la dépression est primaire ou secondaire au TDAH
363
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF: CONCEPTS COMMUNS - physiopatho des sx communs

A
  • Les patients dépressifs peuvent présenter pendant un épisode dépressif une perte de mémoire court terme, de l’irritabilité, de l’impulsivité, des troubles difficultés de concentration et de l’agitation
  • Les patients TDAH peuvent se sentir impuissants face à leur difficulté et des Sx dépressifs sont possibles
  • Les deux entités peuvent coexister : il faut déterminer si la dépression est primaire ou secondaire au TDAH
364
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF en comorbidité: CAUSE

A
  • Les patients dépressifs peuvent présenter pendant un épisode dépressif une perte de mémoire court terme, de l’irritabilité, de l’impulsivité, des troubles difficultés de concentration et de l’agitation
  • Les patients TDAH peuvent se sentir impuissants face à leur difficulté et des Sx dépressifs sont possibles
  • Les deux entités peuvent coexister : il faut déterminer si la dépression est primaire ou secondaire au TDAH
365
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF: qu’est-il important de déterminer?

A
  • Les patients dépressifs peuvent présenter pendant un épisode dépressif une perte de mémoire court terme, de l’irritabilité, de l’impulsivité, des troubles difficultés de concentration et de l’agitation
  • Les patients TDAH peuvent se sentir impuissants face à leur difficulté et des Sx dépressifs sont possibles
  • Les deux entités peuvent coexister : il faut déterminer si la dépression est primaire ou secondaire au TDAH
366
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF: DIFFÉRENCES

A
  • L’apparition séquentielle des symptômes.
  • Les symptômes sont durant un épisode dépressif
  • En cas de comorbidité, choisir un antidépresseur qui agit également sur la DA et la NA
367
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF: DIFFÉRENCES - nommez-les

A
  • L’apparition séquentielle des symptômes.
  • Les symptômes sont durant un épisode dépressif
  • En cas de comorbidité, choisir un antidépresseur qui agit également sur la DA et la NA
368
Q

TDAH: DDX
- Tr DÉPRESSIF en comorbdité: Quel antidépresseur choisir?

A
  • L’apparition séquentielle des symptômes.
  • Les symptômes sont durant un épisode dépressif
  • En cas de comorbidité, choisir un antidépresseur qui agit également sur la DA et la NA
369
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES

A
370
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES: CONCEPTS COMMUNS

A
  • Il est rare qu’ils coexistent.
  • Un patient TDAH avec un épisode dépressif peut donner l’impression d’avoir un trouble bipolaire lorsque les symptômes se résorbent.
371
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES: en comorbidité

A
  • Il est rare qu’ils coexistent.
  • Un patient TDAH avec un épisode dépressif peut donner l’impression d’avoir un trouble bipolaire lorsque les symptômes se résorbent.
372
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES: CONCEPTS COMMUNS - comment se ressemblent-ils?

A
  • Il est rare qu’ils coexistent.
  • Un patient TDAH avec un épisode dépressif peut donner l’impression d’avoir un trouble bipolaire lorsque les symptômes se résorbent.
373
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES: DIFFÉRENCES

A
  • Les symptômes du TDAH sont présents dès l’enfance et chronique
  • L’humeur est réactive, mais non cyclique dans le TDAH
  • Considérer le trouble bipolaire si les symptômes sont thymiques importants, cycliques, épisodiques et distincts, il doit être traité prioritairement.
374
Q

TDAH: DDX
- Tr BIPOLAIRES: DIFFÉRENCES - ce qui fait plus pencher vers tr bipolaire

A
  • Les symptômes du TDAH sont présents dès l’enfance et chronique
  • L’humeur est réactive, mais non cyclique dans le TDAH
  • Considérer le trouble bipolaire si les symptômes sont thymiques importants, cycliques, épisodiques et distincts, il doit être traité prioritairement.
375
Q

TDAH: DDX
- Utilisation des substances stimulantes

A
  • Les patients TDAH présentent un risque élevé de consommation
  • Les personnes qui consomment peuvent aussi développer des troubles de l’attention, d’autocontrôle et de comportements
376
Q

TDAH: DDX
- Utilisation des substances stimulantes: en comorbidité

A
  • Les patients TDAH présentent un risque élevé de consommation
  • Les personnes qui consomment peuvent aussi développer des troubles de l’attention, d’autocontrôle et de comportements
377
Q

TDAH: DDX
- Utilisation des substances stimulantes: TDAH ou tr utilisation de substance vient en 1er?

A
  • Les patients TDAH présentent un risque élevé de consommation
  • Les personnes qui consomment peuvent aussi développer des troubles de l’attention, d’autocontrôle et de comportements
378
Q

TDAH: DDX
- Tr de personnalité

A
379
Q

TDAH: DDX
- Tr de personnalité: CONCEPTS COMMUNS

A
  • Parfois les TP limite sont impulsifs, réactifs et se plaignent également de difficulté d’attention
380
Q

TDAH: DDX
- Tr de personnalité: CONCEPTS COMMUNS - nommez-les

A
  • Parfois les TP limite sont impulsifs, réactifs et se plaignent également de difficulté d’attention
381
Q

TDAH: DDX
- Tr de personnalité: DIFFÉRENCES

A
  • Réaction d’abandon, de rage, de vide intérieur, les comportements manipulateurs, l’utilisation de mécanisme de défense primaire (clivage par exemple), l’angoisse d’abandon, les actions autodestructrices ne sont pas présents dans le TDAH
382
Q

TDAH: DDX
- Tr de personnalité: DIFFÉRENCES -nommez-les

A
  • Réaction d’abandon, de rage, de vide intérieur, les comportements manipulateurs, l’utilisation de mécanisme de défense primaire (clivage par exemple), l’angoisse d’abandon, les actions autodestructrices ne sont pas présents dans le TDAH
383
Q

TDAH: DDX
- Tr d’apprentissage (spécifiques ou globaux)

A
384
Q

TDAH: DDX
- Tr d’apprentissage (spécifiques ou globaux): CONCEPTS COMMUNS

A
  • Beaucoup de TDAH rapportent avec de la difficulté dans la lecture, la prise de note, leur texte et écriture, la production écrite et peuvent mimer un trouble d’apprentissage.
  • On estime à 30% des patients avec un TDAH qui souffre d’un vrai trouble d’apprentissage (comorbide)
385
Q

TDAH: DDX
- Tr d’apprentissage (spécifiques ou globaux): CONCEPTS COMMUNS - en comorbidité

A
  • Beaucoup de TDAH rapportent avec de la difficulté dans la lecture, la prise de note, leur texte et écriture, la production écrite et peuvent mimer un trouble d’apprentissage.
  • On estime à 30% des patients avec un TDAH qui souffre d’un vrai trouble d’apprentissage (comorbide)
386
Q

TDAH: DDX
- Tr d’apprentissage (spécifiques ou globaux): DIFFÉRENCES

A
  • Difficulté de mouvement et de coordination parfois présentes chez les personnes avec troubles d’apprentissage
387
Q

TDAH: DDX
- Tr d’apprentissage (spécifiques ou globaux): DIFFÉRENCES - nommez-les

A
  • Difficulté de mouvement et de coordination parfois présentes chez les personnes avec troubles d’apprentissage
388
Q

TDAH: DDX
- TSA

A
389
Q

TDAH: DDX
- TSA: CONCEPTS COMMUNS

A
  • Le TSA a préséance sur le TDAH lorsque diagnostiqué (impact sur les stratégies d’interventions).
390
Q

TDAH: DDX
- TSA: CONCEPTS COMMUNS - en comorbidité

A
  • Le TSA a préséance sur le TDAH lorsque diagnostiqué (impact sur les stratégies d’interventions).
391
Q

TDAH: DDX
- TSA: DIFFÉRENCES

A
  • Apparition tardive du langage, rigidité cognitive, préoccupations excessives et inhabituelles dans des domaines d’intérêt particulier orientent plus vers le TSA
392
Q

TDAH: Causes organiques

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
393
Q

TDAH: Causes organiques
- exposition à substances

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
394
Q

TDAH: Causes organiques
- complications

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
395
Q

TDAH: Causes organiques
- pathos

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
396
Q

TDAH: Causes organiques
- traumatismes

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
397
Q

TDAH: Causes organiques
- sommeil

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
398
Q

TDAH: Causes organiques
- problèmes organiques associés au TDAH

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
399
Q

TDAH: Traitements

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
400
Q

TDAH: Traitements
- ce qui prime dans le traitement

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
401
Q

TDAH: Traitements
- psychothérapie

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
402
Q

TDAH: Traitements
- habitudes de vie

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
403
Q

TDAH: Traitements
- indication de la médication

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
404
Q

TDAH: Traitements
- médicaments: classes

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      • Produits à base d’amphétamines (AMPH)
        • Libération immédiate (Dexedrine)
        • Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      • Produit à base de méthylphénidate (MPH)
        • Libération immédiate (Ritalin)
        • Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
405
Q

TDAH: Traitements
- médicaments: stimulants - sous-types

A
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      • Produits à base d’amphétamines (AMPH)
        • Libération immédiate (Dexedrine)
        • Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      • Produit à base de méthylphénidate (MPH)
        • Libération immédiate (Ritalin)
        • Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
406
Q

TDAH: Traitements - Rx: stimulants - amphétamines
- nommez-les

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      • Produits à base d’amphétamines (AMPH)
        • Libération immédiate (Dexedrine)
        • Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      • Produit à base de méthylphénidate (MPH)
        • Libération immédiate (Ritalin)
        • Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
407
Q

TDAH: Traitements - Rx: stimulants - Méthylphénidate
- nommez-les

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      • Produits à base d’amphétamines (AMPH)
        • Libération immédiate (Dexedrine)
        • Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      • Produit à base de méthylphénidate (MPH)
        • Libération immédiate (Ritalin)
        • Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
408
Q

TDAH: Traitements
- Rx: non-stimulants

A
  • Psychoéducation est le traitement qui prime. PAS LA MÉDICATION.
    - Techniques d’organisation du temps / résolutions de problèmes
    - Site d’Annick Vincent pour beaucoup d’informations et de trucs
  • Saine hygiène de vie
  • Traitement biologique SI stratégies non pharmacologiques ne fonctionnent pas assez.
    • Psychostimulants
      - Produits à base d’amphétamines (AMPH)
      - Libération immédiate (Dexedrine)
      - Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
      - Produit à base de méthylphénidate (MPH)
      - Libération immédiate (Ritalin)
      - Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
    • Non-stimulants
      • Atomoxétine
      • Guanfacine à libération prolongée
409
Q

TDAH: Traitements
- Mécanismes d’action des médicaments

A
  • Mécanismes d’action : agit sur la neurotransmission du système dopaminergique ou noradrénergique
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
410
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?

A
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
411
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: Ajustement

A
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
412
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: Ce qu’on vise

A
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
413
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: Ce qu’on préfère dans le choix de molécules

A
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
414
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: à quoi faire attention?

A
  • Comment les utiliser? :
    * Ajustement progressif
    * Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    * Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    * Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    * Attention pour l’abus de substances
    * Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
    * Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
415
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: Abus de substances

A
  • Comment les utiliser? :
    • Ajustement progressif
    • Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    • Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    • Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    • Attention pour l’abus de substances
      • Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
      • Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
416
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: TYPES d’abus de susbtances

A
  • Comment les utiliser? :
    • Ajustement progressif
    • Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    • Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    • Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    • Attention pour l’abus de substances
      • Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
      • Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
417
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: TYPES d’abus de susbtances - définir DIVERSION

A
  • Comment les utiliser? :
    • Ajustement progressif
    • Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    • Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    • Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    • Attention pour l’abus de substances
      • Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
      • Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
418
Q

TDAH: Traitements
- Comment utiliser les médicaments?: TYPES d’abus de susbtances - définir ABUS

A
  • Comment les utiliser? :
    • Ajustement progressif
    • Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
    • Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
    • Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
    • Attention pour l’abus de substances
      • Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
      • Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être
419
Q

TOP: nom long

A

Trouble oppositionnel

420
Q

TC: nom long

A

Troubles des conduites

421
Q

Concernant le TOP et le TC, lequel des énoncés suivants est faux :
- a. L’opposition est toujours pathologique
- b. Les garçons seraient 2 à 3 fois plus préalents que les filles pour le diagnostice de TC
- c. Les filles seraient de plus en plus accusées pour TC au tribunal de la jeunesse
- d. La présence du chromosome Y est le plus grand facteur de risque à un TC ou un TOP (y compris la testostérone)
- e. L’approche pharmacologique est la monothérapie à tenter en première intention

A
  • a. L’opposition est toujours pathologique
  • b. Les garçons seraient 2 à 3 fois plus préalents que les filles pour le diagnostice de TC
  • c. Les filles seraient de plus en plus accusées pour TC au tribunal de la jeunesse
  • d. La présence du chromosome Y est le plus grand facteur de risque à un TC ou un TOP (y compris la testostérone)
  • e. L’approche pharmacologique est la monothérapie à tenter en première intention Faux. Les traitements biologiques, par exemple les psychotropes, doivent être utilisés en association avec des interventions psychosociales.
422
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Suite des choses est certaine?

A

Une grande partie des enfants TOP ne développeront pas un TC à l’adolescence.

Les caractéristiques suivantes sont un facteur de mauvais pronostic :

  • Début des comportements avant l’âge de 10 ans
  • Comportements perturbateurs dans différents milieux
  • Être victime de violence physique
  • Contrôle parental excessif ou inexistant
  • Adhésion des parents à des valeurs antisociales
  • Utilisation de drogues avant 15 ans
  • Placement à l’extérieur du domicile familial
  • Pauvreté et milieu défavorisé
  • Décrochage scolaire
  • Pairs délinquants

Les jeunes qui ont ces caractéristiques deviennent pour un grand nombre (23-41%) des adultes avec traits marqués de la personnalité antisociale.

423
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Facteurs de mauvais pronostic

A

Une grande partie des enfants TOP ne développeront pas un TC à l’adolescence.

Les caractéristiques suivantes sont un facteur de mauvais pronostic :

  • Début des comportements avant l’âge de 10 ans
  • Comportements perturbateurs dans différents milieux
  • Être victime de violence physique
  • Contrôle parental excessif ou inexistant
  • Adhésion des parents à des valeurs antisociales
  • Utilisation de drogues avant 15 ans
  • Placement à l’extérieur du domicile familial
  • Pauvreté et milieu défavorisé
  • Décrochage scolaire
  • Pairs délinquants

Les jeunes qui ont ces caractéristiques deviennent pour un grand nombre (23-41%) des adultes avec traits marqués de la personnalité antisociale.

424
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Facteurs de mauvais pronostic - ils annoncent quoi?

A

Une grande partie des enfants TOP ne développeront pas un TC à l’adolescence.

Les caractéristiques suivantes sont un facteur de mauvais pronostic :

  • Début des comportements avant l’âge de 10 ans
  • Comportements perturbateurs dans différents milieux
  • Être victime de violence physique
  • Contrôle parental excessif ou inexistant
  • Adhésion des parents à des valeurs antisociales
  • Utilisation de drogues avant 15 ans
  • Placement à l’extérieur du domicile familial
  • Pauvreté et milieu défavorisé
  • Décrochage scolaire
  • Pairs délinquants

Les jeunes qui ont ces caractéristiques deviennent pour un grand nombre (23-41%) des adultes avec traits marqués de la personnalité antisociale.

425
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Épidémio

A
  • 2 H : 1 F
  • plus fréquent chez les jeunes
  • 6-16 % des ados H
  • 2 -9 % des ados F
426
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Épidémio
- H vs F

A
  • 2 H : 1 F
  • plus fréquent chez les jeunes
  • 6-16 % des ados H
  • 2 -9 % des ados F
427
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Épidémio
- jeunes vs vieux

A
  • 2 H : 1 F
  • plus fréquent chez les jeunes
  • 6-16 % des ados H
  • 2 -9 % des ados F
428
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Épidémio
- H vs F ADOS

A
  • 2 H : 1 F
  • plus fréquent chez les jeunes
  • 6-16 % des ados H
  • 2 -9 % des ados F
429
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies

A
  • Facteurs biologiques
  • Facteurs psychologiques
  • Facteurs environnementaux
430
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Nommez les facteurs BIOLOGIQUES

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
431
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Nommez les facteurs BIOLOGIQUES: nommez les plus grand FDR

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
432
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs BIOLOGIQUES: facteurs provenant des parents biologiques

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
433
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs BIOLOGIQUES: habitudes de vie

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
434
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs BIOLOGIQUES: pathos médicales

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
435
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs BIOLOGIQUES: lien avec chromosome Y

A

Facteurs biologiques : plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :

  • Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
  • Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
  • Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose) durant la grossesse et l’accouchement
  • Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité
436
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: nommez-les

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
437
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: lien

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
438
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: tempérament

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
439
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: QI

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
440
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: apprentissage

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
441
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: personnalité et habiletés

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
442
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: préférences personnelles

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
443
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: comorbidités

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
444
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: entourage psycho-social

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
445
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs PSYCHOLOGIQUES: exposition à la violence

A

Facteurs psychologiques : Une variété de facteurs augmentent le risque de comportements perturbateurs et de délinquance chez l’enfant :

  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne
  • Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien et de comportements perturbateurs).
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
446
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
447
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: nommez-les

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
448
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: lien

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
449
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: fréquentations

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
450
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: facteurs les plus étudiés

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
451
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: classification des facteurs FAMILIAUX

A

Facteurs environnementaux : Souffrir de pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent, fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.

La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile.

Les problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :

  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
452
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: Perturbations familiales GÉNÉRALES

A
  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
453
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX: Perturbations familiales SPÉCIFIQUES

A
  • Perturbations familiales générales
    - Discorde familiale
    - Violence conjugale
    - Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
    - Mère monoparentale, mère adolescente
    - Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
    - Dépression ou anxiété chez la mère
    - Famille nombreuse
    - Nombreux déménagements
  • Pratiques parentales spécifiques
    - Négligence (rejet, manque de communication)
    - Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
    - Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
    - Discipline rude (avec violence)
    - Abus physique
    - Supervision parentale excessive ou déficiente
    - Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales
454
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites
- Facteurs PROTECTEURS

A
  • Bon soutien familial
  • Capacité d’attachement sécure
  • Attitude positive, qui accepte l’autorité et les interventions
  • Bon QI
  • Bonne réussite scolaire
  • Participation dans des activités prosociales (scolaire, sportive, communautaire, etc.)
  • Bonne capacité d’adaptation.
455
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: DDX

A

Un acte judicieux, voire grave, ne signe pas nécessairement un diagnostic de TC ou de psychose.

De même, la présence d’une pathologie autre ne veut pas dire que le jeune ne présenterait pas également un TOP ou un TC. Parmi les autres causes de comportements perturbateurs, on retrouve :

  • TDAH
  • Trouble anxieux (y compris le TSPT)
  • Toxicomanie
  • Dépression
  • Maladies neurologiques (épilepsie, séquelle traumatique crânienne)
  • Psychose
456
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: DDX
- place de ces autres diagnostics

A

Un acte judicieux, voire grave, ne signe pas nécessairement un diagnostic de TC ou de psychose.

De même, la présence d’une pathologie autre ne veut pas dire que le jeune ne présenterait pas également un TOP ou un TC. Parmi les autres causes de comportements perturbateurs, on retrouve :

  • TDAH
  • Trouble anxieux (y compris le TSPT)
  • Toxicomanie
  • Dépression
  • Maladies neurologiques (épilepsie, séquelle traumatique crânienne)
  • Psychose
457
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: DDX
- causes des comportements perturbateurs

A

Un acte judicieux, voire grave, ne signe pas nécessairement un diagnostic de TC ou de psychose.

De même, la présence d’une pathologie autre ne veut pas dire que le jeune ne présenterait pas également un TOP ou un TC. Parmi les autres causes de comportements perturbateurs, on retrouve :

  • TDAH
  • Trouble anxieux (y compris le TSPT)
  • Toxicomanie
  • Dépression
  • Maladies neurologiques (épilepsie, séquelle traumatique crânienne)
  • Psychose
458
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: DDX
- nommez les maladies neurologiques

A

Un acte judicieux, voire grave, ne signe pas nécessairement un diagnostic de TC ou de psychose.

De même, la présence d’une pathologie autre ne veut pas dire que le jeune ne présenterait pas également un TOP ou un TC. Parmi les autres causes de comportements perturbateurs, on retrouve :

  • TDAH
  • Trouble anxieux (y compris le TSPT)
  • Toxicomanie
  • Dépression
  • Maladies neurologiques (épilepsie, séquelle traumatique crânienne)
  • Psychose
459
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    • Humeur colérique/irritable
        1. Se met souvent en colère.
        1. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
        1. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    • Comportement querelleur/provocateur
        1. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
        1. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
        1. Embête souvent les autres délibérément.
        1. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
      • Esprit vindicatif
        1. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
460
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- symptômes

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    • Humeur colérique/irritable
        1. Se met souvent en colère.
        1. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
        1. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    • Comportement querelleur/provocateur
        1. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
        1. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
        1. Embête souvent les autres délibérément.
        1. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
      • Esprit vindicatif
        1. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
461
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- pendant combien de temps?

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    - Humeur colérique/irritable
    - 1. Se met souvent en colère.
    - 2. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
    - 3. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    - Comportement querelleur/provocateur
    - 4. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
    - 5. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
    - 6. Embête souvent les autres délibérément.
    - 7. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
    - Esprit vindicatif
    - 8. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
462
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- Sx: humeur colérique / irritable

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    • Humeur colérique/irritable
        1. Se met souvent en colère.
        1. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
        1. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    • Comportement querelleur/provocateur
        1. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
        1. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
        1. Embête souvent les autres délibérément.
        1. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
      • Esprit vindicatif
        1. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
463
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- Sx: Comportement querelleur/provocateur

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    • Humeur colérique/irritable
        1. Se met souvent en colère.
        1. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
        1. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    • Comportement querelleur/provocateur
        1. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
        1. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
        1. Embête souvent les autres délibérément.
        1. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
      • Esprit vindicatif
        1. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
464
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- Sx: Esprit vindicatif

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    • Humeur colérique/irritable
        1. Se met souvent en colère.
        1. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
        1. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    • Comportement querelleur/provocateur
        1. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
        1. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
        1. Embête souvent les autres délibérément.
        1. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
      • Esprit vindicatif
        1. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
465
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- sx: ce qui est nécessaire afin de poser le dx

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    - Humeur colérique/irritable
    - 1. Se met souvent en colère.
    - 2. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
    - 3. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    - Comportement querelleur/provocateur
    - 4. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
    - 5. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
    - 6. Embête souvent les autres délibérément.
    - 7. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
    - Esprit vindicatif
    - 8. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
    • N.B. :La persistance et la fréquence de ces comportements doivent être utilisées pour distinguer un comportement qui est dans les limites de la normale d’un comportement symptomatique. Pour les enfants âgés de moins de 5 ans, le comportement doit survenir la plupart des jours durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Pour les sujets âgés de 5 ans et plus, le comportement doit survenir au moins une fois par semaine durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Tandis que ces critères de fréquence fournissent des conseils sur un niveau minimal de fréquence pour définir des symptômes, d’autres facteurs doivent être considérés, comme le fait de savoir si la fréquence et l’intensité des comportements dépassent ce que l’on observe habituellement chez des sujets d’âge, de sexe, et de culture comparables.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
466
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- impact

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    - Humeur colérique/irritable
    - 1. Se met souvent en colère.
    - 2. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
    - 3. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    - Comportement querelleur/provocateur
    - 4. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
    - 5. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
    - 6. Embête souvent les autres délibérément.
    - 7. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
    - Esprit vindicatif
    - 8. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
    • N.B. :La persistance et la fréquence de ces comportements doivent être utilisées pour distinguer un comportement qui est dans les limites de la normale d’un comportement symptomatique. Pour les enfants âgés de moins de 5 ans, le comportement doit survenir la plupart des jours durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Pour les sujets âgés de 5 ans et plus, le comportement doit survenir au moins une fois par semaine durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Tandis que ces critères de fréquence fournissent des conseils sur un niveau minimal de fréquence pour définir des symptômes, d’autres facteurs doivent être considérés, comme le fait de savoir si la fréquence et l’intensité des comportements dépassent ce que l’on observe habituellement chez des sujets d’âge, de sexe, et de culture comparables.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
467
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- exclure quoi?

A
  • A. Un ensemble d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/provocateur, ou d’un esprit vindicatif persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présents au moins quatre symptômes des catégories suivantes, et se manifestant durant l’interaction avec au moins un sujet extérieur à la fratrie.
    - Humeur colérique/irritable
    - 1. Se met souvent en colère.
    - 2. Est souvent susceptible ou facilement agacé par les autres.
    - 3. Est souvent fâché et plein de ressentiment.
    - Comportement querelleur/provocateur
    - 4. Conteste souvent les personnes en position d’autorité ou, pour les enfants et les adolescents, ce que disent les adultes.
    - 5. S’oppose souvent activement ou refuse de se plier aux règles ou aux demandes des personnes en position d’autorité.
    - 6. Embête souvent les autres délibérément.
    - 7. Fait souvent porter à autrui la responsabilité de ses erreurs ou de sa mauvaise conduite.
    - Esprit vindicatif
    - 8. S’est montré souvent méchant ou vindicatif au moins deux fois durant les 6 derniers mois.
    • N.B. :La persistance et la fréquence de ces comportements doivent être utilisées pour distinguer un comportement qui est dans les limites de la normale d’un comportement symptomatique. Pour les enfants âgés de moins de 5 ans, le comportement doit survenir la plupart des jours durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Pour les sujets âgés de 5 ans et plus, le comportement doit survenir au moins une fois par semaine durant une période minimale de 6 mois, sauf indication contraire (critère A8). Tandis que ces critères de fréquence fournissent des conseils sur un niveau minimal de fréquence pour définir des symptômes, d’autres facteurs doivent être considérés, comme le fait de savoir si la fréquence et l’intensité des comportements dépassent ce que l’on observe habituellement chez des sujets d’âge, de sexe, et de culture comparables.
  • B. La perturbation du comportement est associée à une détresse de l’individu ou d’autrui dans son entourage social proche (p. ex. famille, groupe de pairs, collègues de travail), ou a entraîné une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • C. Les comportements ne surviennent pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble psychotique,
    • d’un trouble de l’usage d’une substance,
    • d’un trouble dépressif,
    • d’un trouble bipolaire.
    • De plus, le trouble ne répond pas aux critères du trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur.
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
468
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- spécifier quoi?

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
469
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- spécification: sévérité LÉGÈRE

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
470
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- spécification: sévérité MOYENNE

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
471
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation
- spécification: sévérité GRAVE

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    - Léger: Les symptômes sont limités à un seul cadre (p. ex. à la maison, à l’école, au travail, avec les pairs).
    - Moyen: Certains symptômes sont présents dans au moins deux cadres.
    - Grave: Certains symptômes sont présents dans trois cadres ou plus.
472
Q

Critères diagnostiques du trouble oppositionnel avec provocation: TYPES - nommez-les

A
  1. Humeur colérique / irritable
  2. Comportement querelleur / provocateur
  3. Esprit vindicatif
473
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
        1. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
        1. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
        1. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
474
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites: Symptômes

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
        1. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
        1. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
        1. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
475
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Sx: Agression envers des personnes ou des animaux

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
        1. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
        1. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
        1. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
476
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Sx: Destruction de biens matériels

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
        1. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
        1. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
        1. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
477
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Sx: Fraude ou vol

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
        1. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
        1. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
        1. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
478
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Sx: Violations graves de règles établies

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    • Agression envers des personnes ou des animaux
        1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
        1. Commence souvent les bagarres.
        1. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
        1. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
        1. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
        1. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    • Destruction de biens matériels
        1. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
        1. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    • Fraude ou vol
        1. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
        1. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
        1. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    • Violations graves de règles établies
      • 13. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
      • 14. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
      • 15. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
479
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- impact

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    - Agression envers des personnes ou des animaux
    - 1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
    - 2. Commence souvent les bagarres.
    - 3. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
    - 4. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
    - 5. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
    - 6. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
    - 7. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    - Destruction de biens matériels
    - 8. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
    - 9. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    - Fraude ou vol
    - 10. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
    - 11. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
    - 12. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    - Violations graves de règles établies
    - 13. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
    - 14. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
    - 15. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
480
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- exclure quoi?

A
  • A. Ensemble de conduites, répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet, comme en témoigne la présence de trois des 15 critères suivants (au cours des 12 derniers mois, et d’au moins un de ces critères au cours des 6 derniers mois :
    - Agression envers des personnes ou des animaux
    - 1. Brutalise, menace ou intimide souvent d’autres personnes.
    - 2. Commence souvent les bagarres.
    - 3. A utilisé une arme pouvant blesser sérieusement autrui (p. ex. un bâton, une brique, une bouteille cassée, un couteau, une arme à feu).
    - 4. A fait preuve de cruauté physique envers des personnes.
    - 5. A fait preuve de cruauté physique envers des animaux.
    - 6. A commis un vol en affrontant la victime (p. ex. agression, vol de sac à main, extorsion d’argent, vol à main armée).
    - 7. A contraint quelqu’un à avoir des relations sexuelles.
    - Destruction de biens matériels
    - 8. A délibérément mis le feu avec l’intention de provoquer des dégâts importants.
    - 9. A délibérément détruit le bien d’autrui (autrement qu’en y mettant le feu).
    - Fraude ou vol
    - 10. A pénétré par effraction dans une maison, un bâtiment ou une voiture appartenant à autrui.
    - 11. Ment souvent pour obtenir des biens ou des faveurs ou pour échapper à des obligations (p. ex. « arnaque » les autres).
    - 12. A volé des objets d’une certaine valeur sans affronter la victime (p. ex. vol à l’étalage sans destruction ou effraction, contrefaçon)
    - Violations graves de règles établies
    - 13. Reste dehors tard la nuit en dépit des interdictions de ses parents, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
    - 14. A fugué et passé la nuit dehors au moins à deux reprises alors qu’il vivait avec ses parents ou en placement familial (ou a fugué une seule fois sans rentrer à la maison pendant une longue période).
    - 15. Fait souvent l’école buissonnière, et cela a commencé avant l’âge de 13 ans.
  • B. La perturbation du comportement entraîne une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.
  • C. Si la personne est âgée de 18 ans ou plus, le trouble ne répond pas aux critères de la personnalité antisociale.
481
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Symptômes: sous-types

A
  1. Agression envers des personnes ou des animaux
  2. Destruction de biens matériaux
  3. Fraude ou vol
  4. Violations graves de règles établies
482
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- Nommez les spécifications à faire

A
  1. Spécifier le type
  2. Spécifier les sentiments
  3. Spécifier la sévérité actuelle
483
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: type (en lien avec début)

A

Spécifier le type :

  • Type à début pendant l’enfance :Présence d’au moins un symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Type à début pendant l’adolescence: Absence de tout symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Début non spécifié :Les critères pour le diagnostic de trouble des conduites sont remplis, mais les informations sont insuffisantes pour déterminer si le premier symptôme est apparu avant ou après l’âge de 10 ans.
484
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: type (en lien avec début) - début pendant l’enfance

A

Spécifier le type :

  • Type à début pendant l’enfance :Présence d’au moins un symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Type à début pendant l’adolescence: Absence de tout symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Début non spécifié :Les critères pour le diagnostic de trouble des conduites sont remplis, mais les informations sont insuffisantes pour déterminer si le premier symptôme est apparu avant ou après l’âge de 10 ans.
485
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: type (en lien avec début) - début pendant l’adolescence

A

Spécifier le type :

  • Type à début pendant l’enfance :Présence d’au moins un symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Type à début pendant l’adolescence: Absence de tout symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Début non spécifié :Les critères pour le diagnostic de trouble des conduites sont remplis, mais les informations sont insuffisantes pour déterminer si le premier symptôme est apparu avant ou après l’âge de 10 ans.
486
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: type (en lien avec début) - début non spécifié

A

Spécifier le type :

  • Type à début pendant l’enfance :Présence d’au moins un symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Type à début pendant l’adolescence: Absence de tout symptôme caractéristique du trouble des conduites avant l’âge de 10 ans.
  • Début non spécifié :Les critères pour le diagnostic de trouble des conduites sont remplis, mais les informations sont insuffisantes pour déterminer si le premier symptôme est apparu avant ou après l’âge de 10 ans.
487
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: émotions associées

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécication, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
488
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: Avec des émotions prosociales limitées

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reflètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécification, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
489
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: Absence de remords ou de culpabilité

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécication, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
490
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: Dureté (insensibilité) – manque d’empathie

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécication, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
491
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: Insouciance de la performance

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécication, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
492
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifications: Superficialité ou déficience des affects:

A

Spécifier si :

  • Avec des émotions prosociales limitées : Pour recevoir cette spécification, une personne doit avoir présenté au moins deux des critères suivants de façon continue au cours au moins des 12 derniers mois et dans des situations relationnelles et des contextes divers. Ces critères reètent le mode de fonctionnement interpersonnel et émotionnel typique du sujet durant cette période et pas seulement des occurrences occasionnelles dans certaines situations. Ainsi, pour évaluer le critère de la spécication, diverses sources d’information sont requises. En plus de la narration individuelle, il est nécessaire de tenir compte des récits de ceux qui ont connu la personne durant de longues périodes de temps (p. ex. parents, enseignants, collègues, entourage familial, pairs).
  • Absence de remords ou de culpabilité: Ne se sent ni mauvais ni coupable en faisant quelque chose de mal (exclure les remords exprimés seulement quand le sujet est arrêté et/ou confronté à une punition). L’individu montre un manque général de préoccupation par les conséquences négatives de ses actes. Par exemple, il n’a pas de remords après avoir blessé quelqu’un ou il ne se soucie pas des conséquences des transgressions des règles.
  • Dureté (insensibilité) – manque d’empathie: Ne tient pas compte ou ne se sent pas concerné par les sentiments d’autrui. Le sujet est décrit comme froid ou insouciant. Il paraît plus concerné par les effets de ses actions sur lui-même que sur les autres, même s’ils entraînent un dommage important à autrui.
  • Insouciance de la performance: Ne se sent pas concerné par ses performances faibles/problématiques à l’école, au travail, ou dans d’autres activités importantes. La personne ne met pas en œuvre l’effort nécessaire pour une bonne performance, même quand les attentes sont claires, et rend typiquement les autres responsables de ses mauvais résultats.
  • Superficialité ou déficience des affects: N’exprime pas de sentiments ou ne montre pas d’émotions à autrui, sauf de façon superficielle et peu sincère (p. ex. les actions contredisent l’émotion montrée ; capacité d’activer ou désactiver les émotions rapidement) ou quand les émotions sont utilisées pour un intérêt (p. ex. émotions montrées pour manipuler ou intimider les autres).
493
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifier: sévérité actuelle

A

Spécifier la sévérité actuelle :

  • Léger :Il n’existe que peu ou pas de problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; de plus, les problèmes de conduite n’occasionnent que peu de mal à autrui (p. ex. mensonge, absentéisme, reste dehors tard la nuit sans permission, non-respect d’autres règles).
  • Moyen :Le nombre de problèmes de conduites, ainsi que leurs effets sur autrui, sont intermédiaires entre « léger » et « grave » (p. ex. voler sans affronter la victime, vandalisme).
  • Grave :Il existe de nombreux problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; ou bien, les problèmes de conduites occasionnent un dommage considérable à autrui (p. ex. contraindre quelqu’un à avoir des relations sexuelles, cruauté physique, usage d’une arme, voler en affrontant la victime, pénétrer par effraction).
494
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifier: sévérité actuelle - LÉGER

A

Spécifier la sévérité actuelle :

  • Léger :Il n’existe que peu ou pas de problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; de plus, les problèmes de conduite n’occasionnent que peu de mal à autrui (p. ex. mensonge, absentéisme, reste dehors tard la nuit sans permission, non-respect d’autres règles).
  • Moyen :Le nombre de problèmes de conduites, ainsi que leurs effets sur autrui, sont intermédiaires entre « léger » et « grave » (p. ex. voler sans affronter la victime, vandalisme).
  • Grave :Il existe de nombreux problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; ou bien, les problèmes de conduites occasionnent un dommage considérable à autrui (p. ex. contraindre quelqu’un à avoir des relations sexuelles, cruauté physique, usage d’une arme, voler en affrontant la victime, pénétrer par effraction).
495
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifier: sévérité actuelle - MOYEN

A

Spécifier la sévérité actuelle :

  • Léger :Il n’existe que peu ou pas de problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; de plus, les problèmes de conduite n’occasionnent que peu de mal à autrui (p. ex. mensonge, absentéisme, reste dehors tard la nuit sans permission, non-respect d’autres règles).
  • Moyen :Le nombre de problèmes de conduites, ainsi que leurs effets sur autrui, sont intermédiaires entre « léger » et « grave » (p. ex. voler sans affronter la victime, vandalisme).
  • Grave :Il existe de nombreux problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; ou bien, les problèmes de conduites occasionnent un dommage considérable à autrui (p. ex. contraindre quelqu’un à avoir des relations sexuelles, cruauté physique, usage d’une arme, voler en affrontant la victime, pénétrer par effraction).
496
Q

Critères diagnostiques du trouble des conduites
- spécifier: sévérité actuelle - GRAVE

A

Spécifier la sévérité actuelle :

  • Léger :Il n’existe que peu ou pas de problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; de plus, les problèmes de conduite n’occasionnent que peu de mal à autrui (p. ex. mensonge, absentéisme, reste dehors tard la nuit sans permission, non-respect d’autres règles).
  • Moyen :Le nombre de problèmes de conduites, ainsi que leurs effets sur autrui, sont intermédiaires entre « léger » et « grave » (p. ex. voler sans affronter la victime, vandalisme).
  • Grave :Il existe de nombreux problèmes de conduite dépassant en nombre ceux requis pour le diagnostic ; ou bien, les problèmes de conduites occasionnent un dommage considérable à autrui (p. ex. contraindre quelqu’un à avoir des relations sexuelles, cruauté physique, usage d’une arme, voler en affrontant la victime, pénétrer par effraction).
497
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- nommez les options

A
  1. Interventions psychosociales
  2. Traitements biologiques
498
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
499
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: méthode la plus efficace

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
500
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: méthodes parentales utiles

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
501
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: méthodes parentales utiles

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
502
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: thérapies possibles

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
503
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: thérapie FAMILIALE

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
504
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement
- interventions psychosociales: thérapie INDIVIDUELLE

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC.

Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant.

D’autres méthodes sont disponibles :

  • Entraînement à la résolution de problèmes
  • Thérapie multi-systémique
  • Gestion de la colère
  • Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
  • La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.
505
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
506
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- leur utilité

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
507
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- dose

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention.

On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
508
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- suivi

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
509
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- quelles molécules?

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
510
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- molécules si TDAH comorbide

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
511
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- antipsychotiques: lequel? pourquoi?

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
512
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- molécules si agressivité et impulsivité

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
513
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Traitement BIOLOGIQUE
- molécules si sx anxieux ou dépressifs

A

Traitements biologiques : les psychotropes doivent être utilisés avec des psychothérapies pour le traitement des TC et des TOP.

La pharmacothérapie est utile, mais non efficace si employée sans autre intervention. On recommande une faible dose et d’augmenter graduellement.

  • Au suivi, évaluer l’adhésion, les effets secondaires et la consommation de substances.
  • Il n’y a pas de médicaments reconnus, il faut y aller en fonction des symptômes.
    - Les psychostimulants sont indiqués si le TDAH est comorbide.
    - Les antipsychotiques sont souvent les plus prescrits pour le TC et TOP, et il recommande ceux de 2e génération.
    - Le lithium peut être utilisé pour le traitement de l’agressivité et l’impulsivité associées au TC.
    - Les ISRS pour les jeunes avec symptômes dépressifs ou anxieux
514
Q

Tr oppositionnel et tr des conduites: Mise à jour DSM-5 (critères dx)

A
  • Le trouble d’opposition est maintenant classé dans la catégorie des Troubles de conduites, du contrôle des impulsions.
  • Encore une fois, l’essence des critères est similaire…
  • On y spécifie maintenant que :
    • Dans le critère A, les comportements doivent se produire lors d’interactions avec au moins une personne qui n’est pas de la famille.
    • Également, les huit symptômes décrit (4 ou plus sont nécessaire pour le diagnostic) ont été classés en trois catégories, soient l’humeur colérique ou irritable, les comportements défiant et l’attitude vindicative.
    • Dans le critère B, on ajoute qu’une détresse associée aux comportements chez l’individu ou une personne de son entourage immédiat peut permettre de répondre à ce critère en plus de la perturbation du fonctionnement.
515
Q

Concernant les troubles dépressifs chez l’enfant et l’adolescent, quel énoncé est faux parmi les suivants :

  • a) Le diagnostic de trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur est une nouvelle entité diagnostique
  • b) L’opposition peut être une manifestation de dépression chez l’adolescent
  • c) Chez les adolescents, on observe une prévalence accrue de dépression chez les filles
  • d) Chez les enfants en dépression, des tentatives de suicides surviennent moins fréquemment que chez l’adulte
  • e) Le risque de suicide chez l’adolescent déprimé est diminué à l’introduction d’un anti- dépresseur
A

Concernant les troubles dépressifs chez l’enfant et l’adolescent, quel énoncé est faux parmi les suivants :

  • a) Le diagnostic de trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur est une nouvelle entité diagnostique
  • b) L’opposition peut être une manifestation de dépression chez l’adolescent
  • c) Chez les adolescents, on observe une prévalence accrue de dépression chez les filles
  • d) Chez les enfants en dépression, des tentatives de suicides surviennent moins fréquemment que chez l’adulte
  • e) Le risque de suicide chez l’adolescent déprimé est diminué à l’introduction d’un anti- dépresseur
516
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
517
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio
- Prévalence

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
518
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio
- Prévalence: ados

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
519
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio
- Ado: H vs F

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
520
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio
- Prévalence: chez les enfants

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
521
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Épidémio
- Enfants: H vs F

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
522
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Présentation clinique

A
  • Généralement, un état dépressif apparaît graduellement sur une période de quelques semaines à quelques mois.
  • Le patient se sent fatigué, la concentration est diminuée et l’indécision s’installe ce qui rend les choix soudainement compliqués.
  • Les patients découvrent que ce qui leur procurait habituellement plaisir le laisse sans joie, c’est ce que l’on nomme anhédonie.
  • Conséquemment, l’intérêt pour les activités s’amenuise, le désir d’agir aussi, une tristesse diffuse et presque constante s’installe.
  • Chez les enfants et les adolescents, la dépression ressemble à celle chez les adultes.
  • Certains manifestent, au lieu de la tristesse, une humeur irritable et labile, de l’intolérance à la frustration, des colères, des plaintes, un retrait social ou une régression des comportements.
523
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Présentation clinique
- sx prodromaux

A
  • Généralement, un état dépressif apparaît graduellement sur une période de quelques semaines à quelques mois.
  • Le patient se sent fatigué, la concentration est diminuée et l’indécision s’installe ce qui rend les choix soudainement compliqués.
  • Les patients découvrent que ce qui leur procurait habituellement plaisir le laisse sans joie, c’est ce que l’on nomme anhédonie.
  • Conséquemment, l’intérêt pour les activités s’amenuise, le désir d’agir aussi, une tristesse diffuse et presque constante s’installe.
  • Chez les enfants et les adolescents, la dépression ressemble à celle chez les adultes.
  • Certains manifestent, au lieu de la tristesse, une humeur irritable et labile, de l’intolérance à la frustration, des colères, des plaintes, un retrait social ou une régression des comportements.
524
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Présentation clinique
- symptômes

A
  • Généralement, un état dépressif apparaît graduellement sur une période de quelques semaines à quelques mois.
  • Le patient se sent fatigué, la concentration est diminuée et l’indécision s’installe ce qui rend les choix soudainement compliqués.
  • Les patients découvrent que ce qui leur procurait habituellement plaisir le laisse sans joie, c’est ce que l’on nomme anhédonie.
  • Conséquemment, l’intérêt pour les activités s’amenuise, le désir d’agir aussi, une tristesse diffuse et presque constante s’installe.
  • Chez les enfants et les adolescents, la dépression ressemble à celle chez les adultes.
  • Certains manifestent, au lieu de la tristesse, une humeur irritable et labile, de l’intolérance à la frustration, des colères, des plaintes, un retrait social ou une régression des comportements.
525
Q

Tr dépressifs enfants et ados: Présentation clinique
- VS adultes

A
  • Généralement, un état dépressif apparaît graduellement sur une période de quelques semaines à quelques mois.
  • Le patient se sent fatigué, la concentration est diminuée et l’indécision s’installe ce qui rend les choix soudainement compliqués.
  • Les patients découvrent que ce qui leur procurait habituellement plaisir le laisse sans joie, c’est ce que l’on nomme anhédonie.
  • Conséquemment, l’intérêt pour les activités s’amenuise, le désir d’agir aussi, une tristesse diffuse et presque constante s’installe.
  • Chez les enfants et les adolescents, la dépression ressemble à celle chez les adultes.
  • Certains manifestent, au lieu de la tristesse, une humeur irritable et labile, de l’intolérance à la frustration, des colères, des plaintes, un retrait social ou une régression des comportements.
526
Q

Manifestations de la dépression chez l’enfant et l’adolescent

A
527
Q

Manifestations de la dépression chez l’ENFANT

A
  • Comportements externalisés (p. ex., opposition, crises de colère, agitation psychomotrice)
  • Irritabilité
  • Tristesse
  • Isolement
  • Anhédonie
  • Régression des comportements
  • Plaintes somatiques
  • Symptômes psychotiques, tentatives de suicide et tableaux mélancoliques moins fréquents que chez l’adulte
528
Q

Manifestations de la dépression chez l’enfant et l’adolescent

A
  • Opposition, voire comportements antisociaux
  • Abus d’alcool ou de drogues
  • Irritabilité
  • Tristesse
  • Isolement
  • Anhédonie
  • Hygiène personnelle réduite
  • Désespoir
  • Ralentissement psychomoteur ou nervosité et agitation
  • Tentative suicidaire
529
Q

Tr disruptif avec dysrégulation de l’humeur

A

Trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur : particulier à la clientèle pédopsychiatrique, les manifestations cliniques majeures incluent des crises de colère fréquentes déclenchées par toute frustration et une humeur chroniquement irritable ou colérique entre les crises de colère.

  • Permet de bien distinguer le trouble de la bipolarité de celui de la dépression chez l’enfant
530
Q

Tr disruptif avec dysrégulation de l’humeur: Manifestations cliniques

A

Trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur : particulier à la clientèle pédopsychiatrique, les manifestations cliniques majeures incluent des crises de colère fréquentes déclenchées par toute frustration et une humeur chroniquement irritable ou colérique entre les crises de colère.

  • Permet de bien distinguer le trouble de la bipolarité de celui de la dépression chez l’enfant
531
Q

Tr disruptif avec dysrégulation de l’humeur chez l’enfant / ado vs BIPOLARITÉ

A

Trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur : particulier à la clientèle pédopsychiatrique, les manifestations cliniques majeures incluent des crises de colère fréquentes déclenchées par toute frustration et une humeur chroniquement irritable ou colérique entre les crises de colère.

  • Permet de bien distinguer le trouble de la bipolarité de celui de la dépression chez l’enfant
532
Q

Risque suicidaire ado et enfant

A
  • Risque suicidaire : environ 60% des jeunes ayant une dépression majeure ont des idées suicidaires et 30% feront une tentative.
  • Ceci s’observe dans un ratio 2.5 H : 1 F.
  • L’abus de substances est également fréquent.
533
Q

Risque suicidaire ado et enfant
- fréquence

A
  • Risque suicidaire : environ 60% des jeunes ayant une dépression majeure ont des idées suicidaires et 30% feront une tentative.
  • Ceci s’observe dans un ratio 2.5 H : 1 F.
  • L’abus de substances est également fréquent.
534
Q

Risque suicidaire ado et enfant
- H vs F

A
  • Risque suicidaire : environ 60% des jeunes ayant une dépression majeure ont des idées suicidaires et 30% feront une tentative.
  • Ceci s’observe dans un ratio 2.5 H : 1 F.
  • L’abus de substances est également fréquent.
535
Q

Abus de substances ado et enfant

A
  • Risque suicidaire : environ 60% des jeunes ayant une dépression majeure ont des idées suicidaires et 30% feront une tentative.
  • Ceci s’observe dans un ratio 2.5 H : 1 F.
  • L’abus de substances est également fréquent.
536
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- nommez les options possibles

A
  1. Antidépresseur
  2. Psychothérapie
537
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Antidépresseurs

A
  • Antidépresseurs : semble efficace, mais moins que chez l’adulte.
  • On retient toutefois que les bénéfices attendus sont moindres et les risques plus grands que chez l’adulte ; le bilan demeure positif, mais il convient de choisir judicieusement les médicaments et d’avoir un suivi serré avec cette clientèle.
  • Fluoxétine est la seule molécule présentement approuvée, en dosage faible et progressif.
538
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Antidépresseurs: efficacité

A
  • Antidépresseurs : semble efficace, mais moins que chez l’adulte.
  • On retient toutefois que les bénéfices attendus sont moindres et les risques plus grands que chez l’adulte ; le bilan demeure positif, mais il convient de choisir judicieusement les médicaments et d’avoir un suivi serré avec cette clientèle.
  • Fluoxétine est la seule molécule présentement approuvée, en dosage faible et progressif.
539
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Antidépresseurs: risques vs bénéfices

A
  • Antidépresseurs : semble efficace, mais moins que chez l’adulte.
  • On retient toutefois que les bénéfices attendus sont moindres et les risques plus grands que chez l’adulte ; le bilan demeure positif, mais il convient de choisir judicieusement les médicaments et d’avoir un suivi serré avec cette clientèle.
  • Fluoxétine est la seule molécule présentement approuvée, en dosage faible et progressif.
540
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Antidépresseurs: molécules approuvées

A
  • Antidépresseurs : semble efficace, mais moins que chez l’adulte.
  • On retient toutefois que les bénéfices attendus sont moindres et les risques plus grands que chez l’adulte ; le bilan demeure positif, mais il convient de choisir judicieusement les médicaments et d’avoir un suivi serré avec cette clientèle.
  • Fluoxétine est la seule molécule présentement approuvée, en dosage faible et progressif.
541
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Antidépresseurs: comment prescrire la fluoxétine?

A
  • Antidépresseurs : semble efficace, mais moins que chez l’adulte.
  • On retient toutefois que les bénéfices attendus sont moindres et les risques plus grands que chez l’adulte ; le bilan demeure positif, mais il convient de choisir judicieusement les médicaments et d’avoir un suivi serré avec cette clientèle.
  • Fluoxétine est la seule molécule présentement approuvée, en dosage faible et progressif.
542
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Psychothérapie

A
  • Psychothérapie : les bénéfices de la psychothérapie sont réels et divers modèles thérapeutiques sont disponibles, mais l’efficacité reste modeste.
  • La thérapie individuelle est souvent offerte au jeune
  • Offrir au parent une psychoéducation au sujet du diagnostic et du traitement, cibler les tensions familiales et offrir des conseils éducatifs.
  • Chez l’enfant, si l’épisode dépressif s’accompagne de perte de poids et d’appétit qui peut compromettre le développement de l’enfant, il est conseiller d’user de la psycho et la pharmacothérapie.
543
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Psychothérapie: efficacité

A
  • Psychothérapie : les bénéfices de la psychothérapie sont réels et divers modèles thérapeutiques sont disponibles, mais l’efficacité reste modeste.
  • La thérapie individuelle est souvent offerte au jeune
  • Offrir au parent une psychoéducation au sujet du diagnostic et du traitement, cibler les tensions familiales et offrir des conseils éducatifs.
  • Chez l’enfant, si l’épisode dépressif s’accompagne de perte de poids et d’appétit qui peut compromettre le développement de l’enfant, il est conseiller d’user de la psycho et la pharmacothérapie.
544
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Psychothérapie: individuelle

A
  • Psychothérapie : les bénéfices de la psychothérapie sont réels et divers modèles thérapeutiques sont disponibles, mais l’efficacité reste modeste.
  • La thérapie individuelle est souvent offerte au jeune
  • Offrir au parent une psychoéducation au sujet du diagnostic et du traitement, cibler les tensions familiales et offrir des conseils éducatifs.
  • Chez l’enfant, si l’épisode dépressif s’accompagne de perte de poids et d’appétit qui peut compromettre le développement de l’enfant, il est conseiller d’user de la psycho et la pharmacothérapie.
545
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Psychothérapie: pour les parents

A
  • Psychothérapie : les bénéfices de la psychothérapie sont réels et divers modèles thérapeutiques sont disponibles, mais l’efficacité reste modeste.
  • La thérapie individuelle est souvent offerte au jeune
  • Offrir au parent une psychoéducation au sujet du diagnostic et du traitement, cibler les tensions familiales et offrir des conseils éducatifs.
  • Chez l’enfant, si l’épisode dépressif s’accompagne de perte de poids et d’appétit qui peut compromettre le développement de l’enfant, il est conseiller d’user de la psycho et la pharmacothérapie.
546
Q

Dépression enfant et ado: Traitements
- Dans quel cas est-il conseillé d’utiliser la psycho ET la pharmacothérapie

A
  • Psychothérapie : les bénéfices de la psychothérapie sont réels et divers modèles thérapeutiques sont disponibles, mais l’efficacité reste modeste.
  • La thérapie individuelle est souvent offerte au jeune
  • Offrir au parent une psychoéducation au sujet du diagnostic et du traitement, cibler les tensions familiales et offrir des conseils éducatifs.
  • Chez l’enfant, si l’épisode dépressif s’accompagne de perte de poids et d’appétit qui peut compromettre le développement de l’enfant, il est conseiller d’user de la psycho et la pharmacothérapie.
547
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents

A

Au Québec, le suicide est l’une des principales causes de mortalité (1/3) des décès chez les enfants et les adolescents.

  • Deuxième cause chez les 15 à 19 ans
  • Troisième cause chez les 10 à 14 ans
  • Le ratio moyen est de 2,5 garçons pour 1 fille
548
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents
- cause fréquente de mortalité?

A

Au Québec, le suicide est l’une des principales causes de mortalité (1/3) des décès chez les enfants et les adolescents.

  • Deuxième cause chez les 15 à 19 ans
  • Troisième cause chez les 10 à 14 ans
  • Le ratio moyen est de 2,5 garçons pour 1 fille
549
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents
- H vs F

A

Au Québec, le suicide est l’une des principales causes de mortalité (1/3) des décès chez les enfants et les adolescents.

  • Deuxième cause chez les 15 à 19 ans
  • Troisième cause chez les 10 à 14 ans
  • Le ratio moyen est de 2,5 garçons pour 1 fille
550
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
551
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?
- centres jeunesse

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
552
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?
- services psychiatriques reçus

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
553
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?
- pathos psy associées

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
554
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?
- comorbidités

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
555
Q

Données du suicide pour les enfants et adolescents: Qui sont ces jeunes?
- lien avec orientation sexuelle

A

Différentes études menées au cours des dernières années ont fourni plusieurs résultats intéressants :

  • Le tiers des jeunes qui se sont suicidés ont reçu des services de centres jeunesse (moins de 18 ans)
  • Une faible proportion de ces jeunes (12%) avaient reçu des services psychiatriques dans l’année qui précède leur décès.
  • Une majorité (90%) présente un trouble mental au moment de leur décès
  • 60% des jeunes avaient de comorbidités tels que des ATCD familiaux.
  • La relation entre l’orientation sexuelle et les comportements suicidaires est bien établie
556
Q

Lien entre antidépresseurs et risque suicidaire

A

Enjeux en regard des traitements : l’augmentation de l’impulsivité est reliée à une baisse de la 5HT et les antidépresseurs mettent quelques semaines à fonctionner.

Considérant ce fait :
- Les premières semaines de début de traitement sont les plus à risque
- Un suivi plus serré est nécessaire
- Des études épigénétiques sont nécessaires pour comprendre pourquoi paradoxalement certains jeunes traités avec des antidépresseurs démontrent plus d’impulsivité.

557
Q

Lien entre antidépresseurs et risque suicidaire
- mécanisme d’action

A

Enjeux en regard des traitements : l’augmentation de l’impulsivité est reliée à une baisse de la 5HT et les antidépresseurs mettent quelques semaines à fonctionner.

Considérant ce fait :
- Les premières semaines de début de traitement sont les plus à risque
- Un suivi plus serré est nécessaire
- Des études épigénétiques sont nécessaires pour comprendre pourquoi paradoxalement certains jeunes traités avec des antidépresseurs démontrent plus d’impulsivité.

558
Q

Lien entre antidépresseurs et risque suicidaire
- ce qu’il faut faire pour diminuer ce risque

A

Enjeux en regard des traitements : l’augmentation de l’impulsivité est reliée à une baisse de la 5HT et les antidépresseurs mettent quelques semaines à fonctionner.

Considérant ce fait :
- Les premières semaines de début de traitement sont les plus à risque
- Un suivi plus serré est nécessaire
- Des études épigénétiques sont nécessaires pour comprendre pourquoi paradoxalement certains jeunes traités avec des antidépresseurs démontrent plus d’impulsivité.

559
Q

Lien entre antidépresseurs et risque suicidaire
- lien avce impulsivité

A

Enjeux en regard des traitements : l’augmentation de l’impulsivité est reliée à une baisse de la 5HT et les antidépresseurs mettent quelques semaines à fonctionner.

Considérant ce fait :
- Les premières semaines de début de traitement sont les plus à risque
- Un suivi plus serré est nécessaire
- Des études épigénétiques sont nécessaires pour comprendre pourquoi paradoxalement certains jeunes traités avec des antidépresseurs démontrent plus d’impulsivité.

560
Q

Anxiété de séparation: Âge où elle est le plus prévalente?

A

L’anxiété de séparation est un des troubles les plus fréquents chez l’enfant.

À quel âge l’observe-t-on à son zénith ?

  • 7-9 ans
561
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Épidémio

A
  • 3 – 5 %
  • pic à 7 – 9 ans
562
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Épidémio
- prévalence

A
  • 3 – 5 %
  • pic à 7 – 9 ans
563
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Épidémio
- pic d’âge

A
  • 3 – 5 %
  • pic à 7 – 9 ans
564
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Clinique

A
  • Dure au moins 4 semaines
  • Il est souvent inquiet pour ses parents
  • Le sommeil peut être perturbé
565
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Clinique
- durée

A
  • Dure au moins 4 semaines
  • Il est souvent inquiet pour ses parents
  • Le sommeil peut être perturbé
566
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Clinique
- inquiet pour qui?

A
  • Dure au moins 4 semaines
  • Il est souvent inquiet pour ses parents
  • Le sommeil peut être perturbé
567
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Clinique
- impact sur quotidien

A
  • Dure au moins 4 semaines
  • Il est souvent inquiet pour ses parents
  • Le sommeil peut être perturbé
568
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): DDX

A
  • TAG
  • Phobie spécifique
  • Phobie sociale
  • TDA/H
569
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Traitement

A
  • TCC familiale et individuelle avec exposition aux situations anxiogènes
  • Si anxiété aiguë → ISRS
570
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Traitement
- Psychothérapie

A
  • TCC familiale et individuelle avec exposition aux situations anxiogènes
  • Si anxiété aiguë → ISRS
571
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Traitement
- quel médicament?

A
  • TCC familiale et individuelle avec exposition aux situations anxiogènes
  • Si anxiété aiguë → ISRS
572
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Traitement
- indication ISRS

A
  • TCC familiale et individuelle avec exposition aux situations anxiogènes
  • Si anxiété aiguë → ISRS
573
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Évolution

A
  • Facteur de risque pour dépression et les autres troubles anxieux.
  • Si traité, ø d’étude qui montre un impact sur le développement d’une autre psychopathologie
574
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Évolution
- est un FDR pour quoi?

A
  • Facteur de risque pour dépression et les autres troubles anxieux.
  • Si traité, ø d’étude qui montre un impact sur le développement d’une autre psychopathologie
575
Q

Anxiété de sépration (pédiatrie): Évolution
- peut avoir un impact sur quoi si non traité?

A
  • Facteur de risque pour dépression et les autres troubles anxieux.
  • Si traité, ø d’étude qui montre un impact sur le développement d’une autre psychopathologie
576
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
577
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- prévalence

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
578
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- prévalence: enfants

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
579
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- prévalence: ados

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
580
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- H vs F

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
581
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- âge d’apparition

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
582
Q

TAG (pédiatrie): Épidémio
- âge d’apparition: H vs F

A
  • 1.4 % chez les enfants
  • 2.3 – 4.6 % chez les ados
  • 2-3 F : 1 H
  • Âge médian d’apparition : F=17 H=19
583
Q

TAG (pédiatrie): Clinique

A
  • Mêmes critères que chez les adultes, sauf qu’un seul item de l’élément C est requis chez les enfants.
584
Q

TAG (pédiatrie): Clinique

A
  • Mêmes critères que chez les adultes, sauf qu’un seul item de l’élément C est requis chez les enfants.
585
Q

TAG (pédiatrie): Clinique
- critères nécessaires

A
  • Mêmes critères que chez les adultes, sauf qu’un seul item de l’élément C est requis chez les enfants.
586
Q

TAG (pédiatrie): DDX

A
  • Troubles anxieux et dépression
  • À distinguer des troubles causés par des substances
587
Q

TAG (pédiatrie): Thérapie

A
  • TCC
  • ISRS
588
Q

TAG (pédiatrie): Thérapie
- thérapie

A
  • TCC
  • ISRS
589
Q

TAG (pédiatrie): Thérapie
- médicament

A
  • TCC
  • ISRS
590
Q

TAG (pédiatrie): Évolution

A
  • Associée à un risque accru de psychopathologie et à une certaine chronicité
591
Q

TAG (pédiatrie): Évolution
- pronostic

A
  • Associée à un risque accru de psychopathologie et à une certaine chronicité
592
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Épidémio
- prévalence

A
  • 0.5 % chez enfant
  • 2 – 4 % ado
593
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Épidémio
- prévalence: enfants

A
  • 0.5 % chez enfant
  • 2 – 4 % ado
594
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Épidémio
- prévalence: ados

A
  • 0.5 % chez enfant
  • 2 – 4 % ado
595
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Clinique

A
  • Même symptômes qu’adulte, quoique les signes peuvent être différents : pleurs, accès de colère, freezing, mise en retrait ou mutisme sélectif (forme sévère de phobie sociale)
596
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Clinique
- symptômes

A
  • Même symptômes qu’adulte, quoique les signes peuvent être différents : pleurs, accès de colère, freezing, mise en retrait ou mutisme sélectif (forme sévère de phobie sociale)
597
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Clinique
- symptômes: forme sévère de phobie sociale

A
  • Même symptômes qu’adulte, quoique les signes peuvent être différents : pleurs, accès de colère, freezing, mise en retrait ou mutisme sélectif (forme sévère de phobie sociale)
598
Q

Phobie sociale (pédiatrie): DDX

A
  • Autres troubles anxieux, particulièrement le trouble panique
  • TSA
599
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
600
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement
- tx principal

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
601
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement
- thérapie

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
602
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement
- médication

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
603
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement
- indication ISRS

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
604
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Traitement
- tx principal

A
  • TCC et thérapie familiale +++
  • ISRS si haute atteinte fonctionnelle
605
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Évolution

A
  • La réponse au traitement est excellente
  • S’il n’est pas traité, cela mène vers des troubles anxieux et la dépression, et le pronostic est plus sombre.
606
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Évolution
- Réponse au traitement

A
  • La réponse au traitement est excellente
  • S’il n’est pas traité, cela mène vers des troubles anxieux et la dépression, et le pronostic est plus sombre.
607
Q

Phobie sociale (pédiatrie): Évolution
- Pronostic

A
  • La réponse au traitement est excellente
  • S’il n’est pas traité, cela mène vers des troubles anxieux et la dépression, et le pronostic est plus sombre.
608
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
609
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- c’est quoi?

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
610
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- dans quelles situations?

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
611
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- impacts

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
612
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- durée

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
613
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- durée: sauf quoi?

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
614
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- quoi exclure?

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
615
Q

Critères diagnostiques du mutisme sélectif
- la pertubration n’est pas mieux exliquée par quoi?

A
  • A. Incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l’enfant est supposé parler (p. ex. à l’école) alors que l’enfant parle dans d’autres situations.
  • B. Le trouble interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale.
  • C. Durée d’au moins 1 mois (pas seulement le premier mois d’école).
  • D. L’incapacité à parler n’est pas imputable à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste.
  • E. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de la communication (p. ex. trouble de la fluence verbale) et elle ne survient pas exclusivement au cours :
    • d’un trouble du spectre de l’autisme,
    • d’une schizophrénie,
    • d’un autre trouble psychotique.
616
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difculté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement signicatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
617
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- c’est quoi?

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
618
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- durée

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
619
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- contrôle

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
620
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- symptômes

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
621
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- particularité chez l’enfant

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
622
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- impact

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
623
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- exclure quoi?

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
624
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété généralisée
- perturbation pas mieux expliquée par quoi?

A
  • A. Anxiété et soucis excessifs (attente avec appréhension) survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’événements ou d’activités (telles que le travail ou les performances scolaires).
  • B. La personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
  • C. L’anxiété et les soucis sont associés à trois (ou plus) des six symptômes suivants (dont au moins certains symptômes ont été présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois) :
    • N.B.:Un seul item est requis chez l’enfant.
      1. Agitation ou sensation d’être survolté ou à bout;
      1. Fatigabilité ;
      1. Difficultés de concentration ou trous de mémoire ;
      1. Irritabilité ;
      1. Tension musculaire ;
      1. Perturbation du sommeil (difficultés d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant).
  • D. L’anxiété, les soucis ou les symptômes physiques entraînent une détresse ou une altération, cliniquement significatives du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • F. La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental (p. ex. :
    • anxiété ou souci d’avoir une attaque de panique dans le trouble panique ;
    • évaluation négative dans l’anxiété sociale [phobie sociale] ;
    • contamination ou autres obsessions dans le trouble obsessionnel- compulsif ;
    • séparation des figures d’attachement dans l’anxiété de séparation ;
    • souvenirs d’événements traumatiques dans le trouble stress post- traumatique ;
    • prise de poids dans l’anorexie mentale ;
    • plaintes somatiques dans le trouble à symptomatologie somatique ;
    • défauts d’apparence perçus dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle ;
    • avoir une maladie grave dans la crainte excessive d’avoir une maladie ;
    • ou teneur de croyances délirantes dans la schizophrénie ou le trouble délirant).
625
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
626
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- c’est quoi?

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
627
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- anxiété envers quelle personne?

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
628
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- symptômes nécessaires

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
629
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- durée des sx

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
630
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- impact

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
631
Q

Critères diagnostiques de l’anxiété de séparation
- n’est pas mieux expliquée par quoi?

A
  • A. Peur ou anxiété excessives et inappropriées au stade du développement concernant la séparation d’avec les personnes auxquelles le sujet est attaché, comme en témoigne la présence d’au moins trois des manifestations suivantes :
      1. Détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation d’avec la maison ou les principales figures d’attachement ou en anticipation de telles situations.
      1. Soucis excessifs et persistants concernant la disparition des principales figures d’attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’une maladie, un accident, une catastrophe ou la mort.
      1. Soucis excessifs et persistants qu’un événement malheureux (p. ex., se retrouver perdu, être kidnappé, avoir un accident, tomber malade) ne vienne séparer le sujet de ses principales figures d’attachement.
      1. Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pour aller à l’école, travailler, ou ailleurs, en raison de la peur de la séparation.
      1. Appréhension ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’une des principales figures d’attachement à la maison, ou bien dans d’autres environnements.
      1. Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’une des principales figures d’attachement.
      1. Cauchemars répétés à thèmes de séparation.
      1. Plaintes somatiques répétées (p. ex., céphalées, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations d’avec les principales figures d’attachement, ou en anticipation de telles situations.
  • B. La peur, l’anxiété ou l’évitement persistent pendant au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents et typiquement pendant 6 mois ou plus chez les adultes.
  • C. Le trouble entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel, ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel que :
    • le refus de quitter la maison du fait d’une résistance excessive au changement dans un trouble du spectre de l’autisme ;
    • les idées délirantes ou les hallucinations concernant la séparation dans les troubles psychotiques ;
    • le refus de sortir sans une personne de confiance dans l’agoraphobie ;
    • les soucis à propos de problèmes de santé ou autres malheurs pouvant arriver à des personnes proches dans l’anxiété généralisée ;
    • les préoccupations d’avoir une maladie dans la crainte excessive d’avoir une maladie.
632
Q

Anxiété de séparation: Mise à jour DSM-5

A
  • Les symptômes de l’anxiété de séparation n’ont aucunement changés.
  • Cependant, le trouble est maintenant classé dans la section des troubles anxieux.
  • D’ailleurs, le critère d’âge de début à disparu, ainsi que le spécificateur de début avant 6 ans.
  • On y a également ajouté une durée minimale de 6 mois au moins pour le diagnostiquer chez l’adulte (contrairement de 4 semaines chez l’enfant).
633
Q

Anxiété de séparation: Mise à jour DSM-5
- ce qui est pareil

A
  • Les symptômes de l’anxiété de séparation n’ont aucunement changés.
  • Cependant, le trouble est maintenant classé dans la section des troubles anxieux.
  • D’ailleurs, le critère d’âge de début à disparu, ainsi que le spécificateur de début avant 6 ans.
  • On y a également ajouté une durée minimale de 6 mois au moins pour le diagnostiquer chez l’adulte (contrairement de 4 semaines chez l’enfant).
634
Q

Anxiété de séparation: Mise à jour DSM-5
- ce qui a changé

A
  • Les symptômes de l’anxiété de séparation n’ont aucunement changés.
  • Cependant, le trouble est maintenant classé dans la section des troubles anxieux.
  • D’ailleurs, le critère d’âge de début à disparu, ainsi que le spécificateur de début avant 6 ans.
  • On y a également ajouté une durée minimale de 6 mois au moins pour le diagnostiquer chez l’adulte (contrairement de 4 semaines chez l’enfant).
635
Q

TCA: Âge d’apparition

A
  • NB : L’âge d’apparition des troubles des conduites alimentaires se situe pour la majorité des cas entre 14 et 20 ans.
  • Il s’agit donc d’un groupe de pathologies abordées et traitées tant en pédopsychiatrie qu’en psychiatrie adulte
636
Q

TCA: Juste abordé en pédopsy?

A
  • NB : L’âge d’apparition des troubles des conduites alimentaires se situe pour la majorité des cas entre 14 et 20 ans.
  • Il s’agit donc d’un groupe de pathologies abordées et traitées tant en pédopsychiatrie qu’en psychiatrie adulte
637
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
638
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio: prévalence

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
639
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio: âge où incidence est la plus élevée

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
640
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio: H vs F

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
641
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio: H vs F - ADOS ET ADULTES

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
642
Q

TCA: Anorexie
- Épidémio: H vs F - MOINS DE 12 ANS

A
  • 1.1 – 2.2 % à vie
  • Incidence la plus élevée chez les ado de 15 – 19 ans
  • 10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
  • 7 F : 1 H (< 12 ans)
643
Q

TCA: Boulimie
- Épidémio

A
  • 1 – 2 % à vie
  • Pic d’incidence à 16 – 20 ans
  • F > H
644
Q

TCA: Boulimie
- Épidémio: Prévalence

A
  • 1 – 2 % à vie
  • Pic d’incidence à 16 – 20 ans
  • F > H
645
Q

TCA: Boulimie
- Épidémio: Pic d’incidence (âge)

A
  • 1 – 2 % à vie
  • Pic d’incidence à 16 – 20 ans
  • F > H
646
Q

TCA: Boulimie
- Épidémio: H vs F

A
  • 1 – 2 % à vie
  • Pic d’incidence à 16 – 20 ans
  • F > H
647
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
648
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: nommez-les

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
649
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
650
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - importance de la génétique

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
651
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - NT

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
652
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - rôle de la sérotonine

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
653
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - rôle de la dopamine

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
654
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - traits prédisposants

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
655
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Biologie - dénutrition

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
656
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Psycho

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie
    • Lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
657
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Psycho - lien entre quoi?

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie: Lien entre
    • le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
658
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Sociale

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie: Lien entre
    • le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
659
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Étiologies: Sociale

A

Multifactorielle!!

  • Biologie :
    • Études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
    • Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
    • Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
    • Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance, perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
    • Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
  • Psychologie: Lien entre
    • le comportement (traits mentionnés ci-hauts)
    • Vécu d’expériences difficiles
    • ATCD d’abus sexuels
    • Changements de la puberté
  • Sociale
    • Caractéristiques parentales
    • Traits TOC
    • Idéalisation de minceur par les médias
660
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie

A
661
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Facteurs PRÉDISPOSANTS - nommez-les

A
  • Individuels
    • sexe féminin
    • génétique
    • tempérament
  • Environnement familial
  • Incitation culturelle
662
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Facteurs PRÉDISPOSANTS - nommez les facteurs INDIVIDUELS

A
  • Individuels
    • sexe féminin
    • génétique
    • tempérament
  • Environnement familial
  • Incitation culturelle
663
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Facteurs PRÉCIPITANTS - nommez-les

A
  • Puberté
  • Pertes, séparations
  • Bris de l’homéostasie familiale
  • Pressions de l’environnement
  • Échecs, baisse de l’estime de soi
  • Début d’une relation amoureuse
664
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Facteurs PERPÉTUANTS - nommez-les

A
  • Privation (starvation)
  • Renforcement positif suite à la perte de poids
  • Gains secondaires
    • attention accrure de l’entourage
    • sentiment d’“être spéciale”
665
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Facteurs PERPÉTUANTS - nommez les gains secondaires

A
  • Privation (starvation)
  • Renforcement positif suite à la perte de poids
  • Gains secondaires
    • attention accrure de l’entourage
    • sentiment d’“être spéciale”
666
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Rôle des régimes

A
  • Renforce le sentiment de contrôle et l’estime de soi, permet l’évitement d’émotions négatives
  • Peut évoluer vers l’anorexie
667
Q

Modèle étiologique multidimensionnel de l’anorexie: Hormone en jeu

A

Anomalie de la leptine

668
Q

TCA: ANOREXIE
- Présentation clinique

A
  • Refus de maintien d’un poids santé mais appétit conservé.
  • Distorsions corporelles et stratégies malsaines pour perte de poids
  • Pensées compulsives
  • Isolement social progressif
  • Clinique : caractérisé par leur restriction, leur peur et leurs distorsions
669
Q

TCA: ANOREXIE
- Présentation clinique: symptômes

A
  • Refus de maintien d’un poids santé mais appétit conservé.
  • Distorsions corporelles et stratégies malsaines pour perte de poids
  • Pensées compulsives
  • Isolement social progressif
  • Clinique : caractérisé par leur restriction, leur peur et leurs distorsions
670
Q

TCA: ANOREXIE
- Présentation clinique: ce qui caractérise la présentation en clinique

A
  • Refus de maintien d’un poids santé mais appétit conservé.
  • Distorsions corporelles et stratégies malsaines pour perte de poids
  • Pensées compulsives
  • Isolement social progressif
  • Clinique : caractérisé par leur restriction, leur peur et leurs distorsions
671
Q

TCA: BOULIMIE
- Présentation clinique

A
  • Pas de sous-type suite au DSM-V
  • C’est la quantité excessive et non la nature de celle-ci qui importe
  • Clinique : caractérisé par les épisodes, les comportements et leur fréquence
672
Q

TCA: BOULIMIE
- Présentation clinique: sous-types

A
  • Pas de sous-type suite au DSM-V
  • C’est la quantité excessive et non la nature de celle-ci qui importe
  • Clinique : caractérisé par les épisodes, les comportements et leur fréquence
673
Q

TCA: BOULIMIE
- Présentation clinique: ce qui importe

A
  • Pas de sous-type suite au DSM-V
  • C’est la quantité excessive et non la nature de celle-ci qui importe
  • Clinique : caractérisé par les épisodes, les comportements et leur fréquence
674
Q

TCA: BOULIMIE
- Présentation clinique: ce qui caractérise la clinique

A
  • Pas de sous-type suite au DSM-V
  • C’est la quantité excessive et non la nature de celle-ci qui importe
  • Clinique : caractérisé par les épisodes, les comportements et leur fréquence
675
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Ddx et comorbidités

A
  • Plus la règle que l’exception
  • Trouble de l’humeur, TPL (boulimique), TP groupe C (anorexie), TP obsessionnels et évitant sont les plus diagnostiqués en TCA (les 2), troubles anxieux, abus de substances (boulimique)
676
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Ddx et comorbidités: fréquence

A
  • Plus la règle que l’exception
  • Trouble de l’humeur, TPL (boulimique), TP groupe C (anorexie), TP obsessionnels et évitant sont les plus diagnostiqués en TCA (les 2), troubles anxieux, abus de substances (boulimique)
677
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Ddx et comorbidités: nommez les comorbidités

A
  • Plus la règle que l’exception
  • Trouble de l’humeur, TPL (boulimique), TP groupe C (anorexie), TP obsessionnels et évitant sont les plus diagnostiqués en TCA (les 2), troubles anxieux, abus de substances (boulimique)
678
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Ddx et comorbidités: anorexie vs boulimie

A
  • Plus la règle que l’exception
  • Boulimie:
    • Trouble de l’humeur
    • TPL
    • Troubles anxieux
    • Abus de substances
  • Anorexie: TP groupe C (anorexie)
  • Les 2: TP obsessionnels et évitant sont les plus diagnostiqués en TCA
679
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
680
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: général

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
681
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: hospitalisation?

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
682
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: tx biologique

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
683
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: psychothérapie

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
684
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: psychotx - laquelle?

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
685
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: vitamines

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
686
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: biologique - anorexie vs boulimie

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
687
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: psychotx - place de la TCC

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
688
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: psychotx - ce qui est très important

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
689
Q

TCA: Anorexie ET boulimie
- Traitement: psychotx - approche la plus souvent utilisée

A
  • Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
  • Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
  • Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
  • Pas de tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
  • TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
  • Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
  • L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.
690
Q

TCA: ANOREXIE
- Pronostic

A
  • Taux de rémission :
    • < 4 ans : 45% ado, 30% adultes
    • > 10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
  • Facteurs de bon pronostic
    • Absence de TP
    • Courte durée de la maladie avant tx
691
Q

TCA: ANOREXIE
- Pronostic: ados vs adultes

A
  • Taux de rémission :
    • < 4 ans : 45% ado, 30% adultes
    • > 10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
  • Facteurs de bon pronostic
    • Absence de TP
    • Courte durée de la maladie avant tx
692
Q

TCA: ANOREXIE
- Pronostic: après moins de 4 ans

A
  • Taux de rémission :
    • < 4 ans : 45% ado, 30% adultes
    • > 10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
  • Facteurs de bon pronostic
    • Absence de TP
    • Courte durée de la maladie avant tx
693
Q

TCA: ANOREXIE
- Pronostic: après plus de 10 ans

A
  • Taux de rémission :
    • < 4 ans : 45% ado, 30% adultes
    • > 10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
  • Facteurs de bon pronostic
    • Absence de TP
    • Courte durée de la maladie avant tx
694
Q

TCA: ANOREXIE
- Pronostic: facteurs de bon pronostic

A
  • Taux de rémission :
    • < 4 ans : 45% ado, 30% adultes
    • > 10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
  • Facteurs de bon pronostic
    • Absence de TP
    • Courte durée de la maladie avant tx
695
Q

TCA: BOULIMIE
- Pronostic

A
  • Taux de rémission
    • < 4 ans : 40 %
    • > 4 ans : 66%
  • Rechutes fréquentes
  • Chronicité élevée
696
Q
A
697
Q

TCA: BOULIMIE
- Pronostic: taux de rémission

A
  • Taux de rémission
    • < 4 ans : 40 %
    • > 4 ans : 66%
  • Rechutes fréquentes
  • Chronicité élevée
698
Q

TCA: BOULIMIE
- Pronostic: moins de 4 ans

A
  • Taux de rémission
    • < 4 ans : 40 %
    • > 4 ans : 66%
  • Rechutes fréquentes
  • Chronicité élevée
699
Q

TCA: BOULIMIE
- Pronostic: après plus de 4 ans

A
  • Taux de rémission
    • < 4 ans : 40 %
    • > 4 ans : 66%
  • Rechutes fréquentes
  • Chronicité élevée
700
Q

TCA: BOULIMIE
- Pronostic: à long terme

A
  • Taux de rémission
    • < 4 ans : 40 %
    • > 4 ans : 66%
  • Rechutes fréquentes
  • Chronicité élevée
701
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie

A
702
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
703
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- poids

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
704
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- FC

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
705
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- TA

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
706
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- température

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
707
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- potassium

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
708
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- tx

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
709
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADULTES
- danger

A
  • Poids ≤ 75 % du poids attendu ou perte de poids sévère et rapide
  • Pouls < 40 ou > 110 bat/min
  • Pression artérielle < 90/60 mm Hg
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3 mmol/L (N = 3,5-5,1 mmol/L)
  • Échec du traitement en milieu moins structuré
  • Risque suicidaire
710
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L) Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
711
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- poids

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L) Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
712
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- FC

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L) Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
713
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- TA

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L) Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
714
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- température

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L) Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
715
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- électrolytes

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L)
  • Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
716
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- fonction organique

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L)
  • Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
717
Q

Indications d’hospitalisation en cas d’anorexie: ADOS
- psycho-social

A
  • Poids < 85 % du poids attendu
  • Perte de poids rapide avec refus de s’alimenter
  • Pouls ≤ 40 ou >110 bat/min
  • Pression artérielle < 80/50 mm Hg
  • Hypotension orthostatique
  • Température < 36oC
  • Hypokaliémie < 3,5 mmol/L
  • Hypophosphatémie (< 0,80 mmol/L)
  • Hypomagnésémie (< 0,70 mmol/L)
  • Instabilité cardiaque, rénale ou hépatique
  • Pauvre motivation ou échec du traitement en clinique ambulatoire
  • Absence de réseau de soutien
  • Dysfonctionnement familial important
718
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale

A
  • A. Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins conduisant à un poids significativement bas compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de développement et de la santé physique. Est considéré comme significativement basun poids inférieur à la norme minimale ou, pour les enfants et les adolescents, inférieur au poids minimal attendu.
  • B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, ou comportement persistant interférant avec la prise de poids alors que le poids est significativement bas.
  • C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi, ou manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
719
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- symptômes

A
  • A. Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins conduisant à un poids significativement bas compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de développement et de la santé physique. Est considéré comme significativement basun poids inférieur à la norme minimale ou, pour les enfants et les adolescents, inférieur au poids minimal attendu.
  • B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, ou comportement persistant interférant avec la prise de poids alors que le poids est significativement bas.
  • C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi, ou manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
720
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- restriction

A
  • A. Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins conduisant à un poids significativement bas compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de développement et de la santé physique. Est considéré comme significativement basun poids inférieur à la norme minimale ou, pour les enfants et les adolescents, inférieur au poids minimal attendu.
  • B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, ou comportement persistant interférant avec la prise de poids alors que le poids est significativement bas.
  • C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi, ou manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
721
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- peur

A
  • A. Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins conduisant à un poids significativement bas compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de développement et de la santé physique. Est considéré comme significativement basun poids inférieur à la norme minimale ou, pour les enfants et les adolescents, inférieur au poids minimal attendu.
  • B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, ou comportement persistant interférant avec la prise de poids alors que le poids est significativement bas.
  • C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi, ou manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
722
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- altération perception

A
  • A. Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins conduisant à un poids significativement bas compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de développement et de la santé physique. Est considéré comme significativement basun poids inférieur à la norme minimale ou, pour les enfants et les adolescents, inférieur au poids minimal attendu.
  • B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, ou comportement persistant interférant avec la prise de poids alors que le poids est significativement bas.
  • C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi, ou manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
723
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- spécifier

A
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
724
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- spécifier: types

A
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
725
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- spécifier: rémission

A
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m
726
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- spécifier: sévérité

A
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m2
727
Q

Critères diagnostiques de l’anorexie mentale
- sévérité selon IMC

A
  • Spécifier la sévérité actuelle :
    • Léger :IMC ≥ 17 kg/m2
    • Moyen :IMC 16 – 16,99 kg/m2
    • Grave :IMC 15 – 15,99 kg/m2
    • Extrême :IMC < 15 kg/m2
  • Spécifier le type :
    • (F50.01) Type restrictif
    • (F50.02) Type accès hyperphagiques/purgatif
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
728
Q

Critères diagnostiques de la boulimie

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
729
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- décrire les caractéristiques nécessaires des accès hyperphagiques

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
730
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- caractéristiques des accès: quantité de nourriture

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
731
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- caractéristiques des accès: perte de contrôle

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
732
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- comportements compensatoires

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
733
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- fréquence
- durée

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
734
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- importance du corps et poids

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
735
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- ne survient pas dans quel contexte?

A
  • A. Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonnerie (binge eating). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes :
      1. Absorption, en une période de temps limité (p. ex., moins de 2 heures), d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
      1. Sentiment d’une perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p. ex., sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).
  • B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués ; emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
  • C. Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous les deux, en moyenne, au moins une fois par semaine pendant 3 mois.
  • D. L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
  • E. Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anoxerie mentale (anorexia nervosa).
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
736
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- spécifications

A
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
737
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- spécifications: rémission

A
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
738
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- spécifications: sévérité

A
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
739
Q

Critères diagnostiques de la boulimie
- spécifications: sévérité - selon fréquence comportements

A
  • Spécifier si :
    • En rémission partielle
    • En rémission complète
  • Spécifier la sévérité actuelle:
    • Légère :Une moyenne de 1-3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Moyenne: Une moyenne de 4-7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Grave: Une moyenne de 8-13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
    • Extrême: Une moyenne d’au moins 14 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
740
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires

A
741
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- CARDIOVASCULAIRES

A
  • Bradycardie
  • Arythmies
  • Hypotension orthostatique
  • Insuffisance cardiaque
  • Épanchement péricardique
  • Prolapsus de la valve mitrale, anomalies à l’ECG (↑de l’intervalle QT, anomalie de l’onde T)
  • Mort subite
742
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- HÉMATO

A
  • Leucopénie
  • Anémie
  • Thrombocytopénie
  • Diminution de l’immunité cellulaire
  • Transformation gélatineuse de la moelle osseuse
743
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- ENDOCRINO

A
  • Diminution LH
  • Diminution FSH
  • Diminution TSH
  • Irrégularités menstruelles
  • Aménorrhée
  • Hypercorticisme
  • Retard de croissance
  • Retard pubertaire
744
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- MÉTABOLIQUES

A
  • Déshydratation
  • Acidose métabolique
  • Hypokaliémie
  • Hyponatrémie
  • Hypochlorémie
  • Hypocalcémie
  • Hypophosphatémie
  • Hypomagnésémie
  • Hypercaroténémie hypercholestérolémie
745
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- GASTRO-INTESTINAL

A
  • Érosions dentaires
  • Hypertrophie des parotides
  • Oesophagite
  • Diminution de la vidange gastrique
  • Dilatation gastrique
  • Pancréatite
  • Constipation
  • Diarrhée
  • Augmentation des enzymes hépatiques
746
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- MSK

A
  • Ostéopénie
  • Ostéoporose
  • Fractures
747
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- NEURO

A
  • Atrophie corticale
  • Neuropathie périphérique
  • Convulsions
  • Hypothermie
  • Perturbations du sommeil
748
Q

Complications des troubles des conduites alimentaires
- RÉNAL

A
  • Hématurie
  • Protéinurie
  • Diminution de la capacité de concentration des urines
749
Q

Mise à jour DSM-5: ANOREXIE

A
  • L’aménorrhée ne fait plus partie des critères.
  • On n’y indique plus le pourcentage de poids considéré comme étant anormal… on ne fait que spécifier que le poids doit être moins que minimalement normal ou attendu.
750
Q

Mise à jour DSM-5: BOULIMIE

A
  • La fréquence des épisodes de boulimie ou de comportements compensatoires en moyenne ne doit plus être de deux par semaine, mais d’une par semaine pendant au moins trois mois.
751
Q

Mise à jour DSM-5: ANOREXIE

A
  • L’aménorrhée ne fait plus partie des critères.
  • On n’y indique plus le pourcentage de poids considéré comme étant anormal… on ne fait que spécifier que le poids doit être moins que minimalement normal ou attendu.
752
Q

Mise à jour DSM-5: NOUVEAU TROUBLE

A
  • Dans le DSM-IV, le Binge-Eating Disorder était considéré en critère de recherche.
  • Il apparaît maintenant dans le DSM-5.
  • Je vous fais grâce des critères diagnostiques ici… sachez simplement que ce trouble ressemble beaucoup à la boulimie, à la différence qu’il n’y a PAS de comportement compensatoire…
753
Q

Mise à jour DSM-5: Qu’est-ce que le binge eating disorder?

A
  • Dans le DSM-IV, le Binge-Eating Disorder était considéré en critère de recherche.
  • Il apparaît maintenant dans le DSM-5.
  • Je vous fais grâce des critères diagnostiques ici… sachez simplement que ce trouble ressemble beaucoup à la boulimie, à la différence qu’il n’y a PAS de comportement compensatoire…
754
Q

Autres TCA

A

Sachez également que d’autres troubles alimentaires peuvent survenir, surtout en période d’enfance et adolescence, comme le Pica ou le Trouble de régurgitation… mais ceci dépasse le contenu de ce cours.