Pédopsychiatrie Flashcards
Pourquoi, selon vous, la philosophie enseignée au collégial ne l’est pas dès la première année du primaire?
- Puisque l’enfant n’est pas rendu encore au niveau de développement permettant la compréhension de ces concepts.
- Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
- Sensorimoteur (0-2 ans)
- Préopératoire (2-7 ans)
- Opératoire concret (7-12 ans)
- Opératoire formel (12 ans et plus)
Piaget: Stades de développement
- Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
- Sensorimoteur (0-2 ans)
- Préopératoire (2-7 ans)
- Opératoire concret (7-12 ans)
- Opératoire formel (12 ans et plus)
Piaget: Stades de développement
- leur utilité
-
Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
- Sensorimoteur (0-2 ans)
- Préopératoire (2-7 ans)
- Opératoire concret (7-12 ans)
- Opératoire formel (12 ans et plus)
Piaget: Stades de développement
- nommez-les + âges associés
- Piaget formule 4 stades de développement d’où émergent des capacités cognitives particulières :
- Sensorimoteur (0-2 ans)
- Préopératoire (2-7 ans)
- Opératoire concret (7-12 ans)
- Opératoire formel (12 ans et plus)
Piaget: Stades de dév
- Nommez-les en ordre
- Sensorimoteur (0-2 ans)
- Préopératoire (2-7 ans)
- Opératoire concret (7-12 ans)
- Opératoire formel (12 ans et plus)
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: âge associé
0-2 ans
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR
- Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
- Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
- Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
- À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: de quelle manière l’enfant apprend?
- Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
- Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
- Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
- À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant apprend
- Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
- Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
- Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
- À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant a acquis comme connaissance au terme de ce stade
- Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
- Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
- Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
- À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
Piaget: Stades de dév
- SENSORIMOTEUR: ce que l’enfant commence à développer à 18 mois
- Apprend via l’intermédiaire de ses expériences sensorielles et acquiert progressivement un contrôle moteur à travers ses activités, ses manipulations et l’exploration de son environnement.
- Des schémas perceptuels élémentaires sont élaborés
- Au terme de ce stade, l’enfant a acquis la permanence de l’objet : capacité de comprendre que les objets ont une existence indépendante de soi et de garder une image mentale de l’objet en son absence.
- À 18 mois, il commence à développer des symboles mentaux et à utiliser le langage, soit la symbolisation.
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: âge associé
2-7 ans
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée
- Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: moyens de communication
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée - Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: limite de sa pensée
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
-
Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée
- Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: sa perception d’autrui
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée - Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: élaboration de ses réflexions
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée - Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: définir causalité phénoménale
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée - Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- PRÉOPÉRATOIRE: définir pensées animalistes
- L’enfant utilise de plus en plus les symboles et le langage.
- Il n’arrive toutefois pas à généraliser et faire des comparaisons avec les représentations qu’il a internalisées.
- Sa pensée est intuitive et non raisonnée - Il est égocentrique et tient difficilement compte des autres
- Il utilise la causalité phénoménale, dans laquelle deux évènements qui surviennent simultanément sont nécessairement reliés (tonnerre → éclairs, mauvaises pensées → accidents, etc.)
- A des pensées animistes : il attribue des sentiments et des intentions aux objets ou aux évènements physiques
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: âge associé
7-12 ans
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
- Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: comment se dév sa pensée?
-
La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
- Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: perception d’autrui
-
La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte.
- Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: relation avec les autres + place dans société
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte. - Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: dév de la pensée
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte. - Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: pensée logique
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte. - Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: en mesure de percevoir quoi?
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte. - Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE CONCRET: concept de quantité et réversibilité
- La pensée se développe par ses manipulations et par ses opérations sur le monde des objets et des phénomènes réels, concrets et observables.
- La pensée égocentrique est remplacée par la pensée opératoire qui permet de prendre plusieurs phénomènes en compte. - Il devient capable de comprendre via la perspective de l’autre
- Il est en mesure de suivre des règles et il développe un sens moral
- Il commence à utiliser des rudiments de la pensée logique : regroupe, ordonne et classe les objets, et fait des conclusions logiques (les pommes sont des fruits, les fruits poussent dans des arbres, donc les pommes poussent dans des arbres)
- Il perçoit le temps et la vitesse
- Il comprend le concept de quantité et que même si un objet change de forme, il est le même, ainsi que le concept de réversibilité (eau → glace → eau)
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: âge associé
12 ans et plus
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL
- Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
- Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
- Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: développement de quoi?
- Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
- Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
- Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: montre de l’intérêt pour quoi?
- Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
- Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
- Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
Piaget: Stades de dév
- OPÉRATOIRE FORMEL: dév de sa réflexion
- Développement de la pensée abstraite, du raisonnement logique avec la capacité de faire des hypothèses, comprendre des probabilités et définir des concepts.
- Montre de l’intérêt pour la philosophie, l’histoire, la religion et l’éthique.
- Il peut faire des hypothèses pour comprendre et expliquer, et ensuite tester ses hypothèses
Piaget: Stades de dév
- comment se fait ce développement?
- Ce développement se fait par la formation de schèmes cognitifs grâce à deux concepts en interaction constante ; l’assimilation (acquisition de nouvelles connaissances) et l’accommodation (ajustement des connaissances face à l’environnement).
Piaget: Stades de dév
- critique de ce modèle
- La principale critique du modèle est qu’il ne tient pas compte des influences du milieu social et des affectivités et qu’ils se sont révélés être de première importance dans le développement cognitif de l’enfant.
Mise en place des systèmes émotionnels, cognitifs et comportementaux: SCHÉMA
Tempérament d’un enfant
- On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure). Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique. Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes. Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
Tempérament d’un enfant: Ce qui le constitue
- On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure). Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique. Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes. Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
Tempérament d’un enfant: Comment peut-il influencer l’attachement?
- Réponse PPT de la prof: Des facteurs de vulnérabilité individuelle peuvent aussi interagir avec les caractéristiques parentales et ainsi influencer la qualité de l’attachement de l’enfant à son parent.
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
- Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
- Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
- Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
- Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
Tempérament d’un enfant et style d’attachement: Manière dont ils ne sont PAS reliés
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
- Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
- Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
- Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
- Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
Tempérament d’un enfant et style d’attachement: Manière dont ils sont reliés
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
- Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
- Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
- Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
- Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
Importance du tempérament de l’enfant en clinique
- Les enfants dotés d’un certain tempérament ne sont pas davantage susceptibles de développer un type d’attachement quelconque (ex : enfant facile vs développer un attachement sécure).
- Le tempérament et l’attachement réfère donc à des domaines différents chez l’enfant, qui doivent faire l’objet d’une attention individuelle en clinique.
- Par contre, ces deux dimensions sont susceptibles d’interagir l’une avec l’autre et d’influencer le développement de l’enfant et la présentation de ses symptômes.
- Il est donc important de prendre en compte les caractéristiques tempéramentales de l’enfant dans la formulation diagnostique et le plan de traitement.
- Rappel: On définit le tempérament d’un enfant comme un ensemble de traits constitutionnels, biologique et héréditaire, inhérent à sa personne.
Bonding vs attachement: Différenciez ces 2 termes
- Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
- (la relation que la mère développe pour le bébé)
- Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
- (la relation que le bébé développe pour la personne qui en prend soin = base de sécurité pour explorer l’environnement
–> En cas de besoin, me viendra-t-on en aide?)
- (la relation que le bébé développe pour la personne qui en prend soin = base de sécurité pour explorer l’environnement
Bonding vs attachement: Définir BOUNDING
- Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
- Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
Bonding vs attachement: Définir ATTACHEMENT
- Bounding : formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents / prodigueurs de soins
- Attachement : capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement pour être réconforté, nourri, voire protégé lorsqu’il en a besoin. Il réfère à un construit relationnel où les comportements d’attachements sont manifestés par l’enfant et dirigé envers la figure d’attachement.
Types d’attachement insécure: Nommez-les
- Attachement insécure organisé
a. évitant
b. ambivalent - Attachement insécure désorganisé
- Attachement insécure contrôlant
Types d’attachement: Classification
- Types d’attachement : il existe deux grands types d’attachement, sécure et insécure.
- Ce dernier est subdivisé en 4 sous catégories.
Types d’attachement: Celui souhaitable
Attachement sécure
Types d’attachement: SÉCURE
- Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
- Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
- L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
- C’est le mode le plus souhaitable.
Types d’attachement: SÉCURE
- décrire
- Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
- Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
- L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
- C’est le mode le plus souhaitable.
Types d’attachement: SÉCURE
- relation parent-enfant
- Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
- Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
- L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
- C’est le mode le plus souhaitable.
Types d’attachement: SÉCURE
- ue fois l’enfant réconforté, il se passe quoi?
- Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
- Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
- L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
- C’est le mode le plus souhaitable.
Types d’attachement: SÉCURE
- ce que permet l’intériorisation de ce type de relation
- Attachement sécure : sur la base des interactions vécues avec un parent sensible à ses besoins affectifs, l’enfant apprend à rechercher la proximité de son parent lorsqu’il est en situation de stress pour réguler ses émotions et organiser ses comportements.
- Une fois réconforté, il s’y réfère comme base sécurisante à partir de laquelle explorer.
- L’intériorisation de ce type de relation lui permet de développer sa confiance en lui-même et contribue au fonctionnement harmonieux de sa personnalité et de ses interactions en facilitant la régulation de ses émotions.
- C’est le mode le plus souhaitable.
Types d’attachement: INSÉCURE
- nommez-les
- Attachement insécure organisé
a. évitant
b. ambivalent - Attachement insécure désorganisé
- Attachement insécure contrôlant
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé
- Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
- Deux types sont observés :
1. Évitant
2. Ambivalent
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé: c’est quoi?
- Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
- Deux types sont observés :
1. Évitant
2. Ambivalent
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé: types
- Attachement insécure organisé : la détresse vécue par les enfants qui ont un attachement insécure n’est jamais adéquatement apaisée, ces derniers ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions.
- Deux types sont observés :
1. Évitant
2. Ambivalent
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT
- Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
- Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT: comportement de l’enfant
- Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
- Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé ÉVITANT: décrire les parents
- Attachement insécure évitant : L’enfant minimise ses manifestations de détresse et le recours à son parent en situation de stress afin de ne pas activer d’émotions négatives, qui sont difficiles à gérer par son parent.
- Se voit avec des parents insensibles, qui n’interprètent pas bien les signaux de leur enfant ou n’y répondent pas.
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT
- Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
- Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
- Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT: comportement de l’enfant
- Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
- Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
- Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
Types d’attachement: INSÉCURE
- organisé AMBIVALENT: décrire les parents
- Attachement insécure ambivalent : l’enfant est porté à amplifier sa détresse et son besoin de proximité envers le parent afin de maximiser ses chances de recevoir du comportement.
- Par contre, il résiste au contact physique et au réconfort lorsque ceux-ci sont prodigués (sentiment de colère face à l’inconstance des parents).
- Se voit avec des parents qui ont des comportements inconstants, parfois sensibles, parfois insensibles.
Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ
- Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
- En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
- Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ: comportement de l’enfant
- Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
- En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
- Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
Types d’attachement: INSÉCURE
- DÉSORGANISÉ: décrire les parents
- Attachement insécure désorganisé : ces enfants n’ont pas développé de stratégies d’approche cohérentes face à leurs parents.
- En présence de figures d’attachement, ils demeurent confus, désorientés et même apeurés.
- Engendré par des parents qui font peur à leurs enfants ou à des parents apeurés des interactions avec leur enfant.
Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT
- Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
- C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
- Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT: comportement de l’enfant
- Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
- C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
- Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
Types d’attachement: INSÉCURE
- CONTRÔLANT: décrire leur relation avec leur parent
- Attachement insécure contrôlant : le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire.
- C’est un renversement des rôles entre le parent et l’enfant.
- Les enfants organisent leurs interactions avec leur parent soit de manière agressive et punitive ou envers les besoins affectifs de leur parent.
Vrai ou faux. Les enfants se tournent vers les mères pour leurs besoins de confort et réconfort. Par conséquent, les enfants qui n’ont pas de mère dans leurs premières années vont être carencés affectivement, même si le père est présent et supportant
- Faux.
- L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
- Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
L’enfant est prédisposé à s’attacher à qui?
- L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
- Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
Dans quel contexte l’enfant est carencé affectivement?
- L’enfant est prédisposé biologiquement à s’attacher à sa mère OU son donneur de soins.
- Ce n’est que lors d’une absence d’un adulte pour s’occuper de lui que le bébé sera carencé affectivement.
Sensibilité parentale: Définition
- Capacité de percevoir et d’interpréter ses besoins et ses signaux, et d’y répondre de manière appropriée et dans un délai acceptable. (ex : je sais que mon enfant a faim ou a besoin de réconfort)
- C’est d’ailleurs un aspect important déterminant le type de relation d’attachement que l’enfant développera.
Sensibilité parentale: Son importance
- Capacité de percevoir et d’interpréter ses besoins et ses signaux, et d’y répondre de manière appropriée et dans un délai acceptable. (ex : je sais que mon enfant a faim ou a besoin de réconfort)
- C’est d’ailleurs un aspect important déterminant le type de relation d’attachement que l’enfant développera.
Attachement sécure: PETITE ENFANCE (12-24 mois)
- L’enfant interagit aisément avec son parent.
- La plupart du temps, l’exploration est efficace et structurée.
- L’enfant est en détresse lors des séparations, puis une fois réconforté par son parent, il retourne explorer et jouer.
Attachement sécure: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ans)
- L’enfant utilise le parent comme une base sécurisante pour explorer.
- Les retrouvailles avec le parent après les séparations sont chaleureuses, ouvertes et positives.
- L’interaction/conversation est positive et réciproque entre l’enfant et le parent.
Attachement sécure: DISTRIBUTION DANS LA POPULATION (1-7 ANS)
62%
Attachement insécure ÉVITANT: Petite enfance (12-24 mois)
- L’enfant porte son attention à l’exploration, aux jouets et à la personne étrangère. Il n’engage que rarement des interactions avec son parent.
- L’enfant paraît peu préoccupé par la séparation d’avec son parent. Lors des retrouvailles avec le parent après les séparations, il l’évite de façon évidente.
Attachement insécure ÉVITANT: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ans)
- L’enfant est détaché et neutre lors de l’interaction avec son parent.
- L’enfant évite la proximité physique et limite les interactions.
- L’enfant engage des conversations impersonnelles et centrées sur les jouets.
Attachement insécure ÉVITANT: Distribution dans la population (1-7 ans)
14%
Attachement insécure AMBIVALENT: Petite enfance (12-24 mois)
- L’enfant montre une préoccupation persistante au sujet de son parent, manifestant peu de comportements d’exploration et une crainte envers la personne étrangère.
- Au moment de la séparation avec son parent, l’enfant vit beaucoup de détresse.
- Il est difficilement consolable lors de la réunion et présente des comportements de colère dans son interaction avec le parent.
- Il ne retourne pas au jeu de manière efficace.
Attachement insécure AMBIVALENT: Préscolaire et scolaire (3-7 ans)
- L’enfant présente des comportements immatures et de dépendance excessive pour son âge.
- Il recherche la proximité de son parent de façon accrue et proteste lors des moments de séparation avec son parent.
- Il peut être hostile subtilement ou colérique.
- L’enfant engage des conversations souvent conflictuelles.
Attachement insécure AMBIVALENT: Distribution dans la pop (1-7 ans)
9%
Attachement insécure CONTRÔLANT / DÉSORGANISÉ: Petite enfance (12-24 mois)
- L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
- de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
- d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
- de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
- désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
- Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
Attachement insécure CONTRÔLANT / DÉSORGANISÉ: Petite enfance (12-24 mois) - comportements de l’enfant en situation de stress
- L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
- de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
- d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
- de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
- désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
- Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
Attachement insécure CONTRÔLANT: Petite enfance (12-24 mois) - fréquence des comportements inadaptés en situation de stress
- Ces comportements sont fréquents ou peu fréquents, mais intenses.
- L’enfant montre une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress. En particulier, il manifeste des comportements :
- de peur à l’égard de son parent (p. ex., s’approcher en baissant la tête) ;
- d’approche contradictoire (p. ex., approcher son parent et reculer, montrer de la détresse et s’enfuir du parent) ;
- de colère extrême (p. ex., frapper le parent) ;
- désorganisés ou désorientés (p. ex., arrêter de bouger, figer, adopter une posture étrange et inconfortable).
Attachement insécure CONTRÔLANT: PRÉSCOLAIRE ET SCOLAIRE (3-7 ANS)
- L’enfant continue à montrer une absence de stratégie pour accéder à son parent en situation de stress.
- L’enfant présente des signes de renversement des rôles : l’enfant tend à contrôler son parent en lui donnant des ordres.
- L’enfant est punitif (rejetant, humiliant) ou trop attentionné envers son parent (encourageant, rassurant, faussement positif, préoccupé par les affects du parent).
- La qualité des échanges verbaux entre l’enfant et le parent est souvent peu cohérente.
Attachement insécure CONTRÔLANT: Distribution dans la population
15%
NB : Le tableau 59.1 me semble assez super intéressant…
Système d’attachement: Moment où il est susceptible de se déclencher
- Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
- De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
- Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
Système d’attachement: Changement de style d’attachement?
- Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
- De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
- Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
Système d’attachement: Modèles représentationnels d’attachement pour les parents
- Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
- De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
- Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
Système d’attachement: Dév du lien entre du type d’attachement et modèle représentationnel d’attachement
- Le système d’attachement de l’enfant est plus susceptible de se déclencher lorsqu’il présente des besoins à soulager. Or, il peut aussi s’activer lors des désirs d’exploration (motivation à apprendre et à connaître ce qui l’entoure), lors de désir d’affiliation (motivation à socialiser et à créer des liens significatifs avec les autres) et lors de la peur (motivation à réagir au danger)
- De façon générale, le type d’attachement est stable dans le temps, à moins d’une modification du comportement de la figure d’attachement.
- Il existe une relation entre les modèles représentationnels d’attachement chez le parent et le modèle d’attachement chez l’enfant, le lien serait présent dès la grossesse.
Déficience intellectuelle
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: Réversibilité
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: se manifestate à quel moment dans la vie?
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: causes
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: Intensité du déficit
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: Impact sur fonctionnement de l’individu
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Déficience intellectuelle: Pourquoi les patients sont référés en psychiatrie?
- De manière générale, la déficience intellectuelle est le plus souvent irréversible, se manifeste tôt durant la vie et est de cause multiple.
- Les déficits sont le plus souvent légers, mais peuvent également devenir très invalidants.
- Certains peuvent occuper un travail tandis que d’autres seront en fauteuil roulant toute leur vie.
- En psychiatrie, les patients déficients sont référés pour le traitement des comorbidités, tels des troubles du comportement et des difficultés de fonctionnement.
- Ils ne sont pas référés pour leur déficience intellectuelle en tant que telle.
Lequel parmi les énoncés suivants est vrai :
- a. Selon le DSM-5, le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins 2 activités de la vie quotidienne.
- b. De façon globale, les différentes nomenclatures du déficit intellectuel sont exclusivement basées sur des données de mesure du QI.
- c. On ne peut pas diagnostiquer le handicap intellectuel si le patient souffre d’une maladie causale bien identifiée.
- d. 85 % des personnes avec un diagnostic de déficit intellectuel ont un QI entre 50-70. On considère que 1% de la population est atteinte de DI
- a. Selon le DSM-5, le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins 2 activités de la vie quotidienne.
- b. De façon globale, les différentes nomenclatures du déficit intellectuel sont exclusivement basées sur des données de mesure du QI.
- c. On ne peut pas diagnostiquer le handicap intellectuel si le patient souffre d’une maladie causale bien identifiée.
- d. 85 % des personnes avec un diagnostic de déficit intellectuel ont un QI entre 50-70. On considère que 1% de la population est atteinte de DI
En passant, le tableau 57.4 de la page 1244 est un très beau résumé permettant de se figurer avec assez de précision l’impact sur le développement de la déficience intellectuelle.
TABLEAU 57.4 Fonctionnement adaptatif selon le niveau de sévérité de la déficience intellectuelle - PARTIE 1
En passant, le tableau 57.4 de la page 1244 est un très beau résumé permettant de se figurer avec assez de précision l’impact sur le développement de la déficience intellectuelle.
TABLEAU 57.4 Fonctionnement adaptatif selon le niveau de sévérité de la déficience intellectuelle - PARTIE 2
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine CONCEPTUEL
- Chez les enfants d’âge préscolaire, il peut ne pas y avoir de différence évidente au plan intellectuel.
- Pour les enfants d’âge scolaire et les adultes, il existe des difficultés à acquérir des compétences scolaires telles que la lecture, l’écriture, le calcul, l’apprentissage de l’heure, la valeur de l’argent, avec besoin d’aide dans un ou plusieurs domaines pour satisfaire aux attentes en rapport avec l’âge.
- Chez l’adulte, l’abstraction, les fonctions exécutives (c.-à-d. planification, élaboration de stratégies, classement par priorité, flexibilité cognitive), la mémoire à court terme tout autant que l’utilisation des compétences scolaires (p. ex., lecture, gestion de l’argent) sont altérées.
- Il existe une approche plutôt concrète des problèmes et des solutions par rapport aux adultes du même âge.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine SOCIAL
- Comparativement aux adultes du même âge, [la personne] est immature dans ses interactions sociales.
- Par exemple, [elle] peut avoir des difficultés à percevoir avec acuité les codes sociaux.
- La communication, la conversation, le langage sont plus concrets ou immatures que ce qui est attendu pour son l’âge.
- [Elle] peut y avoir des difficultés à contrôler l’émotion et le comportement de façon appropriée à l’âge ; ces difficultés sont remarquées par les autres dans la vie sociale.
- [La personne] a une compréhension limitée des risques dans les situations sociales ; son jugement y est immature, et [elle] court le risque d’être manipulé[e] par les autres (crédulité).
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: LÉGER
- Domaine PRATIQUE
- [La personne] peut agir de manière appropriée à son âge pour les soins personnels.
- [Elle] nécessite cependant, plus que ses pairs, une assistance pour les tâches plus complexes de la vie quotidienne.
- À l’âge adulte, les aides concernent surtout les achats alimentaires, les transports, la prise en charge des enfants et de la maison, la préparation de repas équilibrés, la gestion des comptes et de l’argent.
- L’aptitude aux loisirs est peu différente des [personnes] du même âge, bien que l’appréciation des aspects relatifs au bien-être et à l’organisation durant les distractions nécessite une aide.
- À l’âge adulte, [la personne] peut réussir à trouver un emploi en milieu normal, mais dans des fonctions qui ne mettent pas en avant les compétences intellectuelles.
- Ces personnes ont généralement besoin d’aide pour prendre des décisions médicales et légales, et pour pouvoir mettre à profit avec compétence une formation professionnelle.
- Un soutien est habituellement nécessaire pour élever une famille.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine CONCEPTUEL
- Tout au long du développement, les capacités intellectuelles [de la personne] restent largement en deçà de celles de ses pairs.
- Pour les enfants non encore scolarisés, le langage et les compétences préscolaires se développent lentement.
- Pour les enfants scolarisés, les acquisitions en lecture, écriture, calcul, la compréhension de l’heure et la gestion de l’argent progressent lentement au fil des années de scolarité mais sont manifestement limitées par rapport aux autres élèves.
- Chez les adultes, le développement des capacités intellectuelles reste manifestement à un niveau élémentaire, et une aide est nécessaire pour toute application des apprentissages scolaires dans le monde du travail ou la vie personnelle.
- Une assistance au long cours est requise pour mener à bien des tâches conceptuelles du quotidien, et il peut s’avérer nécessaire que d’autres en assurent la pleine responsabilité à la place de la personne.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine SOCIAL
- [La personne], au cours de son développement, montre de grandes différences par rapport aux autres dans la communication et les comportements sociaux.
- Le langage parlé reste d’évidence le premier moyen de communication mais à un niveau de complexité nettement inférieur à celui des pairs.
- La capacité de lier des relations est manifeste avec la famille et des amis ; [la personne] peut même au cours de sa vie arriver à établir des relations amicales durables voire des relations amoureuses à l’âge adulte.
- Cependant, [les personnes] peuvent ne pas percevoir ou interpréter avec finesse les codes sociaux.
- Le jugement social et les capacités décisionnelles sont limités et des aidants doivent assister la personne dans les décisions importantes de la vie.
- Les relations amicales avec des pairs non handicapés sont souvent affectées par une communication et une sociabilité limitées.
- Une aide soutenue, tant au niveau social que relationnel, est nécessaire pour réussir dans le monde du travail.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: MOYEN
- Domaine PRATIQUE
- [La personne] arrivé[e] à l’âge adulte peut assurer ses besoins personnels pour ce qui est de la nourriture, de l’habillage, de l’élimination sphinctérienne, de la toilette, bien qu’une période prolongée d’éducation pour accéder à l’autonomie dans ces domaines soit nécessaire et que des rappels soient parfois indispensables.
- De même, la participation à toutes les tâches domestiques peut être acquise à l’âge adulte, bien qu’une période prolongée d’éducation soit nécessaire et que des aides suivies soient typiquement indispensables pour accéder à un niveau de performance adulte.
- Un travail autonome dans des emplois requérant des aptitudes intellectuelles et de communication limitées peut être exercé, mais un soutien considérable de la part des collègues de travail, de l’encadrement et des autres est nécessaire pour satisfaire aux attentes sociales, aux difficultés du travail et aux exigences annexes telles que les horaires, les transports, les soins, la gestion de l’argent.
- La personne peut accéder à des activités de loisir variées.
- Cela bien sûr requiert une aide complémentaire et des possibilités d’accès à l’apprentissage sur une période plus longue.
- Pour une minorité significative, un comportement inadapté est la cause de problèmes sociaux.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine CONCEPTUEL
- L’acquisition des compétences conceptuelles est limitée.
- [La personne] a habituellement peu de compréhension du langage écrit et des notions impliquant des nombres, des quantités, le temps et l’argent.
- Les aidants doivent fournir une aide substantielle pour résoudre les problèmes tout au long de la vie.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine SOCIAL
- Le langage parlé est assez limité en termes de vocabulaire et de grammaire.
- Le discours peut se résumer à des mots ou phrases simples et être complété par des moyens de suppléance.
- Le discours et la communication sont centrés sur « l’ici et le maintenant » des événements quotidiens.
- Le langage est plus utilisé à des fins de communication sociale qu’à de l’explication.
- Les [personnes] comprennent un discours simple et la communication gestuelle.
- Les relations avec les membres de la famille et des proches sont une source de plaisir et d’aide.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: GRAVE
- Domaine PRATIQUE
- [La personne] a besoin d’aide pour toute activité du quotidien, ce qui inclut les repas, l’habillage, la toilette, l’élimination.
- [Elle] nécessite une surveillance de tous les instants.
- La personne ne peut pas prendre de décisions responsables concernant son bien-être ou celui des autres.
- À l’âge adulte, la participation à des tâches ménagères, aux distractions et au travail requiert une aide et une assistance permanentes.
- L’acquisition de compétences en tout domaine nécessite un enseignement prolongé et une aide constante.
- Un comportement inadapté, incluant l’autoagressivité, est présent chez une minorité significative de [personnes].
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine CONCEPTUEL
- Les compétences intellectuelles sont essentiellement centrées sur le monde physique plutôt que sur le monde symbolique.
- [La personne] peut utiliser des objets de façon appropriée pour prendre soin [d’elle], travailler ou se distraire.
- Quelques compétences visuospatiales, comme assortir et trier des objets selon leurs caractéristiques physiques, peuvent être acquises.
- Cependant, des déficits sensorimoteurs associés peuvent interdire l’utilisation des objets.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine SOCIAL
- [La personne] a une compréhension très limitée de la communication symbolique, qu’elle soit orale ou gestuelle.
- [Elle] peut comprendre des instructions ou des gestes simples.
- La personne exprime très largement ses désirs et ses émotions dans la communication non verbale et non symbolique.
- Elle trouve du plaisir dans les relations avec les membres de sa famille qu’elle connaît bien, les soignants, les proches, et amorce ou répond aux interactions sociales par des signes gestuels ou émotionnels.
- Des déficits sensori moteurs associés peuvent interdire un grand nombre d’activités sociales.
Fonctionnement adaptatif selon le niv sévérité de la DI: PROFOND
- Domaine PRATIQUE
- [La personne] est dépendant[e] des autres pour tous les aspects du soin quotidien, de sa santé et de sa sécurité bien qu’[elle] puisse aussi être capable de participer à quelquesunes de ces activités.
- Les [personnes] indemnes d’atteintes physiques graves peuvent aider à certaines tâches domestiques du quotidien, comme servir à table.
- Des actions simples utilisant des objets peuvent servir de base de participation à des activités professionnelles qui nécessitent néanmoins de hauts niveaux d’assistance soutenue.
- Les activités de loisir comprennent le plaisir à écouter de la musique, regarder des films, se promener, participer à des activités aquatiques, toujours avec un soutien extérieur.
- Des déficits physiques et sensoriels associés sont de fréquentes entraves à la participation (au-delà d’observer), à ces activités domestiques, de loisirs ou professionnelles. Un comportement inadapté est présent chez une minorité signicative.
Facteurs étiologiques de la DI: Nommez-les
- Prénatale (environ 35% des cas)
- Périnatale (environ 10% des cas)
- Postnatale (environ 20% des cas)
- Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence PRÉNATALE
- Prénatale (environ 35% des cas)
- Périnatale (environ 10% des cas)
- Postnatale (environ 20% des cas)
- Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence PÉRINATALE
- Prénatale (environ 35% des cas)
- Périnatale (environ 10% des cas)
- Postnatale (environ 20% des cas)
- Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence POSTNATALE
- Prénatale (environ 35% des cas)
- Périnatale (environ 10% des cas)
- Postnatale (environ 20% des cas)
- Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
Facteurs étiologiques de la DI: Fréquence des INCONNUES
- Prénatale (environ 35% des cas)
- Périnatale (environ 10% des cas)
- Postnatale (environ 20% des cas)
- Inconnues (de 30 à 50 % des cas)
DI: Affections potentiellement réversibles par un traitement approprié
Affections potentiellement réversibles par un traitement approprié :
- hypothyroïdie congénitale ;
- phénylcétonurie ;
- hyperbilirubinémie néonatale grave ;
- déficit en biotinidase ;
- déficit en acyl-coenzyme A déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne.
Au Québec, le programme de dépistage néonatal sanguin évalue, chez tous les nouveau-nés, s’il y a présence de phénylcétonurie,d’hypothyroïdie congénitale et de tyrosinémie de type I (cette dernière condition étant associée à une insufsance hépatique et non à une déficience intellectuelle).
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies
- Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
- Erreurs innées du métabolisme
- Anomalies monogéniques
- Aberrations chromosomiques
- Syndromes polygéniques familiaux - Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
- Malformations congénitales
- Changements chromosomiques
- Exposition à des toxines
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies: FACTEURS LIÉS À L’HÉRÉDITÉ
-
Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
- Erreurs innées du métabolisme
- Anomalies monogéniques
- Aberrations chromosomiques
- Syndromes polygéniques familiaux - Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
- Malformations congénitales
- Changements chromosomiques
- Exposition à des toxines
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- types d’anomalies: FACTEURS LIÉS À DES ALTÉRATIONS PRÉCOCES DU DÉV EMBRYONNAIRE + GROSSESSE ET PROBLÈMES DE LA MÈRE
- Facteurs liés à l’hérédité (5% des cas)
- Erreurs innées du métabolisme
- Anomalies monogéniques
- Aberrations chromosomiques
- Syndromes polygéniques familiaux -
Facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire + Facteurs associés à la grossesse et à des problèmes de la mère (30 % des cas)
- Malformations congénitales
- Changements chromosomiques
- Exposition à des toxines
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Erreurs innées du métabolisme
- Phénylcétonurie
- Galactosémie
- Maladie de Tay-Sachs
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Anomalies monogéniques
- Sclérose tubéreuse de Bourneville
- Dystrophie musculaire
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Aberrations chromosomiques
- Syndrome du X fragile
- Trisomie 21 par translocation
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Syndromes polygéniques familiaux
- Coexistence d’anomalies mentales, antisociales et développementales dans une famille, possiblement par combinaison de facteurs génétiques
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Malformations congénitales
- Anomalies du tube neural
- Traumatismes chez la mère
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Changements chromosomiques
- Trisomie 21 par non-disjonction chromosomique
Facteurs étiologiques de la DI: PRÉNATALE
- Exemples de: Exposition à des toxines
- Infections (rubéole)
- Syndrome d’alcoolisation fœtale
- Consommation d’alcool ou de drogues
- Malnutrition
Facteurs étiologiques de la DI: PÉRINATALE
- Types d’anomalies
- Facteurs liés à l’accouchement
Facteurs étiologiques de la DI: PÉRINATALE
- Exemple de: Facteurs liés à l’accouchement
- Prématurité
- Complications à l’accouchement
- Anoxie
Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Types d’anomalies
- Facteurs associés à des problèmes physiques survenus pendant la petite enfance et l’enfance (environ 5 % des cas)
* Infections
* Exposition à des toxines
* Atteintes neurologiques - Facteurs associés à des troubles mentaux ou des influences environnementales (de 15 à 20 % des cas)
* Causes psychiatriques et sociales
Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Exemples de: Facteurs associés à des problèmes physiques survenus pendant la petite enfance et l’enfance (environ 5 % des cas)
- Méningite, encéphalite
- Par exemple, le plomb
- Traumatismes, tumeur cérébrale
Facteurs étiologiques de la DI: POSTNATALE
- Exemples de: Facteurs associés à des troubles mentaux ou des influences environnementales (de 15 à 20 % des cas)
- Troubles mentaux graves (p. ex., autisme)
- Carence dans la relation mère-enfant
- Manque de stimulation sociale et linguistique
Classification de la DI par causes étiologiques
- Au niveau étiologique, on peut classer les causes de la déficience intellectuelle en facteurs innés (génétiques), acquis (ou développementaux) et environnementaux (ou socioculturels).
- Assurez- vous de connaître les 3 causes les plus fréquentes ou importantes et transcrivez les ci-dessous.
Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez-les
-
Génétique :
- 1. Trisomie 21
- 2. Syndrome de l’X fragile
- 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville -
Acquis :
- 1. Infections (rubéole par exemple)
- 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
- 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple) -
Environnementaux et socioculturels :
- 1. Carence dans la relation mère – enfant
- 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
- 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
Assurez- vous de connaître les 3 causes les plus fréquentes ou importantes et transcrivez les ci-dessous.
Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes GÉNÉTIQUES
-
Génétique :
- 1. Trisomie 21
- 2. Syndrome de l’X fragile
- 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville - Acquis :
- 1. Infections (rubéole par exemple)
- 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
- 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple) - Environnementaux et socioculturels :
- 1. Carence dans la relation mère – enfant
- 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
- 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes ACQUISES
- Génétique :
- 1. Trisomie 21
- 2. Syndrome de l’X fragile
- 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville -
Acquis :
- 1. Infections (rubéole par exemple)
- 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
- 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple) - Environnementaux et socioculturels :
- 1. Carence dans la relation mère – enfant
- 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
- 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
Classification de la DI par causes étiologiques: Nommez les causes ENVIRONNEMENTALES ET SOCIOCULTURELLES
- Génétique :
- 1. Trisomie 21
- 2. Syndrome de l’X fragile
- 3. Sclérose tubéreuse de Bourneville - Acquis :
- 1. Infections (rubéole par exemple)
- 2. Syndrome d’alcoolisation fœtale
- 3. Exposition à des toxines (plomb par exemple) -
Environnementaux et socioculturels :
- 1. Carence dans la relation mère – enfant
- 2. Manque de stimulation sociale et linguistique
- 3. Troubles mentaux graves (TSA p/e)
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- ATCD familiaux
- Histoire périnatale
- Histoire développemenyale
- ATCD médicaux et psychiatriques
- Examen physique
- Autres examens (selon pertinence)
- Consultations complémentaires (selon pertinence)
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- ATCD FAMILIAUX
- Consanguinité
- Déficience intellectuelle
- Troubles d’apprentissage
- Épilepsie et autres troubles neurologiques
- Maladies dégénératives
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- HISTOIRE PÉRINATALE
- Grossesse
- Accouchement – APGAR
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- HISTOIRE DÉVELOPPEMENTALE
- Motricité grossière et fine
- Langage
- Alimentation
- Acquisition de la propreté
- Interactions sociales
- Scolarisation
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- ATCD MÉDICAUX ET PSY
- Hospitalisation, chirurgies et traitements
- Histoire psychiatrique
- Histoire pharmacologique
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- EXAMEN PHYSIQUE
- Recherche de signes dysmorphiques suggestifs d’un syndrome spécifique
- Paramètres : taille, poids, périmètre crânien, courbe de croissance
- Examen neurologique
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- AUTRES EXAMENS (selon pertinence)
- Dépistages génétiques spécifiques
- Dépistages métaboliques spécifiques
- Imagerie cérébrale
- EEG, ECG
- Caryotype – X fragile
- Radiographies, biopsies musculaires
DI: Évaluation médicale de base et complémentaire
- CONSULTATIONS COMPLÉMENTAIRES (selon pertinence)
- Audiologie
- Optométrie
- Psychométrie
- Neurologie
- Neuropsychologie
- Génétique
Définition et critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Définir / décrire DI
Le handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) est un trouble débutant pendant la période du développement, fait de déficits tant intellectuels qu’adaptatifs dans les domaines conceptuels, sociaux et pratiques.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle
Les trois critères suivants doivent être présents :
- A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
- B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
- la communication ;
- la participation sociale ;
- l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité. - C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Fonctions intellectuelles
Les trois critères suivants doivent être présents :
- A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
- B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
- la communication ;
- la participation sociale ;
- l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité. - C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Fonctions adaptatives
Les trois critères suivants doivent être présents :
- A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
-
B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
- la communication ;
- la participation sociale ;
- l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité. - C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: débute quand?
Les trois critères suivants doivent être présents :
- A. Déficit des fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience, confirmés par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés.
- B. Déficit des fonctions adaptatives qui se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel permettant l’autonomie et la responsabilité sociale. Sans assistance au long cours, les déficits adaptatifs limitent le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne comme :
- la communication ;
- la participation sociale ;
- l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité. - C. Début du déficit intellectuel et adaptatif pendant la période du développement.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Spécifier quoi?
- Spécifier la sévérité actuelle : [voir le tableau 57.4] :
- 317 (F70) Léger
- 318.0 (F71) Moyen
- 318.1 (F72) Grave
- 318.2 (F73) Profond - [Dans le DSM-5, les] différents degrés de sévérité sont définis sur la base du fonctionnement adaptatif et non plus sur la cote au QI, parce que c’est le fonctionnement adaptatif qui détermine le niveau d’assistance requis. De plus les mesures du QI sont moins valides pour les cotes les plus basses.
Critères diagnostiques de la déficience intellectuelle: Spécifier - nommez les différents niveaux de sévérité
- Spécifier la sévérité actuelle : [voir le tableau 57.4] :
- 317 (F70) Léger
- 318.0 (F71) Moyen
- 318.1 (F72) Grave
- 318.2 (F73) Profond - [Dans le DSM-5, les] différents degrés de sévérité sont définis sur la base du fonctionnement adaptatif et non plus sur la cote au QI, parce que c’est le fonctionnement adaptatif qui détermine le niveau d’assistance requis. De plus les mesures du QI sont moins valides pour les cotes les plus basses.
Pronostic d’un patient avec une DI
- Très variable.
- Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI; Bon ou mauvais?
- Très variable.
-
Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: dépend de quoi?
- Très variable.
-
Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: lien avec atteinte fonctionnelle
- Très variable
-
Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: Dysmorphie
- Très variable.
- Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: Syndrome spécifique
- Très variable.
- Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: si pas de signes évidents
- Très variable.
- Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Pronostic d’un patient avec une DI: Suivi
- Très variable.
- Dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle.
- Amélioration du niveau d’adaptation si stimulation / environnement supportant
- Meilleur px pour atteinte légère à modérée
- Moins bon px si comorbidité PSY
- Moins bonne réponse et tolérance à la Rx psychiatrique - À une extrémité du spectre se présente un nouveau-né avec une ou des dysmorphies qui attirent l’attention de son entourage immédiat et des MD.
- La présence d’un syndrome spécifique permet d’établir un px concernant l’évolution longitudinale attendue, la présence d’une DI, et d’élaborer une prise en charge adéquate pour favoriser un dével optimal.
- À l’autre extrémité du spectre, l’enfant qui nait et évolue apparemment sans hx particulière, mais qui présente des difficultés d’apprentissage à son entrée à l’école, avec une accentuation progressive de celles-ci.
- Il faudra aussi les suivre toute leur vie et essayer de répondre le mieux à leurs besoins spécifiques.
Techniques lorsqu’on travaille avec une personne ayant une DI
- Prendre le temps nécessaire pour établir une relation de confiance
- Limiter les distractions
- Adapter la durée des séances aux capacités du patient
- Prévoir des perspectives à moyen et long terme
- Répéter régulièrement et faire confiance au patient
- Utiliser des supports visuels
- Faire des mises en situation
- Utiliser un journal de bord adapté aux rencontres
- Favoriser une activation comportementale et des activités physiques pour diminuer le stress
- Concrétiser des approches de résolutions de problèmes, des techniques de relaxation et de gestion du stress
- Travailler à améliorer ses habiletés sociales
Approche préventive en DI: Objectif
- En DI, l’objectif de la prévention est de leur donner toutes les possibilités, tous les moyens de s’exprimer, d’avoir du contrôle sur leur vie et de s’épanouir.
- L’implication de la famille, des proches et des divers intervenants incluant le milieu scolaire ou le milieu de travail est primordial.
DI: Définition
- La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
DI: Manifestations cliniques
- La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
- Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
- 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
- 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
- 3) Les limitations coexistent avec des forces
- 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
- 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
DI: Manifestations cliniques
- les manifestations doivent survenir quand?
- La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
-
Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
- 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
- 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
- 3) Les limitations coexistent avec des forces
- 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
- 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
DI: Manifestations cliniques
- Principes à l’application de la définition de la DI
- La DI est définie comme une limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observée dans les habiletés.
-
Les limitations doivent survenir avant l’âge de 18 ans, et 5 principes sont essentiels à l’application de cette définition :
- 1) Établissement d’une limitation actuelle dans le fonctionnement doit tenir compte de l’environnement (pairs et culture)
- 2) Une évaluation valide doit considérer la langue et la culture de l’individu
- 3) Les limitations coexistent avec des forces
- 4) Les limitations sont bien décrites afin de développer un profil de soutien
- 5) Le fonctionnement au quotidien est généralement amélioré avec un soutien approprié.
DI: DDX
- TSA
- TDAH
- Il est important aussi de garder les trouble alimentaires et les troubles du comportement dans notre ddx
DI: DDX - TSA
- Concepts communs vs différences
- Concepts communs
- Coexistent souvent
- 20-40% des TSA ont un DI également
- Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes). - Différences
- Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
- Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
DI: DDX - TSA
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Coexistent souvent
- 20-40% des TSA ont un DI également
- Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes). - Différences
- Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
- Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
DI: DDX - TSA
- Différences
- Concepts communs
- Coexistent souvent
- 20-40% des TSA ont un DI également
- Retard de développement (éliminer la rubéole congénitale et la sclérose tubéreuse qui sont des causes communes). -
Différences
- Communication verbale et non verbale permet d’orienter le diagnostic
- Rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le diagnostic
DI: DDX - TDAH
- Concepts communs vs différences
- Concepts communs
- Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx. - Différences
- Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
- L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
DI: DDX - TDAH
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx. - Différences
- Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
- L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
DI: DDX - TDAH
- Différences
- Concepts communs
- Symptômes affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double Dx. -
Différences
- Prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%).
- L’absence de structure, le manque d’intérêt ou un niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI.
DI: Intervention thérapeutique
- Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
- Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
DI: Intervention thérapeutique
- aspects
- Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
- Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
DI: Intervention thérapeutique
- tx biologiques pour comorbidités
- Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
- Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
DI: Intervention thérapeutique
- tx psychologiques et interventions sociales
- Traitements biologiques pour les affections psychiatriques comorbides : les traitements sont les mêmes que pour les patients non DI présentant le trouble en question. Il faut toutefois noter que la personne DI est vulnérable à la polypharmacie, de par la difficulté à communiquer les symptômes ressentis.
- Traitements psychologiques et interventions sociales : dépendent principalement des comorbidités. Actuellement, l’approche béhaviorale se démarque, et la pertinence d’un suivi psychologique est indéniable.
DI: Recommandations relatives à l’usage de la médication psychotrope
Voici les principales recommandations en ce qui a trait à l’instauration et à l’usage d’une médication psychotrope appropriée pour les patients présentant une déficience intellectuelle :
- ne pas utiliser en excès, comme punition, en substitution à un service ou en quantité interférant avec la qualité de vie de l’usager ;
- utiliser dans un contexte de plan de soins multidisciplinaire ;
- se baser sur un diagnostic psychiatrique spécifique résultant d’une évaluation exhaustive de la situation ;
- obtenir le consentement du patient ou de son représentant légal ;
- évaluer l’efficacité de la médication avec des index de qualité de vie ou de comportements définis, quantifiés et suivis dans le temps ;
- faire un suivi régulier des effets indésirables, incluant l’utilisation d’échelles standardisées ;
- si un antipsychotique ou un autre bloqueur dopaminergique est utilisé sur une base régulière, faire un suivi spécifique pour prévenir la dyskinésie tardive, avec échelle standardisée ;
- réviser la médication de façon systématique sur une base périodique.
DI: Mise à jour DSM-V
Mise à jour DSM-5
- Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
- La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
- Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
* Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
* Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
* Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement. - Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
DI: Mise à jour DSM-V
- classification DI
Mise à jour DSM-5
- Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
- La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux.
- On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
- Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
* Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
* Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
* Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement. - Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
DI: Mise à jour DSM-V
- terme “retard mental”
Mise à jour DSM-5
- Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
- La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux.
- On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
- Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
* Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
* Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
* Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement. - Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
DI: Mise à jour DSM-V
- critères pour déficience intellectuelle
Mise à jour DSM-5
- Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
- La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
-
Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
* Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
* Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
* Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement. - Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
DI: Mise à jour DSM-V
- sur quoi se base la sévérité de la DI?
Mise à jour DSM-5
- Il n’y a plus de système axial dans le DSM-5.
- La déficience intellectuelle fait maintenant partie du chapitre des troubles neuro- développementaux. On spécifie également que le terme Retard Mental ne devrait plus être utilisé, celui-ci a d’ailleurs été changé pour Handicap Intellectuel.
- Le concept de la déficience intellectuelle demeure le même mais la description des critères a été légèrement modifiée :
* Critère A: On ne spécifie plus que le QI doit être d’environ 70 ou moins. On mentionne qu’il doit y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel confirmé par l’évaluation clinique et des tests standardisés.
* Critère B: le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au moins une activité de la vie quotidienne ou plus (et non au moins deux comme dans le DSM- IV)
* Critère C: On ne mentionne plus d’âge de début. Le début des déficits intellectuels et adaptatifs doit être survenu durant la période de développement. - Par ailleurs, la codification de la sévérité (léger, moyen, sévère ou profond) n’est plus basée sur le chiffre du QI mais davantage sur une description des capacités dans 3 domaines distincts (pratique, social et conceptuel).
TSA: Ça ressemble à quoi un TSA?
- Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
- Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
TSA: Pourquoi les phénotypes sont hétérogènes?
- Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
- Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
TSA: Nommez les TYPES
- Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) contiennent des phénotypes très hétérogènes considérant l’âge, l’intelligence (QI), le niveau de langage, les maladies associées et le niveau adaptatif.
- Les TSA comprennent l’autisme, le syndrome d’Asperger et le trouble envahissant du développement non spécifié.
TSA: Définir
Selon le DSM-5, le trouble du spectre de l’autisme (TSA) appartient à un groupe de pathologie se caractérisant par un retard et de la déviance dans 2 sphères de la réalité humaine;
1. La communication
2. Interactions sociales
TSA: Sphères humaines affectées
Selon le DSM-5, le trouble du spectre de l’autisme (TSA) appartient à un groupe de pathologie se caractérisant par un retard et de la déviance dans 2 sphères de la réalité humaine;
1. La communication
2. Interactions sociales
TSA: À quel moment de la vie se constate-t-il habituellement?
- Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
- C’est un trouble persistant.
- Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
- L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic
TSA: Persistant ou temporaire?
- Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
-
C’est un trouble persistant.
- Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
- L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic
TSA: Nommez des signes de BON pronostic
- Le TSA se constate généralement en enfance puisqu’il y a une atteinte dès les étapes précoces du développement.
- C’est un trouble persistant.
- Uniquement 15 % des jeunes de 4 -5 ans diagnostiqués auront un score nul à l’entrevue standardisée ADOS à l’adolescence et 5 % n’auront plus aucun signe comportemental de TSA.
- L’absence de DI et l’apparition de phrases communicatives avant l’âge de 6 ans est un bon signe de pronostic.
TSA: Critère d’âge pour poser le dx de TSA
- Il n’y a PAS de critère d’âge pour poser le dx.
- Il est vrai de dire que les TSA montrent des signes cliniques de la maladie dès le milieu de la deuxième année de vie et que le diagnostic se fait en moyenne à la 4e année de vie, mais il n’y a plus de critère d’âge.
- Par contre, le DSM mentionne que les symptômes doivent être présents depuis le début du développement, malgré qu’ils puissent passer inaperçus si les demandes sociales n’excèdent pas les capacités d’adaptation de l’individu
TSA: À quel moment de la vie les sx doivent-ils être présents?
- Il n’y a PAS de critère d’âge pour poser le dx.
- Il est vrai de dire que les TSA montrent des signes cliniques de la maladie dès le milieu de la deuxième année de vie et que le diagnostic se fait en moyenne à la 4e année de vie, mais il n’y a plus de critère d’âge.
- Par contre, le DSM mentionne que les symptômes doivent être présents depuis le début du développement, malgré qu’ils puissent passer inaperçus si les demandes sociales n’excèdent pas les capacités d’adaptation de l’individu
Concernant le TSA, quelle est l’affirmation fausse?
- A. La prévalence du TSA est actuellement évaluée à 6 à 7/10 000 enfants.
- B. On diagnostic TSA 4 garçons pour 1 fille
- C. Le diagnostic est porté à l’âge moyen de 4 ans
- D. Les études familiales ont démontré qu’il existe un taux de concordances plus faible chez les jumeaux dizygotes que les monozygotes.
- E. Des modifications du tissu neuronal seraient observées dans les aires frontotemporales.
- A. La prévalence du TSA est actuellement évaluée à 6 à 7/10 000 enfants. (60-70)
- C’est plutôt 60-70/10 000 - B. On diagnostic TSA 4 garçons pour 1 fille
- C. Le diagnostic est porté à l’âge moyen de 4 ans
- D. Les études familiales ont démontré qu’il existe un taux de concordances plus faible chez les jumeaux dizygotes que les monozygotes.
- E. Des modifications du tissu neuronal seraient observées dans les aires frontotemporales.
TSA: Signes physiques
- Il n’existe pas de signes physiques du TSA, malgré que certains comportements physiques soient typiques notamment les mouvements corporels stéréotypés (ex : battements des mains lors de joie).
TSA: Signes physiques
- mouvements corporels stéréotypés
- Il n’existe pas de signes physiques du TSA, malgré que certains comportements physiques soient typiques notamment les mouvements corporels stéréotypés (ex : battements des mains lors de joie).
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 12 MOIS
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 16 MOIS
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À 24 MOIS
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- À TOUT ÂGE
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- RÉGRESSION
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
Caractéristiques / signes d’appel évoquant la possibilité d’un TSA
- COMMUNICATION ET LANGAGE
- À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
- À 16 mois, il ne dit pas de mots
- À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
- À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
- Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
- Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
- Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
- Difficulté de compréhension du langage
TSA: Traitement
- La notion de traitement est discutable.
- Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
- Le soutien thérapeutique vise donc à :
* Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
* Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
* Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
* Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
TSA: Traitement
- notion de “traitement”
- La notion de traitement est discutable.
- Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
- Le soutien thérapeutique vise donc à :
* Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
* Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
* Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
* Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
TSA: Traitement
- qu’est-ce que vise le soutien thérapeutique?
- La notion de traitement est discutable.
- Il existe actuellement un débat à savoir si les TSA représentent des troubles à traiter ou s’ils sont en fait une variante de la normale à respecter dans sa différence.
-
Le soutien thérapeutique vise donc à :
* Permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne
* Alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe
* Contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes
* Soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui, elles, sont des maladies traitables
TSA: Traitement
- Volets du traitement
- Traitements biologiques
- Traitements psychologiques
- Interventions sociales
- Traitements alternatifs
TSA: Traitements BIOLOGIQUES
Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.
- Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
- Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
- La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- ce qu’ils visent
Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.
- Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
- Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
- La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- comorbidités
Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.
- Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
- Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
- La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- mouvements répétitifs
Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.
- Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
- Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
- La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
TSA: Traitements BIOLOGIQUES
- troubles du sommeil
Traitements biologiques : ce sont les problèmes de comportements ou les pathologies psychiatriques qui sont la cible des médicaments dans le traitement du TSA.
- Traitements pharmacologiques des comorbidités (voir traitements spécifiques autres sections)
- Les mouvements répétitifs s’ils deviennent invalidants peuvent être la cible d’antidépresseurs tricycliques et d’ISRS tout comme le traitement du TOC, mais les effets secondaires sont importants et l’efficacité variable.
- La mélatonine peut être utilisée pour les difficultés reliées au sommeil.
TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- leur objectif
Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.
- Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
- Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
- Il faut :
- o Identifier le changement.
- o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
- o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
- o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- méthodes prouvées efficaces
Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.
- Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
- Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
- Il faut :
- o Identifier le changement.
- o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
- o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
- o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- gestion de crise: définir / décrire ce qu’est une crise
Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.
- Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
- Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
- Il faut :
- o Identifier le changement.
- o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
- o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
- o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
TSA: Traitements PSYCHOLOGIQUES
- comment gérer une crise?
Traitements psychologiques : le premier objectif de l’intervention est d’assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs.
- Il existe deux méthodes dont a pu mesurer l’efficacité : TCC et approches comportementales
- Gestion de crise : la personne TSA présente souvent des épisodes symptomatiques plus intenses, tels des pics. Durant les crises, des ruptures du fonctionnement surviennent (qui suivent généralement une modification dans la vie, aussi minime soit-elle).
-
Il faut :
- o Identifier le changement.
- o Conduire la personne dans un lieu d’isolement en lui expliquant calmement pourquoi on agit ainsi
- o Lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire.
- o Lorsqu’elle est calme, on discute avec lui pour comprendre ce qu’il s’est passé. Il possible de communiquer oralement ou par écrit s’il préfère.
TSA: Interventions SOCIALES
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne - Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- éléments
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
-
Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne - Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
- Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial: efficace?
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
- Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial: objectifs et bénéfices
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant.
- Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: sa pertinence
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
- L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: efficacité
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
- L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée.
- Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
TSA: Interventions SOCIALES
- thérapie d’intégration sensorielle: exemples d’adaptations en milieu scolaire
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin.
- L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée.
-
Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne
TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard
- Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
- Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
- La difficulté principale est celle de l’intimidation.
- L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: les TSA devraient être scolarisés comment?
- Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
- Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
- La difficulté principale est celle de l’intimidation.
- L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: pourquoi scolariser l’enfant TSA comme les autres?
- Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
- Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
- La difficulté principale est celle de l’intimidation.
- L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: difficulté principale
- Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
- Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
- La difficulté principale est celle de l’intimidation.
- L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- adaptation scolaire dans le système standard: de quelles manières l’enseignement devrait-il être adapté?
- Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants.
- Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs.
- La difficulté principale est celle de l’intimidation.
- L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Interventions SOCIALES
- guidance parentale et soutien familial
- Guidance parentale et soutien familial: une méthode de bonne crédibilité scientifique, elle vise l’augmentation de la communication et permet de redonner aux parents les moyens d’interagir avec leur enfant. Un bénéfice est également noté sur la communication sociale entre parent et enfant.
- Thérapie d’intégration sensorielle : il existe chez les TSA une perception atypique performante et de comportements répétitifs de recherche ou d’évitement liés à la perception, ce type de thérapie vise à répondre à ce besoin. L’efficacité reste toutefois à être bien démontrée. Dans les milieux scolaires, il en revient d’adapter l’environnement de l’enfant TSA qui présente une hypersensibilité ou autre atypie à des sens :
- o Réduire les exigences scolaires
- o Modifier les activités en classe afin de minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles
- o Enseigner des stratégies compensatoires
- o Maximiser l’utilisation des forces de la personne - Adaptation scolaire dans le système standard : à moins d’avoir un niveau de marginalité avancé, un enfant TSA devrait être scolarisé comme les autres enfants. Elle permet de développer une culture non ségrégative, de lui fournir une formation scolaire possiblement normale et qu’il puisse avoir un contact avec les pairs. La difficulté principale est celle de l’intimidation. L’enseignement devrait adapté dans la mesure du possible, en réorganisant les tâches ou l’environnement pour rendre l’enfant le plus autonome possible.
TSA: Traitements ALTERNATIFS
- Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
TSA: Traitements ALTERNATIFS
- exemples
- Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
TSA: Traitements ALTERNATIFS
- efficacité
- Traitements alternatifs : les diètes ou les multiples vitamines recommandées par certains ne montrent aucune utilité.
TSA: Étiologies
- Plusieurs facteurs
- Biologiques
- Environnementales
- Agents toxiques
TSA: Étiologie - Étiologie principale
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
TSA: Étiologie - Biologiques
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- Importance dans de la biologie dans l’étiologie
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- gènes en jeu
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- simplement génétique?
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- jumeaux mono vs dizygotes
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- fraterie et parents
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- particularité des filles
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Biologiques
- forme sporadique
- Biologiques : l’étiologie des TSA est aujourd’hui considérée comme étant essentiellement génétique.
- Toutefois, une multitude de gènes sont susceptibles de provoquer la maladie, et une mutation monogénique est parfois suffisante pour la déclencher.
- Le taux de concordance des monozygotes est de 60% comparativement aux dizygotes qui est de 5%, mais la transmission ne peut qu’être simplement purement génétique puisque le taux n’est pas de 100%.
- Il est à noter que les parents et la fratrie d’une personne atteinte présentent souvent des forces ou des faiblesses cognitives, une restriction de scolarisation spontanée ou une variété des centres d’intérêt de la même nature que dans les TSA, mais compatible avec une vie adaptée.
- Certaines mutations transmises aux filles, qui sont plus résistantes à leur pénétrance pour des raisons inconnues, et transmises de manière quasi dominante à leur descendance mâle, correspondent aux formes familiales.
- Il existe aussi une forme sporadique attribuable à des mutations de novo.
TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
- Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
- Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- facteurs environnementaux
- Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
- Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
- Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- facteurs immunologiques
- Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
- Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
- Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
TSA: Étiologie - Environnementales et médicales
- agents toxiques
- Étiologies environnementales et médicales : des facteurs environnementaux sont suspectés comme étant étiologiques du TSA puisque les jumeaux monozygotes ne sont pas atteints à 100%.
- Il a été éliminé le facteur immunologique comme étant la cause d’un TSA (vaccin ou autre – BOOM !) ainsi que le facteur allergène.
- Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique
TSA: Étiologie - Agents toxiques
Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :
- Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
- PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
TSA: Étiologie - Agents toxiques
- c’est possible?
Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :
- Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
- PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
TSA: Étiologie - Agents toxiques
- nommez-les
Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :
- Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
- PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
TSA: Étiologie - Agents toxiques
- Intoxication infraclinique au plomb
Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :
- Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
- PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
TSA: Étiologie - Agents toxiques
- autres
Il est possible que des agents toxiques favorisent le développement d’un TSA, mais de manière non certaine et non spécifique :
- Intoxication infraclinique au plomb → atteinte cognitive prédominante sur l’attention et la vitesse de traitement de l’information (mais plus proche du syndrome d’alcoolisation fœtale que du TSA)
- PCB, diozines, persticides, radiations ionisantes sont d’autres exemples.
TSA: Physiopatho
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- nommez les variations
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- nommez les différents PLANS où il y a des variations
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
-
Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan MICROSCOPIQUE
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan MACROSCOPIQUE
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan SYNAPTIQUE
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
- Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Fonction neurocognitive
- Variations sur le plan COGNITIF
Fonction neurocognitive : les TSA constituent en une variation de l’architecture neurocognitive distribuée sur de multiples niveaux :
- Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)
- Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique
- Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité
-
Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou encore de manière avantageuse :
- Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
- Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation sémantique (?)
- Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.
TSA: Comorbidités les plus courantes
- Trouble anxieux ou phobiques (42%)
- Retard de développement (33%)
- Troubles spécifiques du langage (20-40%)
- TDAH (28%)
- Trouble d’apprentissage (15%)
- Énurésie (11%)
- Épilepsie (10%)
- Tics chroniques (9%)
- Encoprésie (6,6%)
- Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
- Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
TSA: Comorbidités les plus courantes
- nommez-les
- Trouble anxieux ou phobiques (42%)
- Retard de développement (33%)
- Troubles spécifiques du langage (20-40%)
- TDAH (28%)
- Trouble d’apprentissage (15%)
- Énurésie (11%)
- Épilepsie (10%)
- Tics chroniques (9%)
- Encoprésie (6,6%)
- Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
- Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
TSA: Comorbidités les plus courantes
- particularités sensorielles
- Trouble anxieux ou phobiques (42%)
- Retard de développement (33%)
- Troubles spécifiques du langage (20-40%)
- TDAH (28%)
- Trouble d’apprentissage (15%)
- Énurésie (11%)
- Épilepsie (10%)
- Tics chroniques (9%)
- Encoprésie (6,6%)
- Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
- Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95% des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
TSA: DDX
- Syndrome de Gilles de la Tourette
- TOC
- TDAH
- Anxiété sociale
- Personnalité schizoïde
- Schizophrénie
TSA: DDX - Gilles Tourette
- Concepts communs
- Différences
- Concepts communs
- Réduction de socialisation
- Comportements répétitifs
- Plus fréquents chez les garçons
- Débute en enfance
- Mêmes comorbidités
- Différences
- Condition de survenue
- Évolutions différentes
TSA: DDX - Gilles Tourette
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Réduction de socialisation
- Comportements répétitifs
- Plus fréquents chez les garçons
- Débute en enfance
- Mêmes comorbidités
- Différences
- Condition de survenue
- Évolutions différentes
TSA: DDX - Gilles Tourette
- Différences
- Concepts communs
- Réduction de socialisation
- Comportements répétitifs
- Plus fréquents chez les garçons
- Débute en enfance
- Mêmes comorbidités
-
Différences
- Condition de survenue
- Évolutions différentes
TSA: DDX - TOC
- Concepts communs
- Différences
- Concepts communs
- Comportements répétitifs
- Champs d’intérêts restreints
- Différences
- Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - TOC
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Comportements répétitifs
- Champs d’intérêts restreints
- Différences
- Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - TOC
- Différences
- Concepts communs
- Comportements répétitifs
- Champs d’intérêts restreints
-
Différences
- Voir tableau 58.4 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - TDAH
- Concepts communs
- Différences
- Concepts communs
- Les patients peuvent sembler indifférents
- Difficultés d’interaction sociale
- Différences
- La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
- Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - TDAH
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Les patients peuvent sembler indifférents
- Difficultés d’interaction sociale
- Différences
- La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
- Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - TDAH
- Différences
- Concepts communs
- Les patients peuvent sembler indifférents
- Difficultés d’interaction sociale
-
Différences
- La cause de l’indifférence est différente : compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA
- Voir tableau 58.5 page 1281 (pas à savoir)
TSA: DDX - Anxiété sociale
- Concepts communs
- Différences
- Concepts communs
- Évitement social
- Claustration
- Différences
- Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
TSA: DDX - Anxiété sociale
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Évitement social
- Claustration
- Différences
- Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
TSA: DDX - Anxiété sociale
- Différences
- Concepts communs
- Évitement social
- Claustration
-
Différences
- Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale
TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Concepts communs
- Différences
- Concepts communs
- Abrasion émotionnelle et désinvestissement social
- Préfère les activités solitaires
- Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
- Différences
- Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Concepts communs
-
Concepts communs
- Abrasion émotionnelle et désinvestissement social
- Préfère les activités solitaires
- Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
- Différences
- Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
TSA: DDX - Personnalité schizoïde
- Différences
- Concepts communs
- Abrasion émotionnelle et désinvestissement social - Préfère les activités solitaires
- Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.
-
Différences
- Les TSA ont une gamme d’émotions, tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.
TSA: DDX - Schizophrénie
- Concepts communs
- Différences
Voir tableau 58.6 page 1282 (pas à savoir)
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- COMMUNICATION
-
A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difficulté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- COMMUNICATION: SPÉCIFICATION
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- CARACTÈRE RESTREINT
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difficulté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- CARACTÈRE RESTREINT: spécifier quoi?
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
-
Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- les sx doivent débuter quand?
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- impact
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- exclure quoi?
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
-
E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
- Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
- Spécifier si :
Critères diagnostiques du trouble du spectre de l’autisme
- spécifier quoi?
- A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Ceux-ci peuvent se manifester par les éléments suivants, soit au cours de la période actuelle, soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte) :
- 1. Déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle allant, par exemple, d’anomalies de l’approche sociale et d’une incapacité à la conversation bidirectionnelle normale, à des difficultés à partager les intérêts, les émotions et les affects, jusqu’à une incapacité à initier des interactions sociales ou d’y répondre.
- 2. Déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales, allant, par exemple, d’une intégration défectueuse entre la communication verbale et non verbale, à des anomalies du contact visuel et du langage du corps, à des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes, jusqu’à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
- 3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant, par exemple, de difficultés à ajuster le comportement à des contextes sociaux variés, à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis, jusqu’à l’absence d’intérêt pour les pairs.
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreintset répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide] - B. Caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités, comme en témoignent au moins deux des éléments suivants soit au cours de la période actuelle soit dans les antécédents (les exemples sont illustratifs et non exhaustifs ; se référer au texte)
- Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage (p. ex. stéréotypies motrices simples, activités d’alignement des jouets ou de rotation des objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
- Intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés (p. ex. détresse extrême provoquée par des changements mineurs, difculté à gérer les transitions, modes de pensée rigides, ritualisation des formules de salutation, nécessité de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments tous les jours).
- Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but (p. ex. attachement à des objets insolites ou préoccupations à propos de ce type d’objets, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
- Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (p. ex. indifférence apparente à la douleur ou à la température, réactions négatives à des sons ou à des textures spécifiques, actions de flairer ou de toucher excessivement les objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
- Spécifier la sévérité actuelle : La sévérité repose sur l’importance des déficits de communication sociale et des modes comportementaux restreints et répétitifs (voir DSM-5, p. 58)
- Nécessitant une aide très importante
- Nécessitant une aide importante
- Nécessitant de l’aide]
- C. Les symptômes doivent être présents dès les étapes précoces du développement (mais ils ne sont pas nécessairement pleinement manifestes avant que les demandes sociales n’excèdent les capacités limitées de la personne, ou ils peuvent être masqués plus tard dans la vie par des stratégies apprises).
- D. Les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.
- E. Ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel) ou un retard global du développement. La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés. Pour permettre un diagnostic de comorbidité entre trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel, l’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général.
-
Spécifier si :
- Avec ou sans déficience intellectuelle associée
- Avec ou sans altération du langage associée
- Associé à une pathologie médicale ou génétique connue ou à un facteur environnemental
- Associé à un autre trouble développemental, mental ou comportemental
- Avec catatonie
TSA: DSM-5 - mise à jour
- Le DSM-5 a modifié complètement la classification des troubles envahissants du développement du DSM-IV.
- Ne vous en faites pas, elle est maintenant beaucoup plus simple.
- En fait, ce que nous appelons Autisme, Asperger ou TED NS selon le DSM-IV se regroupe maintenant sous un seul trouble : le trouble du spectre de l’autisme.
- Les critères se ressemblent et sont plus complets.
- Je ne les citerai pas ici dans le but de ne pas vous confondre.
- Notez que les critères d’âge et de retard de langage ont disparus.
- On doit maintenant cependant ajouter au diagnostic certains spécificateurs comme la présence ou l’absence de déficience intellectuelle associée, de déficit langagier (ce qui distinguait avant l’Autisme de l’Asperger …), la présence de condition médicale connue ou de catatonie associée.
TDAH: Grands types de symptômes
3 grands types de symptômes
- Inattention
- Impulsivité
- Hyperactivité
Quel est l’énoncé qui est vrai parmi les suivants concernant l’épidémiologie du TDAH?
- a) Le TDAH touche environ 5 à 8 % des enfants.
- b) Le TDAH est plus prévalent chez les filles que chez les garçons, dans un ratio de variant de 3 pour 1.
- c) Le marché de la médication est en chute libre depuis la publication du DSM-IV
- d) La grande majorité des enfants devenus adulte ne rencontre plus de symptômes de TDAH.
- a) Le TDAH touche environ 5 à 8 % des enfants. Et 4.4% des adultes
- b) Le TDAH est plus prévalent chez les filles que chez les garçons, dans un ratio de variant de 3 pour 1. Faux : ratio 3 H : 1 F chez les enfants et 1 H : 1 F chez les adultes ce qui sous-tend un sous-diagnostic chez les femmes en bas âge.
- c) Le marché de la médication est en chute libre depuis la publication du DSM-IV Faux. La constatation que la pathologie se poursuit à l’âge adulte et la meilleure classification amenée par le DSM-IV a fait passer le marché des médicaments pour le TDA/H de 15 millions à 7 milliards !!! (2013)
- d) La grande majorité des enfants devenus adulte ne rencontre plus de symptômes de TDAH. Faux. Plus de la moitié des enfants présentant un TDA/H garderont des symptômes significatifs à l’âge adulte
TDAH: Étiologies
Les causes du TDAH sont multifactorielles, mais c’est une maladie bien étudiée pour laquelle plusieurs réponses sont disponibles.
- 1. Facteurs environnementaux
- 2. Facteurs génétiques
- 3. Facteurs neurphysiologiques
TDAH: Étiologies
- Facteurs ENVIRONNEMENTAUX
Facteurs environnementaux : il y a une multitude de facteurs associés, dont les principaux sont :
- Tabagisme / consommation importante d’alcool / expositions aux métaux lourds chez la femme enceinte
- Prématurité (petit poids de naissance), diabète gestationnel et grossesses gémellaires
- Chimiothérapie et radiothérapie chez l’enfant
- L’environnement psychosocial dans lequel l’enfant grandit (mais la façon d’élever un enfant ne change pas le risque).
TDAH: Étiologies
- Facteurs GÉNÉTIQUES
- Facteurs génétiques : une implication génétique serait notée dans 80% des cas, ce qui rend le trouble aussi héréditaire que la taille.
- Le risque pour un parent de transmettre le TDAH à son enfant (s’il est le seul atteint dans le couple) est de 50%.
TDAH: Étiologies
- Facteurs NEUROPHYSIOLOGIQUES
- Facteurs neurophysiologiques : des anomalies au niveau du fonctionnement du cerveau ont été mises en évidence : lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux, et certaines zones du cervelet.
- Les adolescents TDAH auront un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale
- La transmission synaptique et un déficit d’automodulation par des neurotransmetteurs (DA, NA) sont des hypothèses probables.
* La DA sert entre-autres à susciter et à maintenir l’intérêt sur une tâche o La NA sert entre-autres à filtrer les stimuli non pertinents et à faciliter la fluidité pour passer d’une tâche à l’autre
* Un système DA/NA efficace permet donc de s’attarder sur une tâche et de changer au moment opportun
* N.B. : C’est à ce niveau que les médicaments agissent.