Trouble de la personnalité Flashcards

1
Q

Personnalité: Définition

A
  • Personnalité : « La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ».
  • Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre.
  • Conséquemment, les délimitations du normal et du pathologique ont été et sont encore un enjeu comme le témoigne les discussions présentent sur l’élaboration d’une nouvelle classification sur la meilleure façon de décrire un trouble de la personnalité.
  • Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.
  • Bref : Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
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2
Q

Personnalité: Pathologique vs normalité

A
  • Personnalité : « La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ».
  • Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre.
  • Conséquemment, les délimitations du normal et du pathologique ont été et sont encore un enjeu comme le témoigne les discussions présentent sur l’élaboration d’une nouvelle classification sur la meilleure façon de décrire un trouble de la personnalité.
  • Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.
  • Bref : Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
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3
Q

Personnalité: de quels éléments tient compte la définition?

A
  • Personnalité : « La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ».
  • Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre.
  • Conséquemment, les délimitations du normal et du pathologique ont été et sont encore un enjeu comme le témoigne les discussions présentent sur l’élaboration d’une nouvelle classification sur la meilleure façon de décrire un trouble de la personnalité.
  • Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.
  • Bref : Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
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4
Q

Personnalité: restriction de la définition

A
  • Personnalité : « La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ».
  • Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre.
  • Conséquemment, les délimitations du normal et du pathologique ont été et sont encore un enjeu comme le témoigne les discussions présentent sur l’élaboration d’une nouvelle classification sur la meilleure façon de décrire un trouble de la personnalité.
  • Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.
  • Bref : Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
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5
Q

Caractère: Définition

A
  • Caractère : ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable (contrairement aux dimensions du tempérament), de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles.
  • Bref : Est acquis lors du vécu de l’individu.
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6
Q

Caractère: Définition - c’est quoi?

A
  • Caractère : ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable (contrairement aux dimensions du tempérament), de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles.
  • Bref : Est acquis lors du vécu de l’individu.
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7
Q

Caractère: Définition
- restriction de la définition

A
  • Caractère : ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable (contrairement aux dimensions du tempérament), de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles.
  • Bref : Est acquis lors du vécu de l’individu.
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8
Q

Tempérament: Définition

A
  • Tempérament : ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.
  • Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
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9
Q

Tempérament: Définition
- c’est quoi?

A
  • Tempérament : ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.
  • Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
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10
Q

Tempérament: Définition
- dans le temps

A
  • Tempérament : ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu.
  • Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.
  • Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
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11
Q

Tempérament: Définition
- restriction de la définition

A
  • Tempérament : ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.
  • Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
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12
Q

Trait: Définition

A
  • Trait : disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables.
  • Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.
  • Bref : Les constituants du tempérament.
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13
Q

Trait: Définition
- c’est quoi?

A
  • Trait : disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables.
  • Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.
  • Bref : Les constituants du tempérament.
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14
Q

Trait: Définition
- comment s’exprime chaque trait?

A
  • Trait : disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables.
  • Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.
  • Bref : Les constituants du tempérament.
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15
Q

Trait: Définition
- restriction de la définition

A
  • Trait : disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables.
  • Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.
  • Bref : Les constituants du tempérament.
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16
Q

Différenciez ces termes:
- personnalité
- caractère
- tempérament
- trait

A
  • Personnalité : « La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ». –> Bref: Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
  • Caractère : ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable (contrairement aux dimensions du tempérament), de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles. Bref : Est acquis lors du vécu de l’individu.
  • Tempérament : ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances. –> Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
  • Trait : disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables. Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur. –> Bref : Les constituants du tempérament.
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17
Q

L’un des énoncés suivants n’est pas cohérent avec la définition de personnalité, trouvez l’intrus :

  • a. La notion de personnalité réfère à la fois à un aspect d’observation externe (objectif) et la référence à une description de l’état émanant du patient (subjectif)
  • b. La personnalité décrit un fonctionnement relationnel public et privé
  • c. Le concept de personnalité implique la notion d’imprévisibilité du comportement
  • d. Le trouble de personnalité est généralement ego syntone
A

L’un des énoncés suivants n’est pas cohérent avec la définition de personnalité, trouvez l’intrus :

  • a. La notion de personnalité réfère à la fois à un aspect d’observation externe (objectif) et la référence à une description de l’état émanant du patient (subjectif)
  • b. La personnalité décrit un fonctionnement relationnel public et privé
  • c. Le concept de personnalité implique la notion d’imprévisibilité du comportement
  • d. Le trouble de personnalité est généralement ego syntone
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18
Q

DSM-4 vs DSM-5: Troubles de personnalité

A
  • Les travaux du DSM-5 promettaient une refonte complète des troubles de personnalité. À notre grande surprise, les critères et classifications sont restés identiques !!!
  • Les critères généraux restent donc les mêmes pour l’instant !
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19
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- comment se nomme la classification?

A
  • Les critères généraux restent donc les mêmes (que le DSM-4) pour l’instant !
  • Cette approche est qualifiée de Catégorielle (on classe les types de personnalités en Catégories et on tente de faire cadrer les patients dans ces catégories… ce qui n’est pas toujours évident et ne représente pas toujours l’ensemble des caractéristiques de la personnalité d’un individu, en plus de les étiqueter…!)
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20
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- qu’est-ce qu’approche catégorielle?

A
  • Cette approche est qualifiée de Catégorielle (on classe les types de personnalités en Catégories et on tente de faire cadrer les patients dans ces catégories… ce qui n’est pas toujours évident et ne représente pas toujours l’ensemble des caractéristiques de la personnalité d’un individu, en plus de les étiqueter…!)
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21
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- méthode de classification alternative

A
  • Le DSM-5 ajoute une méthode de classification alternative, que l’on nomme Dimensionnelle… qui sera probablement de plus en plus utilisée dans l’avenir … mais qui demeure encore imprécise pour la majorité des cliniciens à ce jour.
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22
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- quelle approche connaître?

A
  • Pour ce cours, vous devrez connaitre les troubles de personnalité selon l’approche catégorielle car c’est celle utilisée en clinique actuellement.
  • Vous pouvez naturellement vous informer davantage sur l’approche dimensionnelle, mais ceci demeure optionnel pour l’instant.
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23
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- particularité ajoutée dans le DSM-5

A
  • Par ailleurs, vous noterez que le trouble de personnalité schizotypique, étant considéré comme faisant partie du spectre de la schizophrénie, est maintenant listé dans 2 catégories du DSM-5, soit le chapitre sur le spectre de la schizophrénie et les autres troubles psychotiques et celui sur les troubles de la personnalité.
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24
Q

DSM-5: Troubles de personnalité
- particularité schizotypique

A
  • Par ailleurs, vous noterez que le trouble de personnalité schizotypique, étant considéré comme faisant partie du spectre de la schizophrénie, est maintenant listé dans 2 catégories du DSM-5, soit le chapitre sur le spectre de la schizophrénie et les autres troubles psychotiques et celui sur les troubles de la personnalité.
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25
Q

Meilleure évidence de la base biologique des troubles de personnalité

A
  • Lorsque l’on réfère au déterminant biologique des troubles de personnalité (TP), on réfère au tempérament d’une personne.
  • Plusieurs études ont été réalisées sur des jumeaux afin de montrer la part d’héritabilité des TP.
  • Il demeure raisonnable de dire que les facteurs héréditaires sont responsables d’environ 50% de l’apparition d’un TP.
  • Autrement dit, chez un certain individu au bagage génétique particulier, le risque de développer un TP est plus élevé en présence d’un environnement prédisposant.
  • Il faut également comprendre que ces mêmes gènes peuvent augmenter le risque d’être exposé à un environnement prédisposant.
  • Les résultats de ces études sont corroborés par des études sur les systèmes neurobiologiques qui sous-tendent le tempérament.
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26
Q

Meilleure évidence de la base biologique des troubles de personnalité: Comment appelle-t-on le déterminant biologique des TP?

A
  • Lorsque l’on réfère au déterminant biologique des troubles de personnalité (TP), on réfère au tempérament d’une personne.
  • Plusieurs études ont été réalisées sur des jumeaux afin de montrer la part d’héritabilité des TP.
  • Il demeure raisonnable de dire que les facteurs héréditaires sont responsables d’environ 50% de l’apparition d’un TP.
  • Autrement dit, chez un certain individu au bagage génétique particulier, le risque de développer un TP est plus élevé en présence d’un environnement prédisposant.
  • Il faut également comprendre que ces mêmes gènes peuvent augmenter le risque d’être exposé à un environnement prédisposant.
  • Les résultats de ces études sont corroborés par des études sur les systèmes neurobiologiques qui sous-tendent le tempérament.
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27
Q

Meilleure évidence de la base biologique des troubles de personnalité: Part d’hérédité des TP

A
  • Lorsque l’on réfère au déterminant biologique des troubles de personnalité (TP), on réfère au tempérament d’une personne.
  • Plusieurs études ont été réalisées sur des jumeaux afin de montrer la part d’héritabilité des TP.
  • Il demeure raisonnable de dire que les facteurs héréditaires sont responsables d’environ 50% de l’apparition d’un TP.
  • Autrement dit, chez un certain individu au bagage génétique particulier, le risque de développer un TP est plus élevé en présence d’un environnement prédisposant.
  • Il faut également comprendre que ces mêmes gènes peuvent augmenter le risque d’être exposé à un environnement prédisposant.
  • Les résultats de ces études sont corroborés par des études sur les systèmes neurobiologiques qui sous-tendent le tempérament.
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28
Q

Meilleure évidence de la base biologique des troubles de personnalité: Rôle des gènes dans le dév de la personnalité

A
  • Lorsque l’on réfère au déterminant biologique des troubles de personnalité (TP), on réfère au tempérament d’une personne.
  • Plusieurs études ont été réalisées sur des jumeaux afin de montrer la part d’héritabilité des TP.
  • Il demeure raisonnable de dire que les facteurs héréditaires sont responsables d’environ 50% de l’apparition d’un TP.
  • Autrement dit, chez un certain individu au bagage génétique particulier, le risque de développer un TP est plus élevé en présence d’un environnement prédisposant.
  • Il faut également comprendre que ces mêmes gènes peuvent augmenter le risque d’être exposé à un environnement prédisposant.
  • Les résultats de ces études sont corroborés par des études sur les systèmes neurobiologiques qui sous-tendent le tempérament.
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29
Q

Lien entre schizophrénie et TP schizotypique

A
  • La schizophrénie est associée au trouble de la personnalité schizotypique avant tout.
  • Effectivement, le profil clinique des TP schizotypiques a été décrit à partir de proches de patients schizophrènes.
  • De plus, les études en neuro-imagerie ainsi que des études du système dopaminergique suggère que plusieurs altérations biologiques similaires existent entre ces deux classes de patients.
  • Certains suggère que le TP schizotypique serait en fait une forme atténuée de schizophrénie.
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30
Q

Lien entre schizophrénie et TP schizotypique: ce qu’on observe au niveau du cerveau

A
  • La schizophrénie est associée au trouble de la personnalité schizotypique avant tout.
  • Effectivement, le profil clinique des TP schizotypiques a été décrit à partir de proches de patients schizophrènes.
  • De plus, les études en neuro-imagerie ainsi que des études du système dopaminergique suggère que plusieurs altérations biologiques similaires existent entre ces deux classes de patients.
  • Certains suggère que le TP schizotypique serait en fait une forme atténuée de schizophrénie.
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31
Q

Lien entre schizophrénie et TP schizotypique: ce que suggère certains auteurs

A
  • La schizophrénie est associée au trouble de la personnalité schizotypique avant tout.
  • Effectivement, le profil clinique des TP schizotypiques a été décrit à partir de proches de patients schizophrènes.
  • De plus, les études en neuro-imagerie ainsi que des études du système dopaminergique suggère que plusieurs altérations biologiques similaires existent entre ces deux classes de patients.
  • Certains suggère que le TP schizotypique serait en fait une forme atténuée de schizophrénie.
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32
Q

Effets de l’environnement sur le tempérament

A
  • Il est probable que les facteurs environnementaux aient un rôle à jouer sur le tempérament.
  • Effectivement, l’exposition in utero à la cigarette, l’alcool ou la cocaïne par exemple, a été reliée à une augmentation du risque de présenter un ou des troubles des comportements perturbateurs, eux-mêmes associés à l’apparition ultérieure d’un TP.
  • Certains facteurs environnementaux non reliés aux parents ont une influence.
  • Rappel: Tempérament => ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances. Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
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33
Q

TR obsessionnel compulsif = personnalité obsessionnelle compulsive?

A

On parle ici de deux pathologies bien distinctes du DSM-5 :

  • Trouble obsessionnel compulsif (p. 119) : Patient dont la présence d’obsessions (pensées, pulsions ou images récurrentes, persistantes, intrusives et inopportunes) et de compulsions (comportements répétitifs ou actes mentaux accomplis lors de la présence d’obsessions) sont à l’origine d’une perte de temps considérable et / ou d’une détresse psychologique.
  • Personnalité obsessionnelle-compulsive (p. 289) : mode général de préoccupation par l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel (manque de souplesse, d’ouverture et d’efficacité) qui entrave le bon fonctionnement de l’individu.

Ces « définitions » ne sont que partielles et ont pour but la différenciation des deux pathologies. Afin d’avoir une meilleure idée des critères officiels, voir le Mini DSM-5.

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34
Q

TR obsessionnel compulsif = personnalité obsessionnelle compulsive?
- définir le TROUBLE

A

On parle ici de deux pathologies bien distinctes du DSM-5 :

  • Trouble obsessionnel compulsif (p. 119) : Patient dont la présence d’obsessions (pensées, pulsions ou images récurrentes, persistantes, intrusives et inopportunes) et de compulsions (comportements répétitifs ou actes mentaux accomplis lors de la présence d’obsessions) sont à l’origine d’une perte de temps considérable et / ou d’une détresse psychologique.
  • Personnalité obsessionnelle-compulsive (p. 289) : mode général de préoccupation par l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel (manque de souplesse, d’ouverture et d’efficacité) qui entrave le bon fonctionnement de l’individu.

Ces « définitions » ne sont que partielles et ont pour but la différenciation des deux pathologies. Afin d’avoir une meilleure idée des critères officiels, voir le Mini DSM-5.

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35
Q

TR obsessionnel compulsif = personnalité obsessionnelle compulsive?
- définir la PERSONNALITÉ

A

On parle ici de deux pathologies bien distinctes du DSM-5 :

  • Trouble obsessionnel compulsif (p. 119) : Patient dont la présence d’obsessions (pensées, pulsions ou images récurrentes, persistantes, intrusives et inopportunes) et de compulsions (comportements répétitifs ou actes mentaux accomplis lors de la présence d’obsessions) sont à l’origine d’une perte de temps considérable et / ou d’une détresse psychologique.
  • Personnalité obsessionnelle-compulsive (p. 289) : mode général de préoccupation par l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel (manque de souplesse, d’ouverture et d’efficacité) qui entrave le bon fonctionnement de l’individu.

Ces « définitions » ne sont que partielles et ont pour but la différenciation des deux pathologies. Afin d’avoir une meilleure idée des critères officiels, voir le Mini DSM-5.

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36
Q

DOPAMAINE: Pathos associées

A

Schizophrénie et TP schizotypique

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37
Q

DOPAMAINE: Trouvailles (schizophrénie et TP schizotypique)

A
  • L’élévation des métabolites de la dopamine corrobore l’intensité des symptômes.
  • Trouvailles comparables mais en plus faible intensité chez les TP schizotypique que chez les schizophrènes : attention soutenue et mémoire de travail.
  • Présentent tous deux une poursuite visuelle anarchique ou saccadée
  • Augmentation de la taille des ventricules cérébraux, diminution du volume du lobe temporal.
  • L’anatomie du lobe frontal est préservée chez les TP schizotypique, mais altérée chez les schizophrènes.
  • L’injection d’amphétamine produit une plus grande activité du striatum (sécrétant de la dopamine) chez ces deux groupes.
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38
Q

SÉROTONINE: Pathos associées

A
  • Personnalité limite
  • Personnalité antisociale

(tempérament impulsif et agressif)

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39
Q

SÉROTONINE: Trouvailles (peronnalité limite et antisociale)

A
  • Présentent une hypoactivité sérotoninergique.
  • On recueille moins de métabolite de la 5HT chez les personnes avec des ATCD de comportements agressifs ou suicidaires.
  • La stimulation de ces systèmes pharmacologiquement n’est pas démontré efficace.
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40
Q

Trouvailles au niveau du cerveau: PERSONNALITÉ ANTISOCIALE

A
  • Difficile d’interpréter les altérations structurales du cerveau de ces personnes compte tenu de la grande quantité d’alcool consommé chez ces derniers.
  • On note une diminution du métabolisme de plusieurs régions frontales, surtout dans la zone orbitofrontale qui intervient dans la régulation des comportement sociaux
  • On note un métabolisme diminué des zones traitant des informations émotionnelles, ce qui est compatible avec déficit d’empathie observé chez ces patients.
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41
Q

Trouvailles au niveau du cerveau de: PERSONNALITÉ LIMITE

A
  • Réduction de plusieurs structures cérébrales, dont : amygdale, hippocampe et cingulum. Difficile de dire si ces changements sont à l’origine ou la conséquence d’une épigénétique.
  • Il y a une plus grande activation de l’amygdale en réponse à des images émotionnellement chargées chez ces personnes. Sans la stimulation, on observe aucune différence.
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42
Q

Selon Freud, comment se forment les traits de personnalité?

A

Selon Freud, un individu peut présenter des conflits intrapsychiques non-résolus, qui amènent une fixation à l’un ou l’autre des phases du développement psychosexuel.
Ces fixations se traduisent par la suite par des troubles de la personnalité.
Ex :

  • TP dépendant → phase orale
  • TP obsessionnel-compulsif → phase anale
  • TP histrionique → phase génitale
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43
Q

Manière dont se forme les traits de personnalité selon Freud

A

Selon Freud, un individu peut présenter des conflits intrapsychiques non-résolus, qui amènent une fixation à l’un ou l’autre des phases du développement psychosexuel.
Ces fixations se traduisent par la suite par des troubles de la personnalité.

Ex :

  • TP dépendant → phase orale
  • TP obsessionnel-compulsif → phase anale
  • TP histrionique → phase génitale
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44
Q

Manière dont se forment les traits de personnalité selon Freud: EXEMPLE

A

Ces fixations se traduisent par la suite par des troubles de la personnalité.
Ex :

  • TP dépendant → phase orale
  • TP obsessionnel-compulsif → phase anale
  • TP histrionique → phase génitale
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45
Q

Point important dans l’étude de la personnalité

A
  • Un point important dans l’étude de la personnalité est celui du trait (par opposition au trouble).
  • Son évaluation est aujourd’hui une partie intégrante du diagnostic.
  • On en comprend donc que les TP ne sont pas des entités diagnostiques discrètes, mais plutôt l’extrême de traits de personnalité qu’on retrouve dans la population normale.
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46
Q

Troubles de personnalité vs traits de personnalité

A
  • Un point important dans l’étude de la personnalité est celui du trait (par opposition au trouble).
  • Son évaluation est aujourd’hui une partie intégrante du diagnostic.
  • On en comprend donc que les TP ne sont pas des entités diagnostiques discrètes, mais plutôt l’extrême de traits de personnalité qu’on retrouve dans la population normale.
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47
Q

Quel est l’apport de McCrae et Costa à l’étude de la personnalité?

A
  • Ces auteurs ont proposé un système pour diagnostiquer les personnalités saines et pathologiques encore très connu et d’actualité composé de cinq facteurs.
  • Chaque facteur est par la suite subdivisé en plusieurs sous-traits ou facettes.
  • Les 5 facteurs sont connus sous l’acronyme OCEAN
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48
Q

McCrae et Costa: Structure de leur système

A
  • Ces auteurs ont proposé un système pour diagnostiquer les personnalités saines et pathologiques encore très connu et d’actualité composé de cinq facteurs.
  • Chaque facteur est par la suite subdivisé en plusieurs sous-traits ou facettes.
  • Les 5 facteurs sont connus sous l’acronyme OCEAN
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49
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - acronyme

A
  • Les 5 facteurs sont connus sous l’acronyme OCEAN
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50
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - Nommez les 5 facteurs

A
  1. Ouverture à l’expérience
  2. Caractère consciencieux
  3. Extraversion
  4. Amabilité (caractère agréable)
  5. Névrotisme (ou affectivité négative)

Les 5 facteurs sont connus sous l’acronyme OCEAN.

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51
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs
- Sous-traits d’OUVERTURE À L’EXPÉRIENCE

A
  • Appréciation des idées originales, de la nouveauté, de l’esthétique, des émotions, de l’aventure
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52
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs
- Sous-traits de CARACTÈRE CONSCIENCIEUX

A
  • Respect des normes et de la morale, fiabilité, ordre, sens de l’organisation, rigueur, discipline, orientation vers des buts
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53
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs
- Sous-traits d’EXTRAVERSION

A
  • Jovialité, recherche de contacts sociaux et de stimulation, énergie, fonceur, facilité à s’exprimer et à s’affirmer
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54
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs
- Sous-traits d’AMABILITÉ (CARACTÈRE AGRÉABLE)

A
  • Collaboration, recherche d’harmonie, empathie, confiance, vision optimiste face aux autres, générosité
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55
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs
- Sous-traits de NÉVROTISME (AFFECTIVITÉ NÉGATIVE)

A
  • Tendance à la détresse, l’anxiété, la tristesse et/ou la colère
  • N.B. : Presque tous les troubles de la personnalité du DSM-5 sont associés à un score élevé de névrotisme.
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56
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - Facteur dans tous les TP

A
  • Névrotisme
    • Tendance à la détresse, l’anxiété, la tristesse et/ou la colère
  • N.B. : Presque tous les troubles de la personnalité du DSM-5 sont associés à un score élevé de névrotisme.
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57
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - Évolution des traits dans le temps

A
  • Selon les auteurs, bien que les traits demeurent très stables dans le temps, les caractéristiques d’adaptation que développe un individu lors de ses interactions avec l’environnement peuvent changer sous l’effet du processus de maturation biologique, des changements survenant dans l’environnement ou d’interventions thérapeutiques spécifiques.
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58
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - Élément clé dans la stratégie de classification

A

L’élément clé dans leur stratégie de classification est la distinction entre les tendances fondamentales (les 5 facteurs) et les adaptations caractéristiques découlant de l’interaction avec l’environnement.

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59
Q

McCrae et Costa: Modèle à 5 facteurs - Effets de la culture

A
  • Selon la théorie, la culture a une influence réduite voire nulle sur les traits eux-mêmes, mais a une influence spectaculaire sur les composantes des adaptations caractéristiques (croyances, valeurs, habitudes, rôles et relations)
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60
Q

Facteurs prédicateurs de trouble des personnalités liés aux figures d’attachement

A
  • Une faible proximité physique ou psychologique avec la mère ou le père
  • Les punitions trop sévères et le contrôle parental par la culpabilité
  • Être né d’une grossesse non désirée
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61
Q

Influence des facteurs culturels et ethniques sur la personnalité

A

Il est fort probable que la personnalité soit influencée par des facteurs culturels et ethniques. Il est difficile toutefois d’évaluer si l’influence de ces derniers agit en rehaussant des traits de personnalité ou en permettant le développement de trouble de la personnalité.

On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :

  • Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
  • Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
  • La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
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62
Q

Influence des facteurs culturels et ethniques sur la personnalité
- selon les types de société

A

Il est fort probable que la personnalité soit influencée par des facteurs culturels et ethniques. Il est difficile toutefois d’évaluer si l’influence de ces derniers agit en rehaussant des traits de personnalité ou en permettant le développement de trouble de la personnalité.
On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :

  • Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
  • Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
  • La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
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63
Q

Influence des facteurs culturels et ethniques sur la personnalité
- sociétés MODERNES

A

On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :

  • Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
  • Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
  • La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
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64
Q

Influence des facteurs culturels et ethniques sur la personnalité
- sociétés plus TRADITIONNELLES

A

On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :

  • Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
  • Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
  • La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
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65
Q

Influence des facteurs culturels et ethniques sur la personnalité
- proportion PERSONNALITÉ ANTISOCIALE dans le monde

A

On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :

  • Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
  • Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
  • La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
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66
Q

Facteurs prédicteurs augmentant le risque de souffrir d’un TP

A

De plus, certains facteurs prédicteurs augmentent le risque de souffrir d’un TP quel qu’il soit :

  • Faible niveau socio-économique
  • Fait d’être issu d’une famille monoparentale
  • Discorde parentale
  • Présence de conduites antisociales chez les parents
  • Maladie ou décès d’un ou des deux parents en bas âge
  • Expériences d’abus et de négligence (facteur important)
    • Abus sexuel → relié aux TP du groupe B (particulièrement TP limite)
    • Abus émotionnel → relié plus spécifiquement au TP limite
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67
Q

Facteurs prédicteurs augmentant le risque de souffrir d’un TP: Facteurs importants

A

De plus, certains facteurs prédicteurs augmentent le risque de souffrir d’un TP quel qu’il soit :

  • Faible niveau socio-économique
  • Fait d’être issu d’une famille monoparentale
  • Discorde parentale
  • Présence de conduites antisociales chez les parents
  • Maladie ou décès d’un ou des deux parents en bas âge
  • Expériences d’abus et de négligence (facteur important)
    • Abus sexuel → relié aux TP du groupe B (particulièrement TP limite)
    • Abus émotionnel → relié plus spécifiquement au TP limite
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68
Q

Facteurs prédicteurs augmentant le risque de souffrir d’un TP: Facteurs importants

A

De plus, certains facteurs prédicteurs augmentent le risque de souffrir d’un TP quel qu’il soit :

  • Faible niveau socio-économique
  • Fait d’être issu d’une famille monoparentale
  • Discorde parentale
  • Présence de conduites antisociales chez les parents
  • Maladie ou décès d’un ou des deux parents en bas âge
  • Expériences d’abus et de négligence (facteur important)
    • Abus sexuel → relié aux TP du groupe B (particulièrement TP limite)
    • Abus émotionnel → relié plus spécifiquement au TP limite
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69
Q

TP: Théories d’auteurs et chercheurs

A
  • Vous venez de lire les théories de plusieurs auteurs et chercheurs (Kernberg, Kohut, Ainsworth, Linehan, Beck, Young, Fonagy, Bateman…) Sans vous demander d’associer chacun à leur théorie respective, la compréhension même sommaire de celles-ci vous aidera énormément à faire vos hypothèses bio-psycho-social ou formulations dans la résolution des vignettes cliniques et dans la vraie vie.
  • Ces théories et descriptions sont toutes encore d’actualité et sont à la base de plusieurs courants en psychothérapie. Vous entendrez parler encore souvent de ces auteurs au cours de votre formation et carrière.
  • NB : Êtes-vous à l’aise avec la notion de mécanisme de défense? Soyez sûr d’être capable de décrire (en complément à la liste des mécanismes décrits au chapitre sur la normalité) notamment la projection, le clivage, la passivité-agressivité, le passage à l’acte et l’identification projective.
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70
Q

Troubles de personnalité: Nommez les catégories

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale
    • Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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71
Q

Troubles de personnalité: Qu’est-ce que le Groupe A?

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale
    • Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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72
Q

Troubles de personnalité: Nommez les personnalités du Groupe A

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale
    • Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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73
Q

Troubles de personnalité: Qu’est-ce que le Groupe B?

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale
    • Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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74
Q

Troubles de personnalité: Nommez les personnalités du Groupe B

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale
    • Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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75
Q

Troubles de personnalité: Qu’est-ce que le Groupe C?

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale - Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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76
Q

Troubles de personnalité: Nommez les personnalités du Groupe C

A
  • Groupe A (bizarre / excentrique) :
    • Schizotypique
    • Paranoïaque
    • Schizoïde
  • Groupe B (intense / dramatique) :
    • Limite (borderline)
    • Antisociale - Narcissique
    • Histrionique
  • Groupe C (anxieux / craintif) :
    • Évitant
    • Obsessionnel-compulsif
    • Dépendant
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77
Q

Critères diagnostiques des troubles généraux de la personnalité (DSM-5)

A
  • A. Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui était attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation est manifeste dans au moins deux des domaines suivants :
      1. La cognition (c-à-d. la perception et la vision de soi-même, d’autrui et des événements).
      1. L’affectivité (c-à-d. la diversité, l’intensité émotionnelle, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle).
      1. Le fonctionnement interpersonnel.
      1. Le contrôle des impulsions.
  • B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses.
  • C. Ce mode durable entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Ce mode est stable et prolongé et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
  • E. Ce tableau n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental.
  • F. Ce mode durable n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. drogue donnant lieu à un abus ou médicament) ou d’une autre affection médicale générale (p. ex. un traumatisme crânien).

Ce tableau réfère aux troubles généraux de la personnalité. Lorsqu’un patient répond à ces critères sans répondre totalement aux critères d’un des troubles présentés dans les pages suivantes, il convient de porter un diagnostic de trouble de la personnalité non spécifié.

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78
Q

Critères diagnostiques des troubles généraux de la personnalité (DSM-5)
- domaines où ça doit être présent
- nombre de domaines

A
  • A. Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui était attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation est manifeste dans au moins deux des domaines suivants :
    • 1. La cognition (c-à-d. la perception et la vision de soi-même, d’autrui et des événements).
    • 2. L’affectivité (c-à-d. la diversité, l’intensité émotionnelle, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle).
    • 3. Le fonctionnement interpersonnel.
    • 4. Le contrôle des impulsions.
  • B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses.
  • C. Ce mode durable entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
  • D. Ce mode est stable et prolongé et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
  • E. Ce tableau n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental.
  • F. Ce mode durable n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. drogue donnant lieu à un abus ou médicament) ou d’une autre affection médicale générale (p. ex. un traumatisme crânien).

Ce tableau réfère aux troubles généraux de la personnalité. Lorsqu’un patient répond à ces critères sans répondre totalement aux critères d’un des troubles présentés dans les pages suivantes, il convient de porter un diagnostic de trouble de la personnalité non spécifié.

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79
Q

Trouble de la personnalité non spécifié: Définir

A
  • Ce tableau réfère aux troubles généraux de la personnalité.
  • Lorsqu’un patient répond à ces critères sans répondre totalement aux critères d’un des troubles présentés dans les pages suivantes, il convient de porter un diagnostic de trouble de la personnalité non spécifié.
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80
Q

Décrire l’épidémiologie, l’étiologie, les manifestations cliniques, le diagnostic différentiel, l’évolution, le pronostic et les bases de l’intervention thérapeutique dans les divers troubles de la personnalité (p. 941 à 963)
- Paranoïde (Lalonde, page 941)
- Schizoïde (Lalonde, page 942)
- Schizotypique (Lalonde, page 944)
- Antisociale (Lalonde, page 946)
- Limite (Lalonde, page 945)
- Histrionique (Lalonde, page 943)
- Narcissique (Lalonde, page 947)
- Évitant (Lalonde, page 949)
- Dépendante (Lalonde, page 950)
- Obsessive-compulsive (Lalonde, page 948)

A
  • C’est beaucoup de pages à lire, comment finir par s’y retrouver?
  • Hé oui, avec une arme secrète, le très efficace tableau de synthèse…Vous commencez par trouver l’épidémiologie de chacun des troubles…
  • Facilement vous pourrez alors voir les plus fréquents de façon absolue, mais aussi les répartitions selon les sexes.
  • Par la suite, penchez sur les étiologies, tout en complétant avec les infos que vous trouverez.
  • La description clinique suit bien naturellement.
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81
Q

Définir: Critère confondant

A
  • Qu’est-ce qu’un critère confondant? C’est un critère qui n’est pas exclusif…
  • Par exemple, schizoïde et évitant ont en commun « peu de relations interpersonnelles » …
  • Vous serez donc soucieux de les distinguer…
  • Voyez ensuite le diagnostic différentiel, un mot sur le pronostic avant de spécifier le traitement.
  • Lequel ne peut être que pharmaco et/ou psychothérapeutique… tentez donc d’être spécifique.
  • La description en détail de certaines psychothérapies cités ne fait cependant PAS partie des objectifs de ce thème.
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82
Q

Devoir apprendre critères dx du DSM?

A
  • Souvenez-vous que les critères diagnostics du modèle alternatif DSM-V ne font PAS partie des objectifs de ce cours.
  • Cependant, vous devrez être capable de reconnaitre et d’associer les critères de chacun des troubles de personnalité du DSM-V actuel.
  • Le tableau 40.8 p 951 est également optionnel pour ce cours.
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83
Q

Dans quel contexte une personnalité peut-elle se modifier?

A
  • Et une petite remarque avant de terminer… une personnalité peut se modifier si une condition médicale change le substrat cérébral de façon marquée…
  • Ainsi un TCC pourra devenir impulsif et intolérant, de calme et posé qu’il était avant l’accident.
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84
Q

Personnalité du groupe A: Nommez-les

A
  1. Paranoïde
  2. Schizoïde
  3. Schizotypique
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85
Q

Personnalité du groupe A: PARANOÏDE
- Épidémiologie
- Étiologie
- Dx et présentation clinique
- Pronostic
- Traitement

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique:
    • Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
    • Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
  • Pronostic: Rarement présent sans comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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86
Q

Personnalité du groupe A: PARANOÏDE
- ÉPIDÉMIOLOGIE: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique:
    • Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
    • Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
  • Pronostic: Rarement présent sans comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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87
Q

Personnalité du groupe A: PARANOÏDE
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique:
    • Les patients ne consultent pas d’eux-mêmes ; ils se font référer
    • Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
  • Pronostic: Rarement présent sans comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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88
Q

Personnalité du groupe A: PARANOÏDE
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique:
    • Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
    • Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
  • Pronostic: Rarement présent sans comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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89
Q

Personnalité du groupe A: PARANOÏDE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique:
    • Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
    • Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
  • Pronostic: Rarement présent sans comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOÏDE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
  • Pronostic: Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOÏDE
- ÉPIDÉMIOLOGIE: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
  • Pronostic: Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOÏDE
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Les patients ne consultent pas d’eux-mêmes ; ils se font référer
  • Pronostic: Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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93
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOÏDE
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
  • Pronostic: Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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94
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOÏDE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Les patients ne consultent pas d’euxmêmes ; ils se font référer
  • Pronostic: Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
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95
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
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96
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE
- ÉPIDÉMIOLOGIE: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
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97
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
98
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
99
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
100
Q

Personnalité du groupe A: SCHIZOTYPIQUE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 0.9 % de la population
  • Étiologie:
    • Forte héritabilité (tempérament)
    • Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique: Atteinte très significative du fonctionnement
  • Pronostic: Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
  • Traitement: Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
101
Q

Personnalité du groupe B: Nommez-les

A
  • Antisocial
  • Limite
  • Histrionique
  • Narcissique
102
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
103
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL
- ÉPIDÉDMIO: PRÉVALENCE + H VS F

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
104
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
105
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
106
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
107
Q

Personnalité du groupe B: ANTISOCIAL
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie:
    • 1.1 % de la population
    • H > F
  • Étiologie:
    • Composante génétique (parents – enfant indépendamment de l’environnement)
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Altérations structurales au niveau frontal et des émotions
    • Abus physiques en bas âge
  • Dx et présentation clinique:
    • Carences a/n de l’empathie et de l’intimité (aussi impulsivité, irresponsabilité, transgression loi)
    • Dimensions suicidaires
    • ATCD d’abus physique en bas âge
  • Pronostic:
    • Facteur de mauvais pronostic : comportement agressif et antisocial à l’adolescence
    • Pauvre pronostic
    • Souvent associé au TP narcissique
    • Le vieillissement est associé à une diminution des comportements impulsif et / ou agressif
  • Traitement: Aucune approche psychothérapeutique ne s’est montrée efficace jusqu’à présent.
108
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
109
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE
- ÉPIDÉMIO: PRÉVALENCE + H VS F + FRÉQUENCE

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
110
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
111
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE
- DX ET PRÉSENTATION

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
112
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
113
Q

Personnalité du groupe B: LIMITE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie:
    • 1.6 % de la population
    • Le plus fréquent dans la pratique
    • F > H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)
  • Étiologie:
    • Grande part semble héritable
    • Traits impulsif et agressif (hypoactivité du système sérotoninergique)
    • Théorie de l’attachement (grande richesse de recherche au niveau psycho, voir p. 933-934 pour plus de détails)
    • Abus en bas âge
  • Dx et présentation: Dimensions suicidaire et automutilateur
  • Pronostic:
    • Comorbidités fréquentes : TDAH, troubles des conduites alimentaires et trouble de stress post-traum.
    • Souvent associé au TP dépendant L’évolution au fil des années semble positive (rémission de 80% après 10 ans)
    • Les patients n’atteignent généralement pas un niveau de bon fonctionnement (20%)
  • Traitement: Multiples psychothérapies étudiées sur ces patients : comportementale dialectique, mentalisation, centrée sur le transfert, schémas, STEPPS, cognitivo-analytique
114
Q

Personnalité du groupe B: HISTRIONIQUE

A
  • Épidémiologie: 1.5 % de la population
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase génitale)
  • Dx et présentation:
    • Associé à des renforcements +
    • Pts consultent généralement qu’en situation de crise ou lors d’un trouble comorbide
  • Pronostic: —
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
115
Q

Personnalité du groupe B: HISTRIONIQUE
- ÉPIDÉMIO: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 1.5 % de la population
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase génitale)
  • Dx et présentation:
    • Associé à des renforcements +
    • Pts consultent généralement qu’en situation de crise ou lors d’un trouble comorbide
  • Pronostic: —
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
116
Q

Personnalité du groupe B: HISTRIONIQUE
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie: 1.5 % de la population
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase génitale)
  • Dx et présentation:
    • Associé à des renforcements +
    • Pts consultent généralement qu’en situation de crise ou lors d’un trouble comorbide
  • Pronostic: —
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
117
Q

Personnalité du groupe B: HISTRIONIQUE
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 1.5 % de la population
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase génitale)
  • Dx et présentation:
    • Associé à des renforcements positifs
    • Pts consultent généralement qu’en situation de crise ou lors d’un trouble comorbide
  • Pronostic: —
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
118
Q

Personnalité du groupe B: HISTRIONIQUE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 1.5 % de la population
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase génitale)
  • Dx et présentation:
    • Associé à des renforcements +
    • Pts consultent généralement qu’en situation de crise ou lors d’un trouble comorbide
  • Pronostic: —
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
119
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais + létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
120
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE
- ÉPIDÉMIO: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais + létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
121
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais + létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
122
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais plus létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
123
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais + létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
124
Q

Personnalité du groupe B: NARCISSIQUE
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 0.5 % de la population (faible)
  • Étiologie:
    • Considéré comme le trouble le moins héritable
    • Composante psycho très riche et importante (théorie du manque d’empathie de la part des figures parentales)
    • La société individualiste et compétitive favorise ce TP
  • Dx et présentation clinique:
    • Fragilité de l’estime de soi
    • Surévaluation et/ou dévaluation envers lui-même
    • Dimension suicidaire (peu, mais + létal que la moyenne)
  • Pronostic:
    • Souvent associé au TP antisocial
    • Évolution avec le temps peu favorable en général puisqu’ils prennent mal leurs pertes reliées au vieillissement
  • Traitement:
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
125
Q

Personnalité du groupe C: Nommez-les

A
  • Obsessif-compulsif
  • Évitant
  • Dépendant
126
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
127
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF
- ÉPIDÉMIO

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
128
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
129
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
130
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
131
Q

Personnalité du groupe C: OBSESSIF-COMPULSIF
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 2.1 % de la population (très haute)
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase anale)
  • Dx et présentation clinique: Très rarement diagnostiqué sans comorbidité
  • Ddx: —
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Excellente observance au tx
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP
132
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
133
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- ÉPIDÉMIO: PRÉVALENCE

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
134
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
135
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- DDX

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
136
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- DDX

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
137
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- PRONOSTIC

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
138
Q

Personnalité du groupe C: ÉVITANT
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie: 1.7 % de la population (haute)
  • Étiologie: —
  • Dx et présentation clinique: Associé à; fragilité de l’estime de soi, crainte des risques, sensibilité à la critique, peur d’être humilié / ridiculisé
  • Ddx: Non-associé à la personnalité narcissique (peut-être dans le futur oui…)
  • Pronostic: L’évolution au fil des années semble positive, avec une rémission de près de 90% en dessous de 10 ans
  • Traitement:
    • Approches cognitivo-comportementale et psychodynamique brèves
    • Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
139
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
    • Dx et présentation clinique:
    • Pts consultent généralement lors de situation de crise - Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
140
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT
- ÉPIDÉMIO: PRÉVALENCE + H VS F

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
  • Dx et présentation clinique:
    • Pts consultent généralement lors de situation de crise
    • Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
141
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT
- ÉTIOLOGIE

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
  • Dx et présentation clinique:
    • Pts consultent généralement lors de situation de crise
    • Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
142
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT
- DX ET PRÉSENTATION CLINIQUE

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
    • Dx et présentation clinique:
      • Pts consultent généralement lors de situation de crise
      • Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
143
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT
- COMORBIDITÉ

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
  • Dx et présentation clinique:
    • Pts consultent généralement lors de situation de crise
    • Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
144
Q

Personnalité du groupe C: DÉPENDANT
- TRAITEMENT

A
  • Épidémiologie:
    • 0.7 % de la population (faible)
    • F > H
  • Étiologie: Théorie de Freud (conflit intrapsychique non résolu de la phase orale)
    • Dx et présentation clinique:
      • Pts consultent généralement lors de situation de crise
      • Plus fréquent sous forme de traits de personnalité que de trouble
  • Ddx: —
  • Pronostic: Souvent associé au TP limite
  • Traitement: Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée sur une majorité des TP.
145
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité paranoïde

A
  • A. Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présente dans divers contextes, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :
      1. Le sujet s’attend sans raison suffisante à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent.
      1. Est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés.
      1. Est réticent à se confier à autrui en raison d’une crainte injustifiée que l’information soit utilisée de manière perfide contre lui.
      1. Discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins.
      1. Garde rancune (c.-à-d. ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné).
      1. Perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, alors que ce n’est pas apparent pour les autres, et est prompt à la contre-attaque ou réagit avec colère.
      1. Met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint ou de son partenaire sexuel.
  • B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie, d’un trouble bipolaire ou d’un trouble dépressif avec caractéristiques psychotiques ou d’un autre trouble psychotique et non imputable aux effets physiologiques d’une autre affection médicale.
  • N.B. :Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité paranoïaque (prémorbide) ».
146
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité schizoïde

A
  • A. Mode général de détachement par rapport aux relations sociales et de restriction de la variété des expressions émotionnelles dans les rapports avec autrui, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :
      1. Le sujet ne recherche, ni n’apprécie les relations proches, y compris les relations intrafamiliales.
      1. Choisit presque toujours des activités solitaires.
      1. N’a que peu ou pas d’intérêt pour les relations sexuelles avec d’autres personnes.
      1. N’éprouve du plaisir que dans de rares activités, sinon dans aucune.
      1. N’a pas d’amis proches ou de confidents, en dehors de ses parents du premier degré.
      1. Semble indifférent aux éloges ou à la critique d’autrui.
      1. Fait preuve de froideur, de détachement, ou d’émoussement de l’affectivité.
  • B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie, d’un trouble bipolaire ou d’un trouble dépressif avec caractéristiques psychotiques, d’un autre trouble psychotique ou d’un trouble du spectre de l’autisme et n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une autre affection médicale.
  • N.B. :Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité schizoïde (prémorbide) ».
147
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité histrionique

A

Mode général de réponses émotionnelles excessives et de quête d’attention, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :

  1. Le sujet est mal à l’aise dans les situations où il n’est pas au centre de l’attention d’autrui.
  2. L’interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction sexuelle inadaptée ou une attitude provocante.
  3. Expression émotionnelle superficielle et rapidement changeante.
  4. Utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l’attention sur soi.
  5. Manière de parler trop subjective mais pauvre en détails.
  6. Dramatisation, théâtralisme et exagération de l’expression émotionnelle.
  7. Suggestibilité, est facilement influencé par autrui ou par les circonstances.
  8. Considère que ses relations sont plus intimes qu’elles ne le sont en réalité.
148
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité schizotypique (DSM)

A
  • A. Mode général de déficit social et interpersonnel marqué par une gêne aiguë et des compétences réduites dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles et par des conduites excentriques. Le trouble apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :
  1. Idées de référence (à l’exception des idées délirantes de référence).
  2. Croyances bizarres ou pensée magique qui influencent le comportement et qui ne sont pas en rapport avec les normes d’un sous-groupe culturel (p. ex. superstition, croyance dans un don de voyance, dans la télépathie ou dans un « sixième » sens ; chez les enfants et les adolescents, rêveries ou préoccupations bizarres).
  3. Perceptions inhabituelles, notamment illusions corporelles.
  4. Pensée et langage bizarre (p. ex., vagues, circonstanciés, métaphoriques, alambiqués ou stéréotypés).
  5. Idéation méfiante ou persécutoire.
  6. Inadéquation ou pauvreté des affects.
  7. Comportement ou aspect bizarre, excentrique ou singulier.
  8. Absence d’amis proches ou de confidents en dehors des parents du premier degré.
  9. Anxiété excessive en situation sociale qui ne diminue pas quand la personne se familiarise avec la situation et qui est due à des craintes persécutoires plutôt qu’à un jugement négatif de soi-même.
  • B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution :
    • d’une schizophrénie ;
    • d’un trouble bipolaire ;
    • d’un trouble dépressif avec des caractéristiques psychotiques ;
    • d’un autre trouble psychotique ;
    • ou d’un trouble du spectre de l’autisme.
  • N.B. :Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité schizotypique (prémorbide) ».
149
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité schizotypique - Modèle alternatif du DSM-5

A
150
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité limite (borderline)

A

Mode général d’instabilité des relations interpersonnelles, de l’image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :

  1. Efforts effrénés pour éviter les abandons réels ou imaginés. (N.B. : Ne pas inclure les comportements suicidaires ou les automutilations énumérés dans le critère 5.)
  2. Mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l’alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation.
  3. Perturbation de l’identité : instabilité marquée et persistante de l’image ou de la notion de soi.
  4. Impulsivité dans au moins deux domaines potentiellement dommageables pour le sujet (p. ex. dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie). (N.B. :Ne pas inclure les comportements suicidaires ou les automutilations énumérés dans le critère 5.)
  5. Répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires, ou d’automutilations.
  6. Instabilité affective due à une réactivité marquée de l’humeur (p. ex. dysphorie épisodique intense, irritabilité ou anxiété durant habituellement quelques heures et rarement plus de quelques jours).
  7. Sentiments chroniques de vide.
  8. Colères intenses et inappropriées ou difficulté à contrôler sa colère (p. ex. fréquentes manifestations de mauvaise humeur, colère constante ou bagarres répétées).
  9. Survenue transitoire dans des situations de stress d’une idéation persécutrice ou de symptômes dissociatifs sévères.
151
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité antisociale

A
  • A. Mode général de mépris et de transgression des droits d’autrui qui survient depuis l’âge de 15 ans, comme en témoignent au moins trois des manifestations suivantes :
    1. Incapacité de se conformer aux normes sociales qui déterminent les comportements légaux, comme l’indique la répétition de comportements passibles d’arrestation.
    2. Tendance à tromper pour un profit ou par plaisir, indiquée par des mensonges répétés, l’utilisation de pseudonymes ou des escroqueries.
    3. Impulsivité ou incapacité à planifier à l’avance.
    4. Irritabilité ou agressivité, comme en témoigne la répétition de bagarres ou d’agressions.
    5. Mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d’autrui.
    6. Irresponsabilité persistante, indiquée par l’incapacité répétée d’assumer un emploi stable ou d’honorer des obligations financières.
    7. Absence de remords, indiquée par le fait d’être indifférent ou de se justifier après avoir blessé, maltraité ou volé autrui.
  • B. Âge au moins égal à 18 ans.
  • C. Manifestations d’un trouble des conduites débutant avant l’âge de 15 ans.
  • D. Les comportements antisociaux ne surviennent pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie ou d’un trouble bipolaire.
152
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité narcissique

A

Mode général de fantaisies ou de comportements grandioses, de besoin d’être admiré et de manque d’empathie qui apparaissent au début de l’âge adulte et sont présents dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :

  1. Le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (p. ex. surestime ses réalisations et ses capacités, s’attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport).
  2. Est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté ou d’amour idéal.
  3. Pense être spécial et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau.
  4. Besoin excessif d’être admiré.
  5. Pense que tout lui est dû : s’attend sans raison à bénéficier d’un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits.
  6. Exploite l’autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins.
  7. Manque d’empathie : n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui.
  8. Envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient.
  9. Fait preuve d’attitudes et comportements arrogants et hautains.
153
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité obsessionnelle-compulsive

A

Mode général de préoccupation pour l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel, aux dépens d’une souplesse, d’une ouverture et de l’efficacité, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :

  1. Préoccupations par les détails, les règles, les inventaires, l’organisation ou les plans au point que le but principal de l’activité est perdu de vue.
  2. Perfectionnisme qui entrave l’achèvement des tâches (p. ex. incapacité d’achever un projet parce que des exigences personnelles trop strictes ne sont pas remplies).
  3. Dévotion excessive pour le travail et la productivité à l’exclusion des loisirs et des amitiés (sans que cela soit expliqué par des impératifs économiques évidents).
  4. Est trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des questions de morale, d’éthique ou de valeurs (sans que cela soit expliqué par une appartenance religieuse ou culturelle).
  5. Incapacité de jeter des objets usés ou sans utilité même si ceux-ci n’ont pas de valeur sentimentale.
  6. Réticence à déléguer des tâches ou à travailler avec autrui à moins que les autres se soumettent exactement à sa manière de faire les choses.
  7. Se montre avare avec l’argent pour soi-même et les autres ; l’argent est perçu comme quelque chose qui doit être thésaurisé en vue de catastrophes futures
  8. Se montre rigide et têtu.
154
Q
A
155
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité évitante

A

Mode général d’inhibition sociale, de sentiments de ne pas être à la hauteur et d’hypersensibilité au jugement négatif d’autrui qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :

  1. Le sujet évite les activités sociales professionnelles qui impliquent des contacts importants avec autrui par crainte d’être critiqué, désapprouvé ou rejeté.
  2. Réticence à s’impliquer avec autrui à moins d’être certain d’être aimé.
  3. Est réservé dans les relations intimes par crainte d’être exposé à la honte ou au ridicule.
  4. Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales.
  5. Est inhibé dans les situations interpersonnelles nouvelles à cause d’un sentiment de ne pas être à la hauteur.
  6. Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres.
  7. Est particulièrement réticent à prendre des risques personnels ou à s’engager dans de nouvelles activités par crainte d’éprouver de l’embarras.
156
Q

Critères diagnostiques du trouble de la personnalité dépendante

A

Besoin général et excessif d’être pris en charge qui conduit à un comportement soumis et « collant » et à une peur de la séparation, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :

  1. Le sujet a du mal à prendre des décisions dans la vie courante sans être rassuré ou conseillé de manière excessive par autrui.
  2. A besoin que d’autres assument les responsabilités dans la plupart des domaines importants de sa vie.
  3. A du mal à exprimer un désaccord avec autrui de peur de perdre son soutien ou son approbation. (N.B. :Ne pas tenir compte d’une crainte réaliste de sanctions.)
  4. A du mal à initier des projets ou à faire des choses seul (par manque de confiance en son propre jugement ou en ses propres capacités plutôt que par manque de motivation ou d’énergie).
  5. Cherche à outrance à obtenir le soutien et l’appui d’autrui, au point de faire volontairement des choses désagréables.
  6. Se sent mal à l’aise ou impuissant quand il est seul par crainte exagérée d’être incapable de se débrouiller.
  7. Lorsqu’une relation proche se termine, cherche de manière urgente une autre relation qui puisse assurer les soins et le soutien dont il a besoin.
  8. Est préoccupé de manière irréaliste par la crainte d’être laissé à se débrouiller seul.
157
Q

Tr de personnalité: Infos supplémentaires

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
158
Q

Tr de personnalité: Prévalence dans la population

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
159
Q

Tr de personnalité: Troubles qui sont généralement présents plus jeunes

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
160
Q

Tr de personnalité: Présence de pathos psychiatriques chez les TP

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
161
Q

Tr de personnalité: Groupes de personnalité + ses associations cliniques grossières

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
162
Q

Tr de personnalité: Étiologie des TP

A
  • 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
  • Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
  • La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
  • Associations cliniques grossières :
    • Groupe A → troubles psychotiques
    • Groupe B → troubles de l’humeur, du contrôle des impulsions et liés aux substances
    • Groupe C → troubles anxieux et dépressif
  • La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
163
Q

Traitement des TP et TP groupe B: Généralités

A
  • Certaines interventions, habituellement considérées adéquates dans le traitement des autres troubles mentaux, peuvent être inefficaces voire même nuire au patient souffrant d’un TP.
  • Les patients du groupe B ainsi que ceux ayant un TP limite recherche habituellement un traitement spécifique pour leur trouble, et des traitements particuliers sont proposés.
164
Q

Traitement des TP: Pour quels patients est-il important d’avoir un tx spécifique?

A
  • Certaines interventions, habituellement considérées adéquates dans le traitement des autres troubles mentaux, peuvent être inefficaces voire même nuire au patient souffrant d’un TP.
  • Les patients du groupe B ainsi que ceux ayant un TP limite recherche habituellement un traitement spécifique pour leur trouble, et des traitements particuliers sont proposés.
165
Q

TPL: Causes de certaines manifestations spectaculaires

A
  • Il est connu que certaines manifestations les plus spectaculaires que pourrait par exemple présenter un patient souffrant d’un TP limite (escalade de geste suicidaire, comportement régressés, hostilité) pourraient être d’origine iatrogénique.
  • La théorie est la suivante, lorsque patient entre en relation avec des soignants, le système de l’attachement est stimulé, soit par la relation thérapeutique elle-même, soit sous l’effet d’un stress qui a précipité la consultation (dispute avec un proche par exemple).
  • Le stress chez ces patients entraîne des comportements impulsifs, des attitudes hostiles et des demandes inappropriées ou excessives de prise en charges, qui sont elles-mêmes à risque de susciter des réactions extrêmes de la part des soignants.
  • Ces attitudes de la part des soignants prennent habituellement l’une des trois formes suivantes :
    • Attitude de rejet hostile
    • Attitude punitive ou de contrôle autoritaire
    • Attitude de sauvetage ou de prise en charge irréaliste
166
Q

TPL: Pourquoi dit-on que certaines manifestations seraient d’origine iatrogénique?

A
  • Il est connu que certaines manifestations les plus spectaculaires que pourrait par exemple présenter un patient souffrant d’un TP limite (escalade de geste suicidaire, comportement régressés, hostilité) pourraient être d’origine iatrogénique.
  • La théorie est la suivante, lorsque patient entre en relation avec des soignants, le système de l’attachement est stimulé, soit par la relation thérapeutique elle-même, soit sous l’effet d’un stress qui a précipité la consultation (dispute avec un proche par exemple).
  • Le stress chez ces patients entraîne des comportements impulsifs, des attitudes hostiles et des demandes inappropriées ou excessives de prise en charges, qui sont elles-mêmes à risque de susciter des réactions extrêmes de la part des soignants.
  • Ces attitudes de la part des soignants prennent habituellement l’une des trois formes suivantes :
    • Attitude de rejet hostile
    • Attitude punitive ou de contrôle autoritaire
    • Attitude de sauvetage ou de prise en charge irréaliste
167
Q

TPL: Physiopatho des manifestations iatrogéniques

A
  • Il est connu que certaines manifestations les plus spectaculaires que pourrait par exemple présenter un patient souffrant d’un TP limite (escalade de geste suicidaire, comportement régressés, hostilité) pourraient être d’origine iatrogénique.
  • La théorie est la suivante, lorsque patient entre en relation avec des soignants, le système de l’attachement est stimulé, soit par la relation thérapeutique elle-même, soit sous l’effet d’un stress qui a précipité la consultation (dispute avec un proche par exemple).
  • Le stress chez ces patients entraîne des comportements impulsifs, des attitudes hostiles et des demandes inappropriées ou excessives de prise en charges, qui sont elles-mêmes à risque de susciter des réactions extrêmes de la part des soignants.
  • Ces attitudes de la part des soignants prennent habituellement l’une des trois formes suivantes :
    • Attitude de rejet hostile
    • Attitude punitive ou de contrôle autoritaire
    • Attitude de sauvetage ou de prise en charge irréaliste
168
Q

TPL: Attitude de la part des soignants suite aux manifestations spectaculaires d’origine iatrogénique

A
  • Ces attitudes de la part des soignants prennent habituellement l’une des trois formes suivantes :
    • Attitude de rejet hostile
    • Attitude punitive ou de contrôle autoritaire
    • Attitude de sauvetage ou de prise en charge irréaliste
169
Q

TPL: Quelle attitude est-il conseillé d’avoir avec ces patients?

A
  • Bien qu’il ait été suggéré pendant une période de ne tout simplement pas s’occuper de ces patients, nous savons qu’aujourd’hui qu’une personne avec un TP limite répond moins bien au traitement des comorbidités si les problèmes reliés à la personnalité ne sont pas traités adéquatement.
  • Ainsi, bien qu’il soit primordial de s’assurer que l’intervention ne nuise pas au patient (comme une polypharmacie pour les symptômes fluctuants), la meilleure réponse thérapeutique n’est pas l’absence de traitement.
170
Q

TPL: Meilleur traitement

A
  • Bien qu’il ait été suggéré pendant une période de ne tout simplement pas s’occuper de ces patients, nous savons qu’aujourd’hui qu’une personne avec un TP limite répond moins bien au traitement des comorbidités si les problèmes reliés à la personnalité ne sont pas traités adéquatement.
  • Ainsi, bien qu’il soit primordial de s’assurer que l’intervention ne nuise pas au patient (comme une polypharmacie pour les symptômes fluctuants), la meilleure réponse thérapeutique n’est pas l’absence de traitement.
171
Q

TPL: Que le tx des patients TPL?

A

De manière générale, on dit que le traitement chez ces patients vise à

  • Ne pas renforcer les comportements dommageables et la régression
  • D’augmenter et de soutenir leur autonomie dans la résolution de problème et de gestion de crise.
  • Maintenir et améliorer leur fonctionnement social
172
Q

TPL et TP groupe B: Qu’est-ce que toutes les thérapies pour les TPL ont en commun?

A
  • Toutes les thérapies montrées efficaces dans le traitement de ces patients ont en commun certaines balises et certain principe visant à ne pas leur nuire.
  • On dit du traitement qu’il doit être structuré : il doit s’inscrire dans les balises et règles préalablement choisies.
173
Q

Nommez les particularités que doivent avoir les traitements pour les TPL et TP groupe B

A
  1. Un cadre doit être défini à l’avance et connu de tous les différents intervenants.
  • Les intervenants devront s’y référer avant d’entreprendre des décisions cliniques.
  • Doit être communiquer au patient clairement et de manière empathique.
  1. L’utilisation d’un cadre permet de réduire l’anxiété à la fois des patients et des cliniciens.
  • Sert de balise de soutien
  • Utile également pour indiquer à l’intervenant que celui-ci serait tombé dans le contre-transfert.
  1. Cependant, des particularités sont à noter :
  • Aucun cadre ne peut prévoir toutes les éventualités risquant de survenir. Il est parfois nécessaire d’ajuster le cadre en fonction d’une situation spécifique. Dans un tel cas, il est conseillé de le faire durant une réunion d’équipe.
  • Un cadre trop rigide et sévère peut être contre-thérapeutique. En dehors des comportements inacceptables (menacer, etc…), il est recommandé de la laisser des chances au patient. Il ne faut donc pas par exemple exclure le patient d’un traitement dès qu’il est en retard ou qu’il cumule une première absence.
  • Les phases initiales de thérapie avec cette clientèle est souvent chaotique, ce qui demande plus de flexibilité dans l’adoption du cadre.
174
Q

Particularités des traitements pour les TPL et TP groupe B: Intervenants

A
  1. Un cadre doit être défini à l’avance et connu de tous les différents intervenants.
    - Les intervenants devront s’y référer avant d’entreprendre des décisions cliniques.
    - Doit être communiquer au patient clairement et de manière empathique.
  2. L’utilisation d’un cadre permet de réduire l’anxiété à la fois des patients et des cliniciens.
    - Sert de balise de soutien
    - Utile également pour indiquer à l’intervenant que celui-ci serait tombé dans le contre-transfert.
  3. Cependant, des particularités sont à noter :
    - Aucun cadre ne peut prévoir toutes les éventualités risquant de survenir. Il est parfois nécessaire d’ajuster le cadre en fonction d’une situation spécifique. Dans un tel cas, il est conseillé de le faire durant une réunion d’équipe.
    - Un cadre trop rigide et sévère peut être contre-thérapeutique. En dehors des comportements inacceptables (menacer, etc…), il est recommandé de la laisser des chances au patient. Il ne faut donc pas par exemple exclure le patient d’un traitement dès qu’il est en retard ou qu’il cumule une première absence.
    - Les phases initiales de thérapie avec cette clientèle est souvent chaotique, ce qui demande plus de flexibilité dans l’adoption du cadre.
175
Q

Particularités des traitements pour les TPL et TP groupe B: Utilité du cadre

A
  1. Un cadre doit être défini à l’avance et connu de tous les différents intervenants.
    - Les intervenants devront s’y référer avant d’entreprendre des décisions cliniques.
    - Doit être communiquer au patient clairement et de manière empathique.
  2. L’utilisation d’un cadre permet de réduire l’anxiété à la fois des patients et des cliniciens.
    - Sert de balise de soutien
    - Utile également pour indiquer à l’intervenant que celui-ci serait tombé dans le contre-transfert.
  3. Cependant, des particularités sont à noter :
    - Aucun cadre ne peut prévoir toutes les éventualités risquant de survenir. Il est parfois nécessaire d’ajuster le cadre en fonction d’une situation spécifique. Dans un tel cas, il est conseillé de le faire durant une réunion d’équipe.
    - Un cadre trop rigide et sévère peut être contre-thérapeutique. En dehors des comportements inacceptables (menacer, etc…), il est recommandé de la laisser des chances au patient. Il ne faut donc pas par exemple exclure le patient d’un traitement dès qu’il est en retard ou qu’il cumule une première absence.
    - Les phases initiales de thérapie avec cette clientèle est souvent chaotique, ce qui demande plus de flexibilité dans l’adoption du cadre.
176
Q

Particularités des traitements pour les TPL et TP groupe B: Particularités à noter en lien avec le cadre

A
  1. Un cadre doit être défini à l’avance et connu de tous les différents intervenants.
    - Les intervenants devront s’y référer avant d’entreprendre des décisions cliniques.
    - Doit être communiquer au patient clairement et de manière empathique.
  2. L’utilisation d’un cadre permet de réduire l’anxiété à la fois des patients et des cliniciens.
    - Sert de balise de soutien
    - Utile également pour indiquer à l’intervenant que celui-ci serait tombé dans le contre-transfert.
  3. Cependant, des particularités sont à noter :
    - Aucun cadre ne peut prévoir toutes les éventualités risquant de survenir. Il est parfois nécessaire d’ajuster le cadre en fonction d’une situation spécifique. Dans un tel cas, il est conseillé de le faire durant une réunion d’équipe.
    - Un cadre trop rigide et sévère peut être contre-thérapeutique. En dehors des comportements inacceptables (menacer, etc…), il est recommandé de la laisser des chances au patient. Il ne faut donc pas par exemple exclure le patient d’un traitement dès qu’il est en retard ou qu’il cumule une première absence.
    - Les phases initiales de thérapie avec cette clientèle est souvent chaotique, ce qui demande plus de flexibilité dans l’adoption du cadre.
177
Q

Particularités des traitements pour les TPL et TP groupe B: En lien avec les professionnels

A
  • Un autre élément essentiel de la thérapie auprès de ces personnes est d’exposer clairement le rôle de chaque professionnel, dans l’optique que le patient ne cumule pas des thérapies à visée différente ou qu’il décide de visiter plusieurs cliniques.
  • Il est également risqué de s’engager seul dans la thérapie de ces patients, compte tenu du possible contre-transfert.
178
Q

Particularités des traitements pour les TPL et TP groupe B: Comment gérer le risque sucidaire?

A
  • Également, il est fréquent avec ce type de clientèle d’être confronté à la problématique des idéations suicidaires chroniques (à distinguer de la crise aigüe du risque suicidaire).
  • Certains patients sont envahis, depuis de nombreuses années par des idées suicidaires fréquentes (quotidienne, ininterrompue et/ou d’intensité fluctuante).
  • On peut généralement convenir de tolérer le risque chronique, en demandant au patient de nous aviser dès qu’il perçoit une montée du risque.
179
Q

TPL et TP groupe B: Approches les plus efficaces

A
  • Les psychothérapies sont actuellement les approches les plus efficaces.
  • Cela implique que le patient doit rester motivé et volontaire.
  • À cette fin, l’alliance thérapeutique est de mise.
  • Il faut garder à l’esprit que ces patients possèdent souvent une vision du monde faite de déceptions et de blessures relationnelles.
  • Leurs attitudes parfois opposantes, hostiles ou désespérées font parties de la problématique pour laquelle ils recherchent de l’aide.
  • Actuellement, il est recommandé de faire intervenir les proches dans la thérapie.
  • Avoir des proches dans la thérapie permet d’aider ces derniers dans les relations qu’ils entretiennent avec le patient, afin de favoriser leur aptitude à fonctionner et de modifier certaines de leur façon d’agir qui pourraient entretenir des conflits.
180
Q

TPL et TP groupe B: Ce qui est essentiel pour que la thérapie fonctionne

A
  • Les psychothérapies sont actuellement les approches les plus efficaces.
  • Cela implique que le patient doit rester motivé et volontaire.
  • À cette fin, l’alliance thérapeutique est de mise.
  • Il faut garder à l’esprit que ces patients possèdent souvent une vision du monde faite de déceptions et de blessures relationnelles.
  • Leurs attitudes parfois opposantes, hostiles ou désespérées font parties de la problématique pour laquelle ils recherchent de l’aide.
  • Actuellement, il est recommandé de faire intervenir les proches dans la thérapie.
  • Avoir des proches dans la thérapie permet d’aider ces derniers dans les relations qu’ils entretiennent avec le patient, afin de favoriser leur aptitude à fonctionner et de modifier certaines de leur façon d’agir qui pourraient entretenir des conflits.
181
Q

TPL et TP groupe B: Comment garder le patient motivé et volontaire en thérapie?

A
  • Les psychothérapies sont actuellement les approches les plus efficaces.
  • Cela implique que le patient doit rester motivé et volontaire.
  • À cette fin, l’alliance thérapeutique est de mise.
  • Il faut garder à l’esprit que ces patients possèdent souvent une vision du monde faite de déceptions et de blessures relationnelles.
  • Leurs attitudes parfois opposantes, hostiles ou désespérées font parties de la problématique pour laquelle ils recherchent de l’aide.
  • Actuellement, il est recommandé de faire intervenir les proches dans la thérapie.
  • Avoir des proches dans la thérapie permet d’aider ces derniers dans les relations qu’ils entretiennent avec le patient, afin de favoriser leur aptitude à fonctionner et de modifier certaines de leur façon d’agir qui pourraient entretenir des conflits.
182
Q

TPL et TP groupe B: Pourquoi le maintien d’une bonne alliance thérapeutique est particulièrement nécessaire?

A
  • Les psychothérapies sont actuellement les approches les plus efficaces.
  • Cela implique que le patient doit rester motivé et volontaire.
  • À cette fin, l’alliance thérapeutique est de mise.
  • Il faut garder à l’esprit que ces patients possèdent souvent une vision du monde faite de déceptions et de blessures relationnelles.
  • Leurs attitudes parfois opposantes, hostiles ou désespérées font parties de la problématique pour laquelle ils recherchent de l’aide.
  • Actuellement, il est recommandé de faire intervenir les proches dans la thérapie.
  • Avoir des proches dans la thérapie permet d’aider ces derniers dans les relations qu’ils entretiennent avec le patient, afin de favoriser leur aptitude à fonctionner et de modifier certaines de leur façon d’agir qui pourraient entretenir des conflits.
183
Q

TPL et TP groupe B: Qui d’autres peut-on faire intervenir dans la thérapie? Pourquoi?

A
  • Les psychothérapies sont actuellement les approches les plus efficaces.
  • Cela implique que le patient doit rester motivé et volontaire.
  • À cette fin, l’alliance thérapeutique est de mise.
  • Il faut garder à l’esprit que ces patients possèdent souvent une vision du monde faite de déceptions et de blessures relationnelles.
  • Leurs attitudes parfois opposantes, hostiles ou désespérées font parties de la problématique pour laquelle ils recherchent de l’aide.
  • Actuellement, il est recommandé de faire intervenir les proches dans la thérapie.
  • Avoir des proches dans la thérapie permet d’aider ces derniers dans les relations qu’ils entretiennent avec le patient, afin de favoriser leur aptitude à fonctionner et de modifier certaines de leur façon d’agir qui pourraient entretenir des conflits.
184
Q

Patient TP antisociale grave: Thérapie la plus efficace

A
  • En ce qui concerne les patients avec une forme grave de TP antisociale, parfois nommés « psychopathes », aucune thérapie ne s’est montrée efficace.
  • Habituellement, l’intervention auprès de cette population relève plus du légal que de la psychiatrie.
185
Q

Traitements des TP: Comment les traitements sont organisés?

A
  • Les traitements sont organisés autour de plusieurs niveaux de soin dépendamment de l’intensité des symptômes et de comorbidités.
  • Les niveaux sont organisés en fonction d’une gradation de contenance, d’intensité, de structure, de coût et d’objectif.
  • On vise à :
    1. Gérer la crise
    2. Stabiliser le comportement
    3. Réhabiliter socialement
    4. Favoriser la croissance psychologique
186
Q

Traitements des TP: De quoi dépend les niveaux de soin?

A
  • Les traitements sont organisés autour de plusieurs niveaux de soin dépendamment de l’intensité des symptômes et de comorbidités.
  • Les niveaux sont organisés en fonction d’une gradation de contenance, d’intensité, de structure, de coût et d’objectif.
  • On vise à :
    1. Gérer la crise
    2. Stabiliser le comportement
    3. Réhabiliter socialement
    4. Favoriser la croissance psychologique
187
Q

Traitements des TP: Qu’est-ce que visent les traitements?

A
  • Les traitements sont organisés autour de plusieurs niveaux de soin dépendamment de l’intensité des symptômes et de comorbidités.
  • Les niveaux sont organisés en fonction d’une gradation de contenance, d’intensité, de structure, de coût et d’objectif.
  • On vise à :
    1. Gérer la crise
    2. Stabiliser le comportement
    3. Réhabiliter socialement
    4. Favoriser la croissance psychologique
188
Q

Traitements des TP: Options de traitement

A
  1. Hospitalisation
  2. Hôpital de jour
  3. Services spécialisés de 2e et 3e ligne
  4. Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne
  5. Services de 1ère ligne en santé mentale
189
Q

Traitements des TP: Hospitalisation
- Utilité

A

Hospitalisation : fréquemment précipitée par une situation de crise reliée à des stress psychosociaux que le patient n’a pu gérer avec ses ressources disponibles.

  • Il faut garder en tête que l’on vise des hospitalisations les plus brèves possibles puisque la nature même du fonctionnement intra-hospitalier est propice au clivage, à la régression et à une augmentation du risque suicidaire au moment du congé.
  • Les indications en faveur d’une hospitalisation sont :
    • Escalade d’actes dommageables et de risque suicidaire.
    • Émergence ou aggravation de symptômes reliés aux comorbidités (ex : manifestation psychotique, manie, etc…)
    • Temps d’arrêt pour fournir un temps de réflexion et réviser les orientations du traitement
  • Les séjours à l’hôpital sont brefs (2-7 jours) et visent :
    • Gestion de la crise
    • Évaluation de la situation
    • Rencontre avec le réseau
    • Résolution de problèmes plus urgents.
190
Q

Traitements des TP: Hospitalisation
- Durée de l’hospitalisation

A

Hospitalisation : fréquemment précipitée par une situation de crise reliée à des stress psychosociaux que le patient n’a pu gérer avec ses ressources disponibles.

  • Il faut garder en tête que l’on vise des hospitalisations les plus brèves possibles puisque la nature même du fonctionnement intra-hospitalier est propice au clivage, à la régression et à une augmentation du risque suicidaire au moment du congé.
  • Les indications en faveur d’une hospitalisation sont :
    • Escalade d’actes dommageables et de risque suicidaire.
    • Émergence ou aggravation de symptômes reliés aux comorbidités (ex : manifestation psychotique, manie, etc…)
    • Temps d’arrêt pour fournir un temps de réflexion et réviser les orientations du traitement
  • Les séjours à l’hôpital sont brefs (2-7 jours) et visent :
    • Gestion de la crise
    • Évaluation de la situation
    • Rencontre avec le réseau
    • Résolution de problèmes plus urgents.
191
Q

Traitements des TP: Hospitalisation
- Indications hospit

A

Hospitalisation : fréquemment précipitée par une situation de crise reliée à des stress psychosociaux que le patient n’a pu gérer avec ses ressources disponibles.

  • Il faut garder en tête que l’on vise des hospitalisations les plus brèves possibles puisque la nature même du fonctionnement intra-hospitalier est propice au clivage, à la régression et à une augmentation du risque suicidaire au moment du congé.
  • Les indications en faveur d’une hospitalisation sont :
    • Escalade d’actes dommageables et de risque suicidaire.
    • Émergence ou aggravation de symptômes reliés aux comorbidités (ex : manifestation psychotique, manie, etc…)
    • Temps d’arrêt pour fournir un temps de réflexion et réviser les orientations du traitement
  • Les séjours à l’hôpital sont brefs (2-7 jours) et visent :
    • Gestion de la crise
    • Évaluation de la situation
    • Rencontre avec le réseau
    • Résolution de problèmes plus urgents.
192
Q

Traitements des TP: Hospitalisation
- À quoi servent les hospit?

A

Hospitalisation : fréquemment précipitée par une situation de crise reliée à des stress psychosociaux que le patient n’a pu gérer avec ses ressources disponibles.

  • Il faut garder en tête que l’on vise des hospitalisations les plus brèves possibles puisque la nature même du fonctionnement intra-hospitalier est propice au clivage, à la régression et à une augmentation du risque suicidaire au moment du congé.
  • Les indications en faveur d’une hospitalisation sont :
    • Escalade d’actes dommageables et de risque suicidaire.
    • Émergence ou aggravation de symptômes reliés aux comorbidités (ex : manifestation psychotique, manie, etc…)
    • Temps d’arrêt pour fournir un temps de réflexion et réviser les orientations du traitement
  • Les séjours à l’hôpital sont brefs (2-7 jours) et visent :
    • Gestion de la crise
    • Évaluation de la situation
    • Rencontre avec le réseau
    • Résolution de problèmes plus urgents.
193
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- Utilité

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
194
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- Permet quoi?

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
195
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- Ce qu’il permet

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
196
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- intensité et durée des thérapies

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
197
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- spécialisation

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
198
Q

Traitements des TP: Hôpital de jour
- à favoriser dans quel contexte?

A

Hôpital de jour : offre généralement un bon contexte pour poursuivre des objectifs de stabilisation comportementale et faire le pont entre des ressources plus intensives et le suivi clinique ambulatoire ou de première ligne.

  • Ils offrent quotidiennement plusieurs heures de soins
  • Permet au patient de rester dans son milieu naturel le reste du temps
  • L’intensité et la durée des thérapies sont sujettes à variation (habituellement de 4-8 semaines)
  • Certains sont spécialisés selon une clientèle tandis que d’autres non
  • À favoriser à l’hospitalisation lorsque accessible et réaliste.
199
Q

Traitements des TP: Services spécialisés de 2e et 3e ligne
- Pour quels patients?

A

Services spécialisés de 2e et 3e ligne : offerts aux patients avec TP modéré à grave qui souhaitent s’investir dans une thérapie active.

  • Versions modifiées des thérapies courantes, mélangeant les approches individuelles et de groupes
  • Offrent divers degrés de niveaux :
    • Consultation
    • Formation des thérapeutes et transmission des connaissances
    • Soutien aux autres lignes de soins
    • Recherche clinique
200
Q

Traitements des TP: Services spécialisés de 2e et 3e ligne
- consiste en quoi?

A

Services spécialisés de 2e et 3e ligne : offerts aux patients avec TP modéré à grave qui souhaitent s’investir dans une thérapie active.

  • Versions modifiées des thérapies courantes, mélangeant les approches individuelles et de groupes
  • Offrent divers degrés de niveaux :
    • Consultation
    • Formation des thérapeutes et transmission des connaissances
    • Soutien aux autres lignes de soins
    • Recherche clinique
201
Q

Traitements des TP: Services spécialisés de 2e et 3e ligne
- degrés de niveaux

A

Services spécialisés de 2e et 3e ligne : offerts aux patients avec TP modéré à grave qui souhaitent s’investir dans une thérapie active.

  • Versions modifiées des thérapies courantes, mélangeant les approches individuelles et de groupes
  • Offrent divers degrés de niveaux :
    • Consultation
    • Formation des thérapeutes et transmission des connaissances
    • Soutien aux autres lignes de soins
    • Recherche clinique
202
Q

Traitements des TP: Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne
- sert à quoi?

A

Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne : offre un suivi thérapeutique dont l’objectif peut être très varié

  • Formés habituellement de clientèle hétérogène avec une portion non-négligeable de TP (problématique principale ou comorbidité)
  • Offre une aide de plusieurs professionnelles de plusieurs disciplines.
203
Q

Traitements des TP: Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne
- pour quels patients?

A

Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne : offre un suivi thérapeutique dont l’objectif peut être très varié

  • Formés habituellement de clientèle hétérogène avec une portion non-négligeable de TP (problématique principale ou comorbidité)
  • Offre une aide de plusieurs professionnelles de plusieurs disciplines.
204
Q

Traitements des TP: Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne
- consiste en quoi?

A

Services externes de psychiatrie générale de 2e ligne : offre un suivi thérapeutique dont l’objectif peut être très varié

  • Formés habituellement de clientèle hétérogène avec une portion non-négligeable de TP (problématique principale ou comorbidité)
  • Offre une aide de plusieurs professionnelles de plusieurs disciplines.
205
Q

Traitements des TP: Services de 1ère ligne en santé mentale

A

Services de 1ère ligne en santé mentale : offrent des services vastes et diversifiés

  • CLSC, médecin de famille, psychologues, intervenants scolaires, etc…
  • La majorité des patients TP reçoit des services de ce niveau surtout si la gravité est moindre ou atténuée avec le temps
  • S’adresse à toute la population et facilement accessible
  • Notons que l’un des objectifs des services de 2e ligne est de permettre au patient de développer assez d’autonomie pour que celui-ci n’est pas besoin des services de 1ière ligne.
206
Q

Traitements des TP: Services de 1ère ligne en santé mentale
- services offerts

A

Services de 1ère ligne en santé mentale : offrent des services vastes et diversifiés

  • CLSC, médecin de famille, psychologues, intervenants scolaires, etc…
  • La majorité des patients TP reçoit des services de ce niveau surtout si la gravité est moindre ou atténuée avec le temps
  • S’adresse à toute la population et facilement accessible
  • Notons que l’un des objectifs des services de 2e ligne est de permettre au patient de développer assez d’autonomie pour que celui-ci n’est pas besoin des services de 1ière ligne.
207
Q

Traitements des TP: Services de 1ère ligne en santé mentale
- milieux de soins possibles

A

Services de 1ère ligne en santé mentale : offrent des services vastes et diversifiés

  • CLSC, médecin de famille, psychologues, intervenants scolaires, etc…
  • La majorité des patients TP reçoit des services de ce niveau surtout si la gravité est moindre ou atténuée avec le temps
  • S’adresse à toute la population et facilement accessible
  • Notons que l’un des objectifs des services de 2e ligne est de permettre au patient de développer assez d’autonomie pour que celui-ci n’est pas besoin des services de 1ière ligne.
208
Q

Traitements des TP: Services de 1ère ligne en santé mentale
- pour quels patients?

A

Services de 1ère ligne en santé mentale : offrent des services vastes et diversifiés

  • CLSC, médecin de famille, psychologues, intervenants scolaires, etc…
  • La majorité des patients TP reçoit des services de ce niveau surtout si la gravité est moindre ou atténuée avec le temps
  • S’adresse à toute la population et facilement accessible
  • Notons que l’un des objectifs des services de 2e ligne est de permettre au patient de développer assez d’autonomie pour que celui-ci n’est pas besoin des services de 1ière ligne.
209
Q

Traitements des TP: Services de 1ère ligne en santé mentale
- objectif

A

Services de 1ère ligne en santé mentale : offrent des services vastes et diversifiés

  • CLSC, médecin de famille, psychologues, intervenants scolaires, etc…
  • La majorité des patients TP reçoit des services de ce niveau surtout si la gravité est moindre ou atténuée avec le temps
  • S’adresse à toute la population et facilement accessible
  • Notons que l’un des objectifs des services de 2e ligne est de permettre au patient de développer assez d’autonomie pour que celui-ci n’est pas besoin des services de 1ière ligne.
210
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Molécules pour chacun des TP

A
  • Aucun traitement pharmacologique n’a montré d’efficacité pour l’une ou l’autre des grandes catégories de TP.
  • Par contre, il est possible d’offrir des médicaments pour traiter un groupe de symptômes plutôt que le trouble en sa globalité.
211
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- à quoi sert la pharmacotx?

A
  • Aucun traitement pharmacologique n’a montré d’efficacité pour l’une ou l’autre des grandes catégories de TP.
  • Par contre, il est possible d’offrir des médicaments pour traiter un groupe de symptômes plutôt que le trouble en sa globalité.
212
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Énumérez les groupes de sx qui peuvent être améliorés par la pharmacotx

A
  • Dysrégulation affective (instabilité affective et crises de colère) : stabilisateurs de l’humeur (acide valproïque, lamotrigine, topiramate), antipsychotiques de 2e génération et ISRS
  • Impulsivité / dysrégulation comportementale (automutilation, gestes suicidaires impulsifs et comportements impulsifs dommageables) : Antipsychotiques de 2e génération, stabilisateurs de l’humeur (lamotrigine et topiramate) et ISRS
  • Symptômes cognitivoperceptuels (idéalisations paranoïdes transitoires et symptômes dissociatifs tels la dépersonnalisation ou la déréalisation) : antipsychotiques de 2e génération
213
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Pharmacotx pour la DYSRÉGULATION AFFECTIVE

A
  • Dysrégulation affective (instabilité affective et crises de colère) : stabilisateurs de l’humeur (acide valproïque, lamotrigine, topiramate), antipsychotiques de 2e génération et ISRS
  • Impulsivité / dysrégulation comportementale (automutilation, gestes suicidaires impulsifs et comportements impulsifs dommageables) : Antipsychotiques de 2e génération, stabilisateurs de l’humeur (lamotrigine et topiramate) et ISRS
  • Symptômes cognitivoperceptuels (idéalisations paranoïdes transitoires et symptômes dissociatifs tels la dépersonnalisation ou la déréalisation) : antipsychotiques de 2e génération
214
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Pharmacotx pour l’IMPULSIVITÉ / DYSRÉGULATION COMPORTEMENTALE

A
  • Dysrégulation affective (instabilité affective et crises de colère) : stabilisateurs de l’humeur (acide valproïque, lamotrigine, topiramate), antipsychotiques de 2e génération et ISRS
  • Impulsivité / dysrégulation comportementale (automutilation, gestes suicidaires impulsifs et comportements impulsifs dommageables) : Antipsychotiques de 2e génération, stabilisateurs de l’humeur (lamotrigine et topiramate) et ISRS
  • Symptômes cognitivoperceptuels (idéalisations paranoïdes transitoires et symptômes dissociatifs tels la dépersonnalisation ou la déréalisation) : antipsychotiques de 2e génération
215
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Pharmacotx pour les SX COGNITIVOPERCEPTUELS

A
  • Dysrégulation affective (instabilité affective et crises de colère) : stabilisateurs de l’humeur (acide valproïque, lamotrigine, topiramate), antipsychotiques de 2e génération et ISRS
  • Impulsivité / dysrégulation comportementale (automutilation, gestes suicidaires impulsifs et comportements impulsifs dommageables) : Antipsychotiques de 2e génération, stabilisateurs de l’humeur (lamotrigine et topiramate) et ISRS
  • Symptômes cognitivoperceptuels (idéalisations paranoïdes transitoires et symptômes dissociatifs tels la dépersonnalisation ou la déréalisation) : antipsychotiques de 2e génération
216
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- Efficacité des médicaments

A
  • Il est noté que l’efficacité des médicaments n’est pas absolue et il est important d’en informer le patient afin que ce dernier n’élève pas trop ses attentes face au médicament.
217
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- durée du tx

A
  • Le traitement visé devrait être le plus bref possible
  • Il faut éviter la polypharmacie
  • Il ne faut pas effectuer de changement majeur en situation d’urgence
    • Lors de crise, des sédatifs peuvent être utilisés à condition d’en être pour une durée le plus minimal possible.
218
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- nb de médicaments le mieux

A
  • Le traitement visé devrait être le plus bref possible
  • Il faut éviter la polypharmacie
  • Il ne faut pas effectuer de changement majeur en situation d’urgence
    • Lors de crise, des sédatifs peuvent être utilisés à condition d’en être pour une durée le plus minimal possible.
219
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- en situation d’urgence

A
  • Le traitement visé devrait être le plus bref possible
  • Il faut éviter la polypharmacie
  • Il ne faut pas effectuer de changement majeur en situation d’urgence
    • Lors de crise, des sédatifs peuvent être utilisés à condition d’en être pour une durée le plus minimal possible.
220
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- place des benzo

A
  • Il existe une certaine réserve face à l’usage de benzodiazépine pour une utilisation à long terme
    • Entraîne une dépendance (15-30% des cas)
    • Entraîne une tolérance
    • Peut paradoxalement augmenter l’impulsivité
    • Attention à la toxicité avec les doses croissantes selon la tolérance
    • Le TP limite pourrait potentiellement être une contre-indication à cette molécule selon certain
  • Certaine réserve face à la toxicité potentielle des antidépresseurs tricycliques, les IMAO ou le lithium. Les patients peuvent recevoir leur médicament à la semaine pour assurer les quantités prises.
221
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- pourquoi éviter les benzos?

A
  • Il existe une certaine réserve face à l’usage de benzodiazépine pour une utilisation à long terme
    • Entraîne une dépendance (15-30% des cas)
    • Entraîne une tolérance
    • Peut paradoxalement augmenter l’impulsivité
    • Attention à la toxicité avec les doses croissantes selon la tolérance
    • Le TP limite pourrait potentiellement être une contre-indication à cette molécule selon certain
  • Certaine réserve face à la toxicité potentielle des antidépresseurs tricycliques, les IMAO ou le lithium. Les patients peuvent recevoir leur médicament à la semaine pour assurer les quantités prises.
222
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- avec quels Rx faire attention?

A
  • Il existe une certaine réserve face à l’usage de benzodiazépine pour une utilisation à long terme
    • Entraîne une dépendance (15-30% des cas)
    • Entraîne une tolérance
    • Peut paradoxalement augmenter l’impulsivité
    • Attention à la toxicité avec les doses croissantes selon la tolérance
    • Le TP limite pourrait potentiellement être une contre-indication à cette molécule selon certain
  • Certaine réserve face à la toxicité potentielle des antidépresseurs tricycliques, les IMAO ou le lithium. Les patients peuvent recevoir leur médicament à la semaine pour assurer les quantités prises.
223
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- quels Rx faut-il éviter à cause de la toxicité potentielle? solution?

A
  • Il existe une certaine réserve face à l’usage de benzodiazépine pour une utilisation à long terme
    • Entraîne une dépendance (15-30% des cas) o Entraîne une tolérance
    • Peut paradoxalement augmenter l’impulsivité
    • Attention à la toxicité avec les doses croissantes selon la tolérance
    • Le TP limite pourrait potentiellement être une contre-indication à cette molécule selon certain
  • Certaine réserve face à la toxicité potentielle des antidépresseurs tricycliques, les IMAO ou le lithium. Les patients peuvent recevoir leur médicament à la semaine pour assurer les quantités prises.
224
Q

Traitements des TP: Traitements biologiques
- tx des comorbidités

A
  • Finalement, notons qu’il est recommandé de traiter les comorbidités selon le traitement usuel lorsque ces dernières sont présentes.
  • Le TP n’agit pas à titre de contre-indication.
225
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux

A

L’évaluation d’un TP est complexe.
Elle requiert habituellement l’obtention d’information de plusieurs sources différentes, via l’observation et le questionnement de plusieurs aspects:

  • Les signes et symptômes
  • Les enjeux et le mode relationnel.
  • Qualité des relations interpersonnelles à diverses étapes de la vie du patient.
  • Comment le patient se relie à l’interviewer (méfiant, hautain, séducteur ou très instable).
  • Une bonne description de l’histoire longitudinale, notamment lors des situations de conflits puisque les attitudes spontanées que le patient pourrait manifester face au stress font souvent ressortir les traits de personnalité.
226
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- quels éléments doivent être questionnés?

A

L’évaluation d’un TP est complexe.

Elle requiert habituellement l’obtention d’information de plusieurs sources différentes, via l’observation et le questionnement de plusieurs aspects:

  • Les signes et symptômes
  • Les enjeux et le mode relationnel.
  • Qualité des relations interpersonnelles à diverses étapes de la vie du patient.
  • Comment le patient se relie à l’interviewer (méfiant, hautain, séducteur ou très instable).
  • Une bonne description de l’histoire longitudinale, notamment lors des situations de conflits puisque les attitudes spontanées que le patient pourrait manifester face au stress font souvent ressortir les traits de personnalité.
227
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- une des plus grandes difficultés de l’évaluation

A
  • Une des grandes difficultés dans l’évaluation des TP est le fait que le patient a souvent bien de la difficulté à décrire objectivement ses propres traits de personnalité, puisque ces derniers colorent sa perception de lui-même (tout particulièrement si les caractéristiques sont envahissantes et rigides).
  • Par exemple, il est difficile pour un patient avec un TP narcissique de parler de ses faiblesses.
  • Dans bien des cas, les patients soupçonnent leurs difficultés via la réaction de l’entourage ou lorsque que leurs comportements ont engendrés des problématiques difficiles à ignorer.
  • La documentation des relations interpersonnelles reste l’élément clé qui permet au clinicien de suspecter un TP.
228
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- Pourquoi est-il difficile pour les patients TP de décrire objectivement leurs propres traits de personnalité?

A
  • Une des grandes difficultés dans l’évaluation des TP est le fait que le patient a souvent bien de la difficulté à décrire objectivement ses propres traits de personnalité, puisque ces derniers colorent sa perception de lui-même (tout particulièrement si les caractéristiques sont envahissantes et rigides).
  • Par exemple, il est difficile pour un patient avec un TP narcissique de parler de ses faiblesses.
  • Dans bien des cas, les patients soupçonnent leurs difficultés via la réaction de l’entourage ou lorsque que leurs comportements ont engendrés des problématiques difficiles à ignorer.
  • La documentation des relations interpersonnelles reste l’élément clé qui permet au clinicien de suspecter un TP.
229
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- comment les patients TP suspçonnent-ils leurs difficultés?

A
  • Une des grandes difficultés dans l’évaluation des TP est le fait que le patient a souvent bien de la difficulté à décrire objectivement ses propres traits de personnalité, puisque ces derniers colorent sa perception de lui-même (tout particulièrement si les caractéristiques sont envahissantes et rigides).
  • Par exemple, il est difficile pour un patient avec un TP narcissique de parler de ses faiblesses.
  • Dans bien des cas, les patients soupçonnent leurs difficultés via la réaction de l’entourage ou lorsque que leurs comportements ont engendrés des problématiques difficiles à ignorer.
  • La documentation des relations interpersonnelles reste l’élément clé qui permet au clinicien de suspecter un TP.
230
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- élément clé qui permet de suspecter un TP

A
  • Une des grandes difficultés dans l’évaluation des TP est le fait que le patient a souvent bien de la difficulté à décrire objectivement ses propres traits de personnalité, puisque ces derniers colorent sa perception de lui-même (tout particulièrement si les caractéristiques sont envahissantes et rigides).
  • Par exemple, il est difficile pour un patient avec un TP narcissique de parler de ses faiblesses.
  • Dans bien des cas, les patients soupçonnent leurs difficultés via la réaction de l’entourage ou lorsque que leurs comportements ont engendrés des problématiques difficiles à ignorer.
  • La documentation des relations interpersonnelles reste l’élément clé qui permet au clinicien de suspecter un TP.
231
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- ce qui peut aider à l’évaluation

A
  • Parfois, le recours au proche ou à une deuxième entrevue est nécessaire.
  • L’obtention d’information collatérale par la lecture du dossier ou par la discussion avec un proche peut être très utile pour avoir une image du patient autre que celle présentée dans le bureau.
232
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- utilité des proches

A
  • Parfois, le recours au proche ou à une deuxième entrevue est nécessaire.
  • L’obtention d’information collatérale par la lecture du dossier ou par la discussion avec un proche peut être très utile pour avoir une image du patient autre que celle présentée dans le bureau.
233
Q

Évaluation pour un TP: Principes généraux
- dans quel contexte est-il possible de poser un dx?

A

En somme, il est possible de poser un diagnostic de TP si :

  • Les informations recueillies sont fiables
  • Les informations concordent avec les sources collatérales
  • Les sphères du dysfonctionnement identitaire et relationnel sont clairement identifiées et présentent depuis une longue période.
234
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
235
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- leur fonctionnement

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
236
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- enjeux affectifs

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
237
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- compréhension du pt

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
238
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- risque sucidaire

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
239
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- aigu vs chronique

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.
240
Q

Évaluation pour un TP: Principes spécifiques
- par quoi se conclue la démarche de l’évaluation?

A

L’évaluation comporte plusieurs étapes primordiales afin de mener à bien l’entrevue et de développer avec le patient une relation thérapeutique adéquate (l’ordre n’est pas nécessairement chronologique).

  • Mise en contexte
  • Exploration du fonctionnement au long court et l’état clinique du patient / sphère du fonctionnement interpersonnel / sphère du fonctionnement du soi
  • Le médecin doit être attentif aux enjeux affectifs et à ses propres réactions contre-transférentielles
  • Le médecin doit être attentif au degré de compréhension que présente le patient
  • L’évaluation de la suicidalité est un enjeu important de plusieurs entrevues de patient présentant un TP
  • Dans une entrevue de contexte de crise le médecin doit départager les manifestations psychopathologiques aigues des manifestions présentes au long terme
  • Le démarche d’évaluation doit finalement se conclure avec un retour sur les observations, le diagnostic, puis l’établissement d’une démarche thérapeutique ou d’un plan d’intervention.