trouble de l'humeur Flashcards

1
Q

signes et symptômes de la dépression ?

A

état caractérisé par une tristesse profonde, dévalorisation, culpabilité.

  • perte d’intérêt pour des activités habituelles
  • débalencement de l’appétit,
  • débalencement du sommeil
  • difficulté à ce concentrer
  • caractéristique du discours (plus lent, voie monotone, prennent des longue pauses).
  • caractéristique de la démarche : parfois, ne parviennent pas a restés debout.
  • ne voient aucune solution aux problèmes dont ils sont confrontés.
  • des fois, négligent leur hygiène + plaignent de symptômes somatiques.
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2
Q

dépression chez les enfants ? vs chez les adultes ? (symptôme général)

A
  • enfant : souvent, plaintes somatiques (maux de tête, maux de ventre, etc.)
  • adultes : souvent, distractibitlité, plainte de perdre sa mémoire.
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3
Q

variations inter-culturelles de la dépression ?

A

En chine, prévalence de dépression beaucoup plus faible (presque inexistante) qu’en Amérique du Nord.
- labas, c’est mal vue par la société de démontrer des symptômes de émotionnels.

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4
Q

qu’est-ce que psychologisant ?

A

en fait, les mêmes de différentes cultures (incluant canadienne) ont tendance a ce concentrer sur les symptômes somatique plutôt qu’émotionnel.
- psychologisant : clients déprimés qui attribuent plus d’importance aux symptômes psychologique que somatique (15 %).

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5
Q

trouble dépressif persistant ?

A

lorsque la dépression devient chronique, la personne ne retrouve plus son niveau prémorbide de fonctionnement

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6
Q

manie ?

A

état émotionnelle caractérisée par une exaltation intense et non-fondée, souvent accompagné de symptômes d’irritabilité, de fuite des idées, d’hyperactivité, élaborer des plans grandiose et irréaliste.

  • souvent suivie d’une épisode de dépression.
  • parfois non, mais très rare.
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7
Q

épisode de manie ?

A
  • peut aller de quelques jours à quelques mois
    facile à reconnaitre :
  • n’arrêtent pas de parler
  • font souvent des blagues, des rimes & incapacité des interrompre (reflète la fuite des idées)
  • passe d’un sujet à l’autre
  • essayer des arrêter = peut provoquer une colère brusque (rage)
  • habituellement, dure quelques jours
  • irritabilité qui accompagne l’état n’est pas présent avant la manie.
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8
Q

classification des troubles de l’humeur dans le DSM ?

A

2 troubles de l’humeur principaux :

  • trouble dépressif caractérisé (trouble unipolaire)
  • trouble bipolaire
  • dans le DSM, ces deux troubles sont exprimés dans des chapitres distincts.
  • aussi, on a enlevé le critère d’exclusion relié au deuil
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9
Q

prévalence du trouble dépressif caractérisé ?

A

forte prévalence dans le société, mais les chiffres ne sont pas clairs.
- frappe 2x plus les femmes que les hommes.

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10
Q

prédicteurs d’un trouble dépressif caractérisé (ou persistant) ?

A
  • âge d’apparition
  • être une femme
  • présence d’autres troubles concomitant
  • fréquence des épisodes antérieur de dépression
  • être célibataire
  • 2 affection médicales ou +
  • activités restreintes
  • peu de contact avec famille
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11
Q

traitement recommandé pour trouble dépression caractérisé ?

A

traitement qui englobe les symptômes physiques, psychologique et le soutient social de la personne.

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12
Q

trouble bipolaire de type 1 ?

A

état émotifs caractérisé par des épisodes de manie ou des épisode mixte (alternance entre manie et dépression).

  • la plupart des gens avec trouble bipolaire de type 1 = symptômes mixte.
  • diagnostic former de manie : humeur irritable, augmentation anormale de l’énergie (hyperactivité) et ou orientée vers un but.
  • symptômes doivent être assez grave pour perturber le fonctionnement de la personne.
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13
Q

prévalence du trouble bipolaire de type 1 ?

A
  • moins répandu que trouble dépressif caractérisé
  • prévalence sur la vie entière = 4,4 %
  • autant chez les hommes que chez les femmes, mais les femmes éprouvent plus d’épisode de dépression que les hommes et moins d’épisodes de manie.
  • plus de la moitié font une rechute dans les 12 mois suivant = témoignent de la gravité du trouble.
  • manie = parfois comportements violents.
  • majorité ont de la difficulté a reconnaitre qu’ils ont un trouble, donc plusieurs refusent le traitement.
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14
Q

petit ou grande hétérogénéité à l’intérieur des diagnostic de troubles de l’humeur ?

A

très grande hétérogénéité : sujets ayant reçu un même diagnostic peuvent présenter des symptômes très différents.
- ex. certaines personnes éprouvent des symptômes mixte à tous les jours vs. d’autre qui en éprouve uniquement lors de certaines épisodes clinique.

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15
Q

trouble bipolaire de tyle II ?

A

le sujet traverse des épisode de dépression caractérisée, avec des épisodes d’hypomanie.
- hypomanie : alteration de l’humeur et de la personnalité, mais moins intense que la manie.

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16
Q

dépression caractérisée avec psychoses ?

A
  • les sujets sont déprimées, et sont sujets à des idées délirantes et des hallucinations (critère utilisé pour les distinguer)
  • ne répondent pas bien aux antidépresseurs à moins qu’ils sont jumelé avec des antipsychotiques.
  • plus grave que la dépression sans psychose : plus de dysfonctionnement social et moins de temps entre les épisodes
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17
Q

trouble dépressif avec caractéristiques mélancolique ?

A
  • mélancolie : ensemble spécifique de symptômes dépressifs.
  • la personne ne prend plus plaisir à rien (anhédonie), mais quand un évènement positif/plaisant survient dans sa vie.
  • plus déprimés le matin - sont soit léthargique ou extrêmement agités.
18
Q

dépression post-partum ? dépression périnatale ?

A

chez les femmes enceintes. Épisodes de manie et de dépression qui surviennent pendant la grossesse, ou pendant les 4 semaines après l’accouchement.
- dépression périnatale : précise qu’environ la moitié des symptômes surviennent pendant la grossesse plutôt qu’après l’accouchement.

19
Q

trouble saisonnier (ou trouble affectif saisonnier) ?

A

certaines personnes vivent des épisodes de dépression unipolaire/bipolaire, toujours au même moment de l’années.

ex. Dépression hivernale (ou trouble affectif saisonnier) : causée par la diminution d’exposition à la clarté diurne.
- ceci cause un ralentissement de l’activité des neurones sérotonergiques de l’hypothalamus, qui régule certaines comportements comme le sommeil.

20
Q

trouble tricyclique ?

A
  • les sujets vivent des fréquents épisodes de dépressions et d”hypomanie, entrecoupée de période libre de symptômes entre-temps.
  • pendant les épisodes, alternance entre dépression et hypomanie.
  • ne répondent pas à tous les critères de dépression majeure et de manie –> donc, un peu comme trouble bipolaire de type 1, mais moins intense.
21
Q

théorie psychanalytique de la dépression ?

A

selon Freud, potentiel dépressif commence très tôt à l’enfance.

  • fixation au stade oral = absence ou excès de gratification de la part d’autrui.
  • créer des individus qui continue à dépendre de la gratification des autres
  • ces individus dépendent énormément d’autrui pour fonder leur confiance en soi.

comment ces évènements de l’enfance peuvent-ils amené l’adulte a souffrir de dépression ?
Analyse du deuil :
- lors de la perte d’un être aimé, la personne entre dans une période d’introjection, ou elle s’associe à la personne perdu dans le but de remédier à la perte.
- selon Freud, nous éprouvons de la haine inconsciente envers les gens que nous aimons, donc cette personne commence à éprouver de la haine et colère envers elle-même.
suite à cette étape, la personne entre dans l’étape de travail de deuil, ou elle se rappelle de souvenir avec l’‘être aimée, puis se distingue, déssere du lien créer avec la personne.
- toutefois, chez les êtres dépendant, ceci peut dégénéré en un processus continu d’auto-reproches et de dépression.
- donc, continuent éprouver haine et colère envers lui-même.

22
Q

quelles sont les théories cognitives de la dépression ?

A
  • théorie des schémas cognitifs de Beck

- théorie de l’impuissance acquise et du désespoir

23
Q

prémisse de la théorie des schémas cognitifs de Beck ?

A

la dépression est causée par des schémas mentaux qui privilégient une interprétation négative du monde.

24
Q

quels sont les trois niveaux d’activité intercorrélée à l’origine de la dépression selon Beck ?

A

triades cognitives
pensé dysfonctionnelle
distorsions cognitives

25
Q

qu’est-ce qu’un schéma dépressogène ?

A

vision pessimiste du monde :

  • activer par des parents qui ont une attitude très négative ou la perte d’un parent, pas une série d’évènements tragiques, par la critique constante des enseignants, le rejet des pairs, etc.
  • ces schémas dépressogènes sont réactivés à chaque fois que la personne revit un évènement similaire à celui qui à entouré l’acquisition de ces schémas.
  • ceux-ci alimentent certaines distorsions cognitives et donne une vision négative déformée de la réalité, ce qui renforce les schémas dépressogènes.
26
Q

triades cognitives négatives ?

A

schémas cognitifs, biais cognitifs constituée de cognition négatives sur soi-même, son environnement et son futur.

  • environnement : souligne le sentiment de ne pas pouvoir répondre aux exigences de son environnement : “je ne vais jamais pouvoir faire face à toutes ces responsabilités”.
  • futur : “je vais surement échouer mon examen”
  • soi-même : “je suis bon à rien”.
27
Q

croyances/attitudes/pensées dysfonctionnelles ?

A

échelle des attitudes dysfonctionnelles : mesure deux principaux types d’attitudes dysfonctionnelle

  1. croyances reflétant un besoin d’approbation
  2. croyances reflétant le besoin d’accomplissement et de perfectionnisme (peur de devenir une personne “médiocre”)
    - les scores à cette échelle sont plus haut pour ceux qui vivent des épisodes récurrentes de désapprobation.
    - quand les schémas négatifs sont réactivés = fausse le système de traitement de l’information = traitement négatif biaisé de certains évènements.
    - leur système de traitement de l’information est efficace, mais est automatique et est dysfonctionnel
28
Q

quelles sont les principales distorsions des individus déprimés ?

A
  • inférence arbitraire : tirer des conclusion sur la base de preuves infondée ou preuves insuffisantes
  • abstraction sélective : tirer des conclusions sur la base d’un parmi les nombreux éléments propre à une situation
  • surgénéralisation : tirer des conclusion très générale à partir d’un élément banal et insuffisant.
  • amplification/minimisation : évaluation exagérée de sa performance.
29
Q

modèle cognitif élargi de Beck ?

A
  • lorsque les schémas cognitifs sont activés à répétition, ils s’organisent sous forme de “modes” cognitifs.
  • lorsque des évènements viennent affecté ce “mode” cognitifs, ils deviennent hypersaillant de sortes qu’il régit le traitement de l’information, se traduisant par une augmentation des évènements négatifs et de la rumination.
30
Q

limite du modèle de Beck ?

A

est-ce que c’est les schémas cognitifs qui cause la dépression ou la dépression qui cause les schémas cognitifs ?
- surement un lien bidirectionnels entre les deux : la dépression crée des schémas cognitifs et les schémas cognitifs amplifie la dépression.

31
Q

prémisse de la théorie de l’impuissance acquise et du désespoir ?

A

individu devient passif, et a le sentiment de ne pas être capable de contrôler sa vie après avoir vécu des expériences désagréables et/ou traumatisantes hors de son contrôle.

32
Q

origine de la théorie d’impuissance acquise et de désespoir ?

A

théorie de l’apprentissage des chiens face a des décharges électriques incontrôlable.
- après quelques essaies, les chiens devenaient passifs et arrêtaient d’essayer de fuir le stimulus incontrôlable.
- même quand le stimulus pouvaient facilement être éviter, les chiens n’avait pas appris les comportements d’évitement nécessaire, et restaient couchés dans le coin a gémir.
conclusion : face a des stimuli incontrôlable, adoption d’un sentiment d’impuissance

33
Q

pourquoi a-t-on passer de la théorie de l’impuissance acquise plus vers la théorie attributionnelle ?

A

car on a fait des études similaires chez les humain (que celle des chiens), mais en provoquant un sentiment d’impuissance chez les humains, on les incitait souvent à améliorer leur performance.

34
Q

paradoxe de la dépression ?

A

association entre la dépression et le blâme de soi : de nombreuse personne déprimés se blâme pour leur échecs, mais s’ils se sentent impuissant, comment peuvent-ils se blâmer ?
- repose sur le concept d’attribution : la façon dont les gens expliquent leur comportement

35
Q

théorie attributionnelle ?

A
  • modèle révisé de la théorie d’impuissance acquise et du désespoir
  • postule que la façon dont la personne explique son échec déterminera les conséquences futur de celui-ci.
36
Q

trois types d’attribution ? conclusion de la théorie attributionnelle ?

A
  • attribution globale: “je rate toujours tout” –> généraliser les conséquences de l’échec à des toutes nouvelles situations.
  • attribution stable : produit des déficit permanent –> “j’échoue toujours mes examens”
  • attribution interne : “je suis stupide” plus susceptible d’affecter l’estime de soi, surtout quand le défaut est perçu comme général et stable.

conclusion : cette théorie laisse entendre que l’attribution des évènements négatifs de la vie à des causes globale, stables et interne est un facteur de la dépression.

37
Q

selon les théories psychologique du trouble bipolaire, quelle est la racine des comportements ?

A
  • distorsions cognitive décrites par Beck
  • problème au niveau de la mémoire autobiographique
  • incapacité a penser a des solutions dans des résolutions de problème.
38
Q

selon les théories psychologique du trouble bipolaire, quel est le rôle des épisodes de manie ?

A

les épisodes de manie sont des mécanisme de défense contre un état psychologique débilitant (rôle protecteur contre cet état).

39
Q

quelle est la théorie du dérèglement du système d’activation comportementale ?

A

le trouble bipolaire est causé par une hyperactivité des signaux de récompense, qui peuvent être reliés à une forte stimulation du système d’activation comportementale (SAC).

  • ce système est très sensible au signaux de récompense
  • éveille des émotions comme l’espoir, la joie.
  • donc, manie = forte activation de ce système.
  • conforme à la théorie de susceptibilité différentielle –> les individus dont le SAC est fortement activité recherche plus de gratification afin de ressentir de affects plus intense.
40
Q

quelles sont les théorie biologique du trouble de l’humeur ?

A
  • vulnérabilité génétique
  • neurochimie, neuro-imagerie des troubles de l’humeur
  • neuroimagerie structurelle et fonctionnelle
41
Q

vulnérabilité génétique –> trouble bipolaire ?

A

taux de concordance (hérétabilité) = 85 % –> les gènes expliquent 85 % de la variance dans le trouble

  • mais, facteurs génétique ne permettent pas de prédire quand vont apparaitre les symptômes
  • analyse de liaison :
  • -> gène dominant sur le chromosome 11
  • -> variante génétique du facteur neurotrophique dérivée du cerveau permet de prédire le risque de développer un trouble bipolaire avec des cycles rapide.
42
Q

vulnérabilité génétique –> trouble dépressif caractérisé ?

A

concordance (héritabilité) de 35 %
analyse de liaison :
- personne qui possède un ou deux allèle courts du gène transporteur de la sérotonine (5-HTT) = plus susceptible de vivre un trouble dépressif caractérisé + idéations suicidaire suite à un évènement pénible dans la vie (= génétique + environnement)
- promoteur du gène transporteur de la sérotonine = prédicteur important du trouble.