Trouble anxieux Flashcards

1
Q

en quoi l’anxiété diffère de la peur et des autres diagnostiques ?

A

Diffère de la peur, car on retrouve l’anxiété un peu dans plein d’autre diagnostiques, retrouver un peu chez tout le monde et à tous les âges.

  • aussi, l’anxiété peut être positives (augmentation de la performance suite à un peu d’anxiété) - mais trop = déficits au niveau de la performance.
  • anxiété fait partie de notre évolution en tant qu’espère, la race humaine à survécu grâce à notre capacité à apprendre de ces mécanismes de peur.
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2
Q

névrose vs. psychose ?

A

névrose : quand la personne est consciente de ses souffrances - englobe trouble de la personnalité, trouble anxieux, etc.
psychose : toute problématique ou la personne perd contact avec la réalité (ex. délire dans la schizophrénie).

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3
Q

comment le prof structure-il l’anxiété et la peur ?

A
séparés. 
peur : 
- phobies --> spécifique ou sociale
- TSPT --> stress aigüe
anxiété : 
- agoraphobie
- anxiété généralisée
- trouble de panique
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4
Q

pourquoi le prof sépare la peur et l’anxiété ?

A
  • la peur est beaucoup plus facile à diagnostiquée
  • beaucoup plus de traitements dans les troubles de la peur
  • beaucoup plus facile à identifier le facteur phobogène dans les troubles de peur (comparativement aux troubles anxieux, que l’on ne sait pas vraiment quels sont les facteurs phobogènes).
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5
Q

voie courte vs voie longue ?

A

voie courte : thalamus –> amygdale

voie longue : thalamys –> cortex –> amygdale

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6
Q

quelles sont les trois composantes distinctives de l’anxiété ?

A
  • composante cognitive
  • composante comportementale
  • composante physiologique
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7
Q

composantes cognitive ?

A
  • inquiétude constante
  • rumination
  • etc.
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8
Q

composante comportementale (exemples) ?

A
  • figer
  • éviter : voir un stimulus phobogène et changer de côté du trottoir - éviter l’endroit qui fait peur, consommation de substance lorsqu’on sait qu’on va avoir peur, toujours emmener une personne de confiance avec toi, etc.
  • fuir : voir le stimulus phobogène et complètement fuir la situation.
  • agression : devenir agressifs quand on a peur
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9
Q

composantes physiologique (exemples) ?

A

augmentation du rythme cardiaque :

  • plus de sang au cerveau et au muscles = meilleur fonctionnement cognitif, préparation à la fuite.
  • moins de sang au système digestif & peur = préparation à la blessure, pour ne pas bleed out.

pupilles se dilates :
- augmentation de l’acuité visuelle (pour voir les danger potentiels)

mains & pied plus moites = meilleur pour s’agripper

foie décrète du sucre = pour donner plus d’énergie aux muscles.

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10
Q

principale composante de l’anxiété généralisée ? comment l’anxiété est-elle souvent renforcée ?

A

une inquiétude persistante et incontrôler par rapport au foule de question/phénomènes susceptibles de se produire –> très axée vers le futur.
- donc, la plupart de ces inquiétudes ne finissent jamais par ce produire, ce qui renforce le comportement par l’évitement de ces résultats craints.

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11
Q

anxiété très commune chez les étudiants ?

A

anxiété de performance.

  • sentiment profond d’inefficacité et d’impuissance personnelle, les étudiant entretiennent souvent des critiques et images négatives envers eux-même.
  • très perturbant si incontrôlée.
  • une certaine dose de cet anxiété peut être une source de motivation pour certains étudiants, mais si elle devient chronique, contraignante et provoque une détresse profonde chez la personne = anxiété de performance.
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12
Q

qu’est-ce qui distingue vraiment une personne avec un trouble anxieux d’une personne sans trouble anxieux ?

A

les gens avec un trouble anxieux ont une augmentation de leur propension à percevoir une menace et d’être inquiets (même en l’absence de toute menace objective ou dans des situations ambigüe).

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13
Q

un thème commun a travers tous les troubles anxieux

A

l’anxiété réflète l’action de mécanisme cognitif qui contribuent à la perception de l’anxiété, et qui activent des facteurs physiologiques rendant certaines personnes plus vulnérables à l’anxiété.

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14
Q

phobie spécifique ?

A

peur injustifiée par la présence (réelle ou anticipée) d’un objet ou d’une situation particulière.

  • personne éprouve souvent une grande détresse face a cette objet/situation.
  • affecte parfois vie sociale et professionnelle
  • la personne se rend souvent compte de cette peur injustifiée (sans danger objectif)
  • très peu de personne vont chercher de l’aide, car relativement facile (pour majorité des stimuli phobogènes) des éviter.
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15
Q

nommer quelques types de phobies spécifique très connue ? Peu connue ?

A
  • claustrophobie : peur des espace fermés
  • arachnophobie : peur des araignées
  • acrophobie : peur des hauteurs
  • nomophobie : peur d’être sans téléphone cellulaire.
  • ergasiophobie : peur du travail.
  • taphéphobie : peur d’être enterré vivant.
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16
Q

quels sont les sous-types de phobie spécifique ?

A
  • sang-injections-blessures
  • situations (avions, ascenseurs, espaces fermées)
  • animaux
  • milieu naturels
  • autres
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17
Q

pourquoi la recherche sur les phobies spécifique est lacunaire ?

A
  • à cause du grand comportement d’évitement associés aux phobie spécifiques (les gens ne font qu’éviter leur phobie et tout est bon), donc très peu de personnes vont consulter.
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18
Q

prévalence des phobies spécifiques ? Pourquoi ?

A

très persistante.

  • les adultes sont souvent gênés d’admettre leurs phobies.
  • seulement 8 % des gens vont se faire traité = très forte prévalence et persistance.
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19
Q

trouble d’anxiété sociale ?

A

crainte persistante et irrationnelle d’être jugés par autrui.

  • évitement des situations sociale spécifique dans laquelle ils pourraient se faire évaluer, car peur de montrer de l’anxiété ou de se comporter de manière gênante.
  • ils se préocupent beaucoup du fait de transpirer, de rougir ou de trembler –> de paraitre anxieux.
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20
Q

3 type de situations de crainte (anxiété sociale) ?

A
  1. Parler en public (ou toute autre type de performance - devant une foule)
  2. interactions sociales (entretenir une conversation, demander de l’aide à un employé dans un magasin, etc.)
  3. être observé en public (s’asseoir dans le bus à l’heure de pointe, remplir un formulaire sous l’oeil de quelqu’un, etc.)
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21
Q

quelles modification ont été emmenée au DSM-5 quant aux phobies sociales ?

A

auparavant, les anciennes versions du DSM faisaient la distinction entre trouble d’anxiété sociale “spécifique” ou “généralisé”.

  • généralisé : crainte persistante envers toute sorte de situations interpersonnelles.
  • spécifique : crainte aiguë envers une situation spécifique.
  • toutefois, le trouble d’anxiété sociale généralisée présente une gamme extrêmement varier de craintes sociales, donc maintenant on fait la distinction quantitative plutôt que qualitative.
  • la crainte sociale la plus commune encore reste celle de performance (+ parler en public), qui elle est qualitativement et quantitativement différente des autres, donc, DSM-5 permet de faire l’ajout précisant “seulement de performance”.
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22
Q

quelques caractéristiques du trouble d’anxiété sociale ?

A
  • forte concomitance avec d’autre troubles, tels que le trouble d’anxiété généralisée, trouble de panique, phobie spécifique, trouble de la personnalité évitante et trouble de l’humeur.
23
Q

comment se manifeste l’anxiété sociale chez les enfant (nom du trouble) ?

A

chez les enfants, l’anxiété sociale est souvent assorti d’une autre forme d’anxiété = le mutisme sélectif.
- trouble selon lequel les enfants ont une certaine incapacité à parler en public (ex. à l’école), mais sont capable de parler à la maison.

24
Q

prévalence de l’anxiété sociale ?

A
  • 7,5 % chez les hommes
  • 8,7 % chez les femmes
  • âge moyen d’apparition = 13 ans
  • durée moyenne des symptômes = 20 ans
  • prévalence plus élevée chez les personnes non-mariés, divorcés, sans diplome d’étude secondaire, revenu faible, au chômage.
  • augmentation de la prévalence avec l’âge
  • majoritairement présent chez les jeunes femmes
  • lien avec les problèmes scolaires, la dépression, l’anxiété chez les parents, etc.
  • très persistante - dans une étude, ils ont montrés que cette anxiété persistait chez presque tout le monde pendant au moins 5 ans, et seulement 1/7 personnes ont connues une rémission complète.
25
Q

quelques prédicteurs de l’anxiété sociale ?

A
  • avoir un parents avec un diagnostic d’anxiété sociale
  • être en dépression
  • avec un tempérament marqué par une forte inhibition comportementale
  • avoir des symptômes d’une trouble de panique
26
Q

l’étiologie des phobies spécifiques + trouble de l’anxiété sociale : les théories comportementales ?

A
  • conditionnement de l’évitement
  • apprentissage par observation
  • apprentissage préparé
27
Q

conditionnement de l’évitement ?

A

les phobies découlent des réponses d’évitement apprises.

  • postule qu’une phobie découle de deux ensembles d’apprentissages apparentés :
    1. conditionnement classique : la personne apprend à craindre un SN parce quelle l’associe a un évènement qui est intrinsèquement douloureux ou épeurant.
    2. cette réponse (fuyer, éviter) est renforcée par une conséquence renforçante : réduire la peur.
28
Q

quelle est la principale critique envers le modèle d’acquisition des phobie par le conditionnement à l’évitement ? dans ce cas, a quoi ont-ils recours ?

A

ce n’est pas toutes les phobies qui sont apprise de la même manière que le petit Albert - bien que certaines personnes associe un évènement traumatisant à un SC, plusieurs personnes craignent des choses/situations qu’ils n’ont jamais côtoyer. Donc, une phobie peut apparaître en l’absence de toutes situation effrayant antérieur.
- dans ces cas, les chercheurs ont plutôt recours à la théorie de l’apprentissage par observation.

29
Q

apprentissage par observation ?

A

réponse apprise par l’observation d’autrui.
- apprentissage vicariant
Étude de Bandura et Rosenthal (1966) : demander aux participants d’observer d’autre personnes subir des stimuli aversifs
- enregistrement électrique de leur réponse physiologique
- ils ont observer qu’après quelques essaies, les témoins avaient une augmentation de leur fréquence de réaction émotives au son de la tonalité (tonalité a chaque stimulus aversif).
Autre étude de Olson et Phelps : mélange du conditionnement classique et par observation peut jouer un rôle dans l’apprentissage d’une réponse de peur :
- le fait d’observer une réponse de peur chez une autre personne sans être clairement conscient du stimulus peut contribuer à l’apprentissage apparié d’une peur.
- donc, le simple fait d’entendre la description d’un évènement épeurant = réponse de peur.

30
Q

apprentissage préparé ?

A

Pourquoi les individus ont-ils tendance à avoir plus souvent peur de certains objets/évènements, tels les araignées, les serpents, les avions, etc.

  • résulte du fait que certaines stimuli neutres, “stimuli préparés”, sont plus susceptible de devenir des stimuli de conditionnement classique.
  • donc, l’organisme est physiologiquement préparé de devenir sensibles a ces stimuli.
  • peut être interprété comme la préparation biologique de l’organisme, qui est façonné par la sélection naturelle au cours de l’évolution.
31
Q

quel est le rôle de la diathèse cognitive dans les théories comportementales ?

A

pourquoi certaines personnes ayant vécus des expériences traumatisantes n’ont pas acquises de peur ?
- diathèse (prédisposition) cognitive, c’est-à-dire la tendance à la personne de croire qu’une expérience traumatisante similaire va se produire dans l’avenir : peut jouer un important rôle dans l’apparition des phobies.

32
Q

l’étiologie de l’acquisition de la peur selon trois types de théories, quelles sont-elles ?

A
  • théories comportementales
  • théories cognitives
  • théories psychanalytique
33
Q

théories cognitives mettent l’accent sur quoi ?

A

mettent l’accent sur le rôle des processus de pensée dans la diathèse.
- suggère que les personnes avec de l’anxiété sont plus susceptible de réagir à des stimuli négatifs, de donner une interprétation menaçante à des stimuli ambigües, de vivre plus d’évènements négatifs que positifs.

34
Q

rôle des processus cognitifs dans l’anxiété sociale ?

A

Joue un rôle crucial dans l’étiologie de l’anxiété sociale.

  • les personnes avec un TAS se préoccupe beaucoup de l’évaluation d’autrui, ressentent le besoin d’agir de façon parfaite et de ne pas besoin de faire d’erreurs.
  • hypersensibilité aux signaux sociaux : tendance à cette personne de ce nourrir de préocupations cognitives dans certaines situations ou ils ont reçus un traitement négatifs (ou ambigüe) de la part d’autrui.
  • possèdent un biais cognitif (attentionnel) : prête beaucoup plus attention aux expressions faciales négative qu’aux expressions faciales positives. Ce biais attentionnel découle de leur désordre cognitif.
35
Q

quels sont les modèles cognitifs de l’anxiété sociale (3 traits fondamentaux) ?

A
  1. biais attentionnel à l’égard d’une information socialement négative + interprétation négative de situations socialement ambigües.
  2. normes perfectionnistes pour des performances sociales acceptées.
  3. grande timidité en public.

donc, tendance à interpréter négativement des situations socialement ambigüe + biais de mémoire lié au biais d’interprétation : faux souvenirs dans lesquels ils ont vécus des évènements négatifs.

  • aussi, ces personnes sont très centrées sur elles mêmes, croit le coût de leurs erreurs vraiment plus grand qu’il l’est réellement.
  • a beaucoup plus tendance à ruminer à l’égard d’évènements négatifs vécus, au lieu de simplement se distraire et des oublier.
36
Q

théorie psychanalytique de la phobie ?

A
  • selon Freud, la phobie est un défense contre l’anxiété engendrée par la présentation des pulsions du ça.
  • la personne va donc dissocié cette anxiété de la pulsion, et la rattacher à un objet ou une situation en lien avec elle.
  • la situation/objet devient donc le stimulus phobique.
  • le personne doit donc éviter cet objet/situation si elle ne veut pas faire face aux conflits réprimés en elle.
37
Q

trouble de panique ?

A

lorsque la personne subit de manière soudaine et inexplicable une crise de panique. souvent associé au sentiment de :
- dépersonnalisation : sentiment d’être sorti de son propre corps
- déréalisation : sentiment que le monde n’est pas réel.
pour recevoir un diagnostique de crises de paniques, elles doivent être imprévues, récurrentes + la crainte de subir une prochaine crises suivant la crise. Elle ne doit pas être anticipé (lorsquelle est reliée à une situation spécifique).

38
Q

crises de panique anticipée ?
crise à prédisposition situationnelles ?
crises de panique nocturnes ?

A
  • anticipée : lorsquelle survit presque toujours dans une situation spécifique
  • prédisposition situationnelle : lorsque le lien entre le stimulus et la crise est un peu moins fort (survient des fois, mais des fois non) –> souvent le cas dans le trouble d’anxiété sociale.
  • nocturne : crises de panique pendant la nuit (se réveiller dans une crise de panique).
39
Q

généralement, pourquoi une personne craint les futures crises de panique ?

A

ils craignent plutôt les symptômes avant-coureurs d’une crise, ainsi que la possibilité que les autres remarques cette crise.

40
Q

agoraphobie ?

A

sensation de peur qui attrait à un ensemble de situations dans laquelle elle ne peut pas s’échapper au besoin, ou obtenir de l’aide si nécessaire.

  • souvent, plusieurs de ces personnes ne sont pas capable de sortir de leur domicile, ou éprouvent une grande détresse lorsqu’ils son obliger de le faire.
  • souvent, associée à une crainte de symptômes de panique et de ne pas pouvoir fuir la situation, ou d’éprouver des symptômes de panique gênant. Donc, tendance à éviter les situations ou les crises de panique risques d’être gênante ou dangereuses.
41
Q

diagnostic de trouble de panique ?

A

la personne doit éprouver de l’anxiété face à 2 ou + de situations suivante :

  • les transports en commun
  • les espaces ouverts
  • les espaces fermés
  • dans une file d’attente ou dans une foule
  • être seul en dehors de son domicile
42
Q

deux types d’approches sont utilisée dans la thérapie pour le traitement des troubles anxieux. quelles sont elles ?

A
  • approches comportementales en matière de traitement

- approches cognitives

43
Q

types de traitements découlant de l’approche comportementale ?

A
  • désensibilisation systématique
  • exposition in-vivo
  • thérapie par réalité virtuelle
  • immersion
  • traitement de phobie par exposition en une séance
44
Q

désensibilisation systématique ?

A
  • la personne s’imagine une série de stimuli de plus en plus anxiogène, tout en étant dans un état profond de relaxation.
  • permet d’éliminer (ou du moins les atténuer) les phobies.
  • mais, plusieurs études suggèrent l’importance de l’exposition.
45
Q

exposition in-vivo ?

A
  • forme de désensibilisation systématique, mais avec une réelle exposition au stimuli phobogène (exemple du chat de Dr. Earls).
  • supérieur aux technique d’imagination + aux autres technique d’exposition (ex. exposition par réalité virtuelle) après le traitement.
  • très efficace pour la plupart des phobies, mais fort taux d’abandon donc mal accepté.
46
Q

thérapie par réalité virtuelle

A
  • à l’aide d’un visuocasque ou lunette de réalité virtuelle
  • exposition graduée à des stimuli de plus en plus anxiogène de façon analogue à la thérapie par exposition in-vivo.
  • pour le traitement de l’anxiété sociale : présentation à quatre scène nécessitant une certaine interaction sociale.
  • très intéressante pour le cas de certaines phobie (ex. peur des avions) car les coût sont trop élevé pour exposé la personne directement.
47
Q

traitement des phobies sang-injection-blessure ?

A
  • souvent, lorsqu’ils sont exposés au stimulus phobique, ils ont une soudaine baisse de pression artérielle et du rythme cardiaque.
  • donc, dans leur tentative à ce détendre, il accentuent leur propension à l’évanouissement et leur réponses de peur au stimulus.
  • donc, traitement consiste plutôt de ce tendre les muscles (au lieu de ce détendre) afin de diminuer risque d’évanouissement.
48
Q

immersion ?

A

consiste à exposer la personne au stimulus phobique de manière très intensive.

  • décourager par plusieurs cliniciens à cause de l’inconfort extrême que ça provoque chez les gens.
  • mais, utilisé parfois quand l’exposition graduelle n’a pas fonctionner.
49
Q

pourquoi les approches cognitive ne sont pas utilisée dans le traitement des phobies spécifiques ? quelle méthode est favorisée ?

A

parce que la plupart des gens avec des phobies spécifique sont conscient que leur réaction est disproportionnée, donc sa sert à rien de moduler leur façon de penser.
- approche privilégiée = exposition (par réalité virtuelle, in-vivo, etc.)

50
Q

TCC ?

A
  • les thérapeutes peuvent persuader la personne d’évaluer plus justement ses interactions sociales avec autrui, puis de moins basé sa confiance en soi sur l’approbation des autres.
  • la plupart d’entre eux possèdent des bonnes habiletés sociales, mais ne s’en servent pas en raison de leurs pensées autodestructives.
  • aussi, ils sont encourager de pratiquer leurs habiletés sociales –> ex. avoir plus de conversations dans la salle d’attente, etc.
51
Q

TCCG ?

A

associe la restruction cognitive avec l’exposition situationnelle, souvent dans des groupes de 6 à 8 personnes.

52
Q

thérapie de contrôle de panique ?

A

3 éléments primordiaux :

  1. entrainement à la relaxation
  2. combinaison de TCC
  3. et d’exposition aux signaux interne qui déclenchent habituellement la crise de panique –>

exposition intéroceptive : la personne met en oeuvre, dans la salle de consultation, les sensations physiologiques quelle associe au

53
Q

thérapie de contrôle de panique ?

A

3 éléments primordiaux :

  1. entrainement à la relaxation
  2. combinaison de TCC
  3. et d’exposition aux signaux interne qui déclenchent habituellement la crise de panique –>

exposition intéroceptive : la personne met en oeuvre, dans la salle de consultation, les sensations physiologiques quelle associe au crises de panique (ex. respirer à travers un paille, augmentation du rythme cardiaque, etc.)

  • la personne apprend à réinterpréter ces signaux : ne les vois plus comme des signaux de pertes de contrôle, mais plutôt comme des signaux intrinsèquement inoffensifs.
  • cette thérapie se montre plus efficace que les médicaments pour traiter les crises de panique.