Théories Cognitives Flashcards

1
Q

Qui fut l’un des premières personnes à avoir développé une prise en charge de psychothérapie sortant nettement du cadre de la psychanalyse?

A

Albert Ellis.

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2
Q

Le modèle d’Ellis tire ses origines de quoi et de qui en particulier?

A

La philosophie stoïcienne, notamment Epicète.

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3
Q

Ellis caractérise la détresse émotionnelle comme provenant de deux sources. Nommer-les.

A
  1. La détresse du moi.
  2. La détresse de l’inconfort.
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4
Q

Qu’est-ce que la “Détresse du moi” selon Ellis?

A

Découle des exigences que l’on porte envers nous-mêmes. Elle peut conduire à entretenir une attitude teintée pas des exigences escessives envers nous-mêmes et les autres. Teinte aussi notre façon de réagir face aux situations.

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5
Q

Qu’est-ce que la “Détresse de l’inconfort” selon Ellis?

A

Implique des exigences au sujet des conditions de la vie de la personne, plus particulièrement sur son confort. On parle aussi de ses perceptions.

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6
Q

Comment Ellis nomme-t-il son approche?

A

La thérapie rationnelle-émotive (TRÉ).

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7
Q

Quelle est la pierre angulaire de l’approche d’Ellis?

A

Le concept de croyances irrationnelles.

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8
Q

Completer la phrase: S’il s’avère possible de déterminer quelles sont les croyances irrationnelles de la personne….

A

Il devrair ainsi être possible de les remplacer par des croyances plus rationnelles; ces interprétations plus adaptées permettront donc de vivre une vie sans détresse psychologique.

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9
Q

Selon Ellis, plusieurs troubles émotifs émanent des interprétations prenant la forme de quoi?

A

D’impératifs rigides.

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10
Q

Donner 2 exemples d’impératifs rigides.

A

Je dois… Il faut que…

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11
Q

Quel est l’objectif (en gros) de la TRÉ d’Ellis?

A

Identifier ce type de schèmes (impératifs rigides) et de les remettre en question par le biais de diverses techniques d’intervention.

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12
Q

Ellis a élaboré un cadre à son approche, fondée sur l’identification de ces différentes composantes nommées “ABC”. Nommer ces trois composantes.

A

A. Antecedents (Situation)
B. Beliefs (interprétations)
C. Consequences (réactions émotionelles/comportementales)

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13
Q

Selon Ellis, il faut considérer le modèle ABC sous l’angle d’une analyse fonctionnelle qui a été précisemment élaborée pour son approche. Expliquer ce qu’est l’analyse en nommant ses 5 étapes.

A

A. Événement posant problème.
B. Croyance irrationnelle liée.
C. Conséquences affectives et comportementales.
D. Remise en question des croyances.
E. Élaboration d’une vision plus réaliste du monde.

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14
Q

Élaborer une mise en situation en y incorporant les 5 étapes de l’analyse fonctionnelle.

A

Flemme, mais à faire.

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15
Q

Voici un exemple de croyance irrationnelle: “Je dois toujours placer les autres en premier, sinon ils me trouveront égoïstes.” Élaborer un exemple de croyance plus rationnelle.

A

Je peux être une personne généreuse et attentionnée pour les autres, tout en m’accordant du temps pour moi.

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16
Q

Qu’est-ce que la version plus récente de la TRÉ d’Ellis intègre?

A

Une composante comportementale.

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17
Q

Pourquoi est-ce que la version plus récente de la TRÉ d’Ellis intègre une composante comportementale?

A

Une fois qu’une croyance a été transformée, il serait intéressant de passer à l’action pour que confirmer/ s’assurer que cette dite croyance a bien été transformée.

18
Q

Pour Ellis, le changement chez la personne doit se réaliser sous trois différents plans. Nommer-les

A
  1. Plan émotionnel: Gestion des émotions (réduire les émotions négatives).
  2. Plan cognitif: Remplacer pensées irrationnelles par pensées plus rationnelles et adaptives.
  3. Plan comportemental: Comportements aidant à atteindre les objectifs.
19
Q

Qui est aujourd’hui considéré comme le père de la thérapie cognitive?

A

Beck.

20
Q

À l’inverse d’Ellis, Beck opte pour une élaboration _ d’une prise en charge clinique efficace pour le traitement de la _.

A

Élaboration empirique et traitement de la dépression.

21
Q

Vrai ou Faux: Le modèle de Beck a exclusivement été appliqué à la dépression.

A

Faux. Il a été appliqué à d’autres troubles comme abus de subs, tag, tr. panique, etc.

22
Q

Nommer un élément clé dans l’approche de Beck (clash avec l’approche d’Ellis).

A

L’identification des croyances dysfonctionnelles et leurs liens la manifestation du trouble du patient (aka les croyances varient en fonction du trouble).

23
Q

Vrai ou Faux: Tout comme Ellis, Beck soulignent que les croyances du patient varient en fonction de son trouble.

A

Faux. Ellis ne pensait pas que les croyances du patient variaient en fonction du trouble.

24
Q

Les psychopathologies peuvent être expliquées par des croyances fondamentales négatives quant à trois choses. Nommez-les.

A

-Soi.
-Autres.
-Futur.

25
Q

Selon Beck, qu’est-ce qui constitue la voie royale vers les émotions?

A

Les cognitions.

26
Q

Selon Beck, qu’est-ce qui constitue notre monologue intérieur affectant nos communications interpersonnelles et nos émotions?

A

Nos pensées automatiques.

27
Q

En allant du plus ancré au plus superficiel, nommer les trois niveaux de pensées selon Beck.

A

-Schémas inconditionnels.
- Schémas conditionnels.
-Pensées automatiques.

28
Q

Nommer quatre caractéristiques attribuables aux pensées automatiques.

A
  1. Les pensées automatiques sont souvent rapides et brèves.
  2. Elles sont la résultante d’une réflexion spontanée (aka pas d’une réflexion approfondie).
  3. Elles ne sont pas toujours conscientes.
  4. Elles ont tendance à être acceptées sans critique, comme si elles étaient vraies.
29
Q

Donner un synonyme des schémas inconditionnels.

A

Les croyances fondamentales.

30
Q

Nommer quatre caractéristiques attribuables aux schémas inconditionnels.

A
  1. Ils sont considérés comme des vérités absolues.
  2. Les gens ont un biais attentionnel favorable à leurs schémas inconditionnels et tendent à rejeter les informations les contredisant.
  3. Ils sont souvent globaux, rigides et généralisés à outrance.
  4. Plus sévère est le schéma, plus grand est le nombre d’événements pouvant l’activer.
31
Q

Quelles sont trois origines des schémas inconditionnels.

A
  1. Les besoins affectifs fondamentaux non comblés.
  2. Les expériences précoces de la vie.
  3. Le tempérament émotionnel.
32
Q

Donner trois exemples de besoins affectifs fondamentaux.

A

La sécurité de l’attachement, l’autonomie et le sentiment de compétence.

33
Q

Nommer trois exemples d’expériences précoces de la vie pouvant mener à la formation de schémas inconditionnels.

A
  1. La frustration des besoins.
  2. Un traumatisme.
  3. Identification sélective avec des personnes significatives.
34
Q

Que sont les schémas conditionnels?

A

Des tentatives d’adaptation développées à partir de schémas inconditionnels. Ils sont donc ‘secondaires’.

35
Q

Nommer trois ‘synonymes’ aux schémas conditionnels.

A

Attitudes, attributions et règles.

36
Q

Vrai ou Faux: Les schémas conditionnels constituent un intermédiaire entre les pensées automatiques et les croyances fondamentales.

A

Vrai.

37
Q

Nommer une différence (la plus fondamentale) entre les schémas conditionnels et les schémas inconditionnels et donner un court exemple.

A

Dans les schémas conditionnels, il y a la possibilité de modifier le dénouement tandis que dans les schémas inconditionnels, il n’y a aucun ‘espoir’, le résultat va être le même. Ex: SC: C’est terrible d’échouer. SI: Je suis un bon à rien, un perdant…

38
Q

Quel est l’objectif principal de la thérapie cognitive?

A

Amener la personne à modifier ses croyances fondamentales.

39
Q

Comment amener la personne à modifier ses croyances fondamentales durant la thérapie cognitive?

A

En gros, on commence par identifier et modifier les pensées automatiques du client (c’est lui-même qui le fait en étant guidé par le thérapeute) ce qui va amener le client à remettre en question ses façons de penser.

40
Q

Faire une conceptualisation des concepts en lien avec les niveaux de pensées (en incluant une situation).

A

-Schémas inconditionnels.
-Schémas conditionnels.
-Situation.
-Pensées automatiques.
-Réactions (émotionnelles, comport. et physio.).

41
Q
A