Thème 5: pédopsy Flashcards

1
Q

nommer les 4 stades du développement selon Piaget et les groupes d’âge

A

1) sensorimoteur (0-2 ans): contrôle moteur, permanence de l’objet, symboles mentaux
2) préopératoire (2-7 ans): symbole et langage, difficulté à généraliser, pensée intuitive et non raisonnée, égocentrique, pensées animiste)
3) opératoire concret (7-12 ans): manipulations et opérations + développées, pensée égocentrique remplacée par pensée opératoire, règles et moral, pensée logique, perçoit temps et vitesse, concept de quantité et réversibilité
4) opératoire formel (12+): pensée abstraite, raisonnemnet logique, hypothèses, probabilités, intérêts pour philosophie etc, hypothèses

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2
Q

nommer le stade de piaget et âge: contrôle moteur, permanence de l’objet, symboles mentaux

A

sensorimoteur (0-2 ans)

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3
Q

nommer le stade de piaget et âgesymbole et langage, difficulté à généraliser, pensée intuitive et non raisonnée, égocentrique, pensées animiste)

A

préopératoire (2-7 ans)

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4
Q

nommer le stade de piaget et âge: manipulations et opérations + développées, pensée égocentrique remplacée par pensée opératoire, règles et moral, pensée logique, perçoit temps et vitesse, concept de quantité et réversibilité

A

opératoire concret (7-12 ans)

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5
Q

nommer le stade de piaget et âge: pensée abstraite, raisonnemnet logique, hypothèses, probabilités, intérêts pour philosophie etc, hypothèses

A

opératoire formel (12+)

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6
Q

le développement de Piaget est fait par la formation de schèmes cognitifs grâce à 2 concepts en interaction. Les nommer

A

assimilation et accommodation (ajustement des connaissances face à l’environnement)

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7
Q

quelle est la principale critique du modèle de Piaget?

A

ne tinet pas compte des influences du milieu social et affeectivités (2 éléments de 1e importance dans le développement de l’enfant)

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8
Q

différence entre bonding et attachement

A

bonding: formation du lien d’attachement entre l’enfant et ses parents
attachement: capacité de l’enfant de rechercher la proximité de sa figure d’attachement , comportements d’attachement manifestés par l’enfant et dirigé vers la figure d’attachement

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9
Q

5 types d’attachements insécures

A

insécure organisé, insécure évitant, insécure ambivalent, insécure désorganisé, insécure contrôlant

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10
Q

définition d’insécure organisé

A

détresse de l’enfant n’est jamais apaisée, ils ont des stratégies pour organiser leurs comportements et émotions

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11
Q

définition d’insécure évitant

A

minimisation de ses manifestations de détresse pour ne pas activer d’émotions négatives, difficiles à gérer par son parent, parents insensibles

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12
Q

définition d’insécure ambivalent

A

porté à amplifier sa détresse pour maximiser ses chances de recevoir de ses parents. mais il résiste au contact physique et au réconfort. parents avec comportements inconstants

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13
Q

définition d’attachement insécure désorganisé

A

pas développé de stratégie d’approche cohérentes face à leurs parents. Devant les parents, il sont confus, désorientés et apeurés

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14
Q

définition d’insécure contrôlant

A

le comportement désorganisé de l’attachement se maintient dans le temps et évolue vers un comportement contrôlant en début d’âge scolaire. Renversement des rôles, Enfants agressifs et punitifs envers les enfants

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15
Q

v ou f: la déficience intellectuelle est irréversivle

A

v

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16
Q

nommer 2 commorbidités des déficiences intellec.

A

difficulté de fonctionnement et troubles de comportement

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17
Q
  1. Lequel parmi les énoncés suivants est vrai :
    a. Selon le DSM-5, le déficit dans le fonctionnement adaptatif doit être présent dans au
    moins 2 activités de la vie quotidienne.
    b. De façon globale, les différentes nomenclatures du déficit intellectuel sont exclusivement basées sur des données de mesure du QI.
    c. On ne peut pas diagnostiquer le handicap intellectuel si le patient souffre d’une maladie causale bien identifiée.
    d. 85 % des personnes avec un diagnostic de déficit intellectuel ont un QI entre 50-70.
    On considère que 1% de la population est atteinte de DI
A

d

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18
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle légère dans le domaine conceptuel

A

difficulté d’appentissage scolaire

chez l’adulte, l’abstraction, les fonctions exécutives, la mémoire à court terme et l’utilisation des compétences scolaires sont altérées

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19
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle légère dans le domaine social

A

immature dans les interactions sociales, diff. avec les codes sociaux

communication, conversation, langage sont plus concrets ou immatures

diff. à contrôler l’émotion et le comportement

compréhension limitée des risques, risque d’être manipulée

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20
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle légère dans le domaine pratique

A

nécessite une assistance pour des tâches + complexes de la vie quot.

aides pour achats alimentaires, transports, enfants, prep de repas équilibrés, gestion financière

réussi à trouver un emploi en milieu normal, mais pas trop intellectuel

besoin d’aide pour prendre des décisions médicales et légales

soutien nécessaire pour élever une famille

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21
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle moyenne dans le domaine conceptuel

A

capacités intellectuelles largement en bas de la normale, langage et compétences préscolaires lents, acquisitions scolaires lentes et manifestement limitées,

chez adultes, capacités intellectuelles à un niveau élémentaire, aide pour application des apprentissages scolaires, assistance requise pour les tâches quotidiennes

il peut s’avérer nécessaire que d’autres en assurent la pleine responsabilité à la place de la personne

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22
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle moyenne dans le domaine social

A

grandes différences dans la communication et comportements sociaux, langage reste le premier moyen de communication mais à un niveau de complexité inférieur, peut avoir des relations amicales et amoureuses, difficulté avec les codes sociaux, jugement social et capacités décisionnnelles limités

aide soutenue nécessaire pour réussir dans le travail

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23
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle moyenne dans le domaine pratique

A

adulte: peut assurer ses besoins personnels (manger, habiller, toilette, etc)

participation aux tâches domestiques possible mais besoin d’éducation prolongée, travail autonome peut petre exercé mais soutien considérable de la part des collègues

minorité: comportement inadapté est la cause de problèmes sociaux

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24
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle grave dans le domaine conceptuel

A

compétences conceptuelles limitées, peut de compréhension du langage écrite et des nombres, qt, besoin d’une aire substantielle pour résoudre leur problème

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25
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle grave dans le domaine social

A

langage parlé assez limité, mots et phrases simples, centrés sur le présent, langage + pour socialiser que pour les explications, comprennent discours simple

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26
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle grave dans le domaine pratique

A

besoin d’aide pour toute activité du quotidien, nécessite surveillance de tous les instants. ne peut pas prendre des décisions responsables, aide et assistance permanente pour les tâches ménagères et travail, enseignement prolongé et aide constance nécessairepour apprendre toute compétence. autoagressivité possible

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27
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle profonde dans le domaine conceptuel

A

compétences intellectuelles centrées sur le monde physique, pas symbolique, peut utiliser des objets, compétences visuospatiales, déficits sensorimoteurs peuvent interdire utilisation des objets

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28
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle profonde dans le domaine social

A

compréhension très limitée de la communication symbolique, peut comprendre des instructions et gestes simples, exprime largement ses désirs et émotions, plaisir dans des relations avec famille et proches, répond aux interactions sociales par signes, déficits sensorimoteurs peuvent interdire un grand nombre d’activités sociales

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29
Q

fonctionnement des pt ayant une déficience intellectuelle profonde dans le domaine pratique

A

dépendante pour tous les aspets du soin quotidient, santé et sécurité

si pas d’atteintes physiques, peut aider à des tâches

travail avec actions simples mais besoin de hauts niveaux d’assistance soutenue, plaisir à écouter de la musique, films, se promener, activités aquatiques,

déficits physiques et sensoriels sont de fréquentes entraves aux activités

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30
Q

nommer 3 moments pouvant mener `à un DI

A

prénatale (35%), périnatale (10%), postnatale (20%),

inconnues (30-50%)

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31
Q

nommer 4 facteurs liés à l’hérédité pouvant causer des DI (5%)

A

erreurs innées du métabolisme

aN monogéniques

aberrations chormosomiques

syndromes polygéniques familiaux

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32
Q

nommer 3 facteurs liés à des altérations précoces du développement embryonnaire ou associé à la grossesse et problèmes de la mère (30%)

A

malformations congénitales, changements chromosomiques, exposition à des toxines

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33
Q

nommer 3 facteurs liés à l’accouchement pouvant causer une déficience intellectuelle

A

prématurité, Cx à l’accouchement, anoxie

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34
Q

nommer des facteurs postnatales de la DI

A

facteurs liés à des problèmes physiques de la petite enfance (infections, exposition à des toxines, atteintes neuro)

facteurs liés à des tr mentaux ou influences environ. (causes psychiatriques et sociales)

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35
Q

Nommer 3 facteurs génétiques les plus fréquentes de la DI

A

trisomie 21, syndrome de X fragile, et sclérose tubéreuse de Bourneville

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36
Q

nommer 3 facteurs acquis les plus fréquents de la DI

A

infections (rubéole), syndrome d’alcoolisation foetale, exposition à des toxines (plomb)

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37
Q

nommer 3 facteurs environ. et socio les + fréquents de la DI

A

carence dans la relations mère-enfant, manque de stimulation sociale et linguistique, tr mentaux graves (TSA)

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38
Q

pronostic du DI

A

pas de Tx, dépend du niveau d’atteinte fonctionnelle, il faut les suivre à vie et essayer de répondre aux besoins

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39
Q

Nommer des techniques pour travailler avec une personne avec DI

A
  • Prendre le temps nécessaire pour établir une relation de confiance
  • Limiter les distractions
  • Adapter la durée des séances aux capacités du patient
  • Prévoir des perspectives à moyen et long terme
  • Répéter régulièrement et faire confiance au patient
  • Utiliser des supports visuels - Faire des mises en situation
  • Utiliser un journal de bord adapté aux rencontres
  • Favoriser une activation comportementale et des activités physiques pour diminuer le stress
  • Concrétiser des approches de résolutions de problèmes, des techniques de relaxation et de gestion du stress
  • Travailler à améliorer ses habiletés sociales
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40
Q

Définition DI et 5 principes

A

limitation significative du fonctionnement intellectuel concomitante à une limitation significative du fonctionnement adaptatif, observé dans les habiletés

avant l’âge de 18 ans et 5 principes essentiels à l’application de cette définition

1) doit tenir compte de l’environnment
2) considérer la langue et culture
3) limitations coexistent avec des forces
4) limitations bien décrites pour développer un profil de soutien
5) le fonctionnement au quotidien est amélioré avec un soutien approprié

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41
Q

similarité et différences entre TSA et DI

A

communs: coexistent souvent
- 20-40% des tsa ont di
- retard de développement

différences:

  • communication vervale et non verbale pour orienter le Dx
  • rechercher des réciprocités sociales ou émotionnelles pour orienter le dx
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42
Q

similarité et différences entre TDAH et DI

A

commun:
-sx affectifs et comportementaux sont souvent présents en cas de double dx

différences:

  • prévalence similaire pour les enfants avec ou sans DI (10%)
  • absence de structure, manque d’intérêt et niveau d’exigence trop élevé peuvent être à l’origine de l’inattention dans le cas d’un DI
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43
Q

interventions thérapeutiques du DI

A

tx biologiques pour les affections psychiatriques comorbides: même Rx qui si pas DI, mais DI sont vulnérables à la polypharmacie et diff. à communiquer Sx

Tx psychologiques et interventions sociales: dépend des comorbidités, approche béhaviorale, suivi psychologique

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44
Q

v ou f: le QI doit être inférieur à 70 pour un DI

le déficit dans le foncitonnement adaptatif doit être présent dans au moins 2 activités de la vie quotidienne

A

F, il doit juste y avoir un déficit dans le fonctionnement intellectuel

F: présent dans au moins 1 activité

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45
Q

v ou f: il n’y a pas d’âge de début pour le DI, ça doit juste survenir lors de la période de développement

A

v

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46
Q

sur quoi se base la codification de la sévérité?

A

les aspects pratique, social et conceptuel (pas le QI)

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47
Q

le TSA se caractérise par un retard et de la déviance dans quels 2 sphères?

A

communication et interactions sociales

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48
Q

signe de bon pronostic de TSA

A

absence de DI et apparition de phrases communicatives avant 6 ans

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49
Q

y a-t-il un critère d’âge pour le dx de la TSA

A

non, mais sx doivent être présents depuit le début du développement

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50
Q

Concernant le TSA, quelle est l’affirmation fausse?
A. La prévalence du TSA est actuellement évaluée à 6 à 7/10 000 enfants.
B. On diagnostic TSA 4 garçons pour 1 fille
C. Le diagnostic est porté à l’âge moyen de 4 ans
D. Les études familiales ont démontré qu’il existe un taux de concordances plus faible chez les jumeaux
dizygotes que les monozygotes.
E. Des modifications du tissu neuronal seraient observées dans les aires frontotemporales

A

a) (60-70)

51
Q

Nommez 7 caractéristiques / signes d’appel, permettant d’évoquer la possibilité d’un TSA ?

A
  1. À 12 mois, l’enfant ne babille pas, n’indique pas du doigt, ne fait pas de gestes sociaux et communicatifs ou ne répond pas à son prénom
  2. À 16 mois, il ne dit pas de mots
  3. À 24 mois, il ne fait pas de phrases de deux mots
  4. À tout âge, on observe une régression cliniquement significative de sa capacité langagière ou sociale
  5. Réduction de gestes exprimant l’intérêt de l’enfant ou son engagement social
  6. Réduction de gestes dirigeant l’attention de l’autre sur un objet d’intérêt
  7. Manque de contact visuel intégré à l’acte de communication
  8. Difficulté de compréhension du langage
52
Q

cibles thérapeutiques dans le tx du TSA

A

permettre le plein épanouissement des capacités émotionnelles et cognitives de la personne

alléger sa souffrance psychologique lorsqu’elle existe

contribuer à ce que la personne occupe une place sociale à la mesure de ses aptitudes

soigner éventuellement les comorbidités psychiatriques qui sont des maladies traitables

53
Q

tx biologiques de TSA

A

tx pharmaco des comorbidités, antidépresseurs tricycliques et ISRS pour les mouvements répétitifs invalidants

mélatonine pour diff. du sommeil

54
Q

tx psycho de TSA

A

assurer le développement du langage et le fonctionnement dans le groupe de pairs

2 méthodes efficaces: TCC et approches comportementales

55
Q

gestion de la crise TSA

A

identifier le changement, conduire la personne dans un lieu d’isolement et lui expliquer pourquoi il agit ainsi,

lui donner l’assurance que ce n’est que provisoire

après la crise, discuter pour comprendre ce qui s’est passé, oralement ou par écrit

56
Q

interventions sociales chez TSA

A

guidance parentale et soutien familial

thérapie d’intégration sensorielle

adapter l’environnement scolaire: réduire les exigences scolaires, modifier les activités en classe et minimiser l’impact des difficultés motrices et sensorielles, enseigner des stratégies compensatoires, maximiser l,utilisation des forces de la personne

adaptation scolaire dans le système standard: devrait être scolarisé comme les autres enfants (intimidation est difficulté principale)

57
Q

v ou f: un changement de diète et des vitamines peuvent aider le TSA

A

F

58
Q

causes de TSA

A

essentiellement génétique (multitude de gènes. mutation monogénique suffisante)

facteurs environnementales et médicales

agents toxiques favorisent, intoxication infraclinique au plomb (atteinte cognitive), PCB, diozines, pesticides. radiation ionisantes

59
Q

v ou f: allergènes et facteur immunologique peuvent être cause de TSA

A

F

60
Q

Altération neuro de TSA au plan microscopique

A

Plan microscopique : tissu neuronal modifié en frontotemporales, avec diminution de la taille des corps cellulaires et la distance les séparant à l’intérieur des mini-colonnes (?)

61
Q

Altération neuro de TSA au plan macroscopique

A

Plan macroscopique : diminution du corps calleux surtout en antérieur, augmentation de la vitesse croissance du crâne et du cerveau à la fin de la première année qui se stabilise à l’âge adulte pour ne concerner que les régions spécifiquement impliquées dans la sémiologie autistique

62
Q

Altération neuro de TSA au plan synaptique

A

Plan synaptique : marqueurs d’hyperplasticité

63
Q

Altération neuro de TSA au plan cognitif

A

Plan cognitif : l’ensemble des mécanismes cognitifs est modifié de manière plus ou moins marquée, ou
encore de manière avantageuse :
o Encodage de l’information perceptive élémentaire est supérieure chez les TSA dans plusieurs opérations
o Traitement de l’information privilégie la catégorisation perceptive à la catégorisation
sémantique (?)
o Rôle relatif du langage et des représentations non verbales est moindre chez les TSA.

64
Q

comorbidités les plus courantes en TSA

A
  • Trouble anxieux ou phobiques (42%)
  • Retard de développement (33%)
  • Troubles spécifiques du langage (20-40%)
  • TDAH (28%)
  • Trouble d’apprentissage (15%)
  • Énurésie (11%)
  • Épilepsie (10%)
  • Tics chroniques (9%)
  • Encoprésie (6,6%)
  • Syndrome de Gilles de la Tourette (4,8%)
  • Particularités sensorielles (hypoesthésie, hypersensibilité ou recherche sensorielle atypique) 45-95%
    des cas, donc fait plutôt partie du syndrome qu’une comorbidité en soi.
65
Q

similarité et différences entre TSA et gilles de la Tourette

A

similarité:

  • Réduction de socialisation
  • Comportements répétitifs
  • Plus fréquents chez les garçons
  • Débute en enfance
  • Mêmes comorbidités

différences:

  • Condition de survenue
  • Évolutions différentes
66
Q

similarités entre TSA et TOC

A
  • Comportements répétitifs

- Champs d’intérêts restreints

67
Q

similarité et différences entre TSA et TDAH

A
  • Les patients peuvent sembler indifférents
  • Difficultés d’interaction
    sociale

différence:
- La cause de l’indifférence est différente :
compréhension du langage verbal insuffisante dans le cas du TSA

68
Q

similarité et différences entre TSA et anxiété sociale

A

Évitement social
- Claustration

différence:
- Normalité des attitudes en interactions sociales dans une situation optimale (familière) pour l’anxiété sociale

69
Q

similarité et différences entre TSA et personnalité schizoïde

A

Abrasion émotionnelle et désinvestissement social

  • Préfère les activités solitaires
  • Ressemble à la forme de TSA avec QI normal.

différences:
- Les TSA ont une gamme d’émotions,
tandis que les TP schizoïdes sont plutôt indifférents.

70
Q

3 types de sx du tdah

A

inattention, impulsivité, hyperactivité

71
Q

Quel est l’énoncé qui est vrai parmi les suivants concernant l’épidémiologie du TDAH?

a) Le TDAH touche environ 5 à 8 % des enfants. Et 4.4% des adultes
b) Le TDAH est plus prévalent chez les filles que chez les garçons, dans un ratio de variant de 3 pour 1.
c) Le marché de la médication est en chute libre depuis la publication du DSM-IV
d) La grande majorité des enfants devenus adulte ne rencontre plus de symptômes de TDAH.

A

a) a est vrai

b) Faux : ratio 3 H : 1 F chez les enfants et 1 H : 1 F chez les adultes ce qui sous-tend un sous-diagnostic
chez les femmes en bas âge.

c) Faux. La constatation que la pathologie se poursuit à l’âge adulte et la meilleure classification amenée par le DSM-IV a fait passer le marché des médicaments pour le TDA/H de 15 millions à 7 milliards !!!
(2013)

d) Faux. Plus de la moitié des enfants présentant un TDA/H garderont des symptômes significatifs à l’âge adulte.

72
Q

3 grands types de facteurs contributifs à TDAH

A

multifactorielles

facteurs environnementaux, génétiques et neurophysiologiques

73
Q

nommer les facteurs environnementaux du TDAH

A

tabagisme, alcool, métaux lourds chez F enceinte, prématurité, db gestationnel et grossesse gémellaire, chimio et radiatx, environnement psychosocial

74
Q

nommer les facteurs génétiques du TDAH

A

dans 80% des cas, risque de transmettre le tdah est de 50% (si juste un parent atteint)

75
Q

nommer les facteurs neurophysio du TDAH

A

lobe frontal et ses connexions aux noyaux gris centraux et zones du cervelet,

ados tdah ont un délai de 30% dans la maturation de leur région corticale

transmission synaptique et déficit d’automodulation par DA (sert à maintenir intérêt sur une tâche) et NA (filtrer les stimuli non pertinents et faciliter la fluidité)

76
Q

v ou f: à partir de 17 ans, seulement 5 sx sur 9 sont requis par catégorie pour un dx de tdah

A

v

77
Q

dans le tdah, les sx doivent avoir été présents avant __ ans

A

12

78
Q

causes organiques de la TDAH

A
  • Exposition à des drogues ou substances toxiques durant la grossesse
  • Complications périnatales avec encéphalopathie
  • Troubles génétiques et de métabolisme
  • Déficits sensoriels, visuels ou auditifs
  • Dysfonction thyroïdienne, diabète
  • Troubles hématologiques (anémie)
  • Tics, épilepsie
  • Traumatisme craniocérébral (attention, les individus TDAH sont plus à risque également)
  • Apnée du sommeil, narcolepsie, hypersomnolence diurne idiopathique (attention, 25-50% des personnes TDAH présentent aussi des troubles du sommeil). La cause peut être la surstimulation avant le coucher (télévision, jeux vidéo), l’hyperactivité en tant que telle, d’autres veulent travailler plus pour
    rattraper le temps perdu et l’effet de la médication qui prend fin peut donner le sentiment d’avoir
    beaucoup d’énergie en fin de soirée.
  • Les problèmes d’obésité et d’énurésie sont fréquents chez cette clientèle.
79
Q

Traitement du TDAH

A

psychoéducation prime sur la médication:
techniques d’organisation du temps, résolutions de problèmes, saine hygiène de vie,

tx biologiques si statégies non pharmaco ne fonctionnent pas:
o Psychostimulants
§ Produits à base d’amphétamines (AMPH)
• Libération immédiate (Dexedrine)
• Libération prolongée (Adderall / Vyvanse)
§ Produit à base de méthylphénidate (MPH)
• Libération immédiate (Ritalin)
• Libération prolongée (Biphentin / Concerta)
o Non-stimulants
§ Atomoxétine
§ Guanfacine à libération prolongée
Mécanismes d’action : agit sur la neurotransmission du système dopaminergique

80
Q

comment utiliser les médicaments pour le TDAH

A

o Ajustement progressif
o Viser un contrôle optimal des symptômes toute la journée
o Priorisation des médicaments à longue action et viser 1 molécule si possible
o Attention puisque peut augmenter un trouble anxieux et certains troubles moteurs
o Attention pour l’abus de substances
§ Diversion : utilisation pour un usage non thérapeutique ex : diminuer la fatigue
§ Abus : utilisation en vue d’un plaisir ou d’un effet de bien-être

81
Q

Concernant le TOP et le TC, lequel des énoncés suivants est faux :
a. L’opposition est toujours pathologique
b. Les garçons seraient 2 à 3 fois plus préalents que les filles pour le diagnostice de TC
c. Les filles seraient de plus en plus accusées pour TC au tribunal de la jeunesse
d. La présence du chromosome Y est le plus grand facteur de risque à un TC ou un TOP (y
compris la testostérone)
e. L’approche pharmacologique est la monothérapie à tenter en première intention

A

e) Faux. Les traitements biologiques, par exemple les psychotropes, doivent être utilisés en association avec des interventions psychosociales.

82
Q

facteur de mauvais pronostic pour TOP ou TC

A
  • Début des comportements avant l’âge de 10 ans
  • Comportements perturbateurs dans différents milieux
  • Être victime de violence physique
  • Contrôle parental excessif ou inexistant
  • Adhésion des parents à des valeurs antisociales
  • Utilisation de drogues avant 15 ans
  • Placement à l’extérieur du domicile familial
  • Pauvreté et milieu défavorisé
  • Décrochage scolaire
  • Pairs délinquants

(23-41%) devient antisocial si a ces caractéristiques

83
Q

épidémio TOP TC

A

2H: 1F plus fréquent chez les jeunes, 6-16 % des ados H et 2 -9 % des ados F

84
Q

nommer les causes biologiques d’un TC ou TOP

A

plusieurs aspects présents chez les parents peuvent prédisposer l’apparition d’un TC :
- Psychopathologie, toxicomanie ou traits antisociaux chez l’un des parents biologiques
- Usage d’alcool, de tabac, de drogues, une nutrition déficiente et l’absence de suivi médical durant la grossesse (autant pour le TOP que le TC)
- Complications médicales (HTA, Vo gravidiques) et psychiatriques (anxiété, dépression, psychose)
durant la grossesse et l’accouchement
- Le plus grand facteur de risque est la présence d’un chromosome Y → testostérone → agressivité

85
Q

facteurs psychologiques prédisposant au TOP et TC

A
  • Tempérament difficile (difficulté à être réconforté, hypersensibilité aux stimuli externes, insensibilité aux punition)
  • Un QI plus faible que la moyenne - Difficultés d’apprentissage en lien avec une atteinte neurologique et une baisse de l’estime de soi
  • Impulsivité et le manque d’habiletés sur le plan psychomoteur (augmente le risque de trauma crânien
    et de comportements perturbateurs).
    François Bouchard-Boivin
    Mathias Castonguay
    25
  • Recherche de sensations fortes
  • Comorbidité du TDAH (jusqu’à 80% des TC)
  • Rejet ou intimidation à l’école ou dans son voisinage
  • Dans une moindre mesure, l’exposition à la violence (jeux vidéos, télévision) peut faciliter le passage à l’acte des adolescents prédisposés ou fragiles.
86
Q

facteurs environnementaux prédisposants au TOP et TC

A

pauvreté, vivre dans un quartier désorganisé, défavorisé et violent,
fréquenter une école peu structurante et peu encadrante, et faire partie d’une minorité constituent des facteurs de risque pour les comportements déviants, oppositionnels et perturbateur durant l’enfance et l’adolescence.
La fréquentation de pairs délinquants ou toxicomanes en est également un pour la délinquance juvénile. Les
problèmes familiaux sont les facteurs de risque les plus étudiés et peuvent être classés en deux catégories :
- Perturbations familiales générales
o Discorde familiale
o Violence conjugale
o Comportements antisociaux ou toxicomanie chez l’un ou l’autre des parents
o Mère monoparentale, mère adolescente
o Nombreux conjoints (instabilité relationnelle)
o Dépression ou anxiété chez la mère
o Famille nombreuse
o Nombreux déménagements
- Pratiques parentales spécifiques
o Négligence (rejet, manque de communication)
o Résolution inadéquate des conflits parent-parent ou parent-enfant
o Lacune dans le développement et la capacité d’empathie
o Discipline rude (avec violence)
o Abus physique
o Supervision parentale excessive ou déficiente
o Apprentissage déficient des règles sociales ou une adhésion à des valeurs antisociales

87
Q

facteurs protecteurs du TOP et TC

A
  • Bon soutien familial
  • Capacité d’attachement sécure
  • Attitude positive, qui accepte l’autorité et les interventions
  • Bon QI
  • Bonne réussite scolaire
  • Participation dans des activités prosociales (scolaire, sportive, communautaire, etc.)
  • Bonne capacité d’adaptation.
88
Q

4 catégories de critères du trouble des conduites

A

agression envers des personnes ou des animaux

destruction de biens matériels

fraude ou vol

violations graves de règles établies

89
Q

3 caractéristiques du TOP

A

humeur colérique/irritable

comportement querelleur/provocateur

esprit vindicatif

90
Q

tx du TOP et TC

A

Interventions psychosociales : l’entraînement aux habiletés parentales est la méthode la plus efficace pour
diminuer les comportements inadéquats chez l’enfant et les adolescents avec TOP ou TC. Les parents sont encouragés à utiliser des renforcements positifs, éviter les punitions corporelles et ils apprennent à négocier de façon adéquate avec leur enfant. D’autres méthodes sont disponibles :
- Entraînement à la résolution de problèmes - Thérapie multi-systémique
- Gestion de la colère
- Thérapie familiale, les camps dans la nature, les boot camps, traitement résidentiel en institution, etc.
- La thérapie individuelle introspective comme seul traitement des TC n’est pas efficace, mais peuvent encourager le patient dans la prise en charge de son trouble.

91
Q

tx biologiques du TOP ou TC

A

psychotropes utilisés avec psychothérapies. Non efficace seule

faible dose et augmenter

-au suivi, évaluer l’adhésion, les E2, la consommation de substance, pas de médicaments reconnus, aller en fonction des sx

  • psychostimulants si TDAH
  • antipsychotiques sont svt les plus prescrits, 2e génération recommandé
  • lithium pour agressivité et impulsivité
  • ISRS pour les jeunes avec sx dépressifs ou anxieux
92
Q

dans le TOP, les comportements doivent se produire avec au moins une personne qui n’est pas de la famille: v ou f

A

v

93
Q

Concernant les troubles dépressifs chez l’enfant et l’adolescent, quel énoncé est faux parmi les suivants :
a) Le diagnostic de trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur est une nouvelle entité diagnostique
b) L’opposition peut être une manifestation de dépression chez l’adolescent
c) Chez les adolescents, on observe une prévalence accrue de dépression chez les filles
d) Chez les enfants en dépression, des tentatives de suicides surviennent moins fréquemment que chez l’adulte
e) Le risque de suicide chez l’adolescent déprimé est diminué à l’introduction d’un anti- dépresseur
Informations supplémentaires

A

e

94
Q

épidémiologie des troubles dépressifs

A

Santé Canada mentionne les prévalences suivantes :

  • Chez l’adolescent : 4-9% (accrue chez la femme, en raison d’un risque augmenté de 1,5 à 3X)
  • Chez l’enfant d’âge scolaire : 1-2,5% (sans différence entre les genres).
95
Q

apparition du trouble dépressif et sx

A

apparition sur une période de qlq semaines-mois

fatigue, concentration diminuée, indécision, anhédonie, intérêt diminue, tristesse diffuse et presque constante,

manifestrations à la place de la tristesse: humeur irritable et labile, intolérance à la frustration, plaintes, retrait social ou régression des comportements

96
Q

risque suicidaire chez les jeunes

A

environ 60% ayant une dépression majeure on des idées suicidaires et 30% feront une tentative, 2.5H : 1F

abus de substances aussi fréquent

97
Q

Tx dépression chez enfants et ados

A
98
Q

nom de l’antidépresseur approuvé en pédopsy

A

fluoxétine, en dosage faible et progressif

99
Q

psychothérapie en dépression

A

efficacité modeste, thérapie individuelle, psychoéducation chez les parents, cibler les tensions et offrir des conseils éducatifs,

utiliser psycho+ pharmaco si perte de poids et d’appétit

100
Q

taux de suicide chez les enfants

A

1/3 des décès chez l’enfant et ados, 2e cause chez 15-19 ans, 3e cause chez 10-14 ans, ratio est de 2.5H:1F

101
Q

à quel âge observe-t-on le zénith de l’anxiété de séparation? et % d’enfants atteints

A

7-9 ans

3-5% (épidémio)

102
Q

sx de l’anxiété de séparation

A

Dure au moins 4 semaines
Il est souvent inquiet pour
ses parents
Le sommeil peut être perturbé

103
Q

tx anxiété de séparation

A

TCC familiale et individuelle avec exposition
aux situations anxiogènes
Si anxiété aiguë → ISRS

104
Q

évolution de l’anxiété de séparation

A

Facteur de risque pour
dépression et les autres troubles anxieux. Si traité, ø
d’étude qui montre un
impact sur le développement d’une autre psychopathologie

105
Q

TAG chez les enfants, épidémio

A

1.4 % chez les enfants
2.3 – 4.6 % chez les ados
2-3 F : 1 H
Âge médian d’apparition :
F=17 H=19

106
Q

dx TAG en pedopsy

A

Mêmes critères que chez les adultes, sauf qu’un seul item de l’élément C est requis chez les enfants.

107
Q

tx TAG pedo

A

TCC

ISRS

108
Q

évolution TAG enfants

A

Associée à un risque accru

de psychopathologie et à une certaine chronicité

109
Q

epidemio phobie sociale

A

0.5 % chez enfant

2 – 4 % ado

110
Q

sx phobie sociale enfant

A

Même symptômes qu’adulte,
quoique les signes peuvent être différents : pleurs, accès de colère, freezing, mise en
retrait ou mutisme sélectif
(forme sévère de phobie sociale)

111
Q

tx phobie sociale

A

TCC et thérapie familiale +++

ISRS si haute atteinte fonctionnelle

112
Q

évolution phobie sociale

A

La réponse au traitement est excellente, s’il n’est pas traité, cela mène vers des troubles anxieux et la dépression, et le pronostic est plus sombre.

113
Q

6 sx dans le TAG DSM5

A

agitation ou sensation d’être survolté ou à bout

fatigabilité

difficultés de concentration ou trous de mémoire

irritabilité

tension musculaire

perburbation du sommeil (diff. d’endormissement ou sommeil interrompu ou sommeil agité et non satisfaisant)

114
Q

il y a un critère d’âge de début pour l’anxiété de séparation: v ou f

A

f

115
Q

L’âge d’apparition des troubles des conduites alimentaires se situe pour la majorité des cas entre___. Il s’agit donc d’un groupe de pathologies abordées et traitées tant en pédopsychiatrie qu’en psychiatrie adulte.

A

14-20

116
Q

epidemio anorexie

A
1.1 – 2.2 % à vie
Incidence la plus élevée chez les ado
de 15 – 19 ans
10 – 15 F : 1 H (ados et adultes)
7 F : 1 H (< 12 ans)
117
Q

epidemio boulimie

A

1 – 2 % à vie
pic d’incidence à 16 – 20 ans
F>H

118
Q

causes désordres alimentaires

A

Multifactorielle
Bio : études sur les jumeaux → génétique explique 50-80%
Circuits sérotoninergiques associés à l’humeur dysphorique et à l’évitement de la souffrance
Circuits dopaminergiques associés à un dysfonctionnement du système de récompense
Traits prédisposant (névrotisme, inhibition, évitement de la souffrance,
perfectionnisme, conscience entéroceptive déficiente)
Dénutrition → perturbations neurochimiques → cercle vicieux
Psycho : lien entre le comportement (traits mentionnés ci-hauts), vécu
d’expériences difficiles, ATCD d’abus sexuels, changements de la puberté Sociale : caractéristiques parentales, traits TOC, idéalisation de minceur par les médias

119
Q

clinique et dx d’anorexie

A

Refus de maintien d’un poids santé mais appétit conservé.
Distorsions corporelles et stratégies malsaines pour perte de poids
Pensées compulsives Isolement social progressif
Clinique : caractérisé par leur
restriction, leur peur et leurs distorsions

120
Q

clinique et dx boulimie

A

Ø de sous-type suite au DSM-V
C’est la quantité excessive et non la nature de celle-ci qui importe
Clinique : caractérisé par les épisodes, les comportements et leur fréquence

121
Q

les TP les + dx en TCA

A

TP obsessionnels et évitant

122
Q

tx TCA

A

Retour au poids santé et correction des sx alimentaires + traitement complications physiques
Rarement d’hospitalisation en boulimie. En anorexie, on hospitalise selon la clinique (voir tableau ci-bas)
Suppléments de B12, folates, Vit D et calcium si besoin.
Ø Tx biologiques, parfois ISRS et antipsychotiques (anorexie) et antidépresseurs et benzo (boulimie) si vraiment nécessaire
TCC diminue les risques de rechute mais n’aide pas lors de la dénutrition et la reprise de poids (anorexie) / perte de poids (boulimie)
Lors d’une thérapie psychologique, le soutien est d’une EXTRÊME importance.
L’approche la plus souvent utilisée allie des aspects psychoéducatifs, TCC et psychodynamique.

123
Q

taux de rémission en anorexie

A
Taux de rémission :
<4 ans : 45% ado, 30%adultes
>10 ans : 75% ado, 50-70% adultes
Absence de TP et courte durée de la maladie avant tx = facteurs de bon
pronostic
124
Q

pronostic boulimie

A

<4 ans : 40 % > 4 ans : 66%

Rechutes fréquentes Chronicité élevée