thème 4: schizophrénie et autres troubles psychotiques Flashcards
cause de la psychose
trouble de la transmission de la dopamine
4 niveaux d’altération de la psychose
hallucinations. délires, trouble de l’organisation de la pensée/association d’idées incohérentes (perte de la valeur de communication du langage, devient incompréhensible), comportement désorganisé (faible capacité d’anticipation, car hypofrontalité, actions erratiques sans but)
5 types d’hallucinations
auditive (+ fréquente), visuelle, cénesthésique (sens du toucher, + fréquent en psychose secondaire aux intox/sevrages), olfactive (tr délirant somatique, tr organique), gustative (tr organique p-t)
V ou F: les hallucination surviennent souvent chez des patient confus
F: les hallucination sne schizophrénie surviennent typiquement chez pt bien éveillé et non confus
l’anxiété et la fièvre sont aussi hallucinogènes
V ou F: les hallucination peuvent survenir chez les enfants sans que ce soit pathologique
V, mais présence en bas âge peut prédisposer à la schizophrénie. le compagnon imaginaire chez l’enfant est à distinguer ‘une schizophrénie à début précoce, car il s’amuse avec dans des moments non publics
c’est quoi un sensorium clair
pas de fièvre, pas de délirium, pas de drogue, on peut alors parler d’hallucinations véritables dans ce cas
Définition de délires
erreurs de logique et d’interprétation entraînant des déductions erronéees, conviction erronée, irréductible par la logique
3 types de distorsions des délires
biais du type sauter prématurément aux conclusions,
biais d’attribution (croire que certaines pensées, émotions, impulsions proviennent d’influences externes à soi
déficits de la théorie de l,esprit (difficulté ;a concevoir ce que l’autre pense pour comprendre ce qu,il désire, imagine ou croit, donc comprendre l’autre et ses motivations)
différences entre les délires selon le qi
faible: délire concret
frustre vs élevé: délire fantaisiste et compliqué
nommer 4 types de trouble de l’organisation de la pensée
déraillement ou discours tangentiel
illogisme
néologisme(création de nouveaux mots)
jargonaphasie (onomatopées et sons)
v ou f: dans la schizophrénie, les sx positifs sont là de façon transitoires, et non présents en même temps. si c’est présent de façon chronique, considérés comme résiduels/résistants au tx
v
epidemio schizophrénie
- 3-2.7% dans le monde
0. 42-0.94 au qc annuelle et 0.59-1.46 à vie
pic d’incidence de schizophrénie F et H
H: 15-26 ans
F: 24-32 ans et 55-64 (baisse estrogen)
lequel est f:
a) un début précoce de schizophrénie met à risque d’une évolution plus morbide
b) hospit. + longue chez les H
c) ratio 1.28-1.56H:1F
d) ratio à l’adolescence 1:1
e) incidence de 80% avant 35 ans
f) 10 % des pts sont néés en fin d’hiver (infection virale de la mère en fin 2e trimestre augé le risque
b est faux: hospitalisation + longue chez les F
% risque de transmission si les 2 parents atteints, si un parent, dans la population générale, chez jumeaux homozygotes
40%
10% si un parent
1% dans la population générale
50% chez jumeaux homozyotes
plus les parents porteurs sont génétiquement proche, olus le risque est grand.
Le tableau le plus courant est un pt dont les parents auraient le génotype sans le phénotype (porteurs asx)
cause de la schizophrénie
vulnérailité au stress neuropsychologique:
multifactoriel ( la seule présence des facteurs physiologiques est insuffisante pour provoquer la maladie)
certains types de stress biologiques et socio-environnementaux
vulnérailité au stress neuropsychologique prédisposant à la schizo
- aN génétique (effet d’addition de risques génétiques, hétérogénéité et facteur d’épigénétique 20%)
- atcd fam de psychose
- aN cérébrale (temporales, limbiques-hippocampe-, hypofrontalité
- dysfonction des NT (dopamine, sérétonine, glutamate)
stresseur bio et socio-environ. prédisposant à la schizo
cannabis et autre drogues stimulants
cx obst.
événements d ela vie quotidienne
émotion exprimées
immigration, urbanicité
pression de performance (étude, travail)
insuffisance du soutien social
Tx et prévention des rechutes de la schizo
antipsychotiques, psychoéducation, tx cognitive, entraînement aux habiletés sociales et de communication, programme de réadaptation individualisé, retour aux études ou au travail, soutien social continu
v ou f: en schizo, on peu tretrouver différents signes neuropsychologiques mesurables chez les individus atteints ou à risque tels que la poursuite oculaire anarchique
v
v ou f: enfant de faible poids `a + de risque de schizo
v
v ou f: enfants adoptés + à risque de schizo
f
aN cérébrales de la schizo histologique
aN d ela migration des cellules dans la région limbique (hippocampe, cortex entorhinal, amygdale, thalamus, cingulum, septum)-tr de développement lors de la phase foetale
aN cérébrales de la schizo immuno
lésions cérébrales p-t reliées à une atteinte auto-immune
virus neurotrophiques (CMV, HSV, rétrovirus, VIH) peuvent directement infecter le cerveau ou des autoAc pourrait perturber le dév. cérébral et causer des sx de schizo
aN cérébrales de la schizo structurales
maladie neurodéveloppementale avec composantes neurodégénératives
élargissement des ventricules avant les sx
perte progressive de matière grise perpétuant dan sle temps
aN cérébrales de la schizo dan sl’imagerie fonctionnelle
aire de Broca activée lors des discours intérieur et aire de Wernicke lors des hallucinations auditives, diminution de l’activité de certaines aires
3 zones interreliées affectées: cortex préfrontal, cortex tempral, limbique, variabilité des Sx selon zone
rôle de la dopamine dans la schizo
DA associée à la vigilance, trop de DA=survigilance aux stimuli et pourrait provoquer Sx
événement normal pourrait avoir une grande signification pour l’individu
si schizo:
+ synthèse de DA
+décharge de DA
+grande qt de DA
les antipsychotiqes ont tous la propriété de bloques la transmission de la DA a/n de récepteurs DA1 et DA2
rôles des différentes voies dopaminergiques (effet de leur blocage)
1) substance noire-striatum (nigro-striée): trouble du mouvement si bloqué (p-e dystonie)
2) hypothalamus-hypophyse antérieur (tubéro-infandibulaire): galactorrhée par stimulation de la prolactine et des dysfct sexuelles si bloqué
3) mésencéphale-cortex frontal (voie mésocorticale): réduit les délires mais aussi les fonctions cognitives du lobe frontal si bloqué
3) mésencéphale-lobe limbique (voie mésolimbique): réduit les émotions intenses et disparition des sx + si bloqué (voie d’attaque des antipsychotiques atypiques)
rôle de la sérotonine dans schizo
effet modulateur sur l’expression émotive, semble plus élevée chez les schizo (diminution de l’enzyme dégradant)
rôle de la glutamate dans la schizo
surstimulation glutaminergique a un effet toxique sur les neurones et cause une dégénérescence neuronale= hyperactivité dopaminergique
la mauvaise régulation de la transmission dopaminergique chez les schizo serait la voie commune finale de la patho, précédemment causée par un trouble au niveau du système glutaminergique
rôle du cannabis et des autres stimulants dans la schizo (5)
surstimulent la dopamine et augmentent le risque d’être atteint de schizophrénie de 2-25X. ces substances peuvent précipiter la schizo en :
- produisant des sx psychotiques transitoires chez tout individu
- déclenchant une schizophrénie plus précocement chez les pt prédisposés
- intensifiant les sx d’un pt schizo
- provoquant des rechutes des pts en rémission ou qui cessent leur meds
rôles des cx obst. dans la schizo
sauf chez les pt dont la survenue de la schizo est avant 12 ans. augmente le risque de schizo
affecte le dév. cérébral, hypoxie cérébrale
la survenue de plusieurs événements rapprochés peuvent compromettre les capacités ____ et provoquer des ___ chez le pt schizo. mais ne provoquera pas de patho chez un sujet sain (filtrage des stimuli est compétent)
d’adaptation
rechute
nommer 6 facteurs psychosocial prédisposant à la schizo et les expliquer
- Événements de la vie quotidienne : La survenue de plusieurs événements rapprochés peuvent compromettre les capacités d’adaptation et provoquer des rechutes chez le patient. Par contre,
chez un sujet sain, il ne provoquera pas la pathologie puisque le filtrage des stimuli est compétent. - Émotionnalité exprimée : Les taux de rechutes chez les patients sont augmentés par la présence de familles ayant une expression émotive forte. Cet effet est annulé lors de la prise de neuroleptiques.
- Urbanicité : Plus la ville est densément peuplée, plus la personne y va vécu longtemps et moins il y a de cohésion sociale, plus la personne est à risque. Il est à noter que la schizophrénie entraîne une dérive sociale.
- Immigration : L’immigration, particulièrement lorsqu’il y a discrimination, entraîne une augmentation du risque de schizophrénie. Le risque de souffrir de schizophrénie chez les immigrants de 1ère génération est 2,3X plus élevés et de 2,1X pour leurs enfants. S’il y a présence de discrimination sociale, le risque grimpe à 5-10X.
- Pression de performance : les exigences de la vie moderne entravent l’insertion sociale des patients schizophrènes. Les tensions éprouvées par un employé au travail, l’approche des examens et de la pression de performance que vit un étudiant sont plus difficiles à supporter quand on
souffre de schizophrénie puisque Le schizophrène a plus de difficulté à composer avec la pression
de performance. - Soutien social : La perte du soutien social, que ce soit par l’objectif d’autonomie des thérapies ou
d’une autre cause, peut affecter grandement le patient, surtout si la maladie est à début précoce (le patient est dans une phase où il développe ses habilitées sociales et relationnelles et de s’affranchir
de sa famille).
Sx pré-morbides de la schizo
comportement et idées bizarres:
- difficulté de socialisation
- aN développementales
- rituels/habitudes bizarres
- difficultés cognitives
Sx prodromaux d ela schizo
- Sx nég.
- détérioration du niveau de fct ant. (s’installe sur 2-3 ans)
- sentiment de malaise
- plaintes somatiques vaques
- diff. cognitives
- angoisse qui s’intensifie
- perte de sommeil
- sentiment de perte de contrôle sur ses pensées
Sx psychotiques de schizo
hallucinations, délires, incohérence des propos, désorganisation du comportement, (sx nég)
(les 3 premiers doivent être présents pour le dx de schizo)
Nommer des sx précurseurs à un épisode psychotique
- Troubles psychologiques (perturbation du sommeil, perte d’appétit, sentiment de malaise sans raison apparente)
- Troubles affectifs (anxiété, perplexité, tension, surexcitation, perte d’intérêt envers l’entourage,
sentiment d’inutilité, dépression) - Troubles comportementaux (agitation, nervosité, bizarreries, diminution des contacts avec les amis)
- Troubles cognitifs (diminution de la concentration, pertes de mémoire)
- Élaboration délirantes (impression d’être persécuté, ridiculisé, que les autres parlent de soi,
accroissement des préoccupations religieuses) - Troubles perceptuels (illusions, couleurs apparaissent plus ternes / plus brillantes, apparition
d’hallucinations fugaces)
sx négatifs lorsque le patient schizo n’est pas en psychose aiguë
sx négatifs (absence de comportements attendus, diminution des patitudes usuelles, résiduels, déficitaires et svt permanents):
- affect inapproprié, aplati ou émoussé (discordansce idéoaffective, dissociation entre affect et la oensée
- alogie: difficulté de la conversation
- aboulie ou apathie
- anhédonie et asocialité: perte de plaisir à socialier et manque d’intérêt social
- déficit de l’attention
- torubles cognitifs
définition d’aboulie ou apathie
manque d’énergie, négligence de l,hygiène, manque d’intérêt ou d’énergie, manque de persistance