thème 1 Flashcards
vrai ou faux : se déplacer quelque chose dans le dos n’existe pas on peut se blesser, mais pas déplacer
vrai
vrai ou faux : la douleur dans le bas du dos est la première cause de d’incapacité dans le monde
vrai
vrai ou faux : le terme lombalgie chronique est souvent employé pour une douleur qui persiste plus de 12 semaines
faux, c’est une lombalgie qui persiste
def lombalgie simple
une lombalgie pour laquelle une pathologie spécifique (ex. : infection, tumeur, fracture, ou syndrome radiculaire) ne peut y être attribuée.
quelle est la prévalence à vie de lombalgie
60 à 80%
quelle est l’incidence annuelle de lombalgie
40%
est-ce que la prévalence de lombalgie augmente avec l’âge (question examen)
non, sa n’augmente pas avec l’âge, ce sontles lombalgie sévère qui augmente avec l’âge
4 facteurs de risque de lombalgie
-génétique
-habitude de vie
-obésité (association positive entre obésité et douleurs MI)
-facteur physique (charges excessives et répétés)
Implication clinique des habitude de vie néfastes (ex : tabagisme, obésité, dépression)
récupération plus lente, essayer d’éduquer les patient sur l’importance de ces facteurs
Les 3 étapes de l’outil de décision pour aider à identifier une pathologie grave
- Déterminer notre niveau de suspicion par rapport à la probabilité de présence d’une pathologie grave
- Déterminer l’action à prendre par rapport à ce niveau de suspicion
- Établir une trajectoire de soin/référence médicale
Les pathologie grave sont :
- Fractures
- Cancer
- Infection
- Syndrome de queue de cheval
- Maladies arthritiques inflammatoires
- Problèmes vasculaires
- Douleurs non mécaniques
Quelles sont les drapeaux rouges (10)
- Traumatisme violent
(tel qu’une chute ou encore un accident d’automobile) - Douleur constante, intense, progressive et non mécanique
- Douleur thoracique ou abdominale
- Douleur pendant la nuit qui n’est pas soulagée
par une position à plat ventre - Histoire de cancer, de VIH ou encore d’autres pathologies pouvant causer des maux de dos
- Une consommation chronique de corticostéroïdes
- Une perte de poids, des frissons ou de la fièvre inexpliquée
- Une restriction significative et persistante de la flexion lombaire
- Une perte de sensation du périnée (anesthésie en selle), un récent début d’incontinence urinaire
- Les risques de maladies graves sont plus importants chez les gens âgés en bas de 20ans et en haut de 55ans. Une attention particulière devrait être portée aux signes et symptômes mentionnés précédemment pour les patients de ces catégories d’âge.
Signes et symptômes cliniques à considérer pour une tumeurs néoplasiques ou métastases osseuses (11)
- Histoire de cancer
- Âge≥50ans
- Apparition insidieuse
- Douleur nocturne (non soulagée par le repos)
- Douleur constante, intense, progressive,
sans lien mécanique - Perte de poids inexpliquée
- Perte d’appétit
- Sudation nocturne
- Fièvre
- Faiblesse générale
- Pas d’amélioration après un mois de traitement
Caractéristiques cliniques les plus utiles pour détecter la présence de cancer
- principalement : Histoire de cancer
- Âge≥50ans
- Perte de poids inexpliquée
- Pas d’amélioration après un mois de traitement
quand se termine la moelle épinière
à L2
compression de la moelle épinière quand?
quand en haut de L2
Compression de la queue de cheval quand
en bas de L2
Signes et symptômes propre à la compression de la moelle (14)
- Paresthésies bi ou quadrilatérales (compression en cervical) sans relation segmentaire.
- Peuvent être augmentés par la flexion cervicale
- Non reproduite par des mouvements des extrémités
- Démarche spastique
- Faiblesse (seul symptome qui pourrait aussi être associé à une queue de cheval)
- Diminution de coordination (MS (compression en cervical) et MI (ataxie à la marche))
- Hyper réflexie
- Spasticité
- Réponse de Babinski au test du cutané plantaire, Chaddock, Oppenheimer
- Signe de Hoffmann positif (compression en cervical)
- Signe de Lhermitte (compression en cervical)
- Dysfonction urinaire
- Douleur extrasegmentaire (ne fite pas avec dermatome)
- Inversion des réflexes
Signes et symptômes propre à la compression de la queue de cheval
- Lombalgie souvent combinée à des sciatalgies (souvent bilatérales)
- Anesthésie ou paresthésie en selle
- Troubles sphinctériens et diminution de sensation
à la miction ou à la défécation - Diminution du tonus rectal et périnéal
- Faiblesses aux membres inférieurs
- Diminution de sensibilité dans les dermatomes correspondants
- Hypo ou aréflexie des réflexes sous la lésion
red flags des fracture vertébral (5)
- Trauma majeur
- Âge > 50ans
- Sexe féminin
- Douleur et sensibilité importante
- Douleur ailleurs sur le corps qui pourrait distraire le patient de sa douleur lombaire
Les trois caractéristiques cliniques les plus significatives et rapportées dans la littérature pour les fractures vertébral sont? (srm exam)
- Trauma significatif
- Âge élevé
- Utilisation de corticostéroïdes
- Présence de contusion / abrasion cutanée
vrai ou faux : Un ensemble de questions positives est nécessaire pour conclure à une probabilité élevée d’avoir devant nous un patient atteint d’une pathologie grave.
vrai
Des questions red flags habituelles
- Âge de moins de 20 ans ou de plus de 55 ans.
- Le repos au lit qui n’a pas d’effet sur la douleur * Apparition insidieuse
- Raideurs matinales de plus de 30 minutes
- Histoire familiale d’arthrite ou d’ostéoporose
- La douleur s’améliore avec l’exercice
*** Faible valeur prédictive si posée de façon individuelle, la combinaison de ces facteurs est suspecte
Caractéristiques cliniques : douleur d’origine viscérale
- Douleur intense
- Douleur parfois locale à l’abdomen
- Douleur constante, progressive, cyclique qui empire graduellement avec le temps
- Douleur non modifiée mécaniquement
- Douleur nocturne
- Douleur peut-être modifiée par des fonctions du système gastro-intestinal (ingestion de nourriture, miction, etc.)
- Peut être associée à des symptômes systémiques (fièvre, sudation, douleur nocturne, mauvais état général)
Problèmes rhumatologiques (3)
- Polyarthrite rhumatoïde (sera vue en détail en MS4)
- Spondylarthrite ankylosante (Sueki, section sacro-
iliaque) - Arthrite psoriasique
Spondylarthrite ankylosante : signes et sympotmes
- Arthrite inflammatoire affectant principalement le rachis
- Débutant souvent par une douleur lombaire et/ou sacro-iliaque de début
insidieux, pire la nuit et mieux avec le mouvement - Raideurs matinales prolongées (plus de 2h)
- Affectant plus les hommes que les femmes (environ 3 pour 1)
- Début plus souvent dans la 30aine
- Marqueur HLA-B27 est présent dans 90% des cas
- Associé à des sacro-iléites (inflammation de sacro-iliaques visibles à l’IRM) mais parfaois les sacro-iléites ne sont pas présentes
- Amélioration importante avec AINS
quelle tissus sont fragile avec les problèmes rhumatologiques
-fragilité osseuse
-fragilité des tissus conjonctif
Maladie infectieuse signes cliniques d’infection
- Douleur
◦ Non mécanique
◦ Intense - Fièvre
- Fatigue
- Perte de poids
- Signes neurologiques
- Chaleur/Rougeur/Œdème possibles
Problèmes vasculaire signes et symptomes
-douleur diminue en restant debout ou au repos
-sensation de pulsation dans l’abdomen
-douleurs au bras quand travaille au dessus de la tête