raideur articulaire Flashcards

1
Q

causes de l’installation d’une raideur articulaire

A
  • Immobilisation (surtout plâtre après fracture)
  • Mauvaise posture prolongée
  • Manque de mobilisation en fin d’amplitude
  • Œdème
  • Post-traumatique
  • Présence de douleur suite à une lésion structurelle
  • Présence d’hypersensibilisation du SNC chez un patient avec douleur persistante pour protéger une articulation qui était auparavant blessée mais qui ne l’est plus structurellement.
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2
Q

quelles sont les effets d’une raideur sur les tissus articulaires et péri-articulaires:

A
  • « Cross link »
  • Augmentation d’activité des myofibroblastes
  • Adhérences
  • Diminution de lubrification articulaire
  • Diminution de la force « tensile » des tissus (tissus conjonctifs moins résistants)
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3
Q

quelle sont les Effets de l’immobilisation sur les tendons (révision)

A
  • Raccourcissement et déorganisation des structures conjonctives
  • Formation d’adhérence (gaine synoviale)
  • Atrophie
  • Dégénérescence cellulaire (mort des fibrocytes)
  • Modifications de la composition biochimique
  • Diminution de la force
    N.B. Évidemment, les effets négatifs de l’immobilisation surviennent plus rapidement dans le tissu musculaire par rapport au tissu tendineux.
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4
Q

Quelles sont les Effets de l’immobilisation sur la jonction myotendineuse (révision)

A
  • Diminution de 50% des replis membranaires en 3 semaines d’immobilisation
  • Augmentation du % de collagène de type III dans la région tendineuse
  • Perturbation du fonctionnement des mécanorécepteurs
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5
Q

quelle sont les effets de l’immobilisation et/ou du non-usage sur les tissus conjonctifs péri- articulaire et cartilagineux (révision)

A
  • Changements histologiques et morphologiques:
    – Diminution de l’épaisseur des faisceaux de collagène
    – Fibrillation et érosion du cartilage
    – Prolifération de tissu à orientation anarchique
  • Changements biochimiques:
    – Réduction des GAGs
    – Perte d’eau
    – Taux de dégradation> taux de synthèse
    – Augmentation des liaisons contraignantes
  • Changements biomécaniques:
    – Diminution de la résistance mécanique du tissu lors de l’application d’un stress donné
    – Diminution de la capacité d’absorber de l’énergie externe et abaissement du seuil de rupture du tissu
    – Augmentation de la raideur articulaire
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6
Q

Théorie histologique par rapport à l’installation d’une raideur dans le tissu conjonctif, quelles sont les changements histologiques (révision)

A

– Diminution de l’épaisseur des faisceaux de collagène
– Fibrillation et érosion du cartilage
– Prolifération de tissu à orientation anarchique

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7
Q

Propriété physique des tissu : qu’est-ce que le load/stress relaxation

A

– La tension nécessaire pour maintenir un tissu à un certain % d’élongation diminue en fonction du temps pour finalement atteindre un plateau.
-la déformation est constante

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8
Q

Propriété physique des tissu : qu’est-ce que le creep phenomenon

A

– Un tissu se déforme avec le temps pour atteindre une longueur donnée lorsque la force appliquée sur un tissu est maintenue de façon constante.
-la charge est constante

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9
Q

Implications cliniques du load relaxation et creep phenomenon

A

Augmente la souplesse des tissus et la mobilité articulaire

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10
Q

à quoi sont du les limitatins de mvt suie à une immobilisation

A

à des contractures articulaires et non à des rétractions musculaires.

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11
Q

Réaction d’un tissu à une force de tension externe 4 étapes?

A
  1. « Unfolding »
  2. « Alignement »
  3. « Stiffening »
  4. « Failure »
    **graphique page 7
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11
Q

Pourquoi le point « A » est-il significatif dans le contexte de la réponse au stress mécanique d’une structure blessée ?

A

Le point « A » est beaucoup plus bas (on a besoin de mettre moins de stress pour atteindre le point de « Failure »)

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12
Q

Quels caractéristiques cliniques nous donnent des indice sur l’état de la structure blessée ?

A

Le SFM et les caractéristiques cliniques (Temps d’immobilisation, stade de guérison, ATCD de blessure à la même structure…) nous donnent des indices mais on n’est jamais certains à 100%.

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13
Q

Combien de temps après une lésion peut-on observer une réaction inflammatoire ?

A

La réaction inflammatoire peut apparaître en dedans de 16 heures après une lésion.

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14
Q

Que faire si une réaction inflammatoire est possible lors de l’évaluation de l’amplitude ?

A

Évaluer l’amplitude, arrêter les mobilisations et appliquer de la glace pour diminuer l’intensité de la réaction inflammatoire possible

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15
Q

Pourquoi ajuster les paramètres de mobilisation lors d’un traitement ? comment les ajuster?

A

Pour réaliser l’effet de notre traitement sur les symptômes (douleur, engourdissement…) et sur les données objectives (amplitude, force, fonction…). Suite à ces réponses, on pourra ajuster les paramètres de mobilisations ou modifier le choix de la technique de mobilisation exemple:
-douleur augmente, ROM stable: diminuer grades et durée des mobilisations.
-Douleur stable ou diminué, ROM augmente: conserver les mêmes paramètres ou augmenter le grade ou la durée des mobilisations)

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16
Q

Quelles est la SFM ressenti si Capsule et ligament raccourcis

A

Élastique dure avant ROM normal

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17
Q

Quelles est la SFM ressenti si Muscles et tendons raccourcis

A

Élastique mou avant ROM normal

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18
Q

Quelles est la SFM ressenti si Diminution de souplesse cul-de-sac, peau, bourses

A

Élastique avant ROM normal

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19
Q

Quelles est la SFM ressenti si Os

A

Os à os

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20
Q

Quelles est la SFM ressenti si Souris articulaires, ménisque

A

À rebond

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21
Q

Quelles est la SFM ressenti si Œdème à godet

A

Rapprochement des tissus mous

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22
Q

Quelles est la SFM ressenti si Inflammation

A

Vide ou spasme

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23
Q

Quelles est la SFM ressenti si Manque de relaxation du patient

A

Résistance du patient

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24
Q

Quelles est la SFM ressenti si Mauvaise posture

A

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25
Q

Quelles est la SFM ressenti si Myosite ossifiante

A

Élastique dure et douleur avant ROM normal

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26
Q

Quelle est l’effet mécanique de creep (fluage)

A
  • L’effet de « creep » est une propriété viscoélastique des tissus conjonctifs. Celui-ci est défini comme la déformation en termes de longueur (strain) qui est observée lorsqu’une force constante est appliquée pendant un certain temps.
  • Tel que visualisé sur le graphique ci-haut, lorsqu’une force constante est appliquée, il y a un changement de longueur au début (entre 0 et environ 50 secondes) et ensuite un plateau est atteint
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27
Q

Quelle est l’effet mécanique de stress-relaxation

A
  • L’effet de « stress - relaxation » est une propriété viscoélastique des tissus conjonctifs. Celui-ci est défini comme la force (stress) qui est observée lorsqu’un changement de déformation constant est appliquée sur un tissu pendant un certains temps.
  • Tel que visualisé sur le graphique ci-haut, lorsqu’on étire un tissu à une longueur constante, la force nécessaire pour créer cette déformation est plus élevée au début et diminue graduellement ensuite.
28
Q

Effets neurophysiologiques : Aspects psychosociaux:

A
  • Attentes du patient
  • Anxiété
  • Peur
  • Catastrophisme
  • Kinesiophobie
29
Q

quelles sont les effet neurophysiologiques

A
  • Hypoalgésie à court et long terme
  • Activité musculaire modifiée (augmentée pour
    certains muscles et diminuée pour d’autres)
  • Diminution du seuil de douleur à la pression
  • Diminution de la perception de douleur
  • Amélioration de la fonction
  • Amélioration de la satisfaction du patient et du
    changement globale de la condition
30
Q

où se passe les effets neurophysiologiques

A

-Effets supraspinaux
-Effets spinaux
-Effets périphériques

31
Q

quelles sont les traitement préventif

A
  • BOUGER, BOUGER, BOUGER!
  • ADOPTER UNE BONNE POSTURE ET CHANGER SOUVENT DE POSITION…
  • RÉDUIRE L’ŒDÈME ET LA DOULEUR EN POST- TRAUMATISME
32
Q

vrai ou faux le CPM (Continuous passive motion) est utilisé d’emblée en post-opératoire

A

faux
* Le CPM n’est plus utilisé d’emblée en post-opératoire
* Il a été démontré qu’il n’est pas plus efficace d’ajouter le CPM à l’approche de physiothérapie conventionnelle
* Le temps de séjour post-chirurgie diminue de plus en plus donc il est moins pertinent d’utiliser un tel mobilisateur.

33
Q

dans quelle cas il pourrait être pertinent d’utiliser un CPM?

A
  • Dans certains cas plus précis où le patient est « cloué » au lit donc il ne peut pas s’activer, le physiothérapeute exécutant le suivi post- opératoire pourrait décider d’installer un CPM pour palier à ce manque de capacité à se mobiliser du patient.
34
Q

Sur quoi va miser le pht pour la mobilisation passive post-opératoire

A

Le physiothérapeute actuel misera plus sur l’activation rapide du patient et l’activation dans des gestes fonctionnels en post-chirurgie.

35
Q

Indications classique pour mobilisation passive post-op

A
  • Réduction ouverte de fractures
  • Arthrolyse
  • Synovectomie
  • Drainage d’arthrite
  • Relâchement de contractures
  • Remplacement d’articulations
  • PATIENT INCAPABLE DE SE MOBILISER ACTIVEMENT
36
Q

CONTRE-INDICATIONS, PRÉCAUTIONS au mobilisation post-op

A
  • Douleur excessive
  • Retard de guérison
  • Infection
  • Thrombose
  • Paralysie du fibulaire commun
  • Etc.
37
Q

quelle est le principal traitement curatif

A

BOUGER, BOUGER, BOUGER!

38
Q

Quelles sont les traitements curatif

A
  • Considérations cliniques
  • Étirements courte durée
  • Étirements longue durée et orthèses
  • Mobilisations articulaires manuelles (accessoires)
  • Exercices (étirements actifs)
39
Q

quelles sont les considérations clinique dans le choix d’une technique pour améliorer la mobilité articulaire

A
  • Contexte de l’histoire du patient (post-op ou non, post-trauma ou non, stade)
  • Structure atteinte (résultats de l’évaluation (surtout de la procédure de mise en tension sélective))
  • Irritabilité
  • Sensation de fin de mouvement lors de l’évaluation des mouvements passifs
  • Progresser du moins stressant au plus stressant
  • Limitations et restrictions (besoins fonctionnels du patient)
  • Réactions du patient pendant et après les mobilisations (douleur diminue ou augmente, bonne ou mauvaise, mieux après traitement?
  • Présence de contre-indication / précaution à l’utilisation de la modalité
40
Q

progression du traitement : avec quoi débuter et comment poursuivre ?

A

*Il est préférable de débuter les interventions par des modalités «moins stressantes » afin de minimiser les risques de complications.
* Tant qu’il y a des gains significatifs, la ou les mêmes modalités peuvent être poursuivies. Si un plateau est atteint et qu’il n’est pas relié à la condition du patient, la progression pourra se faire vers une modalité «plus stressante ». Si ce plateau est relié à la condition du patient (par exemple une consolidation en mauvaise position), le traitement devra alors être ajusté en conséquence, par exemple arrêt des modalités visant à augmenter l’amplitude.

41
Q

quelles sont les Considérations cliniques dans le choix d’une technique pour améliorer la mobilité articulaire

A
  • Préférences du thérapeute
  • Préférences du patient
  • Données scientifiques sur l’efficacité des modalités de traitement si elles sont disponibles
42
Q

quelle pratique il faut appliquer?

A

-Evidence-based practice (pratique fondé sur les données probantes
-Trois sphères : évidences scientifiques, préférences du patient et préférences du clinicien

43
Q

Vrai ou faux: il ne doit pas y avoir de douleur lors des mobilisations?

A

Faux : Douleur légère à modérée selon le seuil de douleur et la condition du patient. Certains cliniciens demandent aux patients que la douleur ne dépasse pas 4/10 pendant les mobilisations.

44
Q

Comment la douleur doit se comporter lors des mobilisations et après

A
  • Douleur locale avec peu d’irradiation est souhaitée
  • Douleur après les mobilisations peuvent durer jusqu’à 2 heures. Si les douleurs se poursuivent pendant plus de 2 heures, il faut évaluer le risque/bénéfice selon
    1. l’intensité de cette augmentation de douleur,
    2. la durée,
    3. le gain d’amplitude réalisé malgré la production de cette douleur.
    4. Les impressions du patient par rapport à cette
    augmentation de douleur
    5. Le comportement de la douleur tout au long de la mobilisation
45
Q

vrai ou faux : ;a reproduction de paresthésies peut être bénéfique lors des mobilisations

A

Faux : Ne pas reproduire de paresthésies pendant les mobilisations

46
Q

quoi faire comme mobilisation si signe neuro?

A
  • Un patient avec atteinte vertébrale en présence de signes neurologiques dus à une compression de racine pourra être mobilisé en ouverture du foramen intervertébral et traction au niveau de la compression (le but étant de décomprimer la racine et non de mobiliser des raideurs.)
  • Ce même patient pourra être mobilisé aux niveaux supérieurs et inférieurs dans les directions hypo mobiles si ces dernières mobilisations n’augmentent pas les paresthésies.
47
Q

quoi faire/ réévaluer avant les mobilisation (subjectif et objectif)

A
  • Révision des structures atteintes
  • Irritabilité ce jour
  • Stade de la guérison
  • Choisir les paramètres du jour selon les résultats de l’évaluation
  • Choisir de la pertinence de préparer le tissu (massage, chaleur, analgésie)
  • Expliquer le traitement et obtenir le consentement
  • Déterminer la position du thérapeute et du patient
    (incluant le segment à mobiliser)
  • Relaxation du patient
  • S’installer et bien se positionner
48
Q

Quoi monitorer en continue pendant les mobilisations

A
  • SFM
  • Douleur et autres sensations du patient (de mieux en mieux ou de pire en pire): la douleur ne devrait pas augmenter de plus en plus. SI cela se produit, c’est un critère pour arrêter la mobilisation.
  • Bonne position et fixation
  • Mouvement dans la bonne direction selon la biomécanique à retrouver et selon la réponse douloureuse
  • Respect du temps de repos s’il y a lieu
  • Gain objectivable?
49
Q

quoi faire / réévaluer après les mobilisations (subjectif et objectif)

A
  • L’amplitude finale atteinte mesurée
  • Sensation finale du patient
  • Possibilité de faire contracter les muscles entourant l’articulation dans les nouvelles amplitudes
  • Application d’analgésique au besoin
  • Prescription d’exercices à domicile
50
Q

Quelles sont les moyens d’optimisation

A
  • Relaxation générale du patient
  • Chaleur incluant ultrasons continues pour
    structures profondes
  • Massage
  • Biofeedback
  • Aiguilles sous le derme (aide avec le tonus)
  • Exercice physique cardiovasculaire
51
Q

Quelles sont les type d’étirement actifs

A
  • Mouvements actifs répétés
  • Techniques d’énergie musculaire ou facilitation proprioceptive neuromusculaire (PNF) : Inhibition des muscles antagonistes et Activation des muscles agonistes par:
    -contract-relax avec l’agoniste ou l’antagoniste ou en alternance agoniste/antagoniste
52
Q

que comprennent les étirements courte durée

A
  • Mobilisations physiologiques : passives ou passives assistées
  • Énergie musculaire ou PNF
  • Mobilisations accessoires
  • Mobilisations du tissu neural
53
Q

concernant les étirement courte durée quelles structures peuvent être étirer par les mobilisation physiologique, les PNF et les mobilisations accessoire

A

-muscles
-tendons
-capsules
-ligaments

54
Q

quelles sont les Paramètres pour les tissus conjonctifs sauf pour les mobilisations neurales:

A
  • 3 à 6 répétitions
  • 15 à 60 secondes
  • Intensité: faible à modérée : Intensité selon l’irritabilité et la réponse aux traitements… l’intensité pourrait être élevée si l’irritabilité serait basse et la réponse aux traitements bonnes.

***Pour l’étirement d’une structure ou une articulation : Répéter ces paramètres à chacune des articulations ou structures pour laquelle on désire améliorer la mobilité

55
Q

Exemple de paramètre selon l’irritabilité

A
  • Patient avec douleur au repos légère et condition irritable modérée pourrait être mobilisé 3 X 20 secondes.
  • Patient non irritable sans douleur au repos pourrait être mobilisé 6 X 60 secondes et même plus (on pourrait aller vers des mobilisations longue durée pour un tel patient).
56
Q

Qu’estce que la mobilisations du tissu neural influencent

A
  • La mobilité des différentes couches de l’enveloppe des nerfs les unes par rapport aux autres: mésonerve, épinerve, perinerve endonerve pour le SNP et pie-mère, arachnoïde, dure-mère pour le SNC.
  • La mobilité des nerfs par rapport aux tissus avoisinants (leurs interfaces)
  • Les tissus innervés par le nerf mobilisé
57
Q

quelles sont les paramètres pour les mobilisations neurales

A
  • 3 à 10 répétitions
  • 5 à 30 secondes
  • Intensité: faible à modérée
  • Entrer et sortir de la douleur et de la résistance avec alternance ( grade III- ), toujours ressortir de la douleur en faisant une mobilisation neurale, ne pas poussé dans la douleur et ne pas resté la longtemps
58
Q

étirement longue durée= étirement soutenu de combien de temps?

A

Étirement soutenu, de 10 minutes ou plus, soit à l’aide d’un « montage » (exemple: Poulie, sac de sable), d’une orthèse (exemple: turnbuckle, JAS) ou manuellement par le physio pour les tissus conjonctifs ankylosés et non irritables.

***À noter que les paramètres des mobilisations de courte durée pour les patients non irritables (8 X 1 minute par exemple) se rapprochent beaucoup des paramètres pour les mobilisations de longue durée (1 fois 10 minutes ou 2 X 5 minutes). Il s’agit donc d’un continuum de techniques de traitement qui peuvent se confondre l’un et l’autre pour des patients avec plus de raideur que de douleur.

59
Q

3 façon de faire des étirements longue durée

A
  • Étirement statique (ROM constant (effet « stress- relaxation » dominant))
  • Étirement statique progressif (Force constante donc ROM peut augmenter tout au long de la procédure (effet de « creep » dominant)
  • Étirement dynamique
60
Q

quelles sont les différents type d’exercice

A
  • Actifs
  • Actifs assistés
  • Auto-passifs
  • Utiliser les mêmes paramètres que les paramètres de mobilisations et faire varier la fréquence journalière selon: L’Irritabilité, La réponse du patient aux exercices, La douleur
61
Q

quelle est LA modalité de choix pour améliorer l’amplitude et pourquoi

A

les exercices sont LA modalité de choix pour améliorer l’amplitude. Cette amélioration d’efficacité par rapport aux mobilisations est probablement due à la fréquence élevée des exercices exécutés à domicile par rapport aux mobilisations exécutées en clinique.

62
Q

paramètre pour mobilisations en mouvements physiologiques

A

-Avant R1 : 10 à 30 seconde, 2 à 6 répétitions, 2 à 5 séances par semaine
-Entre R1 et R2 : 15 à 60 secondes, 2 à 6 répétitions, 2 à 5 séances par semaine

63
Q

paramètres pour mobilisations en mouvements passifs accessoires

A

15 à 60 secondes, 2 à 6 séries, 2 à 5 séances par semaine

64
Q

Paramètres mobilisation des structures neuroméningées

A

5 à 30 secondes, 3 à 10 répétitions, 2 à 3 séances par semaines

65
Q

Paramètres exercices d’assouplissement musculaire

A

15 à 60 secondes, 2 à 6 répétitions, 3 à 5 séances par semaine

66
Q

paramètre exercice de renforcement musculaire

A

1 à 3 séries de 8 à 12 répétitions, si isométrique tenir 5-6 secondes, pause de 2 à 3 minutes entre les séries, 2 à 3 sessions par semaine

67
Q

paramètre exercices visant à créer une adaptation progressive des tissus à un stress mécanique (principe de quantification du stress)

A

-Le nombre de répétitions doit être progressif. Par exemple, si 1 série de 12 répétitions est bien tolérée, on progressera à 2 puis à 3 séries
-La fréquence idéale est celle qui permet aux
structures de s’adapter aux changements, sans
apparition de signes d’irritation ou d’inflammation.

68
Q

paramètres exercices de contrôle postural

A

plus souvent possible