Systèmes olfactif et gustatif Flashcards

1
Q

Vrai ou faux? Les axones des nerfs olfactifs convergent tous vers le bulbe olfactif

A

Vrai

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Q

Réviser la diapositive 2

A

Ok

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3
Q

Vrai ou faux? La plupart des animaux se fit à leur olfaction comme principale modalité chimiosensorielle.

A

Vrai
Il l’utilise entre autre pour localiser leur nourriture

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4
Q

Réviser la diapositive 3

A

Ok

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5
Q

À quoi sert l’olfaction chez les animaux? (6)

A
  1. Localiser leur nourriture
  2. La reproduction et le rôle maternel
  3. Régulation neuroendocrine
  4. Reconnaissance des co-espèces
  5. État émotionnel
  6. Information social sur la famille, les prédateurs
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6
Q

Complète la phrase suivante:
L’olfaction est ________ pour les animaux. Il l’utilise dès leur premier jour de vie (Rat qui recherche la tétine de maman pour se nourrir). C’est d’ailleurs pour cela qu’elle est très __________.

A

A. vital
B. développé

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7
Q

Vrai ou faux? Bien que l’olfaction soit vital pour les animaux, elle ne l’est pas pour les humains

A

Faux
En revanche, elle n’a pas les mêmes fonctions que chez les animaux

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8
Q

À quoi sert l’olfaction chez les humains? (6)

A
  1. Humeur
  2. Mémoire
  3. Émotions
  4. Choix du partenaire (phéromone)
  5. Immunité (système immunitaire)
  6. Système endocrine
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9
Q

Au niveau de notre sécurité, en quoi l’olfaction peut-elle nous protéger? Décris l’étude qui nous a mené à cette conclusion.

A

L’olfaction est un système d’alerte rapide. En effet, elle permet la détection de stimuli anormaux, tel de la nourriture qui brûle.
Une étude menée par Iravani et al a démontré que seulement 0,5 seconde après que nous avons senti une mauvaise odeur notre corps se déplace légèrement vers l’arrière. Cependant, la réaction est plus lente pour les bonnes odeurs.

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10
Q

Réviser la diapositive 6

A

Ok

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11
Q

Que peut-on dire de la relation entre notre acuité olfactive et la dépression chez les personnes âgées

A

Une personne avec une acuité olfactive plus basse a des chances plus élevé à développer des symptômes significatifs de dépression

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12
Q

Vrai ou faux? Les humains ont la capacité de suivre une piste odorante

A

Vrai
Plus que cette capacité est travailler, plus que la personne sera rapide et qu’il y aura moins de déviation de l’odeur (plus de précision)

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13
Q

Réviser l’étude la diapositive 8

A

Ok

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14
Q

Presque tous les organismes vivants ont un système olfactif. Dans la plupart des cas, quels sont les 3 rôles de ce système?

A
  1. Détecter les odeurs
  2. Encoder les odeurs
  3. Interpréter les molécules d’odeur
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15
Q

Vrai ou faux? L’organisation des systèmes olfactifs varie entre les familles d’animaux (Insectes, poissons, amphibiens et mamifères).

A

Vrai
Certains sont plus adapté à l’eau, d’autre à l’air, mais ils ont tous des structures constituants un système olfactif

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16
Q

Réviser la diapositive 9

A

Ok

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17
Q

Quels sont les trois composants de l’organisation général du système olfactif?

A
  1. L’épithélium olfactif
  2. Le bulbe olfactif
  3. Le cortex olfactif et autre
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18
Q

Par quelle voie neuronale l’épithélium olfactif et le bulbe olfactif sont-ils reliés?

A

Le nerf olfactif

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19
Q

Par quelle voie neuronale le bulbe olfactif et le cortex olfactif sont-ils reliés?

A

La voie latérale olfactive

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20
Q

Réviser la diapositive 10

A

Ok

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21
Q

Comment les odeurs sont-elles détectées?

A

Les particules d’odeur entrent dans la cavité nasal et sont détectées par l’épithélium olfactif.

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22
Q

Vrai ou faux? Seulement une faible proportion des particules d’odeur vont dans l’épithélium olfactif pour être détectées

A

Vrai

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23
Q

Quels sont les différents consituants de l’épithélium olfactif? (5)

A
  1. Mucus
  2. Cellules de soutient
  3. Les neurones olfactifs sensoriels matures (OSNs)
  4. Les glandes de Bowman
  5. Les cellules basales
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24
Q

Quels sont les rôles du mucus dans l’épithélium olfactif? (3)

A
  1. Conserve et dégrade les odeurs avec le temps
  2. Contient des antibiotiques pour éliminer les bactéries
  3. Protège les neurones
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25
Q

Quels sont les rôles des cellules de soutient?

A
  1. Elles maintient les récepteurs en place
  2. Elles aident à dégrader les odeurs
  3. Elles nettoient l’environnement
  4. Elles produisent du mucus
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26
Q

Quelles sont les caractéristiques principales des neurones olfactifs sensoriels matures? (2)

A
  1. Ces neurones sont bipolaires
  2. Ils ont des cils olfactifs où les récepteurs lie les particules d’odeur.
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27
Q

Quel est le rôle principales des neurones olfactifs sensoriels matures (OSN)?

A

Ils sont en charge de détecter et d’envoyer un signal lors de la détection des odeurs

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28
Q

Quel est le rôle principal des glandes de Bowman?

A

Elles produisent le mucus

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29
Q

Quel est le rôle principal des cellules basales?

A

Elle régénèrent l’épithélium olfactif. Elles le refont tout les 30 à 60 jours.

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30
Q

Réviser la diapositive 13 ainsi que l’emplacement de chacune des composantes de l’épithélium olfactive.

A

Ok

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31
Q

Quelle est l’espérance de vie des neurones olfactifs sensoriels?

A

30 à 90 jours

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32
Q

Vrai ou faux? Tout l’épithélium peut être régénérer après une blessure

A

Vrai

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33
Q

Deux types de cellules contribue à régénérer l’épithélium. Quelles sont-elles?

A
  1. Les GBC, soit les globoses basal cells
  2. Les HBC, soit les horizontal basal cells
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34
Q

Quel est le rôle des GBC?

A

Elles activent la différenciation des cellules

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35
Q

Quel est le rôle des HBC?

A

Elles constituent la réserve. Ce sont ces dernières qui donnent naissance aux globoses.

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36
Q

Vrai ou faux? Les GCB vont avoir recours à toutes sortes de facteur de transcription pour donner naissance à toutes les cellules de l’olfaction

A

Vrai

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37
Q

Réviser la diapositive 14

A

Ok

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38
Q

Pourquoi une personne atteinte de la COVID ne peut plus sentir les odeurs souvent?

A

Car le virus vient s’attaquer aux cellules de régénération de l’épithélium, ainsi à un certain moment, nous ne pouvons plus sentir ou percevoir les odeurs autour de nous

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39
Q

Réviser la diapositive 15

A

Ok

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40
Q

Comment les neurones perçoivent-ils les odeurs?

A

Ils les perçoivent grâce au cils ainsi qu’aux récepteurs présents sur ces cils.

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41
Q

Réviser la diapositive 16

A

Ok

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42
Q

Quels sont les différentes étapes du mécanismes de transduction de perception des odeurs chez les vertébrés? (7)

A
  1. Une odeur entre dans la cavité nasale
  2. L’odorant se lie aux récepteurs protéiques
  3. La protéine G est alors activée
  4. La protéine G active l’adénylate cyclase
  5. L’activation de la protéine G et de l’adénylate cyclase produit du APMc
  6. L’AMPc se lie au canaux cations
  7. Le canal ionique s’ouvre et laisse entrer les ions Na+ et Ca2+ dans la cellule
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43
Q

Réviser la diapositive 17

A

Ok

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44
Q

Comment le système olfactif a-t-il la capacité de détection plus de 10 000 molécules odorantes distinctes?

A

Nous avons une très grande diversité de gènes codant pour les odeurs. Ces gènes constituent environ 2% du génome humain (1000 gènes environ, donc 350 sont fonctionnels chez l’humain).

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45
Q

Vrai ou faux? Chacune des cellules nerveuses du système olfactif possède seulement un type de récepteur

A

Faux, certaines en ont deux, mais elles sont très rare.
Donc c’est comme si nous avions un neurone par odeur.

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46
Q

Vrai ou faux? Il existerait souvent plusieurs isoformes d’une même gènes (codant pour un récepteur) qui permettraient de détecter plus d’une odeur par gène

A

Vrai

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47
Q

Réviser la diapositive 18

A

Ok

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48
Q

Pourquoi peut-on affirmer que chacune des cellules réceptrices aux odeurs (neurones) possède un type de récepteur?

A

Premièrement, il existe deux types de récepteurs (Type I et type II). Suite à la sélection de la famille, une sélection stochastique qui se produit. Ainsi, lorsqu’un récepteur est choisi, le restant des gènes sont atténuer afin qu’il n’exprime seulement un récepteur.

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49
Q

Réviser la diapositive 19

A

Ok

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50
Q

Quels sont les deux éléments qui sont corrélé avec nos habilités olfactorielles?

A
  1. Le nombre neurones sensoriels olfactif présent dans notre épithélium
  2. Le nombre de protéine fonctionnelle différentes (récepteurs olfactifs)
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51
Q

Réviser la diapositive 20

A

Ok

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52
Q

Comment explique-t-on alors que 1000 neurones sensoriels olfactifs peuvent différencier plus de 10 000 odeurs?

A

Car une molécule odorante serait reconnu pour la combinaison unique de récepteur qu’elle activera.

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53
Q

Réviser la diapositive 21

A

Ok

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54
Q

Quels sont les 4 points à retenir de l’épithélium olfactive?

A
  1. Les odeurs sont détectées par les neurones récepteurs olfactifs (ORNs, olfactory receptor neurons).
  2. Les mécanismes de transduction des odeurs impliquent des récepteurs odorants. Ces récepteurs odorants sont des GPCRs (G-protein-coupled receptors) situés sur la membrane ciliaire des ORNs.
  3. Il existe des milliers de gènes codant pour différentes protéines de récepteurs odorants. Chaque ORN exprime un seul type de récepteur odorant.
  4. La sensibilité d’un ORN est déterminée par le type de récepteur odorant qu’il exprime. Les neurones récepteurs odorants sont capables de répondre à de nombreuses molécules odorantes. Les odeurs sont codées au niveau de la population par la coactivation d’un sous-ensemble d’ORNs.
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55
Q

Comment l’épithélium olfactif est organisé par rapport à la distribution des récepteurs par rapport à leur groupe d’odeurs?

A

Au niveau de l’épithélium olfactive, les récepteurs ne sont pas organiser en groupe d’odeur. Ils sont plutôt aléatoirement distributer dans l’épithélium

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56
Q

Réviser la diapositive 24

A

Ok

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57
Q

Comment le bulbe olfactif organise-t-il ces différents types de récepteurs?

A

C’est le bulbe olfactif qui organise ensuite les signaux provenant de ces récepteurs aléatoires en fonction des types de récepteurs exprimés. Cela se fait par l’intermédiaire des glomérules, où les axones des neurones exprimant le même type de récepteur convergent pour créer une organisation fonctionnelle au niveau central.

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58
Q

Réviser la diapositive 25

A

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59
Q

En combien de zones est organisée l’épithélium olfactif?

A

4 zones qu’on retrouve aussi dans le bulbe olfactif

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60
Q

Réviser les diapositives 26-27

A

Ok

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61
Q

Comment les récepteurs olfactifs acheminent leurs axones a un endroit bien précis dans le bulbe olfactif?

A

C’est encore un sujet d’étude chaud.
En revanche, le guidage axonale contribuerait grandement à ce phénomène. Il y aura aussi l’expression du gène récepteur qui viendrait guider l’axone au bon endroit dans le bulbe olfactif

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62
Q

Réviser la diapositive 28

A

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63
Q

Qu’est-ce que la technique d’imagerie Widefield?

A

Il mesure la surface du bulbe olfactif pour commencer. Par la suite, il inclut dans une souris transgénique le GCAMP6 (senseur calcique) seulement dans les récepteurs odorants. Cela nous permet alors d’observer les augmentation de la concentration de calcium et ainsi l’augmentation de l’activité neuronale grâce à la fluorescence qui sera émis

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64
Q

Vrai ou faux? Une fois arrivée dans le bulbe olfactif, il y a une segmentation spatiale des odeurs spécifique dans les glomérules

A

Vrai

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65
Q

Réviser l’expérience de la diapositive 29

66
Q

Quelles sont les 4 couches cellulaires du bulbe olfactif de la surface vers l’extérieur?

A
  1. La couche glomérulaire
  2. La couche externe des cellules plexiforme
  3. La couche des cellules mitrales
  4. La couche des cellules granulaire
67
Q

Décris brièvement la couche glomérulaire

A

C’est la couche la plus en surface. Les axones arrivent dans cette couche. C’est aussi où on retrouve les cellules principales du bulbe olfactif qui vont prendre l’information et l’envoyer vers le cortex.

68
Q

Décris brièvement la couche plexiforme externe

A

C’est la couche où on retrouve les dendrites, quelques corps cellulaires de cellules principales

69
Q

Décris brièvement la couche des cellules mitrales

A

Ce sont les cellules principales du bulbe olfactif en plus des cellules de la couche plexiforme externe. Cependant, les cellules mitrales sont présentes en plus grande quantité.

70
Q

Décris brièvement la couche granulaire

A

C’est la couche la plus externe du bulbe olfactif. Elle contient beaucoup de corps cellulaire d’interneurone qui eux vont faire la connexion et assurer l’inhibition des dendrites et des cellules mitrales.

71
Q

Réviser la diapositive 30

72
Q

Quelles sont les différentes étapes de transmission de l’information sensorielle entre les neurones sensoriels olfactifs et le bulbe olfactif?

A
  1. Les neurones sensoriels olfactifs envoient leur axone et vont faire connexions avec les cellules principales, soit les cellules de projection
  2. Ces neurones envoient l’information à l’extérieur du bulbe olfactif.
73
Q

Vrai ou faux? Les dendrites des cellules principales peuvent aller toucher à plus d’un glomérule à la fois

A

Faux
Les cellules principales vont être relié à un glomérule seulement. De la même façon les cellules mitrales sont organisées de façon a recevoir une information seulement (toujours la même odeur)

74
Q

Vrai ou faux? Les glomérules ne communiquent pas du tout entre eux

A

Faux, plusieurs types d’interneurones les relie

75
Q

Quels sont les différents interneurones qui permettent aux glomérules de communiquer?

A
  1. Les cellules périglomérulaires
  2. Les short axons cells
  3. Les cellules granulaires
76
Q

Quel est le rôle des cellules périglomérulaires?

A

Elles vont s’assurer de la communication surtout à l’intérieur d’un même glomérule

77
Q

Quel est le rôle des short axons cells?

A

Ce sont des cellules qui vont venir faire la connexion inter-glomérulaire

78
Q

Quel est le rôle des cellules granulaires?

A

Les cellules granulaires sont situées beaucoup plus profondément dans les couches. Elles permettent la communication des dendrites des cellules mitrales entre elles en connectant c’est propre dendrite à ceux des cellules mitrales

79
Q

Quel type de connexion est présent dans le bulbe olfactif?

A

Une connexion dendro-dendritique

80
Q

Réviser les diapositives 31 et 32

81
Q

Quels sont les deux types de cellules ayant la capacité d’envoyer l’information hors du bulbe olfactif?

A
  1. Les cellules mitrales
  2. Les cellules apanaches (tufted cells)
82
Q

Vrai ou faux? Les cellules mitrales et les cellules apanaches ont leur dendrites apicaux qui arrivent dans plusieurs glomérules

A

Faux, dans un glomérule à la fois.

83
Q

Vrai ou faux? Les cellules mitrales et apanaches reçoivent l’information d’un sous-type de neurone sensoriel à la fois

84
Q

Vrai ou faux? La même molécule d’odeur va aller activer plus d’un neurone à la fois

85
Q

Une odeur peut-elle venir inhiber un neurone? Si oui, c’est dû à quoi?

A

Oui, cela est dû au timing en lien avec les autres neurones, etc.

86
Q

Comment peut-on expliquer que la même cellule mitrale peut-être activé par plus qu’une odeur à la fois, même si elle est relié qu’à un seul glomérule répondant à une molécule d’odeur spécifique?

A

Car les neurones sensoriels en tant que tel répondent à plus qu’une odeur, mais aussi grâce aux connections inter-glomérulaires (communication à l’intérieur du bulbe olfactif)

87
Q

Réviser la diapositive 34

88
Q

Quels sont les deux types de synapses que nous retrouvons dans le bulbe olfactif?

A
  1. Les synapses directionelles
  2. Les synapses bi-directionelles.
89
Q

Décris les synapses directionelles?

A

Ce sont des synapses classiques glutamatergique qui sont faites entre les axones des neurones sensorielles olfactifs et les cellules principales (mitrale par exemple). Il y a donc une synapse, puis l’information est envoyé au cortex.

90
Q

Décris les synapses bi-directionelles?

A

Ce sont des connexions inhibitrices (GABA) qui sont faite entre les dendrites des neurones de projections et les dendrites des interneurones (dendrite apical pour les cellules périglomérulaire, les dendrites latéraux pour les cellules granulaires)

91
Q

Vrai ou faux? Les synapses bi-directionnelles sont des connexions dendro-dendritique

92
Q

Réviser la diapositive 35 et bien la comprendre

93
Q

Quelles sont les différentes étapes du mécanisme d’action des synapses bi-directionnelle?

A
  1. Il y a un potentiel d’action dans le dendrite latéral de la cellule mitrale
  2. La cellule mitrale libère du glutamate dans le dendrite de la cellule granulaire (interneurone)
  3. Il y a donc une augmentation de la concentration de calcium dans la cellule granulaire
  4. Il y a donc une libération de GABA dans la cellule mitrale

**Ainsi, aucun potentiel d’action n’est nécessaire pour la cellule granulaire

94
Q

À l’aide de la microscopie électronique, comment a-t-on su qu’il y avais des synapses bidirectionnelles?

A
  1. Nous voyons que autant du côté granulaire que du côté mitrale il y a des vésicule
  2. Les synapses présentes des caractéristique typique symétrique et asymétrique
95
Q

Réviser la diapositive 36

96
Q

À quoi sert l’inhibition du bulbe olfactif?

A

À la synchonisation temporelle de l’activité électrique des cellules glomérulaire
** Sans l’activité des cellules granulaires, l’inhibition est désynchroniser

97
Q

Avec quel phénomène naturel est corrélé cette inhibition?

A

Avec la respiration

98
Q

Quel type de cellules orchestre la synchronisation de l’activité électrique?

A

Les cellules granulaires

99
Q

Réviser les diapositives 37-38

100
Q

Quel est le rôle des cellules glomérulaires au niveau de l’activité neuronale sur les cellules mitrales?

A

Elle vient causer leur inhibition pour les synchroniser avec la respiration

101
Q

Quel est le rôle des cellules granulaires au niveau de l’activité neuronales des cellules mitrales?

A

Permet l’affilation rapide des potentiels d’action dans les cellules mitrales en présence d’une odeur. Elles sont associés l’activité gamma

102
Q

Pourquoi l’activité gamma est-elle importante?

A

Plusieurs chercheurs ont montré qu’elle est importante pour l’encodage des informations

103
Q

Vrai ou faux? Enlever l’inhibition GABA dans le bulbe olfactif vient atteindre notre discrimination des différentes odeurs

104
Q

Réviser la diapositive 40

105
Q

Quelles sont les 4 points à retenir du bulbe olfactif?

A
  1. Les axones des neurones olfactifs sensoriels (OSN) exprimant les mêmes récepteurs olfactifs convergent vers un seul glomérule dans le bulbe olfactif. Cela crée une carte de l’activité des différents OSN en réponse à des molécules odorantes spécifiques.
  2. Les neurones de projection (cellules mitrales/tuftées) sont connectés à un seul glomérule. Ces principaux neurones du bulbe olfactif sont largement sensibles aux molécules odorantes. Ils peuvent être soit inhibés, soit activés par la présence d’odeurs.
  3. Les neurones périglomérulaires et les cellules granulaires sont des interneurones inhibiteurs du bulbe olfactif. Ils forment une synapse bidirectionnelle sur les neurones de projection du bulbe olfactif.
  4. Les neurones inhibiteurs sont essentiels pour le codage temporel dans le bulbe olfactif. Ils facilitent la synchronisation de l’activité neuronale avec la respiration (cellules périglomérulaires) et permettent des oscillations rapides de l’activité neuronale (cellules granulaires) lors de la présentation d’une odeur.
106
Q

Vrai ou faux? Il n’y a plus de neurogénèse chez les adultes

A

C’est faux, dans le bulbe olfactif elle se poursuit même a l’âge adulte

107
Q

Quelles sont les différentes étapes de neurogénèse faite dans le bulbe olfactif?

A
  1. Il y a une prolifération cellulaire dans la zone subventriculaire.
  2. Les cellules progénitrices migrent dans le RMS (Rostral migratory stream)
  3. Les cellules arrivent à destination et vont migrer dans les deux couches granulaires (granulaire et péri-granulaire).
  4. Il y a l’intégration cellulaire au réseau déjà existant par la suite
108
Q

Vrai ou faux? Tous les neurones du bulbe olfactif se regénère

A

Faux, seulement les interneurones inhibiteurs, les cellules périglomérulaires et les cellules granulaires se regénèrent. Les neurones de projection, les cellules mitrales et les cellules apanaches ne se regénèrent pas

109
Q

Réviser les diapositives 43-44

110
Q

Complète la phrase suivante:
La division des cellules souches du bulbe olfactif s’effectue majoritairement ___________

111
Q

Qu’est-ce qui permet aux neuroblastes de faire correctement leur migration neuronale vers le site souhaité?

A

Avoir la présence des bons facteurs de transcription qui vient guidé correctement la migration (guidage axonale)

112
Q

Suite à la migration cellulaire, les neuroblastes commence à se former en neurone. Combien de jour passe avant qu’un neurone soit considéré comme mature?

A

Environ 30 jours

113
Q

Que considère-t-on comme un neurone mature?

A

Un neurone capable de faire des potentiels d’action et de bien s’intégrer aux réseaux

114
Q

Réviser la diapositive 47

115
Q

Vrai ou faux? Lors de leur maturation les cellules granulaires répondent à moins de signaux d’odeur et centralisent leur réseau neuronaux vers ces odeurs

A

Vrai
Au début, ces neurones répondent à beaucoup d’odeur. Avec le temps, elle se ramifie, se spécifie et répondent donc à des odeurs plus spécifique

116
Q

Réviser la diapositive 48

117
Q

Vrai ou faux? Le bulbe olfactif croit avec le temps

A

Vrai
Il y a toujours des neurones qui s’ajoutent, mais ils ne viennent pas remplacer les neurones déjà en place.

118
Q

Pourquoi a-t-on besoin de nouveaux neurones dans le bulbe olfactif si ce n’est pas pour remplacer les neurones déjà existant? (3)

A
  1. Les nouveaux neurones aident à maintenir la structure du bulbe olfactif.
  2. Ils aident à supporter les neurones déjà existant à maintenir l’environnement en place (On observe une décroissance du nombre de cellule dans la zone granulaire lorsqu’il n’y a pas de nouveaux neurones)
  3. Finalement, ils aident a augmenter la discriminabilité de la perception des odeurs
119
Q

Réviser les diapositives 50-51

120
Q

Qu’est-ce que la chémogénétique?

A

C’est une façon pharmacologique de manipuler les neurones
Un récepteur est exprimé de façon génétique dans une souris transgénique dans un sous type de neurone.
Ainsi lors de l’injection de médicament, les récepteurs nouvellement présent réagissent et inhibe ou active le sous-type de neurone voulu.

121
Q

Réviser l’expérience faite à la diapositive 52

122
Q

Quels sont les 3 points important sur la neurogenèse chez les adultes dans le bulbe olfactif?

A
  1. De nouveaux neurones sont continuellement ajoutés au réseau du bulbe olfactif des rongeurs à l’âge adulte ;
  2. Ces nouveaux neurones sont générés dans la zone sous-ventriculaire, migrent le long du flux migratoire rostral et s’intègrent finalement au réseau du bulbe olfactif en devenant soit des cellules granulaires, soit des cellules périglomérulaires ;
  3. Ces nouveaux neurones soutiennent le comportement olfactif en facilitant l’apprentissage de nouvelles associations entre les odeurs et leurs conséquences.
123
Q

Quels sont les deux types de cellules du bulbe olfactif envoyant des influx nerveux au cortex?

A
  1. Les cellules apanaches
  2. Les cellules mitrales
124
Q

Où projette les cellules apanaches dans le cortex? Les cellules mitrales?

A
  1. Les cellules apanaches projettent moins loin dans le cortex.
  2. Les cellules mitrales vont aller projeter beaucoup plus loin dans le cerveau. Ils ont une projection beaucoup plus large.
125
Q

Quel est la cible principale des neurones olfactif?

A

Le cortex périforme, car c’est la région du cortex où nous retrouvons les informations olfactives.

126
Q

Avec quoi le cortex périforme fait-il liaison? Pourquoi?

A
  1. Les informations peuvent se diriger vers le thalamus où elles seront rediriger dans le cortex. Souvent utiliser pour des fonctions de reproduction.
  2. Les informations peuvent se diriger vers l’hippocampe pour avoir des fonctions reliées à la mémoire.
  3. Etc.
127
Q

Réviser la diapositive 55

128
Q

Que peut-on dire de la ségrégation spatiale des axones du bulbe olfactif en comparaison au cortex olfactif

A

Le bulbe olfactif a une ségrégation des informations. Cependant, cette organisation n’est pas du tout maintenu dans le cerveau.

129
Q

Réviser les diapositives 56-57

130
Q

Quels sont les hypothèses sur l’organisation spatiale dans le cerveau?

A

C’est un domaine encore étudié. Les scientifiques essaient de trouver la façon dont les odeurs sont organisées dans le cerveau, tel le système somatosensoriel (organisé en partie du corps), le système auditif (organisé par fréquence de son) ou le système visuel (organisé par rapport à l’espace autour de nous).
Ce que les scientifiques croient c’est que l’organisation se ferait par rapport à la formule chimique (forme de la molécules) des différentes d’odeurs (chemosensation). Forcément des molécules chimiques près l’une de l’autre doit donner des odeurs qui se ressemblent.

131
Q

Vrai ou faux? Notre encodage des odeurs dans le cortex est statique

A

Faux, nous pouvons entrainer notre cerveau à reconnaitre mieux certaines odeurs et ainsi venir changer notre encodage des odeurs. Cette plasticité semble plus se produire dans le cortex périforme.

132
Q

Réviser les diapositives 58-59

133
Q

Quelles sont les deux régions présentement connues effectuant le traitement de la perception des odeurs (odeurs plaisantes ou non)? (2)

A
  1. Le cortex antérieur cingulaire
  2. Le cortex orbitofrontal
134
Q

Réviser la diapositive 60

135
Q

Quels sont les 4 points importants à retenir concernant le cortex olfactif?

A
  1. Le principal destinataire du bulbe olfactif est le cortex piriforme.
  2. Les axones des cellules mitrales connectées à un seul glomérule dans le bulbe olfactif sont largement dispersés à travers l’ensemble du cortex piriforme.
  3. La réponse à des odorants chimiquement distincts s’étend sur de vastes régions du cortex piriforme.
  4. À l’échelle de la population neuronale, la représentation des odeurs chimiquement similaires ou de la qualité olfactive pourrait se produire par une similarité dans le codage populationnel.
136
Q

Qu’est-ce que le système voméronasal?

A

Il est en charge de détecter les phéromones, soit des hormones détectés par les autres animaux environnants et qui peuvent venir changer le comportement d’un animal

137
Q

Décris l’innervation du système voméronasal par rapport au bulbe olfactif?

A

Les neurones sensoriels voméronasaux dans l’organe voméronasal (VNO) qui expriment le même récepteur voméronasal (V1R ou V2R) projettent vers plusieurs petits glomérules dans le bulbe olfactif accessoire (AOB).
La couche apicale de l’épithélium projette vers la moitié rostrale de l’AOB, tandis que la couche basale projette vers la moitié postérieure.

138
Q

Réviser la diapositive 63

139
Q

Quelles sont les différences entre les V1R et les V2R?

A
  1. Le V2R a une très longue chaine N-terminal
  2. Les phéromones se liant au V1R se lierait au niveau des domaines transmembranaires tandis que les phénomènes se liant au V2R se lierait à cette longue chaine N-terminal
  3. Leur expression est différente. Ils vont également être présent sur l’organe véméronasal à différent endroit.
  4. Il y a beaucoup d’overlap dans les différentes phéromones qui se lierait soit au V1R et au V2R
140
Q

Réviser les diapositives 64-65

141
Q

Vrai ou faux? L’organe voméronasal est nécessaire pour le comportement défensif interespèces.

A

Vrai
En fait, lorsque nous enlevons l’organe voméronasal, il n’y a plus de détection des phéromones, donc il n’y a plus de détections des prédateurs et ainsi plus de peur

142
Q

Réviser la diapositive 66

143
Q

Où se trouve les sensations gustatives? (2)

A
  1. Sur la langue
  2. Au début de la gorge
144
Q

Quels sont les senseurs du goût? (2)

A
  1. Les papilles gustatives
  2. Les bourgeons gustatifs
145
Q

Quels sont les différents types de papilles gustatives? Où sont-elles sur la langue?

A
  1. La forme circumvallate située au fond de la langue
  2. Les foliate sur le côté de la langue
  3. Les fugiformes sur le bout de la langue
146
Q

Qu’est-ce qu’un bourgeons gustatif?

A

Nous allons retrouver minimum un par papille.
Elles sont organisé en un groupe de cellules pouvant détecter les goûts (taste cells). Ces cellules sont séquestrées dans la langue en forme d’oignon. Un petit trou (pore gustatif) est fait au dessus afin de laisser les goûts passer.

147
Q

Quels sont les deux différents types de cellules dans le bourgeon gustatif? Quel est leur rôle?

A
  1. Les cellules du goût ou gustative qui vont détecter le goût entrant par le pore gustatif
  2. Les cellules souches basale qui sont en charge de la prolifération des cellules du bourgeon. Elles font la régénération de ce dernier.
148
Q

Comment est organisé l’innervation des bourgeons gustatifs?

A

Les cellules du goût n’ont pas d’axone se rendant jusqu’au cortex. Elles vont donc faire une synapse avec le nerf gustatif afférent qui transmettra l’influx jusqu’au tronc cérébral

149
Q

Réviser la diapositive 68

150
Q

Quels sont les modalités de base du goût que la langue détecte?

A
  1. Amer
  2. Saler
  3. Sucrer
  4. Umami (glutamate/protéines)
  5. Acide/sur
151
Q

Vrai ou faux? Chacune des 5 modalités de bases de la langue sont présentes sur une partie spécifique de la langue

A

Faux, la distribution des goûts est uniforme sur la langue

152
Q

Réviser la diapositive 69

153
Q

Quels sortes de canaux utilisent chacun des goûts?

A

Les canaux sont situés au niveau apicale de la taste cell
1. Saler: Canal ionique
2. Acide: Canal ionique
3. Sucrer: Canal à protéine G
4. Umami: Canal à protéine G
5. Amer: Canal à protéine G

154
Q

Que peut-on dire du canal ionique du goût saler?

A

Ce canal ionique est toujours ouvert, ainsi lorsque le sel rentre il crée une dépolarisation

155
Q

Quelle est la particularité des canaux à protéine G des goûts sucrer et umami?

A

Les récepteurs forment des dimères
Sucrer: T1R2, T1R3
Umami: T1R1, T1R3
Amer: Seulement T2R

156
Q

Quelle est la particularité des canaux à protéines G du goûts amer?

A

C’est le seul n’étant pas un dimère.
C’est également le goût pour lequel nous pouvons détecter le plus de variété (plus de variété de récepteurs).

157
Q

Vrai ou faux? Le goût acide est le goût que nous détectons le plus sensiblement

A

Faux, c’est le goût amer

158
Q

Réviser la diapositive 70

159
Q

Décris brièvement le mécanisme d’action des cellules de goûts qui leur permet de transmettre un influx nerveux

A
  1. Activation du canal par la présence du goût respectif
  2. Activation d’une cascade moléculaire dans la cellule gustative.
  3. Cette cascade mène à une entrer de calcium dans la cellule
  4. Le calcium permet la libération des vésicules
  5. Libération des neurotransmetteurs
  6. Liaison du neurotransmetteur à son récepteur
  7. Un potentiel d’action est générée dans le neurone sensoriel primaire
  8. Le neurone sensoriel primaire achemine l’influx nerveux dans le tronc cérébrale dans l’aire gustative (noyau solitaire)
  9. Il y aura donc un relais vers le thalamus (ventro-postérieur)
  10. L’influx est envoyé au cortex insulaire ou au cortex gustatif
160
Q

Quels sont les deux neurotransmetteurs utilisés des cellules gustatives (taste cells)?

A
  1. Sérotonine
  2. ATP (récepteurs purinergique)
161
Q

Vrai ou faux? La détection des goûts et son encodage dans le cerveau est un sujet très bien connu

A

Faux
On ne voit encore une fois pas de carte neuronale

162
Q

Réviser les diapositives 71-72