systeme endocrinien Flashcards

1
Q

hormones

A

substances produites par glandes endocrines relâchées dans le sang et transportées vers les tissus où elles exercent une action régulatrice de certaines fonctions spécifiques

glande vers vaisseaux sanguins vers récepteur dans organe cible pour modifier son fonctionnement

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2
Q

rôles des hormones

A

nutrition, métabolisme, croissance, développement corporel, maturation psychique, reproduction, adaptation à l’effort, homéostasie

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3
Q

localisation glandes endocrines

A

hypothalamus, glande pinéale, glande pituitaire ou hypophysaire, glande parathyroïde, glande thyroïde, thymus, estomac, surrénales, pancréas, rein, petit intestin, tissus adipeux, ovaires et testicules

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4
Q

manque d’action d’une hormone

A

non produite, dégradée, inactive ou bloquée

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5
Q

excès d’action d’une hormone

A

imitée, produite ou prise en excès

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6
Q

pathologies endocriniennes

A

manque d’action hormone
excès d’action hormone
sensibilité tissulaire altérée, récepteurs anormaux
tumeur bénigne ou maligne des glandes

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7
Q

grand principe des hormones

A

peuvent être synthétisées, sécrétées, transportées, éliminées (clairance), exercent un rétrocontrôle

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8
Q

hormones sécrétées par

A

glandes endocrines ou cellules endocrines

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9
Q

glandes endocrines

A

hypophyse, thyroïde, parathyroïde, surrénales, pancréas, ovaires, testicules

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10
Q

cellules endocrines

A

disséminées dans le SNC, thyroïde, thymus, oreillette du cœur, rein, foie, tractus GI

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11
Q

hormones endocrines

A

utilisent système circulatoire pour atteindre leur cible

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12
Q

hormones paracrines

A

agissent sur cellules voisines sans avoir à être transportées

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13
Q

hormones autocrines

A

agissent sur la cellule qui les sécrètent

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14
Q

hormones intracrines

A

sécrétées et agissent à l’intérieur de la cellule

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15
Q

récepteurs hormones

A

très sensibles (car dilution importante hormone)
très spécifiques
cascade d’événements cellulaires après activation

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16
Q

classes de récepteurs

A

extracellulaires, membranaires
intracellulaires, intranucléaires ou cytoplasmiques

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17
Q

3 natures chimiques des hormones

A

protéiques/ polypeptidiques, stéroïdes, dérivées de la tyrosine

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18
Q

hormones protéiques

A

stockage dans granules sécrétoires, sécrétion par exocytose, clairance rapide
récepteurs membranaires par protéines transmembranaires, liaison du côté extérieur puis libération de second messagers dans la cellule et transmission d’un signal hormonal dans la cellule

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19
Q

hormones protéiques sécrétées par

A

hypophyse, pancréas, parathyroïdes et autres

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20
Q

hormones stéroïdes

A

dérivent du cholestérol
sécrétés par cortex surrenalien, ovaires ,testicules et placenta
lipophiles, sécrétion à travers la membrane
pas de stockage
rapidement synthétisées
transport lié à des protéines plasmatiques
élimination plus lente

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21
Q

hormones dérivées de tyrosine

A

hormones thyroïdiennes T3 T4 et catecholamines (adrénaline et noradrenaline)

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22
Q

T3 et T4 sécrétion et etc

A

sécrétées par thyroïde
lipophiles
stockées dans cellule origine
sécrétion par diffusion
transport sous forme liée à TBG, albumine ou pré albumine
clairance lente
récepteurs intranucléaires

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23
Q

catecholamines

A

adrénaline et noradrenaline
sécrétées par portion médullaire de surrénale et les neurones
hydrophiles
stockés dans cellules origine
sécrétion par exocytose
transport sous forme libre
clairance rapide
récepteurs membranaires

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24
Q

catecholamines mode d’action

A

récepteurs protéines membranaires
liaison du côté ext, libération de second messagers dans la cellule, transmission d’un signal hormonal dans cellule

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25
localisation des récepteurs
extracellulaires: côté ext cellule, surface ou dans membrane cytoplasmique pour peptides et catecholamines intracellulaires: dans cytoplasme pour stéroïdes et dans noyau pour hormones thyroïdiennes
26
types de récepteurs (couplés à )
couplés auxcanaux ioniques, ouvrent et ferment canaux Na, K et Ca, par l’intermédiaire de prot couplés aux prot G couplés aux protéines G, un 2e messager est libéré du côté int membrane couplés aux enzymes cytoplasmiques ou nucléaires
27
rétroaction négative
plupart des hormones feed-back lorsque concentration augmente, entraîne un ralentissement de sa synthèse émetteur du signal réagit à la réponse par voie de retour en freinant la chaîne réactionnelle
28
variations périodiques
saisons, âge, cycle circadien, sommeil
29
rétroaction positive
plus rare pic ovulation LH lors accouchement
30
principe de rétroaction négative
hypothalamus libèrent liberines XRH pour adenohypophyse libèrent stimulines XSH jusqu’à glande endocrines puis libèrent hormones jusqu’à cellule cible
31
hypothalamus
centre de la base du cerveau portion ventrale du 3e ventricule
32
hypophyse ou glande pituitaire
dans selle turcique, bien protégée très vascularisé fixée à l’hypothalamus par tige hypophysaire (infundibulum) constituée de 2 lobes distincts
33
rôle hypothalamus
centre intégration informatique du bien être interne du corps reçoit signaux de plusieurs sources régule hypophyse, SNA, temp, soif, appétit, émotions, rythme circadien, contraction utérine
34
hypophyse
deux lobes reliés à l’hypothalamus par tige pituitaire, infundibulum ant et post
35
hypophyse ant
adenohypophyse tissu glandulaire qui sécrète des hormones
36
hypophyse post
neurohypophyse, contient neurones du noyau supra optique et du noyau paraventriculaire de l’hypothalamus emmagasine hormones sécrétées par hypothalamus
37
système porte hypothalamo- hypophysaire
hypothalamus contrôle sécrétion de hypophyse ant (très vascularisée) réseau capillaire primaire, veines portes hypophysaires et réseau capillaire secondaire permet éviter dilution hormones hypothalamiques et catabolisme de ces hormones dans la circulation
38
sécrétion hypophyse post
contrôler par hypothalamus par signaux nerveux neurones synthétisent ADH et oxytocine puis transportées par tractus hypothalamo hypophysaire, stockés dans terminaisons atonales de hypophyse post
39
hormones de l’hypophyse ant
TSH pour thyroïde, ACTH pour surrénales, LH et FSH pour gonades, GH pour foie, os et muscles, PRL pour seins
40
action GH
anabolisme tissu, os, croissance aussi des trucs anormaux effets métaboliques sur protéines (+ dépôt prots dans tissus, -catabolisme prots), tissu adipeux (+ lipolyse) et métabolisme du glucose (- captation glucose par tissus/ insulinorésistance, + prod hépatique glucose)
41
effets hormone somatotrope GH
stimule croissance osteocartilagineuse, + métabolisme chondrocytes et osteocytes, croissance os longs à l’épiphyse, plus épaisseur os, après puberté hypertrophie cartilage
42
action GH via IGF-1
action pas directe, se fait par somatomedines facteurs produits par foie, muscles, chondrocytes comme IGF-1 à long terme hyperglycémiante
43
régulation GH
stimulants: sommeil, exercice, stress, hypoglycémie, jeune, GHRH inhibiteurs: hyperglycémie, IGF, somatostatine
44
gigantisme/acromegalie
trop GH gigantisme, pendant croissance acromégalie, après croissance et fusion cartilage, croissance en largeur, organomegalie, épaississement paupières,lèvres, nez, peau, langue
45
déficit en GH
nanisme visage de chérubin obésité tronculaire
46
atteinte hypophyse ou hypothalamus
trauma craniocerebraux, peut mener à hypopituitarisme
47
hypophyse postérieure hormones
ADH, hormone antidiurétique et oxytocine (contraction utérine) synthétisées par hypothalamus et stockées dans hyp post
48
oxytocine
hormone peptidique libérée pendant accouchement et lactation contraction utérines, éjection du lait par réflexe de succion, interactions sociales amoureuses (plus calme, moins anxiété, favorisé confiance)
49
régulation oxytocine
rétroaction positive , sécrétion stimulée par dilation du col et accouchement, estradiol qui augmente lors gestation augmente réponse à loxytocine aussi progestérone très présente en début grossesse, baisse réponse à loxytocine stimulée par pleurs du bébé ou tétée
50
ADH
essentiel sinon urine constamment, synonyme vasopressine ou AVP osmorecepteurs hypothalamiques synthétisées par neurones des noyaux supra optiques et paraventriculaires de l’hypothalamus
51
action ADH
quand déficit en eau, concentration solutés + dans sang, osmolarite +, envoi influx nerveux par osmorecepteurs, +ADH réabsorption d’eau, urine plus concentrée et moindre, régulation dans la perte de sueur, contraction des vaisseaux
52
mode d’action ADH sur rein
objectif de diminuer excrétion urine en la concentrant rend les cellules du tubule collecteur perméable à l’eau pour augmenter réabsorption d’eau action médiée par récepteur couplé aux prot G-V2
53
ADH action sur vaisseaux sanguins
récepteur AVPR1A, muscle lisse des artères entraîne vasoconstriction
54
si pas ADH
urine 14L par jour, diabète insipide
55
température homme
être vivant homéotherme, temp parties profondes reste constante même si temp ambiante change, autour 37C peau et membres sont poïkilothermes résultat de l’équilibre entre production et perte de chaleur (thermogenèse et thermolyse)
56
facteurs qui déterminent production de chaleur
métabolisme basal des cellules liée à l’activité musculaire liée aux effets des hormones (thyroïdiennes, GH, testostérone) liée aux effets des catecholamines et stimulation sympa lié à digestion, absorption, stockage
57
flux thermique interne
chaleur produite à l’intérieur véhiculée par courant sanguin et transporté vers surface pas possible si cutanée inf à temp noyau plexus veineux alimenté par capillaires et anastomoses arterioveineuses, peut avoir 0-30% du débit cardiaque
58
système d’isolation corporel
peau, tissus sous cutanés, graisse agissent comme isolant conduction chaleur dans gras est 1/3 celle des autres tissus
59
flux thermique externe
déperdition de chaleur par radiation thermique , conduction de chaleur et évaporation
60
radiation thermique
perte de chaleur sous forme de rayons infrarouges transfert d’énergie sans contact direct ou de mouvement de l’air tous objets pas à 0 absolu produise forme de radiation si temp corps + environnement, + chaleur sera émise par corps que sur corps
61
conduction et convection chaleur
conduction par contact direct du corps à objet convection transfert du corps à liquide ou gaz accéléré par vent
62
évaporation
+ efficace quand les 2 autres marchent plus ou lors activité physique eau amenée surface de peau par diffusion ou par activité des glandes sudoripares
63
sudation
stimulation hypothalamus stimule sys sympa peau glandes sudoripares innervées par sys cholinergique (acetylcholine) mais peuvent aussi être stimulées par adrénaline et noradrenaline si glandes stimulées, importante quantité de sécrétion primaire, peu d’eau réabsorbée et 50% de chlore et sodium réabsorbé
64
centre contrôle thermorégulation
hypothalamus reçoit info thermorécepteurs péri et centraux s’active quand diff avec temp du noyau
65
coup de chaleur
2 types lié à l’exercice, environnement chaud et humide non lié à l’exercice, personnes âgées +70 avec thermorégulation altérée ou conditions médicales (MCAS, obésité, troubles neuro, drogues, meds, limitations physiques)
66
glande thyroïde anatomie
partie ant du cou placée devant trachée, sous larynx forme papillon 2 lobes latéraux reliés par isthme
67
hormones thyroïdiennes
2 sortes T3 et T4, produites par cellules folliculaires de thyroïde et stockées dans la colloïde, hormones dérivées de la tyrosine, liées à thyroglobuline, synthèse et libération contrôlée par axe TRH et TSH Calcitonine, peptide, produite par cellules para folliculaires ou cellules C
68
iode
circule dans sang sous 3 formes, inorganique, organique non hormonal sous forme Tg iodée ou combiné à T3 et T4 besoin 150ug iodé par jour pour synthèse T3 T4 (seule fonction dans corps) thyroïde capté 20% iode et reste éliminé reins
69
étapes iode corps
entrée iodure I- dans cellule diffusion iode transport iode dans colloïde (pendrin) oxidation iodure et incorporation sur résidu tyrosine contenu dans thyroglobuline par l’enzyme TPO couplage molécule DIT et MIT endocytose de thyroglobuline proteolyse deiodination pour réforme tyrosine et transformer T4 en T3
70
T3 et T4
sécrétion plus T4, 99% liées à thyroxin-binding globulin TBG affinité 15x+ T4 plus T3libre/lié que T4, donc distribution plus rapide car moins affinité avec protéines de liaison T3 est biologiquement active 3-8x + T4
71
fonctions hormones thyroïdiennes
hydrophobes, traversent membranes par transport actif et se lient sur récepteurs nucléaires pour activer transcription des gènes maintien croissance, développement et métabolisme de base (prod de chaleur) messagers dirigeant vitesse organes et énergie résistent aux enzymes digestives, peuvent être administrés oralement
72
régulation synthèse T3-4
stimulation si baisse T3 T4 sanguine, besoins énergétiques comme froid prolongé, grossesse ou hypoglycémie, rythme circadien (faible jour, pic endormissement) inhibition si hausse T3 T4 sanguine, dopamine, GHIH somatostatine
73
os cortical
forme enveloppe ext plus dense que os trabeculaire 80% masse osseuse épais os longs
74
os trabeculaire
20% masse osseuse à int des os plus poreux aux extrémités des os longs ou dans vertèbres + remodelage osseux
75
matrice osseuse
renforcée par dépôts de sel de calcium, composée de 95% fibres collagène et 5% substance fondamentale cortical a 30% de matrice et 70% sel mais os nouvellement formé a plus de matrice
76
substance fondamentale
proteoglycans (chondroitine sulfate et acide hyaluronique) liquide extracell
77
os est en remodelage…
continuel (formation et résorption osseuse sur dans os trabeculaire)
78
formation osseuse
ostéoblastes (forment os) se situent à la surface ext de l’os et le bord des cavités de l’os trabeculaire toujours petite activité osteoblastique dans les os (4% squelette, accélère lors de fracture ex)
79
résorption osseuse
osteoclastes (grandes cellules phagocytaires multinuclees qui résorbent l’os) s’activent et développent des villosites qui fabriquent des enzymes protéolytiques et des acides qui digèrent et dissolvent la matrice osseuse (favorise lors ostéoporose)
80
étapes du remodelage osseux
phase de quiescence (précurseur osteoclastique a osteoclaste), activation, resorption, inversion (cellules mononuclees), LC (précurseur ostéoblastique a ostéoblaste), osteoformation, minéralisation (URO)
81
contact osteoclastes et ostéoblastes pour s’entre activer
pre osteoclastes si lient aux ostéoblastes via le RANK/RANKL ce qui permet aux pre osteoclastes de s’activer et devenir des osteoclastes matures qui initient résorption osseuse formation et résorption en équilibre sauf en période de croissance, à ménopause, ou dans conditions pathologiques (excès PTH ou cortisol)
82
ostéoporose définition
maladie du squelette caractérisée par une solidité osseuse diminuée prédisposant l’individu à un risque accru de fx
83
solidité osseuse reflète intégration de
densité osseuse et qualité osseuse (microarchitecture/remodelage/accumulation dommage de fatigue/mineralisation)
84
densité minérale osseuse DMO outils
x ray doit s’intégrer à un outil de calcul du risque fractuaire CAROC ou FRAX
85
score T
nb de déviations standards en dessous moyenne d’un jeune adulte au pic de sa DMO T score= (DMO - DMO référence) / DS
86
score Z
nb déviations standard en dessous de la moyenne d’une personne du même âge Z score = (DMO du pt- DMO attendue) / DS
87
score T normal ménopausées
T> -1 (84%)
88
osteopenie score T femmes ménopausées
-2.5 < T < -1 (15%)
89
score T ostéoporose femmes ménopausées ou DMO basse des hommes et femmes pré monopausees
T< -2.5 (1%)
90
score T normal hommes et femmes pré monopausees
T > -2.5
91
score Z -50 ans below expected range
Z< -2.0
92
score Z -50 ans within expected range
Z > -2.0
93
DMO seule ne prédit pas risque de fx V ou F
V, prédit qualité d’os et type de l’os 60% des femmes avec fx de fragilisation ont une DMO non osteoporotique
94
sites de fx freq osteoporotiques
colonne (s’écrase), hanche, poignet
95
fx de fragilisation def
fx qui survient spontanément ou après léger trauma tel que chute en position debout ou assise ou couché, faux mouv ou toux, chute après avoir raté marche
96
fx de fragilisation tous os sauf
crâne et visage, mains et pieds, colonne cervicale
97
conséquences des fractures (fragilisation)
nouvelles fx, dlr chronique, immobilité, - qualité vie, perte autonomie, coûts, institutionnalisation, décès
98
anamnèse OP
reconnaîtrez facteurs risque DMO basse, questionner savoir ce qui s’est passé ATCD fx fragilité après 40 ans, corticothérapie (+3 mois à dose de pred >5mg die), +2 chutes dans dernière année, ATCD fx hanche chez parent, IMC<20 kg/m2, OP secondaire après chirurgie ou comorbidités inflammatoires, tabagisme actif, alcool +3 conso par jour
99
examen physique signe OP
espace côté crête plus petit que 2 travers de doigts, distance occiput-mur plus de 5 cm
100
CAROC
eval du risque sur 10 ans méthode semi quantitative d’estimation du risque absolu sur 10ans à l’égard d’une fx osteoporotique majeure chez femmes ménopausées et hommes +50 ans 3 catégories, risque faible -10-15%, modéré et élevé +20% catégorie du risque de base établie selon l’âge, sexe et T score du col fémoral
101
CAROC facteurs risques additionnels
font passer le risque de base d’une catégorie à la suivante si fx de fragilisation après âge 40 ans ou utilisation récente et prolongée de corticostéroïdes systémiques
102
pt a risque élevé CAROC
+20% peu importe résultat de DMO, si fx hanche ou de vertèbre âpre âge de 40 ans ou présence +1 fx de fragilisation
103
besoin de meds selon catégorie CAROC
faible risque pas de traitement, modéré (15-20%) dépend des autres facteurs de risque, élevé OUI besoin de Rx
104
options thérapeutiques meds
antiresorptifs (inhibiteurs de résorption osseuse) anabolisants (stimulateurs de formation osseuse) pour tous à risque, suppléments de vitamine D et Ca?
105
cortex surrénal zone glomérule
minéralocorticoïdes (aldostérone) contrôlent pression artérielle et volume de LEC (liquide extra cellulaire)
106
cortex surrénal zone fasciculée et réticulée
glucocorticoides (cortisol) role dans la réponse au stress indispensables à la survie aussi hormones sexuelles
107
medullosurrenale
catecholamines (noradrenaline et adrénaline)
108
steroidogenese
cholesterol, précurseur des hormones corticosurrénaliennes aldosterone androstenedione (converti en testostérone par les tissus périphériques
109
mineralocorticoides
aldosterone DOC cortisol corticosterone
110
glucocorticoides
cortisol et corticosterone
111
hormones sexuelles
DHEA DHEAS androstenedione testosterone
112
axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien
2 systèmes surrénale fait première couche, hypothalamus fait l’intérieur
113
effet mineralocorticoide
medie par aldosterone (+90%): cortisol a un effet MC moindre que aldosterone mais cortisol en plus grande quantité dans le plasma transport lié à des protéines plasmatiques mécanisme agit via récepteur stéroïde cytoplasmique
114
action aldosterone
dans reins, glandes salivaires, glandes sudoripares, colon réabsorption sodium, sécrétion potassium dans urine
115
regulation aldosterone
pression de perfusion rénale diminue augmentation de relâche de renine augmentation de production dangiotensine vasoconstriction par angiotensine 2 relâche d’aldosterone retention Na et excretion K augmentation du volume circulant
116
glucocorticoides transport et mécanisme
cortisol 95%, corticosterone 5% transport lie albumine et CBG mécanisme récepteurs cytoplasmiques après diffusion à travers membrane cellulaire
117
synthèse glucocorticoides
ACTH se lie a un récepteur couplé aux prot G + importation cholestérol + enzymes requises par steroidogenese
118
mécanisme d’action glucocorticoides
par biais récepteurs spécifiques appartenant à super famille des récepteurs stéroïdes et récepteurs cytoplasmiques (effet anti inflammatoire)
119
effets des GC à concentration physiologique
effets métaboliques opposés à ceux de l’insuline (maintien glycémie assez élevée ) requis pour action des catecholamines réduction de l’absorption GI et augmentation de excrétion urinaire de calcium + appétit + filtration glomerulaire différenciation de certains organes chez fœtus inhibition production CRH et ACTH
120
effets du cortisol
glucides: neoglucogenese et diminution de l’utilisation de glucose par cellules protéines: diminution synthèse de protéines, augmentation du catabolisme protéique lipides: libération des AG du tissu adipeux et oxydation AG stress et inflammation: anti inflammatoire, + resistance stress lignées sanguines: diminution lymphocytes et eosinophiles, + GR
121
regulation axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien
secretion cortisol stimulée par CRH/CRF: ACTH, stress, sommeil freinée par feed-back négatif (donc par augmentation cortisol)
122
secretion rythmique du cortisol
rythme circadien, max au réveil puis descend pendant journée
123
medullosurrenales
font partie SNsympa autonome, sont ganglions du système nerveux sympa comme des neurones post ganglionnaires qui ont perdu leur axone sécrètent hormones produites (catecholamines) dans sang pas essentielles à la survie
124
récepteurs medullosurrenales
récepteur couplé aux prot G effets fight or flight
125
récepteur a1 et a2
vasoconstriction
126
récepteur b1
+ débit cardiaque et freq cardiaque vasodilation
127
récepteur b2
vasodilation
128
regulation catecholamines
secretion augmentée par danger, stress, trauma, hypovolemie, hypoglycémie, douleur, hypothermie, anoxie, hypotension
129
stocker glucose mot
neoglucogenese ou glycogenese
130
libérer glucose mot
glycogenolyse ou glycolyse
131
pancreas hormones
insuline et glucagon
132
foie
produit sucre sauf quand on lui dit de ne pas en faire et le libère capable de transformer protéines et lipides comme carburants
133
premier nutriment des cellules
glucose
134
éléments contribuant à hyperglycémie dans diabète type 2
sécrétion insuffisante d’insuline - effet incretine + lipolyse + secretion glucagon + production hépatique glucose dysfunction des NT -captage du glucose + réabsorption glucose
135
si sucre dans urine
grande perte d’eau
136
diabète selon âge et sexe
plus vieux plus chances diabète, surtout après 40 ans un peu plus hommes que femmes
137
diabète type 1
10% cas début jeune âge cause principale: destruction auto immune des cellules b, insulinorequerance constante predisposition génétique
138
diabète type 2
90% cas début âge plus avancé à cause obésité, sédentarité causes principales: insulinoresistance et insulinopenie prédisposition génétique
139
diabète gestationnel
survenant pendant grossesse disparaît à l’accouchement souvent risque ++ type 2 plus tard
140
autres types diabètes
pancréatites fibrose kystique corticostéroïdes
141
type 1 présentation clinique
jeune sujet et début brutal (soif, urination, fatigue, perte poids involontaire) carence absolue de l’insulinosecretion cétose (dans sang et urine): corps utilisé que gras comme carburant, pu capable utiliser sucre donc cellules cétoniques crée sang acide
142
type 1 physiopathologie
majorité sans antécédents génétiques mais relié au bagage génétique et facteur environnement destruction progressive cellules b survenant sur un terrain génétique de susceptibilité et associée à des manifestations immunologiques (anticorps)
143
type 2 facteurs de risque
génétique (antécédents familiaux) âge (+ âge + mauvais mode de vie = 100% chance) glycémie obésité sédentarité diététique diabète gestationnel petit poids de naissance groupe ethnique
144
prévention possible type 2
sur groupes à risque et intervention sur facteurs modifiables (perte de poids, mode de vie, pharmaco) réduction de 30-60% du risque
145
critères diagnostique du diabète
glycémie à jeun ou 2h après ingestion ou aléatoire
146
complications aiguës (min ou heures)
hypoglycémie (iatrogène, reliée au traitement) hyperglycémie (3 types)
147
complications chroniques (mois ou années)
spécifiques micro vasculaires: retinopathie, néphropathie, neuropathie non spécifiques, macro vasculaire: coronaropathies, avc, artériopathie oblitérante du MI, infections, amputations
148
retinopathie
première cause perte des yeux est diabète
149
néphropathie
risque insuffisance rénale ++
150
neuropathie
atteinte nerf, perçoit pu dlr (sent plus mais sensation brûlure ou gel constant)
151
principaux objectifs traitement diabète
réduire risque complications microvasculaires réduire risque complications macrovasculaires améliorer qualité de vie réduire complications du traitement approche: mode de vie et pharmaco
152
4 éléments clés du processus et prévention des complications
glycémie moyenne HbA1C -7% pression artérielle-130/80 mmHg lipides (LDL -2.0 et non HDL-C - w.y) dépistage et rx additionels
153
moyenne glycérique A1C
cibles perso mais plupart pt vise -7% considérer entre 7.1 et 8.5 si plus vieux, comorbidité, espérance de vie moindre, diabète de longue date
154
3 familles insulines
longues et ultra longues (entre repas) régulière et rapides (autour repas) intermédiaires
155
vitesse de dissociation des hexamères et multimères
capacité à rentrer dans circulation rapide ou lente
156
insuline analogues basal et bolus
plus flexibles , se rapproche de la physiologie réduction du risque d’hypoglycémie (basal plus que bolus)
157
options pour glycémies et administration insuline
glycémies capillaires ou lecteur de glycémie en continu/en flash insuline en injections multiples ou pompe à insuline pancréas artificiel, administre automatiquement insuline
158
pancreas artificiel
permet de ne pas aller en hypoglycémie et hyperglycémie comme pompe + lecteur de glycémie + logiciel = administration automatisée insuline
159
prise en charge diabète type 2
hyperglycémie, hypertension, dyslipidemies, tabagisme éducation sur mode de vie et adhésion au traitement
160
traitement diététique type 2
mieux manger, moins manger perte poids 50-55% glucides 30% lipides (saturés -10%) 15-20% protides + fibres
161
exercice physique traitement type 2
30-45 min par j intensité modérée
162
traitement pharmaco type 2
progressif pour garder constance quand pancréas vieillit alimentation et mode de vie pilules par bouche ozempic, début med injectable insuline basale insuline prandiale (au repas) +- chirurgie bariatrique pour perte de poids
163
situations qui justifient intro précoce à insuline
contre indications aux HGO (insuffisance rénale et hépatique) grossesse état catabolique transitoire (hospitalisation, infection, stéroïdes)
164
type 1 ou 2 plus facile à gérer
1 (2 changements significatifs mais prennent temps)
165
secretagogues insuline + insuline =
risque hypoglycémie
166
metformin
biguanides s’en sert en premier pour aider insuline à agir sur foie
167
GLP1 récepteurs agonistes
comme ozempic, pancréas s’ajuste mieux à faim aidé perte poids
168
SGLT2
inhibiteurs agit sur rein, baisse risque de prob rein important dans situation de déshydratation, aide réabsorption glucose et donc d’eau
169
thérapie d’insuline
efficace, faisable, sécuritaire pour cardiovasculaire et cancer risque d’hypoglycémie et prise de poids
170
acronyme ACTION, éléments clés de prise en charge
A1C, équilibre glycérique Cholesterol Tension artérielle Interventions sur mode de vie Ordonnances Non fumeur
171
lecture constante de glycémie mesure
taux de glucose dans liquide interstitiel (sous la peau) dit qualité et sur quoi agir (changer doses, repas irréguliers, dose de correction …) pas même cible pour tout le monde
172
principale complication du traitement
hypoglycémie
173
risques qui viennent avec hypoglycémie
confusion, coma altération mémoire, perte de conscience PEUR de hypoglycémie impact psycho impact societal et économique risque décès impact sur coeur, plus coagulation sang, moins fonction vaisseaux sanguins réponses inflammatoires réponse au stress
174
hypoglycémie sévère fréquence annuelle
1.10 a 30% des pt type 2 insulino traités 2.10 a 50% des pt type 1 parmi pt avec au moins un épisode la fréquence moyenne est de 2.5 épisodes
175
caractéristiques pt qui augmente risque hypoglycémie sévère
ATCD erreurs dose insuline insuffisance rénale chronique hypoglycémie freq, baisse perception symptômes âge avancé, longue durée du diabète, adolescence dépression faible du statut socio économique (pauvre, moins éduqué)
176
circonstances qui augmentent risque hypoglycémie sévère
repas manqués, petit repas exercice consommation alcool erreurs dose insuline variabilité glycémique
177
diabète type 1 et exercice
bcp planification à faire savoir type, intensité et durée, checker glucose, timing de l’exercice, savoir combien insuline, prendre carbohydrates réajuster pendant et après entraînement