Structure et couplage des récepteurs 2 Flashcards

1
Q

Types de récepteurs à activité enzymatique

A
  • tyrosine kinase/phosphate
  • sérine/thréonine kinase
  • guanylyl cyclase
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2
Q

Récepteurs tyrosine kinase (RTK)

A
  • 1 seul passage transmembranaire
  • agit en dimère
  • structure N-terminal : grande diversité des domaines présents
  • structure transmembranaire : séquence d’acides aminés hydrophobes servant à encrer la protéines dans la membrane
  • structure C-terminal : domaine kinase (transforme phosphate) peut être séparé en 2 classes : domaine kinase continue + domaine kinase séparé par séquences d’acides aminés
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3
Q

Exemple du récepteurs RTK : EGF

A
  • lié au cancer
  • 4 récepteurs
  • 11 ligands
  • ErbB2 : aucun ligand
  • possibilité d’homo et d’hétérodimérisation : ErbB2 et 3 ne forment pas d’homodimères
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4
Q

Modèle de la dimérisation et de l’activation de l’EGRF par l’EGF : partie extracellulaire

A
  • en absence d’EGF, le récepteur est monomérique
  • la dimérisation des régions extracellulaires de l’EGRF est médié par des points de contact entre les récepteurs
    ce n’est pas le ligand qui induite la dimérisation
  • le ligand touche 2 points de contact sur le récepteur (domaine I et III)
  • l’habileté à dimériser est possible grâce au bras de dimérisation (domaine II)
  • en absence de ligand, le domaine II est caché par des interactions intramoléculaires avec le domaine IV
  • la liaison de l’EGF induit un changement de conformation important qui va exposer le domaine II
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5
Q

Modèle de la dimérisation et de l’activation de l’EGRF par l’EGF : partie transmembranaire

A
  • un motif présent en N-terminal de la région transmembranaire est important pour l’autophosphorylation (signal initial) induite par l’EGF
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6
Q

Modèle de la dimérisation et de l’activation de l’EGRF par l’EGF : partie intracellulaire

A
  • dimérisation asymétrique des domaines intracellulaires
  • la partie amino-terminale d’un récepteur interagit avec la partie carboxyl terminal de l’autre
  • il est attendu que ces interactions sont dynamiques et que les 2 monomères seront phoshorylés
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7
Q

EGRF : sites de phosphorylation

A
  • plusieurs tyrosines sont phosphorylées
  • celles-ci le sont par la transphosphorylation ou par d’autres tyrosine kinases solubles
  • la phosphorylation de résidus spécifiques est associée à l’activation ou le recrutement de protéines clés qui vont induire la signalisation intracellulaire du récepteur activé
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8
Q

EGRF : inhibition de la fonction des récepteurs

A
  • en utilisant des bloqueurs qui vont empêcher la liaison du ligand (facteur de croissance)
    • efficace contre le cancer des poumons, du colon, etc.
    • thérapie efficace contre les cancers du sein de type HER2+
  • en utilisant des inhibiteurs enzymatiques qui vont bloquer l’activité tyrosine kinase du récepteur
    • traitement du cancer des poumons (NSCLC) ou traitement du cancer du sein EGFR+
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9
Q

Similarités et différences entre RCPG et RTK

A
  • RCPG :
    • 7 passages transmembranaires
    • aucune activité enzymatique intrinsèque (facteur d’échange pour protéine G)
    • dimérisation (homo et hétéro) possible mais non-essentielle
    • la liaison du ligand peut induire de multiples conformations 3D
  • RTK :
    • 1 passage transmembranaire
    • activité tyrosine kinase
    • dimérisation (homo et hétéro) obligatoire
    • la liaison du ligand stabilise une conformation qui permet aux domaines intracellulaires de se phophoryler
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10
Q

RTK : mécanismes de signalisation

A
  • une fois que la forme dimérique du récepteur est stabilisée par un ligand et que les domaines intracellulaires sont phosphorylés :
    • recrutement de protéines adaptatrices
    • assemblage de complexes de signalisation
    • activation des effecteurs
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11
Q

Comment les protéines adaptatrices font-elles pour interagir avec les récepteurs activés?

A
  • rôle principal des protéines adaptatrices = importantes pour l’assemblage et ensuite la signalisation, autophosphorylation amène ces protéines
  • possèdent des domaines d’interactions protéine-protéine pour transmettre le signal
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12
Q

RTK : modules et domaines d’interactions protéines-protéines ***

A
  • les récepteurs activés forment des complexes avec les domaines PTB et SH2 des protéines de signalisation
  • des domaines SH2 se lient spécifiquement au Tyr phosphorylés tandis que les domaines PTB se lient au Tyr phosphorylés ou non
  • les domaines PH se lient aux différents phosphoinostides membranaires (pour mener à leur recrutement aux membranes)
  • les domaines SH3 et WW se lient à des séquences riches en Pro de protéines cibles (afin de poursuivre la transduction signalétique)
  • les domaines PDZ se lient à des résidus hydrophobiques au C-terminal de protéines cibles
  • les domaines FYVE se lient spécifiquement aux Pdtlns(3)P
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13
Q

RTK : voies de signalisation : modules et domaines d’interactions protéines-protéines : domaine SH2

A
  • structure : les domaines SH2 contiennent un feuillet β antiparallèle entouré de 2 hélices α
  • liaison et fonction : modules d’environ 100 acides aminés
  • lie spécifiquement les peptides contenant une Y phosphorylée (pY)
  • affinité de liaison pour Tyr-P»Tyr
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14
Q

RTK : voies de signalisation : modules et domaines d’interactions protéines-protéines : domaine PTB

A
  • structure : les domaines de PTB de Shc et IRS-1 contiennent 2 feuillets β orthogonaux et une boucle les contenants
  • même si leur séquences en acides aminés est peu similaire, leurs structure tri-dimentionelle est identique
  • liaison et fonction : modules de 100-150 acides aminés
  • lie spécifiquement les motifs Asn-Pro-X-Tyr
  • cependant, des séquences en N-terminal de ce motif sont nécessaires pour une grande affinité et spécificité
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15
Q

RTK : voies de signalisation : modules et domaines d’interactions protéines-protéines : domaine PH

A
  • structure : malgré leur différence dans leur séquence en acides aminés, les domaines PH partagent une structure tri-dimentionnelle composée de 2 feuillets β antiparallèles perpendiculaires et d’une hélice α
  • liaison et fonction : module de 120 acides aminés
  • certains domaines PH lie avec haute affinité des phospholipides de type phosphoinositol (PI) spécifiques
  • leur liaison aux lipides permet aux protéines contenant ces domaines de répondre à la génération de messagers lipidiques en se relocalisant aux membranes
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16
Q

RTK : voies de signalisation : modules et domaines d’interactions protéines-protéines : domaine PDZ

A
  • liaison et fonction : module de 80 à 90 acides aminés
  • domaine le plus rencontré
  • peut exister en 1 ou plusieurs copies
  • 4 classes d’interaction PDZ :
    • reconnaissance de domaines C-term dans les peptides
    • reconnaissance de motifs internes dans les peptides
    • dimérisation PDZ-PDZ
    • reconnaissance de lipides
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17
Q

4 voies de signalisation activées par l’EGRF

A
  • MAPK
  • PI3K
  • PLC
  • STAT
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18
Q

Activation de la voie MAPK

A
  • recrutement des protéines adaptrices : Shc/Grb2
  • activation de Ras
  • activation des MAPKs
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19
Q

Activation de la voie MAPK : Grb2

A
  • fonction : protéine adaptatrice qui sert à lier des protéines de signalisation au récepteur activé
  • mécanisme d’activation : phosphorylation par le récepteur activé, activation de SOS
  • rôles : développement, différenciation et prolifération Grb2 KO : mort embryonnaire rapide
  • voie de signalisation importante pour le développement
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20
Q

Activation de la voie MAPK : Ras

A
  • 3 gènes : H-Ras, N-Ras, K-Ras
  • oncogène le plus commun retrouvé dans les cancers
  • fonction : protéine G monomérique ou GTPase
  • mécanisme d’activation : cycle classique de GDP/GTP (source de phosphate)
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21
Q

Activation de la voie PI3K

A
  • classe II : unités catalytique seulement
  • classe III : unités catalytiques et régulatrice
  • autres rôles : prolifération, différentiation, motilité, trafic intracellulaire
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22
Q

Activation de la voie PI3K : Akt ou protéine kinase B

A
  • zédins/thréonine kinase
  • 3 isoformes (Akt1, Akt2, Akt3)
  • cible contre le cancer
  • activée un peu partout dans la cellule
  • AMPK : fonctionnement inverse : est activée pour la survie dans les conditions extrêmes
    • lorsqu’un est activé, l’autre est inhibé
23
Q

RTK : autres protéines adaptatrices interagissant avec les récepteurs : phospholipase C (PLC)

A
  • recrutement de PLCg
  • transformation des lipides membranaires
  • signalisation PKC et Ca2+ dépendante
24
Q

Activation de la PLC

A
  • la PLCg peut être activée par les récepteurs de type tyrosine kinase car elle possède 2 domaines SH2 et 1 domaine SH3 localisés entre un domaine PH divisé
  • 2 isoformes sont exprimés chez l’humain : PLCg1 et PLCg2
25
Q

Développement de résistance aux inhibiteurs des RTK

A
  • la surexpression d’Axl médie cette résistance dans le cancer du poumon (NSCLC)
  • cellules cancéreuses cherchent autres récepteurs
  • peut lier un autre ligand et induire la même voie de signalisation
  • IRESSA est un traitement donné aux patients atteint de cancer du poumon métastatique en troisième ligne
  • il est efficace chez environ 10% des patients (thérapie spécifique)
  • la signalisation d’Axl médie cette résistance dans le cancer du sein (TNBC)
26
Q

RTK : autres protéines adaptatrices interagissant avec les récepteurs : JAK/STAT

A
  • JAK : tyrosine, JAK1, JAK2, JAK3, TYK2, dimérisation homologue
  • STAT : facteurs de transcriptions cytosoliques qui doivent être phosphorylés pour transloquer au noyau (STAT1, STAT2, STAT3, STAT4, STAT5( a et b), STAT6)
27
Q

Activation de la voie JAK/STAT

A
  • mesure du niveau de phosphorylation de STAT
  • dimérisation des STAT
  • translocation nucléaire
28
Q

Inhibiteurs des JAK/STAT en clinique

A
  • tofacitinib pour arthrite rheumatoïde, psoriasis, colite
  • baricitinib pour arthrite rhumatoïde
  • ruxolitinib pour neoplasmes myeloproliferatifs
29
Q

Récepteurs tyrosine phosphatase : structure

A
  • diffère principalement dans la partie extracellulaire
  • la partie cellulaire contient 2 domaines :
    • domaine proximal contient l’activité enzymatique
    • domaine distal est essentiel pour l’activité, la spécificité et les interactions protéines-protéines
  • une fois activés, les récepteurs tyrosine phosphatases vont déphosphoryler des protéines intracellulaires pour, la majorité du temps, les inactiver
30
Q

Récepteurs sérine thréonine : superfamille des récepteurs de type TGFβ : activation

A
  • dimérisation et recrutement d’un deuxième type de récepteurs
  • le TGF-β se lie au récepteur de type II qui recrute et phosphore les récepteurs de type I
  • le récepteur de type I phosphore les effecteurs, les Smads (différente combinaisons spécifiques au ligand)
  • ces Smads forment un complexe avec Smad 4 pour transloquer au noyau
  • certains Smads ont un effet négatif et lient le récepteur et recrutent une E3 ubiquitine ligase
  • les Smads sont des facteurs de transcription
31
Q

Récepteurs guanylyl cyclase : superfamille des récepteurs de type l’ANP (ANF) : activité

A
  • ANP et BNP lient NPR-A
  • CNP lie NPR-B
  • NPR-C est un récepteur de clearance et lie l’ANP, BNP et CNP
  • ce récepteur ne possède pas d’activité enzymatique
  • de récente évidences suggère que NPR-C peut activer Gi
  • les récepteurs de type NPR-A et NPR-B sont phosphorés de façon maximale à l’état basal et forment des oligocènes
  • la liaison du ligand induit une augmentation du cGMP
  • le cGMP contrôle l’activation de canaux ioniques, de protéines kinases (PKG), des phosphodiestérases et de l’AMP cyclique
32
Q

Récepteurs guanylyl cyclase : superfamille des récepteurs de type l’ANP (ANF) : ligands

A
  • ANP
  • BNP
  • CNP
  • variété de ligands mais proviennent tous du même gène
33
Q

Récepteurs guanylyl cyclase : superfamille des récepteurs de type l’ANP (ANF) : PKG

A
  • sérine thréonine kinase
  • 2 types : PKG-I et PKG-II
  • homodimères
  • substrats : PLB, VASP, RGS2
34
Q

Récepteurs guanylyl cyclase : superfamille des récepteurs de type l’ANP (ANF) : PDE

A
  • enzymes qui dégradent le lien phosphodiester
  • 11 types : PDE1 à 11 (cAMP ou cGMP)
  • PDE5 : cGMP sélective, inhibiteurs sildenafil
35
Q

RCGP vs. R activité enzymatique

A
  • mode d’activation : changement conformationnel induit par la fixation d’un ligand
  • effet de l’activation :
    • activation de protéines G, effecteurs et production de seconds messagers
    • transphosphorylation du récepteurs et recrutement de protéines adaptatrices et de signalisation
  • contrôle du signal :
    • désensibilisation et internalisation
    • déphosphoration et internalisation
36
Q

Récepteurs nucléaires

A
  • les hormones lipophiles vont activer des récepteurs nucléaires puisqu’elles sont capables de diffuser d’une source et pénétrer une cible
  • les récepteurs nucléaires (48 chez l’homme) sont des facteurs de transcription qui incluent :
    • récepteurs nucléaires hormonaux (NHR) et orphelins
    • récepteurs cytosoliques en complexe avec un inhibiteur et nucléaires associés à l’ADN
37
Q

Structure des récepteurs nucléaires

A
  • domaine de liaison à l’ADN (DBD) : ciblage du récepteur à des séquences d’ADN hautement spécifique, domaine contient 2 motifs de type Zn fingers
  • domaine de liaison du ligand (LBD)
38
Q

Mécanisme d’action des récepteurs nucléaires

A
  • homo ou hétérodimers : chaque partenaire se lie à des séquences spécifiques qui existent comme des demi-sites séparés air des séquences de nucléotides variables entre des sites directs ou inversés
39
Q

Protéines co-activatrices des récepteurs nucléaires

A
  • définis comme étant des facteurs cellulaires recrutés par les récepteurs activés afin de promouvoir l’activité transcriptionnelle
  • ne se lient pas à l’ADN
  • contrôlent les différentes étapes du processus de transcription
  • s’assemblent en complexe de haut poids moléculaires
  • vont être employés pour la transcription de plusieurs gènes puisque c’est le récepteur qui est responsable de la spécifié
40
Q

Protéines co-régulatrices des récepteurs nucléaires

A
  • supportent l’activité du nucléosome
  • fonctionnent pour former un complexe transcriptionnel actif avec la polymérase
41
Q

Récepteurs nucléaires : classe 1 de type stéroidiens

A
  • récepteurs principalement présents dans le cytoplasme
  • liaison de l’agoniste résulte en la dimérisation des récepteurs (homo principalement), translocation au noyau et liaison au HRE sur l’ADN (demi sites inversés)
  • le complexe récepteur nucléaire/ADN recrute d’autres protéines afin d’initier la transcription
42
Q

Rôle des estrogènes dans la physiologie

A
  • contrôlent le développement et le fonctionnement de l’appareil reproducteur féminin
  • les niveaux d’estrogènes varient pendant le cycle menstruel pour préparer l’utérus à l’implantation de l’embryon
  • les estrogènes contrôlent la masse osseuse, empêchant la résorption de l’os (chute des œstrogènes après la ménopause est un cause de l’ostéroporose)
  • les estrogènes pourraient avoir un rôle protecteur au Nivea du système cardio-vasculaire
43
Q

Ex de récepteurs de classe 1 : récepteurs des estrogènes : mécanisme de signalisation

A
  • ERα et ERβ homo- et hétéro-dimérisation avec eux-mêmes et d’autres récepteurs
  • phosphorylation du ER importante pour la liaison au ERE présent dans l’ADN
  • la transcription est régulée par une interaction directe avec les facteurs de transcription AP-1 response element, c-fos, c-jun
44
Q

Bloqueurs des récepteurs des estrogènes

A
  • tamoxifen, toremifen, fulvestrant : cancer du sein
  • le TAM favorise la proliférations des cellules de l’endomètre
45
Q

Récepteurs nucléaires : classe 2 en hétérodimères avec les récepteurs Rétinoide X (RXR)

A
  • récepteurs principalement retenus dans le noyau
  • en absence de ligand, les récepteurs sont souvent en complexe avec des co-répresseurs (inhibe fonction)
  • 3 récepteurs : RXRa, RXRβ, RXRg
  • considéré comme un partenaire silencieux d’autres récepteurs nucléaires
  • lie 9-cis retinoic acid
  • RXR forme des homodimères ou hétérodimères (dans certains cas, RXR doit lier son ligand, dans d’autres cas, non puisque l’autre récepteur agit comme modulateur allostérique de son activité
  • le récepteur R : T3R, RAR, VDR, etc. (plus d’une quinzaine de récepteurs)
46
Q

Ex. classe 2 en hétérodimères avec les récepteurs Rétinoide X (RXR) : récepteur de la vitamine D

A
  • la vitamine D média ses actions transcriptionnelles via sa liaison au VDR
  • le VDR activé dimérise avec le RXR (récepteur rétinoic X)
  • le digère lie les VDRE (vitamin D response elements) GGTCCA-NNN-GGTCCA dans la région promotrice des gènes cibles
47
Q

Récepteurs nucléaires : classe 3 et 4 : récepteurs orphelins

A
  • liaison de l’agoniste résulte en la dimérisation des récepteurs (homo principalement et hétéro), translocation au noyau au HRE sur l’ADN
  • ces récepteurs nucléaires se lient à des séquences HRE de même orientation
48
Q

Divergence des signaux

A
  • la spécificité du signal à travers les enzymes ayant plusieurs effecteurs est assuré par la ségrégation des complexes
  • un ligand lie récepteur
  • récepteur active plusieurs voies de signalisation
  • pour un but (effet) commun
  • signal amplifié
49
Q

Convergence des signaux

A
  • différents stimuli agissent sur la même voie pour produire une réponse
50
Q

Divergence des signaux : ex : migration cellulaire

A
  • un ligand et un récepteur qui modulent plusieurs voies de signalisations
  • ATR active Rac, Rho, Cdc42
  • les 3 GTPases modulent l’actinie de façon différentes pour induire la migration
51
Q

Divergence des signaux : ex : contractilité cardiaque

A
  • deux ligands et deux récepteurs qui modulent globalement une voie de signalisation
  • le récepteur M2 répond à l’acétylcholine
  • le récepteur β1 répond à l’isoprotérénol
  • l’activation de Gs augmente les niveaux d’AMP cyclique tandis que Gi les diminue
52
Q

Divergence des signaux : ex : augmentation de Ca

A
  • deux ligands et deux récepteurs qui modulent globalement la production d’un second messager
  • les RCPG activent Gq/PLCβ/IP3/IP3R/ Ca2+ et les RTK activent PLCg/IP3/Ca2+
  • l’augmentation de Ca module le métabolisme, la morphologie, la prolifération, etc.
53
Q
A