Sociologie des organisations Flashcards
La théorie du freinage*
- Q & A
- def
- Q : étude du comportement individuel en entreprise : Pourquoi des individus qui ne font pas le travail demandé ?
- A : théorie du freinage : L’individu qui manque de motivation ou n’est pas stimulé par la com interne ou les RH se met en mode ralenti.
- une période longue ou une personne ne sert plus les intérêts de l’entreprise
La théorie du freinage*
- comment est définit le freinage ? (3)
- norme définie par le groupe qui encadre les relations employé-employeur, les usages et bonnes pratiques internes
- norme définie par le groupe et non l’individu
- Celui qui est “hors norme” risque l’exclusion du groupe.
Principe de Peter
- les individus dépassent leur seuil de compétences lors d’une ascendance hiérarchique.
- Mais parfois les projeter trop vers le haut va diminuer leur efficacité.
Théorie du freinage*
Les normes de comportement définition
Les normes de comportements sont des déterminants collectifs qui visent à encadrer les déterminants individuels
L’individu et ses motivation
- déterminants individuels et collectifs
- motivations (5)
- qu’est ce qu’ils déterminent ?
- Les déterminants individuels liés à la psychologie de l’individu
- Les déterminants collectifs liés à la culture nationale, culture de groupe, âge, genre, formation
- Motivation : argent, sécurité, groupe, estime, accomplissement de soi
==> déterminent les normes de freinage
Comment éviter le freinage ? (5)
Identifier les interactions
- Involvement: Connaissance des valeurs + la culture générale de l’entreprise (1-3 ans)
- Rencontre : interactions –> Pilotage : toute entreprise a intérêt à contrôler les interactions. De façon formelle (bonus), informelle (tutoiement, pratique douteuse)
- Déceler les irrégularité : certaines personnes sont en situation de freinage à un moment T
- Pouvoir : Organisation des structures (organigrammes) + des opportunités (santé psychologique, …). Être conscient des rapports de pouvoir dans le travail quotidien
- L’impact de l’environnement : L’environnement (corporate culture) influence tous les déterminants (motivation, logique et norme)
Théorie du freinage
- conclusion de Bernoux
“L’individu freinera plus ou moins selon la relation de pouvoir qu’il vit quotidiennement dans le travail.” (2009:32)
La théorie des besoins et motivation
- définition
Maslow
L’organisation doit pouvoir répondre aux
- Besoins naturels : besoins primaires
- Besoins complexes : besoins qui permettent l’épanouissement
La théorie des besoins et motivation
- pyramide
A. Primaires
B. Secondaires
A. Primaires
- Besoins physiologique
- Besoins de sécurité : toute formes de sécurité (emploi, de travail)
B. Secondaires
- Besoins d’appartenance : souvent liés à l’appartenance de classe. Solidarité avec autres salariés.
- Besoin d’estime
- Réalisation de soi* : réalisation totale de la personnalité. Le plus important => donne sentiment d’avoir réussi sa vie. Ce qui détermine si on garde un talent ou pas. C’est tout en haut de la pyramide*. C’est le plus difficile à satisfaire car il n’apparait pas à l’engagement. Il faut que l’individu exprime son rêve.
La théorie des besoins et motivation
- principes (4)
- si les besoin du bas ne sont pas assouvi, les plus haut ne le seront pas.
- Ne sont importants que ceux qui ne sont pas encore assouvis,
- La grande majorité des entreprises ne visent pas l’accomplissement de soi.
- Maslow casse l’image de l’homo economicus que seul l’argent intéresse véhiculée par le taylorisme et fordisme
Limites de la théorie des besoins et motivations (3)
- Traduction des enjeux psychologiques en enjeux sociaux
- Hiérarchisation des besoins –> besoin d’estime des fois satisfait avant besoins organiques –> cf. achat d’une voiture à crédit
- Déterminisme
L’organisation est un construit
- penseur : citation
- limites des perspectives non-constructivistes (2)
- à l’opposé
Bernoux : “L’organisation est un construit, non une réponse”
- Limite de l’école sociotechnique “participe = s’engager” :
1. Certaines personnes ne veulent pas gravir les échelons dû au principe de Peters ou parce qu’ils ont une vie à côté du travail. => liberté de choix
2. Déterminisme. Il y a le construit humain, par opposition à l’AI, qui n’est pas toujours rationnel (contingence, hasard)
A l’opposé : l’analyse stratégique permet de prendre en considération l’individu et ses indéterminations.
L’analyse stratégique - perspective constructiviste de Bernoux
- contre la logique …
- exemple
- luttons contre la logique déterministe et apprenons à gérer le présent via l’analyse stratégique
- Exemple : analyse de type stratégique d’un étudiant qui fait une formation => il ne retient pas le contenu clé de la formation pour un intérêt intrinsèque à cette formation mais en fonction de l’utilité que va lui apporter la formation dans une stratégie personnelle. Il utilise la formation.
Les concepts clés de la théorie de l’analyse stratégique* (4)
- Stratégie de l’acteur
- Zone d’incertitude
- Pouvoir
- Système d’action concret
Théorie de l’analyse stratégique :
Les caractéristiques de l’organisation sont définies par (5)
La division des tâches La distribution des rôles Le système d'autorité Le système de communication Le système de contribution-rétribution