SEX2246(ÉDUCATION) Flashcards

1
Q

Quels sont les principes généraux de la sexualité enfantine ?

A
  1. L’enfant est un être sexuel dès sa naissance. Et non à partir de la puberté. (curiosité et exploration des sensations agréables, même si pas de désir/fantasme)
  2. Sexualité et identité évolutive et non linéaire (= différences significatives entre les enfants)
  3. Développement influencé par le bagage biologique, l’environnement et capacités cognitives
  4. Peu de connaissance sur leurs comportements typiques (+), même si consensus sur les grandes étapes dévelopementales
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2
Q

Quels sont les comportements sexuels à l’enfance ? Quelle motivation les sous-tend ?

A

Motivation: Besoin d’explorer (recherche de réponses), curiosité (intriguant son corps et celui de l’autre), recherche de sensations agréables dans la camaraderie

Fréquence: maximale entre 2 à 6 ans

Comportements:
embrasser, exposer ses organes génitaux, jouer au docteur, se déshabiller devant d’autres personnes

D’abord dirigé vers son propre corps et ensuite vers celui des autres.

Se rappeler qu’iels n’ont pas une compréhension adulte de leur comportement.

Important de ne pas projeter les interprétations d’adulte sur leur comportement. Pas d’intention de séduire ou autre.

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3
Q

Quelles sont les caractéristiques des comportements sexuels sains à l’enfance ?

A

Caractéristiques
- Spontanés, volontaires, ponctuel
- Fréquence, durée et intensité typique

Entre enfants
- Du même âge, de la même carrure, qui se connaissent, développement similaire

Émotions associées: L’enfant se sent bien. Ça fait du bien.

Interventions: s’intéresser à ce qu’iels vivent, normaliser, ramener les contextes, les lieux propices/adéquats, les personnes avec qui c’est ok (pas ok si adulte ou enfant plus jeune ou si l’autre enfant ne veut pas) à ces comportements, se montrer disponible et source d’accompagnement, important de ne pas culpabiliser.

Exemple masturbation: Masturbation ponctuelle dans la sphère du privé

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4
Q

Quelles sont les caractéristiques de comportements sexuels inquiétants ?

A

Quand il y a une recherche constante, un intérêt fort qui le pousse à délaisser les autres activités.

Caractéristiques
- Non-approprié en fonction de l’âge, du stade de développement
Ex: faire semblant d’avoir des contacts oraux-génitaux
- Fréquence, durée et intensité plus élevés que ce qui est attendu

Entre enfant
Pas du même âge/carrure/stade dev./pas connu

Émotions associées
Sentiments négatifs: peur, anxiété, colère

Risque
Pour sa sécurité et celle de l’autre enfant

Interventions
Questionner pour comprendre ou iel a vu ça, qu’est ce qu’iel pense que ça veut dire.
Toujours revenir au contexte

Ex masturbation
L’enfant préfère se masturber que toute autre activité ou l’enfant préfère se masturber en public.

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5
Q

Quelles sont les caractéristiques de comportements sexuels hautement problématiques ?

A

Définition
Comportements impliquant des parties sexuelles du corps et initiés par des enfants âgés de 12 ans et moins.

Inappropriés du point de vue développemental: dépasse la curiosité, incitation à des relations sexuelles, actes oraux-génitaux, pénétration.

Caractéristiques
- Excessifs, compulsifs, coercitifs
- Usage de la force, menace, intimidation, tromperie, manipulation
- Persistant malgré l’intervention d’un.e adulte

Entre enfant
- Différence d’âge/dev./pouvoir significative

Risque
Atteinte à l’intégrité physique et psychologique
Néfaste pour l’enfant lui-même ou les autres

Ex masturbation
Pratique fréquent et intense engendrant des blessures sur l’organe génital.

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6
Q

Comment intervenir face à des CSP (comportements sexuels problématiques) ? (5)

A
  1. Pas considéré Enfant avec CPS comme un agresseur
    Se ramener au fait qu’il s’agit d’un enfant. Se distancer des significations associées aux personnes adultes.
  2. Questionner leurs intentions, compréhensions et motivations sous-jacentes (ex: imitation, gestion des émotions).
  3. Les responsabiliser en les informant pourquoi ce n’est pas acceptable, pourquoi il faut faire autrement. Mais se rappeler qu’iels n’ont pas les capacités cognitives pour faire ces actes de manière intentionnelle et planifiée.
  4. Contextualiser. Cas par cas.
  5. Proactivité. Aller vers elleux, même si comportements sains.
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7
Q

Quelles sont les nouvelles réalités sociosexuelles des jeunes ? Et similarité

A

Ils ont accès à plus d’information
Plus d’acceptation envers les identités Queer

Toujours besoin de se savoir “normal”
Ils continuent de se tourner vers des figures d’autorité
Normes hétéronormatives toujours présentes

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8
Q

Qu’entend on par réalités sociosexuelles ?

A

Attitudes et comportements sexuels des jeunes influencées par les modes et la culture populaire ou en lien avec l’utilisation des technologies de la communication/information

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9
Q

Quelles sont les idées clés défendues par le discours d’hypersexualisation ?

A

Banalisation de la sexualité et de ses pratiques dans les espaces publics et virtuels

Objectification du corps (marchandisation)

Adoption d’attitudes, habillements et expressions à caractère sexuel de façon précoce
(adopter ne veut pas dire qu’iels en saisissent le sens)

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10
Q

Quelles sont les 4 affirmations du discours d’hypersexualisation et sont-elles empirèrent justifiés ?

A
  1. Diminution de l’âge des premières rapports sexuels oraux, vaginaux et anaux. FAUX
  2. Augmentation du nbre de partenaires sexuelles + diversifications des pratiques sexuelles (à plusieurs, etc.) FAUX
  3. Déclin de la moral et des valeurs sexuels. FAUX
  4. Augmentation des images explicites dans les médias. VRAI
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11
Q

Csqces de l’hypersexualisation (soit de l’augmentation des images explicites)

A
  1. Vision déformée des relations et de la sexualité
  2. Intériorisation de standard de beauté peu réaliste
  3. Augmentation de l’insatisfaction par rapport au corps
  4. Confusion entre ce qui relève de la sphère publique et privé
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12
Q

Csqces du discours chez les jeunes + solution

A

1. Nouvelles normes - suis-je en retard ?
Le discours caractérise la sexualité des jeunes comme libertine. Ainsi il émet de nouvelles normes. Les jeunes ayant besoin d’être “normaux” peuvent dès lors intérioriser ces normes et essayer d’y correspondre afin de ne pas être en retard.

2. Invisibilisation de leur agentivité
victime d’un discours/idées plus grandes qu’elleux.
Amène la société a prendre des décisions pour alleux sans les consulter. Offre une image des jeunes comme dénué de raisonnement, incapable de prendre des décisions saines pour alleux.

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13
Q

Quels sont les 5 contextes d’éducation à la sexualité ?

A

Explicite
Message clairement déclaré

Implicite
Message non-formel, non conscient, mais porteurs d’une signification
ex: Quand une personne voit deux personnes se tenir la main -> pense qu’iels sont en couple. Expression de genre typiquement masculine = garçon. Personne ne réagissant pas à un propose homophobe = laisse croire que c’est correct. croire que pcq on est en couple, l’autre personne est d’accord pour avoir des relations sexuelles.

Formel
Enseignement planifié, encadré par un programme avec des objectifs clairs. L’intention éducative est l’obj de la rencontre pour les deux parties.

Informel
Pas de cadre officiel, ne fait pas partie d’un programme.

Accidentel
Suite à un événement fortuit

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14
Q

Qu’est ce que l’éducation complète à la sexualité ? Pq la donner aux jeunes ?

A

C’est un processus d’enseignement et d’apprentissage qui repose sur un programme qui aborde autant l’aspect affectif, physique, cognitif et social de la sexualité. Elle vise à outiller les jeunes de sorte à ce qu’iels puissent développer des relations affectives, intimes et amoureuses épanouissantes et respectueuses, leur esprit critique, leur empathie (impact de leurs choix sur elleux et les autres) et comprendre et défendre leurs droits.

Caractéristiques:
- Progressive
- Scientifiquement exacte
- Adapté à l’âge/développement
- Fondée sur l’égalité des genres
- Adaptée à la culture/contexte (vise à comprendre l’impact sur les individus)

Pourquoi ?
- Prévenir
- Promotion

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15
Q

Différence entre l’approche promotionnelle et préventive de la santé sexuelle ?

A

Promotionnelle: Influencer positivement les déterminants de la santé (améliorer leurs conditions/modes de vie) pour qu’iels puissent avoir une plus grande emprise sur leur santé
Ex: accès à des services

Préventive: Agir le plus tôt (précocement) possible afin de réduire les facteurs de risque et leurs conséquences. Détecter tôt les problèmes pour les contrer.
ex: prévention ITSS, violence, etc.

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16
Q

Quelles sont les 5 dimensions de la sexualité humaine ?

A

Elles s’inter-influencent

Dimension biologique
Puberté, excitation sexuelle, réponse sexuelle, ITSS, reproduction

Dimension relationnelle
Gestion des émotions, expression des sentiments, aptitudes à communiquer dans ses relations

Dimension psychoaffective
Lié aux pensées: estime de soi, confiance, perception de soi (corporel)
Expression et affirmation de soi: identité, orientation, limite, désir
Dév. de son imaginaire, intimité

Dimension moral et éthique
croyances/valeurs en lien avec notre culture qui nous influencent, détermine ce qui est acceptable ou non

Socio-culturelle
Influence de l’environnement social = normes, stéréotypes = messages véhiculés
Cadre juridique définissant les droits et libertés.

17
Q

Quelles sont les pratiques inefficaces en EàS ?

A
  • Faire peur
  • Miser uniquement sur les connaissances (savoir vs savoir être/faire)
  • Promotion de l’abstinence (Ne diminue pas l’activité sexuelle, plus efficace de les outiller pour qu’iels puissent prendre des décisions éclairées)
  • Approche uniquement centrée sur la prévention (entraine qu’on parle uniquement de la sexualité de manière négative)
18
Q

Pertinence d’offrir l’ES en milieu scolaire ?

A
  • Personnel ayant des compétences pédagogiques
  • Environnement d’apprentissage structuré
  • Informations plus justes, car basée sur la recherche empirique
  • Informations adaptées à l’âge et au développement
  • Accès à plusieurs types d’intervenant·es (différents modèles, représentations, discours)
  • Offre des repères, enseignement de base -> favorise l’esprit critique, ouverture d’esprit
19
Q

Que pensent les jeunes par rapport à l’ES ? Quels sont leurs besoins ?

A

1. Bénéfique
(dév. savoir être et savoir-faire (attitudes))

2. Au delà de la biologique et reproduction
Infos nécessaires (ITSS, protection), mais veulent se faire parler de désir/plaisir/émotions + recherchent des infos concrètes et explicites sur des pratiques non-hétérosexuelles

3. Aborder les aspects relationnels et affectifs
Gestion des émotions, des relations, etc.

4. Offerte dans un climat sécuritaire et inclusif

5. Pensent qu’on ne veut pas leur en parler à cause des stéréotypes négatifs sur le fait d’être jeune et sexuellement actif
Surtout pour les fills.

20
Q

Quels sont les principes d’une approche positive, inclusive et émancipatrice ?

A

1. iels ont droit à une information de qualité, adaptée à leurs différentes réalités

Pas uniquement préventive/biomédicale, leur montrer à quoi ressemble une sexualité épanouissante. Miser sur le savoir-être et faire pour assurer des changements durables.

2. Dév. des contenus diversifiés abordant tous les types de sexualité

Reconnaitre la pluralité des identités et montrer l’étendue des possibles en matière de sexualité pour leur permettre d’apprendre à se connaitre/comprendre et éventuellement faire des choix plus éclairés)

3. Une approche par/pour les jeunes
Décalage entre les besoins des jeunes vs les contenus à cause des préjugés envers leur sexualité.

** 4. Avoir des pédagogues informé·es des meilleures pratiques et connaissances**

5. Utiliser des outils pédagogiques inclusifs et adaptés

6. En parler sans tabous
Messages livrés avec aisance.

**7. S’inscrire dans un objectif global de justice sociale et d’émancipation collective.

21
Q

Quels sont les 3 modèles dominants d’ES ?

A

Modèle traditionnel

Obj: Préserver la moralité/innocence

Approche: Centrée sur l’autorité (religieuse, morale et politique) porteuse de valeurs/croyances

Conception de la sexualité: Centrée sur la reproduction, hétérnormative, binaire, monogame, rôle de genre stéréotypé

Modèle préventif/libéral

Obj: Dév. les compétences/connaissance pour permettre la prise de décision autonome

Approche: centrée sur l’individu, renforcement du choix individuel vers une sexualité “saine”

Conception de la sexualité: pas tabou, abordée.
Vision hétérocentrée et binaire, autres modèles abordés mais dans une perspective de pévention des risques

Modèle critique
Obj: Dév. la capacité à questionner les normes

Approche: Centré sur les jeunes, les amener à questionner les normes/valeurs qui marginalisent certaines identités

Conception: centrée sur le plaisir

22
Q

Quelles sont les 4 grandes périodes de l’Évolution de l’ES en milieu scolaire et caractéristiques ?

A

1. Programme Formation Personnelle et Sociale (FPS)

Quand: 1980 à 2003

Ou: D’abord présent dans les écoles secondaires et ensuite au primaire.

Quoi: Programme obligatoire regroupant 5 grands champs d’étude dont celui de l’ES. Approche intégrée, idée que ces 5 dimensions ne peuvent être traitées en silo (santé, relation, conso, vie en société, sexe).
Bien qu’obligatoire peut d’écoles l’ont dispensé, surtout au primaire.

Par qui: Ensemble des enseignant·es (= affaire de tous·tes), mais au secondaire: souvent c’est l’enseignant·e du cours “moral et religieux” qui le dispense ou éducation physique. au primaire: titulaire de classe.

Évaluation: Une unité accordée pour la réussite du cours.
Implantation pas optimale, grande disparité dans l’application.

Temps accordé: 5h par volet/par année = 25h pour le secondaire.

Approche: Focus sur l’acquisition de connaissances, mais pas qu’au point de vue biomédical, aussi au point de vue psychoaffectif et relationnel, mais beaucoup dans la prévention.

2. Programme de Formation de l’école québécoise

Quand: 2004 à

Ou:

Quoi: ES est maintenant interdisciplinaire et transversale = idée de ne pas l’aborder à un moment précis, mais de l’intégrer à l’ensemble des cours et ce dans tous les domaines.
Ancrage officiel dans le cours de sciences (reproduction, ITSS), sinon c’est sur base volontaire.
C’est à la direction de l’école de planifier et déterminer les modalités selon les thèmes suggérés par le ministère de l’Éducation.

Par qui: Ensemble des enseignant·es, travailleur·ses de l’établissement (infirmière, ts, etc.) responsabilité de tous·tes.
Certains établissements vont faire appel des ressources communautaires pour déléguer.

Approche: globale

Csqces: Encore plus de disparité entre les milieux, car pas obligatoire, pas prévu dans un programme, donc selon la volonté/motivation/moyens matériels et financiers de la pers. enseignante/milieu scolaire. Difficulté des milieux à se mobiliser.

3. Retour des contenus obligatoires

Quand: 2018 à auj

Ou: Préscolaire au secondaire

Quoi: programme obligatoire et progressif divisé en 8 thématiques avec des objectifs précis, mais pas intégré à une matière/domaine prévis

Par quoi ? Responsabilité de tous·tes. Les thèmes doivent être répartis entre les enseignant·es selon les affinités. Formation obligatoire.

Approche: positive et globale de la sexualité et plus inclusive

Évaluation: absente

4. Réforme du cous éthique et culture religieuse

Quand: 2020, implantation prévue en 2023-2024

Ou: primaire et secondaire

Quoi: devient culture et citoyenneté québécoise.
Retour, contenus ES assignée à un seul cours afin de s’assure qu’ils soient couverts.
Apprentissage progressif.

Approche: globale

23
Q

Qu’entend-on par “trouver le point d’équilibre dans l’ES avec les ados ?

A

Trouver un équilibre dans les messages.

Prévention/protection sans tomber dans un discours moralisateur tout en tenant compte du contexte et sans présumer de leurs connaissances

Promotion sans tomber dans la banalisation, tout en tenant compte de leur stade dévelopmental.

24
Q

Comment aborder les TIC dans un contexte d’ES ?

A
  • Normaliser leur vécu, iels ne sont pas seul·es à avoir ces questionnements
  • Se rappeler que si la forme a évolué, les besoins sous-jacents restent les mêmes (besoin d’être normal, rassurer, affectifs)
  • Utiliser ses nouvelles formes dans les outils et contenus pour se rapprocher au plus près de leur réalité
  • Nommer les aspects positifs : activisme, consolidation des relations
25
Q

Comment réponde à une question - modèle REASSURE

A

1. R
Rassurer: excellente question, normal de se poser cette question
Reformuler dans les bons termes + termes neutres ou généraliser la question, la prendre plus large

2. E
Expliquer avec Empathie: avec sensibilité, répondre au questionnement, clarifier, donner de l’information

3.A
Ask = poser des questions, demander des clarifications, retourner la question à la classe
Acknowledge = reconnaitre les bons coups

4.S
Support: être disponoble, offrir un filet de sécurité
Specific: donner des réponses concrètes

5.S
Safety: assurer un climat de sécurité pour tous·tes, intervenir au besoin
Seld-disclosure or silence: permettre de participer ou de rester silencieux·se

6. U
Understanding: Chercher à comprendre
Unconditionnal: Croire en leur potentiel

7. R
Référer

8. E
Encourager

26
Q

Pour et contre de l’autodivulgation

A

Points positifs
- Contribue à la relation de confiance
- Diminue le rapport de pouvoir
- Augmente la participation des élèves

Poins négatifs
- Crée de la confusion quant au rôle du pédagogue
- Faire dévier l’attention du sujet
- Légitimise les valeurs/croyances personnelles du pédagogue

Garder en tête:
- Partager les expériences positives
- Faire avec parcimonie

27
Q

Quelles sont les 3 compétences pour adopter des pratiques culturellement responsable ?

A
  1. Décentration -> pas hiérarchiser les culturelles, avoir des exemples/représentations non-hégémoniques, modèle positif diversifiré, s’intéresser/se former aux différentes cultures, laisser les élèves s’exprimer
  2. Posture/jugement réflexif - > prendre conscience de ses biais
  3. Intelligence émotionnelle -> dév. des approches collaboratives avec les familles dont celles immigrantes (se référer au code de vie, charte des droits, etc.)