Section 3 Flashcards
- Vrai ou Faux Les séquences consensus sont les mêmes pour tous les facteurs de transcription, commentez votre réponse.
Séquences consensus = cours segments de la db hélice d’ADN à des séquences biens définies qui sont reconnus par les facteurs de transcription
Faux. Les facteurs de transcription sont spécifiques dans leur mode d’interaction avec l’ADN, chaque facteur de trnascription reconnaît une séquence consensus.
Quel est l’avantage de pouvoir former des homodimères et des hétérodimères?
Ce sont des protéines (dimères) régulatrice de l’expression génétique
Avantage hétérodimères: augmente l’éventail de séquences d’ADN qui peuvent être reconnues.
avantage ?
- Que veut-on dire par une structure modulaire des facteurs de transcription comme ceux faisant parti de la classe des récepteurs nucléaires ?
Ils ont une structure faite de modules (domaines) différents ayant des fonctions spécifiques. Par exemple, un module lie l’ADN, d’autres interviennent dans la transcription.
EX: A/B C D E F
Où C reconnait la séquence d’ADN
E reconnait l’hormone ( le ligand)
A/B et F aux extrémités , peuvent interagir avec d’autres protéines impliquées dans la transcription
- Décrivez comment une hormone, tel que les glucocorticoïdes peuvent modifier l’expression de certains gènes
a) Que se passe-t-il dans le cytoplasme entre l’hormone et son récepteur ?
b) Comment le complexe hormone récepteur permet une expression spécifique de certains gènes ?
c) Vrai ou Faux ? Le complexe hormone récepteur lié au promoteur à lui seul peut permettre la transcription d’un gène. Commentez votre réponse.
a) La liaison de l’hormone au LBD de son récepteur dans le cytoplasme permet de se défaire du complexe protéique protecteur HSP. Le récepteur est ensuite dimérisé (formation d’un dimère = 2 )
b) Le complexe hormone récepteur glucocorticoïde peut se fixer sur SA SÉQUENCE SPÉCIFIQUE, et donc initier la transcription de ces gènes spécifiques.
c) VRAI ?
- Comment un facteur de transcription comme le récepteur nucléaire lié à l’hormone glucocorticoïde peut coordonner l’activation de la transcription de plusieurs gènes dans une même cellule ?
La liaison d’un facteur facteur de transcription (récepteur nucléaire) à l’hormone glucocorticoïde crée un complexe hormone-récepteur permettant l’initiation maximale de la transcription de plusieurs gènes dans une même cellule. Sans ce complexe les protéines liées à l’ADN ne peuvent pas par elles-même activer la transcription.
Comment les facteurs de transcription interagissent-ils avec la machinerie transcriptionnelle de base?
??
- Quel lien existe-il entre les facteurs de transcription et les enzymes modifiant les histones?
??
Qu’est-ce qui permet aux facteurs de transcription ou protéines régulatrices qui se fixent à une grande distance du promoteur d’un gène “X” de pouvoir établir des interactions avec d’autres protéines localisées sur ou à proximité du site d’initiation de la transcription (c.-à-d. le promoteur proximal) ?
Promoteur = séquence d’ADN ou s’assemble facteurs généraux de transcription + ARN Pol II en 5’ non codant positionné en aval du codon de départ ATG
Gène (partie la plus importante) = Codon départ ATG ——–gène——–Codon stop
Séquence régulatrice = site de fixation des facteurs de transcription
Facteur de transcription = protéines régulatrice ou les enzymes vont se fixer pour commencer leur travail de transcription
La formation de boucles d’ADN permet aux facteurs de transcription se se fixer soit à côté du promoteur, loin en amont ou même à l’intérieur des introns ou dans les séquences en aval du gène. Notons que les facteurs généraux de transcription sont les mêmes pour TOUS les gènes transcrits. Les protéines régulatrices de gènes et la localisation de leurs points de fixation par rapport au promoteur diffèrent pour chaque gène.
- Selon notre compréhension actuelle du contrôle de la transcription des gènes, si une région de l’ADN dans le génome est méthylée (GC), est-ce que l’on retrouvera généralement une activité transcriptionnelle active et pourquoi ?
L’activité transcriptionnelle sera inactive parce que la méthylation fait la contraint la l’activité transcriptionnelle. Exemple de compréhension: Hétérochromatine = chromatine dense transcriptionnellement INACTIVE par la méthylation qui “bloque” l’ADN
- En lien à la question précédente, nommez une modification retrouvée sur les histones retrouvée à la proximité d’une région transcriptionnellement active ?
L’acétylation de l’ADN en facilite la transcription. (puisqu’il a été vu que l’acétylation facilite la réplication)
- Brièvement, expliquez en quoi consiste l’épissage alternatif d’un ARNm formé à partir de la transcription d’un gène?
Introns (INTRUS) enlevés
L’épissage consiste en la suppression des introns (parties non-codantes du transcrit d’ADN) et ensuite de réunir les exons (parties codantes du transcrit d’ADN). Par l’épissage alternatif l’ARN messager primaire (ARN pré-messager) peut être épissé de différentes façons pour produire des ARNm différents qui à leur tour produisent des protéines différentes.
- Est-ce que les miARNs sont des ARNs qui codent pour des protéines ?
Les miARNs sont des ARN non codants courts
- Quel est la fonction des miARNs ?
La dégradation de l’ARNm par la formation d’un complexe inhibiteur RISC (protéine Argonaute + autres composantes protéiques) pour ensuite le guider vers les ARNm cibles.
- Quel est le rôle biologique du complexe RISC?
Le complexe RISC se lie avec les 2 brins du miARNs, puis clive et rejette l’un des deux brins. Ensuite le RISC associé au brin restant clive l’ARNm cible entraînant sa dégradation rapide, SI il y a une bonne complémentarité en 3’. SI il n’y a pas une bonne complémentarité, l’ARNm est amené vers les corpuscules P ou il y aura une dégradation tardive.
Corpuscule P = cimetière de destruction des ribosomes et des ARNm.
- Quel est l’objectif visé par l’utilisation d’un gène rapporteur?
Un gène rapporteur est un gène-témoin codant pour une protéine d’activité connue et détectable, utilisé pour étudier l’activité d’autres gènes. On utilise régulièrement le gène gfp codant pour la protéine fluorescente verte (GFP) ou le gène lacZ codant pour la b-galactosidase (LacZ).
La transfection transitoire permet d’étudier le taux d’expression d’un gène.
L’expression d’un gène dépend de son promoteur. Si le promoteur n’est pas fort, la transcription reste difficile à détecter.
A ce promoteur faible, on ajoute un gène rapporteur (“reporter”). Quand le gène rapporteur sera exprimé en ARNm puis traduit en protéine, cette dernière sera facilement détectable par des tests. On pourra déterminer le taux de la protéine et donc en déduire la force du promoteur.