Schizophrénie Flashcards

1
Q

V: Physique/comportemental
C: Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
M: ?

A

M: Désorganisation : comportement inhabituel (p. ex. marmonnement en public)
Catatonie : perturbation prononcée de la psychomotricité (taux de 35% des cas de schizophrénie) :
1. - Stupeur (c.-à-d., absence d’activité psychomotrice; pas de relation active avec l’environnement).
2. - Catalepsie (c.-à-d., induction d’une posture maintenue passivement et contre la gravité).
3. - Flexibilité cireuse (c.-à-d., résistance légère et nette lors du positionnement induit par l’examinateur). (p. ex. on
retire l’oreiller, et la tête de la personne demeure dans la même position).
4. - Négativisme (c.-à-d., opposition ou absence de réponse à des instructions ou des stimuli extérieurs).
5. - Prise de posture (c.-à-d., maintien actif, contre la gravité, d’une posture adoptée spontanément).
6. - Maniérisme (c.-à-d., caricatures bizarres ou solennelles d’actions ordinaires).
7. - Stéréotypie (c.-à-d., mouvements non dirigés vers un but, répétitifs et anormalement fréquents).
8. - Agitation, non influencée par des stimuli externes.
9. - Expression faciale grimaçante.
10. - Échopraxie (c.-à-d., imitation des mouvements d’un autre).

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2
Q

M: Désorganisation : comportement inhabituel (p. ex. marmonnement en public)
Catatonie : perturbation prononcée de la psychomotricité (taux de 35% des cas de schizophrénie) :
1. - Stupeur (c.-à-d., absence d’activité psychomotrice; pas de relation active avec l’environnement).
2. - Catalepsie (c.-à-d., induction d’une posture maintenue passivement et contre la gravité).
3. - Flexibilité cireuse (c.-à-d., résistance légère et nette lors du positionnement induit par l’examinateur). (p. ex. on
retire l’oreiller, et la tête de la personne demeure dans la même position).
4. - Négativisme (c.-à-d., opposition ou absence de réponse à des instructions ou des stimuli extérieurs).
5. - Prise de posture (c.-à-d., maintien actif, contre la gravité, d’une posture adoptée spontanément).
6. - Maniérisme (c.-à-d., caricatures bizarres ou solennelles d’actions ordinaires).
7. - Stéréotypie (c.-à-d., mouvements non dirigés vers un but, répétitifs et anormalement fréquents).
8. - Agitation, non influencée par des stimuli externes.
9. - Expression faciale grimaçante.
10. - Échopraxie (c.-à-d., imitation des mouvements d’un autre).
C: ?
V: ?

A

V: Physique/comportemental
C: Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique

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3
Q

V: Physique/comportemental
C: Aboulie (apathie ou avolition)
M: ?

A

M: Tendance réduite à poursuivre un comportement dirigé vers un but (p. ex. manque d’intérêt pour
la nourriture, ou un refus de manger). Manque d’énergie, de motivation, d’intérêt, d’initiative et
de dynamisme. Négligence de son hygiène personnelle ou de son apparence. Difficultés et déclin
de la capacité à terminer une tâche routinière (comme prendre un bain, s’habiller convenablement et préparer des
repas simples). Faible implication dans les mesures de maintien de la santé (p. ex. exercice, prise de médicaments). Peut passer ses journées devant la télévision sans vraiment l’écouter.

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4
Q

M: Tendance réduite à poursuivre un comportement dirigé vers un but (p. ex. manque d’intérêt pour
la nourriture, ou un refus de manger). Manque d’énergie, de motivation, d’intérêt, d’initiative et
de dynamisme. Négligence de son hygiène personnelle ou de son apparence. Difficultés et déclin
de la capacité à terminer une tâche routinière (comme prendre un bain, s’habiller convenablement et préparer des
repas simples). Faible implication dans les mesures de maintien de la santé (p. ex. exercice, prise de médicaments). Peut passer ses journées devant la télévision sans vraiment l’écouter.
C: ?
V: ?

A

V: Physique/comportemental
C: Aboulie (apathie ou avolition)

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5
Q

V: Physique/comportemental
C: Perturbation du sommeil
M: ?

A

M: Trouble des rythmes du sommeil (p. ex. sommeil diurne et activité nocturne)

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6
Q

M: Trouble des rythmes du sommeil (p. ex. sommeil diurne et activité nocturne)
C: ?
V: ?

A

V: Physique/comportemental
C: Perturbation du sommeil

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7
Q

V: Physique/comportemental
C: Problématiques médicales
M: ?

A

M: L’espérance de vie est réduite du fait des pathologies médicales associées (gain de poids, diabète,
syndrome métabolique et maladies cardiovasculaires et pulmonaires). Les médicaments, le style
de vie, la consommation de tabac et de drogue et l’hygiène alimentaire peuvent aussi jouer un
rôle.
Lésions de pression dues à l’immobilité ou les postures bizarres ou constipation.

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8
Q

M: L’espérance de vie est réduite du fait des pathologies médicales associées (gain de poids, diabète,
syndrome métabolique et maladies cardiovasculaires et pulmonaires). Les médicaments, le style
de vie, la consommation de tabac et de drogue et l’hygiène alimentaire peuvent aussi jouer un
rôle.
Lésions de pression dues à l’immobilité ou les postures bizarres ou constipation.
C: ?
V: ?

A

V: Physique/comportemental
C: Problématiques médicales

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9
Q

V: Intellectuel
C: Discours désorganisé
M: ?

A

M: Discours décousu et insolite.
1. – Salade de mots : Le discours ne comporte pas de liens logiques entre les mots. Groupement de mots ou de
phrases incompréhensibles ou dépourvus de logique.
2. – Relâchement des associations : La personne peut faire des associations sans lien ou des associations sonores.
3. – Tangentialité : La personne s’éloigne de plus en plus de la question posée à un tel point qu’elle n’y répond jamais.
4. – Fuite des idées : Expression rapide et décousue, avec changements brusques de sujet qui ne s’ordonnent pas en
une conversation sensée.
5. – Circonstancialité : Passe par de nombreux détails superflus et qui met beaucoup de temps à arriver au but.
6. – Néologismes : Les mots peuvent être purement imaginés par le client. Fabrication de nouveaux mots que
personne ne comprend.
7. – Logorrhée : Loquacité excessive, surabondance démesurée du discours avec une vitesse accélérée.
8. – Écholalie : Répétition des paroles d’un autre.

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10
Q

M: Discours décousu et insolite.
1. – Salade de mots : Le discours ne comporte pas de liens logiques entre les mots. Groupement de mots ou de
phrases incompréhensibles ou dépourvus de logique.
2. – Relâchement des associations : La personne peut faire des associations sans lien ou des associations sonores.
3. – Tangentialité : La personne s’éloigne de plus en plus de la question posée à un tel point qu’elle n’y répond jamais.
4. – Fuite des idées : Expression rapide et décousue, avec changements brusques de sujet qui ne s’ordonnent pas en
une conversation sensée.
5. – Circonstancialité : Passe par de nombreux détails superflus et qui met beaucoup de temps à arriver au but.
6. – Néologismes : Les mots peuvent être purement imaginés par le client. Fabrication de nouveaux mots que
personne ne comprend.
7. – Logorrhée : Loquacité excessive, surabondance démesurée du discours avec une vitesse accélérée.
8. – Écholalie : Répétition des paroles d’un autre.
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Discours désorganisé

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11
Q

V: Intellectuel
C: Alogie ou pauvreté du discours
M: ?

A

M: La personne ne trouve plus ses mots.
Donne des réponses brèves, superficielles et évasives (p. ex. « oui », « non », « je ne sais pas »).
Blocage : Interruption brusque au milieu d’une phrase ou avant la fin d’une idée.
Mutisme : Absence ou quasi-absence de réponse verbale [exclure si secondaire à une aphasie
connue].

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12
Q

M: La personne ne trouve plus ses mots.
Donne des réponses brèves, superficielles et évasives (p. ex. « oui », « non », « je ne sais pas »).
Blocage : Interruption brusque au milieu d’une phrase ou avant la fin d’une idée.
Mutisme : Absence ou quasi-absence de réponse verbale [exclure si secondaire à une aphasie
connue].
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Alogie. ou pauvreté du discours

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13
Q

V: Intellectuel
C: Idées délirantes
M: ?

A

M: Perte du sens de la réalité qui se traduit par un ensemble de convictions fausses et irrationnelles
auxquelles le client adhère de manière inébranlable. Croyances que l’entourage ne partage pas et
considèrent comme bizarres et exagérées.
1. – Idées de persécution : La personne a la conviction que l’on essaie de lui nuire physiquement (idées
d’empoisonnement, d’agression) et moralement («on» l’insulte, «on» veut l’expulser de son appartement. (p. ex. « la
Gendarmerie royale du Canada me poursuit constamment. » ou « un méchant essaie d’empoissonner son jus d’orange »).
Ce sont les idées délirantes les plus fréquentes.
2. - Idées de référence : Croyance qu’une parole, une image, un signe ont une signification majeure qui vise
personnellement le client. La personne est convaincue que les autres parlent d’elle ou lui font signe dans la rue, à la
télévision ou ailleurs (p. ex. « à la télévision les gens parlent de moi »).
3. – Idées de grandeur ou mégalomanie : La personne a des idées de richesse et de surestimation de ses capacités
personnelles (p. ex. « je suis conseiller du premier ministre, et il ne peut se passer de moi »).
4. – Idées corporelles ou somatiques : La personne entretient des idées en lien avec le fonctionnement de son corps,
qui comprennent plusieurs thèmes variant selon les périodes. La personne pense être atteinte d’une imperfection
physique ou d’une maladie médicale générale. (p. ex. « je suis diabétique car, lorsque j’ai faim, je tremble et j’ai de la
difficulté à marcher »).
5. – Idées d’influence ou de contrôle : La personne croit qu’une personne ou une puissance extérieure gouverne ses
pensées ou activités. (p. ex. « j’ai un fil dans la tête par lequel ma famille me guide tous mes gestes »).
6. – Idées mystiques : La personne a des fausses croyances liées à des thèmes religieux ou spirituels. Ces idées sont
fréquentes. (p. ex. « tant que je porte ces dix médailles bénites, il ne peut arriver aucun mal »).
7. – Pensée magique : Croyance que la pensée produit des résultats. (p. ex. « mes mauvaises pensées sont responsables de
ma maladie »)

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14
Q

M: Perte du sens de la réalité qui se traduit par un ensemble de convictions fausses et irrationnelles
auxquelles le client adhère de manière inébranlable. Croyances que l’entourage ne partage pas et
considèrent comme bizarres et exagérées.
1. – Idées de persécution : La personne a la conviction que l’on essaie de lui nuire physiquement (idées
d’empoisonnement, d’agression) et moralement («on» l’insulte, «on» veut l’expulser de son appartement. (p. ex. « la
Gendarmerie royale du Canada me poursuit constamment. » ou « un méchant essaie d’empoissonner son jus d’orange »).
Ce sont les idées délirantes les plus fréquentes.
2. - Idées de référence : Croyance qu’une parole, une image, un signe ont une signification majeure qui vise
personnellement le client. La personne est convaincue que les autres parlent d’elle ou lui font signe dans la rue, à la
télévision ou ailleurs (p. ex. « à la télévision les gens parlent de moi »).
3. – Idées de grandeur ou mégalomanie : La personne a des idées de richesse et de surestimation de ses capacités
personnelles (p. ex. « je suis conseiller du premier ministre, et il ne peut se passer de moi »).
4. – Idées corporelles ou somatiques : La personne entretient des idées en lien avec le fonctionnement de son corps,
qui comprennent plusieurs thèmes variant selon les périodes. La personne pense être atteinte d’une imperfection
physique ou d’une maladie médicale générale. (p. ex. « je suis diabétique car, lorsque j’ai faim, je tremble et j’ai de la
difficulté à marcher »).
5. – Idées d’influence ou de contrôle : La personne croit qu’une personne ou une puissance extérieure gouverne ses
pensées ou activités. (p. ex. « j’ai un fil dans la tête par lequel ma famille me guide tous mes gestes »).
6. – Idées mystiques : La personne a des fausses croyances liées à des thèmes religieux ou spirituels. Ces idées sont
fréquentes. (p. ex. « tant que je porte ces dix médailles bénites, il ne peut arriver aucun mal »).
7. – Pensée magique : Croyance que la pensée produit des résultats. (p. ex. « mes mauvaises pensées sont responsables de
ma maladie »)
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Idées délirantes

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15
Q

V: Intellectuel
C: Symptômes psychotiques
M: ?

A

M: Phénomènes de dépersonnalisation (être détaché de soi) et de réalisation (sentiments d’irréalité).

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16
Q

M: Phénomènes de dépersonnalisation (être détaché de soi) et de réalisation (sentiments d’irréalité).
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Symptômes psychotiques

17
Q

V: Intellectuel
C: Hallucinations
M: ?

A

M: Perceptions anormales sans sources externes connues qui peuvent faire intervenir un ou plusieurs
sens. Expériences perceptuelles inhabituelles qui monopolisent l’attention.
1. – Auditives (50%) : impliquent la perception de sons, le plus souvent de voix (qui n’est pas la sienne) qui émet des
commentaires ou profère des insultes, des menaces ou qui donne des ordres. (p. ex. « tout parle, les murs, les meubles, je
sais qu’ils parlent. » ou « J’entends le diable parler. Dieu l’interrompt et le diable lui dit de fermer sa gueule. Dieu et le
diable se battent sans arrêt. » ou « une voix me dit de tuer mon ami si je ne veux pas être tué moi-même »). Dans la
majorité des cas, la voix est négative et menaçante. Plus rarement, elle est neutre ou bienveillante.
2. – Visuelles : consistent en la perception d’un stimulus (taille normale, géante ou réduite) en son absence (p. ex. visions,
apparitions de personnages ou de scènes plus ou moins animées, parfois plaisantes ou désagréables).
3. – Olfactives et gustatives : correspondent à des saveurs désagréables et des odeurs de putréfaction et de décomposition.
4. – Cénesthésiques : concernent les sensations corporelles internes (p. ex. sensations de brûlures, de fourmillement,
impression d’insectes grouillant sous la peau).
5. – Kinesthésiques : manifestent pas une simple sensation de tremblement ou par l’impression de s’enfoncer dans le sol ou
de s’élever dans les airs.
6. – Tactiles : concernent les sensations corporelles externes : impressions de brûlures, de piqûres, sensations de froid ou de
chaud sur la peau.

18
Q

M: Perceptions anormales sans sources externes connues qui peuvent faire intervenir un ou plusieurs
sens. Expériences perceptuelles inhabituelles qui monopolisent l’attention.
1. – Auditives (50%) : impliquent la perception de sons, le plus souvent de voix (qui n’est pas la sienne) qui émet des
commentaires ou profère des insultes, des menaces ou qui donne des ordres. (p. ex. « tout parle, les murs, les meubles, je
sais qu’ils parlent. » ou « J’entends le diable parler. Dieu l’interrompt et le diable lui dit de fermer sa gueule. Dieu et le
diable se battent sans arrêt. » ou « une voix me dit de tuer mon ami si je ne veux pas être tué moi-même »). Dans la
majorité des cas, la voix est négative et menaçante. Plus rarement, elle est neutre ou bienveillante.
2. – Visuelles : consistent en la perception d’un stimulus (taille normale, géante ou réduite) en son absence (p. ex. visions,
apparitions de personnages ou de scènes plus ou moins animées, parfois plaisantes ou désagréables).
3. – Olfactives et gustatives : correspondent à des saveurs désagréables et des odeurs de putréfaction et de décomposition.
4. – Cénesthésiques : concernent les sensations corporelles internes (p. ex. sensations de brûlures, de fourmillement,
impression d’insectes grouillant sous la peau).
5. – Kinesthésiques : manifestent pas une simple sensation de tremblement ou par l’impression de s’enfoncer dans le sol ou
de s’élever dans les airs.
6. – Tactiles : concernent les sensations corporelles externes : impressions de brûlures, de piqûres, sensations de froid ou de
chaud sur la peau.
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Hallucinations

19
Q

V: Intellectuel
C: Déficits cognitifs
M: ?

A

M: Baisse de la mémoire déclarative, de la mémoire de travail (capacité d’emmagasiner de l’information)
et d’autres fonctions exécutives (planification, organisation, raisonnement, pensée abstraite,
résolution de problèmes). Anomalies de traitement des informations sensorielles et des capacités
inhibitrices. Diminution de l’attention et difficultés de concentration. Distractibilité.
Ralentissement de la vitesse de traitement de l’information. Incapacité à planifier leurs journées.
Difficulté à suivre des directives essentielles à ses soins. Difficultés majeures à comprendre les
émotions.

20
Q

M: Baisse de la mémoire déclarative, de la mémoire de travail (capacité d’emmagasiner de l’information)
et d’autres fonctions exécutives (planification, organisation, raisonnement, pensée abstraite,
résolution de problèmes). Anomalies de traitement des informations sensorielles et des capacités
inhibitrices. Diminution de l’attention et difficultés de concentration. Distractibilité.
Ralentissement de la vitesse de traitement de l’information. Incapacité à planifier leurs journées.
Difficulté à suivre des directives essentielles à ses soins. Difficultés majeures à comprendre les
émotions.
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Déficits cognitifs

21
Q

V: Intellectuel
C: Déficit de la cognition sociale
M: ?

A

M: Déficit dans la capacité à comprendre les intentions des autres (théorie de l’esprit).

22
Q

M: Déficit dans la capacité à comprendre les intentions des autres (théorie de l’esprit).
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Déficit de la cognition sociale

23
Q

V: Intellectuel
C: Faible insight ou manque de confiance
M: ?

A

M: Méconnaissance des symptômes de la schizophrénie (anosognosie). L’anosognosie n’est pas une
stratégie de défense; elle est comparable à l’absence des déficits neurologiques après une lésion
cérébrale.

24
Q

M: Méconnaissance des symptômes de la schizophrénie (anosognosie). L’anosognosie n’est pas une
stratégie de défense; elle est comparable à l’absence des déficits neurologiques après une lésion
cérébrale.
C: ?
V: ?

A

V: Intellectuel
C: Faible insight ou manque de confiance

25
Q

V: Affectif
C: Perturbation de l’expression émotionnelle
M: ?

A

M: Ne réussit plus à communiquer ses émotions.
Perturbation des affects :
1. – Affect plat ou abrasé : Aucune expression des émotions. Visage inexpressif, ne sourit pas et la voix est monotone.
2. – Affect inapproprié : Ne correspond pas aux émotions ressenties (p. ex. des rires immotivés, la personne rit même si
elle est triste).
3. – Affect émoussé : Expression restreinte des émotions. Réactions émotives passives ou indifférentes.
4. – Affect labile : Changements rapides de l’expression des émotions.
Enfance: Exprime les expériences
intérieures qui le perturbe
plus facilement au travers
de dessins que de mots

26
Q

M: Ne réussit plus à communiquer ses émotions.
Perturbation des affects :
1. – Affect plat ou abrasé : Aucune expression des émotions. Visage inexpressif, ne sourit pas et la voix est monotone.
2. – Affect inapproprié : Ne correspond pas aux émotions ressenties (p. ex. des rires immotivés, la personne rit même si
elle est triste).
3. – Affect émoussé : Expression restreinte des émotions. Réactions émotives passives ou indifférentes.
4. – Affect labile : Changements rapides de l’expression des émotions.
Enfance: Exprime les expériences
intérieures qui le perturbe
plus facilement au travers
de dessins que de mots
C: ?
V: ?

A

V: Affectif
C: Perturbation de l’expression émotionnelle

27
Q

V: Affectif
C: Humeur dysphorique
M: ?

A

M: Peut prendre la forme d’une dépression, d’un état anxieux ou de colères. La personne peut se
montrer agressive.

28
Q

M: Peut prendre la forme d’une dépression, d’un état anxieux ou de colères. La personne peut se
montrer agressive.
C: ?
V: ?

A

V: Affectif
C: Humeur dysphorique

29
Q

V: Affectif
C: Anhédonie
M: ?

A

M: Incapacité de ressentir du plaisir

30
Q

M: Incapacité de ressentir du plaisir
C: ?
V: ?

A

V: Affectif
C: Anhédonie

31
Q

V: Affectif
C: Anxiété
M: ?

A

M: Phobies, angoisse.
Sentiments intenses d’anxiété (lors des hallucinations).
Peut être souvent tendu et demeure sur ses gardes.

32
Q

M: Phobies, angoisse.
Sentiments intenses d’anxiété (lors des hallucinations).
Peut être souvent tendu et demeure sur ses gardes.
C: ?
V: ?

A

V: Affectif
C: Anxiété

33
Q

V: Affectif
C: Détresse
M: ?

A

M: Enfance/adolescence: Environ 38% expriment des idées
suicidaires et tentent de se suicider.
Adulte/vieillesse: Environ 20% tentent de se suicider en une ou
plusieurs occasions. Un plus grand nombre encore a
des idées suicidaires très significatives. Environ 5-6%
meurent par suicide.

34
Q

M: Enfance/adolescence: Environ 38% expriment des idées
suicidaires et tentent de se suicider.
Adulte/vieillesse: Environ 20% tentent de se suicider en une ou
plusieurs occasions. Un plus grand nombre encore a
des idées suicidaires très significatives. Environ 5-6%
meurent par suicide.
C: ?
V: ?

A

V: Affectif
C: Détresse

35
Q

V: Social
C: Perturbation professionnelle ou relationnelle
M: ?

A

M: Les progrès scolaires et le maintien d’un emploi sont souvent compromis par l’aboulie et les autres
manifestations du trouble.
Difficultés à entamer une conversation et d’établir des relations avec les autres. Tendance à être
timide, froid et distant avec les autres. Difficultés à entretenir des relations intimes ou étroites.
Pauvreté du contact visuel et de l’expression gestuelle.
Les interactions avec les autres s’avèrent rigides.
Enfance/adolescence: Manque d’indépendance
dans la réalisation des
devoirs.
Peu de camarades du même
âge, sinon aucun.
Adulte: La plupart ont un emploi
qui se situe à un niveau plus
bas que celui des parents.
La plupart ne se marient
pas.
Diminution des activités
sexuelles.

36
Q

M: Les progrès scolaires et le maintien d’un emploi sont souvent compromis par l’aboulie et les autres
manifestations du trouble.
Difficultés à entamer une conversation et d’établir des relations avec les autres. Tendance à être
timide, froid et distant avec les autres. Difficultés à entretenir des relations intimes ou étroites.
Pauvreté du contact visuel et de l’expression gestuelle.
Les interactions avec les autres s’avèrent rigides.
Enfance/adolescence: Manque d’indépendance
dans la réalisation des
devoirs.
Peu de camarades du même
âge, sinon aucun.
Adulte: La plupart ont un emploi
qui se situe à un niveau plus
bas que celui des parents.
La plupart ne se marient
pas.
Diminution des activités
sexuelles.
C: ?
V: ?

A

V: Social
C: Perturbation professionnelle ou relationnelle

37
Q

V: Social
C: Isolement
M: ?

A

M: Contacts sociaux limités en dehors de la famille.
Se replier par rapport à leurs activités antérieures (de loisir ou sexuels). Préfère passer la majeure
partie de la journée isolé. Ne cotoît plus ses amis.

38
Q

M: Contacts sociaux limités en dehors de la famille.
Se replier par rapport à leurs activités antérieures (de loisir ou sexuels). Préfère passer la majeure
partie de la journée isolé. Ne cotoît plus ses amis.
C: ?
V: ?

A

V: Social
C: Isolement