Anorexie Flashcards
V: Physique/comportemental
C: Émaciation
M: ?
M: Enfance/adolescence: Poids significativement bas (inférieur au poids
attendu) compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de
développement et de la santé physique. Cela peut
correspondre aussi à l’absence de prise de poids
normalement attendue (échec de maintien d’un
développement staturo-pondéral normal (c.-à-d. tout
en grandissant).
Adulte/vieillesse: Poids significativement bas (inférieur à la
norme minimale) compte tenu de l’âge,
du sexe et de la santé physique.
M: Enfance/adolescence: Poids significativement bas (inférieur au poids
attendu) compte tenu de l’âge, du sexe, du stade de
développement et de la santé physique. Cela peut
correspondre aussi à l’absence de prise de poids
normalement attendue (échec de maintien d’un
développement staturo-pondéral normal (c.-à-d. tout
en grandissant).
Adulte/vieillesse: Poids significativement bas (inférieur à la
norme minimale) compte tenu de l’âge,
du sexe et de la santé physique.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Émaciation
V: Physique/comportemental
C: Restriction alimentaire
M: ?
M: Restriction prolongée des apports énergétiques. Régime et jeûne. Se prive de manger.
Touche principalement les aliments gras et sucrés.
M: Restriction prolongée des apports énergétiques. Régime et jeûne. Se prive de manger.
Touche principalement les aliments gras et sucrés.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Restriction alimentaire
V: Physique/comportemental
C: Comportements compensatoires et/ou purgatifs
M: ?
M: Exercice physique excessif.
Vomissements provoqués.
Mésusage de laxatifs, diurétiques, lavements
M: Exercice physique excessif.
Vomissements provoqués.
Mésusage de laxatifs, diurétiques, lavements
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Comportements compensatoires et/ou purgatifs
V: Physique/comportemental
C: Hyperphagie
M: ?
M: Gloutonnerie.
M: Gloutonnerie.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Hyperphagie
V: Physique/comportemental
C: Inanition
M: ?
M: État de faiblesse causé par le manque de nourriture.
M: État de faiblesse causé par le manque de nourriture.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Inanition
V: Physique/comportemental
C: Perturbation du sommeil
M: ?
M: Insomnie.
M: Insomnie.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Perturbation du sommeil
V: Physique/comportemental
C: Modification de l’habillement
M: ?
M: Port de vêtements amples ou de couches inappropriées de vêtements, ou affichage exagéré de la
minceur.
M: Port de vêtements amples ou de couches inappropriées de vêtements, ou affichage exagéré de la
minceur.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Modification de l’habillement
V: Physique/comportemental
C: Symptômes somatiques et complications médicales
M: ?
M: Perturbations des constantes vitales.
1. Signes physiques : Aménorrhée (femmes) ou ménarche retardée chez les adolescentes
prépubères. Les jeunes hommes sont souvent impuissants et le développement des organes
génitaux est arrêté ou retardé. Constipation, douleurs abdominales, frilosité, léthargie ou excès
d’énergie. Hypothermie, froideur des extrémités, hypotension, lanugo (fin duvet corporel),
oedème périphérique, pétéchies, diathèse hémorragique. Coloration jaune de la peau (associée à
une hypercarotinémie) Hypertrophie des glandes salivaires, érosion de l’émail dentaire, cicatrices
ou callosités sur la face dorsale de la main dues au contact répété avec les dents lorsqu’ils se vont
vomir. Cachexie (perte musculaire, yeux creux, os saillants, peau sèche).
2. Hépatologie : Leucopénie, lymphocytose, anémie, thrombocytopénie, troubles de la
coagulation.
3. Biochimie : Déshydratation, élévation de l’urée sanguine, hypercholestérolémie, augmentation
des enzymes hépatiques, hypomagnésémie, hypozincémie, hypophosphatémie,
hyperamylasémie, alcalose métabolique (élévation des bicarbonates sériques), hypochlorémie,
hypokaliémie, acidose métabolique.
4. Endocrinologie : Baisse des concentrations plasmatiques de thyroxine et de tri-iodothyronine,
taux élevé de rT3. Baisse des concentrations sériques d’oestrogènes (femmes) et de testostérone
(hommes).
5 Électrocardiogramme : bradycardie sinusale, arythmie, allongement significatif de l’espace QTc.
6. Densité osseuse : Faible densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose. Le risque de fracture est
significativement augmenté.
7. Métabolisme de base : Réduction significative du métabolisme de base.
M: Perturbations des constantes vitales.
1. Signes physiques : Aménorrhée (femmes) ou ménarche retardée chez les adolescentes
prépubères. Les jeunes hommes sont souvent impuissants et le développement des organes
génitaux est arrêté ou retardé. Constipation, douleurs abdominales, frilosité, léthargie ou excès
d’énergie. Hypothermie, froideur des extrémités, hypotension, lanugo (fin duvet corporel),
oedème périphérique, pétéchies, diathèse hémorragique. Coloration jaune de la peau (associée à
une hypercarotinémie) Hypertrophie des glandes salivaires, érosion de l’émail dentaire, cicatrices
ou callosités sur la face dorsale de la main dues au contact répété avec les dents lorsqu’ils se vont
vomir. Cachexie (perte musculaire, yeux creux, os saillants, peau sèche).
2. Hépatologie : Leucopénie, lymphocytose, anémie, thrombocytopénie, troubles de la
coagulation.
3. Biochimie : Déshydratation, élévation de l’urée sanguine, hypercholestérolémie, augmentation
des enzymes hépatiques, hypomagnésémie, hypozincémie, hypophosphatémie,
hyperamylasémie, alcalose métabolique (élévation des bicarbonates sériques), hypochlorémie,
hypokaliémie, acidose métabolique.
4. Endocrinologie : Baisse des concentrations plasmatiques de thyroxine et de tri-iodothyronine,
taux élevé de rT3. Baisse des concentrations sériques d’oestrogènes (femmes) et de testostérone
(hommes).
5 Électrocardiogramme : bradycardie sinusale, arythmie, allongement significatif de l’espace QTc.
6. Densité osseuse : Faible densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose. Le risque de fracture est
significativement augmenté.
7. Métabolisme de base : Réduction significative du métabolisme de base.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Symptômes somatiques et complications médicales
V: Physique/comportemental
C: Comportements automutilatoires
M: ?
M: De nombreuses anorexiques se blessent délibérément, en se coupant, se frappant ou se grattant
différentes parties du corps au point de saigner et de devoir recevoir des soins médicaux. La
plupart d’entre elles expliquent ces comportements en disant qu’ils permettent de se punir, de
réduire leurs sentiments de colère et de tension ou d’avoir mal physiquement plutôt que
psychologiquement.
M: De nombreuses anorexiques se blessent délibérément, en se coupant, se frappant ou se grattant
différentes parties du corps au point de saigner et de devoir recevoir des soins médicaux. La
plupart d’entre elles expliquent ces comportements en disant qu’ils permettent de se punir, de
réduire leurs sentiments de colère et de tension ou d’avoir mal physiquement plutôt que
psychologiquement.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Comportements automutilatoires
V: Physique/comportemental
C: Toxicomanie
M: ?
M: Fortes tendances à la consommation abusives d’alcool ou d’autres drogues.
M: Fortes tendances à la consommation abusives d’alcool ou d’autres drogues.
C: ?
V: ?
V: Physique/comportemental
C: Toxicomanie
V: Intellectuel
C: Distorsions cognitives
M: ?
M: Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps. Perturbation de l’image
corporelle.
Certaines personnes se sentent globalement trop grosses. D’autres ont conscience d’être minces
mais continuent à se préoccuper de certaines parties de leurs corps, particulièrement le ventre, les
fesses et les cuisses, qui leur paraissent encore « trop grosses ».
M: Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps. Perturbation de l’image
corporelle.
Certaines personnes se sentent globalement trop grosses. D’autres ont conscience d’être minces
mais continuent à se préoccuper de certaines parties de leurs corps, particulièrement le ventre, les
fesses et les cuisses, qui leur paraissent encore « trop grosses ».
C: ?
V: ?
V: Intellectuel
C: Distorsions cognitives
V: Intellectuel
C: Traits obsessionnels-compulsifs
M: ?
M: Pesées fréquentes, mesures obsessionnelles de certaines parties du corps, recours permanent au
miroir pour surveiller les localisations supposées de la « graisse ».
Obsession de la minceur. Efforts constants pour avoir un corps « parfaite ».
Obsessions centrées sur la nourriture.
Les morceaux de nourriture sont découpés en toutes petites parts.
Préoccupations obsédantes à propos de la nourriture (aliments, cuisine, information
nutritionnelle, alimentations des autres). Certaines personnes collectionnent des recettes de
cuisine, d’autres accumulent des provisions.
Rigidité. Pensée inflexible. Méticuleuses. Stratégies alimentaires organisées, ritualisée.
M: Pesées fréquentes, mesures obsessionnelles de certaines parties du corps, recours permanent au
miroir pour surveiller les localisations supposées de la « graisse ».
Obsession de la minceur. Efforts constants pour avoir un corps « parfaite ».
Obsessions centrées sur la nourriture.
Les morceaux de nourriture sont découpés en toutes petites parts.
Préoccupations obsédantes à propos de la nourriture (aliments, cuisine, information
nutritionnelle, alimentations des autres). Certaines personnes collectionnent des recettes de
cuisine, d’autres accumulent des provisions.
Rigidité. Pensée inflexible. Méticuleuses. Stratégies alimentaires organisées, ritualisée.
C: ?
V: ?
V: Intellectuel
C: Traits obsessionnels-compulsifs
V: Intellectuel
C: Absence d’insight
M: ?
M: Manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
Les individus peuvent ne pas reconnaître leur peur de prendre du poids.
Les personnes ne reconnaissent pas souvent les conséquences médicales graves de leur état de
malnutrition. La plupart des personnes se considèrent en bonne santé.
M: Manque de reconnaissance persistant de la gravité de la maigreur actuelle.
Les individus peuvent ne pas reconnaître leur peur de prendre du poids.
Les personnes ne reconnaissent pas souvent les conséquences médicales graves de leur état de
malnutrition. La plupart des personnes se considèrent en bonne santé.
C: ?
V: ?
V: Intellectuel
C: Absence d’insight
V: Intellectuel
C: Mécanismes de défense
M: ?
M: Déni de la gravité de la perte de poids actuelle et de la faim. Les privations alimentaires sont
minimisées, banalisées, justifiées à l’aide d’arguments circonstanciels. Aucune plainte n’est
exprimée.
Les individus peuvent ne pas admettre leur peur de prendre du poids.
M: Déni de la gravité de la perte de poids actuelle et de la faim. Les privations alimentaires sont
minimisées, banalisées, justifiées à l’aide d’arguments circonstanciels. Aucune plainte n’est
exprimée.
Les individus peuvent ne pas admettre leur peur de prendre du poids.
C: ?
V: ?
V: Intellectuel
C: Mécanismes de défense
V: Affectif
C: Anxiété
M: ?
M: Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros. La peur n’est pas soulagée par la perte de
poids. En fait, les préoccupations autour de la prise de poids peuvent croître alors que le poids
diminue.
Peur de manger en public.
M: Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros. La peur n’est pas soulagée par la perte de
poids. En fait, les préoccupations autour de la prise de poids peuvent croître alors que le poids
diminue.
Peur de manger en public.
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Anxiété
V: Affectif
C: Perturbation de l’expression émotionnelle
M: ?
M: Affects émoussé ou plat.
Expressivité nettement réduite
M: Affects émoussé ou plat.
Expressivité nettement réduite
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Perturbation de l’expression émotionnelle
V: Affectif
C: Faible estime de soi
M: ?
M: L’estime de soi est influencée de façon excessive selon le poids ou la forme corporelle. Elle repose
essentiellement sur la perception de la forme et du poids de leur propre corps.
La perte de poids est considérée comme une réussite extraordinaire et comme le signe d’une
autodiscipline remarquable. La prise de poids est perçue comme un échec inacceptable de
maîtrise de soi.
Insatisfaction devant leur propre corps. Sentiment de ne pas avoir de valeur intrinsèque.
Sentiments d’incompétence. Ne se sent pas à la hauteur dans plusieurs domaines de sa vie.
M: L’estime de soi est influencée de façon excessive selon le poids ou la forme corporelle. Elle repose
essentiellement sur la perception de la forme et du poids de leur propre corps.
La perte de poids est considérée comme une réussite extraordinaire et comme le signe d’une
autodiscipline remarquable. La prise de poids est perçue comme un échec inacceptable de
maîtrise de soi.
Insatisfaction devant leur propre corps. Sentiment de ne pas avoir de valeur intrinsèque.
Sentiments d’incompétence. Ne se sent pas à la hauteur dans plusieurs domaines de sa vie.
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Faible estime de soi
V: Affectif
C: Perfectionnisme
M: ?
M: Besoin de contrôle. S’impose une limite de poids très basse.
Fort besoin de contrôler l’environnement.
M: Besoin de contrôle. S’impose une limite de poids très basse.
Fort besoin de contrôler l’environnement.
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Perfectionnisme
V: Affectif
C: Diminution de l’intérêt pour la sexualité
M: ?
M: Adolescence/adulte/vieillesse: Diminution du désir sexuel. Une femme peut négliger sa féminité.
M: Adolescence/adulte/vieillesse: Diminution du désir sexuel. Une femme peut négliger sa féminité.
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Diminution de l’intérêt pour la sexualité
V: Affectif
C: Détresse
M: ?
M: Idéations suicidaires.
Le risque de suicide est élevé dans l’anorexie mentale, avec des taux rapportés de l’ordre de 12
sur 100 000 sur un an. Le taux brut de mortalité dans l’anorexie mentale est d’environ 5% par
décennie. Les décès surviennent le plus souvent suite aux complications médicales du trouble lui-même, ou par suicide.
M: Idéations suicidaires.
Le risque de suicide est élevé dans l’anorexie mentale, avec des taux rapportés de l’ordre de 12
sur 100 000 sur un an. Le taux brut de mortalité dans l’anorexie mentale est d’environ 5% par
décennie. Les décès surviennent le plus souvent suite aux complications médicales du trouble lui-même, ou par suicide.
C: ?
V: ?
V: Affectif
C: Détresse
V: Social
C: Isolement
M: ?
M: Retrait social.
M: Retrait social.
C: ?
V: ?
V: Social
C: Isolement
V: Social
C: Perturbation relationnelle
M: ?
M: Manque de spontanéité sociale. Réduction des capacités d’initiatives.
Se méfie de ceux qui veulent lui venir en aide.
Conflits familiaux majeurs centrés sur l’alimentation et le poids.
Évite les relations intimes.
M: Manque de spontanéité sociale. Réduction des capacités d’initiatives.
Se méfie de ceux qui veulent lui venir en aide.
Conflits familiaux majeurs centrés sur l’alimentation et le poids.
Évite les relations intimes.
C: ?
V: ?
V: Social
C: Perturbation relationnelle
V: Social
C: Perturbation professionnelle
M: ?
M: N’arrivent pas à exploiter leur potentiel universitaire ou professionnel.
M: N’arrivent pas à exploiter leur potentiel universitaire ou professionnel.
C: ?
V: ?
V: Social
C: Perturbation professionnelle