Psychologie interculturelle Flashcards
2 dillemes auquel fait face la société
lien enctre culture et comportement
- sous-estimer la culture = universalime
- prétention universalité des cultures occidentales : nos manières de penser et d’agir comme naturelles
- modernité : avant ind définit pas ses appartenances
- occident projette ses caractéristiques sur ensemble de l’humanité
- surestimer l’influence de la cutlure = relativisime
- croire que tout peut s’expliquer grace à la cutlure
- négligence des autres facteurs
- penser chaque culture comme un tout distinct et cohérent
différentes problématiques sociétales (2)
- ethnicisation des rapports sociaux : explicatins ethnique au dela des pb sociaux, cad utiliser des critères ethnique pour décoder interactions
-
racialisation de la culture : les cultures sont représentées comme
- distinctes, homogènes, déterminées, stables, définissants les ind ds leur essence
- passe de la “race” à la culture comme base du préjugé
le comportement humain (segal)
fondamentalement social : est en relation avec les autres, leur comportements et les produits de leurs comportements
constitution mutuelle de la culture (2 choses)
interdépendance dynamique ( Markus et Hamedani)
- domaine psychologie (pensée, émotions, soi) ancré et génère le socioculturel
- le socioculturel (socialités, systèmes sociaux, etc) est ancré et génère le psychologique
modèle éco-culturel de Berry
schéma
(1) contexte écologique + sociopolitique
⇅
=> adaptation biologique et culturelle
↓
=> (2) influence ecologique / transmission génétique / transmission cutlurelle / acculturation
↓
=> (3) cpts observables et caractéristiques inférées
relativisme culturel + déterminisme universaliste => universalisme culturel
1) variables arrière plan 2) processus 3) caractéristiques psycho
RC + DU => UC
Les 2 contextes du modèle de berry
- contexte écologique = milieu dans lequel l’etre humain interagit avec un envrionnement physique donné (adaptation)
- contexte sociopolitique = forme d’organisation des états et sociétés (rapport de pouvoir, institutions politiques, economie)
les 2 adaptations de berry (processus au niveau de la population)
- adaptation culturelle : toutes inventions qui permettent de s’adapter aux contraintes écologique en tentant compte de l’histoire du groupe + croyances et valeurs qui constitue l’environnement
- adaptation biologique : transfo génétique liées à l’adaptation aux contraintes
processus au niveau individuel
- influence écologique : directes ou indirectes = que les envrionnement ds lequels on vit faconne notre facon de voir le monde
- transmission génétique : processus culturels et biologiques st étroitement liés
- transmission culturelle : perpétuer les caractéristiques comportementales du groupe (verticales (parents) , horizontale (pairs) ou oblique (autres adultes/institutions))
Herskovits enculturation et socialisation
- enculturation : apprentissage sans enseginement délibéré, pas conscients, qui à lieu tout au cours de la vie humaine par observations
- socialisation : efforts délibérés réalisés par d’autres pour controler notre cpts et le rendre aceptable
=> Enculuration et socialisation mènent à des similarités comportementales à l’intérieur des sociétés et à des différences comportementales entre sociétés
=> intra-culturel
variables psychologique du modèle de berry
2
= tous aspects mesurables du cpts individuel dont on peut montrer qu’ils sont liés à des variables écologiques ou adaptative
- comportement observables
- caractéristiques inférées (valeurs, traits de perso, attitudes)
Le concept de culture
- première définition au 19è siècle
- = ce tout complexe qui inclut savoir, croyance, art, morale, lois, coutumes et toutes autres capacités et habitudes acquises par l’Homme en tant que membre d’une société
la définition adéquate pour la psycho interculturelle
Kroeber et Kluckhohn
la culture consiste en des modèles, explicites ou implicites, d’idées et de leur incarnation dans les institutions, les pratiques, les artefacts, dérivés et sélectionnés par l’histoire ; les modèles culturels peuvent, d’une part, être considérés comme les produits de l’action et, d’autre part, comme conditionnant les éléments d’une nouvelle action
fonctions de la culture
3
- adaptation (contre exemples des Norses)
- symbolisation : capacité d’évoquer un objet/personne en son absence (contenu des représenations façonnée par envrionnement social)
- humanisation : distingue humains des autres être vivant (contre exemple singe et patates)
La structure de la psycho interculturelle
3 sous branches
- psychologie (inter)cultuerlle comparative
- psychologie culturelle
- psychologie interculturelle
la psychologie interculturelle comparative cst quoi
- étude des similarités et diff au niveau du fonctionnement psychologie individuel entre divers groupes culturels et ethnoculturels ; des chgts continus des variables qui reflètent ce fct
- approche transcutlurelle
- universelle
- approche éthique (universalité) : comparer des cultures à partir de critères absolus ou universel
psychologie culturelle cst quoi
- en réaction à l’approche éthique de la psycho interculturelle comparative
- approche émique (relativiste) : comprendre une culture de l’intérieur
- relation intime entre structures socioculturelles et dvp psychique individuel
psychologie interculturelle cst quoi ?
- proposer un schéma d’analyse pour cerner l’ensemble des processus générés par les contacts de cultures ethniques, natinales, régionales, générationnelles, etc
- 2 processus :
- acculturation : contact direct et continu entre deux cultures diff + chgts subséquents
- enculturation : transmission cutlturelle du groupe à l’enfant
GH Mead et le soi social
(dvp de l’identité culturelle)
- le Moi (soi objet) : ensemble des roles des autres à son égard intériorisé et assumé par l’individu
- le Je (soi sujet) : le soi en action, coté plus personnel de la conduite
Contruction de l’identité individuelle selon Mead
2 processus
- par le langage : permet de se représenter symboliquement et de se décentrer par rapport à sa propre perspective
- le jeu : enfant se mets à la place de l’autre, incarne d’autres roles sociaux
=> cette décentralisation permet à l’enfant d’intérioriser progressivement cette perspective des autres sur soi
construction identitaire à l’adolesence de Marcia
- définit identité : structure interne et dynamique des pulsions, des habilités, des croyances et des identifications antérieures (continuum ≠ stades)
- présence de statut identitaires en fonction de la construction de son identité
les 4 statuts identitaires de marcia
- aboutie : ind à fixé ses choix au terme d’un processus d’exploration/crise
- moratoire : étape de transition pdt laquelle l’ind est au milieu de sa recherche d’identité, cad explore activement diff options en matière de choix pro, sexuel, idéologique
- forclose : ind fait ses choix sans crise, il prend les choix fait pour lui par son entourage
- diffuse : ind n’a pas encore fait de choix et evite de s’engager
identité social Tajfle et Turner
- théorie de l’identité social repose sur : catégorisation sociale et processus motivationnels lié à l’estime de soi (comparaison intergroupe)
que fait la comparaison intergroupe ?
2
détermine si ind se réalise :
- identité sociale satisfaisante : tentative de conserver supériorité et l’étendre
- identité sociale insatisfaisante : recherche de chgt et stratégies (ind ou collectives)
définition stratégies ind et collectives ds la comparaison intergroupe
- stratégie individuelles (si situation percue comme stable, légitime et frontières intergroupes perméables) : mobilité sociale et compraison intragroupe
- stratégies collectives (si situation percue comme instable, illégitime et frontières imperpéables): créativité sociale et compétition sociale
l’approche de Xenia
= théorie qui combine représentations sociale et identité sociale :
- connaissance du soi, du monde social = le “moi” de Mead / composante cognitive
- affirmation de soi sur sa relation avec le monde = le “Je” de Mead / composante comportementale
- reconnaissance de soi par les autres = role important de autres (déni de reconnaissance => racisme)
les races monstrueuses et le livre de Gustav Jahoda
4 chose à dire
- montre que sur la vision des autres, on a un répertoire des autres deja présent et on décrit les autres peuples comme radicalement diff des européens
- les autres font des choses qui nous sont interdits de faire (chrétiens), ils représentent nos fantasmes réprimés
- la représentation des autres est une projection libidinales prohibées
- le groupe s’arrange pour etre associé au positif et le négatifs est projeté sur les autres
pourquoi les idées fausses ont la peau dures ?
RS
selon la théorie des représentations sociales = forme de reconnaissance socialement élaborée et partagée, ayant une visée pratique et concourant à la construction d’une réalité commune à un ensemble sociale
savoir sc >< sens commun (naturel, décentralisé, validitié consensuelle)
les représentations sociales à partir de 2 processus, lesquels ?
-
objectivation : on peut rentre concret ce qui est abstrait
- procesuss qui rend la perception et le concept interchangable
- ex : colomb décrit les indiens nus // pureté , comme si il était au paradis -
ancrage : intégration cogntive de l’objet représenté dans le système de pensée préexistant
- rendre familier ce qui est étrange
- faire face à la nouveauté
- elaboration des RS est une activité collective stimulée lors de situations anxiogènes + rend élement nv conforme aux normes
- ex : lors de rencontre avec les autres : repli et réaffirmation des valeurs du groupe
l’altérité définition
= le produit d’un double processus de construction et d’exclusion sociale, qui tiennent ensemble par un système de représentations
- processus de mise en altérité “radicale” : invention, symbolique et matérielle par laquelle s’opère un basculement de la diff ds l’extériorité
- la rélflexion sur l’altérité permet la définition identitaire
- Altérité du dehors: pays, peuples situés dans un lieu/temps distant / Caractère exotique défini en fonction des critères de la culture qui juge
- Altérité du dedans: à l’intérieur d’un ensemble social / Personnes ou groupes marqués du sceau d’une différence (physique, mœurs, ethnie, religion, etc.)
Autrui et alter différence (+racismes)
- autrui (le prochain) suppose une communauté, une appartenance commune
-
l’ater suppose une différence découlent d’appartenances distinctes
- racisme auto-référentiel : supériorité du raciste = exclusion => extermination
- racisme hétéro-référentiel : infériorité des autres = oppression, exploitation
qu’est ce que la déligitimation ?
= application de traits négatifs, exclusion usage d’étiquettes politiques négatives, comparaisons intergroupes, etc => mène à la déshumanisation
- cst une catégorisation excluant un groupe de la sphère ou les groupes humains st tenus pour agir selon les normes acceptables, et le construisant comme violant les principes fondamentaux sur lesquels repose l’humanité
3 typologies des relations à autrui
- plax axiologique : jugement de valeur, l’autre est bon ou mauvais, attitude
- plan praxéologique : action de rapprochement ou d’éloignement par rapport à l’autre
- => soumission À l’autre (adopter ses valeurs)
- soumission DE l’autre (je l’assimile à moi)
-neutralité/indifférence - plan epistémique : je connais ou j’ignore l’identité de l’autre
3 reactions face à l’autre ?
- ramené au meme = sa diff est pas reconnue
- construit comme autre = concu comme radicalement diff de nous, pas de communication possible
- envers du nous = on prejette sur lui le contraire de nos attributs et valeurs
les valeurs selon Segall
5
- préceptes généraux d’une société entière
- règle de conduite
- référence morale et éthiques
- liées aux croyances, attitudes et cpts
- investies émotionnellement
=> influence bidirectionnelle entre valeurs et structure sociale
Les 4 dimensions de comparaison interculturelles des valeurs de Geert Hofstede
la culture = programmation mentale
1. distance hierarchie IDH
2. individualise/collectivisme IND
3. masculinité/féminité MAS
4. controle de l’incertitude ICI
la distance hierarchique
hostede
2
= mesure d’acceptation par ceux qui ont le moins de pouvoir ds les institutions d’une répartition égale du pouvoir
- IDH élevé :
- inégalité de pouvoir et de richesse
- peu de mobilité sociale
- forte dépendance aux supérieur
- distance émotionnelle élevée
- IDH faible :
- inégalité de pv/richesse réduites
- insiste sur égalité
- interdépendant
- distance émotionnelle faible
IDH ds famille
Dans les familles
- IDH élevé :
- obéissance aux parents
- respect
- tendresse et attention mais dépendance
- diff meme à l’age adulte
- IDH faible :
- enfnat considérés comme égaux
- on encourage expérience
- autonomie, plus froid
- relations égalitaires age adulte