Psychologie interculturelle Flashcards
2 dillemes auquel fait face la société
lien enctre culture et comportement
- sous-estimer la culture = universalime
- prétention universalité des cultures occidentales : nos manières de penser et d’agir comme naturelles
- modernité : avant ind définit pas ses appartenances
- occident projette ses caractéristiques sur ensemble de l’humanité
- surestimer l’influence de la cutlure = relativisime
- croire que tout peut s’expliquer grace à la cutlure
- négligence des autres facteurs
- penser chaque culture comme un tout distinct et cohérent
différentes problématiques sociétales (2)
- ethnicisation des rapports sociaux : explicatins ethnique au dela des pb sociaux, cad utiliser des critères ethnique pour décoder interactions
-
racialisation de la culture : les cultures sont représentées comme
- distinctes, homogènes, déterminées, stables, définissants les ind ds leur essence
- passe de la “race” à la culture comme base du préjugé
le comportement humain (segal)
fondamentalement social : est en relation avec les autres, leur comportements et les produits de leurs comportements
constitution mutuelle de la culture (2 choses)
interdépendance dynamique ( Markus et Hamedani)
- domaine psychologie (pensée, émotions, soi) ancré et génère le socioculturel
- le socioculturel (socialités, systèmes sociaux, etc) est ancré et génère le psychologique
modèle éco-culturel de Berry
schéma
(1) contexte écologique + sociopolitique
⇅
=> adaptation biologique et culturelle
↓
=> (2) influence ecologique / transmission génétique / transmission cutlurelle / acculturation
↓
=> (3) cpts observables et caractéristiques inférées
relativisme culturel + déterminisme universaliste => universalisme culturel
1) variables arrière plan 2) processus 3) caractéristiques psycho
RC + DU => UC
Les 2 contextes du modèle de berry
- contexte écologique = milieu dans lequel l’etre humain interagit avec un envrionnement physique donné (adaptation)
- contexte sociopolitique = forme d’organisation des états et sociétés (rapport de pouvoir, institutions politiques, economie)
les 2 adaptations de berry (processus au niveau de la population)
- adaptation culturelle : toutes inventions qui permettent de s’adapter aux contraintes écologique en tentant compte de l’histoire du groupe + croyances et valeurs qui constitue l’environnement
- adaptation biologique : transfo génétique liées à l’adaptation aux contraintes
processus au niveau individuel
- influence écologique : directes ou indirectes = que les envrionnement ds lequels on vit faconne notre facon de voir le monde
- transmission génétique : processus culturels et biologiques st étroitement liés
- transmission culturelle : perpétuer les caractéristiques comportementales du groupe (verticales (parents) , horizontale (pairs) ou oblique (autres adultes/institutions))
Herskovits enculturation et socialisation
- enculturation : apprentissage sans enseginement délibéré, pas conscients, qui à lieu tout au cours de la vie humaine par observations
- socialisation : efforts délibérés réalisés par d’autres pour controler notre cpts et le rendre aceptable
=> Enculuration et socialisation mènent à des similarités comportementales à l’intérieur des sociétés et à des différences comportementales entre sociétés
=> intra-culturel
variables psychologique du modèle de berry
2
= tous aspects mesurables du cpts individuel dont on peut montrer qu’ils sont liés à des variables écologiques ou adaptative
- comportement observables
- caractéristiques inférées (valeurs, traits de perso, attitudes)
Le concept de culture
- première définition au 19è siècle
- = ce tout complexe qui inclut savoir, croyance, art, morale, lois, coutumes et toutes autres capacités et habitudes acquises par l’Homme en tant que membre d’une société
la définition adéquate pour la psycho interculturelle
Kroeber et Kluckhohn
la culture consiste en des modèles, explicites ou implicites, d’idées et de leur incarnation dans les institutions, les pratiques, les artefacts, dérivés et sélectionnés par l’histoire ; les modèles culturels peuvent, d’une part, être considérés comme les produits de l’action et, d’autre part, comme conditionnant les éléments d’une nouvelle action
fonctions de la culture
3
- adaptation (contre exemples des Norses)
- symbolisation : capacité d’évoquer un objet/personne en son absence (contenu des représenations façonnée par envrionnement social)
- humanisation : distingue humains des autres être vivant (contre exemple singe et patates)
La structure de la psycho interculturelle
3 sous branches
- psychologie (inter)cultuerlle comparative
- psychologie culturelle
- psychologie interculturelle
la psychologie interculturelle comparative cst quoi
- étude des similarités et diff au niveau du fonctionnement psychologie individuel entre divers groupes culturels et ethnoculturels ; des chgts continus des variables qui reflètent ce fct
- approche transcutlurelle
- universelle
- approche éthique (universalité) : comparer des cultures à partir de critères absolus ou universel
psychologie culturelle cst quoi
- en réaction à l’approche éthique de la psycho interculturelle comparative
- approche émique (relativiste) : comprendre une culture de l’intérieur
- relation intime entre structures socioculturelles et dvp psychique individuel
psychologie interculturelle cst quoi ?
- proposer un schéma d’analyse pour cerner l’ensemble des processus générés par les contacts de cultures ethniques, natinales, régionales, générationnelles, etc
- 2 processus :
- acculturation : contact direct et continu entre deux cultures diff + chgts subséquents
- enculturation : transmission cutlturelle du groupe à l’enfant
GH Mead et le soi social
(dvp de l’identité culturelle)
- le Moi (soi objet) : ensemble des roles des autres à son égard intériorisé et assumé par l’individu
- le Je (soi sujet) : le soi en action, coté plus personnel de la conduite
Contruction de l’identité individuelle selon Mead
2 processus
- par le langage : permet de se représenter symboliquement et de se décentrer par rapport à sa propre perspective
- le jeu : enfant se mets à la place de l’autre, incarne d’autres roles sociaux
=> cette décentralisation permet à l’enfant d’intérioriser progressivement cette perspective des autres sur soi
construction identitaire à l’adolesence de Marcia
- définit identité : structure interne et dynamique des pulsions, des habilités, des croyances et des identifications antérieures (continuum ≠ stades)
- présence de statut identitaires en fonction de la construction de son identité
les 4 statuts identitaires de marcia
- aboutie : ind à fixé ses choix au terme d’un processus d’exploration/crise
- moratoire : étape de transition pdt laquelle l’ind est au milieu de sa recherche d’identité, cad explore activement diff options en matière de choix pro, sexuel, idéologique
- forclose : ind fait ses choix sans crise, il prend les choix fait pour lui par son entourage
- diffuse : ind n’a pas encore fait de choix et evite de s’engager
identité social Tajfle et Turner
- théorie de l’identité social repose sur : catégorisation sociale et processus motivationnels lié à l’estime de soi (comparaison intergroupe)
que fait la comparaison intergroupe ?
2
détermine si ind se réalise :
- identité sociale satisfaisante : tentative de conserver supériorité et l’étendre
- identité sociale insatisfaisante : recherche de chgt et stratégies (ind ou collectives)
définition stratégies ind et collectives ds la comparaison intergroupe
- stratégie individuelles (si situation percue comme stable, légitime et frontières intergroupes perméables) : mobilité sociale et compraison intragroupe
- stratégies collectives (si situation percue comme instable, illégitime et frontières imperpéables): créativité sociale et compétition sociale
l’approche de Xenia
= théorie qui combine représentations sociale et identité sociale :
- connaissance du soi, du monde social = le “moi” de Mead / composante cognitive
- affirmation de soi sur sa relation avec le monde = le “Je” de Mead / composante comportementale
- reconnaissance de soi par les autres = role important de autres (déni de reconnaissance => racisme)
les races monstrueuses et le livre de Gustav Jahoda
4 chose à dire
- montre que sur la vision des autres, on a un répertoire des autres deja présent et on décrit les autres peuples comme radicalement diff des européens
- les autres font des choses qui nous sont interdits de faire (chrétiens), ils représentent nos fantasmes réprimés
- la représentation des autres est une projection libidinales prohibées
- le groupe s’arrange pour etre associé au positif et le négatifs est projeté sur les autres
pourquoi les idées fausses ont la peau dures ?
RS
selon la théorie des représentations sociales = forme de reconnaissance socialement élaborée et partagée, ayant une visée pratique et concourant à la construction d’une réalité commune à un ensemble sociale
savoir sc >< sens commun (naturel, décentralisé, validitié consensuelle)
les représentations sociales à partir de 2 processus, lesquels ?
-
objectivation : on peut rentre concret ce qui est abstrait
- procesuss qui rend la perception et le concept interchangable
- ex : colomb décrit les indiens nus // pureté , comme si il était au paradis -
ancrage : intégration cogntive de l’objet représenté dans le système de pensée préexistant
- rendre familier ce qui est étrange
- faire face à la nouveauté
- elaboration des RS est une activité collective stimulée lors de situations anxiogènes + rend élement nv conforme aux normes
- ex : lors de rencontre avec les autres : repli et réaffirmation des valeurs du groupe
l’altérité définition
= le produit d’un double processus de construction et d’exclusion sociale, qui tiennent ensemble par un système de représentations
- processus de mise en altérité “radicale” : invention, symbolique et matérielle par laquelle s’opère un basculement de la diff ds l’extériorité
- la rélflexion sur l’altérité permet la définition identitaire
- Altérité du dehors: pays, peuples situés dans un lieu/temps distant / Caractère exotique défini en fonction des critères de la culture qui juge
- Altérité du dedans: à l’intérieur d’un ensemble social / Personnes ou groupes marqués du sceau d’une différence (physique, mœurs, ethnie, religion, etc.)
Autrui et alter différence (+racismes)
- autrui (le prochain) suppose une communauté, une appartenance commune
-
l’ater suppose une différence découlent d’appartenances distinctes
- racisme auto-référentiel : supériorité du raciste = exclusion => extermination
- racisme hétéro-référentiel : infériorité des autres = oppression, exploitation
qu’est ce que la déligitimation ?
= application de traits négatifs, exclusion usage d’étiquettes politiques négatives, comparaisons intergroupes, etc => mène à la déshumanisation
- cst une catégorisation excluant un groupe de la sphère ou les groupes humains st tenus pour agir selon les normes acceptables, et le construisant comme violant les principes fondamentaux sur lesquels repose l’humanité
3 typologies des relations à autrui
- plax axiologique : jugement de valeur, l’autre est bon ou mauvais, attitude
- plan praxéologique : action de rapprochement ou d’éloignement par rapport à l’autre
- => soumission À l’autre (adopter ses valeurs)
- soumission DE l’autre (je l’assimile à moi)
-neutralité/indifférence - plan epistémique : je connais ou j’ignore l’identité de l’autre
3 reactions face à l’autre ?
- ramené au meme = sa diff est pas reconnue
- construit comme autre = concu comme radicalement diff de nous, pas de communication possible
- envers du nous = on prejette sur lui le contraire de nos attributs et valeurs
les valeurs selon Segall
5
- préceptes généraux d’une société entière
- règle de conduite
- référence morale et éthiques
- liées aux croyances, attitudes et cpts
- investies émotionnellement
=> influence bidirectionnelle entre valeurs et structure sociale
Les 4 dimensions de comparaison interculturelles des valeurs de Geert Hofstede
la culture = programmation mentale
1. distance hierarchie IDH
2. individualise/collectivisme IND
3. masculinité/féminité MAS
4. controle de l’incertitude ICI
la distance hierarchique
hostede
2
= mesure d’acceptation par ceux qui ont le moins de pouvoir ds les institutions d’une répartition égale du pouvoir
- IDH élevé :
- inégalité de pouvoir et de richesse
- peu de mobilité sociale
- forte dépendance aux supérieur
- distance émotionnelle élevée
- IDH faible :
- inégalité de pv/richesse réduites
- insiste sur égalité
- interdépendant
- distance émotionnelle faible
IDH ds famille
Dans les familles
- IDH élevé :
- obéissance aux parents
- respect
- tendresse et attention mais dépendance
- diff meme à l’age adulte
- IDH faible :
- enfnat considérés comme égaux
- on encourage expérience
- autonomie, plus froid
- relations égalitaires age adulte
origines de IDH
- langues germaniques : faible IDH
- langes romanes : fort IDH
- latitude : plus le pays est éloigne de l’équateur plus l’IDH est faible
- richesse : faible IDH
individualisme et collectivisme
2
- individualisme caractérise les soc ds lesquelles les liens entre personnes sont laches ; chacun doit se prendre en charge, les parents st les plus proches
- collectivisme caractérise les soc ds lesquelles les personnes sont intégrées ds des groupes forts et soudés, qui continuent de les protégéer tout au long de leur vie, loyauté indéfectible
IND et familles
- individualisme
- nuclaires, solitude, on dit ce qu’on pense, valorisation opinions perso, indépendance matérielle - collectivisme
- famille élargie, contact sociaux fréquents, on évite affrontement, valorisation normes du groupe, partage des ressources
IND et communication
- individualisme
- communication à contexte faible, info contenu ds message explicite
- collectivisme
- communication à contexte fort, info ds envrionnement physique ou relations entre personnes
IND rapport patron/salarié
- individualisme
- salarié = personne individuelle avec propres besoins, si mauvais perfo on perd emploi
- collectivisme :
- salarié = qlq qui appartient à un groupe, qui veille à intéret du groupe, famille et relation familiale entre patron et salarié
IND et relation d’affaires
- individualisme x universalisme (plus + riches)
- chacun traiter sur le meme pieds d’égalité, pas de bénéfice en fct du client - collectivisme x particularisme (plus + pauvres)
- le groupe d’appartenance prime, traiter mieux amis que les autres
Masculinité et féministe
3
- pole masculin : assuré, compétitifs et dur, forte différenciation des genres et tourner vers accomplissement
- pole féminin : modestes, coopératives et tendres, peu de différenciation des genres, tourner vers coopération
controle de l’incertitude ICI
4
- haut controle de l’incertitude : faible tolérence pour l’incertitude et société tournée vers règlements : lois, règles, controles
- faible controle de l ‘incertitude : moins de soucis à propos de l’incertitude, moins de règles, acceptation chgt et prise de risque
Les 3 dimensions de Triandis
- il oppose et considère que l’individualisme et le collectivisme sont INDEPENDANTS
- relation au pouvoir :
- horizontal : egalité de statu
- vertical : hierarchié - variations intra culturelles (2 types de personnalité)
les 4 typologies de Triandis
IV - HV
- individualisme horizontal : les gens veulent etre uniques et ditincts, mais égaux et sans status différenciés
- individualisme vertical : les gens veulent se différencier d’autrui en fct de leur staut, compétiiton
- collectivisme horizontal : les gens se percoivent comme similaires, soulignent les buts communs, mais peu de liberté individuelle
- collectivisme vertical : intégrité de l’endogroupe, sacrifice des intérets personnels et soumission à l’autorité : ni libres ni égaux
les variations intra-culturelles (personnalité)
2
- personnalité
- ind idiocentrique : orientation plus individualiste
- ind allocentrique : orientation collective
que peut-on dire au niveau des corrélations I/C ?
conflit, racisme, biais pro endogroupe
- conflit :
- C : conflit intergroupe - préjugé et discimination :
- CV > IV > CH > IH - biais pro endogroupe :
- C > I
inventaire des valeurs de Shalom Schwartz
et les 3 pb des sociétés
3 pb de base que rencontrent les société :
- relations entre individus et le gorupe
- controle du cpts des membres de la collectivité
- réguler l’utilisation des ressources humaines et naturelles
relation entre ind et le groupe
Schwartz
1
-
autonomie : chaque ind est une entité cohérente et séparée des autres
- intelectuelle : encourager ind à exprimer et réaliser leurs propres idées (ouverture d’esprit, ..)
- affective : recherche d’expériences affectives agréables par chaque individu (plaisir, etc) - incorporation sociale : les ind sont percus comme des entités incrustées dans la collectivité, la vie ind ne prend sens qu’en regard des relations avec les autres membres et l’identification au groupe
controle du comportement
// distance hierarchique hofstede et dimensions H/V triandis
2
- egalitarisme : les gens sont égaux
- hierarchie : s’appuyer sur une strucure hierarchique afin de s’assurer la participation des ind à la poursuite des objectifs du groupe => division inégale du pv, roles sociaux et ressources
régulation de l’utilisation des ressources humaines et naturelles
- harmonie : promouvoir insertion de l’ind ds le monde naturel et sociale, monde en paix, unité avec la nature
- maitrise : auto-affirmation active visant à maitriser, orienter et transformer l’envrionnement naturel et social afin d’atteindre objectifs perso
ccl inventaire des valeurs de Schwartz et diff USA >< europe
=> permet une vision plus fine et fidèle des différences interculturelles
- diff USE et europe :
- individualisme européen : autonomie intellectuelle et affective, égalitarisme et harmonie
- individualisme américain : autonomie affective, maitrise, plus haut niveaux d’incorporation sociale et de hierarchie
théorie du soi indépendant et interdépendant
taxonomie des représentations du savoir
2
- savoir procédural : représentations concernant la manière de parvenir à un résultat donné (comment)
- Séquences de comportements apprises en réponse à des indices situationnels (routines)
- habitudes mentales = savoir procéduraux partagés au sein des groupes culturels, exécutés sans délibération consciente - savoir déclaratif : propositions qui peuvent etre vraies ou fausses (quoi) => représentations des personnes et des normes
2 types de pensées
- pensée holistique (contexte fort) // collectivisme :
- attention globale incluant objet et contextes
- pensée associative ; attention aux relation entre objets et envrionnement
- se base sur expérience - pensée analytique (contexte faible) // individualisme :
- focalisation sur object et attributs et néglige contexte
- objet percus indépendamment de leurs contextes
- on focalise sur élement saillant
- se base sur règles abstraites
habitudes mentales conclusion
ces habitudes sont acquises a travers l’expérience de diff contextes sociaux et perceptifs, des habitudes mentales qui les prédisposent à porter leur attention et raisonner différement (<= long héritage culturel)
+ elles servent à s’adapter à des contraintes envrionnementales
les représentations de soi
2
- culture individualiste : conception du soi indépendant
- conscience de soi subjective
- soi comme entité délimité et distincte, autonome et indépendante
- le soi est une entité stable, immuable
- plus d’attribution interne - culture collectiviste : conception du soi interdépendant
- conscience de soi objective : sujet se percoit comme un objet
- soi concu comme connecté à des autres significatifs
- le soit est mouvant et dépend de nos efforts, plus d’attributions externes
les représentations des normes dépend de 3 élements :
- les circonstances dans lesquelles une s’applique
- la norme elle-même
- les implications comportementales
l’expression des émotions varie selon les cultures, précision ?
- normes américains encouragent l’expression ouverte des émotions
- normes asiatiques encouragent la désamplification émotionnelle
la culture de l’honneur
- société avec CH :
- infidélité porte atteinte à la réputation de l’homme
- cette réputation peut etre restaurée par l’usage de la violenc
- on attend des femmes qu’elles tolèrent cette violence - société sans CH :
- infidélité impact négativement la perception de la femme
- reponse à l’infidélité : mari moins fibale, aime moins son épouse
- on attend des fe qu’elles ne tolèrent pas la violence
définition des système moraux
- “ensemble indissociables de valeurs, pratiques, institutions, et mécanismes psychologiques évolués qui participent à la suppression ou à la régulation de l’égoïsme et rendent ainsi la vie sociale possible”
- 3 types :
- éthique d’autonomie
- de communauté
- de divinité
ethique d’autonomie ?
- moralité concue en terme de liberté individuelle et de violation des droits
- un acte est considéré comme immoral si il fait du mal à qlq ou enfreints ses droits (ex : vol)
- tres importante ds culture occidentale (haute chez américains favorisés)
ethique de communauté ?
- les ind ont des devoirs liées à leurs role dans une communauté
- un cpt est jugé immoral si les devoirs et obligations envers les autres ne sont pas respectés
ethique de divinité ?
- souci de “l’ordre naturel” des choses, défini par l’instance divinie
- action immoral porte atteinte et manque de respect à la divinité et entraine l’impureté (ex : rompre interdit alimentaire)
- haute chez américains défavorisés)
l’acculturation
définition
= ensemble des phénomènes résultant du contact direct et continu entre des groupes d’individus de cultures différentes, avec des changements subséquents dans les types de cultures originaux de l’un ou des deux groupes
=> processus inter-culturelle
(>< procesuss intraculturel : socialisation et enculturation)
4 mouvement des groupes possibles
Berry : mobilité & volonté
approche ?
- groupe ethnoculturels (volontaires et sédentaire)
- peuples indigènes (involontaires et sédentaire)
- immigrés et expatriés (migrant et volontaire)
- réfugiés (migrant et involontaire)
approche universaliste
stratégies d’aculturation déterminés à partir de deux questions ?
- on doit valoriser le maintien de la culture d’origine ?
- on doit favoriser le contact avec le gorupe culturel dominant ?
+/+ : intégration
+/- : séparation
-/+ : assimilation
-/- : marginalisation
définit les différentes stratégies d’acculturation + csq :
- intégration : préserver culture d’origine et maintien contact interculturel => multiculturalisme
- séparation : maintien culture d’origine et évitement contact interculturel => ségrégation
- assimilation : ind ne veulent pas conserver leur identité culturelle et recherchent contact avec la culture dominante => metling pot
- marginalisation : contact rompu avec les deux groupes => exclusion / pressure cooker si forcé
=> intégration et séparation = collective
=> assimilation et marginalisation = individuelles
L’acculturation psychologique peut se passer de 3 facons :
-
aisée :
- apprendre nv répertoire comportementale
- nécessite un désapprentissage de cpts non approriés = mue culturelle -
conflituelle :
- si les ind ont des difficultés à adapter leur répertoir
- choc culturel ou stress acculturatif -
psychopathologique : dépression, anxiété
- qd ind ne parvint pas à faire face au stress acculturatif
facteurs existants avant acculturation
8
- age : plus ca commence tot, plus cst simple
- sexe : fe on plus de difficultés
- éducation : si préacculturation alors facilitée
- statut : immigration => perte de statut
- projet migratoire :
- facteur push : qui poussent à quitter le pays d’origine => réactif (+ de pb)
- facteur pull : qui attirent vers le pays d’acceuil => proactif - distance culturelle : si gde alors difficile
- personnalité : lieu de controle inter ou externe
limites du modèle de Berry
insiste sur influence de la société d’acceuil sur les stratégies des groupes migrants, mais envisage pas l’acculturation du groupe culturel dominant
idéologie inspirant les polotiques d’intégration (Bourhis)
4
- idéologie pluraliste (multiculturelle)
- il est attendu des personne issus de l’immigration qu’elles adoptent les valeurs publiques de la société d’installation mais aucune prérogative concernant valeurs privées + intervention de l’état ds activités pour culture privée - idéologie civique
- attente d’une adhésion aux valeurs publiques de la société d’installation et respects des valeurs privées, principe de non-intervention de l’état ds domain privé - idéologie assimilationiste
- il est attendu des immigrés qu’ils adoptent les valeurs publiques du pays d’installation , domaine privé respecté mais ils doivent abandonnées leurs spécificités linguistiques et culturelles pour adopter celles de la culture dominante - iédologie ethniste
- les immigrés doivent adopter les valeurs publiques du pays d’installation et état peut intervenir ds les valeurs privées limitant l’expression de leurs spécificités culturelles, linguistiques ou religieuses : on attend d’eux qu’ils abandonnent leur culture pour la dominante
modèle d’acculturation interactif de Bourhis : orientation d’acculturation des memebres de la communauté d’acceuil
6
- intégrationnsite : accepter et valoriser migrant garde sa culture
- intégration-transofmration : etre pret à transformer certains aspects de sa propre culture pour intégrer les immigrants
- individualisme : se définir soi et les autres comme ind plutot que membres de groupes culturels
- assimilationnisme : s’attendre à ce qu’un immigrant renonce à sa culture pour la cutlure dominante
- ségrégationnisme : garder ses distance à l’égard des immigrants et na pas vouloir qu’ils se mélangent à leur culture
- exclusionnisme : s’opposer à ce que les immigrants conservent leur cutlure d’originie et refuser qu’ils adoptent celle dominante
l’identité ethnique (Rotheram et Phinney) définition
= sentiement d’appartenance d’une personne à un groupe ethnique et la part de ses conceptions, perceptions, sentiments et comportements qui est le résultat de cette affiliation
l’éthnicité selon Anthony Smith
les groupes se définissent par : 5
les groupes se définissent par :
- une nom collectif
- le partage d’une mythe d’orinige commun
- une histoire partagée
- une culture distincitve
- l’association avec une territoire spécifique et des liens de solidarité
L’ethnie selon Barth
comment se forment les traits culturels
importance des limites du groupe : les traits culturels d’une groupe seraient l’expression d’un travail symbolique de différenciation qui fonde l’identité des groupes
l’identité culturelle définition
+ lien à l’identité ethnique
- identité culturelle : fait partie de l’identité ethnique et caractérise les liens primordiaux comme ceux du sang ou traits phénotypiques
- identité ethnique : fait partie de l’identité culturelle et est le produit de processus de construction sociale qui peuvent être mobilisé pour défendre des intérêts matériel ou politique
Théorie de la formation de l’identité ethnique de Jean Phinney
3 dimensions + particularité (inspirations)
3 dimensions : évaluation, importance et attachement => reflètent le processus de l’engagement identitaire
- labilité de l’identité ethnique = chgt au cours du temps
- inspirations : dvp identitaire Erikson, Marcia, identité sociale Tajfel et Turner
processus de construction de l’identité ethnique
Jean Phinney - 3 étapes
- stade préparatoir de l’identité ethnique : socialisé ds groupe ethnoculturel familiale
- exploration de l’identité ethnique : emergence ethnicité
- engagement envers une identité ethnique : les ind choissisent d’intégrer le groupe (// engagement Erikson)
les 2 intégration possible de l’identité biculturelle
LaFromboise, Coleman et Gerton
- l’alternance : alternent entre les deux culturels en fonction de la situation (!! percoivent + de conflits entre les 2 cultures)
- la fusion : adhérent à une culture tierce => combinaison d’élements issus des deux cultures
intégration biculturelle de Benet-Martinez
2 dimensions
- dimension identitaire : degré de mélange culturel
- distance interculturelle sibjective et mélange - dimension comportementale : degré d’harmonie culturelle
- degré de perception de compatibilité ou tension entre les deux cultures
- harmonie culturelle
- conflit culturele
conséquence de l’intégration biculturelle
2
- bas niveau d’intégration biculturelle => représentaitons cognitive plus complexes de la culture et conflit intrapsychique
- haut niveau d’intégration bicutlurelle => faciliter à adapter leur cadre culturel aux situations sociales rencontrées et plus grande fléxibilité cognitive
la discrimination conséquences ?
- troubles mentaux : dépression, PTSD
- troubles physiologiques : perturbation système immunitaire, pb cardiovasculaires, etc
importance du coping
Matheson et Anisman
- stratégies axées sur la résolution du pb : sentiement de controle, humeur optimiste et moins de stress
- stratégies de retrait par rapport à leur identité de groupe et peu de communication : + de stress
importance du soutien social !
différentes réactions face à la discrimination
3
- abstention : passivité
- confrontation : repondre à l’auteur ou porter plainte
- réactions individuelles ou collectives
lien entre identité ethnique et santé mentale
l’identité ethnique à une fonction de stimulation et protection du fonctionnement psychosocial
=> ressources que les minoritaire peuvent mobiliser afin de faire face au stress (fierté ethnique et identification au groupe atténue effet négatif)
théorie de l’identité sociale : 2 types de stratégies face à la discrimination
- individuelles : quitter le groupe stigmatisé
- collectives : se rapprocher du groupe disciminé
lien entre attribution de la discimination et BE psychologie négatif
+ identification au groupe => protège mais hostilité envers groupe dominant
les stratégies adoptées par membres minoritaires dépendent de :
3
- du niveau de reconnaissance / discrimination
- du groupe concerné
- du contexte social et structurel
le relativisme culturel conclusion
on s’y réfère comme à :
- une norme : ne pas juger les autres à partir de nos propres cadres de références
- un danger
définition relativisme cognitif et moral
- relativisme cognitif : connaissance, représentations de la réalité partagées au sein des cultures
- relativisme moral : conception du bien et du mal partagées au sein des cultures
le relativisme métaphysique et anthropologique
- métphysique s’interroge sur ce qui est vrai ou faux, bien ou mal, dans l’absolu
- anthropologique : etude sc des représentations cognitives et des valeurs morales partagées => comprendre conceptions morales des humains
(voir tableau cours)
2 sophismes du relativisme moral
- sophisme 1 : les conceptions du bien et du mal divergent radicalement entre les cultures et il faut en déduire qu’il existe une pluralité de biens incompatibles
- sohpisme 2 : au dela des apparences, les représentations du bien convergent entre toutes les cultures, et déduire qu’elles convergent vers un bien objectif et universel