Ethique Flashcards

1
Q

Définition de la morale?

A

ensemble de règle de conduites considérées comme bonne de façons absolue ou découlant d’une certaine conception de la vie (décrivent le bien et le mal)
= ensemble de règles reconnus par la collectivités et décrivent un impératif catégorique

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2
Q

caractéristiques de la morale ?

A

issues de la tradition
imposent des normes de bien et de mal
ces règles sont absolues et irréfléchies dans leur conception/finalité

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3
Q

L’éthique ?

A

apparait comme un raisonnement philosophique sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans un cadre concret. Elle peut se résumé au questionnement de la morale et de son adaptation à une situation concrète et précise

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4
Q

caractéristiques de l’éthique ?

A
  • adoucis les règles en fonction des situations >< morale
  • permet d’aiguilleur dans certaine situations
  • raisonnement prend en compte la réalité circonstancielle figée et claire (=processus)
  • impératif hypothétique
    => s’ancre dans la déontologie et réflexion personnelle
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5
Q

Déontologie ?

A

ensemble de règles et de devoirs qui régissent une profession, la conduite de ceux qui l’exercent, les rapports entre ceux-ci et leur clients ou le public
= code de conduite relatif à une profession

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6
Q

Le droit pénal ?

A

ensemble de règles qui régissent les rapports des membres d’une même société, portée plus large que code déonto car englobe tous les individus de la société. Il régit la société et assure son bon fonctionnement

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7
Q

La hiérarchie entre ces 4 notions ?

A
  1. Droit pénal : LOIS = moyen de régulation externe avec système explicite de sanctions judiciaires
  2. Déontologie : CODE = code et pas lois donc sanctions professionnelles
  3. Ethique : PRINCIPES = sanctions morales
  4. Morale
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8
Q

EFPA c’est quoi ?

A

association européenne qui représente tous les psychologues des pays membres

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9
Q

Buts EFPA ?

A
  • harmoniser le paysage à travers l’Europe (avec normes de références)
  • permet de créer un consortium sur l’utilisation des tests psychologiques, donc permet de réguler leur utilisation
  • rédige un méta-code = ensemble de directives expliquant de quelles manière chaque pays possèdent un code déonto adapté au contexte culturel

+ 5 autres sous-fonctions (journale, congres, promotion et défense de psy)

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10
Q

Méta-code repose sur 4 fondements européens, lesquels ?

A
  • respect des droits des personnes et leur dignité
  • la compétence
  • la responsabilité
  • l’intégrité
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11
Q

L’organisation psychologique au niveau national se divise en 2 organisation, cite les

A
  • la fédération belge = représente les psychologues belge
  • la commission des psychologues = protège usagers qui bénéficient de l’aide des psychologues + donne titre “psychologue” si inscription
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12
Q

La fédération belge permet quoi ? 4

A
  • représenter les psychologue
  • agit comme réseau de diffusion de connaissance
  • permet de faciliter la vie pro
  • est un label de qualité
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13
Q

La commission des psychologues protège par quelles mesures ?

A
  • régulation de l’usage du titre de psychologue
  • la tenue d’une liste officielle des psychologues agrées
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14
Q

Caractéristiques de la commission des psychologue ?

A
  • obligation légale de s’y inscrire + payement cotisation!
    - permet surtout aux clients d’être pris en charge par des faux psy
  • propose un conseil disciplinaire ou d’appel
  • liste officielle accessible sur internet
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15
Q

Qui peut etre autorisé à porter le titre de psychologue clinicien et à exercer la profession ?

A
  • titre de psychologue : inscription commission
  • Visa : auprès de la SPF
    + apres diplôme universitaire de psycho clinique
    + diplôme obtenu avant le 1/09/16 et expérience d’au moins 3 ans en clinique
  • agrément :
    + apre diplome
    + un stage pro d’un an à tps partiel (1680 heures étalées sur une période de max 5 années consécutives )
    + SAUF si diplôme avant 2016
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16
Q

Hiérarchie de normes juridiques

A

un norme juridique inférieur ne peut contredire une norme juridique supérieur => ordre du - au + ;
- contrat de travail
- arrêtés ministériels
- arrêtés royaux
- lois
- constitution

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17
Q

Dispositions générales (Art 1- 2)

A

Art 1 : le code s’applique à toute personne portant le titre de psychologue
Art 2 : les dispositions contenus dans le présent code sont énonciatives et non limitatives

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18
Q

Définition (Art 3 - 4 : psychologue)

A

Art 3 : Loi du 8 novembre 93 protège le titre de psychologue ;
- psychologue = toute personne portant le titre de psychologue
- client = toute personne, groupe ou organisation qui demande les services ou l’accompagnement d’une psychologue
- sujet = toute personne qui fait partie d’un échantillon de recherche psychologique ou qui fait l’objet d’une expertise
- tiers autorisé = toute personne physique ou morale, toute institution qui est en droit légalement ou contractuellement d’exiger un avis/expertise psychologique (parents, tuteur, magistrat,…)

Art 4 : le degré de protection accordé est irréversible

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19
Q

Devoirs des psychologues (Art 5,14,17,18, 19, 20)

A

Art 5 : le psychologue est tenu au secret pro conformément à l’article 458 du Code pénal
Art 14 : le secret professionnel partagé = partage des données confidentielles pour optimiser l’efficacité de son travail (! = tout ce qui est déduit, inférée, interprété)
Art 15 : le psy respecte la loi relative à l’exercice de l’autorité parentale
Art 17 : dans le cadre des expertises judiciaires, le psy doit refuser toute expertise concernant des client/sujet rencontrés lors d’autres relations pro : on ne mélange pas expertise et prise en charge clinique
Art 18 : La présentation en personne d’un client, sujet ou tiers autorisé aux seules fins d’enseignement est formellement interdite. Les illustrations audio-visuelles et les observations directes, dans le cadre d’une formation, sont autorisées pour autant que les participants aient été avertis des normes et règles déontologiques en la matière. L’anonymat du client, sujet ou tiers autorisé doit être préservé
Art 19 : consentement libre et informé du client doit etre obtenu avant tout enregistrement + tte personne à le droit à y avoir accès si ca le concerne
Art 20 : séance de groupe => il faut rappeler l’obligation de respecter le caractère confidentiel des informations échangées

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20
Q

Principes généraux (Art 21)
A) LE RESPECT DE LA COGNITION DE LA PERSONNE ET DE SES DROITS

A

Art 21 §1 : le psy respecte sans aucune discrimination les droits fondamentaux = respect scrupuleux du secret pro
Art 21 §2 : l’exercice de la profession de psy exige ds nptqu’elle situation le respect de la personne humaine, dans son intégralité psychologique et physique
- a) le respect sans aucune discrimination basée sur des diff ethniques, culturelles de sexe, de langue, de fortune ou de naissance
- b) le respect des valeurs morales des personnes
- c) l’interdiction de l’utilisation des diff ou des valeurs susdites à des fins d’immixtion arbitraire de la vie privée, honneur ou réputation de la personne

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21
Q

Art 22 (sur quoi peut porter l’évaluation d’un psy ?)

A

les évaluations dy psy ne peut porter que sur des situations ou personnes qu’il a pu examiner lui-même

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22
Q

Art 23 & 24

le respect de la cognition de la personne et de ses droits

liés au consentement

A

§1 : le psy n’engage personne contre sa volonté dans une recherche, une investigation, une guidante ou un traitement
§2 : le consentement de la personne n’est pas nécessaire quand la mission du psy lui est donnée par une autorité disposant des cpts légales pour l’exiger => mais vérifier que la personne concernée dispose de la meme info en ce qui concerne le but, moyens et transmission des données
§3 : si relation pro est imposée => le client/sujet a le droit d’avoir connaissance, s’il le souhaite, des éléments qui ont été utilisés dans le rapport (tels que les résultats de tests ou d’autres moyens d’évaluation) ainsi que des conclusions qui concernent sa personne (mais pas accès au rapport destiné au tiers autorisé qui demande le rapport)
§5 : si représentant légal demande une consultation pour un mineur ou pour un majeur protégé par la Loi et sur lequel il a autorité => le psy tente d’obtenir le consentement de ces derniers dans la mesure de leurs capacités et s’assure de l’information et de l’accord de leurs représentants légaux

  • Art. 24. Le consentement libre et informé du client ou sujet est fondé sur sa capacité d’agir librement et d’assumer la responsabilité de ses actes. Dans le cas où le client ou sujet ne peut plus agir de la sorte pour une raison médicale ou psychologique, le psychologue qui est en relation professionnelle avec cette personne se référera d’abord aux desiderata qu’elle aurait éventuellement exprimés avant l’entrée dans son état actuel; ensuite, aux desiderata du tiers autorisé légalement.
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23
Q

B) RESPONSABILITE DU PSYCHOLOGUE

A

Art 29 : Le psychologue est responsable d’assurer la continuité des services professionnels rendus au client ou sujet, en ce compris la coopération avec d’autres professions. Il prend les mesures nécessaires lorsqu’il doit suspendre ou terminer son engagement.

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24
Q

D) L’INTEGRITE ET L’HONNETETE DU PSY (5)
=> connaissances

A

Art 35 : le psy évite l’usage abusif et mercantile des connaissance psychologiques
Art 43 : le psy ne peut avoir d’autres relations que professionnelles avec ses clients ou sujets
Art 45 :qd un psy exerce diverses activités il veille à ce que le client ou sujet soit au courant de ces divers types d’activités + précise dès le départ dans quel cadre il le rencontre
Art 47 : le psy respecte les conceptions et les pratiques de ses confrères pour autant qu’elles soient en accord avec le présent Code (exclut pas la critique fondée)=> s’abstient de dénigrer ses confrères face au public / adopte une attitude confraternelle avec eux
- il adapte son prix en fonction des moyens du patient

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25
Q

Qu’est ce que l’arrêté royal du 10 mai 2015 ?

A

loi cordonnée relative à l’exercice des profession des soins de santé = définit les règles de base sur l’exercice des professions paramédicales

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26
Q

quels sont les actes q’une médecin peut confier ?

A
  • diagnostic
  • traitement
  • efficacité du traitement
  • ok de poser des actes qd pas de prescription médicale/remboursement possible

(actes = prestations techniques auxiliaires)

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27
Q

Art 1.2 : loi du 22 aout 2022 relative aux droits du patient

A
  • avoir un dossier médicale tenu à jour
  • respect de la vie privée
  • accès à une fonction de médiation compétente
  • prise en charge de la douleur
  • avoir des soins de qualité
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28
Q

Art. 1.2 Réglementation en matière de secret professionnelle

A
  • le dossier du patient doit etre à jour et en lieu sur SAUF SI :
  • consentement écrit du patient
  • qd nécessaire de communiquer
  • en cas d’abus envers un mineur
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29
Q

La compétence pro et la responsabilité du logopède (7)

A
  • s’exprimer verbalement/ecrit de facon pro
  • maintenir ses connaissance à jour
  • soigner le patient avec un traitement optimal et selon les standards actuels (ne pas promouvoir un nv diag non conformes)
  • limiter ou interrompre son activité si inaptes physiquement/psychiquement
  • superviser de facon appropriée les étudiants en stage
  • ne pas accepter de cadeaux si influence jugement
  • conserver le dossier du patient au moins 30 ans APRES ARRET du traitement !!!
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30
Q

le secret professionnel définition :

A
  • Secret professionnel > code de deonto renvoie au code pénal art 458
  • Secret = tout ce qui est appris, surpris, déduit, par l’exercice de la profession/ tout élément qui tient à
    l’intimité de la personne et qui est connu du confident
  • Pour que la révélation du secret soit pénalisée il faut qu’elle soit effective et volontaire ; pas de délit si la
    révélation résulte d’une imprudence, oubli, ou légèreté ; l’absence de sanction pénale n’évite pas que la personne qui aurai subi un dommage de par la révélation du secret ne puisse demander dommages et intérêts en réparation d’une faute
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31
Q

la responsabilité pro du logopède en relation avec le patient

A
  • veiller au BE et Santé du patient
  • n’exercer aucune discrimination
  • se tenir au secret pro
    PUNISSABLE sur base de l’article 458 du CP
32
Q

Exception de la levée sur secret professionnel (4)

A
  1. Le secret professione partagé
  2. le signalement de maltraitence
  3. etat d’urgence (pour le patient ou autre)
  4. obligation légale de divguler des secrets
    => !! si divulgue par inadvertance : psy risque d’être punis de 8 jours à 6 mois d’emprisonnement et d’une amende de 50 à 500€. Mais, pour qu’une révélation tombe sous le coup de la loi, il faut qu’elle soit effective et volontaire (sanction pénale), si involontaire, possibilité de sanction civil)
    => ET AUNCUN ACCORD ORAL OU ECRIT avec le patient ne nous libère de ce secret
33
Q

la relation entre logopèdes

5

A
  • adpoter une attitue collégiale
  • transmettre info utile si echange de patient
  • contact régulier avec son collègue si indiscpensable pour patient
  • elargir ses connaissance
  • ne pas soustraire un collègue
34
Q

la repsonsabilité du logopède à l’égard des tiers

3

A
  • liberté et autonomie thérapeutiques
  • ne pas collaborer avec des personnes qui ont des techniques illégales ou inédéquates
  • interdicition d’accepter des comissions
35
Q

responsabilité du logopède à l’égard de la société

4

A
  • informer société sur profession
  • réputation repose sur compétence pro et intégrité
  • publicité acceptée SI :
    - veridique, objective pertinente et claire
    - ne peut pas etre : trompeuse, retreindre le choix, nuire, comparative
  • eviter toute action pouvant nuire à la profession
36
Q

cas pratique

Cas 1 : secret pro triade enfant-parent-thérapeute
Le parent demande au.à la logopède de ne pas parler d’un sujet à l’enfant (ex : dire le diagnostic ou parler d’un changement imminent d’école). Ce sujet est la clé de l’avancée thérapeutique.
Le parent a-t-il le droi t?

A

Oui, le parent est le représentant légal. Nous pouvons avoir un rôle de prévention et d’information, mais nous devons respecter son choix.

37
Q

cas pratique

Cas 2 : secret pro triade enfant-parent-thérapeute
Le logopède apprend une information dont la révélation aux parents risque d’entraîner un conflit, mais le mineur ne lui demande pas expressément de se taire.
Autorité parentale ou confidentialité ?

A

Les deux
Le.la logopède peut parler à l’enfant et lui demander s’il il.elle peut en parler à son parent. Il.elle peut accompagner l’échange et veiller à soutenir l’enfant dans la démarche.
=> Tout dépend de l’objet du conflit, de l’âge de l’enfant, de sa maturité, de son développement… la décision d’en parler au parent doit se faire au cas par cas

38
Q

cas pratique

Cas 3 : interruption de suivi thérapeutique
Le parent ne respecte pas le cadre thérapeutique, alors qu’il en a bien été informé au départ par écrit (tarif, fréquence, durée, présence parentale…). En effet, le parent était prévenu que les séances doivent se faire en présence des parents. Le parent arrive toujours en retard, s’absente souvent et lors des séances, il dépose son enfant, puis repart.
Faut-il interrompre ou continuer la thérapie dans ce contexte ?

A

Il convient d’abord de reparler du cadre thérapeutique. Être clair et bienveillant. Laisser le choix au parent de suivre le cadre proposé, de faire une pause ou d’interrompre la thérapie. Proposer éventuellement un.une collègue qui pourrait mieux convenir.

39
Q

cas pratique

Cas 4 : Chaque année, la.le logopède reçoit des chocolats à Noël par le même parent.
Le.la logopède peut-il.elle accepter les chocolats ?

A

Oui, si les chocolats n’influencent pas le jugement professionnel, les accepter en remerciant et les déguster !

40
Q

cas pratique

Cas 5 : secret partagé
Dans un établissement institutionnel, les assistants sociaux refusent de transmettre des informations familiales aux autres membres de l’équipe multidisciplinaire (logopèdes, psychologues, éducateurs…). Ces informations sont sensibles pour la famille du patient. L’équipe se plaint à ce sujet, elle ne se sent pas considérée dans son rôle. Elle estime qu’elle a le droit de savoir car elle fait valoir le secret partagé.
Les assistants sociaux ont-il le droit ?

A

=> Oui, s’ils estiment que certaines informations ne sont pas utiles au traitement.
Que faut-il faire ? Le secret partagé est valable pour les informations nécessaires à la prise en charge qualitative du.de la patient.e. Il convient de prendre chaque situation au cas par cas et d’évaluer le bien fondé de transmettre certaines informations sensibles et personnelles. Ce travail d’éclaicissement doit être traité en équipe

41
Q

hyper important

Que veut le comité d’éthique (obligatoire avant toute recherche) ?

12

A
  • détail du projet : balance des bénéfices de l’étude > balance des cout = justifier pq on fait cette recherche
  • expliquer protocole expériemntale, tres précisement
  • OU est-ce que l’étude prendre place (implication éthique)
  • COMMENT les résultats seront partagés (anonymat des participants)
  • prévoire les pb éthique ds la recherche menée
  • consenemnt eclairé ?
  • paiement des participants ?
  • critère d’inclusion/exclusion ? tranche d’age ?
  • type de population recrtuée ?
  • comment on obtient le consentement éclairé ?
  • est-ce que la procédure implique la déception ? (on peut l’utiliser)
42
Q

Considérations éthiques sur populations “sensibles”

3 catégories

A

1) prisonniers
- comment assurer qu’aucuns éléments d’autorité ne sera utilisé pour que les personnes détenues participent aux études?
- Comment s’assurer que l’argent n’est pas la motivation primaire pour participer à une étude?
- Est-ce que les services psycho-sociaux des prisons ont assez de disponibilités pour gérer le stress éventuel des personnes détenues après l’étude?
- Comment avoir accès à leur dossier criminel?
- Étude longitudinale: comment les suivre pendant et après leur parcours pénitentiaires tout en protégeant leur anonymat?
- Où les tester après leur sortie de prison?

1

43
Q

considérations ethiques pop sensible

A

2) Militaires
- comment s’assurer qu’aucuns éléments d’autorité ne sera utilisé pour que les militaires participent aux études?
- Comment éviter de passer par leur hiérarchie pour s’assurer d’une participation libre et volontaire?
- Comment s’assurer que les résultats ne seront pas utilisés à des fins militaires?

2

44
Q

considerations ethique pop sensible

A

3) génocidaires et victime aux Rwanda et Cambodge
- comment gérer les risques associés avec un épisode de résurgence traumatique?
- Un psychologue est-il disponible si besoin?
- Comment assurer l’anonymat des participants?
- Quid d’épisodes de torture?
- Comment les trouver et les recruter?

45
Q

C’est quoi des données à caractère personnel?

A

toute information concernant une personne, qui permet de remonter à son identité par un enchainement d’opération (parcours d’une étudiant, CV, ..)

46
Q

c’est quoi les données sensibles ?

A

des données qui sont sensibles du point des vue des libertés et de droits fondamentaux => font l’objet d’un régime renforcé de protection car pourrait engendrer des risques importants pour ces libertés et droits
- ex : origines raciales, opinions politiques, convictions religieuses, appartenance syndicale, santé, etc

traitement des ces données INTERDIT

47
Q

que signifie donner son consentement ?

A
  • être éclairé = info transparente, accessible, mention du droit de le retirer
  • etre libre = receuilli librement (pas si autorité demande de participer)
  • etre spécifique = si traitement à plusieurs finalités, alors consement pour chacune d’entres elles
  • être univoque (déclaration ou acte positif clair) = la personne doit trouver une case lui permettant de marquer son accord sur un traitement spécifique de ses données perso
  • !! consement doit etre révocable et explicite !!
48
Q

la déclaration d’Helsinki de l’association médicale mondiale : quels sont les différents points ?

A
  • ds la recherche, les personnes impliquées doivent etre correctement informée des objectifs, des méthodes, des sources de financement, conflits d’intéret, affiliations, bénéfices escomptés, risques, etc
  • doit etre informée de son droit de refuser de participer et de se retirer à tout moment
  • atteniton particulière au besoins d’info spécifique de chaque personne pouvant etre impliquée + aux méthodes adoptées pour les fournir
  • consentement libre et éclairé par écrit
  • si pas possible par ecrit, alors doit etre formelement documenté en présence d’un témoin !
49
Q

consentement d’enfants d’âge mineur

A
  • si mineur, droits fixé par la loi sont exercés par les parents exercant l’autorité sur le mineur (sauf si déchu de cette autorité par la justice)
  • les 2 parents ont acte de cette autorité (si les 2 st repsonsable de l’enfant)
  • le mineur doit etre impliqué dans le processus de consentement
  • Toutefois lorsque l’investigateur apprend, de manière directe ou indirecte, que l’autre parent a un point de vue différent sur la prise en charge de l’enfant, il doit tenir compte de cette divergence d’opinion, sauf si elle émane d’un parent déchu, par jugement, de l’autorité parentale.
50
Q

consentement si adultes “incapables”

A

= incapable temporairement, du fait de sa situation clinique OU définitivement du à sa situation mentale
- si temporaire : représentant légale signe consentement à poursuivre des que situation clinique rétablie et patient pourra donner son consentement
- si définitif : si patient incapable de donner son consement, il est associé à la prise de décision autant qu’il est possible et compte tenu de sa capacité de compréhension (obtenir consentement oral, ou pas autre manière que écrit)
- le représentant légale peut accetper une participation du patien incapable en prenant en compte sa probable volonté ET patient sera mis au courant des qu’il sera rétablit et pourra soit continuer soit mettre un terme

51
Q

consentement si incapacité de signature

A

= situation ou participant est incapable de signer suite à un pb de santé
- un témoin impartial devra etre présent durant l’entiereté du processus et doit confirmer :
- que info sur objectif et procédures ont été fournié
- que le patient a apparement compris l’étude et le consentement à participé à été donné librement

52
Q

comment obtenir consentement ds le cas de population spécifiques

A

militaires :
- utiliser valves pour le recrutement

prisonniers (taux d’alphabétisme élevé et peu de CEB) :
- adapter son langange
- flyers d’info “écrit” => ne recruter que ceux ayant deja un niveau acceptable de lecture

53
Q

consentement en cas particulier “incidental findings” en IRM

+ procédure

A

= participent viennent passer une IRM pour une recherche
- sur le scan on voit un pb
- prcédure à appliquer :
- participant doit etre informé de la procédure et marquer son accord :
1. réaliser un scan plus précis ss le dire au participant
2. envoyer ce scan au radiologue de l’hopital
3. si rien d’inquiétent ou non curable : ne rien dire au participant
4. si curable : informer son GP (géénral practitioner)

!! informer le patient que si pas de nouvelles denous, cst qu’ils vont bien !!

54
Q

Open science, cst quoi ? + impact

A

permet de gérer les publications durant la crise de la reproductibilité :
- science + crédible
- science + fiable
- science + efficace
- réponse au défis sociétaux
- implications des citoyens
- permet croissance economique

55
Q

le préenregristrement des recherches sur Open Science permet quoi ?

A

permet donc d’éviter que les papiers ne soient réécrits en fonction d’hypothèses qui n’étaient pas du tout celles des auteurs à la base.

56
Q

pour un partage des données, il faut qu’elles soient FAIR :

A
  • Findable : lien pour le trouver
  • Accessible : rendre données publiques
  • Interoperable : pouvoir comprendre ce que représente chaque données et comprendre leur interprétation
  • Re-usable : d’autres pourront les utiliser
57
Q

cas sépcial : reconstruction faciale à partir de scans IRM

A
  • mettre scans anatomiques en versions “de-faced” sur OSF pour protéger anonymat
58
Q

résumé des bonnes pratiques éthiques : (5)

A
  • accord du comité éthide pour TOUTES les procédures (recrutement, annonce, document fournis, rémunération, désagréments,..)
  • adéquations des ressources : pour mener une enquête solide et valable, l’investigateur doit pouvoir démontrer : un chance raisonnable de recrtuer le nbr requis d’ind, un calendrier pour mener etude efficacement, une méthode efficace
  • compétences des investigateurs et conventions : investi doit avoir formation nécessaire pour assurer la reponsabilité, posséder les compétences requises, il peut déleguer ses fct a un personnel adéquatement compétent ET l’étude doit pouvoir etre surveillée, évaluée et inspectée par promoteur/autorités
  • gestion des dossiers et rapports : relève de l’expérimentateur
  • si chgt au niveau protocole ; amendement :
    - modifications substantielles doivent faire l’objet d’une nouvelle demande (chgt au niveau des participants, etc)
    - modification non-substantielle ; comité doit etre informé par ecrit mais pas nécessaire une nouvelle demande
59
Q

qu’est ce qu’une expérience sur animaux ?

A

fait référence à toute utilisation invasive ou non d’un animal, menée à des fins expérimentales ou a des fin d’enseignements susceptibles de causer à cet animal une douleur, une souffrance, une angoisse ou des dommages durables équivalents ou supérieur à ceux causés par l’introduction d’une aiguille conformément aux bonnes pratiques vétérinaires

60
Q

qu’est ce qui n’est pas une expérience sur animaux ? (6)

A
  • actes pratiqués dans les exploitations agricoles à des fins non expérimentales
  • à la pratique de la médecine vétérinaire à des fins non expérimentales
  • aux essais cliniques vétérinaires nécessaires aux fin d’une autorisation de mise sur le marché d’une médoc veto
  • aux actes pratiqués à des fins d’élevage recconues
  • aux pratique dans le but premier d’identifier un animal
  • aux pratiques qui ne sont pas susceptible de cause une douleur, souffrance, angoisse ou dommages
61
Q

la pertinence des modèles animaux dépendent de leur usages (prédictif ou explicatif) :

A
  • sujet etudes (écologique, éthologie) : P et E ok
  • modèles des mécanismes du vivant : P et E ok
  • modèles maladies humaines (neuro-/psychiatrique, cancers, ..) : E ok mais P oui et non
  • modèles prédictif toxicologique et thérapeutique : E et P PAS OK
62
Q

méthodes alternatives à l’utilisation des animaux :

A
  • in Vivo : environnement, cpts, interaction sociale
  • In Vitro : cultures cellulaires, ..
  • In Silico : modélisation mathématique
63
Q

pourquoi la souris bcp utilisée ?

A
  • reproduction rapides, maturation des jeunes rapides
  • approche transgénique possible depuis lgt
  • 6374 maladies disposent d’un ou plusieurs modèles murins (=souris)
    = > 90% du génome de l’homme et murin peuvent etre divisé en régions correspondantes de synténie conservée
64
Q

rappel diff éthique et morale

A

l’éthique = théorie rationnelle de la conduite de la vie individuelle
morale = représente la dimensions collective de la détermination de ce que tout le monde devrait faire

65
Q

quand prend place la commission d’éthique du BE animale en BE ?

A

Loi du 14/08/1986 :
- établît critères éthiques concernant expériences sur animaux
- evaluation et autorisation des projets prévus
- formulation d’avis à la destination des directeurs du laboratoire, maitres d’expériences et collaborateurs en ce qui concerne les aspects éthiques des expériences sur animaux
- evaluation rétrospective des projets
- examen des plaints et dénonciations concernant utilisation abusive et impropre des animaux en labo

66
Q

Art 17 : évaluation et autorisation des projets (éthique animale)

A
  • chaque utilisateur procède à des expériences sur animaux soumet au préalable ses projets à la commission d’éthique
  • CE composées de 7 membres : l’expertise des membres de la Commission garantit une compétence en matière d’éthique, de méthodes alternatives à l’expérimentation
animale, de santé et de bien-être animal ainsi qu’en matière de techniques expérimentales, de direction d’expérience et d’analyse statistique.
  • utilisation et mise en place du raffinement, réduction et remplacement (règles des 3 R) :
    - raffinement (refine) = recours aux espèces dites inférieurs, meilleurs conditions d’élevage
    - réduction (reduce) du nbr d’animaux utilisé
    - remplacement (replace) par méthodes alternatives
67
Q

personnel qualifié pour expérience animale :

A

si formation faite et titulaires d’une diplôme universitaire ou certificat complémentaires en sciences des animaux

68
Q

dernière législation sur expérience animale

A
  • conditions d’élevage et conservation des animaux strictement définis
  • toutes expérimentations animale au sein d’une université requiert dépôt préalable d’une dossier éthique et approbation de la CE
69
Q

conséquences de l’utilisation des 3 R en expérience animale ?

A
  • permet de totalement remplacer la nécessité de recours animale
  • permet de réduire le nbr d’animaux utilisé
  • permet de réduit niveau de stress et douleur

=> tout en rencontrant les nécessités de cette recherche pour humains et animaux
(doit être utilisée pour qu’une expérience soit justifiée)

70
Q

comment se construit la déontologie des institutions pour des jeunes de catégories 140 (trbl de l’attachement, intolérance à la frustration, impulsivité, hyperactivité..)

A

Cadre légal :
- protection des mineurs en danger
- accompagnement psychologique de l’enfant
- héberge enfant si nécessaire
- permettre à l’enfance de se fixer dans résidence secondaire (si > de 16 ans)
=> !! aucune mesure prise sans accorde du conseiller

Cadre institutionnel :
- améliorer la qualité de vie des patients
- procédure d’évaluation permanente pour assurer qualité du suivi

71
Q

QUESTION : partage d’informations à la famille dans le cadre d’une jeune en institution : si situation ou un parent revendique son droit à l’information et veut avoir accès aux rapports rédigés pour son fils (qu’elle juge schizophrène et lui juge la mère), le psy doit faire quoi ?

A
  • l’institution lui envoie le PETI rédigé par équipé disciplinaire
  • le psy utilise les 15 jours accordés pour réécrire une rapport psychologique en se contentent d’écrire les thèmes abordés pas le jeune
72
Q

procédure pour admission d’une jeune belge dans institution : AVIQ

A
  • admission doit etre avalisée par AVIQ
  • bcp d’infos demandées (profil du jeune, situation de vie, ..) => questionne le fondement du secret pro et peut empêcher d’avoir un regard tiers
73
Q

QUESTION : face à l’exigence de l’AVIQ concernant le canevas d’intervention pour introduire un jeune en institution, l’institution va?? :

A
  • remplira succinctement avec l’aide et accord de la famille et du jeune !!
74
Q

rédaction d’un rapport d’évaluation du jeune en institution :

A

reprend les grandes lignes : construction personnelle du jeune, sa capacité à etre en relation, sa socialisation, etc
- ne peut pas etre insérée au dossier papier du jeune
- peut etre demander par agent national

75
Q

QUESTION : Diego a 14 ans, il est hébergé au coga depuis 3 ans. Depuis plusieurs mois, je m’interpelle de son discours « délinquant » et de sa faible capacité d’empathie. Sa situation familiale se dégrade et il semble dans une dynamique régressive sur le mode du « plus rien à perdre ».
À l’école, Diego va se bagarrer avec un autre élève et va littéralement le passer à tabac. La famille de la victime va déposer plainte. De notre côté, nous faisons remonter l’information à sa référente ASE.
Elle revient vers nous car elle souhaite solliciter le juge en vue d’ordonner une expertise psychiatrique. À ce titre, elle me demande d’écrire un rapport d’évolution dans lequel je fais état de cette même préconisation. => que faire face à la demande de cette référente :

A
  • proposer à la référente de solliciter le juge pour cette expertise, et de nous montrer disponible si l’expert psychiatre venait à souhaiter notre regard