Psychologie #2 Flashcards

1
Q

1 - Influences sociales

Quelles sont les 5 modalités d’influences sociales ?

A
  1. La normalisation
  2. Le conformisme
  3. L’innovation
  4. L’acquiescement
  5. L’obéissance
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2
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce que le conformisme ? Peut-il être le résultat de la pression d’une minorité/d’une seule personne ?

A

Le conformisme amène un CHANGEMENT de croyances ou de comportements en raison d’une PRESSION à faire COMME les autres. Normalement c’est une majorité sur une minorité, mais exceptionnellement ce pourrait être une une personne ayant beaucoup d’importance qui aura le même effet que si c’était un groupe/une majorité

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3
Q

1 - Influences sociales

Dans le conformisme, la pression peut être évidente ou subtil et elle peut réelle ou imaginée. Expliquez.

A
  • évidente (ex. : les amis d’un adolescent qui incite pour q0u’il fume)
  • subtil, soit on s’en rend pas compte sur le coup (réaction spontanée de rire quand les autres rient, mais finalement on se demande ce qui était drôle)
  • elle est réelle (ex. : quand nos amis nous incite explicitement à fumer)
  • imaginée (ex. : je pense que mes amies aimeraient que je les invite chez moi, ressentir une pression pour se faire, alors même que ses amies lui ont rien dit directement)
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4
Q

1 - Influences sociales

Quand on se conforme, on le fait souvent dans 3 niveaux de contexte, quels sont-ils ? Expliquez brièvement chacun. Qu’arrive-t-il si le groupe qui nous a influencé change ? (et ce, toujours selon la perception de l’individu influencé)

A
  1. L’intériorisation : on est CONVAINCU (changement profond) que c’est ce qu’il faut faire, même si le groupe change, on ne change pas = C’EST INTÉRIORISÉ, À LONG TERME
  2. L’identification : on se sent appartenir/ressembler au groupe (moins profond) «si c’est bon pour eux, c’est bon pour moi»), si le groupe change, je vais changer aussi = PAS CONVAINCU
  3. La soumission : la personne sait que ce n’est pas nécessairement le bon comportement, mais elle fait quand même = PAS DE CHANGEMENT DE CROYANCE EN SOI, LE PLUS SUPERFICIEL
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5
Q

1 - Influences sociales

Quand quelqu’un maintien ses croyances ou ses comportements en dépit des pressions sociales, de quoi s’agit-il ?

A

C’est l’indépendance.

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6
Q

1 - Influences sociales

Quelle est la différence entre l’indépendance et l’anticonformisme (définissez au fond ce qu’est l’anticonformisme) ?

A

Dans l’indépendance, on MAINTIENT ses croyances/comportements. Alors que pour l’anticonformisme, on va ADOPTER des croyances/comportements à l’ENCONTRE de celles des autres.

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7
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce que l’uniformité, le conventionnalisme et la déviance ont en COMMUN ? Et définissez chacun en donnant un exemple notamment.

A

Les 3 ne sont PAS reliés à une situation de pression sociale, ce sont plus des comportements «d’habitude» entre autres

Uniformité : tous réagissent de la même façon à un stimulus ; ex. du spectacle : les gens se lèvent et applaudissent, car ils sont affectés de la même façon, ils sont tous émus

Conventionnalisme : relève de comment on a appris à se comporter dans une société, de notre socialisation, ex. : dire merci

Déviance : faire des comportements contraire à la norme, mais par simple choix personnel, par un désir d’exprimer notre individualité, ex. : rouler vite en tout temps, car j’aime rouler vite

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8
Q

Il y a le conformisme, mais nommez les 4 autres modalités d’influence sociale et expliquez les.

A
  1. La normalisation : c’est le processus par lequel une norme se développe
  2. L’innovation : c’est le changement de croyances/comportements d’une majorité résultant de la pression d’un personne ou d’une minorité
  3. L’acquiescement : soumission suite à une demande formulée d’une manière qui utilise des stratégies/des procédés pour augmenter la chance d’influence
  4. Obéissance : soumission suite à une demande formelle venant le plus souvent (mais pas tout le temps) d’une autorité
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9
Q

1 - Influences sociales

Dans le processus d’influence social, il existerait 5 réactions possibles de l’individu suite à l’influence des autres, quelles sont elles ? (ex. de l’individu se trouvant dans un ascenseur)

A
  1. L’individu peut garder son comportement de départ (R1 ou R0) = INDÉPENDANCE
  2. L’individu peut faire un comportement tout à fait différent avec son comportement de départ (R1 ou R0) et du comportement des autres personnes dans l’ascenseur (RA) = ANTICONFORMISME
  3. L’individu pourrait faire partiellement le comportement des autres (RA) = CONFORMISME PARTIEL
  4. L’individu pourrait faire complètement le comportement des autres (RA) = CONFORMISME
  5. L’individu pourrait faire plus que le comportement des autres (RA) = CONFORMISME EXAGÉRÉ
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10
Q

1 - Influences sociales

Dans le processus de l’influence sociale, quelle est la motivation d’une influence informative et de l’influence normative ? Nommez finalement la grande distinction entre les deux influences.

A

Dans le contexte d’une influence informative ; c’est qu’il y a une incertitude qui nous pousse à vouloir aller chercher la réalité/la bonne réponse auprès des autres, des personnes en qui on a confiance le plus souvent… on veut être exact

Dans le contexte d’une influence normative ; c’est lié au besoin d’approbation, à notre besoin d’être accepté ou approuvé ou pour éviter le rejet ou l’hostilité

Finalement la grande distinction est que dans l’influence normative, contrairement à celle informative, il n’y a pas nécessairement un changement intérieurement, la personne ne pense pas nécessairement comme la norme… c’est seulement un «consentement apparent» = CHANGEMENTS sont plus forts et plus durables pour l’influence informative

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11
Q

1 - Influences sociales

Est-ce qu’il peut il y avoir une influence normative et une influence informative au MÊME MOMENT ?

A

Oui !!

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12
Q

1 - Influences sociales

Expliquer le processus de la normalisation (les 3 critères).

A
  1. À la base, il y a plusieurs personnes qui se retrouvent dans une situation où personne ne sait comment faire ou du moins incertain de comment bien faire la chose = situation ambiguïté pour tout le monde
  2. Le seul point de référence = tout le monde se réfère aux autres
  3. comme tout le monde se réfère aux autres = ils en viennent à faire tous la même chose = ça devient la norme
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13
Q

1 - Influences sociales

Les normes sociales sont-elles toujours implicites ? Donnez un exemple d’une norme explicite. Attentes versus ententes

A

Non, ex. les lois/les panneaux de signalisation/ les contrats …

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14
Q

1 - Influences sociales

Sur quoi portait l’étude de Sherif (1936)/qu’a-t-il mis en lumière ? Expliquez la procédure de son étude et les résultats/conclusions.

A

Il a mis en lumière le phénomène par lequel les individus s’entendent spontanément sur interprétation «correcte» de la réalité - influence informationnelle : les participants veulent faire l’évaluation la plus juste possible, et ajustent la leur à celle des autres
Donc quand la réalité est floue, tendance de l’être humain à s’empresser de la définir, et il y a parvient en s’entendant avec les autres sur le sens à lui donner.

Contexte : on a utilisé dans l’expérience le mouvement autocinétique, c’est-à-dire l’apparente mobilité d’un point lumineux stationnaire dans l’obscurité totale

Procédure :
- La première étape (session individuelle) : un participant à la fois, on demandait de combien de pouce le point lumineux se déplaçait et plusieurs essais + calcul de la moyenne
- Deuxième étape (regroupement par équipe de 3 – session groupe 1, session groupe 2, session groupe 3) : les personnes étaient côte à côte, on leur demandait leur réponse à tour de rôle, donc ils entendaient les réponses des autres
- Au point final : apparition de la norme (tout le monde dit/fait la même chose)

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15
Q

1 - Influences sociales

Quel est le point de départ du déclenchement de la normalisation (on a conclu à cela notamment dans l’étude de Sherif) ?

A

Le point de départ est un fort degré d’incertitude qui poussera/motivera à écouter les autres pour essayer d’avoir la meilleure/bonne réponse.

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16
Q

1 - Influences sociales

Sur quoi portait l’étude d’Asch (1951) ? Expliquez la procédure de son étude et les résultats/conclusions.

*pour les résultats, lire au moins le début des réponses, sans dire les pourcentages

A

Il s’est intéressé au conformisme : donc le fait de ne pas avoir à la base la même croyance/le même comportement que les autres, mais finir par l’ADAPTER étant influencé.

Déroulement de l’expérience :
- 7 participants assis d’un côté, et de l’autre côté, le chercheur
- 1 seul des participants est un vrai participant, «participant naif» - toujours l’avant-dernier
- Les complices arrivent toujours d’avance, comme ça il reste une place
- Tâche : on leur montre un carton, doit dire quelle ligne de comparaison est identique à la ligne critère
- Le droit de parole (réponse) est toujours dans le même ordre (pour qu’il ait le temps de subir une influence des autres) - le participant naïf est l’avant-dernier à répondre

Résultats :
- Lorsque les participants complices donnent une réponse incorrecte, combien en pourcentages des réponses des participants naïfs font preuve de conformisme ? : 37%
- Parmi les particpants naifs, combien en pourcentage …
Se conforment jamais ? 25%
Se conforment au moins une fois sur deux ? 50%
Se conforment occasionnellement (entre 0 fois et 1 fois sur deux) ? 25%

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17
Q

1 - Influences sociales

Quelques explications au conformisme reliées au CONTEXTE et qui vont avoir un impact sur le pourcentage de conformisme…pour chacun dites s’il y a aura PLUS ou MOINS de conformise

*il faut donc lire une partie des réponses

A
  1. Impact plus l’ambigüité de la tâche est grande : PLUS de conformisme
  2. Impact de la grandeur d’une majorité, plus il y a de personnes : PLUS de conformisme, jusqu’à 3-4 personnes où ça se stabilise (=nombre optimal, soit le plus petit nombre de complices pour atteindre la plus grande influence)
  3. Impact de personnes attrayantes, plus les personnes sont attrayantes… : PLUS il y a de conformisme
  4. Impact d’un allié (quelqu’un qui dira les mêmes réponses que nous) : MOINS de conformisme
  5. Impact de donner une réponse privée au lieu de public : MOINS de conformisme
  6. Impact de la saillance d’une norme (plus on remarque une norme) : PLUS de conformisme
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18
Q

1 - Influences sociales

Quelles sont les deux façons dont la saillance d’une norme peut se présenter ? Expliquez chacune brièvement avec un exemple.

A

La norme descriptive et la norme prescriptive.

Descriptive : en VOYANT les gens ou EN VOUS DÉCRIVANT ce que les gens font généralement, on vous rappelle la norme, ex. : dans une bibliothèque, le fait que personne parle ou le fait de dire que généralement les personnes ne parlent pas dans une bibliothèque

Prescriptive : on vous DIT EXACTEMENT quoi faire, quel comportement adopter, ex. : un panneau sur lequel il serait écrit de garder le silence

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19
Q

1 - Influences sociales

Quelques explications au conformisme reliées à L’INDIVIDU et qui vont avoir un impact sur le pourcentage de conformisme…pour chacun dites s’il y a aura PLUS ou MOINS de conformise

*il faut donc lire une partie des réponses

A
  1. Impact d’une estime de soi faible : PLUS de conformisme
  2. Impact d’un fort besoin d’affiliation : PLUS de conformisme
  3. Impact du monitorage de soi (vif besoin d’adapter son comportement aux exigences sociales), plus il est élevé : PLUS de conformisme
  4. Impact d’une personnalité autoritaire : PLUS de conformisme
  5. Impact du besoin de maintenir une individualité : MOINS de conformisme
  6. Impact d’un besoin de garder le contrôle sur sa vie : MOINS de conformisme
  7. L’âge : l’adolescent : PLUS de conformisme, tout le monde se conforme, mais c’est particulier aux adolescents
  8. Entre les hommes et les femmes : Dans un contexte neutre conformisme n’est pas différent, mais en société, le conformisme est PLUS élevé pour les femmes puisqu’elles privilégie l’harmonie sociale aux dépens de leur propre perception
  9. Impact de la culture : PLUS de conformisme dans les cultures collectivistes versus MOINS de conformisme dans les cultures individualistes
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20
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce qu’une personnalité autoritaire ? Est-ce la même chose qu’une figure d’autorité ?

A

C’est un trait de personnalité caractérisé par la rigidité, la soumission à l’autorité… ce n’est donc pas la même chose qu’une figure d’autorité

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21
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce que le monitorage de soi ?

A

C’est la tendance à régler son comportement en fonction de la situation et des réactions d’autrui

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22
Q

1 - Influences sociales

Moscovici a étudié quelle modalité d’influence sociale ? Qu’est-ce que le paradigme bleu-vert de Moscovici, le processus ? Quels sont les résultats ?

A

Il a étudié l’innovation ; donc l’influence d’une minorité sur une majorité.

Processus : série de dispositives bleues qui ne différaient entre elles que par la luminosité… 1. Prétest sur un groupe témoin, on leur démontre d’identifier la couleur = démontre que le stimulus est peu ambigu, pratiquement pas d’erreur
2. On montre ces mêmes diapos à un groupe de participants composé pour un tiers de complices (MINORITÉ) qui répondaient systématiquement que les diapositives étaient vertes au mépris de l’évidence.
3. Malgré les réactions d’abord surprises ou amusées des participants ; 8% des réponses de la majorité ont fini par aller dans le sens de la minorité, et 32% des participants de la majorité ont suivi la minorité à au moins une occasion.

Conclusions :
- Des participants ont modifié leur réponse pour adopter le point de vue de la minorité
- Même si on désapprouve publiquement une minorité, celle-ci exerce une influence sur le jugement

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23
Q

1 - Influences sociales

Comment peut-on qualifier le phénomène d’innovation qui a été constaté par Moscovici ?

A

Phénomène de «conversion»

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24
Q

1 - Influences sociales

Il existe une sorte de consensus, en psychologie sociale, sur l’influence d’une majorité (conformisme) versus l’influence d’une minorité (innovation), quelle est-elle ?

A

Les majorités génèrent un changement surtout public et temporaire, tandis que les minorités auraient une influence plus directe et persistante et qui répondrait à ce qu’on appelle l’influence informationnelle

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25
Q

1 - Influences sociales

Quelles sont les 3 choses qui aident une minorité à être persuasive ?

A
  1. La cohérence (la constance)
  2. La confiance en soi
  3. Défections au sein de la majorité (quand des membres de la majorité se rallie à la minorité)
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26
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce qui fait surtout qu’une minorité est persuasive (3) ?

A
  1. Plus de pression
  2. Plus de préparation
  3. Plus d’influence informative
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27
Q

1 - Influences sociales

Dans l’étude de Zdaniuk et Levine (1996), quels ont été les résultats ? Il s’agit d’une étude sur le processus de réflexion. Qui de la minorité ou de la majorité ressent une plus grande pression à trouver de bons arguments ?

A

Résultats :
- Quand qqn se sent dans une position de minorité, il ressent plus de pression ressentie
- Les gens en position de minorité font plus d’efforts pour trouver de bons arguments pour convaincre les autres

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28
Q

1 - Influences sociales

Est-ce qu’il faut que l’autre personne sache ou non qu’on utilise des techniques d’acquiescement ?

A

Non, il ne faut pas qu’elle le sache, sinon la personne va résister à l’influence. C’est un peu de la manipulation…

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29
Q

1 - Influences sociales

Quels sont les 4 «façons de faire une demande » utilisées pour l’influence d’acquiescement, donc pour augmenter les chances que la personne accepte? Expliquez brièvement si besoin et les causes.

A
  1. Utiliser un débit verbal plus rapide : fait paraitre la personne plus intelligente/compétente + l’autre personne a moins le temps de réfléchir
  2. Utiliser des arguments pour justifier notre demande
  3. Présenter la demande dans un contexte ou une formulation particulière afin de la faire paraître positive : amorçage et les demandes positives paraissent moins dérangeantes
  4. Psychologie inversée, c’est-à-dire de dire le contraire que ce que nous souhaitons obtenir afin de faire réagir l’autre dans le sens souhaité : besoin de garder le contrôle (réactance psychologique) + effet de contraste (pour ne pas paraître extrémiste)
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30
Q

1 - Influences sociales

Quelle est la condition à l’utilisation d’arguments pour justifier une demande et pouvoir continuer d’augmenter nos chances que la personne accepte ?

A

Il faut que la demande soit petite, sinon l’argument n’aura que très peu d’impact (ex. : demander de passer en premier pour imprimer 5 pages versus 200 pages)

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31
Q

1 - Influences sociales

Il y a une variante à l’utilisation de la technique de la psychologie inversée c’est la modification de la réalité. Expliquez la, en donnant un exemple.

A

Au lieu de dire le contraire que ce l’on veut obtenir, on pourrait modifier la réalité, faire des «mensonges blancs» pour augmenter les chances que la personne accepte.
Ex. : dire que les carottes donnent des beaux yeux

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32
Q

1 - Influences sociales

Dans la modalité d’influence sociale d’acquiescement, il y a des techniques en séquences, qu’est-ce qu’elles ont toutes en commun ? Et quelles sont-elles ? (5) Expliquez les spécificités de chacune.

A

C’est des techniques en deux étapes précises soit; (1) Mise en place de la manipulation, pour obtenir l’accord (2) La vraie demande

Il y a :
1) Pied dans la porte : DEUX demandes différentes ; en commençant par (1) une très petite pour obtenir l’accord et puis (2) ensuite une plus grande
2) Amorçage : MÊME demande ; en commençant par (1) les aspects neutres/positifs pour obtenir l’accord et (2) soulever les aspects plus négatifs
3) Leurre : (1) ATTIRER la personne avec une offre et qu’elle accepte (2) dire que ce n’est plus disponible et lui offrir autre chose de plus coûtant
4) Porte au nez : DEUX demandes différentes ; en commençant par (1) une demande très grande qui sera rejetée (2) une demande plus modeste
5) Ce n’est pas tout : MÊME demande ; (1) demande dont l’importance est augmentée (2) diminuer l’importance apparente en offrant un rabais ou un bonus

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33
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce que «l’effet de gel» ? Et dans quelle technique en séquences peut-on l’observer ?

A

C’est le fait pour l’individu d’adhérer à sa décision et non aux raisons de celle-ci.
Elle s’observe dans la technique du pied dans la porte.

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34
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce que le «contraste perceptuel» ? Et dans quelle technique en séquences peut-on l’observer ?

A

Le fait qu’entre deux demandes il y ait une tellement grande différence que ça crée la perception que la 2ème paraisse encore plus petite qu’elle ne l’est déjà

On l’observe dans la technique de la porte au nez

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35
Q

1 - Influences sociales

Il existe d’autres techniques que celles appelées «techniques en séquences» soit ; la réciprocité, la flatterie, la culpabilisation, la similarité et la rareté. Expliquez chacun, en donnant un exemple.

A

La réciprocité : offrir quelque chose à l’autre avant de lui faire notre demande, ex. une boisson gazeuse ou rendre service à l’autre

La flatterie : consiste à complimenter l’autre avant de lui faire notre demande, ex. serveuse qui dessine un bonhomme sourire sur les factures et qui recevait plus de pourboire

La culpabilisation : rendre responsable l’autre afin d’obtenir quelque chose de lui , ex. : la personne qui vient de se faire réprimander est plus encline à vouloir rendre service

La similarité : faire ressortir des points communs avec l’autre avant de lui faire notre demande, ex. : dire qu’on a le même prénom

La rareté : le fait de décrire quelqu’un/quelque chose comme étant difficile à obtenir, ex. : candidature d’empli où il serait indiquer avoir déjà reçu deux offres = sont plus choisis

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36
Q

1 - Influences sociales

Qu’est-ce qu’une conspiration autistique ? Et dans quel contexte (quelle technique d’acquiescement) est-elle présente ?

A

C’est dans la technique de la flatterie.
C’est deux personnes (le flatteur et le flatté) qui se créent une réalité et cette réalité tourne autour du compliment ; les deux trouvent un intérêt à ne pas voir la réalité telle qu’elle est

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37
Q

1 - Influences sociales

Est-ce que l’obéissance est toujours par rapport à une autorité ?

A

NON, souvent, mais pas toujours

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38
Q

1 - Influences sociales

En quoi consiste l’étude de Milgram (1963) ? Quels sont les résultats ?

A
  • Contexte : il recevait à chaque fois deux participants (dont un participant naïf : donc qui n’était pas au courant de l’étude et l’autre un complice). On voulait toujours que le participant naïf soit le professeur. À la base donc, trois personnes. À chaque fois que le professeur posait une question et que le complice faisait une erreur, le professeur devait administrer un choc électrique. Ça a commencé à 15 volt jusqu’à 450 volt, augmentant graduellement. On voulait jusqu’où le participant naïf allait aller, alors qu’il était avertie qu’il pouvait partir à tout moment. La figure d’autorité va rappeler la direction (sans menacer, ton très neutre) : «continuez», «l’expérience exige que vous continuez». Le participant naïf ne voyait pas l’élève, mais il l’entendait.

Résultats :
-63% des participants adultes de sexe masculin se soumirent jusqu’au bout aux injonctions de continuer faites par l’expérimentateur.
-chez les femmes, 65% qui se sont rendues jusqu’à la fin = pas de différence significative sur le plan statistique

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39
Q

1 - Influences sociales

Dans l’expérience de Milgram ; qu’est-ce qui amène le plus d’obéissance et le moins d’obéissance, dans les différents contextes inscrits dans les réponses ?

A

-Quant à la proximité de la victime : Plus d’obéissance quand la victime est ni vue, ni entendue - moins quand on touche la main de la victime

-Quant à la proximité de l’autorité : Plus d’obéissance quand l’autorité est présente - moins quand il y a aucune autorité

  • Quant au type d’environnement : Plus quand c’est à l’Université Yale, moins dans un local au centre-ville
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40
Q

1 - Influences sociales

Dans l’expérience de Milgram qu’elle est l’excuse la plus souvent utilisée par les participants pour expliquer leur comportement ?

A

La déresponsabilisation en attribuant la responsabilité à l’autorité (lien avec la dissonance cognitive)

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41
Q

1 - Influences sociales

Quelles sont les deux grandes catégories de processus qui expliquent que l’individu obéisse à un ordre?

A
  1. Facteurs de maintenance (facteurs psychosociaux, car ça se passe entre la personne qui obéit et la personne qui donne l’ordre) ex. Politesse, maintenir sa promesse, sentiment d’embarras
  2. Processus d’adaptation (facteurs psychocognitifs, car ça se passe plus dans la tête des personnes qui continuent à obéir) ex. Se laisser absorber par la tache, dévalorisation de la victime
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42
Q

2 Processus de groupe

Qui a étudié le phénomène de la facilitation sociale ? Quel est ce phénomène ? Expliquer son étude était sur quel sport versus son observation initiale.

A

Norman Triplett.
Le phénomène : il s’agit d’avoir une meilleure performance personnelle lorsque l’on est en groupe que tout seul
Son étude était sur la vitesse d’enroulement d’un fil à moulinet.
Son observation initiale sur la course à vélo : contre-la-montre versus course contre d’autres cyclistes

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43
Q

2 Processus de groupe

Selon le modèle de Zajonc (1965), il y a des raisons qui explique pourquoi la facilitation sociale n’est pas un phénomène qui «fonctionne» toujours. Parfois il mène à l’amélioration du rendement, parfois plutôt à une détérioration du rendement, pourquoi ? Expliquez dans les deux cas, les trois étapes (en commençant par la présence d’autrui)

A

(1) Présence d’autrui - (2) Activation accrue - (3) Renforcement de la réponse dominante (soit le comportement qui nous vient plus spontanément)

Pour ce qui est de la conclusion ; cela va dépendre s’il s’agit «d’une tâche simple ou familière» OU «d’une tâche complexe ou nouvelle»

-S’il s’agit d’une tâche simple ou familière = AMÉLIORATION (facilitation sociale)
-S’il s’agit d’une tâche complexe ou nouvelle = DÉTÉRIORATION (inhibition sociale)

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44
Q

2 Processus de groupe

Comment appelle-t-on le phénomène contraire de la facilitation sociale ? Soit que notre performance personnelle serait détériorée en présence d’un groupe

A

C’est l’inhibition sociale

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45
Q

2 Processus de groupe

Dans la facilitation sociale, quand il y a déclenchement par la présence d’autrui, on dit soit qu’il y un «auditoire», soit qu’il y a «coaction», quelle est la différence entre les deux ? Donnez un exemple pour chacun.

A
  • auditoire : si quelqu’un nous regarde, ex. : un superviseur qui nous regarde, si quelqu’un passe pendant qu’on est entrain de s’entrainer dans un parc
  • coaction : si on fait tous la même tâche en même temps ,ex. : cubicules, danseurs
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46
Q

2 Processus de groupe

Zajonc a fait une expérience avec des coquerelles (1969) (chez des insectes) par rapport au phénomène de la facilitation sociale, avec une tâche simple et une autre plus complexe. Quels ont été les résultats ? Quelle est la grande conclusion ?

A

Résultats : pour la tâche complexe, les coquerelles performaient moins bien (ça leur prenait plus de temps à aller se cacher) en présence des autres = inhibition social // versus pour la tâche simple = facilitation sociale

Conclusion : la facilitation sociale et l’inhibition sociale sont des phénomènes universels selon lui

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47
Q

2 Processus de groupe

Par rapport à la facilitation sociale, on a vu dans une autre étude (celle de Zajonc) qu’il y a une activation accrue en raison de la présence d’autrui (auditoire ou coaction) qui serait impacté par la suite par rapport à la facilité/difficulté de la tâche. Il existe deux explications alternatives, quelles sont-elles ? Expliquez les brièvement.

A

(1) Appréhension de l’évaluation : le fait d’avoir peur d’être jugé/évalué
(2) Distraction cognitive : le fait d’avoir notre attention sur les gens aussi qui nous observe + la tâche

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48
Q

2 Processus de groupe

Est-ce que les explications alternatives : distraction cognitive et appréhension de l’évaluation sont elles aussi universelles ?

A

NON, juste pour les humains

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49
Q

2 Processus de groupe

Qui a étudié le phénomène de la paresse sociale ? Qu’est-ce que ça signifie ?

A

C’est Max Ringelmann.
Il s’agit du fait que dans une tâche collective additive, plus on rajoute de personnes dans une tâche, moins les personnes font des efforts individuellement

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50
Q

2 Processus de groupe

Quelle est la condition essentielle pour observer de la paresse sociale ? Peut-on en observer quand même le cas échéant ?

A

Il faut qu’il soit impossible de savoir qu’une personne fournit moins d’efforts. Autrement, la paresse sociale va diminuer plus la personne pense pense que les autres vont s’en rendre compte.

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51
Q

2 Processus de groupe

Dans le contexte de la paresse sociale, il y a une explication qui est la «diffusion de la responsabilité», qu’est-ce que cela signifie ?

A

Exemple d’u groupe de 5 personnes. Les autres devraient fournir aussi de l’effort, j’ai l’impression que j’ai pas besoin de donner mon 100%, on donne chacun notre 20% et ça fera 100%… Alors que tout le monde devrait donner son 100%

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52
Q

2 Processus de groupe

Quelles sont les 3 exceptions à la paresse sociale ? (contexte où il y en aura moins)

A
  1. Contribution de chacun est identifiable
  2. Tâche pose un défi
  3. Tâche est attrayante
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53
Q

2 Processus de groupe

Donnez des exemples de circonstances où il y a possibilité de paresse sociale versus d’autres où ce ne serait pas vraiment possible.

A

Possible : Pousser sur une auto, mettre des blocs, force d’applaudissements

Pas vraiment possible : compétition olympique

54
Q

2 Processus de groupe

Différenciez la facilitation sociale, la paresse sociale, l’inhibition sociale et la sécurité sociale. (Paradigme unificateur - Sanna 1992)

A

Première différence : quand on parle de facilitation et d’inhibition sociale = c’est juste la présence d’autrui versus paresse sociale et sécurité sociale, c’est en équipe (collective)
Deuxième différence : tâche facile = facilitation sociale ou paresse sociale versus tâche difficile = soit inhibition sociale ou sécurité sociale

Résultats :
Facilitation sociale : tâche facile et en présence d’autrui = performance meilleure
Paresse sociale : tâche facile et de manière collective = performance moins bonne
Inhibition sociale : tâche difficile et en présence d’autrui
Sécurité sociale : quand on se sent pas bon/pas super habile, donc le fait de faire la tâche avec d’autres, nous rassure… si je comprends pas, ils vont pouvoir m’aider…le fait de se sentir appuyé par des coéquipiers, alors que si on avait fait la tâche seule, on aurait été plus anxieux, donc moins performant

55
Q

2 Processus de groupe

Qu’est-ce que la polarisation de groupe ? Quelle est la condition essentielle ?

A

C’est le renforcement des tendances initiales des membres d’un groupe suite à la discussion entre des membres ayant des points similaires
**il faut absolument donc que dès le départ tout le monde dans le groupe pense la même chose/aient la même opinion

56
Q

2 Processus de groupe

Quels sont les inconvénients du phénomène de la polarisation de groupe dans un contexte de «remue méninge» ?

A
  • Les gens se laissent influencer par les autres
  • Veulent éviter les conflits, donc ajuste leur comportement en conséquence
    -Productions d’idées moins grandes
    -Les bonnes idées sont souvent rejetées
    -Peur d’être ridiculisé
57
Q

2 Processus de groupe

Quelles sont les trois explications à la polarisation de groupe ?

A
  1. Influence normative
  2. Influence informative
  3. Identification sociale
58
Q

2 Processus de groupe

Qu’est-ce que le phénomène de la «pensée de groupe» ?

A

Problème de fonctionne d’un groupe qui survient quand le besoin du maintien de la cohésion surpasse le besoin d’atteindre la meilleure décision - tellement d’énergie est mise sur la bonne harmonie et ça en arrive où on parle pas des problèmes et on aboutit à une mauvaise décision

59
Q

2 Processus de groupe

Quelles sont les 4 conditions qui vont accroitre le phénomène de la pensée de groupe ?

A
  1. Grande cohésion
  2. Aspect critique de la situation
  3. Présence d’un leader puissant
  4. L’imperméabilité du groupe (le renfermement du groupe sur eux-mêmes)
60
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la perspective évolutionniste, dès la naissance on est «programmées» à reconnaître qui ?

A

Les autres humains en général

61
Q

3 Relations interpersonnelles

Il existe 6 fonctions des relations interpersonnelles, (1) l’attachement, (2) l’intégration sociale, (3) le sentiment de compétence, (4) le soutien, (5) la guidance et (6) le sentiment d’utilité. Définissez brièvement chacun (les mots en majuscules, sont les plus importants).

A

(1) L’attachement : se sentir en SÉCURITÉ, se faire rassurer
(2) L’intégration sociale : PARTAGE, ÉCHANGE que ce soit des connaissances, des activités, des intérêts
(3) Le sentiment de compétence : se sentir COMPÉTENT (quand les AUTRES nous font des compliments)
(4) Le soutien : ENTRAIDE, UNE personne qui en aide une autre
(5) La guidance : notion de MODÈLE pour d’autres personnes, de RÉFÉRENCE, de CONSEIL
(6) Le sentiment d’utilité : se sentir UTILE (quand NOUS on aide les autres)

62
Q

3 Relations interpersonnelles

Qui vient répondre à une ou plusieurs des 6 fonctions des relations interpersonnelles ? En fonction de quoi ?

A

C’est notre réseau social, en fonction de nos besoins

63
Q

3 Relations interpersonnelles

Il y a 4 grands facteurs qui favorisent le rapprochement entre deux personnes, l’un d’entre eux est « les motivations sociales », 4 besoins y sont reliés, quels sont ces besoins ? Expliquez les brièvement. (les mots en majuscules sont les plus importants)

A

(1) Besoin d’affiliation : avoir PLUSIEURS relations interpersonnelles satisfaisantes, accent est mis sur la QUANTITÉ des contacts sociaux, les activités sociales sont pour cette personnes très PLAISANTES, elle a un comportement ACTIF (prendre la situation en mains pour organiser)
(2) Besoin d’intimité : recherche la QUALITÉ des contacts sociaux, la CONFIDENCE, comportements plus PASSIFS
(3) Besoin de relation à autrui : LIENS AFFECTIFS, SÉCURITÉ, relation d’ATTACHEMENT, cette personne est capable de M’AIDER
(4) Besoin instrumental : accent mis sur la RÉSOLUTION d’un problème, une difficulté plus de l’ordre matériel ; besoin de réparer mon piano, besoin d’aide pour mon déménagement

64
Q

3 Relations interpersonnelles

Dans le facteur «des motivations sociales», plus un besoin est FORT, plus l’attirance sera… ? Envers qui ?

A

FORTE, envers la personne qui nous semble pouvoir répondre à ce besoin

65
Q

3 Relations interpersonnelles

Dans le facteur «des motivations sociales», il y a un besoin qui est considéré comme fondamental pour le bien-être psychologique d’une personne, quel est ce besoin ?

A

Le besoin de relation à autrui

66
Q

3 Relations interpersonnelles

Dans le facteur «des motivations sociales», quand on a un besoin instrumental, on va pas toujours chercher activement de l’aide, par orgueil. Un déterminant majeur de la recherche d’aide est … accordée à autrui?

A

La confiance

67
Q

3 Relations interpersonnelles

À part les motivations sociales, il y a aussi le facteur de « proximité et familiarité » qui favorise le rapprochement entre deux personnes, expliquez ce facteur à l’aide des résultat de l’étude de Festinger, Schachter et Back (1950).

A
  1. Les voisins immédiats sont plus souvent nommés (les portes d’à côté)
  2. les personnes aux appartements centraux (donc 3&8) ont reçu plus de votes comparativement aux autres
  3. Quand on compare les deux étages, on se rencontre que les gens ont plus souvent choisit les gens de l’étage
  4. la probabilité décroit à mesure que la distance augmente
68
Q

3 Relations interpersonnelles

Quelle est la conclusion de l’étude de Festinger, Schachter et Back (1950) ? (Sur la proximité, les dortoirs universitaires)

A

La proximité augmente les opportunités de se rencontrer, d’interagir, de se connaître et de développer des liens. (suite logique)

Proximité géographique (côtoiement) augmente les chances de développer des liens.

69
Q

3 Relations interpersonnelles

Quel est le résultat de étude de Moreland et Beach (1992) : 4 filles avec profil physique assez semblables dans une classe où elle ne devait pas parler, juste se présenter/être très calme ?

A

Plus l’assistante (la fille) avait passé en classe, plus son attirance était grande selon les élèves (effet de la simple exposition)

70
Q

3 Relations interpersonnelles

Quel est l’effet de la simple exposition ?

A

Plus on est exposé à un stimulus (une personne par exemple), plus on a de chance de l’aimer - rend la personne plus familière à nous (on a l’impression de la connaître) et on diminue le sentiment de méfiance qu’on peut avoir envers quelqu’un qui nous ait complètement inconnu

71
Q

3 Relations interpersonnelles

À part les motivations sociales, la proximité/familiarité, il y a le facteur de l’apparence physique qui favorise le rapprochement entre deux personnes, donnez deux explications.

A
  1. La croyance que ce qui est beau est également bon
  2. Le profit découlant du fait d’être associé à une belle personne
72
Q

3 Relations interpersonnelles

Est-ce que la beauté (apparence physique) a des critères universels ? Peu importe la culture et les époques.

A

Non, même si ça se ressemble énormément globalement.

73
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon l’étude de Cunningham (1986) sur les caractéristiques d’un beau visage féminin, quelle est la conclusion (selon l’approche évolutionniste)? À quoi peut-on associer les caractéristiques qui sont ressorties ?

A

Les caractéristiques peuvent être associées à un visage de nourrisson (grand yeux, petit nez, petit mention, lèvres larges…).

Conclusion évolutionniste : provoquerait une réponse instinctive de protection

74
Q

3 Relations interpersonnelles

Dans l’étude de Cunningham (1986) sur les caractéristiques d’un beau visage féminin, à part l’aspect d’instinct de protection qui est ressortie par rapport aux préférences des hommes, quelles sont les 3 autres ?

A

La maturité (joues étroites, os de la joue haut et large)
La plaisance (côté positif avec le sourire)
L’intérêt de l’autre (sourcils hauts, pupilles dilatées)

75
Q

3 Relations interpersonnelles

Par rapport à la symétrie du visage et la beauté, quelle est la conclusion ? Et la raison de cette conclusion (approche évolutionniste) ?

A

Plus le visage est symétrique, plus la personne parait attirante
Raison : lien inconscient entre les imperfections et l’attirance

76
Q

3 Relations interpersonnelles

Quelle est la conclusion de l’étude de Langlois, Roggman et Musselman (1994) sur la méthode de la photo composite (soit une photo entièrement créée de plusieurs photos - moyenne d’un ensemble de photos)?

A

Le plus souvent, la photo composite est celle qui est évaluée comme étant la plus belle que les autres photos «originales»

77
Q

3 Relations interpersonnelles

Comment peut expliquer que la photo composite est celle qui est évaluée comme étant la plus belle en comparaison avec les photos «originales» ?

A

Il y a une explication cognitive, plus de chance que la photo composite ressemble à notre propre photo composite («prototype», la moyenne des gens que l’on a croisé) – c’est celle qui nous semble plus «familière»

78
Q

3 Relations interpersonnelles

Qu’est-ce que l’effet d’assimilation (découlant du fait d’être associé à une belle personne) ? Et quelle est l’explication (indice : un autre effet) ?

A

C’est le fait qu’une personne moyenne sera évaluée plus favorablement par les autres quand elle est vue avec une personne séduisante
Explication : l’effet de halo (tendance à faire une évaluation globale, comme un groupe)

79
Q

3 Relations interpersonnelles

Qu’est-ce que l’effet de contraste (découlant du fait d’être associé à une belle personne) ? Et quelle est l’explication (indice : un autre effet) ?

A

C’est le fait qu’une personne moyenne sera évaluée plus défavorablement (plus négative) par les autres quand elle est vue SUCCESSIVEMENT/APRÈS une personne séduisante
Explication : comparaison

80
Q

3 Relations interpersonnelles

À part les motivations sociales, la proximité/familiarité, l’apparence physique, il y a aussi le facteur de «la similitude et de la complémentarité» qui favorise le rapprochement entre deux personnes, c’est quoi ?

A

C’est la tendance à aller vers des gens avec qui on partage des points communs ou pour la complémentarité c’est d’aller avec des personnes compatibles, mais plus opposées

81
Q

3 Relations interpersonnelles

Qu’est-ce qui explique qu’on aille plus vers des gens qui ont des similitudes avec nous ? (4)

A
  1. Avec eux on a une relation plus équilibrée (théorie de l’équilibre)
  2. Ils renforcent ce que nous sommes/nous récompense d’être ce que nous sommes
  3. Influence mutuelle
  4. C’est ces personnes que nous avons le plus de chances de rencontrer dans notre vie de tous les jours
82
Q

3 Relations interpersonnelles

Les contraires s’attirent plus ou c’est qui se ressemble qui s’assemble le plus ?

A

C’est qui se ressemble s’assemble !!

83
Q

3 Relations interpersonnelles

À quoi sert essentiellement les «théories des types d’amour» de Lee (1977) ?

A

Essentiellement, à décrire comment on définit l’amour

84
Q

3 Relations interpersonnelles

Quels sont les trois types (définitions) dits «primaires» de l’amour ?

A
  1. Eros (passion)
  2. Ludus (jeu)
  3. Storge (amitié)
85
Q

3 Relations interpersonnelles

Quels sont les trois types (définitions) dits «secondaires» de l’amour ?

A
  1. mania (possessivité)
  2. agape (altruisme)
  3. pragma (rationalisation)
86
Q

3 Relations interpersonnelles

Quelle est la conclusion de la «théorie des types d’amour» ?

A

nombre infini des définitions de l’amour (analogie des couleurs : possibilité infinie de couleurs différentes)

Il n’existe pas une seule définition de l’amour. Il existe plusieurs types d’amour selon la définition de la personne.

Ce qui est le plus important, n’est pas la définition de l’amour, mais plutôt qu’une personne soit avec quelqu’un qui partage une définition similaire de l’amour.

87
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie des types d’amour, quel est le jumelage idéal entre deux partenaires amoureux ? a) Conceptions différentes de l’amour b) Conceptions de l’amour identiques c) Conceptions qui comportent des ressemblances

A

c)

88
Q

3 Relations interpersonnelles

En se basant sur la théorie des types d’amour, il y a eu une autre étude «Différence hommes-femmes», quelle est la conclusion de cette étude ?

A

Ces différences entre les hommes et les femmes sont en lien avec le point de vue sociobiologique : l’amour plus ludique de l’homme et l’amour plus pragmatique, durable et possessif de la femme favoriseraient conjointement le succès de la reproduction et de la protection de l’espèce.

Jeu = plus pour l’homme
Amitié, possessivité et rationalisation = plus pour la femme
Passion et altruisme = égal pour les hommes et les femmes

89
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie triangulaire de l’amour (Sternberg, 1986), quelles sont les trois composantes de l’amour ?

A
  1. L’engagement (cognitif)
  2. L’intimité (affectif)
  3. La passion (conatif)
90
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie de l’ouverture de soi (Altman et Taylor, 1973), il y a deux dimension à l’ouverture de soi, quelles sont elles ? Définissez brièvement.

A

Étendue : éventail de sujets partagés.
Profondeur : degré d’intimité des informations divulguées.

91
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie de l’ouverture de soi (Altman et Taylor, 1973), la «bonne» évolution d’une relation amoureuse, c’est quoi ?

A

(1) au début peu importe l’âge, l’étendu et la profondeur sont plus petits, et plus on est longtemps en couple, l’étendu et la profondeur va augmenter (2) corrélation positive entre l’ouverture et la satisfaction ; ça veut dire que les deux vont dans le même sens ; plus il y a d’ouverture, plus les gens se disent satisfaits de leur couple

92
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie de l’ouverture de soi (Altman et Taylor, 1973), lorsqu’il y a des conflits sans tentative de résolution dans une relation amoureuse, qu’est-ce qui se produit?

A

(1) l’étendu et la profondeur diminuent ; car les conjoints ne se parlent plus (2) l’étendu diminue, mais la profondeur augmente ; quand les conjoints vont parler mais uniquement de ce qui ne va pas bien et quand ils parlent de ce qu’il va pas bien, on y va en profondeur

93
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie des facteurs menant à l’engagement (Thibaut et Kelley, 1979), au début de la relation, qu’est-ce qui va nous donner envie d’être avec quelqu’un ?

A

Il faut que les bénéfices soient plus grands que les coûts, donc que le «résultat» soit positif

94
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie des facteurs menant à l’engagement (Thibaut et Kelley, 1979), pour être satisfait dans notre relation, qu’est-ce qu’il faut ?

A

Il faut que le résultat positif (entre notre bénéfices et coûts) soit ÉGAL OU SUPÉRIEUR au niveau de comparaison (c’est-à-dire par rapport à nos attentes personnelles et les relations d’avant/observées)

95
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon la théorie des facteurs menant à l’engagement (Thibaut et Kelley, 1979), qu’est-ce qui va faire maintenant qu’on va s’engager/rester engagé ?

A

Il faut que nos satisfactions MOINS nos autres options + notre investissement soit POSITIF

96
Q

3 Relations interpersonnelles

Selon l’étude du style attributionnel des couples, cela aura un impact sur l’état de la relation du couple. Expliquez.

A

Quand on attribue les choses positives dans notre environnement, à notre conjoint et les choses négatives à l’externe = évolution de notre relation
Le contraire, mènera au maintien de la détresse

97
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quelle est la différence entre un stéréotype et un préjugé ?

A

Le stéréotype est un ensemble d’informations qu’on a à propos d’un groupe social (c’est purement COGNITIF)
versus
Le préjugé est basé sur un ensemble d’informations ET il implique des affects pour le groupe social (COGNITIF ET AFFECTIF)

98
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que l’auto stéréotype ?

A

Stéréotype se rapportant à son propre groupe.

99
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce qu’un métastéréotype ?

A

C’est la croyance d’une personne à l’égard des stéréotypes que les membres des autres groupes ont à propos du groupe auquel elle appartient

100
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que la discrimination ?

A

C’est un comportement négatif à l’égard des membres d’un groupe

101
Q

4 Stéréotypes et préjugés

La discrimination la plus forte au Québec par rapport au reste du Canada ?
Le motif de discrimination le plus perçu par la proportion des victimes au Québec ?

A

Se rapportant à certaines religions.

La langue.

102
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le racisme ?

A

Il s’agit de (1) un préjugé défavorable ET (2) discrimination à l’égard de personnes EN RAISON de la couleur de leur peau ou de leur appartenance ethnique

103
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que vise l’échelle de distance sociale de Bogardus ? (tolérance)

A

Les répondants doivent indiquer le niveau d’intimité qu’ils seraient prêts à accepter avec des personnes provenant d’un autre pays. (réponse = bonne indice de leur tolérance à l’égard d’un étranger)

104
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le racisme traditionnel ?

A

Comportements visant à maintenir une certaine distance sociale par rapport « à l’étranger »

105
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le racisme moderne ou aussi appelé « symbolique » ? Donnez un exemple avec la discrimination positive.

A

C’est un racisme plus subtil, dans l’optique où il est exprimé INDIRECTEMENT et se fonde sur des RAISONS SOCIALEMENT ACCEPTABLES.
Par exemple, la personne va dénoncer de plus en plus les comportements plus favorables aux autres groupes

106
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le racisme d’aversion ?

A

D’un côté la personne va appuyer les mesures d’égalité envers un autre groupe (comme des personnes noires), mais de l’autre côté, elle aura des sentiments négatifs à leur égard

107
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le sexisme ?

A

Préjugés et discrimination FONDÉS sur le sexe d’une personne

108
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Vrai ou Faux.
Les caractéristiques PERÇUES par rapport aux traits de personnalité entre des hommes et des femmes sont MOINS différentes que celles se rapportant à celles physiques ou par rapport à leur rôle.

A

Vrai

109
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Toutefois, si on regarde OBJECTIVEMENT les caractéristiques des hommes et des femmes, c’est pour quelles caractéristiques que l’écart est le plus grand ?

A

Les caractéristiques physiques

110
Q

4 Stéréotypes et préjugés

En résumé, il existe de réelles différences entre les hommes et les femmes, mais on a tendance à les amplifier de façon plus marquée qu’en réalité = le premier biais de perception du sexisme. Quel est le deuxième ?

A

La discrimination

111
Q

4 Stéréotypes et préjugés

(1) sexisme hostile
(2) sexisme bienveillant
(3) sexisme ambivalent

différences ?

A

hostile = animosité à l’égard des femmes

bienveillant = comportement favorable pour les femmes qui adoptent des rôles traditionnels

ambivalent = comprend les deux formes, soit hostile et bienveillant

112
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quelle est la différence entre le sexisme traditionnel et celui moderne ?

A
  • Le sexisme traditionnel s’exprime à travers des affirmations à l’encontre des femmes versus
  • celui moderne se traduit pas un déni de la discrimination envers les femmes dans notre société ou de la rancœur à l’égard des « faveurs » accordées aux femmes
113
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Associer : comportement, attitude et croyance
Avec soit (1) préjugé (2) stéréotype (3) discrimination

A

(1) attitude
(2) croyance
(3) comportement

114
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le mythe de légitimation ?

A

C’est quand le groupe dominant s’attribue des qualités intrinsèques qui expliquent à ses yeux sa domination (erreur d’attribution fondamentale). Il en oublie les contraintes environnementales qui fixent les positions sociales.

115
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quels sont les facteurs pouvant être à l’origine des préjugés ?

A
  1. Facteurs historiques
  2. Contexte socioculturel : conflits d’intérêts réels entre des groupes - c’est le « conflit de groupe réaliste »
  3. Contexte psychosociale : à un très bas âge par la socialisation, les modèles, les médias
116
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Est-ce qu’on nait avec des préjugés ?

A

NON.

117
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que l’effet de génération ?

A

C’est le fait que chaque nouvelle génération manifeste moins de racisme traditionnel que la génération précédente

118
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quel est le type de personnalité le plus susceptible/prédisposé aux préjugés ?

A

La personnalité autoritaire (caractérisée par la rigidité, la soumission à l’autorité et des préjugés à l’égard de ceux qui sont différents)

119
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que l’ethnocentrisme ?

A

Croyance selon laquelle son groupe est supérieur aux autres

120
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce qu’un endogroupe ?
L’exogroupe ?

A

Endogroupe = groupe social qu’un individu perçoit comme étant celui auquel il appartient
Exogroupe = toutes les autres groupes

121
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que la Xénophobie ?

A

C’est l’hostilité à l’égard de ce qui est étranger

122
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Qu’est-ce que le déplacement d’une norme ?

A

C’est le fait d’évaluer des individus appartenant à des catégories sociales différentes selon des échelles n’ayant pas la même signification tout en employant les mêmes termes

123
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quelles sont les 3 conséquences des préjugés ?

A
  1. prophéties autoréalisatrices
  2. les personnes qui subissent les préjugés appréhendent de les confirmer (menace du stéréotype)
  3. conséquences néfastes sur le bien-être psychologique
124
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Quelles sont les deux approches/moyens pour réduire les préjugés ?

A
  1. le contact entre les groupes
  2. l’approche sociocognitive
125
Q

4 Stéréotypes et préjugés

Comment s’articule l’approche sociocognitive ; expliquez brièvement (1) l’individuation (2) la recatégorisation (3) la catégorisation croisée (4) la catégorisation multiple

A

(1) mettre l’accent sur les différences entre les individus plutôt que les groupes
(2) partir de deux catégories sociales pour n’en voir qu’une seule
(3) une personne prend conscience qu’elle appartient deux catégories sociales (cégépien, québécois)
(4) une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories sociales

126
Q

Lectures mélangées

Quelles sont les caractéristiques d’un groupe au sens où l’entend la psychologie sociale?

A

Contour défini
Organisation sociale reconnaissable
Interdépendance dans l’atteinte d’un objectif commun
Rôles définis
**pouvoir les non membres, des membres

Ne comprend pas les groupes formés sur Facebook ou des mouvements sociaux

127
Q

Lectures mélangées

Qu’est-ce que sont les dilemmes sociaux?
Solution?

A

Des situations où les intérêts individuels s’opposent au bien-être collectif
Solution = prise de conscience de sa propre responsabilité individuelle

128
Q

Lectures mélangées

Est-ce que ce sont les opinions de «droite» ou de «gauche» qui sont les plus polarisées (plus radicales)?

A

Les opinions de droite

129
Q

Lectures mélangées

Qu’est-ce que la théorie de la contingence ? (Leader)

A

L’efficacité d’un leader dépendrait de l’interaction entre ses caractéristiques personnelles et celles de la situation

130
Q

Lectures mélangées

Dans quel contexte il vaudrait mieux un leader orienté vers la tâche et dans quel autre contexte celui orienté vers les relations?

A

Vers la tache : quand la situation est très difficile à contrôler
Vers les relations : quand la tâche est modérément contrôlable

131
Q

Lectures mélangées

Différence ente rôle et statut?

A

Rôle = fonction
Statut = position