psycho général L1S1 Flashcards

1
Q

Quelle phrase célèbre de Jean Piaget résume l’importance de la mémoire?

A

“Tout participe de la mémoire.”

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2
Q

Quelle révolution a permis à la mémoire de devenir un thème majeur de recherche?

A

La révolution cognitive dans les années 60

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3
Q

Quelle métaphore de la mémoire propose Platon?

A

La mémoire est comme des tablettes de cire où les souvenirs sont gravés.

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4
Q

Quelles étaient les deux contributions majeures de Hermann Ebbinghaus à l’étude de la mémoire?

A

Le temps nécessaire pour apprendre et réapprendre des listes de syllabes sans sens

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5
Q

Qui a proposé la distinction entre mémoire épisodique et sémantique?

A

Endel Tulving en 1972

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6
Q

Qu’est-ce que l’effet Bartlett concernant le souvenir?

A

Les souvenirs ne sont pas statiques, ils sont modifiés au fil du temps selon les croyances personnelles.

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7
Q

Quelle théorie célèbre Alan Baddeley a-t-il proposée en 1974?

A

La théorie de la mémoire de travail

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8
Q

Quelles sont les deux formes principales de mémoire selon Tulving?

A

La mémoire épisodique et la mémoire sémantique.

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9
Q

Que représente l’amnésie dans les études de Ribot?

A

Un trouble pathologique qui aide à comprendre la mémoire normale.

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10
Q

Qu’est-ce que la théorie de la boîte noire dans le behaviorisme?

A

L’idée que le cerveau est une boîte noire dont les processus internes sont inaccessibles

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11
Q

Quelle distinction importante Atkinson et Shiffrin ont-ils proposée en 1968?

A

La distinction entre mémoire à court terme et mémoire à long terme.

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12
Q

Quelle est la caractéristique clé de la mémoire sensorielle?

A

Elle enregistre l’information avant le passage à la mémoire à court terme.

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13
Q

Qu’est-ce que l’effet de récence dans les expériences sur la mémoire?

A

Les derniers éléments d’une liste sont mieux retenus à court terme.

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14
Q

Qui a critiqué l’utilisation de matériel dénué de sens dans les expériences d’Ebbinghaus?

A

Frederic Bartlett

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15
Q

Dans les années 20-50, quelle théorie a dominé les recherches sur la mémoire aux États-Unis?

A

Le behaviorisme, initié par John Watson

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16
Q

Quelle distinction Daniel Schacter a-t-il introduite dans les années 80?

A

La distinction entre mémoire explicite et mémoire implicite

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17
Q

Combien de systèmes de mémoire Tulving propose-t-il en 2005?

A

Cinq systèmes principaux

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18
Q

Quelles sont les deux sous-catégories de la mémoire déclarative?

A

La mémoire épisodique et la mémoire sémantique

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19
Q

Quelle est la fonction principale de la mémoire épisodique?

A

Retenir des événements vécus personnellement dans un contexte spécifique

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20
Q

Quelles sont les caractéristiques du souvenir épisodique?

A

Il inclut des informations sur le lieu, le temps et l’état émotionnel.

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21
Q

Quelle est la définition de la mémoire sémantique?

A

C’est la mémoire des connaissances générales sur le monde.

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22
Q

Comment fonctionne la mémoire procédurale?

A

De manière implicite et automatique, souvent non verbalisable

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23
Q

Quels types de reconnaissance sont gérés par les systèmes de représentation perceptive (PRS)?

A

Les mots, les visages et les objets

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24
Q

Qu’est-ce que la mémoire iconique?

A

La mémoire sensorielle visuelle qui dure environ 200 à 300 millisecondes

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25
Q

Quelle est la différence entre la mémoire déclarative et la mémoire non déclarative?

A

La mémoire déclarative est consciente et verbalisable, tandis que la mémoire non déclarative est inconsciente et difficile à verbaliser.

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26
Q

Comment se nomme le test utilisé pour mesurer l’empan mnésique spatial?

A

Le test des blocs de Corsi

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27
Q

Quel est le rôle de la mémoire sensorielle dans la perception visuelle continue?

A

Elle permet la perception fluide des images, même si elles sont présentées de façon discontinue

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28
Q

Quelle est la durée de rétention de la mémoire à court terme (MCT)?

A

Environ 1 à 2 minutes

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29
Q

Quelle est la caractéristique clé des systèmes de représentation perceptive?

A

Ils reconnaissent les formes sans leur signification

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30
Q

Quels systèmes de mémoire sont qualifiés de non déclaratifs?

A

La mémoire procédurale et les PRS

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31
Q

Quelle est la différence entre une amnésie rétrograde et antérograde?

A

L’amnésie rétrograde affecte les souvenirs passés, tandis que l’amnésie antérograde empêche l’apprentissage de nouvelles informations

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32
Q

Pourquoi la mémoire épisodique est-elle autobiographique?

A

Elle enregistre les événements personnels vécus, contribuant à l’identité individuelle.

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33
Q

Quelles sont les deux formes d’apprentissage associatif ?

A

Le conditionnement pavlovien (répondant) et le conditionnement skinnérien (opérant)

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34
Q

Quels apprentissages sont stockés dans la mémoire procédurale?

A

Des habiletés perceptivo-motrices, perceptivo-verbales, et cognitives.

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35
Q

Que représente la mémoire sensorielle (MS)?

A

Un stockage initial très bref de l’information sensorielle

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36
Q

Quelle est la durée maximale de rétention de la mémoire iconique?

A

200 à 300 millisecondes

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37
Q

Quelle est la capacité de stockage de la mémoire à court terme (MCT)?

A

5 à 9 éléments (rétention de 7+-2 éléments)

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38
Q

Comment la mémoire à court terme peut-elle être évaluée?

A

Par la mesure de l’empan mnésique

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39
Q

Qu’est-ce que l’empan mnésique verbal?

A

La capacité de se souvenir d’une série de chiffres ou de lettres dans l’ordre

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40
Q

Qu’est-ce que l’empan mnésique spatial?

A

La capacité à mémoriser et reproduire des positions dans l’espace (test des blocs de Corsi)

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41
Q

Qu’est-ce que la mémoire de travail (MdT)?

A

Un système temporaire qui maintient et manipule des informations pendant une courte durée.

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42
Q

Que mesure l’empan mnésique inversé?

A

La capacité à restituer une séquence dans l’ordre inverse

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43
Q

Comment se déroule le processus d’encodage dans la mémoire à long terme (MLT)?

A

L’information est traitée sous plusieurs aspects pour former un souvenir solide.

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44
Q

Quelle est la différence entre la consolidation et le stockage dans la mémoire?

A

La consolidation rend les souvenirs moins vulnérables à l’oubli, tandis que le stockage maintient les souvenirs disponibles

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45
Q

Pourquoi l’oubli est-il important pour la mémoire?

A

Il permet de se concentrer sur les informations essentielles en éliminant les détails superflus

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46
Q

Comment se réalise la récupération d’un souvenir?

A

Par un processus actif qui utilise des indices présents lors de l’encodage

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47
Q

Quelle est la différence entre l’empan digital direct et l’empan digital inversé?

A

L’empan direct consiste à reproduire une séquence telle qu’elle est donnée, tandis que l’empan inversé nécessite une manipulation mentale pour la restituer à l’envers

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48
Q

Quelles sont les trois étapes du fonctionnement de la mémoire à long terme?

A

Encodage, stockage et récupération

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49
Q

Qu’est-ce que l’encodage superficiel?

A

Un traitement qui repose sur les caractéristiques physiques d’une information (ex. couleur d’un objet)

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50
Q

Quel rôle joue le sommeil dans la consolidation des souvenirs?

A

Il aide à renforcer et à organiser les souvenirs

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51
Q

Comment les souvenirs anciens sont-ils modifiés?

A

Ils sont réactivés et réorganisés en fonction de nouvelles informations

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52
Q

Quelle courbe permet de visualiser les effets de primauté et de récence?

A

La courbe de position sérielle (CPS)

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53
Q

Que démontre l’effet de primauté?

A

Les premiers éléments d’une liste sont mieux mémorisés car ils reçoivent plus de répétition

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54
Q

Que montre l’effet de récence?

A

Les derniers éléments d’une liste sont encore présents dans la mémoire à court terme

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55
Q

Quelle est la différence entre l’auto-répétition de transfert et l’auto-répétition de maintien?

A

L’auto-répétition de transfert favorise le stockage à long terme
L’auto-répétition de maintien permet de garder une information temporairement

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56
Q

Quel type d’amnésie souffrait HM?

A

Amnésie antérograde sévère

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57
Q

Qu’est-ce que la double dissociation en neuropsychologie?

A

La démonstration que deux fonctions cognitives sont indépendantes l’une de l’autre, comme la MLT et la MCT

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58
Q

Comment l’auto-répétition permet-elle de mieux mémoriser?

A

Elle renforce les connexions entre les informations pour les stocker en MLT

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59
Q

Que se passe-t-il pour les mots du milieu d’une liste dans une expérience de mémoire?

A

Ils sont généralement moins bien mémorisés car ils reçoivent moins de répétition

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60
Q

Quel est le rôle de l’hippocampe dans la mémoire?

A

Il est crucial pour la formation de nouveaux souvenirs à long terme

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61
Q

Quelle partie de la courbe de position sérielle représente l’effet de primauté?

A

La branche gauche de la courbe

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62
Q

Quelle partie du cerveau est impliquée dans l’amnésie observée chez le patient HM?

A

L’hippocampe

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63
Q

Comment les patients atteints d’amnésie antérograde interagissent-ils avec la mémoire à court terme?

A

Ils peuvent converser normalement, mais oublient rapidement les informations après quelques secondes

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64
Q

Pourquoi la mémoire de travail est-elle essentielle dans le traitement des informations en temps réel?

A

Elle permet de manipuler et maintenir des informations pendant une tâche cognitive

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65
Q

Que démontre l’effet de la répétition sub-vocale dans la mémoire?

A

Elle permet de maintenir l’information présente à court terme jusqu’à ce qu’elle puisse être notée ou retenue

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66
Q

Qu’est-ce que la mémoire immédiate?

A

Une forme de mémoire qui traite et stocke des informations pour un très court laps de temps

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67
Q

Comment le patient HM a-t-il influencé les recherches sur la mémoire?

A

Il a permis de comprendre le rôle central de l’hippocampe dans la formation des souvenirs

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68
Q

Quelle est la norme pour qu’un individu soit considéré comme amnésique en fonction de son QI ?

A

Un individu est considéré comme amnésique s’il a un quotient mnésique inférieur de 15 points par rapport à son QI.

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69
Q

Qu’est-ce que l’anosodiaphorie dans le cas de HM ?

A

L’anosodiaphorie est l’incapacité de HM à reconnaître ou être conscient de son dysfonctionnement mnésique.

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70
Q

Quelles tâches mnésiques HM réussissait-il malgré son amnésie ?

A

HM réussissait des tâches liées à la mémoire procédurale, comme apprendre à utiliser un fauteuil roulant pliable.

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71
Q

Quelles fonctions étaient préservées chez HM malgré son amnésie sévère ?

A

L’intelligence générale, les fonctions perceptives, la compréhension du langage et les aptitudes d’apprentissage implicites (comme le conditionnement) étaient préservées.

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72
Q

Qu’est-ce que le circuit de Papez et son rôle dans la mémoire ?

A

Le circuit de Papez, incluant des structures comme l’hippocampe et le gyrus cingulaire, est impliqué dans la mémoire explicite, notamment la mémoire épisodique.

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73
Q

Qu’est-ce que l’effet de récence et l’effet de primauté chez HM ?

A

HM présentait un effet de récence (rappel des derniers éléments), mais pas d’effet de primauté (rappel des premiers éléments), car sa MLT était affectée.

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74
Q

Quel circuit nerveux relie les structures intracérébrales mises en évidence par James Papez ?

A

Le circuit hippocampo-mamillo-thalamo-cingulaire (HMTC)

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75
Q

Quelles structures sont impliquées dans le circuit hippocampo-mamillo-thalamo-cingulaire (HMTC) ?

A

L’hippocampe, les tubercules (corps) mamillaires, le noyau antérieur du thalamus et le gyrus cingulaire.

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76
Q

Quelle conséquence résulte de la lésion bilatérale des deux hippocampes ?

A

Une amnésie bihippocampique, comme dans le cas du patient HM et des malades atteints d’Alzheimer.

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77
Q

Quelle pathologie est associée à une lésion bilatérale des corps mamillaires et/ou des noyaux antérieurs du thalamus ?

A

Le syndrome de Korsakoff

78
Q

Quelles capacités étaient conservées chez le patient KF malgré sa forte réduction de l’empan mnésique ?

A

KF avait une mémoire à long terme intacte, notamment pour l’apprentissage de paires de mots associées.

79
Q

Pourquoi la MCT est-elle sensible au phénomène d’interférence ?

A

Toute distraction ou gêne pendant l’auto-répétition peut entraîner la perte partielle ou totale de l’information.

80
Q

Comment fonctionne la boucle phonologique dans la mémoire de travail (MdT) ?

A

La boucle phonologique stocke temporairement les informations verbales grâce à l’auto-répétition subvocale, empêchant les sons d’être oubliés.

81
Q

Quel effet a une anesthésie générale sur la MCT?

A

Elle peut affecter temporairement la capacité de rétention

82
Q

Comment les informations sont-elles traitées en MCT?

A

De manière séquentielle, comme pour réciter un poème

83
Q

Qu’est-ce que l’auto-répétition de maintien?

A

Répéter une information pour la garder temporairement active.

84
Q

Sous quelle forme les informations verbales sont-elles stockées en MCT?

A

Sous forme phonétique ou sonore

85
Q

En quoi la MCT diffère-t-elle de la MDT?

A

La MCT stocke passivement l’information, tandis que la MDT manipule et traite activement les informations.

86
Q

Pourquoi le concept de MCT a-t-il évolué vers la MDT?

A

Les expériences de double tâche ont montré que la MCT pouvait faire plus que stocker l’information.

87
Q

Quelles tâches Baddeley et Hitch ont-ils combinées pour tester la MDT?

A

Une tâche de mémorisation de chiffres et une tâche de raisonnement ou de compréhension.

88
Q

Que permet la MDT par rapport à la MCT?

A

Elle permet de manipuler l’information pour accomplir des tâches complexes comme le raisonnement.

89
Q

Quelle est la fonction de la MDT dans les activités cognitives?

A

Elle sert de mémoire temporaire tout en permettant le traitement de l’information.

90
Q

En quoi la MDT fonctionne-t-elle comme une “mémoire tampon”?

A

Elle agit comme une interface entre les mémoires sensorielles et la mémoire à long terme.

91
Q

Quel est le rôle de l’administrateur central dans la MDT?

A

Sélectionner, coordonner et contrôler les opérations de traitement de l’information.

92
Q

Quelles sont les deux composantes principales de la MDT?

A

La boucle phonologique et le registre visuo-spatial.

93
Q

Quelles informations la boucle phonologique stocke-t-elle?

A

Les informations verbales et verbalisables

94
Q

Que permet le registre visuo-spatial dans la MDT?

A

Il stocke les informations visuelles et spatiales

95
Q

Où se situe l’administrateur central dans le cerveau?

A

Dans les lobes frontaux des deux hémisphères

96
Q

Comment l’information sonore est-elle stockée dans la boucle phonologique?

A

Dans l’unité de stockage phonologique (USP)

97
Q

Quelle est la fonction du processus de contrôle articulatoire (PCA)?

A

Assurer la répétition subvocale pour maintenir l’information active

98
Q

Comment une image peut-elle être stockée dans la boucle phonologique?

A

Elle doit être transformée en son par un recodage phonologique.

99
Q

Comment l’AC gère-t-il les ressources attentionnelles?

A

Il répartit les ressources limitées entre la boucle phonologique et le registre visuo-spatial.

100
Q

Quelle est la première fonction de l’AC?

A

Assurer l’interface entre la MDT et la MLT pour le transfert bidirectionnel des informations.

101
Q

Que fait l’AC lors d’une tâche complexe de mémoire comme la récitation de l’alphabet?

A

Il transfère et récupère les lettres entre la MLT et la boucle phonologique

102
Q

Comment l’AC réagit-il dans une situation de conduite difficile?

A

Il consacre toutes les ressources attentionnelles à la surveillance de la route, interrompant toute autre activité.

103
Q

En quoi l’AC aide-t-il dans la planification stratégique d’une tâche?

A

Il organise et contrôle les actions nécessaires à l’exécution de tâches complexes

104
Q

Qu’est-ce qu’un test de double tâche en MDT?

A

La mémorisation de chiffres avec une tâche concurrente, comme un raisonnement.

105
Q

Comment un traducteur utilise-t-il sa MDT pendant une traduction simultanée?

A

Il stocke et manipule des informations en flux continu pour les restituer dans une autre langue.

106
Q

Qu’est-ce qu’une tâche de mise à jour en MDT?

A

Une tâche où le sujet doit mémoriser des séquences de consonnes de longueur variable.

107
Q

Comment la MDT gère-t-elle une tâche de raisonnement en parallèle?

A

Elle maintient et traite les informations sans perturber la mémorisation simultanée de chiffres.

108
Q

Pourquoi la MCT est-elle qualifiée de fragile?

A

Elle est sensible aux anesthésies générales, à la privation de sommeil paradoxal et aux traumatismes crâniens

109
Q

Quel type de traitement des informations est effectué en MCT?

A

Un traitement séquentiel (sériel, chronologique)

110
Q

Comment l’information verbale est-elle stockée en MCT?

A

Sous une forme phonétique ou sonore

111
Q

Comment la MCT gère-t-elle un poème récité?

A

Par des caractéristiques sonores, telles que les rimes et les intonations, qui jouent un rôle plus important que le sens

112
Q

Qu’est-ce que l’encodage en mémoire?

A

C’est le processus actif et souvent intentionnel par lequel un stimulus est transformé en trace mnésique utilisable à long terme.

113
Q

Pourquoi l’encodage n’est-il pas un processus passif?

A

Sinon, nous nous souviendrions de tout ce que nous avons perçu, ce qui n’est pas le cas.

114
Q

Quels sont les éléments nécessaires à un encodage efficace?

A

Une attention soutenue et de qualité, ainsi qu’une motivation volontaire

115
Q

Pourquoi les épisodes sont-ils liés entre eux?

A

Le déroulement d’un épisode crée des liens contextuels entre les différentes informations qui le composent.

116
Q

Quel rôle joue le sommeil dans la consolidation?

A

Le sommeil, notamment paradoxal (avec rêves), renforce et réorganise les souvenirs

117
Q

En quoi la confrontation avec de nouvelles informations aide-t-elle la consolidation?

A

Elle permet de retravailler les souvenirs anciens pour les intégrer aux nouvelles connaissances

118
Q

Pourquoi les souvenirs anciens sont-ils moins vulnérables à l’oubli?

A

Ils sont mieux consolidés et plus souvent réactivés

119
Q

Qu’est-ce que la loi de Ribot?

A

Les souvenirs récents sont plus vulnérables à l’oubli que les souvenirs anciens

120
Q

Qu’est-ce que la récupération en mémoire?

A

C’est le rappel ou l’évocation active d’une information stockée dans la mémoire

121
Q

Quels facteurs facilitent la récupération?

A

Une trace mnésique bien élaborée, organisée et structurée.

122
Q

En quoi les indices contextuels influencent-ils la récupération?

A

Les souvenirs sont plus faciles à rappeler si le contexte lors de l’encodage est similaire à celui de la récupération

123
Q

Quelles sont les deux catégories d’informations contextuelles?

A

Informations externes (spatiales, temporelles) et internes (émotionnelles, corporelles)

124
Q

Pourquoi un état émotionnel peut-il influencer la récupération?

A

Il favorise la remémoration des souvenirs associés à cet état.

125
Q

En quoi l’oubli des détails superflus est-il bénéfique?

A

Il permet de conserver uniquement les traits invariants des souvenirs, comme les caractéristiques essentielles d’un visage

126
Q

Quels processus normaux contrôlent l’oubli?

A

La faible consolidation, l’absence de répétition et le manque d’indices contextuels

127
Q

Comment l’oubli rend-il les souvenirs plus abstraits?

A

En les dépouillant de leurs aspects éphémères, comme l’habillement ou la coiffure d’une personne

128
Q

Quel est l’impact d’une faible organisation sur la récupération?

A

Un souvenir mal organisé est plus difficile à rappeler

129
Q

Pourquoi se souvient-on parfois d’un mot vu brièvement, comme “citron”?

A

Les caractéristiques associées au mot (jaune, ovale, acide) facilitent la récupération.

130
Q

Comment les stratégies d’encodage influencent-elles la mémoire?

A

Plus l’encodage est profond (sémantique), plus le souvenir est durable.

131
Q

Que montre l’exemple d’une voiture garée dans un parking?

A

Une attention ciblée (étage, couleur) lors de l’encodage améliore la récupération

132
Q

Pourquoi une information encodée superficiellement est-elle moins durable?

A

Elle n’est pas suffisamment enrichie ou liée à des indices contextuels

133
Q

Comment l’apprentissage actif influence-t-il la mémoire?

A

Il favorise un encodage profond grâce à l’élaboration distinctive

134
Q

Que représente un épisode multidimensionnel en mémoire?

A

Une trace mnésique comprenant des objets, perceptions, émotions, et autres éléments.

135
Q

Comment les modalités sensorielles traitent-elles les informations d’un épisode?

A

Elles les traitent dans des aires cérébrales spécialisées, puis associatives

136
Q

Que se passe-t-il lors de la récupération d’une information?

A

Une partie du réseau neuronal s’active, entraînant une propagation en cascade

137
Q

Quelle est la traduction biologique de la théorie de la spécificité de l’encodage de Tulving?

A

Une activité neuronale similaire à celle de l’encodage initial permet le rappel complet du souvenir.

138
Q

Quels tests contrôle un souvenir récupéré?

A

Test de comparaison pour vérifier qu’il s’agit du bon souvenir.
Test de décision pour confirmer qu’il s’agit d’un événement réellement vécu.

139
Q

Quels facteurs influencent l’incapacité à se souvenir?

A

Soit l’information n’est plus disponible (problème d’encodage/consolidation), soit elle est non accessible (problème de récupération)

140
Q

Quels éléments affectent la disponibilité d’une information?

A

Motivation insuffisante.
Attention mal dirigée.
Encodage peu profond ou manque de révision.

141
Q

Qu’est-ce qui influence l’accessibilité d’une information?

A

Disponibilité de l’information.
Conditions de récupération.
Absence d’interférence d’autres informations.

142
Q

Qu’est-ce que l’interférence rétro-active?

A

Qu’est-ce que l’interférence rétro-active?

143
Q

Qu’est-ce que l’interférence pro-active?

A

Les informations anciennes perturbent l’apprentissage ou la récupération de nouvelles informations.

144
Q

Qu’est-ce qu’un phénomène de glissement?

A

Lorsqu’un souvenir erroné d’une autre liste est rappelé à la place d’un élément correct

145
Q

Quelle est la différence entre une intrusion et une interférence?

A

Une intrusion implique une information jamais rencontrée, souvent associée à des maladies neurodégénératives.

146
Q

L’oubli signifie-t-il la disparition de l’information?

A

Non, l’information peut être disponible mais non accessible en raison de conditions de récupération inefficaces.

147
Q

Quelles sont les trois théories principales de l’oubli?

A

Théorie de l’estompage.
Théorie de l’interférence.
Théorie du blocage de la récupération.

148
Q

Pourquoi la théorie de l’estompage est-elle controversée?

A

Il est difficile de prouver expérimentalement que le simple passage du temps efface une trace mnésique.

149
Q

Que postule la théorie de l’interférence?

A

L’interférence rétro-active des nouvelles informations désapprend les anciennes associations

150
Q

Que dit la théorie du blocage de la récupération?

A

L’inefficacité des indices de récupération empêche l’accès à une information disponible

151
Q

En quoi consiste une tâche de rappel libre?

A

Restituer le maximum d’informations sans indice extérieur, dans n’importe quel ordre

152
Q

Quels types d’erreurs sont fréquents dans le rappel libre?

A

Absence de réponse, intrusions, interférences rétroactives

153
Q

Quel est le rôle d’un indice dans une tâche de rappel indicé?

A

Faciliter la récupération en fournissant un contexte lié à l’information cible

154
Q

Que montre une récupération réussie avec un indice?

A

Le problème résidait dans la récupération et non dans l’encodage ou la consolidation

155
Q

En quoi consiste une tâche de reconnaissance?

A

Identifier parmi des éléments ceux qui ont été appris antérieurement

156
Q

Quels types d’erreurs sont fréquents dans la reconnaissance?

A

Les fausses reconnaissances dues à des interférences ou intrusions

157
Q

Pourquoi la reconnaissance est-elle plus facile que le rappel libre?

A

Les indices fournis correspondent directement aux informations recherchées (indice-copie)

158
Q

Quel type de rappel est impliqué dans le processus associatif selon Moscovitch?

A

Le rappel “facile”, qui s’active automatiquement et directement

159
Q

Qu’est-ce que le processus associatif nécessite pour rendre un souvenir disponible?

A

Un recouvrement suffisant entre l’information contenue dans les indices de récupération et la trace mnésique

160
Q

Qu’est-ce qu’une information ecphorique?

A

Une information rendue consciente par la fusion entre l’indice de récupération et la trace mnésique

161
Q

Quel est l’exemple classique illustrant un processus associatif?

A

La “madeleine de Proust”, où un indice (le cirque Zavatta) réveille spontanément des souvenirs enfouis.

162
Q

Qu’implique le recouvrement suffisant dans la récupération associative?

A

Une correspondance entre les caractéristiques des indices et celles de la trace mnésique

163
Q

Que se passe-t-il lors de la tentative de rappel d’une information partielle?

A

Une réactivation partielle ou totale du réseau neuronal lié à la trace mnésique initiale

164
Q

Quelles sont les étapes essentielles du processus stratégique?

A

Effort volontaire → recherche en MLT → indices générés → récupération associée

165
Q

Qu’est-ce que l’information ecphorique?

A

L’information consciente résultant de la fusion entre les indices de récupération et la trace mnésique.

166
Q

Comment fonctionne la réactivation d’un réseau neuronal?

A

Une partie du réseau activée entraîne une propagation en cascade, activant l’ensemble du réseau associé à l’épisode

167
Q

Que permet l’activation complète du réseau neuronal?

A

Elle rend l’information disponible et accessible à la conscience

168
Q

Pourquoi les liens contextuels sont-ils importants dans la récupération?

A

Ils permettent de relier les indices de récupération à la trace mnésique et de propager l’activation dans le réseau

169
Q

Que peut entraîner une récupération inefficace?

A

Un manque d’indices de récupération ou une mauvaise réactivation du contexte d’encodage

170
Q

Pourquoi le contexte d’encodage est-il crucial pour le rappel?

A

Il agit comme un pont entre les conditions initiales et la récupération ultérieure.

171
Q

Quels types de souvenirs sont les plus difficiles à récupérer?

A

Les souvenirs mal consolidés ou mal organisés

172
Q

Que souligne l’interdépendance entre encodage et récupération?

A

Que des conditions inadéquates lors de l’encodage rendent le rappel difficile ou impossible

173
Q

Quels processus sous-tendent la réactivation d’une trace mnésique?

A

Des mécanismes bioélectriques cérébraux et des processus cognitifs d’association et de contextualisation

174
Q

Quel est le rôle des mécanismes cognitifs dans la récupération?

A

Associer les indices de récupération à la trace mnésique pour une remémoration efficace

175
Q

Comment les mécanismes bioélectriques interviennent-ils dans le rappel?

A

Ils permettent l’activation neuronale nécessaire pour réactiver le souvenir

176
Q

Quelle proposition radicale Tulving a-t-il faite en 1983 sur la récupération?

A

La fusion entre l’information des indices et celle de la trace mnésique crée une information ecphorique unique.

177
Q

Pourquoi le processus associatif est-il automatique?

A

Il ne nécessite ni effort intentionnel ni recherche active

178
Q

En quoi le processus stratégique diffère-t-il du processus associatif?

A

Il nécessite une recherche active, volontaire et lente dans la mémoire à long terme (MLT)

179
Q

Quel est le rôle des lobes préfrontaux dans le processus stratégique?

A

Ils abritent l’administrateur central (AC), responsable de la gestion intentionnelle de la récupération

180
Q

Pourquoi le processus stratégique demande-t-il un effort attentionnel important?

A

Il vise à recréer le contexte d’encodage pour générer des indices de récupération

181
Q

Qu’est-ce qui déclenche la récupération associative dans un processus stratégique réussi?

A

La production d’un ou plusieurs indices de récupération

182
Q

Que permet un effort intentionnel dans le processus stratégique?

A

Revivre le contexte d’encodage et accéder à l’information ecphorique

183
Q

Pourquoi la récupération stratégique est-elle souvent plus difficile?

A

Elle dépend de l’intégrité des lobes préfrontaux et nécessite un effort conscient prolongé

184
Q

Quel est l’objectif du processus stratégique?

A

Faire revivre l’état d’esprit et le contexte de l’encodage pour faciliter le rappel

185
Q

Comment un souvenir est-il représenté dans le cerveau au niveau cérébral?

A

Par une configuration complexe d’activités neuronales bio-électriques réparties dans plusieurs aires spécialisées

186
Q

Qu’est-ce qu’un engramme?

A

Un réseau de neurones interconnectés représentant un souvenir
(Une représentation physique d’une trace mnésique)

187
Q

Que se passe-t-il au niveau des aires corticales pendant l’encodage?

A

Les informations sensorielles sont traitées d’abord dans les aires primaires, puis dans les aires associatives

188
Q

Pourquoi les souvenirs sont-ils spécifiques d’un épisode?

A

Ils incluent des informations sur l’épisode et son contexte

189
Q

Que permet la fusion entre indices de récupération et trace mnésique?

A

La réactivation complète du souvenir

190
Q

Comment le contexte d’encodage influence-t-il la récupération?

A

Il agit comme un indice facilitant le rappel lorsque les conditions sont similaires

191
Q

Quels sont les deux processus/mécanisme de récupération décrits par Moscovitch?

A

Le processus associatif (automatique, spontané)
Le processus stratégique (intentionnel, actif)