Processus de lecture Flashcards

1
Q

Faire une lecture de notre propre lecture, recommencer un livre et être conscient de tous les processus littéraires.

A

La lecture littéraire

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2
Q

Sur quelles structures (2) d’échanges se fondent les poétiques de la lecture ?

A

-L’interaction entre le texte et le lecteur
-L’échange prévu dans le texte au moment de l’écriture/de son élaboration

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3
Q

Pourquoi dit-on que la lecture devient un phénomène textuel ?

A

Car les poétiques de la lecture établissent une quasi-équivalence entre la structure du texte et la lecture qui en est faite.

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4
Q

Qui est responsable du sens inné dans le texte ?

A

L’auteur est responsable du sens inné dans le texte. L’acte d’écriture prime toujours sur l’acte de lecture.

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5
Q

Que tentent de découvrir les poétiques de la lecture ?

A

Ils tentent de découvrir quels sont les processus interprétatifs communs à tous les lecteurs au cours d’une lecture. Ceci insinue donc qu’il y a un parcours de lecture.

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6
Q

Différences entre processus de lecture et le parcours de lecture ?

A

Le processus de lecture renvoie à la constitution de sens ou d’un sens du vrai lecteur tandis que le parcours de lecture est constitué par le texte.

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7
Q

Le lecteur aura une vision subjective des romans, pourquoi ?

A

Parce que la lecture se définit comme un acte intime et la lecture littéraire est un coup de force, à chaque fois, singulier, unique.

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8
Q

Qu’est-ce qui nous amène à ne plus voir l’acte de lecture comme une finalité, mais plutôt comme un ensemble de processus ?

A

La critique des théories de la réception et la sémiotique du lecteur d’Eco.

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9
Q

Quand la lecture devient-elle littéraire ?

A

Selon Gervais, la lecture devient littéraire lorsque “le degré d’activation et de développement des processus mis en jeu à la lecture” prend toute son importance.

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10
Q

Qui affirme que “le livre n’est pas un objet simple, plat qui n’engage que l’acte de l’ouvrir et de le lire” ?

A

Thérien

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11
Q

La lecture littéraire = implication personnelle du lecteur.
On analyse donc plus X que Y.

A

On analyse plus l’acte de lecture que les compétences du lecteur.

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12
Q

Tout ce qui saute aux yeux, tout ce qu’on remarque personnellement au premier coup d’oeil.

Signes reconnus, perçus, enregistrés par diverses fonctions cérébrales en passant d’abord par l’appareil visuel.

-Ex : les changements de caractères, l’italique, les majuscules, des mots inconnus, des expressions qui frappent votre vision en cours de lecture.

A

Processus perceptuel

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13
Q

Processus perceptuel

A

Tout ce qui saute aux yeux, tout ce qu’on remarque personnellement au premier coup d’oeil.

Signes reconnus, perçus, enregistrés par diverses fonctions cérébrales en passant d’abord par l’appareil visuel.

-Ex : les changements de caractères, l’italique, les majuscules, des mots inconnus, des expressions qui frappent votre vision en cours de lecture.

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14
Q

-Permet de créer de la signification.
-Permet au lecteur d’aller chercher des mots qu’il ne comprenait pas, de faire des liens à l’aide du contexte et des préconstruits

A

Processus cognitif

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15
Q

Le contexte et les préconstruits sont dans quel processus ?

A

Processus cognitif

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16
Q

À quel aspect ce passage est associé ? “Le processus cognitif est chargé de construire la lecture, de lui donner son unité et sa cohérence en lui fournissant un contexte cognitif qui opère dans le même espace-temps.”

A

Le contexte dans le processus cognitif

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17
Q

Quels sont ces éléments : éléments semblables, communs à tous les lecteurs, construits de la même façon par tous les lecteurs, fil conducteur pareil pour tous les lecteurs d’un même livre.

A

Les préconstruits du processus cognitif

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18
Q

Qui permettent d’avoir une lecture homogène selon un fil conducteur, une ligne directrice ?

A

Les préconstruits dans le processus cognitif

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19
Q

Quels éléments assurent une lecture uniforme entre les gens qui lient l’oeuvre ?

A

Les préconstruits

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20
Q

Quels sont les 4 préconstruits ?

A

1.Le personnage
2.L’action
3.Le temps
4.L’espace

21
Q

Les préconstruits possèdent deux parties. Nommez-les et expliquez-les.

A

Un noyau minimal fixe (semblable pour tous, descriptions précises)

Partie mobile (les changements apportés chez les divers lecteurs, chaque personnage a une quête et cela bougera.)

22
Q

Nom, sexe (éléments descriptifs)

A

Noyau fixe du personnage

23
Q

But que le personnage cherche à atteindre (son intention) et les jeux de rôles qu’il assume.

A

Partie mobile du personnage

24
Q

Action particulière à laquelle on peut habituellement lier un verbe. Quête principale du personnage.

A

Le noyau fixe de l’action

25
Q

Différentes actions secondaires - Therien parle de plans actes qui aident à accomplir l’action principale. Actions posées par le personnage pour atteindre sa quête principale.

A

La partie mobile de l’action

26
Q

Le présent (Ce qui se passe maintenant)

A

Le noyau fixe du temps

27
Q

Le passé et toutes les autres modalisations temporelles. (On pense aux souvenirs et on peut modifier certains détails, un souvenir est mobile, on projette dans le futur et on peut le changer.)

A

Partie mobile du temps

28
Q

Lieux où se déroulent les actions, le lieu principal

A

Noyau fixe de l’espace

29
Q

Formulation d’hypothèses pendant la lecture

A

Processus argumentatif

30
Q

Prendre conscience des hypothèses pendant la lecture et prendre conscience de l’infirmation ou de la confirmation des hypothèses

A

Processus argumentatif

31
Q

Ce processus traite du défilement de l’information, de l’ordre du discours

A

Le processus argumentatif

32
Q

Processus littéraire lié au bagage personnel, par rapport à ce qu’on ressent, le flot d’émotions, expérience de vie qui colore ce qu’on lit, principe de projection. Émotions, informations transmises par un texte non neutre, colorées par notre bagage personnel, le lecteur peut se projeter pour devenir quelqu’un d’autre.

A

Processus affectif

33
Q

L’imaginaire personnel du lecteur.

A

Processus affectif

34
Q

Les émotions et la mémoria sont liés à quel processus littéraire ?

A

Le processus affectif

35
Q

Lieu et espace de son expérience d’intégration et de prospection, donne vie à la figure, fantôme ou étincelle qui accompagne le sujet dans les méandres de la lecture.

A

La mémoria dans le processus affectif

36
Q

Qu’est-ce qui différencie le processus affectif des processus perceptuel et cognitif ?

A

Le processus affectif informe l’activité du sujet d’une façon plus profonde, plus individuelle, plus particulière.

37
Q

Faire des liens avec la société, ouvert sur la société, inverse du processus affectif qui est lié à nous. Intégratif sur le plan social, lien entre notre imaginaire et l’imaginaire social dans lequel on vit.

A

Processus symbolique

38
Q

Sortir du livre pour aller vers la société, vers ce qui se passe dans la société. S’intègre aux autres livres qu’on a lus, aux autres lectures qu’on a pu faire, processus d’intégration. Image de notre société, imaginaire social, stéréotypes, faire des liens avec des éléments à l’extérieur de l’oeuvre.

A

Processus symbolique

39
Q

Processus intégrant l’objet textuel à d’autres objets du monde. Les résultats partiels et globaux de la lecture adviennent dans la relation entre l’imaginaire personnel du lecteur et l’imaginaire de la société dans lequel il vit.

A

Processus symbolique

40
Q

La pensée, les savoirs et les imaginaires du lecteur font en sorte que le sens n’est jamais isolé. Il doit être mis en relation avec un système sémiotique plus englobant, avec d’autres lectures par exemple, mais sans jamais être figé définitivement dans le temps.

A

Processus symbolique

41
Q

Quels sont les deux grands principes directeurs de la lecture littéraire ?

A

1) La lecture dépend du mandat de lecture que cherche à remplir le lecteur. Lire pour le plaisir vs lire dans le cadre d’un examen ou de l’écriture d’une analyse.

2)Le degré de complexité des oeuvres littéraires (les époques, les genres, la complexité des textes). Un texte dont la cohérence est plus difficile à créer.

42
Q

Le degré d’activation dépendra du mandat de lecture. Selon lui, il existe deux économies différentes mais complémentaires de la lecture.

A

Les économies de la lecture. Lecture en progression vs lecture en compréhension.

43
Q

Lecture fonctionnelle, active moins les processus de lecture, ne s’attarde pas à toutes les informations, cherche seulement à terminer le livre.

A

Lecture en progression

44
Q

Lire et relire pour mieux comprendre, lecture plus approfondie, plus concentrée, activation maximale des processus de lecture.

A

Lecture en compréhension

45
Q

Selon le mandat de lecture et son but de lecture, le lecteur choisira la lecture en progression ou la lecture en compréhension

A
46
Q

Implique que le lecteur suive les actions du récit en considérant le contenu événementiel, aller du début à la fin tout simplement en ne retenant pas toute l’information.

A

La lecture en progression

47
Q

Lorsqu’un lecteur progresse à travers un texte, il doit certes y comprendre quelque chose, mais il se limite à un nombre minimal d’inférences. C’est en ce sens qu’il se contente d’une compréhension dite :

A

fonctionnelle.

48
Q

Lecture consciente. analytique de l’oeuvre, lecture investie

A

Lecture en compréhension

49
Q

Lorsque le lecteur veut comprendre le texte plus en profondeur la lecture est plus intense.

A

La lecture en compréhension