Préparation nutritionnelle en contexte d'entraînement Flashcards
principal transporteur de glucose
SGLT1
Lors d’une concentration intraluminale élevée de glucose, des
transporteurs (?) sont transférés de la membrane
basolatérale à la membrane apicale afin d’augmenter
l’absorption du glucose dans l’entérocyte.
GLUT2
Le glucose sort de l’entérocyte à l’aide d’un transporteur GLUT2 (membrane basolatérale) et rejoint quoi / où ?
la circulation veineuse porte-hépatique vers le foie.
Le foie envoi le glucose vers le cœur dans le sang veineux.
Le cœur distribue ensuite le glucose au reste de l’organisme
dans le sang artériel oxygéné.
Le FRUCTOSE est absorbé dans l’entérocyte par le transporteur…
glut5
Pas besoin d,ATP.
le frcutose doit être envoyé soit (1) direct ds le foie pour quil soit converti en glucose-lactate ou en AG, ou bien (2) il est peut etre tout de suite transformé en glucose direct ds l’entérocyte.
Les entérocytes ont la capacité de convertir une petite partie du fructose en ?.
glucose
Le fructose sort de l’entérocyte par le même transporteur que le
glucose, soit le ? (membrane basolatérale) et rejoint la circulation veineuse porte-hépatique vers le foie.
GLUT2
La plus grande partie du fructose reçu par le foie est converti en ? et en ? par les hépatocytes avant d’être envoyé vers le cœur dans le sang veineux (une petite partie du fructose peut aussi être
convertie en acides gras et être distribué dans l’organisme par la circulation lymphatique).
en glucose et en lactate
Le cœur distribue ensuite le glucose et le lactate au reste de l’organisme dans le sang artériel oxygéné. Est-ce que le fructose se retrouve dans le sang ?
(Le fructose ne se retrouve JAMAIS tel quel dans le sang artériel !)
Role de glut 2 :
juste en backup,
Le glucose va dans la circ sanguine vers le foie (first pass).
sauf si je fais énormément de sucres, forte concentration de sucre pour éviter que ce qu’on mange soit perdu. On veut l’utiliser et le mettre en réseve. Besoin de backup. Encore plein de glucose ds l’intestin donc certains transporteurs vont migrer …
AU REPOS, le GLUCOSE mis en circulation dans le sang est
principalement utilisé par les cellules du ____ et par les
____________
SNC et par les erythrocytes
Les muscles au repos n’utilisent que 20% du
glucose circulant. → Ce sont les transporteurs GLUT-1 qui facilitent passivement
l’entrée du glucose dans les myocytes squelettiques (indépendamment de l’insuline),
comment expliquer que peu de glucose entre
dans les myocytes squelettiques au repos ?
les glut 1 ont une faible affinité pour le glucose, faisant en sorte que peu de glucose entre
dans les myocytes squelettiques au repos.
Mais À L’EFFORT, c’est très différent! Le glucose représente
LE SUBSTRAT ÉNERGÉTIQUE PAR EXCELLENCE utilisé par les
myocytes squelettiques pour assurer les contractions musculaires.
Possible grâce aux transporteurs (?) !
transporteurs GLUT-4 !
Lorsque l’insuline est sécrétée suite à la
consommation de glucides, celle-ci se lie à son récepteur de la membrane
plasmatique des cellules musculaires et stimule (QUOI) , ayant pour effet d’augmenter l’entrée du glucose dans les
cellules musculaires (forte affinité pour le glucose).
la translocation des GLUT-4
sur la membrane
STIMULATION PAR LES
CONTRACTIONS MUSCULAIRES :
Indépendamment de la sécrétion
d’insuline, (??) favorisent la
translocation des GLUT-4 sur la
membrane plasmatique des cellules
musculaires afin de favoriser l’entrée
du glucose provenant des réserves de
glycogène musculaires ou d’un apport
exogène en glucides à l’effort.
les contractions
musculaires
Dans notre corps, le glycogène est mis en réserve dans
les muscles squelettiques et le foie.
Chaque g de glycogène est entreposé avec ? g d’eau .
3
glucose hépatique peut être envoyé partout ds le corps
le glycogène musculaire lui…
peut-être ne peut pas envpoyer du glucose ailleurs. seulement au muscles
es réserves de glycogène musculaire suffisent à soutenir un effort d’intensité modérée à
élevée (65-70% VO2max) pour une durée d’environ 90 minutes. L’épuisement des
réserves de glycogène intramyofibrillaire spécifiquement est le plus étroitement associé
à l’apparition de quoi ?
la fatigue périphérique à l’effort.
frapper le mur ; SYMPTÔMES :
faiblesse physique extrême (surtout au niveau des jambes) allant jusqu’à l’incapacité physique de continuer l’effort,
(mauvaise coordination musculaire, tremblements des mains, perte de
concentration, confusion et vertige.)
Le mur : CAUSES :
L’atteinte de la LIMITE de déplétion des réserves de glycogène
(pas un épuisement complet des réserves!) force notre organisme à produire de l’ATP exclusivement à partir des réserves adipeuses par la bêta-oxydation ou
faire la néoglucogenèse à partir des acides aminés des cellules myofibrillaires squelettiques. Les deux processus sont longs et la bêta- oxydation requiert beaucoup d’oxygène, dont la disponibilité est limitée
pendant les exercices d’endurance prolongée d’intensité modérée/élevée.
implications du SNC dans le frappage de mur :
SNC serait aussi impliqué dans le déclenchement des symptômes associés à frapper le mur. Le but ultime serait d’interrompre les fonctions musculaires de manière préventive afin d’éviter que les réserves de
glycogène musculaires soient entièrement épuisées,
ce qui risquerait d’endommager le muscle de
manière irréversible et permanente.
les besoins en CHO des athlètes Déterminé selon…
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▪ Les besoins énergétiques
▪ La PÉRIODISATION DE L’ENTRAÎNEMENT &
NUTRITIONNELLE
▪ La tolérance gastro-intestinale
▪ Les préférences alimentaires
Il y a des recommandations claires et précises pour les quantités de
glucides à consommer avant et pendant l’effort pour optimiser la
performance lors d’une compétition, ainsi que les quantités à
consommer après l’effort afin de favoriser quoi ?
récupération
rapide des réserves de glycogène.
Les besoins en glucides pour les athlètes en période
d’entraînement où la haute qualité, l’intensité et la performance
est requise (plus de détails à la prochaine diapo) vont varier selon le type
de sport pratiqué et la durée, allant de ?-?g/kg BW/jour
3 à 12
PÉRIODISATION NUTRITIONNELLE
« Les changements dans l’apport
nutritionnel en réponse à certaines périodes d’entraînement .
L’utilisation planifiée, intentionnelle et stratégique, d’interventions nutritionnelles spécifiques pour AMÉLIORER LES ADAPTATIONS CIBLÉES par des
séances d’exercice individuelles ou des cycles d’entraînement périodiques, ou
pour obtenir d’autres effets qui amélioreront les performances à plus long
terme (Jeukendrup, Sports Med. 2017). »
Il est possible de périodiser la disponibilité énergétique, la
disponibilité en glucides ou même les deux en même temps !
QUELLE EST L’UTILITÉ DE MANIPULER STRATÉGIQUEMENT LA
DISPONIBILITÉ ÉNERGÉTIQUE ET/OU LA DISPONIBILITÉ EN GLUCIDES EN FONCTION DE LA PÉRIODISATION DE
L’ENTRAÎNEMENT ET/OU DES PÉRIODES DE RÉCUPÉRATION ?
Imiter périodiquement (à l’entraînement) les
exigences PHYSIOLOGIQUES et
PSYCHOLOGIQUES des fins d’épreuves
spécifiques aux sports d’endurance. Ceci
est primordial afin d’avoir la préparation
physique et mentale requise pour une
compétition d’endurance de niveau élite.
Par exemple…
Comment périodiser les glucides ? -> 3 manières
▪ Diminuer l’apport alimentaire en CHO dans l’alimentation globale (diète Low-Carb High-Fat (LCHF))
▪ Limiter la disponibilité endogène du glucose (glycogène) pour les muscles à l’effort → en s’entraînant avec des réserves sous-optimales de glycogène, soit 1) après une nuit de jeûne; ou 2) en
s’entraînant plus d’une fois par jour en limitant volontairement la récupération des réserves de glycogène entre les séances d’entraînement.
▪ Limiter la disponibilité exogène du glucose pour les muscles
→ en ne consommant peu ou pas de glucides exogènes à l’effort.
▪ TRAIN LOW, compete high, qu’est-ce qu’on veut dire ? : l’entraînement d’endurance (et dans une
moindre mesure HIIT)* avec de faibles réserves de glycogène musculaire permettrait d’accentuer davantage certaines adaptations physiologiques induites par l’exercice ayant pour effets de favoriser le métabolisme oxydatif des muscles à long terme, tels que la …, l’… et la capacité musculaire d’oxydation des… à l’effort .
que la biogenèse mitochondriale, l’activité enzymatique des mitochondries et la capacité musculaire
Chez les SPORTIFS D’ENDURANCE, une des
adaptations à l’exercice est L’AUGMENTATION DU
CONTENU INTRAMUSCULAIRE EN TG, plus
spécifiquement près des mitochondries des fibres
musculaires de type I (fibres oxydatives à contraction
lente). Pourquoi ce type de fibre spécifiquement ?
parce que les types 1 sont utilisées pour les efforts d’endurance prolongée
(???) permet aux muscles d’avoir accès plus
rapidement aux AG (TG intramusculaires) comme
substrat énergétique à l’effort comparativement à ceux
des réserves adipeuses dont les TG doivent
préalablement être hydrolysés en AG, puis envoyés
dans la circulation sanguine avant de pouvoir se
rendre jusqu’aux muscles squelettiques.
L’AUGMENTATION DU
CONTENU INTRAMUSCULAIRE EN TG
Le but ultime est d’atteindre
un état de CÉTOSE
(concentrations sanguines en corps
cétoniques > 0.5 mmol/L).
Comment ? Une partie de
l’acétyl-CoA dérivée de la
…
Une partie de
l’acétyl-CoA dérivée de la
bêta-oxydation des lipides
est convertie en corps
cétoniques par le foie
(acétone, acétoacétate, D-β-
hydroxybutyrate).
diète LCHF ;Moins restrictive.
Peut grandement varier,
mais généralement un
apport quotidien en
glucides < ?% de
l’apport énergétique totale
et un apport en lipides >
?% de l’apport
énergétique total .
<20%
>60%
Ces diètes entraînent INÉVITABLEMENT une
baisse de la performance d’endurance PENDANT
qu’elles sont suivies.
MAIS, l’idée est de faire ce sacrifice durant quelques semaines d’entraînement pour favoriser les …, puis de retourner à une disponibilité élevée en
glucides en préparation à une compétition dans l’espoir de tirer avantage de cette adaptation et de préserver plus longtemps les…
adaptations physiologiques permettant de rendre le muscle plus efficace à oxyder des lipides à l’effort, puis de retourner à une disponibilité élevée en
glucides en préparation à une compétition dans l’espoir de tirer avantage de cette adaptation et de préserver plus longtemps les
réserves de glycogène musculaire à l’effort permettant une amélioration de la performance en endurance…
Effets de 7 jours de diète LCHF sur les
adaptations physiologiques du
métabolisme oxydatif des lipides . -> résultat :
↑ 200% capacité musculaire d’oxydation des AG à
l’effort d’endurance
▪ Permet de maintenir un taux
d’oxydation élevé des lipides à un
VO2max plus élevé, soit jusqu’à 70%
VO2max au lieu de 45-50% VO2max.
MALGRÉ que ces adaptations paraissent extraordinaires, celles-ci ne résultent PAS en une amélioration de la performance sportive en endurance lorsque comparée à une simple alimentation
riche en glucides ! Pourquoi ?
▪ car L’oxydation des lipides augmente de 5 à 8% le coût en O2 , ce qui nuit à la performance en effort d’endurance.
Il semblerait que ces adaptations favorables au
métabolisme des lipides soient parallèlement défavorables au métabolisme des glucides ! Entre autres par…
l’atténuation de la capacité d’oxydation des glucides à
l’effort qui perdurerait même lorsque les niveaux de
réserves de glycogène sont de retour aux valeurs
optimales!
comment on détermine les besoins en ;lipides ?
- BÉ tot
- B prot + CHO en grammes, puis les
convertir en calories.
▪ et finalement les soustraire aux besoins énergétiques! Les calories restantes seront comblées par les lipides.
Règle générale : ~ 1,0 g/kg BW jusqu’à un
maximum 2,0 g/kg BW pour les périodes
d’entraînement où l’apport en CHO pour la
performance n’est pas une priorité.