Phys. animale exam 1 Flashcards
Définition physiologie et anatomie
Physiologie : étude du fonctionnement des organismes
Anatomie : étude de la structure des êtres vivants
Science intégrative !!!
Rapport surface volume
- Rapport de 2/3
- La surface augmente au carré et le volume au cube donc la surface augmente moins vite que le volume
- Les petites cell. des être vivants servent à augmenter le rapport surface volume
Rapport surface volume ex:
Les animaux de grande taille ont plus de difficulter à évaquer la chaleur
ex: rapport s/v plus petit chez éléphant
Rapport s/v grand chez souris
Définition allométrie
relation quantitative entre la taille/masse corporelle et les paramètres physiologiques
Définition métabolisme
ensemble des réactions et des processus biochimiques par lesquels l’énergie est acquise, transformée, dissipée et utilisée pour réaliser du travail physiologique
Taux métabolique homéothermes et ectothermes et relation selon taille organisme
BMR : taux métabolique de base des homéothermes
SMR : taux métabolique standard des ectothermes
Les petit organisme ont un BMR plus intense que les gros par rapport à leur masse
Dépense énergétique selon taille
Les petits animaux doivent manger plus par rapport à leur taille que les gros pour combler leur plus grand besoin énergétique
Métabolisme spécifique
Permet de ramener le métabolisme sur une unité de taille ex: 1 g de musaraigne consomme 10x plus d’énergie que 1 gramme de rhino
Implication de l’allométrie
Pour calculer les besoins en nourriture des animaux
deux stratégie face aux variation de l’environnement
Ectothermes : se conforme aux variations, pas de coût énergétique mais environnement cell. instable
Endothermes : maintien des conditions internes constantes, couteux en nergie mais conditions cell. stable
Définition homéostasie
Maintien de la relative stabilité des variables du milieu interne dans un environnement changeant
ex : pH sanguin, température, glucose, etc.
2 types de rétroaction pour l’homéostasie
Rétroaction négative : s’oppose au changement externe
Rétroaction positive : amplifie le changement externe
Déf. tissu et 4 familles
Tissu : assemblage de cellules diférenciées et de matrice cellulaire qui travaillent ensemble à une foction commune
1. Tissu épithélial
2. Tissu conjonctif
3. Tissu musculaire
4. Tissu nerveux
Tissus épithéliaux localisation et rôles (2)
- Tissus qui recouvrent les surfaces exposés ex: voie repiratoire, digestive, …
- Servent à protéger l’intérieur de l’organisme
- Servent à controller toutes les substances qui entrent ou sortent des cavités intérieures
Deux grands groupes d’épithéliums
- Épithélium de revêtement : recouvre surface du corps, intérieur des tubes et intérieur des cavités internes
- Épithélium sécréteur : Synthétise et sécrète des substances
Structure d’un épithélium et de la membrane basale
- Couche simple ou multiple de cell. ancrées sur une lame de matrice extracell.
- Membrane composée de lame basale (glycoprotéines) et de la lame rétiulaire (fibres protéiques)
Nomenclature épithélium photo #1
- Simple
- Stratifié
Nomenclature épithélium photo #2
- Squameux
- Cuboïque
- Prismatique
Épithéliums glandulaire 2 types et 2 types de glandes
- Cell. sécrétrices dispersées dans l’épithélium
- Cell. sécrétrices regroupé en glande
- Glande exocrine : sécrète à l’intérieur de l’organismes et ont des canaux spécialiés (sudoripare, mammaire, …)
- Glande endocrine : sécrète des hormones dans le sang et pas de canaux (thyroïde, gonades, …)
Tissu conjonctif définition et 4 types avec 2 exemple par type
- Tissu qui sont entre d’autres tissu et le plus répandu dans le coprs
1. Tissu conjonctif lâche (aréolaire, adipeu)
2. Tissu conjonctif dense (régulier et irrégulier)
3. Tissu conjonctif de soutien (cartilage et os)
4. Tissu conjonctif liquide (sang et lymphe)
6 rôle des tissu adipeux
- Support structural
- Protection
- Isolation
- Réserve d’énergie ou de minéraux
- Production de chaleur
- Transport de substance
3 éléments structutraux des tissu épithéliaux
- Cellules (peu nombreuses)
- Substance fondamental (détermine la constistance du tissu)
- Fibre protéique
(matrice composé de la subatance fondamentale et des fibres protéiques)
Composition de la substance fondamental de tissu conjonctif (3)
- Liquide interstitiel (surtout eau)
- Protéines d’adhérence
- Glycoprotéine
5 types de cell. des tissus conjonctif
- Fibroblastes : sécrètent la matrice, forme immature
- Fibrocytes : Répare et régénère la matrice, forme mature
- Cellule adipeuse (stock l’énergie)
- Cellules immunitaires (globules blancs)
- Macrophages (ingère les bactérie mycète, parasite)
3 types de fibres des tissus conjonctif
- Fibre de collagène (Flexible mais non élastique)
- Fibre réticulé (fibre de collagène mince arrangés en filet)
- Fibres élastique (Flexible et élastique)
voir image # 3
- Fibre réticulé
- Globule blanc
- Cell. adipeuse
- Fibre élastique
- Fibre de collagène
- Fibroblaste
- Macrophage
- Substance fondamentale
2 types de tissus conjonctif lâche et description
- Lâche aréolaire : Élastique, sous la peau, peu de fibres
- Lâche adipeux : Riche en cell. adipeuse, très vascularisé (blanc : énergie isolation et brun : production de chaleur)
2 types de tissus conjonctif dense et description
- Dense régulier : faisceau compact, force (1 direction) et flexibilité ex: tendon
- Dense irrégulier : Fibre de collagène dans tout les sens, résistance dans toute les directions ex : derme de la peau
Tissu conjonctif de soutien : cartilage définition et 3 types
- Solide et flexible, pas de d’irrigation sanguine
- Cartilage hyalin : matrice ferme, bcp de collagène ex: nez, broche
- Cartilage élastique : plus d’élastine que le cartilage hyalin ex: pavillon oreille
- Cartilage fibreux : Compressible et résistant, collagène en fibre épaisse, ex: disques intervertébraux
Tissu conjonctif de soutien : os (charactéristiques et rôle)
- Matrice calcifiée contenant bcp de collagène
- Produite par des ostéoblastes
- Tissu vascularisé
Rôle : Soutient et protection des organes, mouvement (levier)
2 types de tissu conjonctif liquides
- Sang : substance fondamental liquide = plasma, pas de fibres protéques, mais bcp de protéines solubles
- Lymphe : substance fondamental liquide = similaire au plasma, cell -> globule blanc uniquement, rôle = défense immunitaire
2 partie de la peau (et 3e partie n’en faisant pas vrm partie)
- Épiderme : cell. épithéliales, couche protectrice
- Derme : tissu conjonctif dense, couche résistante (cuire)
- (pas vrm partie de la peau) Hypoderme
4 cell. de la peau
- Kératinocytes : produisent la kératine (protéine fibreuse de protection)
- Mélanocytes : produisent la mélanine (pigment pour la protection UV)
- Cell. de Langherhans : cell. immunitaire qui ingère les microo. ou substance étrangère et présente les antigènes
- Cell. de Merkel : récepteur sensoriel branché à une terminaison nerveuse
voir photo #4 couche de la peau et petite description
- Couche basale : 1 épaisseur de cell. surtout des Kératinocytes
- Couche épineuse : 8 à 10 couches de kératinocytes
- Couche granuleuse : 4 à 6 couches de kératinocytes applatis
- couche claire : peau épaisse seuelement
- cornée : kératinocytes morts 20 à 30 couches
- Kératinocytes
- Macrophagocyte
2 régions du derme
- Zone papillaire : tissu conjonctif aréolaire, terminaison nerveuse, Crête épidermique (empreinte digitales)
- Zone réticulaire : tissu conjonctif dense irrégulier qui donne une résistance, contient corpuscule de pacini, glandes et follicules pileux
2 types de glandes sudoripares
- Mérocrine : loin dans le derme et long canal qui débouche à la surface de la peau
- Apocrine : plus grosse, canal débouche dans e follicule pileux
Glande sébacée endroit et fonction
Dans la gaine du follicule pileux
Sécrète le sébum ce qui assouplit le poil, réduit l’évaporation d’eau et fonction actibactérienne
voir photo #5
- Dendrites
- Corps cellulaire
- Cône d’implantation
- Axone
- Boutons terminaux
Rôle des dendrites d’un neurone
Détectent les signaux chimiques et les transmettent au corps cellulaire
Rôle du corps cellulaire d’un neurone
Contient les organelles de la cell.
transmet l’info au cône d’implantation
Rôle de la zone gachette d’un neurone
Intègre le signal et déclenche l’influx nerveux
Rôle de l’axone d’un neurone
conduis l’influx nerveux
Rôle des boutons terminaux d’un neurone
Transmissions du signal au cell. cibles, peuvent convertir le signal électrique et signal chimique
parcours de l’info entre les différents neuronnes (5 étapes)
- Récepteur sensoriel capte le stimulus
- info transmise au neurone afférent
- Info ce rend au centre d’intégration par un interneurone
- Info se transment au neuronne efférent
- L’organe effecteur reçoit l’info
2 cellules qui produisent la gaine de myéline et emplacement
- Oligodendrocytes dans le syst. nerveux central
- Cell. de Schwann dans le syst. nerveux périphérique
2 mécanismes de transport membranaire
- Transport passif : avec le gradient de concentration (diffusion simple et facilitée par un canal)
- Transport actif : contre le gradient
transport passif, diffusion simple caractéristique et molécule transporté
- Pas besoin d’énergie
- Molécules passent au travers de la membrane
- Molécules hydrophobes ou liposolubles, les petites molécules non-polaires
transport passif, diffusion facilitée 3 types de protéines et 3 types de canaux
- canaux ioniques : voltage-dépendant, ligant-dépendand (neurotransmeteur) et mécano-dépendand
- Porine
- Perméase
Transport actif définition 2 rôle
- déplace des ions contre leur gradient de concentration donc nécessite de l’énergie
- permet de maintenir le gradient de K+ et de Na+ de part et d’autre de la membrane
- régulation du volume cellulaire
2 forces qui agissent sur les solutés polaires (ions) qui traversent les membranes et ce qu’ils forme ensemble
- gradient chimique
- gradient électrique
donc ensemble forme le gradient électrochimique
Déplacement d’un ions selon les deux forces
Si gradient électrique plus fort que le gradient chimique, l’ions se déplace contre son gradient
si 2 forces égales, équilibre
Définition équilibre membranaire
Potentiel de membrane à l’équilibre de partt et d’autre de la membrane puisque 2 ions sont à l’équilibre chimique, donc 2 charges différentes
importance de K+ et Na+ dans le potentiel de membrane et pompe utilisé pour maintenir le gradient
- la membrane est perméable au K+ car il y a bcp de canaux de fuite K+
- le gradient pousse le K+ à l’extérieur
- Membrane peu perméable au Na+
- Gradient pousse le Na+ à l’intérieur
- La pompe à Na+/K+ATPase pompe ses ions contre leur gradient
2 éléments requis pour déclencher un signal électrique
- une membrane semi perméable dépendament des ions
- Un déséquilibre chimique (différence de concentration maintenue par transport actif)
- Déséquilibre chimique (différence de charge entre les deux côté au repos -70mV)
2 types de changement de potentiel de membrane d’un neurone
potentiel graduel (dendrite et corps cellulaire)
potentiel d’action (axone)
2 choses que peut faire un neurone en ouvrant ou fermant les canaux
dépolarisation ou hyperpolarisation
amplitude d’un stimulus en fonction de quoi ?
Stimulus fort = bcp de canaux ouvert et lgtmp
stimulus faible = peu de canaux ouvert et pas lgtmp
Comment les potentiels se déplace dans le neuronne
une dépolarisation locale se propage des dendrite vers le cone d’impantation, le signal s’affaiblit avec la distance
Comment le potentil d’action se déplace
Prend source dans le cône d’implantation et se propage le long de l’axone sans perdre d’intensité à cause des gaines de myeline
Seuil d’excitation pour générer un potentiel d’action et ce que ça fait
À -55mV, les canaux voltage-dépendant à K+/Na+ s’ouvrent ce qui créer le potentiel d’action
Une dépolarisation graduelle engendre ? (num 1)
Une hyperpolarisation graduelle engendre ? (num 2)
- potentiel excitateur
- potentiel inhibiteur
les potentiels gradués peuvent s’amplifier par quel manière (2)
- sommation spatiale (addition de potentiel gradués de différent endroit spatiaux)
- sommation temporelle (addition de potentiel gradué dans le temps)
Rôle d’intégration du cône d’implantation
La réponse du cône d’implantation (envoi du potentiel d’action dans l’axone si le seuil est atteint) dépend de tout les potentiel excitateur PPSE et potentiel inhibiteur (PPSI)
5 phases d’un potentiel d’action et petite description
- Repos : potentiel à -70mV canaux de fuit Na+ et K+ ouvert
- a) Dépolarisation atteinte du seuil : potentiel passe de -70 à -55mV, atteinte du seuil se fait par l’arrivée de Na+ où il y a des canaux Na+ ouverts
- b) Dépolarisation atteinte du potentiel d’action : potentiel passe de -55 à +30mV, canaux Na+ ouvert
- Repolarisation : potentiel passe de +30 à -70mV, canaux à Na+ se ferme et les canaux à K+ s’ouvre (ouverture déclenché par l’atteinte du seuil mais prenne plus de temps à s’ouvrir)
- Hyperpolarisation : potentil de -70 à -80mV, Canaux Na+ fermé et K+ ouvert
2 types de période réfractaire suite à un potentiel d’action
- Période réfractaire absolue : impossible de générer de nouveau potentiel d’action (canaux Na+ inactivé)
- Période réfractaire relative : potentiels d’action possible si stimulus très fort
Fonctionnement des canaux Na+ ligand dépendant (neurotransmetteur)
Les deux portes sont stimulé lorsque le potentiel d’action est atteint
La porte d’activation est rapide et la porte d’inactivation est plus lente
Propagation du potentiel d’action dans l’axone : fonctionnement de la gaine de myéline
La gaine est séparé par des noeud de Ranvier, à chaque noeud, du Na+ entre ce qui dépolarise la membrane pour permettre de ne pas perdre de l’intensité du potentiel d’action donc la propoagation se fait en saut entre les noeuds
3 facteurs qui influence la vitesse de transmission dans l’axone
- La gaine de myéline
- le diamètre de l’Axone : plus gros = influx mieux transmis
- température : affecte la vitesse de dépolarisation et d’hyperpolarisation
3 types de terminaisons nerveuses
- synapse (entre 2 neurones)
- jonction neuromusculaire
- jonctions neuroeffectrice (glande et autres organes)
Synapse électrique def + avan. inconv
Signal électrique (ions) passe directement par des jonctions
Rapide, mais peu flexible (on ne peut pas varier le signal)
Bidirectionnel
Synapse chimique def + avan. inconv
À l’aide de neurotransmetteur
plus lente mais flexible (modulation du signal)
Unidirectionel
voir photo #5 la 2e
- Vésicule synaptique (entouré d’une bicouche de phospholipides)
- Bouton synaptique
- Canal Ca2+ voltage dépendant
- Fente synaptique
- Cell. post-synaptique
6 étapes d’une synapse
- Arrivée du potentiel d’action
- ouverture des canaux calcium voltage dépendant
- Présence de calcium = fusion des vésicule avec la membrane ce qui libère les neurotrasnmetteurs
- Diffusion des neurotransmetteur dans la fente synaptique
- Liaison du neurotransmetteur au récepteur spécifique de la cell. post synaptique ce qui cause l’ouverture des canaux ligand-dépendant Na+ ou K+
- Élimination ou récupération des neurotransmetteur
Différence en l’ouverture des canaux Na+ ou K+ suite à une synapse
NA+ = PPSE
K+ = PPSI
2 type de synapses chimiques
- Rapide : neurotransmetteur à petite molécule et se fixe à des récepteur ionotropique (qui vont attirer des ions)
- Lente : Neurotransmetteur à gross molécule encapsulé dans le soma et transporté aux terminaisons axonales et se fixe à des récepteur métabotropique (engendre des activité métabolique ex: enzymes)
Jonction neuromusculaire caractéristique (3) et ce qu’il innerve
- Inerve les muscles squelettiques
- pas de bouton synaptique, ce sont des boutons terminaux
- Axone ramifié se termine en branche dans une dépression de la fibre musculaire
- Récepteur dans la membrane du muscle ionotropique donc rapide
ce qui module la force du signale d’une jonction neuromusculaire (2)
- La quantité de neurotransmetteurs
- la quantité de récepteurs de la cellule post-synaptique
Jonction neuroeffectrice caractéristique (3) et ce qu’il innerve
- Innerve les muscles lisses et cardiaques, les glande et les tissus
- L’axone est ramifiée et se termine en varicosité qui innerve une grande surface
- Récepteur du tissu métabotropique (lent)
De quoi le syst. nerveux a-t-il évolué ?
- Évolué à partir de l’arc réflex qui ne comptait qu’un seul neurone au départ
deux types d’arcs réflexes
- arc réflexe monosynaptique : 1 synapse donc 1 neurone afférent et un neurone efférent
- arc réflexe polysynaptique : plusieurs synapse donc un ou plusieurs interneurones
deux arrangement fondamentaux de l’arc réflexe
- Convergence : plusieurs neuronnes afférents et 1 seul neuronne efférent donc permet la sommation spatiale
- Divergence : 1 seul neuronne afférent et plusieurs neuronnes efférents donc permet des réponse multiples, l’amplification de l’effet et des annalyses parallèle
système nerveux centra (SNC) (3)
- Comporte l’encéphale et la moelle épinière
- Contient le corps cellulaire de la mojorité des neuronne
- Contient tout les interneurones
Sytème nerveux périphérique (SNP) (2)
- Comporte les nerfs qui sont un regroupememt de neuronne afférent et efférent
- Comporte les ganglions corps cellulaire de neurones afférents et du systé nerveux autonome
3 structures de la moelle épinière
- Substance blanche : axones myélénisés
- Substance grise : corps cellulaire, dendrites des interneuronnes et des neuronnes efférents, très peu de myéline
- Canal médullaire : remplis de liquide cérébrospinal
voie afférente moelle épinière (3)
- neurones afférents entrent par la racines dorsales
- corps cellulaire des neurone afférents dans les ganglions de la racine dorsale
- Ganglion hors SNC
voie efférente de la moelle épinière (2)
- neurones efférent sortant par les racines ventrales
- corps cellulaire des voie efférente dans les corne latéral et ventrale
endroit et fonction des interneurones dans la moelle épinière (4)
- Corps cellulaire dans la la corne dorsale de la substance grise
- Font le lien entre les neurones afférent et éfférent
- Permet les reflexes involontaire des muscles squelettiques
- Se connectent au cerveau
rôle du syt. nerveux autonome et 3 divisions
- Régulation homéostatique et fonction essentielles
1. Syst. nerveux sympathique : actif en période d’activité ou de stress
2. Syst nerveux parasympathique : actif en période de repos
3. Syst. nerveux entérique : Réseau indépendant qui contrôle les activités de digestion sous l’influen du sympathique et du parasympathique
Éléments qui rendent possible le SN autonome
- Double innervation des organes (sympathique et parasympathique pour augmenter ou réduire l’Activité d’un organe)
- Action antagoniste des SN sympat. et parasympat.
- Tonus basale
Région du SN sympathique et parasympathique sur la colonne cérébrale
- SN sympathique dans la région thoraco-lombaire (milieu)
- SN parasympathique : dans le rhombencéphale et la région sacrée (extrémité)
Récepteurs du SN sympathique (2)
Récepteur nicotinique : excitateur
Récepeteuradrénergique : excitateur ou inhibiteur
Récepteurs du SN parasympathique
Récepteur muscarinique : excitateur ou inhibiteur
Glande médullosurénal
- cellules excrétrices
- libère l’Adrénaline et la noradrénaline
Syst. nerveux sommatique
- Contrôle des muscles squelettiques
- Resposable des mouvement volontaire et des réflexes involontaires des muscles sequelettiques
3 niveau d’organisation de du syst. sensorielle
- organe sensorielle (oreil, yeux, …)
- Cell. sensoriel (récepteur, cell réceptrice, …)
- Protéine réceptrice (site de réception)
5 étapes de la réception sensorielle d’une neurone spécialisé
- Protéine réceptrice réagit au stimulus
- Transduction (cascade métabolique)
- Ouverture/fermeture des canaux ionique
- Changement de potentiel de membrane
- Envoie du signal vers les centre d’intégration
Deus types de récepteurs sensorielles et une caractéristique de leur potentiel d’action
- Extrémité dendritique spécialisée d’un neuronne afférent
- Une cellule distincte étroitement associée avec la dendrite d’un neurone afférent
- Ces potentiels n’ont pas de période réfractaire donc la sommation a plus d’impact
Neurone sensoriel spécialisé caractéristiques (2)
- Protéine réceptrice dans le dendrites d’un neurone
- potentiel d’action dans la zone gachette du dendrite et non dans le cone d’implantation
Cell. épithéliale sensorielle étape (4)
- Protéine réceptrice dans la membrane de la cell. sensorielle
- Potentiel récepteur dans la cell. réceptrice ce qui libère des neurotransmeteur
- réception des neurotransmetteur ce qui créer un potentiel gradué dans le dendrite du neurone
- Potentiel gradué se transforme en potentiel d’action dans le dendrite du neurone
cellules sensorielle doivent encoder quoi (4) et caractéristiques
- La modalité : type de stimulus (les oreilles ne peuvent pas entendre
- L’emplacement : champ de réception, plus la taille est grande, plus le signal est faible
- L’intensité : nb de cell. stimulé et la fréquence donne de l’info sur l’intensité du stimulus
- La durée
2 classe de récepteurs qui encode pour la durée d’un stimulus
- Récepteur tonique : potentiel d’action pendant toute la durée du stimulus
- Récepteur phasique : potentiel d”action au début et parfois à la fin du stimulus ce qui permet d’ignorer certains signaux
C’est quoi le disque de Merkel et caractéristiques (3)
- Terminaison nerveuse libre associé à une cell. épidermique
- Champ de réception très petit donc réception tactile fine
- Récepteur tonique à adaptation lente
C’est quoi le folicule pileux et caractéristiques (3)
- Terminaison nerveuse enroulé autours du follicule (poil)
- Déplacement du poil étire la terminaison nerveuse
- Récepteur phasique à adaptation rapide
C’est quoi le corpuscule de Ruffini et caractéristiques (3)
- Récepteur dans le derme au niveau des membres et des articulations
- Sensible à l’étirement de la peau et au mouvement articulaire
- Récepteur tonique à adaptation lente
C’est quoi le corpuscule de Pacini et caractéristiques (3)
- Récepteur dans le derme profond et l’hypoderme au niveau des membres et des articulations
- sensibles aux vibrations et aux pression fortes
- Récepteur phasique à adaptation très rapide
Récepteur auditif : cellules ciliés (3)
- Cils à la surface apicale (1 long = kinocil et plsr courts = stéréocils)
- Cils reliés par des pont protéiques et contiennent des canaux ionique mécano-dépendant
- FLuide extracell. riche en K+, le K+ chercher à entrer dans la cellule (inverse d’un neurone)
Étapes du proccesus d’audition dans une cell. cilié (3)
- Au repos : potentiel à -60mV, libération de petite qte de neurotransmetteur, frq des PA faible
- Mouvement vers le kinocil : Ouverture des canaux K+ mécano-dépendant, dépolarisation massive donc bcp de neurotransmetteur libéré donc haute freq de PA
- mouvement vers les sétérocils : fermeture des canaux, hyperpolarisation -65mV, très peu de neurotransmetteur donc freq de PA très faible
C’est quoi les neuromaste, qui les ont, à quoi il servent ?
- Cellules ciliés dans un capsule gélatineuse
- Ches les poissons et les amphibiens aquatiques (larve)
- Détecte les mouvements d’eau
3 partie de l’oreille
- Oreille externe : pavillon et conduit auditif
- Oreille moyenne : osselet dans un cavité qui transfère et amplifie les ondes sonores en les transmettant en vibration dans un liquide
- Oreille interne : Sacs et canaux permet l’audition et l’équilibre
2 partie de l’oreille interne et fonction
- Appareil vestibulaire : équilibre
- Cochlée : audition
que contien l’utricule et du sacule
Contiennent 2 macules : sac contenant des otolithes sur une matrice gélatineuse qui recouvre des cell. ciliés
Fonctions des 2 macule dans l’oreille interne et ex de stimuli
- Utricule : détecte les mouvement horizontaux
- Saccules : détecte les mouvement verticaux
ex: mouvement vers l’avant, mouvement vers le kinocil donc freq élevé de PA
mouvement vers l’arrière, mouvement vers les stéréocils, fréq. faible de PA
Que contient les ampoule et fonction
Contient les cupule qui détectent les mouvements circulaire de la tête
Rôle membrane basilaire dans la cochlée
Permet d’encoder la tonalité du son : son aigu font vibrer la partie rigide (au début) et donc stimule les cellules ciliés à cette endroit et son grave stimule la partie souple (au bout enroulé)