Partie 4 : Pollution terrestre et aquatique Flashcards
Dans sa réponse face aux risques technologiques, la
BSPP est en mesure de lutter contre des pollutions de ?
de faible à moyenne ampleur, terrestres ou aquatiques de surface. Les pollutions de grande ampleur nécessitent des renforts zonaux voire nationaux
Définition pollution aquatique
Il s’agit de la contamination de l’eau par des substances
chimiques, toxiques, physiques, organiques ou radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des écosystèmes. Les moyens de la BSPP permettent uniquement d’intervenir sur les pollutions de surface par hydrocarbures ou produits non miscibles à l’eau
Définition pollution terrestre
l s’agit de la contamination du sol ou des égouts par des substances chimiques, toxiques, physiques, organiques ou radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des écosystèmes.
Sur une intervention pour pollution terrestre ne nécessitant pas de concept d’engagement particulier, l’action du COS portera en priorité sur les points suivants
► agir sur la fuite
► canaliser les écoulements
► limiter la pénétration dans les égouts, les sols etc.
► demander les moyens spécialisés
L’importance d’une pollution est déterminée par
► le volume et la nature du polluant
► sa localisation et son étendue
► les critères organisationnels
L’action des premiers intervenants porte
essentiellement sur
les reconnaissances
Réalisées en amont et en aval de la pollution, les
reconnaissances ont pour but, si possible, d’agir sur la
source de la pollution et donc réduire ses effets puis :
► d’évaluer les risques pour la population, les
intervenants et l’environnement
► de demander les moyens de renforcement
nécessaires. Le COS précise l’emplacement de la ZDI
► de déterminer, autant que possible, l’origine, la
nature et l’importance de la pollution
► d’estimer le volume de polluant
Simultanément, les données contenues dans le « guide
opérateur pollution » sont exploitées :
► les cours d’eau (largeur, etc.)
► la localisation des points de captage en eau potable
► la localisation des usines de type SEVESO II
► les écluses
► les zones de pose de barrage (ZDI, mise à l’eau,
points d’ancrage, etc.)
À l’issue des premières reconnaissances, le COS
transmet un message de renseignement qui précise :
(pollution aqua)
► la nature du polluant, si elle est connue
► l’origine connue ou non
► la surface ou l’étendue de la pollution
► la notion de pollution récupérable ou non
► l’emplacement prévisible du secteur « récupération » le cas échéant
► les opérations en cours (reconnaissance des
berges, confinement, etc.)
Qu’est qu’un chantier de récupération ?
Les opérations de pose de barrage se font par les
spécialistes nautiques et celles de récupération du
polluant par les spécialistes NRBC. L’ensemble de ce
dispositif s’appelle un chantier de récupération
Mission EP CGI (pollu aqua)
► évaluation de la pollution
► choix des EPI
► demande si besoin
► renseigne le commandement
► reconnaissances terrestres « amont »
► recherche de l’origine de la pollution
Missions VI (pollu aqua)
► évaluation de la pollution
► actions à mener sur l’origine de la pollution
Missions moyens nautiques (pollu aqua)
► sécurité, reconnaissances et missions nautiques
Mission OGC CSTC (pollu aqua)
► évaluation de la pollution
► prend le COS si nécessaire
► choix des EPI
► demande de moyens de renforcement
► renseigne le commandement
► exploite le Guide opérateur antipollution
Mission EP (pollu aqua)
► reconnaissances terrestres « amont »
► recherche de l’origine de la pollution
► actions à mener sur l’origine de la pollution
Mission OGC renfort (pollu aqua)
► reconnaissances terrestres « aval »
► recherche de la position la plus avancée de la pollution
► évaluation des risques, proposition secteur(s) « récupération »