Objectifs 5 non couverts dans les pathos Flashcards

1
Q

Discuter rapidement de la vascularisation du système gynécologique. (VOIR DESSIN ANATOMIQUE ET LES IDENTIFIER)

A

Aorte donne les artères ovariennes qui irriquent les ovaires
Artère iliaque commune donne artère iliaque interne qui donne les artères utérines et vaginale et donc qui irriguent le vagin, l’utérus, les trompes, les ovaires

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Q

Quelles artères irriguent le système gynécologique?

A

Utérines
Ovariennes
Vaginale

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3
Q

De quels vaisseaux viennent les différentes artères irriguant le système gynécologique?

A

Ovariennes viennent de l’aorte
Vaginale et utérine viennent de l’artère iliaque interne, qui elle vient de l’artère iliaque commune

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4
Q

De quoi est composé l’ovaire?

A

Cellules épithéliales, cellules germinales et stroma

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5
Q

Décrire l’innervation du système gynécologique.

A

Ovaires : T10
Trompes : T11-T12
Utérus, col et vagin (1/3 sup) : T10-L1 (sympa) et S2-S4 pour le col/vagin sup (para)
Vagin (1/3 inf) et vulve : S2-S4 (nerfs honteux : fibres somatiques)

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6
Q

Décrire la vascularisation du système gastro-intestinal comme vu en laboratoire d’anatomie.

A

Tronc coeliaque a trois branches : a. hépatique commune, a. gastrique G, a. splénique (rate et corps du pancréas).
A. hépatique commune donne a. gastro-duodénale, a. hépatique propre, a. gastrique D (oesophage distal + petite courbure de l’estomac). A. gastro-duodénale se sépare en a. pancréatico-duodénale sup (tête pancréas) et a. gastro-épiploïque D (grande courbure estomac). A. hépatique propre donne les a. hépatique D et G (foie) et l’a. cystique (vésicule biliaire, canal cystique). A. splénique donne a. gastro-épiploïque G (grande courbure de l’estomac).

A. mésentérique supérieure se sépare en 6 branches : a. pancréatico-duodénale inférieure (rate et pancréas), a. intestinales (intestin grêle), a. iléo-colique (caecum, colon ascendant, appendice), a. colique D (colon ascendant, transverse proximal), a colique moyenne (2/3 proximal du colon transverse).

A. mésentérique inférieure se sépare en trois branches : a. colique G (colon transverse distal, descendant, sigmoïde), a. sigmoïde supérieur (colon sigmoide) et a. rectale supérieure (rectum proximal).

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7
Q

Quelles sont les branches primaires du tronc coeliaque?

A

A. hépatique commune
A. gastrique G
A. splénique

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8
Q

Quelles sont les branches qui partent de l’artère hépatique commune?

A

A. gastro-duodénale
A. hépatique propre
A. gatrique droite

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9
Q

Quelle sont les artères partant de l’artère hépatique propre et de l’artère gastro-duodénale?

A

A. hépatique propre : hépatiques D et G ; cystique
A. gastro-duodénale : pancréatico-duodénale supérieure ; gastro-épiploïque droite

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10
Q

Quelles sont les branches de l’artère mésentérique supérieure?

A

A. pancréatico-duodénale inférieure
A. intestinales
A. colique D
A. colique moyenne
A. iléo-colique

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11
Q

Quelles sont les artères qui originent de l’artère mésentérique inférieure?

A

A. colique gauche
A. sigmoïde supérieure
A. rectale supérieure

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12
Q

Quels sont les deux plexus de l’intestin et où les retrouvent-on?

A

Auerbach : entre musculeuse longitudinale et musculeuse circulaire

Meissner : sous-muqueuse

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13
Q

Quels sont les rôles principaux des deux plexus intestinaux?

A

Auerbach : surtout excitateur

Meissner : absorption, sécrétion, flux sanguin. reçoit aussi l’information de l’épithélium.

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14
Q

Par quel nerf somatique est innervé l’intestin et que fait ce nerf? De quelle racine nerveuse provient-il?

A

Nerfs pudental : motricité du sphincter anal externe ; sensibilité du périnée
S2-S4

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15
Q

Discuter de l’innervation parasympathique du TGI.

A

Bouche et anus ++++++
Voyage par le nerf vague (cranien) : oesophage, estomac, pancréas, foie, petit intestin, colon ascendant/trasnverse
Voyage par le nerf pelvien (sacral)

En général : simule la motilité et la sécrétion

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16
Q

Discuter de l’innervation sympathique du TGI.

A

Partout
T5-L2

En général : inhibe la motilité et la sécrétion

17
Q

Quels sont les ganglions du SNAS importants dans le TGI, où les retrouve-t’on et qu’innervent-ils?

A

Ganglion coeliaque : localisé entre l’aorte et tronc coeliaque ; innerve foregut.
Ganglion mésentérique supérieur : localisé à jct entre aorte et mésentérique sup ; innerve midgut.
Ganglion mésentérique inférieur : localisé à racine aortique de a. més. inf. ; innerve colon gauche
Plexus hypogastrique supérieur : localisé en face de la bifurcation aortique ; innerve sigmoide et rectum.
Plexus pelvien : innerve région anorectale et organes pelviens

18
Q

De quels muscles est composé le plancher pelvien/périnée? (VOIR IMAGES ANATOMIQUE)

A

Profond : muscles élévateurs de l’anus (puborectal, iléococcygien, pubococcygien) et muscle coccygien

Superficiel : muscles transverses ischio-caverneux

19
Q

Décrire la vascularisation du rectum

A

Artères rectales suprérieure (qui vient de l’artère mésentérique sup) ; moyenne (iliaque interne) ; inférieure (a. pudentale)

20
Q

Qu’est ce que le plexus hémorroïdaire?

A

Résultats des 3 veines rectales qui s’anastomose dans la sous-muqueuse du bas du rectum

21
Q

Quelles sont les différences histologiques et fonctionnelles des deux sphincters anaux?

A

Interne : muscle strié ; ctrl involontaire

Externe : muscle lisse ; ctrl volontaire

22
Q

Quelles sont les couches histologiques du rectum?

A

Muqueuse
Musculeuse
Séreuse (sauf dans le 2/3 inférieur)

23
Q

Quels sont les types de tissu et les cellules retrouvées dans la muqueuse du rectum/canal anal?

A

Rectum : épithélium cylindrique simple avec des cellules absorptives et caliciformes

Canal anal : épithélium pavimenteux plurostratifié et épithélium cylindrique malpighien non kératinisé qui sont séparés de la ligne pectinée

24
Q

Qu’est ce qui sépare la muqueuse de la sous-muqueuse au niveau du rectum?

A

La muscularis mucosae

25
Q

Définir les termes suivants :
-Besoin éxonérateur
-Acommodation
-Réflexe recto-anal inhibiteur
-Réflexe recto-anal excitateur

A

-Besoin éxonérateur : l’arrivée du contenu dans l’ampoule rectale entraîne une distension du rectum. Alors, les tensions-récepteurs dans la paroi rectale sont stimulés et envoie l’info au cortex cérébral.
-Acommodation : L’augmentation de la pression de la paroi rectale par les selles arrivant au rectum est temporaire. Alors : relaxation de la tension pariétale après quelques secondes (accomodation). Alors : disparition du besoin exonérateur
-Réflexe recto-anal inhibiteur : En réaction à l’augmentation de la pression dans le rectum, il y aura relaxation du sphincter interne entraînant l’ouverture de la partie haute du canal anal. Les selles descendent plus bas dans le canal anal.
-Réflexe recto-anal excitateur : Entraîne une contraction réflexe du sphincter externe fermant la partie basse du canal anal pour éviter toute fuite du contenu du rectum. Se fait en même temps que le réflexe recto-anal inhibiteur pour permettre la défécation.

26
Q

Quelle est l’innervation des sphincters anaux externes et internes ?

A

Interne : muscle lisse est innervé par plexus myentérique et les nerfs pelviens
Externe : muscle strié nerd pudendal

27
Q

Nommer et décrire les 5 types de douleurs?

A

Douleur somatique/pariétale: conduite rapidement, bien définie, localisée, fibres A

Douleur viscérale : conduite lentement, mal localisée, fibres C

Douleur référée : douleur provenant d’un viscère qui est référée à une localisation superficielle

Douleur neuropathique : des stimulis nuisibles prolongés peuvent entraîneer sensibilisation centrale + perte de l’inhibition neuronale.

Douleur inflammatoire : stimulis nociceptifs, qui activent nocicepteure, qui cause douleur aigue, qui cause une sensibilisation pérpihérique par médiateurs infflamatoires.

28
Q

Définir les termes suivants (pas obj 5, mais à savoir tout de même car. obj 41.1) :
-Souffrance
-Santé
-Maladie
-Mort
-Finalité de soins
-Qualité de vie
-Limites de la médecine

A

Souffrance : La souffrance est un concept complexe, global qui fait appel à la dimension subjective et individuelle de l’expérience. On le définit souvent comme quelqu’un qui endure la douleur ou la détresse ainsi qu’éprouver une perte ou un dommage. Toutefois, cette définition est contestée dans la littérature et demeure un concept flou à définir.

Santé : Selon l’OMS, la santé est définit comme « un état de bien-être physique, mental et social complet et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Le « bien-être social » est donc un aspect important de cette définition, qui peut quelquefois nous échapper lorsque nous pensons à notre santé.

Maladie : Altération de l’état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution.

Mort : La fin de la vie due à l’impossibilité organique de soutenir le processus homéostatique. Il s’agit du final de l’organisme vivant ayant été créé à partir de la naissance.

Finalités du soin : Un but de soin correspond à la finalité souhaité de changement de l’état de santé d’une personne, par les soignants, à partir des soins sur prescription, sur collaboration et plus ou moins sur rôle propre. Le but de soin relève exclusivement du problème de santé.

Qualité de vie : Selon l’OMS, « c’est la perception qu’a un individu de sa place dans l’existence, dans le contexte de la culture et du système de valeurs dans lesquels il vit, en relation avec ses objectifs, ses attentes, ses normes et ses inquiétudes »

Limites de la médecine et des sciences de la santé : Point au-delà desquels les sciences de la santé et la médcine ne peuvent dépasser.