notion theorique Flashcards
Afin de protéger l’hôte contre les infections, le système immunitaire doit
t pouvoir reconnaître les agents étrangers.
cmt le systeme immunitaire permet de pouvoir reconnaître les agents étrangers.
Certaines macromolécules permettent leur reconnaissance, dont les protéines, polysaccharides, lipides et acides
nucléiques.
cmt on helicite une rep imm adaptative
Afin d’éliciter une réponse immunitaire adaptative, celles-ci doivent cependant être immunogène
Le caractère immunogène d’une molécule est une proprieté cmt
n’est pas une propriété intrinsèque,
mais dépend plutôt d’un nombre de facteurs
qui sont inter-reliés dans le système biologique
Bien qu’une macromolécule possède toutes les propriétés requises pour la rendre immunogène, la réponse
immunitaire qu’elle pourra provoquer dépendra
toutefois de certaines propriétés propres à l’hôte et à la façon
dont elle lui est présentée.
Le choix de l’animal est dicté par ces quelques facteur
a. Le volume d’antisérum requis (lapin, chevaux, moutons, chèvres, bovins, poulets, souris, rats, hamsters);
b. La relation phylogénétique entre l’espèce choisie et la protéine qui sert d’immunogène;
c. La fonction effectrice des anticorps produits (capacité à lier le complément, etc.);
d. L’utilisation prévue des anticorps produits (besoin d’un anticorps secondaire spécifique à une espèce).
les différentes souches d’une même espèce animale peuvent donner des résultats
s distincts, entre autres à cause de la variabilité génétique
Les lignées syngéniques (inbred) sont produites par
l’accouplement entre frères et sœurs pendant plusieurs générations, de façon à établir des populations« pures », composées d’homozygotes virtuellement identiques, dans le but d’obtenir des résultats expérimentaux homogènes.
Les lignées allogéniques, ou non consanguines (outbred), sont maintenues pour
reproduire la diversité génétique qu’on retrouve dans une population naturelle
d’hétérozygotes.
l’immunogène doit être préparé de façon
aseptique et doit être exempt de toxines et de pyrogènes
Le choix de la dose de injectée pdt experience dépend
de l’immunogène et de l’espèce animale
choisis.
dose optimal chez souris
Chez la souris, la dose optimale varie habituellement entre 0,5 et 100 μg par injection, tout dépendant de la molécule qui est injectée.
Le choix de la voie d’injection dicte
entre-autres quels organes seront impliqués dans la réponse immunitaire.
voie d injection c leskel et relier a kel organe
-La voie intrapéritonéale (i.p.) est souvent préférée chez la souris. Elle permet d’utiliser un grand volume d’immunogène soluble ou particulaire, avec ou sans
adjuvant. Le volume maximal recommandé est de 500 μL lorsqu’un adjuvant est utilisé.
-La voie sous-cutanée (s.c.) permet d’injecter un antigène soluble ou insoluble dans un ou plusieurs sites ayant un bon drainage lymphatique. Le volume maximal
recommandé est de 100 μL lorsqu’un adjuvant est utilisé.
-La voie intraveineuse (i.v.) est souvent réservée à la dose de rappel, c’est-à-dire la dose précédant le prélèvement et destinée à augmenter la quantité
d’anticorps chez l’animal. On s’attend à une réponse rapide et forte, car l’antigène sera immédiatement conduit à la rate, au foie et aux poumons.
Avant de procéder à l’injection, la peau au niveau du site d’injection doit être cmt et prk
aseptisée, afin d’éliminer les contaminants qui pourraient autrement déclencher, euxaussi, la production d’anticorps spécifiques
aseptisation peau cmt
L’aseptisation de la peau se fait par le rasage de la fourrure au niveau du site d’injection, suivi par l’utilisation d’un savon
chirurgical, d’un rinçage et de l’enduit d’une préparation chirurgicale.
- L’utilisation d’un adjuvant peut être jugée nécessaire pour
Augmenter le caractère immunogène d’une molécule contre laquelle on désire produire des anticorp
kan adjuven utilisé
Les adjuvants sont surtout utilisés lorsque les molécules cibles sont faiblement immunogènes, ou encore lorsqu’elles ne sont disponibles qu’en très petite quantité
kel adjuvan on use ds cette experience
Dans le cadre de cette expérience, on utilisera lors de l’immunisation primaire l’adjuvant Quil-A, une saponine provenant de l’écorce d’un arbre sud-américain,
Quillaja saponaria molina, particulièrement efficace avec les protéines membranaires
concept experience
Lorsque l’animal choisi est immunisé avec une molécule immunogène selon une procédure favorisant une réponse immunitaire,
des anticorps sont produits.
Toute
molécule qui peut se fixer aux anticorps ou aux récepteurs de surface produits par la réponse immunitaire adaptative est appelée un antigène
caracteristique anticorp
Les anticorps sont composés de deux types de chaînes : les chaînes légères (L) et les chaînes lourdes (H), qui sont retenues
entre elles par des liens disulfures.
Chaque anticorps est composé de deux copies identiques d’une chaîne H et deux copies identiques d’une chaîne L, qui
adoptent une conformation en forme de « Y ». Les deux chaînes lourdes sont liées ensemble par une double liaison
disulfure.
Les chaînes H et L sont toutes deux composées de domaines variable (V) et constant (C).
Ce sont les domaines V des chaînes L et H (aussi appelé fragment Fv) qui reconnaissent les antigènes et s’y fixent.
Suite à une première immunisation avec l’antigène (Ag), la souris produit principalement des
IgM
AU jour 12-15 keski spasse avec la souris immunisé
commutation isotypique
(changement de la partie constante des chaines lourdes) et les IgG commencent à être produit
Afin d’obtenir des titres élevés en anticorps, il faut administrer une seconde dose de l’antigène (dose de rappel). ke fai cette seconde dose
cette seconde dose se traduit par une augmentation dramatique des titres sérique
en Ac d’isotype IgG.
Il est important de noter que la commutation isotypique affecte la spécificité de l’anticorps
Il est important de noter que la commutation isotypique n’affecte pas la spécificité de l’anticorps
kan on donne la dose de rappelle
l est important de donner la dose de rappel lorsque le titre d’anticorps
commence à baisser dans la souris, habituellement aux alentours de 4 semaines.
keske l utilisation d un adjuvan indui
L’utilisation d’un adjuvant demeure essentiel afin d’induire une
réponse inflammatoire locale et favoriser une réponse B dépendante des lymphocytes T CD4.
ds l experience les souris sont immunisé avec kel preparation
des préparations de protéines A ou O purifiées.
proteine A ou O caracteristique
Ces protéines présentent à leur surface plusieurs épitopes, qui induiront la prolifération et la différenciation d’une variété de clones de
lymphocytes B
souris produira koi face o proteine A ou O
a souris produira donc plusieurs anticorps contre la protéine purifiée d’intérêt, chacun d’entre eux ciblé contre un épitope
particulier et produit par un clone donné. Il s’agira donc d’une solution d’anticorps polyclonale
ckoi solution monoclonal
Une solution d’anticorps est considérée
monoclonale lorsque tous les anticorps de la solution sont produits par le même clone de lymphocyte B : ils sont donc spécifiques pour un seul et même épitope de la protéine et sont de structure identique (site de liaison à l’antigène et isotype).