notes de cours Flashcards

1
Q

Comment se construit l’alliance ?

A

l’écoute, la semsibilité, la familiarité, la validation, la considération,
l’autenticité - une sécurité et confiance fini par se développer

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2
Q

La compréhension empathique (RPDELLL)

A
  • Ressentir le problème de l’aidé
  • Pénétrer dans son univers subjectif
  • Demeurer conscient du risque de se surimpliquer.
  • **Un cadre pour vous aider à écouter (feuille portail)
  • Expérience : ce que le client vit
  • Les comportements : ce qu’il a fait ou fait
  • Les cognitions : les pensées
  • Les affects : émotions
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3
Q

Les valeurs de la
relation d’aide

A

-Respect
Toute relation d’aide repose sur le respect
du client
Protéger avant tout
Être compétent et déterminé
S’intéresser au client
Se fier à la bonne volonté du client

-Ne pas se hâter de juger
S’abstenir de juger ou de condamner
Pas imposer ses propres valeurs
Rôle de l’aidant = aider le client à reconnaître,
analyser, revoir et remettre en question les
conséquences des valeurs qu’il a adoptés
Se concentrer sur les attentes du client

-Empathie comme valeur prioritaire
Selon Carl Roger = manière de
ressentir le monde intérieur du client et
de lui communiquer cette sensation
Valeur fondamentale qui explique et
oriente tout le comportement dans la
relation d’aide.

-Authenticité
Ne pas se réfugier dans son rôle de
professionnel
Être spontané
Éviter d’être sur la défensive
Adopter une attitude ouverte

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4
Q

Les deux étapes de l’interprétation

A

Étape 1 = favoriser l’expression de sentiments et idées
* Étape 2 = comprendre l’origine d’un sentiment, idée ou la signification d’un comportement

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5
Q

les points de repère de l’interprétation

A
  1. Inviter l’aidé à élaborer sa propre interprétation
  2. Proposer notre interprétation
  3. Ne pas insister
    * Si l’aidé écarte notre interprétation, cela peut indiquer qu’elle est erronée ou qu’il n’est
    pas prêt.
    * On peut y revenir plus tard en l’appuyant sur des éléments que l’aidé aura exprimés
  4. Poursuivre l’exploration
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6
Q

les étapes avant de faire une interprétation

A
  1. Sur quoi s’appuie l’interprétation que je m’apprête à faire (intuition, connaissances en psychologie, indices clairs)?
  2. Cette interprétation est-elle formulée en termes simples et clairs (éviter les concepts abstrait)?
  3. Cette interprétation arrive-t-elle au bon moment (elle est prématurée si l’aidé est au stade de l’expression)?
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7
Q

les étapes apres avoir fait une interprétation

A
  1. Suis-je satisfait de la façon dont j’ai formulé mon interprétation?
  2. Mon aidé en a-t-il profité ou, du moins semble-t-il l’avoir prise en considération?
  3. Sinon, cela a-t-il entrainé un malaise entre nous? Comment ai-je fait pour le dissiper?
  4. Si c’était à refaire, de quelle façon procéderais-je?
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8
Q

E S O U T I E N
Les bienfaits du soutien
Comment y parvenir ?

A

Valider ++
* Croire la personne capable
* Mettre l’accent sur ce que la personne a et non ce qu’elle n’a pas
* Explorer les obstacles de la personne et l’aider à nuancer davantage
* Objectifs des petits pas
* Se permettre d’approuver la décision; d’après moi je pense que c’est une bonne idée et voici pourquoi… et c’est comment que je te
dise que je crois que tu as la capacité de le faire…

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9
Q

le controle VS la confrontation

A

Le contrôle (obtenir / empêcher un comportement) vs la confrontation (suscite
remise en question) (p.165)

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10
Q

C O N S T R U I R E U N P L A N D E S É C U R I T É

A
  • ÉTAPE 1: NOTER LES SIGNES AVANT-COUREURS (DÉCLENCHEURS) DE CRISE POTENTIELLE (PENSÉES, IMAGES, HUMEUR,
    SITUATION, COMPORTEMENT)
  • ÉTAPE 2: TROUVER DES STRATÉGIES D’ADAPTATION INTERNES – CE QUE JE PEUX FAIRE POUR ME CHANGER LES IDÉES ET
    METTRE MES PROBLÈMES DE CÔTÉSANS L’AIDE DE PERSONNE (TECHNIQUES DE RELAXATION, ACTIVITÉPHYSIQUE) :
  • ÉTAPE 3: CIBLER DES PERSONNES ET SITUATIONS SOCIALES QUI M’AIDENT ÀME CHANGER LES IDÉES:
  • ÉTAPE 4: DÉTERMINER LES PERSONNES ÀQUI JE PEUX DEMANDER DE L’AIDE:
  • ÉTAPE 5: DÉTERMINER LES PROFESSIONNELS OU ORGANISMES AVEC LESQUELS JE PEUX COMMUNIQUER SI JE SUIS EN
    SITUATION DE CRISE:
  • LA PRINCIPALE CHOSE QUI ME DONNE LE GOÛT DE VIVRE EST:
  • ON POURRAIT LUI DEMANDER COMMENT ELLE S’Y PREND POUR NE PAS PASSER À L’ACTE, ET CE POUR VOIR LES STRATÉGIES /
    LES RESSOURCES.
    Source: https://www.suicideinfo.ca/wp-content/uploads/2019/05/Safety-plan-toolkit_French_web.pdf
    11
    c’est du controle car on vise à empécher un comportement/du changement
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