MPOC Flashcards
faites la distinction entre la bronchite chronique et l’emphysème ?
bronchite: toux productive avec expectorations plus de 3 mois par année et 2 années consécutives
emphysème :
dilatation et destruction alvéolaire au dela des bronchioles terminales
destruction du parenchyme pulmonaire, provoquant une perte d’élasticité
le volume des espaces aériens augmente et les bules se forment
quel est la définition de la MPOC selon le GOLD ?
- Obstruction bronchique peu ou pas réversible
- Obstruction progressive provoquée par une réaction inflammatoire
- exacerbation et maladies chroniqes multiples
quelle est la différence entre le syndrome restrictif et obstructif?
restrictif : VEMS/CVF plus grand ou égal à 0.7
causé par une atteinte pulmoanaire ( fibrose, oedeme ), pleurale ( fibrothorax), abdominale ou neuromusculaire
obstructif < 0,7 : MPOC, asthme
quels sont les principaux mecanismes de la BPCO
inflammation et hypersécretion
infection
obstruction des voies respiratoires
quelles est la classification de la MPOC?
léger : dyspnée due à la MPOC lorsque le pt marche d’un pas hatif ou monte une pente légère: VEMS> 80
Modéré: s’arrete aprés avoir marcher une centaine de metres: VEMS entre 50et 80%
sévère : essoufflement empechant le pt de quitter la maison ou à l’habillement
ou défaillance respiratoire chronique
ou IC . VEMS entre 30-50%
trés sévère: memes symptomes que sévère, mais VEMS < 30 %
quels sont les facteurs de risque de MPOC ?
- Tabagisme (conséquence directe): il n’y a pas de nombre minimal de paquet années (nb de cigarettes par jour/20 X nb d’années de tabac)
- Les femmes sont plus à risque de MPOC
- La pollution atmosphérique
- Les infections respiratoires dans l’enfance
- Les infections respiratoires à répétition
nommez les comorbidité de l MPOC ?
• HTA pulmonaire: > 25 mm hg: causé par vasoconstriction hypoxique, inflammation
• Athérosclérose coronarienne: bétabloquants indiqués pour MPOC
• Insuffisance cardiaque souvent confondu avec MPOC
• Arythmies cardiaques: 18% FA
• Maladies thromboemboliques, AVC
• Diabète et syndrome métabolique: risque doublé: dépistage
• Apnée du sommeil
• IR: corrélation avec sévérité du MPOC. NB: créât basse chez les MPOC, car faible masse, donc on peut passer à côté d’une IR
• Ostéoporose: tabagisme, sédentarité, corticostéroïdes
• Depression et troubles cognitifs
• Rgo: hyper infiltration et utilisation des muscles abdominaux
• Polyglobulie et anémie: chez 6% des pt surtout lors du recours à l’oxygénothérapie a long terme
• Faiblesse musculaire: réadaptation
Cancer du poumon: 2 fois plus de risque chez l’homme
quelles sont les manifestations clinique de l MPOC
- Toux productive
- Dyspnée chronique d’aggravation progressive lors des efforts et majorée lors des infections
- Céphalées matinales à un stade avancé
Les signes: - Wheezing, augmentation du temps expiratoire
- Distension thoracique menant à un assourdissement des bruits du cœur
- Diminution du murmure vésiculaire
- Thorax en tonneau
- Perte de poids, fonte musculaire
Stades avancés - Respiration a lèvres pincés et mobilisation de muscles accessoires
- Signe de Hoover (mvmt paradoxal des espaces intercostaux)
- Cyanose
- Signe de cœur pulmonaire: turgescence des jugulaire, dédoublement du B2
Pneumothorax
Quels sont les critères diagnostiques ?
Tous les patients de 40 ans, fumeur ou ex-fumeur, présentant un de ces symptomes, devrait être soumis à la spirométrie
• Toux persistante, peut être intermittente, productive ou non
• Expectorations régulières
• Dyspnée: progressive avec le temps, pire à l’exercice et elle est persistante
• Cillements à l’effort ou la nuit
• Épisodes d’infections respiratoires fréquentes et persistantes
• Histoire familiale de MPOC ou de facteurs e risque dans l’enfance
nommez les éléments spécifique recherchés au questionnaire pour la MPOC
• Symptômes et leur expression : dyspnée (insidieuse au départ, puis progressive), toux chronique, production d’expectorations, limitation de l’activité physique
• Degré d’essoufflement et d’invalidité évalué à l’aide de l’une des méthodes (voir plus haut)
• Facteurs déclenchants et aggravants : tabagisme, exposition intense aux poussières industrielles et aux substances chimiques, pollution atmosphérique
• Carences-en alpha1-antitrypsine (emphysème, pathologie hépatique, pannicule)
• Signes et symptômes qui suggèrent d’autres affections comorbides ou manifestations généralisées, comme une maladie cardiovasculaire, l’ostéoporose, un dysfonctionnement des muscles squelettiques, une embolie pulmonaire, une polyglobulie secondaire, la dépression, la dénutrition, une pneumonie, une tumeur maligne, le syndrome métabolique
• Antécédents d’épisodes d’exacerbation aiguë de laMPOC: hospitalisations, consultations au service d’urgence, utilisation de corticostéroïdes et d’antibiotiques oraux
• Impact sur la vie quotidienne, soutien social disponible
- faire l’échelle de l’impact de la MPOC sur la qualité de vie
quels questions poseriez vous pour évaluer l’impact de la MPOC sur la qualité de vie
- toux
- sécrétions bronchique
- oppression respiratoire
- essoufflement en montant un cote ou un etage
- limitation dans l’accomplissement des activités domestiques
- inquiétude face à la fonction pulmonaire quand il quitte la maison
- sommeil
- energie
quels sont les facteurs de mauvais pronostic de la MPOC )
- Indice de BODE > 7
- o2, hypercapnie
- faible niveau d’activité
- 3 exacerbation
- HTA pulmonaire
- CS prolongés
- 75 ans et plus
- femme
quelle examen paracliniques peut nous aider au dx de l’emphysème spécifiquement
RX thorax
quel est le traitement pharmacologique de la MPOC selon les stades?
Dyspnée occationnelle mMRC 0-1 : BACA ( ventolin 100ug 1 bid prn)
mMRC 0-1: ACLA ( spiriva 18 ug 1inh die )
mMRC 2 : ACLA+ BALA ( ultibro 110-50 mcg 1inh die)
mMRC 3-4: ACLA+ BALA-CSI ( Advair50-250 2 inh bid + Spiriva 18 ug 1inh die )
quels est le couseling chez les patients MPOC
- Arret tabagique
- vaccination : Influenza, pneumocoque
- Exercice physique: contrer l’atteinte musculaire périphérique qui perpétue la dyspnée: www.readaptsante.com
- Suggèrer exercices aérobiques et musculation légère
- L’exercice est sûre sauf en cas d’angine instable ou sténose valvulaire
- Si dyspnée limite l’exercice: programme de réadaptation respiratoire
- enseignement sur l’alimentation et référence a une nutritionniste